Mardi 2 mai 2017 2 02 /05 /Mai /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Putain, je viens encore de baiser Yolaine ! C'est en rentrant chez moi que je réalise. Je viens même de la baiser DEUX fois et de jouir DEUX fois ! Et c'était vraiment bien … en particulier la deuxième fois parce que, sous mes yeux, et avec ma queue bien logée au fond de sa chatte, elle a eu un orgasme terrible … puissant, violent ! En fait, aujourd'hui, elle, elle a même joui trois fois: une première fois en pleine rue, en rentrant après notre petite randonnée, et deux fois chez elle, sur la table de sa salle à manger. Ce qui l'a excitée à ce point, ce n'est pas seulement de se faire baiser, c'est de fantasmer qu'elle se fait baiser par plusieurs types en même temps, et surtout, de fantasmer qu'ils la remplissent de sperme ! C'est sidérant de voir à quel point elle a basculé du côté le plus hard du sexe ! Je suis sûr qu'avant longtemps, elle va me demander de lui trouver quatre ou cinq types pour lui passer dessus à la chaîne.

 

Bon, ce qu'il y a, c'est que, tant qu'elle est excitée, elle est charmante et peut même se laisser aller à des gestes de tendresse, mais dès qu'elle est soulagée, elle ne peut pas s'empêcher de redevenir mégère. Là, elle vient pratiquement de me virer de chez elle parce que je n'ai pas voulu qu'elle me taille une pipe. Ce n'est pas grave, j'étais pressé de rentrer pour voir si ce … Lionel m'a envoyé un mail de confirmation, comme il l'a dit. Alors, dès mon retour à la maison, je mets mon ordinateur en marche. Je me sens vraiment excité … mentalement, parce que du côté de mon entrejambe, après avoir tiré deux coups - et le second il y a moins de dix minutes -, c'est calme plat. Mais mentalement, j'anticipe ce qui va m'arriver dans quatre jours. Des inconnus, ENCORE des inconnus, vont se servir de moi comme … comme d'un objet, comme d'un jouet sexuel, comme d'un réceptacle à bites et à foutre, et ils vont me fourrer, ils vont se faire sucer, et ils vont m'injecter leur semence … Et comme derrière la séance qui se profile, il y a le Jacky, ça va être le fameux essai de tapin qu'il voulait me faire faire. Ce qui me surprend, c'est qu'il ne m'ait pas appelé lui-même. 

 

Putain, ça devient dingue, quand même ! Le premier mec qui s'est servi de mon cul pour se soulager, c'est ce paysan, Laurent, qui m'avait surpris dans un de ses prés, en train de faire une séance photos en tenue de salope. Bon, ce jour là, je l'avais juste laissé se frotter la queue entre mes fesses et jouir sur moi, mais c'était seulement il y a quelques mois … je ne sais plus trop … ça devait être en mai ou juin dernier … alors six mois au maximum ! Et depuis … putain, ça n'a pas arrêté ! En six mois, je me suis fait baiser par une cinquantaine de mecs … euh … une cinquantaine de mecs ET deux chiens ! Enfin, il y a eu des pauses, quand même … au début. Mais ça s'est vraiment accéléré en septembre, il me semble. Et voilà où j'en suis aujourd'hui: ma réputation de "viande à bites" se répand et les types qui m'ont essayé en font profiter leurs relations. Philippe a été le premier … voilà un mec que je ne connais pas, qui me drague pendant une balade en vélo, qui m'exhibe sa queue, à qui je cède immédiatement en lui taillant une pipe, et qui, le jour même de notre rencontre, me propose un gangbang … mon premier gangbang ! Comme si, au fond de moi, m'être fait passer dessus une semaine auparavant par huit blacks dans un hôtel m'avait préparé à assouvir le fantasme d'un gangbang géant dès que l'occasion se présenterait. Ce qui est extraordinaire, c'est que cette occasion se soit présentée si rapidement. Le suivant à me présenter à ses relations, c'est Denis, un des participants à ce gangbang, qui, non seulement me prête, chez lui, à trois de ses potes, mais qui m'emmène ensuite dans un bar pour m'offrir à six inconnus … Ensuite, c'est Jacky, qui débarque chez moi avec quatre copains … et maintenant, ce Lionel qui me fait venir dans son hôtel !

 

Et je ne ressens pas la moindre culpabilité, pas la moindre honte. Au contraire. Oh, évidemment, je sais que beaucoup me considéreraient immoral, débauché, scandaleux … dissolu … pervers … tout ce qu'on veut ... mais moi, j'en éprouve une sorte de fierté: si des mecs me recommandent et me prêtent à d'autres mecs, c'est que je suis un bon coup … Voilà, je suis la salope, la traînée dans laquelle les mecs prennent du plaisir, et à qui on fait appel quand il y a des couilles à vider ! Je suis à l'envie de tirer un coup ce que l'urinoir est à l'envie de pisser: le réceptacle devant lequel un mec peut ouvrir sa braguette, sortir sa queue et dans lequel il peut se soulager ! Pas plus compliqué que ça ! Pas plus besoin de me séduire que de séduire un urinoir avant de pisser. Pas besoin de me payer un restau, ni de m'offrir une montre, des fleurs ou des chocolats … et une fois soulagé, un type peut remballer sa queue dans son slip, refermer sa braguette et s'en aller. Et des couilles à vider, il y en a ! Toutes ces queues en érection qui me sont rentrées dedans, et qui ont déversé en moi leur dose de foutre ! J'étais loin d'imaginer qu'il y avait tant de mecs prêts à enculer un autre mec ! Et pas que des mecs, puisque j'ai même soulagé les deux dogues allemands de Jean-Claude ! Ah putain oui, je vais encore en vider, des couilles, je vais encore en faire cracher, du sperme ! Toutes ces bites, que je ne connais pas encore, et qui vont aussi entrer en moi et répandre leur semence au fond de mon cul ou dans ma gorge ! Putain, en quelques mois, je suis devenu une véritable fille de joie, une paillasse, une traînée, une roulure, une viande à bites, un trou à foutre, le cul toujours prêt à accueillir une queue, à se faire bourrer, à se faire remplir … c'est vertigineux, et j'adore ça !

 

Le mail de ce Lionel est déjà là. Il a dû l'expédier en milieu d'après-midi, tout de suite après son coup de fil:

« Bonjour, je vous confirme notre conversation téléphonique de cet après-midi.

La "réunion" dont nous avons parlé se tiendra dimanche, dans la matinée, dans les locaux même de l'hôtel, qui lui sera entièrement et exclusivement réservé.

J'ai commencé à avertir par téléphone mes "correspondants" habituels, et j'ai déjà reçu confirmation de la présence de plusieurs d'entre eux, d'ores et déjà très impatients de participer. 

J'ai bon espoir d'en faire venir d'autres.

Vous voudrez bien ne pas oublier le "matériel" dont nous avons parlé.

Cordialement.

Lionel »

 

En pièce jointe, des photos de l'hôtel. Je l'avais déjà vu pour être passé devant, mais je n'avais pas remarqué qu'il était si grand. Il y a trois niveaux, un rez-de-chaussée et deux étages avec des galeries de bois qui courent sur les façades devant les chambres.

 

Je m'empresse de lui répondre sur le même ton:

«Bonjour,

Je vous confirme ma venue à la réunion de dimanche.

Je vous confirme que j'apporterai le matériel nécessaire.

Cordialement.

