Samedi 22 juillet 2017 6 22 /07 /Juil /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

- Alors … vous allez VRAIMENT le faire ?

 

J'ai l'impression que ce type, cet éleveur, n'y croit pas encore. Oui, je vais me faire sauter par son molosse, par son ... Cane corso. Jusqu'ici, il a tout fait pour voir ça. Prétextant que les deux Dogues allemands qu'il avait vendus à Jean-Claude avaient sans doute sailli d'autres chiennes que les siennes, il a d'abord parlé d'un procès. Puis, quand Jean-Claude lui a révélé qu'en fait, ils n'avaient pas sauté des chiennes mais quelqu'un, il a mis sa parole en doute. Ensuite, Jean-Claude m'ayant persuadé de rencontrer ce type, j'ai reconnu m'être fait couvrir par les deux Danois, cet enfoiré a fait planer la menace d'une dénonciation pour zoophilie. En fait, il n'avait qu'un but: voir ça de ses propres yeux. Et pas seulement pour se faire convaincre, parce que, quand je lui ai annoncé que j'étais prêt à recommencer en sa présence, sa véritable motivation est devenue évidente: en fait, l'idée l'excite et sa véritable intention était de voir ça de ses propres yeux, et même que ce soit un de ses chiens qui en profite. A tel point qu'il n'a pas amené que son Cane corso pour me sauter, mais aussi deux Dogues allemands et deux Mastiffs !

 

- Alors … vous allez VRAIMENT le faire ?

- Vous en doutez encore ? Je vais le faire dans l'écurie … venez voir …


Il paraît un peu désappointé, mais il tire sur la laisse du chien et il me suit. Au moment où nous entrons dans l'écurie, Jean-Claude nous rejoint, un tapis roulé sur l'épaule. Il avait disparu sans que je m'en aperçoive, captivé et troublé que j'étais par le molosse qui va être mon amant. En effet, il fait bon dans l'écurie. La puissante odeur de cheval et de paille me saute encore au nez, comme le jour de mon gangbang. Hhhmmmm, ici, sur cette paille, il y a quelques semaines, cinq ou six types me sont passés dessus les uns après les autres, et m'ont baisé sous le regard d'une douzaine d'autres … Le souvenir de cet épisode ajoute à mon émotion. Mon trouble doit être visible, parce que Jean-Claude, qui m'observe avec insistance, attend de capter mon regard pour balayer des yeux cet endroit, me sourire et m'adresser un clin d'œil qui veut clairement dire "tu te souviens de ce qui t'es arrivé ici ? ". Je hoche la tête: oui, je me souviens.


- J'ai amené un tapis … tu seras mieux que sur la paille …


Et dans un autre murmure, accompagné d'un clin d'œil:

- … et j'ai mon smartphone … dans ma poche ...


Pendant qu'il déroule le tapis sur la paille, je prends momentanément congé:

- Bon, attendez moi, il faut que je passe à la salle de bain … je n'en ai pas pour longtemps …


L'éleveur paraît surpris, et JC intervient:

- Je vais vous expliquer …

 

Je sors. C'est parti ! Je vais me faire sauter par le molosse de cet éleveur, par son ... Cane corso. Sacré bestiau ! Comment résister ? Ce n'est évidemment pas seulement pour aider Jean-Claude à sortir de cette situation et faire cesser le chantage que ce type exerce sur lui. Ça, j'ai bien fait comprendre à ce mec que ça ne peut plus prendre ... Et prouver à ce type qu'un accouplement avec un chien est possible, si gros soit-il, n'est plus qu'un prétexte. Non, évidemment, je vais le faire parce que j'en ai envie ... j'ai ENVIE de me faire sauter par cette BÊTE !

 

En passant devant les portes restées ouvertes de la camionnette, je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil aux quatre autres molosses. Ça sent vraiment le fauve, là-dedans … le fauve et le mâle ! Comment il a dit qu'ils s'appellent, les deux autres chiens ? Des Mastiffs ? Peut-être qu'après le Cané corso ... Il m'a donné envie, cet enfoiré, en me disant qu'ils sont encore plus gros ... mais l'aspect brutal du Cane corso, ça me ...

Je rentre dans la maison, procéder à mes ablutions. Pendant une fraction de seconde, une pensée m'assaille: tout de même, avoir encore un rapport sexuel avec un animal ... je suis vraiment un dépravé, un immoral ... un pervers ... je suis peut-être même un anormal ... mais je m'en fous, le violent désir qui me taraude le bas-ventre et l'anus balaie tout ça. Là, penser à cet autre chien, encore plus massif que les Dogues, et à sa très grosse bite, ça me trouble … il est moins racé que les Dogues, plus … brutal, plus bestial … il m'impressionne, et ça me plaît, ça m'affole, même, de me livrer à cette brute … et puis, ce mastard va me prendre sous les yeux de son maître … Ce mec est un tordu, mais je m'en fous, ce qui compte, c'est que je vais me faire baiser par son chien … et je dois reconnaître qu'au fond de moi, après que j'ai pris la décision de me donner à son molosse, une autre considération s'est imposée à mon esprit … ce mec a tout un élevage … un élevage de molosses, surtout … et ça commence à me le rendre … intéressant, à défaut de le rendre sympa … il élèverait des Yorkshire, des Teckel ou des Jack Russel, je m'en foutrais ... mais des molosses ! Dans un flash, je revois les quatre autres bestiaux derrière leurs grilles, à l'arrière de ce fourgon ... quatre autres mâles amenés là pour avoir du sexe avec moi et gardés là en attendant leur tour de me passer dessus ... comme une réserve de baiseurs ! Il n'y a pas à dire, il faut que je trouve le moyen de garder le contact avec ce type … je me demande combien il a de chiens … enfin ... de mâles, dans son élevage … 

 

Une fois ma toilette terminée, j'avise un peignoir en éponge, suspendu à une patère derrière la porte. Vu sa taille, pas de doute, il est à Jean-Claude. Alors, plutôt que de me rhabiller, je l'enfile et, au passage, je chausse une paire de savates qui traîne près de la porte d'entrée. Puis je m'empresse de retourner auprès de mon futur amant … UN CHIEN ! La vache, c'est fou, ça, quand même ! Je me sens aussi fébrile et impatient que si je m'apprêtais à rejoindre une équipe de mecs en rut ! UN CHIEN ! Pour moi, ça ne fait pas de différence … chien ou homme, c'est un mâle … Avant de traverser la cour, par réflexe, je jette un coup d'œil sur le tableau de bord du fourgon. Le smartphone est toujours là. Je remarque que les portes arrière du fourgon ont été refermées.

 

Quand j'entre dans l'écurie, je fais à peine attention à Jean-Claude et à l'éleveur … je remarque tout juste qu'ils me contemplent, stupéfaits de me voir débarquer en peignoir … je devine ce qu'ils pensent: si je suis en peignoir, c'est que je suis à poil en-dessous … et donc bel et bien décidé à me faire saillir par le molosse. Oui, je fais à peine attention à eux parce que la scène qui s'offre à moi est … stupéfiante ! Le Cane Corso est bien là, au milieu de la paille et tenu en laisse par son maître, mais il y a aussi ses quatre autres chiens, chacun attaché à l'entrée d'une stalle ! Une vague d'adrénaline me submerge et je reste cloué sur place, tellement le tableau est … extraordinaire !

CINQ ÉNOOOORMES CHIENS !

Je reçois comme un choc au creux de l'estomac … j'en ai le souffle coupé … vertige ! Instantanément, pour moi, c'est une évidence … je l'avais deviné, tout à l'heure: les quatre autres bestiaux sont aussi là … POUR DU SEXE AVEC MOI ! Du mélange confus d'émotions qui m'assaillent, celle qui domine toutes les autres, c'est d'abord le désir sexuel … un désir sexuel brut … irraisonné … bestial … violent … devant moi, ce ne sont pas cinq animaux de compagnie ou cinq chiens de garde … non, ce sont cinq mâles, cinq étalons reproducteurs ... POUR MOI ! Peu importe qu'eux et moi ne soyons pas de la même espèce, là, maintenant, leur rôle, leur fonction, leur mission, c'est de s'accoupler avec moi et de m'inséminer ! Je sens mon anus, ma prostate et mon sexe frémir de désir pour ces bêtes … Je sais qu'au fond de moi, la décision est prise ... je suis prêt à me faire couvrir par les cinq ! Un gangbang avec des cheins !