Marin»

 

Le soir, je me tripote en rêvassant à toutes ces bites qui vont encore entrer en moi et y répandre leurs charges de semence. Ces quatre jours s'écoulent vraiment très lentement. Je n'ai plus de nouvelles de Yolaine. Je pense en permanence à la nouvelle partie de cul qui m'attend, flatté que les mecs qui m'ont baisé parlent de moi, racontent ce qu'ils m'ont fait, vantent ma fringale de queues, ma docilité, ma soumission, mon goût pour le foutre. J'aimerais bien être une petite souris pour les entendre parler de moi. Les trois jours suivants, je me masturbe en anticipant ces nouvelles saillies.

 

Dimanche 19 novembre. 9 heures. 

Enfin, nous y sommes. Hier, j'ai préparé mon baise-en-ville de salope et je me suis pomponné en me rasant barbe, pubis, bite, couilles, périnée et anus. Ce matin, un ultime petit coup de rasoir sous la douche, ainsi que trois ou quatre lavements. J'ai à peine mangé hier pour limiter autant que possible les désagréments intestinaux. Je me mets en route. La fébrilité monte en moi au fur et à mesure que j'approche de N. Dans la zone commerciale où se trouve l'hôtel, il y a déjà pas mal de monde et de circulation. Les gens vont faire leurs courses au supermarché voisin, ouvert le dimanche matin. Il y a aussi un de ces bazars à prix bas qui reste ouvert le dimanche toute la journée. A cette heure de la matinée, seuls la pizzeria et le restaurant de viande sont encore fermés. 

 

Quand je me gare sur le parking de l'hôtel, il y a déjà (encore ?) quatre voitures. J'ai le cœur qui bat, mais pas à cause de l'appréhension. M'apprêter à me faire encore tripoter et baiser par une bande d'inconnus m'excite, et je me demande seulement combien ils seront. J'attrape mon baise-en-ville sur le siège arrière et je me présente à la porte de l'hôtel. Fermée ! Je colle mon nez à la paroi vitrée. Un homme est assis derrière le comptoir de la réception. Il a la tête baissée et je ne vois que son crâne … cheveux bruns et courts. Je toque à la porte. Il lève le nez, me découvre et d'un hochement de tête interrogatif, il me demande ce que je veux. J'approche mon visage de la porte vitrée je lui lance:

- Je suis Marin ! C'est moi qui viens me faire baiser !

 

Il sourit, se lève et vient débloquer la porte. Il est grand, trente cinq, quarante ans, pas mal foutu.

 

A mon entrée, il me sourit et me tend la main:

- Marin ?

 

Il ne m'avait pas reconnu. Au téléphone, il m'avait dit qu'il avait vu une de mes vidéos, mais j'y avais sans doute le visage flouté. Je lui serre la main:

- Oui, bonjour …

- Lionel. Bonjour. Ça va ? Tu as trouvé facilement ?

- Oui, je connaissais.

- Bon, viens dans mon bureau.

 

Je le suis. Il est pas mal, physiquement. Je réalise que j'éprouve déjà quelque chose d'étrange pour ce type … une sorte de … gratitude, d'attachement, de reconnaissance. Voilà un mec que je ne connais pas et qui a organisé pour moi un nouveau meeting de bites ! Enfin, je sais bien que, de son point de vue, il ne fait pas ça pour moi, pour mon plaisir, mais quand même … de mon point de vue à moi, c'est bel et bien un pourvoyeur de bites … et pour ça, je … en fait, c'est même un DEALER de bites ! Et ce que j'éprouve, ça doit être ce que ressent un junky pour son dealer juste avant qu'il lui fourgue sa dose. Oui, c'est ça ! Dans quelques minutes, grâce à lui, je vais encore me prendre des shoots de sperme ! Des mâles, leur queue enfoncée en moi, vont encore m'imprégner les muqueuses de leur semence ! Oh putain, l'instant où je sens un type éjaculer dans ma viande ! On va commencer quand ? Pour le moment, ce que je ressens, c'est des décharges d'adrénaline. Etre comme ça, totalement dans l'expectative, ne pas savoir combien de types vont être là … d'ailleurs, ils sont peut-être déjà là … quatre voitures, devant l'hôtel … A quoi ils vont ressembler, ces mecs ? Comment ça va se passer ? Où ils vont me baiser, dans une chambre ou dans ce hall … ou dans ce salon, que j'aperçois juste à côté ? Et je vais me prendre mon premier coup de queue dans combien de temps ? 

 

Son bureau se trouve juste derrière la réception.

- Assieds-toi … Bon, parle-moi de ce … gang bang …

- Qu'est-ce que tu veux savoir ?

- Ben, tout … comment t'es venue l'idée … si tu avais déjà fait ça avant … pourquoi tu fais ça … tout …

- Déjà, c'était mon premier gangbang. Et l'idée, c'est pas moi qui l'ai eue, même si j'en rêvais depuis un moment. C'est Philippe, un type rencontré par hasard quelques jours auparavant, qui me l'a proposé … 

- Ah oui? Tu ne connaissais pas le type qui t'a proposé ce gangbang ?

- Non.

- Tu le rencontres par hasard, et il te propose un gangbang … comme ça …

 

Il claque des doigts, les yeux écarquillés en hochant de la tête, visiblement sceptique, et il enchaîne:

- ... et tu acceptes … 

- Ah mais … il ne me l'a proposé tout de suite quand on s'est rencontrés, genre « Bonjour, tu m'a l'air d'être une sacrée salope, alors je peux t'organiser un gangbang géant, si tu veux » ! Non, avant, il m'avait … disons … chauffé  en me montrant sa bite, et on avait … enfin, comme j'ai du mal à résister à la vue d'une bite, j'avais fini par le sucer. Et c'est seulement après que l'idée lui est venue …

- Ah, OK. Comme ça, je comprends mieux. Donc, il avait tout de suite vu que tu n'étais pas farouche …

- Ben oui, c'est exactement ça. Ce jour là, je me baladais en vélo sans intention d'allumer un mec, mais je dois reconnaître que je portais un petit short moulant et un peu échancré, et quand il m'a dépassé à vélo, au bord du canal, il a tout de suite repéré mon cul. Qu'est-ce qui fait qu'il a alors eu l'idée de déballer sa queue et de me la montrer ? Je ne sais pas. Pourtant, quand je suis en mec, je n'ai pas l'air particulièrement efféminé, et je ne fais pas spécialement … lopette …

- Je te confirme. Tel que tu es aujourd'hui, on ne peut pas imaginer que tu sois aussi salope que ce que Jacky m'a dit … et que ce qu'on voit dans ta vidéo … Oui, alors ?

- Alors ? Ben, je ne sais pas quoi, mais quelque chose lui a fait penser que je n'étais pas farouche, comme tu dis, et il a sorti sa queue … A partir de là, j'étais cuit J'ai tout de suite su comment ça allait finir, et les choses se sont enchaînées: on s'est arrêtés sur un banc. Là, je l'ai branlé – même devant un couple de randonneurs, tellement j'étais excité -, j'ai commencé à le sucer et on est allés plus loin pour que je le finisse. Là, on s'est fait surprendre par un fermier, qui, au passage s'est soulagé sur moi pendant que je suçais Philippe. Et comme j'avais raconté à Philippe que la semaine précédente, je m'étais fait prendre de force par plusieurs mecs et que ça m'avait plu …

- Tu t'étais fait prendre de force par plusieurs mecs ?

- Oui … déjà dans un hôtel, d'ailleurs. Six mecs, au départ ! Des blacks. Enfin, au début, ils m'ont pris de force, les six, mais après, j'ai aimé ça, et je leur ai demandé d'aller chercher des potes à eux. Deux autres sont venus. Huit me sont passés dessus, en tout. Bref, ça doit être de lui avoir raconté ça qui a donné l'idée à Philippe d'organiser ce … gangbang … 

- OK. Comme ça, je comprends. Et donc, comme ça, tu acceptes de te faire … monter par n'importe quel mec qui a envie de te tirer …

- Ben oui … n'importe quel mec. Avant de franchir le pas, avant de commencer à me faire baiser, je ne fantasmais que sur les mecs bien équipés côté sexe, et beaux, bien foutus … mais, maintenant que j'ai goûté le plaisir de me faire baiser, je m'en fous … n'importe quel mec, du moment qu'il a une bite en état de marche entre les jambes …

 

Il hausse les sourcils, impressionné. Il enchaîne:

- Bien bien bien … et … dis-moi, tu te fais payer ?

- Si je me fais payer ? Ah ben, non !

 

Me faire payer ! La même préoccupation que Jacky.  Il a un drôle de petit sourire:

- Bon, c'est ce que Jacky m'avait dit, mais comme là, c'est différent, que tu me connais pas, je me demandais …

- Ah oui, au fait, pourquoi c'est pas Jacky qui m'a appelé pour … aujourd'hui ?

- Il ne pouvait pas.

- Il va venir ?

- Non.

- Comment ça se fait ?

 

Il me regarde intensément, réfléchit, puis semble se décider:

- Il est en taule, en ce moment.

- En taule ? ! ? !

- Oui. En taule … en prison.

- Mais … pourquoi ?

 

Il hésite encore une seconde, puis:

- Des histoires avec des filles … C'est un mac, t'es au courant ?

- Ben … oui. 

- Ben voilà, c'est pour ça … entre autres … Il a été arrêté au début du mois.

 

Alors, juste après être venu me baiser chez moi !

- Ah bon ? Mais …

- Il avait déjà été en taule pour ça. C'est un récidiviste, alors cette fois, il va sans doute y rester un moment. Il m'avait parlé de toi quelques jours après ta séance chez son copain Jeannot … et il avait prévu de t'organiser lui-même la séance d'aujourd'hui, ici … Il t'a proposé de travailler pour lui, non ?

- Ou… oui.

- Ben voilà, il voulait que tu fasses un essai. Il t'en avait parlé ?

- Oui.

- Comme il s'est retrouvé en taule, il m'a chargé de l'organiser, ton essai …

 

Devant mon air ébahi, il précise:

- … il me l'a demandé par l'intermédiaire de son avocat.

- Ah OK. Mais … il a été arrêté pour proxénétisme, alors ?

- Non non … enfin, pas seulement … violence et extorsion, aussi. Il est pas seulement proxénète. Mais tu lui demanderas des précisions quand il sortira.

 

Bon, à son ton, je sens qu'il n'en dira pas plus. Il m'observe, les yeux plissés: 

- Bon, très bien, très bien … donc, tu ne te fais pas payer. Mais, faut que je te prévienne … les mecs qui vont venir et qui vont te baiser, ils VONT payer …

- Ah non, c'est pas la peine …

- Tsss tsss tsss … t'as pas compris … SI, ils VONT payer ! Ils VONT ME payer MOI !

- Ah bon ? Mais …

- Je te rappelle, c'est un essai comme tapineuse, que tu vas faire, aujourd'hui … et c'est comme ça … d'habitude, ils payent, alors là, ils vont aussi payer … Ça te pose un problème ?

- Ben … c'est à dire …

 

En fait, je ne suis qu'à moitié surpris. Au téléphone, mercredi, il n'avait pas été question d'argent, et ça ne m'étais pas du tout venu à l'esprit.  Mais c'est bel et bien le fameux "essai" comme pute que Jacky voulait que je fasse. Aujourd'hui, on va m'essayer comme pute ! Je vais faire la pute ! Et les mecs qui vont me passer dessus vont payer ! J'essaie de m'imprégner de cette idée. Et à la réflexion, ce n'est pas pour me déplaire. Le seul truc qui me chiffonne, c'est que c'est LUI, ce Lionel, qui va encaisser … Enfin, ça ne me chiffonne pas vraiment. Je m'en fous, même … moi, ce que j'aime, c'est me faire baiser. Que des mecs paient ce Lionel pour ça, si ça leur convient, pourquoi pas ! Au moins, à l'avenir, quand je me ferai traiter de pute, ça ne sera pas pour rien. 

 

PUTE !       PUTAIN !       GAGNEUSE !      TAPINEUSE !

 

Aujourd'hui, je vais VRAIMENT FAIRE LA PUTE ! Je vais entrer dans le cercle des salopes qui font du fric avec leur cul ! Il y en a, c'est par nécessité, moi, c'est par goût. Mais du coup, ce mec, ce Lionel … il va être mon mac, mon souteneur, mon proxo ! Oh, putain, j'aime bien l'idée, finalement ! Je ne m'attendais vraiment pas à ça ! Un frisson de chaleur et d'excitation me submerge de la tête aux pieds. Je ne vais plus être seulement la salope affamée de bites dont on se refile les coordonnées pour tirer un coup, je vais aussi devenir la pute que le premier julot venu pourra exploiter à sa guise. Des mecs vont cracher de la tune pour me baiser !

 

Lui, là, derrière son bureau, je le regarde. Finalement, sous son apparence de chef d'entreprise, ce type, c'est ni plus ni moins un proxénète, un mac, un maquereau, un julot … Non, en fait, c'est mieux que ça: aujourd'hui, il va être MON mac … il va être MON souteneur … il va être MON julot ! 

 

MON HOMME !

 

Au fond de moi, je réalise que la cause est entendue. J'éprouve la même chose que l'autre fois, pour Denis, quand j'ai réalisé qu'il m'avait amené dans le bar de son pote Jeannot pour m'offrir à des inconnus … l'étrange sensation de véritablement APPARTENIR à celui qui va disposer de moi, à celui qui va me prêter à des inconnus … aujourd'hui, je vais être en quelque sorte la propriété de ce mec, qui va LOUER mon cul à des clients ! C'est à la fois très grisant et … rassurant … sensation très étrange et très agréable … avoir un souteneur, avoir un mac, avoir un protecteur … avoir un homme ! Je sens qu'accepter les conditions de ce type, accepter de me faire baiser par les clients qu'il va me présenter, accepter, en fait, de faire des passes pour son compte, c'est accepter d'être à lui !!! Et je prends soudain conscience d'une évidence: au fond de moi, je suis déjà à lui ! En venant dans SON hôtel me faire baiser par SES clients, je me suis donné à lui ! Je ne le connais pas, c'est peut-être un salaud, une ordure, un tordu, mais je m'en fous, je m'abandonne à sa volonté, qu'il dispose de moi comme il veut, qu'il me prête, qu'il me loue, du moment que c'est pour des coups de bite !

 

Il ne m'a fallu que quelques secondes pour faire mentalement le tour de la question. Il est resté silencieux jusque là, sans doute pour me laisser digérer ce qu'il vient de m'annoncer, et à la petite lueur qui brille dans son œil, j'ai l'impression qu'il a deviné le cheminement de ma pensée. Le changement de mon expression n'a pas pu lui échapper, et je le sens content de lui.

- Alors ? T'as une objection ?

 

Je lui souris

- Non non … je … je suis d'accord. J'ai été surpris, je ne m'attendais pas à ça, c'est tout … mais finalement, c'est plutôt bien … ce sera la première fois que des mecs paient pour me baiser … ça me plaît bien, même … Oui, je suis d'accord … je vais faire des passes … 

 

Avec une moue d'étonnement, il écarquille les yeux, hoche la tête:

- Ben dis donc, je l'avais déjà remarqué au téléphone …t'es vraiment … facile !