 

La deuxième chose dont je prends immédiatement conscience, c'est l'acceptation. Ce type n'a pas amené les deux dogues allemands et les deux mastiffs dans cette écurie pour faire joli, c'est évident ! Bon, admettons ... au départ, il ne savait pas que la personne que les Dogues de Jean-Claude avaient saillie était un homme ... mais maintenant, il le sait, et il a amenés ces quatre là en plus du Cane corso pour qu'eux aussi copulent avec moi ... et certainement pas pour me faire plaisir à moi … non, je le sens, il veut M'OFFRIR à ses molosses … évidemment pas pour qu'ils me fassent des petits, mais comme … un jouet sexuel … comme il leur offrirait un moment de détente, une récréation qui les sorte de leur train-train de géniteurs … Et bien soit ! Mon envie est si forte qu'elle balaie tout … raison, morale, scrupules, tabous, dignité, pudeur … et j'accepte ! Ou, plus exactement, je me sens incapable de résister, de refuser … je suis un junky du sexe !

 

Les deux dogues tachetés sont devant des stalles en face de la porte par où je viens d'entrer, et les deux mastiffs devant des stalles en vis-à-vis … Seuls manquent les dogues de Jean-Claude qui a du les enfermer ailleurs.

CINQ ÉNOOOORMES CHIENS …


CINQ SAILLIES HORS NORME !

 

C'est tellement … bouleversant … que je ne me demande même pas comment ce type a pu oser amener ses quatre autres monstres dans cette écurie ! Je me ressaisis tant bien que mal et je réalise que le type en question est en train de m'observer, indécis. Il n'a sans doute pas perçu mon trouble, et il doit se demander comment je vais prendre son initiative. N'y tenant plus, il me lance:

- Je me suis permis d'amener les autres aussi … mais avant, j'ai demandé la permission à monsieur … Jean-Claude …

 

Jean-Claude, s'adressant à moi:

- Euh, la permission, non ! Il m'a demandé si d'après moi ça te gênerait que ses autres chiens te regardent pendant que celui-là te ... te baise ... Alors j'ai seulement dit que ça m'étonnerait que ça te gêne … c'est tout.

 

C'est ça, oui "pour qu'ils regardent " ! L'autre:

- Euuuuh, oui, Jean-Claude … on a dit "seulement pour qu'ils regardent … ÉVENTUELLEMENT" … mais j'ai pensé que … si … si vous vouliez … enfin … bon … ils sont là … si vous … si vous avez envie d'un autre … pour … Mais, si vous n'en voulez pas … ça fait rien  …

 

Je l'avais deviné, mais il me le confirme: s'il les a amenés dans l'écurie, c'est bel et bien avec l'idée de me les proposer pour du sexe … et pas seulement pour qu'ils assistent au spectacle:

- Qu'est-ce que vous voulez dire par "si j'ai envie d'un autre" ? Un autre à la place du Cane Corso, ou un autre EN PLUS du Cane Corso ? ! ? ! 

- Ben, un autre à la place ou un autre en plus, comme vous voulez … et même … les quatre, en plus, si vous voulez … moi, ça me gêne pas …

 

Tu 'étonnes, que ça le gêne pas ! En les embarquant dans son camion ce matin, il avait déjà l'intention d'offrir une femme à ses cinq bestiaux ! Il n'imaginait sans doute pas qu'au lieu d'une femme ce serait … un mec. Mais, une fois la surprise passée, il ne change rien à ses plans. Je me plante devant lui:

- Donc, on est bien d'accord: vous ne cherchez pas SEULEMENT à avoir la preuve que Jean-Claude vous avait dit la vérité … un seul chien aurait suffi, pour ça …

- Ben Si, c'est vraiment pour ça … pour avoir la preuve … mais après … qu'est-ce que ça peut faire, deux chiens … ou trois, au lieu d'un seul ? Vous l'avez bien fait avec les deux dogues de Jean-Claude … non ? 

 

Il n'est même pas gêné que j'aie compris sa véritable motivation, cet enfoiré !

- Ça, c'est mon affaire, un chien ou plus … mais vous, tout à l'heure, avec votre air offusqué, vos leçons de morale et vos insultes … vous auriez dû vous contenter d'un seul chien … et encore ! Les autres, je ne vous les ai pas demandés. Si vous me les proposez, c'est parce que l'idée vous excite ! Vous m'avez traité de pervers, mais finalement vous l'êtes autant que moi … 

 

Il ne répond pas, nous regarde alternativement, Jean-Claude et moi, avec un sourire con. Comme je me suis approché de lui et de son Cane corso, le chien s'est levé et il me regarde … il y a je ne sais quoi de gentil dans ses yeux. Tu te souviens, je t'ai touché la bite, tout à l'heure. Alors, tu devines ce qui va se passer, hein, dans ta tête de molosse ?  Face à ce mec, presque à le toucher - il est un peu plus petit que moi - je plante mes yeux dans les siens:

- Maintenant que je connais vos vraies motivations, je peux très bien vous envoyer chier, avec vos chiens … vous ne me verriez pas me faire sauter par vos chiens et vous ne pourriez rien faire contre Jean-Claude ou contre moi …

 

Il pâlit, son visage se décompose. Il s'apprête à me répondre, mais je ne lui en laisse pas le temps:

- … mais, rassurez-vous, je vais le faire quand même … vous allez pouvoir vous régaler … je vous l'ai dit, j'aime ça, me faire baiser par un chien … et je vais le faire aussi parce que, en plus, je vais le faire devant vous et que j'aime qu'on me regarde quand je me fais baiser …

 

Tout en lui disant ça, j'ai ostensiblement dénoué la ceinture du peignoir, et j'en ai écarté les pans, lui dévoilant ma nudité. Il ne peut s'empêcher de regarder mon bas ventre, mais il ne sait plus où poser les yeux … l'idée de m'accoupler successivement avec chacun de ses cinq chiens a fait son effet sur moi … je bande … alors il cherche Jean-Claude du regard … Je finis d'ôter le vêtement que je lance sur la cloison d'une stalle, et je quitte les savates. Me voilà nu comme un ver et je sens le type me détailler du coin de l'œil. Regarde moi bien, connard ! T'as vu ? Je suis déjà excité à l'idée de me faire saillir par tes chiens … et regarde bien mon cul, aussi … c'est lui qui a le don d'exciter les mâles, et c'est dans lui que plein de mâles, hommes et chiens, ont déjà fourré leur sexe et répandu leur semence … et c'est dans lui qu'un de tes monstres va fourrer le sien, de sexe … un de tes monstres ... pour commencer … 

 

Je m'accroupis devant son chien, je lui caresse la tête et, pendant qu'il me donne de grands coups de langue sur la figure, je glisse de nouveau mes mains sous son ventre. Le bout de sa bite, tout fin, tout pointu, dépasse de son étui pénien. C'est ÇA, ce sexe rouge-rosé, comme à vif, qu'il va enfoncer au fond de mon cul ! Là, il a un peu débandé, mais ça, quand ça bande, un truc comme ça, ça devient plus gros qu'une bite d'homme !

- Il va falloir faire grossir ça, hein, mon pépère … Il s'appelle comment, ton chien ?

- Falco … et il a quatre ans …

- Il a déjà couvert des femelles, alors …

- Oui, oui, plusieurs … il est même déjà grand-père …

- Il sait s'y prendre ?

- Ah oui … avec les chiennes, pas de problème … mais avec un …  avec un homme, je sais pas, il l'a jamais fait … je sais pas si il va vouloir …

- Moi, je pense qu'il va vouloir.

 

Je me relève et je m'approche de la première stalle. Je sens le regard du mec sur moi …

- Je peux les caresser ?