- On me l'a déjà dit … on m'a même déjà dit que j'étais une fille facile.

- Une fille facile … oui, c'est ça. On dirait même que faire le tapin, ça t'excite …

- Ben oui … jusqu'ici, j'étais seulement … une salope … mais maintenant, je vais VRAIMENT être une pute … je vais faire du fric avec mon cul …

 

Il hoche la tête et poursuit:

- Ben toi, t'es un phénomène ! Bon, en tout cas, c'est bien que tu le prennes comme ça. Tu sais, d'habitude, on fait ça avec des femmes … assez souvent des femmes mariées qui ont envie de se faire sauter, et elles se font pas payer non plus, celles-là … les types qui les baisent paient, évidemment, mais à moi, pas à elles … et parfois, c'est avec des vraies putes quand on n'a pas trouvé de femme mariée … c'est les filles de Jacky, le plus souvent. Les vraies putes, on les paye, évidemment … Mais c'est la première fois qu'on fait ça avec un mec … enfin, avec un travelo … Tiens, d'ailleurs, si tu voulais te mettre en tenue …

- Ici ?

- Oui, ici. Faut que je voie … Ça te gêne ?

- Pas du tout. 

 

Me gêner ? Tu ne me connais pas encore, mec ! Je me lève et je commence à me déshabiller. Il m'observe. Ce n'est qu'en ôtant mon pantalon et mon string que je réalise que je bande déjà un peu. Penser à ce qui va m'arriver et raconter mes … expériences a commencé à m'exciter. Quand je suis complètement à poil, de la main, index levé, Lionel me fait signe de tourner sur moi-même. Je m'exécute. Je sais bien que je suis très loin d'être un canon, surtout avec mon début de bide. Mais je sais aussi que ma chute de reins, ma cambrure, mon cul et mes cuisses ont le don d'exciter les mâles. Avant que j'aie terminé un tour complet, il commente:

- Ah ben oui, je comprends qu'il ait flashé sur ton cul, ce Philippe !

 

Je finis de tourner, je m'immobilise et j'attends. 

- Continue, mets-toi en tenue.

 

Je fouille mon baise-en-ville et pendant que je sors mes bas rouges déjà attachés à un porte-jarretelles, il poursuit:

- Là, j'ai encore quelques clients dans l'hôtel, mais une fois qu'ils seront partis, on ferme et on reste entre nous … avec les mecs qui vont venir te baiser, évidemment … Tu sais, j'étais pas trop chaud, pour prendre un mec … et puis Jacky m'a montré ce que tu sais faire, alors j'ai accepté d'essayer …

 

Assis les fesses au bord de mon fauteuil, j'enfile et je lisse mes bas sur mes mollets. Il me regarde faire, et enchaîne:

- D'ailleurs, en parlant d'essayer … je VAIS t'essayer …

 

Il m'observe, guette ma réaction. Je continue d'ajuster mon porte-jarretelles. Devant mon absence de réaction, il s'inquiète:

- Tu dis rien ?

- Ben non … tu vas m'essayer …

- Oui, avant de te mettre au taf, il faut quand même que je vérifie ce que tu sais faire … Ça te pose un problème ?

- Mais non, pas du tout … c'est la moindre des choses … tu voudras que je te taille une pipe, ou tu voudras me baiser ?

- Déjà une pipe … je te baiserai peut-être plus tard …

- De toute façon, avant qu'on me baise, il faut que je passe à la salle de bain …

- Oui, évidemment …

 

Au moment où je me lève pour finir de remonter mon porte-jarretelles sur mes hanches, la porte s'ouvre et une femme entre: grande, mince, brune, cheveux très courts, plutôt bien foutue, très moulée dans un jean blanc, et perchée sur des escarpins. Je ne m'attendais pas à ça. Je ne sais pas pourquoi, je n'avais pas imaginé une femme dans cette histoire. Elle n'a pas l'air le moins du monde surprise de me trouver là et dans cette tenue.

- Chérie, je te présente Marin … c'est lui notre … invité d'honneur, aujourd'hui … Ma femme, Carole …

 

Ah bon, sa femme ! Apparemment elle sait pourquoi je suis là. Elle me tend la main en m'examinant de la tête aux pieds. Elle a un regard froid et dur:

- Alors, aujourd'hui, c'est toi qui fais des passes …

- Oui, c'est moi.

- Tu étais en train de te mettre en tenue … continue …

 

Après un court moment de gêne dû à la présence inattendue de cette femme, je me dis que je me suis trouvé dans des situations bien plus délicates. C'est seulement maintenant que je réalise qu'elle baigne dans un parfum très sensuel. Je sors ma minijupe rouge, un string rouge et mon corsage bleu électrique, bariolé de couleurs vives. Lionel:

- Viens mettre ça ici, à côté de moi … approche …

 

J'approche, et pendant que j'enfile mon corsage, il me met une main au cul … devant sa femme ! Elle ne bronche pas, nous observe. Il me palpe une fesse … l'autre … me la pétrit et observe:

- Pas mal ! C'est ferme.

 

Il n'y a rien à faire, j'ai toujours le même plaisir à me faire tripoter comme une bête de boucherie. Puis il glisse ses doigts entre mes fesses et me palpe la raie.

- Ah, t'es rasé là aussi … c'est bien … vas-y, mets ta jupe … le string, ce sera pas la peine …

 

Tant bien que mal, sautillant d'un pied sur l'autre, j'enfile ma mini jupe. Elle m'arrive vraiment à ras du cul et je sens que ma bite dépasse un peu sous l'ourlet. J'enfile mon corsage. Assez ample, il masque un peu mon bide. Lionel enlève sa main et commente:

- C'est pas mal … tu fais en effet assez pute, comme ça … ça m'étonne pas que tu excites des mecs … t'en penses quoi, chérie ?

- Oui, c'est bien … ça va le faire, je pense …

- Bon, qu'est-ce que t'attends ?

 

C'est à moi qu'il s'adresse.

- Qu'est-ce que j'attends … pour ?

- Pour me sucer …

 

Toujours devant sa femme ! Je la regarde. Un petit sourire aux lèvres, elle s'amuse de mon étonnement. Puis, d'une mimique, elle me signifie « Ben, oui, vas-y, suce-le ! ». Putain, c'est la première fois que je vais faire ça: sucer un mec devant sa femme ! Sucer la bite qu'il fourre habituellement dans la chatte de cette superbe femelle ! Bon. Il a tourné son fauteuil vers moi. Je m'agenouille entre ses pieds, je pose mes mains sur l'intérieur de ses cuisses et je lui écarte les jambes. Je lui caresse les cuisses, assez vigoureusement, puis je remonte lentement vers son entrejambe. Ah, je sens quelque chose dans sa jambière droite. Son paquet ! Il ne doit pas porter de slip, là-dessous … peut-être un caleçon …  A travers la toile, j'enserre son paquet de mes deux mains … voilà sa bite … et ses couilles. Je me penche et je pose les lèvres sur la bosse que fait sa verge. Hhmmmm, je sens la chaleur de sa queue à travers le tissu. Je lui tâte le paquet de plus en plus fébrilement, et c'est plus fort que moi, tout en parcourant fiévreusement son sexe des lèvres, je ne peux m'empêcher de manifester mon plaisir:

- Hhhhmmmmm !

- Et ben, dis donc … tu démarres au quart de tour, toi … et t'as vraiment l'ait d'aimer ça !

 

Je sens sa bite réagir sous le tissu: elle frémit et doit commencer à gonfler. Au moment où j'ouvre davantage la bouche pour prendre sa queue entre mes lèvres, du coin de l'œil, je vois une de ses mains saisir la boucle de sa ceinture de cuir, et l'autre en empoigner l'extrémité. S'il veut déballer sa queue, c'est qu'il a de plus en plus envie. Mais non ! C'est moi qui fais ça ! Je me redresse et j'écarte ses mains:

- Non ! C'est moi qui sors ta queue !

 

Il sourit et écarte ses mains. Carole s'est approchée, sans doute pour mieux voir, parce que le bassin de son mari et moi sommes à moitié dissimulés par le bureau. Elle pousse un pot à crayons et un sous-main et pose négligemment une fesse sur le meuble. Elle est si près de moi qu'en s'asseyant, son pied m'a frôlé. Et je sens son parfum … sensuel. Ah, putain, ça me plaît beaucoup de tripoter ce mec sous les yeux de sa femme ! Je sens qu'à son tour, ma queue se réveille. 

 

Je détache la ceinture et je défais un à un les boutons de sa braguette avant d'écarter les pans du vêtement. Il ne porte rien dessous, en effet. Son pubis, pas très poilu, apparaît. Je glisse une main à l'intérieur. Son sexe est là, dans cette jambière … oui, déjà un peu gonflé. Délicatement, je l'extrais. Pas mal … Apparemment, sans être vraiment rasé, il a raccourci les poils de son pubis et de sa queue. Sous mes yeux, je vois son sexe grossir. Une goutte translucide perle déjà à l'entrée de son méat. Je l'excite ? Notre conversation y a sans doute contribué. Je pose mon index sur cette goutte de liqueur pré-éjaculatoire, le l'étire en un long fil visqueux, et, d'un coup de langue, je le lèche. Puis, je le masturbe deux ou trois fois, je me penche et je pose ma langue sur sa hampe. Je remonte jusque à son gland et je le prends entre mes lèvres. Oh oui, ça y est, j'ai encore une queue dans la bouche ! Et ce mec, je le suce devant sa femme ! Je l'enfonce dans ma bouche en le décalottant. Je sens son gland s'épanouir sur ma langue et je commence à le pomper. Cette queue, toute chaude, et douce dans ma bouche, habituellement, ce mec l'enfonce dans la bouche ou dans le ventre de sa femme … cette femelle superbe qui est en train de m'observer … et il y répand sa semence … A tâtons, je cherche sa main sur son accoudoir, je la prends et je l'attire sur ma tête. Il se laisse faire:

- Dis donc, tu t'y prends bien … c'est bien, je pense que tu vas leur plaire, à mes clients …

 

Ding ! Ding !

La sonnette de la réception. Un client demande quelqu'un. Carole se lève lentement, comme à regret, et se dirige vers la porte. Et là, je réalise que le bureau derrière lequel je suce ce mec est tourné de telle façon que, si Carole ne fait pas attention en sortant, si elle ouvre trop cette porte, si elle ne se place pas dans l'encadrement pour nous masquer à la vue de ce client, il me verra en train de tailler une pipe à Lionel. Moi, ça ne me gêne pas, mais lui ! Et ses deux mains sur ma tête, il me retient:

- Continue !

 

D'accord ! Il s'en fout ! Sa queue toujours dans la bouche, je me contente de regarder, comme je peux, du coin de l'œil vers cette porte. Le cul moulé de blanc de Carole ondule jusque là … elle ouvre la porte en grand … et ne la referme pas … Et en effet, du coin de l'œil, j'ai tout juste le temps d'apercevoir la tête d'un type, au-dessus du comptoir de la réception, avant que l'épaule de Carole ne le masque… Mais lui aussi a dû avoir le temps d'apercevoir quelque chose, parce que le type, jeune, se décale un peu et me regarde … nous regarde … Il a un moment de surprise, semble ne pas vraiment comprendre ce qu'il voit ... puis, d'un seul coup, son visage s'illumine. Ça y est, il a compris ! Lionel me tapote la tête:

- Arrête un peu, toi !

 

Je sors son sexe de ma bouche, je me redresse et je me tourne vers la porte grande ouverte et la reception, tout en continuant de masturber Lionel. 

Le client:

- Euh … bonjour … je … je … je voudrais payer …

 

Carole:

- Oui, votre note est prête … carte bancaire ? 

- …

- Monsieur ! Carte bancaire ?

- Euh oui … excusez-moi … C'est … tellement … surprenant …

 

Il nous désigne du menton. Carole a remarqué son mouvement et se tourne vers nous comme pour voir ce qui a attiré son attention – elle doit pourtant s'en douter ! – et au lieu de s'empresser de refermer la porte, elle se déplace un peu comme pour bien dégager la vue de son client sur la branlette que j'administre à son mari !  

- Ah oui, pardon, j'ai laissé la porte ouverte … Et bien, c'est mon mari … il se fait masturber, comme vous voyez …

 

Comme si c'était tout à fait naturel !

- Je vois … Et celui qui … c'est … c'est un …

- … un travesti … oui, c'est un travesti …

- Ça vous dérange pas ?

- Quoi donc ?

- Ben, que … que votre mari se fasse masturber … comme ça, devant vous …

- Non, nous sommes un couple très libre … votre code, Monsieur …

- Ah oui, pardon …

- Il n'y a pas de mal … reprenez votre carte … voilà votre ticket et votre facture … Ça vous dirait ?

- Quoi …

- De vous faire masturber aussi … ou sucer, si vous préférez …

- De … me … de me faire sucer ? Par … par vous ?

- Ah non, Monsieur, bien sûr que non … par ce travesti …

- Par ce travesti ?

- Oui, par ce travesti … il est là pour ça … on nous en a dit le plus grand bien … 

- Ah bon ? Je … je sais pas … j'ai pas le temps … on m'attend …

- Ça ne serait pas long …

- Mais … il est … il est déjà avec votre mari, là …

- Il arrêtera de masturber mon mari … il le finira plus tard … et il vous suce, vous …

- Ah ben … pourquoi pas, alors … mais, il est d'accord, le … le travesti ?

 

Un mâle de plus que ça ne dérange pas de se faire sucer par un trav ! Décidément ! Carole enchaîne:

- Il est là pour ça … donc, il est d'accord …

- Bon, je … on fait ça où ?

- Ici, derrière le comptoir …

- Ah ben non ! Y'a pas plus discret ?

- Dans le bureau ?

- Oui, je préfère …

- Faites le tour … entrez …

 

Lionel me tapote la main:

- Arrête et relève-toi … va t'occuper de Monsieur … bonjour, Monsieur …

- Bonjour.

- Installez-vous sur le canapé … là, derrière la porte.

 

C'est parti, on dirait: je laisse une queue pour m'occuper d'une autre … Et ça me plaît, c'est un inconnu, un client … mon premier client, et c'est mon mac et ma maquerelle qui m'offrent à lui. Est-ce qu'ils vont le faire payer, celui-ci ? Je commence comme pute, ou je continue comme simple salope ? Tandis que je me relève, le type pose son bagage en m'examinant de la tête aux pieds, les yeux ronds:

- C'est vrai ? Vous … vous être d'accord ?