- Oui, sans problème … ils sont tous habitués aux gens …

 

C'est un dogue allemand qui est attaché là. Le chien s'est levé à mon approche, et il remue la queue. Il me semble encore plus grand que ceux de Jean-Claude. Sa gueule arrive pratiquement à hauteur de ma poitrine. Je lui caresse aussi la tête. Il me lèche la main, et il abaisse son mufle pour me sentir la bite. Coup de langue chaude et râpeuse sur ma verge. Je n'ai même pas peur qu'il me morde ! Mes deux mains sur les côtés de son énorme tête, je me laisse lécher. Hhhmmmm, c'est bon ! De son énorme langue, humide et brûlante, il arrive même à me lécher les couilles … Je sens ma queue continuer de réagir … Je jette un coup d'œil à son maître. Il devait s'y attendre, mais il n'en revient pas de me voir me balader, sans pudeur, complètement à poil, la queue raide devant lui et ses chiens. Dans ses yeux, je devine à la fois de l'étonnement et de l'excitation. Il doit être en train de se dire que c'est bon, que je vais me faire sauter par tous ses chiens …

- Il a quel âge, celui-ci ?

- Aussi quatre ans …

- Il a déjà sailli une chienne ?

- Oui, oui … plusieurs … lui aussi …

 

Je me penche pour regarder la bite du molosse. Elle sort un peu de son prépuce, rouge et mouillée. Il commence à bander ? Sans doute … j'ai l'impression qu'il commence à s'exciter et à trépigner comme pour me sauter dessus. Aurait-il senti que je suis sexuellement disponible ? Aurait-il deviné ce qui va se passer ?

 

Dans la stalle voisine, c'est l'autre dogue. Il tire sur sa laisse pour s'approcher de moi.

- Celui-ci aussi, il a quatre ans … c'est son frère … Allez-y, vous pouvez vous approcher, il ne vous fera rien.

 

Lui aussi, colle son mufle sur ma queue … coups de langue. Hhhmmmm ! Je lui caresse la tête, j'empoigne son collier pour l'immobiliser tant bien que mal et je m'accroupis à côté de lui pour toucher sa bite. Il s'agite, essaie de me lécher, me bouscule … Pas moyen de lui tâter l'organe dans ces conditions. Je me relève et je l'enfourche … Putain, j'ai les pieds qui touchent juste le sol. Sensation très agréable: son pelage court, lisse et luisant … et sa chaleur animale entre mes cuisses, sous mes fesses, contre mes couilles … Il s'agite, se demande ce que je fais … Il sent vraiment le chien … mais ce n'est pas désagréable. Agrippé d'une main à son collier, à demi allongé sur lui, tandis qu'il essaie de me donner des coups de langue sur la figure, je passe ma main sous son ventre. Je sens sa bite qui pointe hors de son étui pénien. Je l'empoigne et je le masturbe. Quel morceau ! Hhhmmm, j'adore ça ! C'est très excitant … lui manipuler le sexe, sentir la chaleur et la douceur de son pelage contre ma queue, entre mes cuisses … je bande de plus en plus … Alors je l'enserre de mes bras et, la joue collée contre son garrot, je me frotte ouvertement la bite sur son dos … je me donne du plaisir sans honte et sans pudeur sous les yeux de son maître. Jean-Claude m'a déjà vu à l'œuvre, mais l'autre n'en revient pas et roule des yeux effarés. Ce gros sexe poilu dans ma main … je vais me le faire loger dans le cul ! Dans ma tête, c'est le déclic dont j'avais besoin. Oui … oui … oui … je vais sûrement me faire couvrir par les cinq molosses ! Du moins, je vais essayer … on verra.

 

Putain, cinq mâles ÉNOOOORMES ! Des BÊTES ! Je vais me faire baiser … inséminer par des BÊTES ! Un gangbang de BÊTES ! C'est encore plus excitant que si c'était cinq mecs !

 

D'abord surpris par ce que je lui faisais, le dogue a fini par s'immobiliser, et, la tête tournées vers son ventre, il me regarde le masturber … et il a l'air d'apprécier … il ne s'agite plus. Mon érection, combinée à mon va et vient dans sa fourrure … je sens ma queue se décalotter toute seule … Je me frotte encore un peu, puis je me redresse et je descends du dogue qui me fait la fête … Jean-Claude et l'autre sont ébahis: je passe à la stalle d'en face en me pétrissant la bite. Je me fous de leur montrer mon excitation, à ces deux-là ! Ah oui, pas de doute, le Mastiff est un énorme chien. Celui-ci est aussi haut que … qu'une table … SON DOS est aussi haut qu'une table … sa tête noire, massive, plissée, est à la hauteur de mon sternum ! Et il doit peser … au moins soixante dix kilos … Si sa bite est proportionnée … Celui-ci aussi a un regard très gentil, bonasse, avec tous ces plis sur sa trogne. Il tire sur sa laisse à mon approche…

- Allez-y … il ne vous fera rien … attendez, je viens …

 

Il est quand même très impressionnant ! Et s'il me chopait la bite … Un coup de dents, et il n'en ferait qu'une bouchée … Le type donne la laisse du Cane Corso à Jean-Claude et me rejoint. Il jette sans cesse des coups d'œil à ma queue, que je continue de tripoter sans retenue. A son approche, le Mastiff lui fait fête et tire tellement sur sa chaîne qu'il secoue la cloison de la stalle où il est attaché. Certes, ce sont des cloisons en bois qui datent de je ne sais quand, mais apparemment, c'est du chêne, et c'est censé résister aux bourrades d'un cheval … Le maître empoigne le collier du chien à deux mains et me dit:

- Allez-y, approchez … Doucement, Gordo !

 

J'approche. La bête colle ta truffe froide sur ma queue et reste immobile comme ça quelques instants, aspirant l'air par le nez et soufflant par la bouche … Ce souffle brûlant sur ma bite … hhhmmmm, ce que c'est bon ! Son maître, les yeux rivés sur mon sexe en érection, paraît fasciné … Il ne devait pas imaginer que la perspective de me faire saillir par un chien pourrait m'exciter à ce point. Brusquement, le chien recule sa gueule et cherche à bondir sur moi, sans agressivité, comme pour me faire fête … Son maître le retient avec difficulté: 

- Doucement, Gordo ! Il veut … il veut vous … Approchez …

 

J'approche, et le chien se dresse sur ses pattes arrière, pose ses pattes sur mes épaules, manquant de renverser son maître. Putain, il est plus grand que moi ! Et il est lourd ! Il saute d'une patte sur l'autre, tout en me débarbouillant la figure à grands coups de langue. Dans ses efforts pour trouver son équilibre, je sens sa bite venir taper contre ma cuisse ! 

- Vous voyez … il vous fait la fête … gentil Gordo !

- Il pèse combien ?

- Presque quatre-vingt kilos … lui aussi, il a déjà couvert des chiennes … plein … et jamais une chienne a refusé de s'accoupler avec lui. Aucun de mes chiens, d'ailleurs … pour ça, ils ont toujours bien fait leur travail … vous savez, les chiennes le sentent, quand un mâle va faire un bon géniteur …

 

Je descends la main vers le ventre du "géniteur" et je palpe son sexe. Impressionnant, lui aussi, même comme ça, au repos… Oh putain, ça doit être quelque chose de se faire … de se faire enculer par une bête comme ça … et de se faire … inséminer … Mon geste n'a pas échappé au maître. Fasciné, il me regarde masturber son chien:

- Alors ? Vous allez vous faire ... euh … vous voulez que les cinq vous … 

 

Il voudrait bien savoir si je vais me faire sauter par ses cinq chiens. Comme je ne répands pas, il poursuit:

- ... hein, ça vous fait quoi de … de le branler, comme ça ? 