- Oui. Comme Madame … Carole vous l'a dit, je suis là pour ça …

- Bon …

 

Je m'avance vers lui et je le pousse vers le canapé. Il se laisse tomber, bras ballants, jambes écartées. Ma deuxième bite, ce matin … je vais sucer ma deuxième bite ! La première bite d'un client, j'espère ! Vite ! Déjà fébrile, je m'agenouille et j'entreprends tout de suite de le déboutonner et de descendre son zip. Dans ma précipitation, je m'empêtre dans les pans de son pantalon que j'essaye fiévreusement d'écarter. Je lève un instant les yeux sur lui. Il me regarde, l'air effaré. Je fouille l'intérieur de son pantalon. Il porte un caleçon. Je glisse ma main dedans. Il est mou et petit. Je descends la ceinture de son caleçon jusque sous ses couilles, et sa queue apparaît. Petite queue, toute poilue. Je le manipule quelques secondes et il commence à gonfler. Je le décalotte. Son gland est tout pointu, effilé … pas terrible, mais peu importe. Ce mec doit sortir de la douche, sa bite sent le savon parfumé à je ne sais quoi. Je me penche et je le prends dans la bouche. Hhhhmmmm, ouiiii, encore une bite ! J'espère qu'ils vont le faire payer … ma première pipe de vraie pute ! J'entame tout de suite un va et vient furieux en pressant mes lèvres sur sa hampe. Et ça fonctionne ! Sentir grossir entre ma langue et mon palais ce petit cylindre de chaire chaude, vivante … ce sexe d'homme … cet organe reproducteur … et me dire que là, JE SUIS EN TRAIN DE TRAVAILLER  !!! Je vais faire jouir ce type, je vais lui faire cracher sa dose de sperme et ça va rapporter du fric ! J'adore ce boulot ! Mon excitation monte. Je devine Carole, debout à côté de moi, et son mari, toujours assis à son bureau, qui nous observent. A sucer devant eux ce type, cet inconnu sans aucune réticence, je me sens tellement indécent, impudique, dépravé …

 

On me tape sur l'épaule. Sans cesser de pomper mon client, je regarde de ce côté. Carole me tend un étui de préservatif:

- Mets-lui ça !

 

Je me redresse, et, tout en masturbant le type, je lui souris:

- C'est pas la peine, je …

- Si !!! Tu lui mets ça !

 

Putain, elle ne rigole pas, la Carole ! Je me tourne vers son mari. Il me sourit et il hoche la tête:

- Fais ce qu'on te dit !

 

Ah bon ! Je lâche la queue du client, visiblement un peu désemparé, et je prends la capote. Je la déballe et j'entreprends d'habiller la queue du type … qui se laisse faire. Et je reprends ma pipe. Pour moi qui ai l'habitude de sucer les mecs à cru, c'est assez désagréable, à la fois ce goût de lubrifiant et cette consistance … Mais bon, puisqu'il le faut … 

 

Soudain, je vois Carole se laisser tomber à son tour sur le canapé, à droite du type que je suis en train de sucer, et tout contre lui. Hhhmmmm, ce parfum ! Je lève les yeux sur lui. Il est tout aussi surpris que moi, gêné, même. Elle me dévisage, le regard fixe et, sans la moindre hésitation, elle écarte les cuisses, déboutonne son pantalon, descend son zip, et glisse sa main dans son pantalon, sur son mont de Vénus ! Putain, elle va se tripoter devant son mari ... et ce client ! Je distingue nettement les bosses que font son index, son majeur et son annulaire sous la toile tendue de son jean. Elle se cale bien le dos contre le dossier du canapé, y appuie sa nuque, tend son bassin en avant et commence à bouger lentement son majeur. Le spectacle de la pipe que je taille à son client l'a excitée, et elle se masturbe ! Elle se malaxe le clitoris ! La tête légèrement rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle m'observe. Oh, putain, c'est très excitant de voir cette jolie femme se donner du plaisir en me regardant sucer un mec ! Si je n'avais pas cette bite dans la bouche, je me laisserais bien aller à loger ma tronche entre ses cuisses à elle, pour lui bouffer la chatte ! Et comme si se caresser ne lui suffisait pas, elle tend la main vers le ventre de son voisin, prend la base de sa verge entre ses doigts et accompagne ma turlute en le masturbant. Je sens ses doigts contre mes lèvres. Entre ses cuisses, je ne vois plus que les bosses de son index et de son annulaire. Elle a enfoui son majeur dans son vagin, et elle commence à haleter en agitant ses doigts de plus en plus vigoureusement. Carole ! Carole et Lionel … quel couple !

 

Ce type, le client, est un rapide et, en plus de la vigoureuse fellation que je lui administre, sentir cette femelle se donner du plaisir tout contre lui en lui tenant la queue, ça l'achève. Il se penche soudain en avant, me prend la tête à deux mains, et cherche à me repousser:

- Attention ! Attention, je viens !

 

Oui, vas-y, viens, viens ! Je résiste, je passe mon bras derrière ses reins pour le cramponner, je secoue la tête de droite à gauche en gémissant pour qu'il comprenne que je veux qu'il jouisse dans ma bouche. Son orgasme est trop violent et c'est lui qui cède, se rejetant en arrière contre le dossier du canapé:

- Aaaaaah, puuu … taiiiin !

 

Il halète pendant que je sens son sexe tressauter dans ma bouche et un premier jet de crème chaude remplit le réservoir du préservatif. Contre mes lèvres, les doigts de Carole tremblent. Nouveau jet de sperme … encore … encore … et soudain, je sens à la fois le type et sa queue se ramollir d'un seul coup. Il a fini, et il débande presque instantanément ! Je n'avais encore jamais vu ça ! La capote, soudain devenue trop grande, flotte autour de sa verge. Cette fois, il repousse ma tête avec plus de conviction:

- Arrêtez, maintenant …

 

Je sors sa bite de ma bouche et je me redresse. Le type repousse la main de Carole, se met debout, tout contre moi, j'ai son oiseau juste sous le nez … il ôte la capote, et hésite, ne sachant quoi en faire. Je la lui prends des mains. Alors il se remballe, referme son pantalon et me contourne pour s'en aller. Je regarde la femme. Toujours adossée au canapé, elle semble s'être reprise. A-t-elle joui ? Elle sort sa main de son jean, se lève à son tour, et remonte son zip.

 

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

 

C'est Lionel:

- Bravo ! T'es effectivement une sacrée suceuse … et puis, pour avoir excité Caro comme ça … bravo …

 

Je me relève, je fais un nœud au préservatif, je contourne le bureau et je laisse tomber la poche de latex dans la corbeille. Le type a déjà récupéré son bagage et il attend à côté de la porte:

- Bon, ben … merci … et au revoir …

- Attendez ! C'est cinquante €uros !

 

C'est Carole. Elle s'est levée précipitamment et s'est placée entre le type et la porte. Elle le dévisage avec le regard dur qu'elle avait tout à l'heure. Le type:

- Pardon ?

- C'est cinquante €uros.

- Vous plaisantez …

 

Sidéré, il regarde Lionel, me regarde, cherchant confirmation que c'est une blague. Carole:

- Pas du tout … une pipe, c'est cinquante €uros …

- Pourquoi, ce … ce travelo, c'est … c'est une pute ?

- Oui, c'est une pute …

- Non, mais … je vais pas payer … c'est vous qui m'avez … proposé …

- Et alors ?

- Non, non, je paierai pas …

- Comme vous voulez … vous revenez encore avec votre patron, le mois prochain ?

 

Le mec est sidéré. Mâchoire pendante, il nous regarde l'un après l'autre. 

- Ah, OK … je vois … mais vous savez, il suffit que je lui dise que je suis pas content de vos services et que je lui suggère d'aller ailleurs le mois prochain …

- Bien sûr, mais dans ce cas, nous l'appelons pour lui demander si c'est la pipe que Monsieur vous a taillée qui ne vous a pas plu …

- Vous … vous le feriez pas …

- Vous pariez ?

- Bon, ça va … vous êtes des … vous êtes vraiment des tordus …

 

Il fouille la poche intérieure de sa veste, sort son portefeuille, en extrait quelques billets, les compte et les tend à Carole. Elle les prend, ouvre la porte, et:

- Merci … alors au mois prochain … 

- Oui, c'est ça … 

 

Il disparaît dans le hall. Carole le suit et je l'entends lui ouvrir la porte de l'hôtel. Elle revient, s'approche du bureau, y dépose les billets, se tourne vers son mari qui s'est rhabillé, et, d'un coup de menton, elle l'interroge:

- Alors ?

- Ben … moi, c'était pas mal … et avec ce pignouf, là, il a été super efficace … et toi, ça t'a plu, on dirait … ça t'a excitée, non ? 

- Oui …

 

Putain, qu'elle est belle ! Je me rends compte que son jean lui moule vraiment la chatte. La couture centrale lui rentre dans la fente et met en relief ses grandes lèvres. Je me demande si elle porte une culotte. Sans doute pas. Ma contemplation ne lui a pas échappé et, évidemment, elle ne semble pas le moins du monde gênée que je la déshabille comme ça des yeux. Elle sourit. Lionel me sort de ma contemplation:

- Bon, jusque là, t'es à la hauteur de ta réputation …

 

Je m'approche de lui:

- Merci. Tu veux que je te finisse ?

- Pardon ?

- J'ai commencé à te sucer, mais je ne t'ai pas fini … je peux ?

 

Il rit:

- Ah non … on verra ça plus tard … T'as déjà eu une bonne mise en bouche … 

- Oui, mais … j'aime pas sucer avec une capote.

- Ça ne fait rien que t'aimes ou que t'aimes pas. Ça sera avec capote. Tu sais, c'est pas pour toi. Si t'as pas peur de te faire contaminer, ça te regarde, mais moi, je protège mes clients pour que toi, tu les contamines pas, et pour qu'ils se contaminent pas entre eux en trempant tous leur biscuit dans le même cul …

 

Mouais ! Et lui, alors ... il n'a pas mis de capote, pour que je le suce ! Ça, ça ne me plaît pas, sucer et me faire baiser avec capote. Me faire enculer, oui, mais si les mecs ne me déchargent pas directement dans le ventre … Il me regarde intensément, et il reprend:

- Tiens, d'ailleurs ... t'as pas entendu dire qu'il existe un traitement préventif contre le SIDA, pour ceux qui baisent comme toi, sans capote ?

- Ah bon ?

- Ouais. On en parlera plus tard. Je te donnerai les coordonnées d'un service hospitalier où on pourra te le prescrire.

- Ben … d'accord …  

 

Un traitement préventif contre le SIDA ? Je ne savais pas que ça existait, mais  pourquoi pas ! Avisant les billets posés sur le bureau, je me renseigne:

- Alors, c'est 50 €uros, pour une pipe ?

- Comme tu vois …

- Ma première pipe payante … mes premiers 50 €uros …

- Hé ! C'est pas pour toi, je t'ai dit !

- Je sais, je sais … Et le reste ? Si ils m'enculent, c'est combien ? 

- Ben … pourquoi, tu veux savoir ça ? 

- Comme ça … ça m'intéresse … pour savoir combien je vaux …

- Tu connais pas les tarifs ?

- Ben non.

 

Il regarde sa femme:

- On va voir … comme c'est la première fois avec un … avec toi, on ne va pas y aller trop fort … mais si ça marche bien, si ils en redemandent, on reverra les prix … si ça marche bien aujourd'hui, tu reviendrais ?

- Je … je sais pas … Pourquoi pas … Et alors … combien ?

- Ben, avec nos habitués, je pense qu'on peut demander 50 €uros pour une pipe, et 100 €uros pour te baiser.

- 100 €uros pour me baiser ?

- Ouais. Toujours avec capote … ça nous paraît correct … pour commencer, hein.

- Ceux qui veulent me baiser, je peux les sucer, avant ?

- Ben oui, évidemment … tu peux les chauffer …

 

Il tend la poignée de billets vers moi, et il me les passe sous le nez:

- Tiens, sens-les, tes premiers 50 €uros … alors, ils sentent pas un peu la bite ? Si on fait une bonne recette, tu auras peut-être un petit quelque chose … bon, tu voulais passer à la salle de bain …

- Oui … il y a un bidet ?

- Oui, oui, suis-moi …

 

Il m'entraîne par une deuxième porte de son bureau. Après une sorte d'entrée qui semble donner sur l'arrière de l'hôtel, nous traversons un salon, puis il m'ouvre une porte.

- C'est ici, la salle de bain. Dans le placard, il y a tout ce qui faut comme serviettes, gants et compagnie … A tout de suite.

 

Il disparaît. En effet, dans le placard, il y a tout ce qu'il faut … y compris des gels intimes pour femme … et du lubrifiant. Je retrousse ma jupette sur mes fesses, je m'installe sur le bidet et je me refais plusieurs lavements.  Je me lave, je me sèche, et je m'enduit déjà un peu le fourreau de gel lubrifiant. Puis, impatient, je regagne le bureau. La porte qui donne sur la réception est encore ouverte. Lionel et Carole, debout derrière le guichet, me tournent le dos, apparemment en train de discuter avec des clients… Des clients de l'hôtel, ou … mes clients à moi? Dans le doute, je me dirige aussi discrètement que possible vers le canapé. Si ce sont des clients de l'hôtel, inutile de me faire remarquer.

- Tiens, le voilà !

 

On dirait que je suis repéré. Lionel passe la tête dans le bureau.

- Ah, ça y est ? Tes premiers clients sont arrivés … viens !

 

Décharge d'adrénaline. Me voilà à la réception. Ils sont trois, accoudés au guichet, qui m'examinent attentivement de la tête aux pieds, qui me déshabillent du regard … Ces types vont me baiser ! Ce qu'ils voient semble les étonner, mais leur convenir. Voilà donc mes premiers clients … Il y en a un, très grand et un peu enveloppé, blond, cheveux courts, type nordique, et deux autres, plus quelconques, bruns, de taille moyenne, dont un barbu … mes premiers VRAIS clients … oui, parce que l'autre, que j'ai sucé il y a un quart d'heure, c'était un peu un hasard … il n'était pas là pour ça, à la base, et pour moi, ça compte pas vraiment … mais ces trois-là … ces trois-là sont venus exprès … ces trois-là sont venus jusqu'ici POUR me baiser … et ils vont casquer ! Ça me fait quand même un drôle d'effet de me retrouver en présence de ces trois types … mes clients … que je vais devoir faire jouir … essayer d'imaginer des types qui allaient me baiser pour rien, comme je l'ai fait dès le coup de fil de Lionel, c'est une chose … mais, avec des clients qui payent, c'est autre chose, la relation n'est pas la même … depuis qu'il m'a annoncé que ceux qui me baiseraient devraient payer, je n'ai pas trop eu le temps d'y penser, mais cette fois, j'y suis ! J'ai le cœur qui bat et un frémissement très agréable m'électrise la rondelle, rappelant à mon attention la sensation mouillée et glissante du gel lubrifiant que je me suis introduit il y a quelques minutes. M'occuper de ces trois types ne m'inquiète pas, parce que je sais que je vais les faire jouir, mais il y a du fric à la clé, et ça me plairait bien qu'après avoir tiré un premier coup, je leur donne envie de recommencer … de revenir régulièrement …  Le grand type siffle entre ses dents, et:

- Ah ouaiiiiis !