 

Il a des tremblements dans la voix. Il anticipe ce qui va se passer … je ne lui ai pas encore dit que j'avais l'intention d'essayer de me faire ses cinq molosses, mais il doit se dire que si je les passe en revue tous les cinq, c'est que je les veux tous. Comme je ne lui réponds pas, il insiste:

- Hein ? Ils vous font envie ? Tous ? Vous pouvez y aller, hein … vous pouvez les avoir tous les cinq, si vous voulez, ça me dérange pas ! Vous savez, quand ils sont … quand ils sont excités par … quand ils sont excités, leur sexe est … vraiment … ÉNOOORME ! C'est pour ça que leurs saillies sont toujours fécondes, à mes chiens … leur sexe est tellement … tellement gros, qu'ils restent bien coincés dans les femelles, et comme ça, ils les fécondent bien … vous verrez, si vous vous faites euh … saillir … vous verrez comme leur sexe est gros …

 

Ah, on peut pas dire, il les vante, ses reproducteurs ! Il y tient, à ce que ses chiens me niquent ! Alors, il fait tout ce qu'il peut pour me donner envie. J'ai pas vraiment besoin de ça, mais je dois dire que d'entendre ce mec encenser et me recommander ses géniteurs de cette façon, ça me plaît. Il a compris comment il faut me parler, ce type. Et lui ! Je le sens aussi très excité ! Je me recule et le chien retombe sur ses quatre pattes. Je regarde le maître. Tout à l'heure, j'avais envie de lui cracher à la gueule, mais il y a ses cinq bestiaux. Sans un mot, je tourne les talons et je m'approche de Jean-Claude et du Cane corso, assis à ses pieds. J'enfourche le chien et je le frictionne vigoureusement de la tête aux cuisses:

- Bon allez, au premier ! Tu vas bien me baiser, toi, hein, le Falco ! Bon chien … hhmmm!!!

 

Le maître s'approche précipitamment:

- Alors … c'est oui ?

 

Surexcité ! Je ne lui réponds pas. Il interroge Jean-Claude:

- Il a dit "au premier" … ça veut dire qu'il voudra aussi les autres, après ?

- Je sais pas. Tenez.

 

Jean-Claude lui rend la laisse du molosse. Je descends du chien qui me fait fête, et je lance à son maître:

- Tenez-le bien … je veux voir quelque chose.

 

Sans poser de question, il cramponne le collier du chien. Je passe derrière la BÊTE, je me penche et je soulève sa queue. Ah oui, belle paire de couilles poilues … toutes rondes, noires et luisantes … je les caresse et je les prends dans la main. Hhhhmmmm, Falco, Falco ! Je vais te les vider tes couilles ! Parce que ce n'est pas seulement me faire fourrer sa bite dans le cul, que je veux, c'est aussi me faire inséminer le ventre !

 

Je reviens à côté du maître et de son chien, j'écarte les jambes, je crache de la salive sur le bout de mes doigts réunis en cuiller et je me les fourre dans cul. Devant l'air ébahi des deux voyeurs, j'explique:

- Je n'ai pas de lubrifiant … Si j'avais su que j'allais me faire sauter, j'en aurais amené …

 

Je renouvelle l'opération, puis je me plante devant le chien, de dos, jambes écartées, et je m'empoigne les fesses pour m'ouvrir à l'énorme gueule du molosse. C'est parti, je vais me donner à cette bête ! Au fond de moi, j'ai basculé ... il n'y aura pas de retour en arrière, je vais m'accoupler avec cet animal et nous allons copuler ! Je ne me sens ni immoral, ni pervers … dévergondé et lubrique, certainement … et plein de détermination. Aussitôt, la bête me fourre sa truffe dans la raie, me renifle, me lèche … Sa langue, chaude et humide, me râpe la rondelle … et s'aventure sur mon périnée … et jusque sur mes couilles ... avant de revenir sur mon orifice … hhhhmmmm, la bonne bête ! 

- Ah oui, c'est bien, le chien ! Oui, c'est là … vas-y, continue … hhhmmmm ! Ah ouiii …

 

J'ai l'impression qu'il a senti que c'est là, entre mes fesses, que ça va se passer. Brusquement, il arrête de me lécher et je le sens essayer de se dresser contre moi. Son maître a beau le retenir par la laisse, il me bouscule. Ça y est, maintenant, il veut me sauter ! Je fais trois pas et je m'agenouille sur le tapis, tourné vers le maître et son chien:

- Ça y est, il veut me sauter ! Lâche-le !

 

Le maître ne dit plus rien, bluffé par la scène. Il retient son chien qui tire sur sa laisse comme un fou. Je n'ai pas, si peu que ce soit, l'apparence d'une chienne, je ne diffuse pas de phéromones, et pourtant, c'est sûr, il réagit comme si j'étais une femelle en chaleurs: je l'excite et il veut me saillir ! Je me demande ce qui se passe dans la tête de ce chien … est-ce seulement l'instinct de reproduction qui le pousse à essayer de s'accoupler à moi ? Ou est-il sensible, comme les hommes, à une forme d'érotisme seulement lubrique ? Qu'importe, il me désire, il me veut … et il va m'avoir ! Le voilà contre moi …tout en me donnant de grands coups de langue sur la figure, il commence à me grimper un peu maladroitement … je suis à genoux, à sa hauteur, mais le torse encore vertical … Tant bien que mal, j'essaie de voir dans quel état est son sexe, j'essaie de le toucher. Il s'agite beaucoup, mais j'arrive à voir que son bout, gonflé, est déjà sorti de trois ou quatre centimètres de son étui pénien, et son méat commence à baver un fluide tiède sur mon poignet… 

 

La situation me plaît beaucoup: ça doit se passer comme ça quand le propriétaire d'une chienne l'amène au chien d'un autre maître pour la faire couvrir. Ils doivent tenir leurs bêtes en laisse pour qu'elles fassent connaissance, pour qu'elles se reniflent les parties génitales, qu'elles se lèchent mutuellement … Là, ce mec – je ne sais même pas comment il s'appelle -, ce mec me présente à son chien pour qu'il me couvre et me fasse une portée ! J'adore ça ! Mais je sens qu'il est temps: la bête, de plus en plus excitée, s'énerve et me bouscule. Alors je me mets à quatre pattes et je me cambre. Oh, putain ! Faire ça devant un mec et lui offrir mon fourreau, c'est déjà une telle volupté ! Mais faire ça devant un chien ! Me donner à UN ANIMAL ! Offrir ma … ma vulve … à une BÊTE pour qu'elle s'accouple avec moi en me disant que, tous les deux, on va aller jusqu'au bout … qu'elle va me remplir le rectum avec son bulbe érectile, que l'animal va se verrouiller en moi et … et me déverser sa semence au fond du ventre … Oh putain, c'est vertigineux !

 

- Allez, va-y Falco ! Grimpe-le, mon chien ! 

 

Le maître, qui tient toujours la laisse, encourage son chien et l'entraîne vers ma croupe. Il a hâte que son chien me prenne … Maintenant que je suis à quatre pattes, le molosse me monte dessus sans la moindre hésitation, me saisit par les flancs et je sens sa bite frapper mon périnée deux ou trois fois, très rapidement, puis, au coup suivant, me rentrer directement dans l'anus ! Oh, putain, ça y est, il a trouvé ! C'est plus fort que moi, je ne peux pas me retenir:

- Ah oui, c'est bien, le chien ! T'as trouvé … t'es dedans ! Vas-y, le chien, continue, baise-moi ! BAISE-MOI !

 

Dès qu'elle sent que son sexe baigne dans la tiédeur humide de mon anus, la BÊTE entreprend de me pilonner frénétiquement tout en dansant d'une patte arrière sur l'autre … Putain, il est en moi ! Et il ne ressort pas !


Cette BÊTE m'encule ! Cette BÊTE me baise !


Sur moi, l'effet de ce début de saillie est immédiat: comme par un réflexe involontaire, je me cambre davantage et je creuse mes reins pour offrir ma vulve à la pénétration du molosse dans la position optimum … c'est la fameuse lordose, la posture qu'adoptent les femelles qui se font couvrir … nom de dieu, d'où peut bien me venir un tel instinct, moi qui ne suis génétiquement ni animal, ni femelle ? Et lui, le mâle qui est en moi, comment a-t-il trouvé si rapidement l'entrée de ma tanière, simplement en tâtonnant, comme ça, à l'aveugle … pourtant, mon anatomie n'a pas grand chose à voir avec celle d'une femelle Cane Corso ! Avec une chienne de sa race, il y a compatibilité anatomique, alors un instinct inscrit dans les gênes du mâle suffit pour guider son appareil génital droit dans la vulve de la femelle. Mais avec moi ! Comment a-t-il trouvé le centre de sa cible ? Est-ce que c'est son gland, véritable tête chercheuse hypersensible, qui a détecté … je ne sais pas … une tiédeur différente, une moiteur, émanant de mon anus et qui lui a dit « c'est là qu'il faut que tu entres pour décharger ta semence » ? 

 

La BÊTE elle-même a dû ressentir mon changement de posture comme une acceptation de sa saillie, comme un consentement qu'il me féconde … fébrile, il assure davantage la prise de ses pattes sur mes hanches et accentue la fréquence de ses va et vient dans mon fourreau. La nuque cassée, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, je gémis, je feule comme une chatte en chaleurs, manifestant sans pudeur mon plaisir et ma soumission au mâle qui me pilonne … seule, une toute petite partie de ma conscience me rappelle que deux humains sont en train d'assister à notre accouplement bestial … mais c'est sans importance … à cet instant, il n'y a plus que cette BÊTE et moi, qui sommes en train de FORNIQUER … une BÊTE, que je n'avais encore jamais vue il y a moins d'une heure … une BÊTE qui m'a désiré et à qui je me donne … une BÊTE qui est en train de me posséder comme un mâle domine, soumet et possède une femelle !

 

Je sens son désir brûlant qui va et vient en moi, de plus en plus gros, de plus en plus raide. Je sens son souffle haletant sur mon cou, sur mes épaules … jusque sur mes joues … Je sens son odeur de mâle … animale, puissante, virile ... elle m'enivre, elle aiguillonne mon désir, elle excite mon œstrus de femelle … Je me sens … flatté… qu'une telle BÊTE m'ait désiré, qu'elle m'ait voulu et qu'elle soit en train de … de m'honorer. Des frissons de volupté me parcourent en vagues successives. La débauche à laquelle je me suis livré jusqu'ici, même avec tant d'hommes à la fois, n'est rien en regard de la bestialité de cet accouplement ! Je gémis de plaisir ... je gémis de bonheur ...

 

C'est une exclamation « Rhôôô la vache ! », venant de derrière nous, qui me ramène brutalement sur terre. Je tourne la tête. Le maître, l'éleveur, a détaché la laisse du collier et s'est reculé d'un ou deux pas. Accroupi, un genou au sol, appuyé d'une main sur le tapis, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, il regarde son chien me saillir, m'enculer, me baiser ! 

 

- Rhôôô la vache ! Ça y est ! Jean … Jean-Claude … vous avez vu ? Falco, il est … il est entré dans votre ami … et il est en train de … il est en train de le SAILLIR ! Rhôôô, la VACHE !

 

Que ce type examine notre coït de cette manière, ça ne me dérange pas, bien au contraire ! Mais pourquoi il n'a pas pu fermer sa gueule ? Le charme est en grande partie rompu. Je sens le sexe de son chien qui continue de gonfler tout en allant et venant dans mon fourreau. Oh oui, je sens son sexe grossir, s'allonger dans mon rectum. La BÊTE se sent bien dans moi et elle va aller jusqu'au bout … elle va m'inséminer ! D'ailleurs, ça y est, quelque chose de chaud coule déjà sur mon périnée … il a commencé à éjaculer et ses va et vient font ressortir un trop-plein … C'est bien, le chien ! Jouis, éjacule, féconde moi, fais moi des chiots ! Son rythme ralentit … et, m'enserrant toujours puissamment de ses pattes avant – je n'avais même pas remarqué qu'il me laboure l'intérieur des cuisses avec les griffes de ses antérieurs -, il continue d'agiter son bassin, mais avec moins d'ampleur et le ventre bien plaqué à mes fesses …

 

Il est lourd, le bestiau ! Et il a de l'expérience, il sait s'y prendre, il sait faire en sorte de ne pas sortir son sexe de ma vulve … pas besoin de l'aider, de le maintenir pour qu'il me loge tout son sexe dans le cul … et ça grossit encore, ça enfle, dans mon rectum … avec une pulsation … maintenant, c'est le renflement, le bulbe de son sexe qui gonfle en moi en même temps que des jets de semence se répandent dans mon ventre … ce chien … mon amant … cette BÊTE … est en train de copuler avec moi ET DE ME FÉCONDER ! J'ai un instant de vertige, comme une ivresse ... la tête me tourne. Oh, putain, ce que j'aime ça ! Il me remplit le cul à la fois de son knot et de son sperme … en plus du plaisir physique de sentir son sexe brûlant en moi, je ressens l'ivresse de savoir qu'il déverse sa semence dans mon ventre … Je passe une main derrière moi et je lui caresse la patte avec laquelle il me cramponne:

- C'est bien, le chien ! Tu me baises bien ! Vas-y, fais-moi des petits !

 

A quelques mètres de nous, les autres chiens nous regardent. Est-ce qu'ils comprennent ce qui se passe ? Est-ce que, comme des hommes qui regardent un couple baiser, ça les excite, de voir leur pote Falco me niquer ? En tout cas, ça les intéresse: ils pourraient se coucher et dormir … ou se faire une toilette … ou je ne sais pas … mais non, assis pour les uns, debout pour les autres, oreilles dressées, ils nous observent … le Mastiff ... Gordo est debout, et il tire sur sa laisse, comme s'il voulait nous rejoindre … il doit se souvenir que, tout à l'heure, il m'a reniflé la bite et que moi, j'ai masturbé la sienne. 

 

J'ai beau avoir la rondelle à la fois souple et dilatée de m'être tellement défoncé à l'aide d'énormes sextoys, je sens que cette … chose qui grossit en moi me force les muscles en me remplissant … c'est sûr, il ne pourra pas ressortir tout seul … il va se nouer, et nous allons nous verrouiller comme mâle et femelle ... et nous allons rester collés … comme un chien dans une chienne … et ça me plaît ! S'il me restait quelques doutes, quelques craintes, l'autre jour, quand je me suis fait prendre pour la première fois par les chiens de Jean-Claude, c'est terminé … plus la moindre appréhension … je peux profiter pleinement de ce coït ! Cette présence, en moi, énorme, chaude, vivante, fébrile, qui vibre, qui pulse au rythme des éjaculations de ce mâle … je n'arrive pas à la ressentir comme contre-nature, mais au contraire comme quelque chose d'absolument naturel. Pour Falco aussi, c'est naturel: comme il l'avait déjà fait avec des chiennes de sa race, son maître, aujourd'hui, l'a amené à une autre femelle, aussi pour la couvrir … A-t-il été surpris, le chien, par l'aspect de cette femelle ? Sans doute: elle est visiblement d'une autre race, et c'est certainement un peu étrange pour lui, tellement elle est semblable à son maître … mais puisque son maître l'a amené là pour qu'il la couvre et qu'il lui fasse des petits … et bien, il fait ce que son maître attend de lui … il la féconde … Brave bête !

 

Et il est aussi très content, le chien. Il halète au-dessus de moi et il danse toujours d'une patte sur l'autre, mais lentement, précautionneusement … Et soudain, il essaye de passer sa patte antérieure droite au-dessus de moi pour descendre de sur mon dos, et il se met à tourner, soulevant sa patte arrière pour la passer au-dessus de mon cul … il veut se mettre cul à cul, comme il le ferait avec une chienne … Mais je suis un peu grand pour lui, et il n'y arrive pas … J'écarte davantage les genoux pour abaisser le niveau de mes reins … Soudain, j'entends son maître:

- Attention ! Il va sortir !

 

Il a vu son chien s'escrimer, et il se précipite pour l'empêcher de descendre. Je tourne la tête et je l'arrête:

- Non, ça risque pas … on est verrouillés tous les deux ! Laisse-le, il veut se mettre cul contre cul comme avec une chienne …

- Comment ça "vous êtes verrouillés" ! C'est pas possible ! 

- Mais si, c'est possible ! Puisqu'on se tue à te le dire !

- Verrouillés … vous voulez dire … vous voulez dire que son … qu'il est …

- Oui, son bulbe érectile est gonflé dans mon cul … tu sais ce que c'est, son bulbe érectile ? 

- Ben oui, je sais ce que c'est … je l'ai vu, avec les chiennes … mais je croyais pas que ça ferait ça avec … avec un homme …

- Ben, tu vois … tu peux vérifier, tu sais …

 

Quand son maître a saisi son collier, le chien s'est immobilisé, sa patte avant toujours sur mon dos, et il attend placidement. J'ai dit au maître de vérifier que le knot du molosse est bien gonflé dans mon cul … et bien … il vérifie ! Je le vois qui s'approche davantage, qui pose un genou au sol, et qui se penche. Il n'ose pas toucher, quand même. Alors:

- Oh la vache ! Mais alors… vous êtes collés ? Oh, bordel !

- Pas de panique, c'est normal … aide-le, plutôt …

- Comment ça, "c'est normal" ? Mais alors… vous êtes VRAIMENT collés ? ! ? !

- Oui. Et alors !

- Mais … ça va vous … ça va vous faire mal … quand il va sortir …

- Mais non … il sortira seulement quand il aura fini son affaire … comme avec une chienne … aide-le à tourner, je te dis !

 

Il finit par aider son chien. Pendant que la BÊTE finit de se mettre cul contre cul, je sens son énorme bulbe tourner sur lui-même en glissant dans mon rectum et, tout au fond de moi, sa longue bite changer de position en me bousculant les entrailles. Le maître revient à la charge:

- Mais comment ça, "quand il aura fini son affaire"? Vous voulez dire qu'il va … qu'il est en train de vous …

 

Il est vraiment con, ce mec … Il croyait quoi, que son chien allait seulement me pénétrer, ressortir, et bonsoir ?

- Oui, il est en train d'éjaculer, là ! Il me prend pour une chienne et il est en train de me faire une portée ! 

- Oh merde ! Je … je pensais pas …

- Tu croyais quoi ? Qu'il allait seulement me mettre un ou deux coups de bite, et ressortir ? Non, là, il est en train de jouir, ton chien, il éjacule …

- Oh merde ! Je … je savais pas qu'avec un … qu'avec un homme … il allait aussi vous … vous inséminer… comme une chienne …

- Mais pour lui, je SUIS une chienne !

- Oh la vache ! Il est en train de vous … il éjacule … dans votre … et ça vous gêne pas ? 

- Non. Pas plus que si c'était un homme. 

- J'en reviens pas … mais, rester collé, ça vous gêne pas non plus ?

- Quand tu lui fais faire des petits à une chienne, ils ne restent pas collés ?

- Si, bien sûr … mais je pensais pas … avec un homme …

- C'est pareil. Quand il aura fini, il va débander, son bulbe va se dégonfler et il sortira tout seul … 

- Oui, je sais, c'est comme ça avec les chiennes … 

- La différence avec une chienne, c'est qu'elle, sa vulve se contracte spontanément sur le bulbe du mâle pour le garder en elle jusqu'à ce qu'elle soit fécondée. Avec moi, quand son bulbe aura un peu dégonflé, il pourra sortir tout seul …

- Et alors, là, d'après vous … il est en train de … d'éjaculer …

- Puisque je te le dis … il éjacule … depuis le début, il éjacule … dès que sa bite est entrée dans mon cul, il a commencé … et là, ça continue …

- Vous le sentez ? Vous sentez sa … son …

- Son sperme, tu veux dire ?

- Oui, son SPERME …

 

Brusquement, je sens en lui un changement de ton radical. A la façon dont il a prononcé "son SPERME", je perçois une espèce de délectation, d'excitation. Après un instant de panique quand il s'est rendu compte qu'on était collés, le voilà rassuré, et il revient à ce qui avait motivé le scandale qu'il menaçait de faire: le côté sexe, le côté pervers … la zoophilie. Je suis sûr qu'il n'imaginait pas qu'un chien puisse inséminer un homme. C'est une révélation pour lui, et une révélation qui a l'air de beaucoup l'exciter … Son chien, son Falco, son reproducteur est en train de répandre son SPERME dans un homme !

- En fait, je ne le sens pas vraiment … je sens surtout sa bite … comment dire … elle pulse dans mon cul au fur et à mesure qu'il éjacule …

- Ah bon … et … et ça … ça vous dérange vraiment pas ?

- Quoi …

- Qu'il vous … qu'il éjacule son SPERME dans votre … cul …

- Oh non, ça ne me dérange pas … au contraire, j'aime ça.

- Ça vous plaît ? Qu'un chien vous … vous remplisse de SPERME, ça vous plaît … 

- Oui, beaucoup. Plus, même, que quand c'est un homme …

- C'est excitant …

 

Il ne demande pas, il constate. Après cette leçon de choses, le voilà rassuré. Et même:

- C'est bien, mon Falco ! T'es un bon chien !

 

Il félicite la bête ! Et elle doit être sensible au compliment, parce que je sens sa queue balayer trois ou quatre fois mes fesses et mes reins.

 

- Dites … c'est un bon chien, hein … il vous baise bien, hein, mon Falco … franchement, j'y croyais pas … mais il vous … il vous insémine vraiment … comme une chienne … collés, verrouillés comme avec une femelle !

 

En fait, il ne s'adresse pas à moi … il se fait seulement des réflexions à haute voix. Je sens quelque chose frôler ma hanche. Je tourne encore la tête, et … oh merde, il vient de m'enfourcher ! Une jambe de chaque côté, il est au-dessus de moi, au niveau de ma taille … il soulève la queue de son molosse … et il regarde ! Il contemple notre … connexion, notre coït ! A mon avis, il doit faire la même chose quand son chien est en train de féconder une femelle, et qu'ils sont cul à cul, enfourcher l'un ou l'autre pour regarder ! Et là, ça doit lui paraître tout aussi naturel de faire ça avec moi: son Falco est verrouillé dans une femelle, et il regarde comment ça fait ! Il ne manifeste pas plus d'égards envers moi qu'il ne doit en manifester envers une chienne. Après la surprise, au fond, ça ne me dérange pas … pour lui, à cet instant, je ne suis que la femelle du jour de son Falco. D'ailleurs, satisfait, il lâche la queue de son chien, et:

- Ah la la, c'est BIEN, mon chien ! T'es content, hein … tu lui fais des petits, là, hein … T'es un bon géniteur … t'es mon champion … 

 

Comme si son "champion" était VRAIMENT en train de me faire des petits ! Penché au-dessus de son chien, il lui frictionne le poitrail, et la bête, qui sent que son maître le félicite, remue encore la queue, halète de plus belle et trépigne d'une patte sur l'autre, faisant bouger son knot dans mon rectum … c'est très agréable ! J'entends l'éleveur embrasser son chien, et il reprend!

- Et lui aussi, là, avec ta bite dans son cul, il est content que tu l'encules, hein, mon chien … tu le baises bien, alors il est content … pas vrai que vous êtes content ?

 

Apparemment, la dernière remarque s'adressait à moi. Comme je ne réponds pas, il insiste:

- Ça se voit, que vous êtes content et que ça vous plaît … remarquez, ça m'étonne pas. Vous savez … une bête comme Falco … vous vous rendez pas compte, hein, mais une bête comme Falco … vous savez combien certains maîtres sont prêts à payer, pour une saille de mon Falco ? 

 

Putain, j'y crois pas ! Il va me dire ce que coûte un coup de bite de son bestiau ! Il continue:

- Pas pour eux, hein, la saillie … pour leur chienne … et ben, une fois, on m'a proposé 900 €uros ! Faut dire, c'est un champion, mon Falco ! Il a gagné des concours ! Moi, en général, je fais payer la saillie 700 ou 800 €uros, pour une femelle à pedigree … mais une fois, un type m'a proposé 900 €uros ! Et ben, là, dites vous que ce que mon Falco, il vous fait, ça vaut 900 €uros !

- Tu vas me faire payer ?

- Non, non, bien sûr …  c'est pour dire !

 

Il se marre. Si son maître le dit, c'est sûrement un bon géniteur, le Falco, et un champion, mais pour moi, c'est surtout un bon amant ! Me faire baiser par cette bête, c'est beaucoup mieux que de me faire baiser par un mec ! La taille de son sexe est hors concours. Aucun homme ne m'a jamais rempli comme ça ! Ah si … Sam le tatoué et le gros Thierry, quand ils m'ont enculé tous les deux en même temps … Et il est endurant, le molosse ! Bon, je n'y mettrais pas 900 €uros, mais je dois reconnaître que son chien, c'est un champion pour la baise,  et les chiennes qu'il couvre ont bien de la chance. Mais … moi aussi, j'ai de la chance, parce que là, c'est moi qu'il est en train de féconder, le champion !

 

Satisfait de son examen gynécologique, content de son champion, le maître de Falco me ré-enjambe et je l'entends qui s'éloigne et retourne vers Jean-Claude. J'ai posé mes avant bras à plat sur le tapis et je regarde derrière moi. Ils sont en train de discuter à voix basses en me regardant. Visiblement, c'est de moi qu'ils parlent. Je croise mes avant bras sur le tapis et je pose mon front dessus. Allez-y, parlez ! Moi, ça me plaît beaucoup de me faire saillir devant vous, collé cul contre cul avec ce molosse qui injecte sa semence dans mon ventre … Je sens cette grosse boule, chaude, vivante, frémissante, qui remplit mon rectum … et j'ai l'impression que ce qui effleure ma raie, juste au-dessus de ma rondelle … c'est la paire de couilles du chien … ses belles couilles poilues qui sont en train d'envoyer au fond de mon ventre des millions de spermatozoïdes.

 

Putain, je me suis encore fait couvrir par un ANIMAL ! Oui, là, je suis accouplé avec un chien … un chien qui me prend pour une chienne … un chien qui me prend COMME une chienne … et qui m'insémine … Ce que je ressens par dessus tout, c'est une espèce de … plénitude, un mélange de volupté sexuelle et de satisfaction cérébrale … de fierté, même: je ne suis plus seulement une … une lope qui se fait passer dessus par tous les hommes qui en ont envie … je suis … un jouet … un substitut sexuel … un substitut sexuel inter-espèces … un objet sexuel universel … une sorte de femelle universelle, apte à s'accoupler à des mâles de n'importe quelle espèce, pourvu qu'ils soient dotés d'organes génitaux tant soit peu compatibles avec ma propre anatomie …

 

Oh oui, je me ferai saillir par d'autres chiens ! Par les chiens de ce type, d'abord, mais ce qu'il faudrait, c'est que ça fasse comme pour les mecs … que ma réputation de lope qui se fait saillir par des molosses, de chienne bonne à baiser se répande … que des éleveurs, que des propriétaires de chiens se refilent mes coordonnées … qu'ils m'amènent leurs mâles pour me couvrir … Et j'ai l'impression qu'avec ce tordu, là, ça pourrait bien le faire … tout à l'heure, il m'a dit que si ça m'intéresse, il connaît des éleveurs d'autres races de molosses … il a parlé de Pittbull … de chiens brésiliens … et … ah oui, et de dogues argentins, aussi … je ne sais pas à quoi ça ressemble …

 

Ça discute fermement, derrière moi ! Le ton monte, on dirait, même si Jean-Claude et l'éleveur font toujours en sorte que je n'entende pas ce qu'ils disent. Du coin de l'œil, je vois le Jean-Claude s'agiter en secouant la tête de droite à gauche … il ne veut pas quelque chose … mais quoi … et l'autre l'a pris par le coude et semble essayer de le convaincre … Et d'un seul coup, Jean-Claude se dégage et lève les bras au ciel dans un geste fataliste. L'autre se retourne vers moi, hésite, puis il se décide et s'approche, Jean-Claude sur les talons:

- Dites, euh … ça … ça vous dérangerait vraiment, si je…

 

Jean-Claude, s'adressant à moi, lui coupe la parole:

- Hé, je lui ai dit "même pas en rêve", hein …

- Laissez-moi finir, Jean-Claude … on verra bien …

- Ouais, ben c'est sûr, ça va être NON !

- Ben si c'est non, ce sera non … oui, je me demandais … ça vous dérangerait vraiment, si je prenais quelques photos ? On vous reconnaîtrait pas, je … je prendrais que … que votre cul … avec mon Falco qui vous … qui vous encule … on verrait pas votre tête … 

 

Ah, d'accord ! C'était ça, leur discussion ? Le laisser me prendre en photo ? Pour qu'après, il s'en serve contre moi pour zoophilie ? Cela dit .. si on voit pas ma tête, si on ne peut pas me reconnaître … et puis, ce serait avec SON chien, alors, il risquerait autant que moi … à condition qu'on puisse prouver qu'il était d'accord. Il faudrait que je demande à Jean-Claude si il a réussi à le filmer, pendant qu'il incitait son chien à me grimper … Je lève les yeux sur l'éleveur:

- Ecoute, euh … au fait, comment tu t'appelles ?

- Moi ? Pierre-Alain … mais on m'appelle Pierrot …

- Ecoute, Pierrot, j'ai deux mots à dire à Jean-Claude … alors, si tu pouvais t'éloigner un peu …

- M'éloigner ?

- Oui … retourne vers la porte de l'écurie, par exemple … je dis deux mots à Jean-Claude, et après je te dis si je suis d'accord …

- Ah bon … OK.

 

Je le sens jubiler. Il s'éloigne … son chien s'agite, derrière moi … je me demande si il n'aurait pas fini. Jean-Claude, qui se penche vers moi en surveillant le type du coin de l'œil, me souffle:

- Tu vas pas le laisser … je lui ai dit que tu serais pas d'accord …

- Attends, attends, t'emballes pas … tu as pu le filmer, avec ton smartphone ?

- Ben, oui … 

- A quel moment ?

- Comment ça ?

- Depuis le début ? Ou seulement quand il s'est mis au-dessus de moi et de son chien ? 

- Ah ouais … non, depuis le début …

- On le voit m'amener son chien pour qu'il me baise ?

- Ben oui …

- Montre.

 

Il jette encore un coup d'œil au type, se colle davantage contre moi pour masquer ce que l'on fait, fouille dans la poche de poitrine de sa chemise, en sort son appareil et l'allume. Il cherche … et:

- Tiens, regarde, c'est là …

 

Il place l'appareil sous mes yeux. En effet, c'est une vidéo, et on voit le type, Pierrot, qui tient son chien en laisse et qui l'accompagne vers moi, qui suis à genoux, à poil, au milieu du tapis … le chien qui me tourne autour et essaye de me grimper … je me mets à quatre pattes … et le type … on voit le type entraîner son chien vers mon cul … on le voit nettement l'inciter à me grimper ! Oh, putain, cette vidéo ! Me voir ! Me voir me donner à ce molosse ! Et voir le molosse me monter dessus et … et chercher ma vulve avec sa bite ! Jean-Claude arrête brusquement la vidéo:

- Alors ? Qu'est-ce que tu …

 

Ce que je viens de regarder, c'est ... bouleversant. Jean-Claude insiste:

- Alors ? Tu voulais voir quoi ?

- Ben, c'est bon … lui, là, on le voit nettement m'amener son chien et l'inciter à me baiser …

- Ben ouais.

- Alors, on le tient. Il ne peut plus rien contre nous …

- Ah, c'est ça, que tu voulais savoir ?

- Oui.

- Je l'ai même filmé quand il t'accompagne vers ses autres chiens … tu veux voir ?

- Non. Plus tard. Appelle-le.

 

Il se redresse et se tourne vers ce ... Pierrot:

- Hé ! Venez.

 

Quand son maître approche, son chien trépigne, remue la queue et je le sens qui tire sur son bulbe … Oh la vache ! Le morceau ! Mon anus résiste une seconde ou deux … et d'un seul coup, le chien s'extrait de mon cul dans un bruit de succion … c'est un séisme dans mes entrailles … je sens mon rectum se vider … comme aspiré ! Et aussitôt, quelque chose de chaud … très chaud … s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles … la semence du molosse ! Je regarde derrière moi … le molosse s'est plus ou moins assis ventre en l'air sur le tapis, et, appuyé d'une patte avant, ses pattes arrières écartées, il est en train de se lécher le sexe. Je me retourne complètement et, à mon tour, je m'assois. Les deux autres sont scotchés, fascinés, et nous regardent alternativement, le chien et moi. A leurs têtes, je devine ce qu'ils pensent : « Il avait ÇA dans le cul ? Comment c'est possible ? ». Le maître s'accroupit à côté de son chien et lui caresse la tête:

- Ça va, mon chien ?

 

Le chien se tourne et se couche sur le dos en regardant son maître avec une expression … dans son regard, il y a à la fois de l'amour pour son maître, et comme une attente. Le maître l'a senti, lui aussi. Il le caresse:

- C'est bien, mon Falco … tu l'as bien baisé … t'es un champion.

 

Alors, à mon tour, je m'affale sur le tapis, appuyé sur un coude et, sans aucune pudeur, j'écarte les cuisses. De la main, je palpe ma rondelle pour vérifier dans quel état elle est. Ça va. Il ne m'a pas arraché. Ce n'est même pas vraiment douloureux … très sensible, mais pas douloureux. Une fois encore, je me félicite de m'être si bien préparé le sphincter, avec mes énormes sextoys. Jean-Claude et Pierrot me regardent, vautré, cuisses écartées, impudique et lubrique, et maintenant, ce que je lis dans leurs yeux, c'est « Quelle salope ! ». Sortant ma main, couverte de sperme, de mon entrejambe, je la leur montre:

- Il m'a vraiment mis la dose, ton chien ! J'en ai partout, regardez !

 

Je me sens tellement … heureux, de m'être fait sauter et inséminer par cette BÊTE … et fier que ça se soit passé sous leurs yeux, à ces deux mecs ! Est-ce qu'au moins ils se rendent compte ? Ce molosse M'A SAILLI ET FÉCONDÉ, bordel ! Le maître sourit et nous regarde alternativement, Jean-Claude et moi, attendant visiblement un compliment du fermier pour la performance de son champion. Mais le fermier ne prête aucune attention à lui. Il me regarde, moi, avec une expression dans les yeux tellement … tellement lubrique ! Putain, ce regard ! J'ai l'impression … non, j'ai la conviction qu'il a une furieuse envie de me prendre à son tour ... là, au milieu de ce tapis … comme il avait fait l'autre fois, après que ses deux danois m'aient baisé … Me voir me faire fourrer par un chien l'excite ! Sa masse dressée au-dessus de moi, il me détaille sans vergogne … particulièrement là, entre mes cuisses, ma "vulve" souillée de sperme, mais surtout accessible … il doit bander et il doit avoir un furieux besoin de tirer un coup … il porte un pantalon un peu large et je ne vois pas si il bande … dommage ! Oh oui, ça me plairait beaucoup qu'il me saute à son tour, là, sur ce tapis, avant que je continue avec les chiens de l'autre con … un gangbang homme-chiens ? Pourquoi pas ! Me faire troncher par tous les mâles présents … hommes et bêtes ! Alors, toujours vautré sur le dos, cuisses ouvertes, je recommence à me fouiller ostensiblement la rondelle avec les doigts, en lui lançant le regard le plus salace et provoquant que je peux… « T'as envie de me baiser ? Viens ! ». Je le vois déglutir … Il a reçu le message, j'en suis sûr. Allez, Jean-Claude, ôte ton froc et baise-moi ! Mais tel que je le connais, je sais que la présence de l'éleveur le retient … d'ailleurs, l'autre aussi, le Pierrot, il pourrait me baiser … Mais apparemment l'éleveur a d'autres préoccupations, parce qu'il toussote, et:

- Alors, euh … vous … vous avez réfléchi … pour des photos ?

 

Je soupire, je me redresse et je m'assois:

- Tu perds pas le nord, toi …

 

Il hausse les épaules, un sourire con sur la tronche:

- Ben … non. Alors ? C'est oui ? C'est non ?

 

Dans le fond, maintenant que je sais qu'on le tient et qu'il ne peut rien contre nous, ça me plaît plutôt qu'il me prenne en photos. Ça toujours un côté excitant. Alors:

- C'est oui. 

 

Aaaah, le voilà soulagé ! Il jubile. Avec un large sourire, il s'empresse:

- Bon, mais alors … comme Falco a fini … vous allez …vous allez devoir le faire avec un autre ?

- Ben oui.

- Le… lequel ?

 

Il est surexcité à l'idée que je recommence avec un autre.

- Je sais pas …

- Bon, bon … réfléchissez … en attendant, je vais chercher mon smartphone …

 

Il s'apprête à faire demi-tour. Je l'arrête:

- STOOOOOP !!! Attends !

 

Je me lève et je me plante devant lui. Je sens quelque chose de chaud s'écouler sur le haut de mes cuisses … la liqueur de Falco ! Ma proximité, totalement à poil, paraît beaucoup moins le gêner que tout à l'heure. Je poursuis:

- On est bien d'accord … tu ne prends pas ma tronche en photos …

- Non, non … je la prends pas …

- Et tu devras nous laisser vérifier toutes tes photos, Jean-Claude et moi …

- Ah … beeeen … oui … d'accord …

- Et il faut que tu saches … même avec les photos que tu vas faire, tu nous tiendras pas …

 

Il écarquille les yeux:

- Ben … non … j'ai pas … j'ai pas l'intention de … mais, pourquoi vous me dites ça ?

 

Je me tourne vers Jean-Claude:

- Montre lui !

- Hein ?

- Montre lui tes vidéos …

- Mais …

- Ben si, qu'il voie pourquoi il ne pourra rien contre nous.

 

Je le vois, ça fait tilt dans la tête du fermier:

- Bon, comme tu veux.

 

Il sort son smartphone, le manipule et le montre l'éleveur. Je ne vois pas l'écran, mais je reconnais ma voix et celle de Pierrot qui sortent de l'appareil. Les yeux ronds, l'éleveur bafouille:

- Vous .. vous nous avez … filmé ?

- Comme vous voyez. Hein, là, vous faites le tour de vos chiens avec Marin … hein, on voit bien qu'il est à poil et que vous lui présentez vos chiens … on n'entend pas bien, j'étais un peu trop loin, mais vous étiez en train de lui vanter leurs grosses bites, à vos chiens … et là …

 

Il manipule encore son smartphone et dirige de nouveau l'écran vers le type:

- … et là, on vous voit amener votre chien à Marin et l'encourager à le sauter …

- Vous … vous m'avez filmé !

- Oui. Attendez … regardez …

 

Nouvelle manipulation du smartphone:

- … là, on vous voit agenouillé derrière eux pour regarder par en-dessous votre chien en train de l'enculer … on vous reconnaît bien, non ?

 

Le mec en reste baba. Il fait un effort sur lui-même et:

- Mais, vous savez, j'avais pas l'intention de vous faire des ennuis …

- Ah bon ? ! ? ! Mais vous m'avez quand même bien fait chier, hein … vous m'avez menacé ..

- C'était pour … c'était parce que je voulais … je voulais voir ÇA …

 

Il me désigne de la main. C'est moi "ÇA"? Non, il veut parler de ce qui vient de se passer, du spectacle d'un chien en train de me baiser. Moi, ça ne m'étonne pas qu'il ait fait chier Jean-Claude et qu'il l'ait menacé pour voir "ÇA". J'interviens:

- Bon. N'épiloguons pas. Tu saisis, Pierrot ? Ces vidéos, c'est notre assurance, à Jean-Claude et à moi. Tu nous emmerdes, on les montre et tu plonges avec nous pour complicité de zoophilie. Toi qui prétends connaître la loi, je pense que tu es au courant … dans ce cas-là, tu serais interdit à vie de posséder des chiens … Ça serait gênant, pour un éleveur. Bon, alors, si t'es toujours décidé, tu vas chercher ton téléphone … je vais choisir un autre chien.

- OK, OK ! Mais ... y'a pas de souci !

 

Il tourne les talons et se précipite. Il est pressé, on dirait. Jean-Claude remet son smartphone dans sa poche et me regarde en coin, un peu gêné. Il doit se douter que j'ai deviné ses pensées, il y a un instant.

- T'as envie de me baiser, Jean-Claude …

 

Il hésite, plante ses yeux dans les miens:

- Oui. 

Ah tiens ! Je ne l'avais encore jamais vu aussi spontané.

- Tu veux me baiser, avant un autre chien ?

- Ça va pas, non ?

- Ben quoi ...

- Pas devant l'autre con.

- Comme tu veux. Ça t'excite, de voir un chien me niquer ?

- Oui. T'es vraiment une grosse salope … enfin, excuse-moi, je … je veux dire une BELLE salope … et tu me fais bander.

- Non, mais tu sais, "grosse salope", ça me va aussi. Tu me baiseras, tout à l'heure ?

- Je sais pas.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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