 

Lionel, à mon intention:

- Va … sors de derrière ce guichet … qu'ils te voient …

 

En contournant le guichet, je m'aperçois que, dessus, il y a déjà un petit paquet de billets … il me semble reconnaître au moins un billet de 50 ! Lionel prend la poignée de billets et me la montre en l'agitant. Alors, il représente quoi, ce paquet de billets ? Trois turlutes ou trois coups de queue dans le cul ? Me voilà face à ces trois mecs … J'ai le regard irrésistiblement attiré par leurs bas ventres, et j'essaie de deviner la forme et la taille de leurs sexes. Comme j'aimerais avoir le don de voir à travers le tissu ! Et puis peu importe … là, dans ces pantalons, il y a trois sexes masculins … trois sexes avec des réserves de sperme que ces types ont besoin ou envie de faire dégorger … Le barbu me tend la main. Je la lui serre et, à mon tour, je la tends aux deux autres. Le grand type blond me prend par l'épaule et me fait pivoter sur moi même. A mi parcours, il m'arrête, et je sens qu'il soulève ma minijupe:

- Fais voir ton cul … ouais … pas mal …

 

J'adore ça, être examiné comme ça ! Il me plaque ses deux mains sur les fesses, me les palpe, me les pétrit:

- Hhhmmmm ouais … tu dois être bonne, toi … Ça va nous changer ... d'habitude, Lionel, il ne fait venir que des salopes …

- Mais tu vas voir, lui aussi, c'est une salope !

 

Lionel, qui croit utile de préciser. L'autre reprend:

- Oui … des salopes femmes, je voulais dire.

 

Il se plaque le ventre contre mon cul et commence à me peloter les hanches, le ventre, la poitrine … Je passe mes mains derrière moi, et, à tâtons, je cherche sa bite. La voilà ! Waouhhh, ça a l'air d'être un sacré morceau. Il est déjà en train de bander, ma parole ! Ce type va m'enfoncer ça dans le cul ! En tout cas, ça lui plaît, ce que je lui fais:

- Hhhmmmm, t'as l'air d'en vouloir, hein … je sens qu'on va s'amuser, avec toi …

 

Lionel intervient:

- Bon, arrête, Francis … j'ai encore quelques clients dans l'hôtel… montez à la 111 si ça urge à ce point … tu sais où c'est, Francis …

 

Le Francis en question se décolle de moi, me donne une claque sur les fesses, et, me désignant l'escalier:

- Allez, ma poule, on monte … vous venez, les mecs ?

 

Je me tourne vers Lionel:

- Alors ? Je leur fais quoi, à ceux-là ?

- Ah oui, c'est vrai … tous les trois, c'est la totale ..

- La totale ?

- Oui, ils vont te baiser … tiens, prends ça.

 

Oui, ils vont me baiser. Je n'avais pas envisagé un seul instant qu'ils se contenteraient d'une pipe. Lionel pousse vers moi un récipient en bambou tressé, genre panier à pain, dans lequel il y a des poignées de capotes dans des étuis de couleurs vives. Il fouille sous le guichet et ajoute:

- Prends ça, aussi. Ça peut servir.

 

Il pose un flacon de lubrifiant dans le panier de capotes et, comme je m'apprête à m'éloigner, muni de ce viatique, il m'arrête:

- Et attends ! Les clients suivants, ils devront te donner des trucs comme ça !

 

Il fouille de nouveau sous son guichet et balance une poignées de jetons de toutes les couleurs:

- C'est des jetons de casino. 

 

Il les trie et met de côté des jetons turquoise marqués 50 et des jetons rouges marqués 100:

- Les comme ça, c'est pour les pipes, et les autres, c'est pour te baiser.

 

OK. C'est organisé. D'un signe de la main, il nous congédie:

- Va, va !

 

Je prends le panier de capotes et je me tourne vers mes trois clients:

- On y va, Messieurs ?

 

Et je me dirige vers l'escalier, les trois types sur les talons. Dès les premières marches, le grand Francis me colle une main au cul. Putain, je suis en train de ... de MONTER ... de MONTER au TAPIN ... de MONTER FAIRE DES PASSES ! Toute cette symbolique, tout ce folklore autour des filles qui "montent" avec un client racolé sur le trottoir, et bien, j'y suis ! Cet escalier, que je gravis en compagnie de ces trois mecs, c'est une sorte de ... rite de passage, d'intronisation. Je le sens comme ça: une pute, ça "monte" avec son client. On n'est vraiment une pute que si on "monte" avec son client. Il me semble que si je n'avais pas eu à "monter" avec un mec pour faire une passe, il m'aurait manqué quelque chose. Et là, je "monte" … je "monte" faire des passes … JE SUIS UNE PUTE !  


Au fur et à mesure que nous montons, l'exploration de Francis se fait de plus en plus fébrile et ses doigts s'aventurent de plus en plus loin entre mes fesses. Je ralentis pour qu'il puisse me peloter tout à sa guise. Arrivés en haut de l'escalier, il m'arrête:

- Attends une seconde !

 

Je m'arrête. Il me pousse face contre le mur du long couloir qui dessert les chambres … il est derrière moi et il me maintient, un main plaquée sur ma nuque … J'adore ça ! Il retrousse ma mini jupe de son autre main, et il la glisse dans ma raie. Rapidement, je sens un de ses doigts qui commence à s'enfoncer en moi … J'écarte un peu les jambes. Je l'entends respirer de plus en plus fort:

- T'es propre ?

- Oui. Je suis passé au bidet chez Lionel.

- OK. Oh putain ! Ça rentre tout seul !

 

Ben oui, non seulement j'ai la rondelle dilatée et accueillante, mais je me suis lubrifié, mec ! De ma main libre, je cherche de nouveau sa queue à travers la toile de son pantalon. Il se déplace un peu pour la mettre à ma portée. La voilà … Oh, putain, elle est encore plus grosse qu'il y a un instant ! Cette fois, c'est sûr, il bande ! La vache, il va m'enculer avec ÇA ? ! ? ! Il a senti mon trouble:

- Elle est grosse, hein … elle te plaît, on dirait … t'en verras pas souvent des comme ça … tu verras comme c'est bon, quand tu l'auras dans le cul …

 

Oh putain, oui, elle est grosse, sa queue ! Ça me plaît ! Je le lui manifeste en la pétrissant fébrilement. Il le sent. Il comprend. Il grogne de plaisir et me doigte le cul de plus en plus vigoureusement. La joue contre le mur, je réalise que les deux autres nous regardent. Ouais, regardez, les mecs, j'adore ! Il va peut-être me prendre sous vos yeux, là, en levrette, debout contre ce mur. Et Lionel qui a dit à ce Francis qu'il y a encore des clients dans l'hôtel ! Me faire surprendre par eux en train de me faire trousser dans ce couloir d'hôtel ! Mais le barbu tend la main vers le panier de capotes que je tiens toujours:

- Donne-moi ça, je vais aller vous attendre dans la chambre …

 

Mais non, reste ! Regarde ! Non, il s'éloigne, suivi de l'autre, et avance si résolument qu'il doit savoir exactement où il va. Un habitué … Et tous deux disparaissent dans la dernière chambre tout au bout du couloir. 


Cette grosse bite dans ma main, et le doigtage de Francis … je suis de plus en plus excité. Sur un ton plaintif, je sollicite Francis:

- Allez … viens m'enculer dans la chambre … viens me baiser …

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Profil

  • Solosexe
  • homme hétéro, amateur, aimant les plaisirs solitaires, porter de la lingerie féminine et les introductions anales

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés