Mercredi 28 juin 2017 3 28 /06 /Juin /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


La loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende.


L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

Je ne sais pas trop quoi penser de mon essai comme pute dans cet hôtel. Globalement, je me sens frustré. Déjà, me faire baiser avec capote, il n'y a pas à dire, il me manque quelque chose … j'ai BESOIN de sentir que celui qui me baise éjacule en moi … mais en plus, comme ... "professionnelle", la relation avec les mecs n'est pas la même … il manque … une spontanéité … ces types m'ont baisé d'abord parce qu'ils avaient besoin de tirer un coup … ou parce qu'ils voulaient "essayer" un travelo … mais pas comme motivation première parce que mon cul les excitait … bon, mon cul les a excités, mais n'importe quel cul accueillant aurait fait l'affaire, je pense … je me suis senti en service commandé … et avoir un mac, un homme pour qui travailler, c'est agréable, mais au fond, je n'ai pas besoin de ça … 

 

Et puis, paradoxalement, alors que j'étais dans cet hôtel comme ... "professionnelle", c'est là que j'ai pris conscience du sentiment que j'éprouve pour tout mâle qui me baise ... de l'attachement, de la tendresse ... presque de l'amour ! C'est involontaire, automatique, de l'ordre de l'instinct. Ça doit être une question d'hormones sécrétées spontanément par mon cerveau aussitôt qu'un mâle s'accouple avec moi. J'ai lu quelque chose sur l'ocytocine, cette hormone qui déclenche l'attachement d'une mère pour son bébé, ou d'une femme pour son homme ... Cette chimie du corps qui induit nos actes et nos pensées doit être un vestige de notre animalité ... dopamine, endorphine, ocytocine ... hormones du sexe ! A commencer par les phéromones que, soit disant, les humains auraient perdu la faculté de percevoir ... et si, par je ne sais quelle inversion de l'évolution, certains individus avaient retrouvé cette faculté ... Je suis certainement de ceux-là, parce que, j'en suis sûr, les effluves diffusées par les mâles déclenchent en moi un besoin irrépressible de m'accoupler avec eux ...

 

Bon, continuer à vendre mon cul … ou plutôt à le louer, ça aurait l'avantage de me procurer plein de coups de bites … mais … je ne sais pas. Je vais réfléchir, mais ce n'est pas l'enthousiasme. Laissons passer un peu de temps. 

 

Je n'ai pas revu ma voisine. Quand je vais la voir, j'aurais mon essai à lui raconter, et elle qui a envie de se faire grimper par plusieurs types, il faudra que je lui suggère d'aller faire un stage chez Lionel et Carole.

 

Dimanche 19 novembre. 13 heures

 

Téléphone.

- Salut … c'est Jean-Claude …

- Ah ? Salut. Ça va ?

- Ça va, ça va … Et toi ?

- Moi ça va … Qu'est-ce qui me vaut …

- Faut que je te parle …

- Je t'écoute …

- Euh, je préfère pas par téléphone … Tu peux venir me voir ?

 

Si il veut que je vienne, ça peut être bon pour moi. Il va peut-être vouloir me baiser à nouveau …

- Ben oui … Quand tu veux … cet après-midi ?

- Euh, non, je peux pas … la semaine prochaine ?

- Dis moi quel jour, je te dirai si c'est possible …

- Samedi matin ?

- A priori, oui. Mais c'est à quel sujet ?

- Je peux pas te dire par téléphone … Il faut que … je dois te présenter à quelqu'un …

 

Tiens, me présenter à quelqu'un ! Pour quoi faire ? Compte tenu de la nature de nos rapports, c'est forcément pour une histoire de cul … Alors, pourquoi tant de mystères ?

- Ah bon ? Me présenter à quelqu'un ? Pour du cul ?

- Non, non … Dis moi à quelle heure tu pourras être là …

 

Il paraît vraiment embarrassé.

- Je ne sais pas, dix heures …

- Pas avant ?

- Bon, neuf heures ?

- Ouais. Mais neuf heures pétantes, hein …

- Pas de problème … Il faut que je mette une de mes tenues … spéciales ?

- Non, non, pas la peine. A samedi, alors. Salut.

- Salut. 

 

Une fois encore, il m'expédie. Qu'est-ce qu'il me veut ? Il veut me présenter à qui ? La question me turlupine un moment, et je finis par me dire que, malgré ses dénégations, c'est sûrement pour du cul … peut-être un de ses copains qui a besoin de tirer un coup …

 

Samedi 25 novembre. Neuf heures moins dix.

J'entre et je me gare dans la cour de la ferme. Les deux Dogues allemands sont dehors. Cette fois, plus d'inquiétude, je descends tout de suite de ma voiture. Ils m'accueillent en me faisant la fête. Ah, les bonnes bêtes ! Et les BELLES bêtes ! Une vague d'émotion me submerge. Ce qu'ils sont beaux, nom de dieu ! Des athlètes, musclés, puissants … qui dégagent une telle impression de force ! Quand je pense que je me suis accouplé avec ces deux molosses ! En les revoyant comme ça, je n'en reviens pas de m'être fait couvrir par ces animaux … PAR DES ANIMAUX ! Je n'en reviens pas non plus de m'être fait INSÉMINER par eux ! INSÉMINÉ … FÉCONDÉ … ENGROSSÉ par ces BÊTES ! Aucun sentiment de honte ou de culpabilité, j'ai pour eux le même sentiment de reconnaissance, d'attachement, de tendresse que pour n'importe lequel de mes amants ! 

 

Ils me font fête et pas seulement parce qu'ils ont reconnu quelqu'un de leur connaissance … non, je sens, je suis sûr qu'ils ont reconnu la femelle avec qui ils se sont accouplés il y a un mois  … ma présence réveille sûrement d'agréables souvenirs en eux. D'emblée, ils me fourrent leur mufle dans l'entrejambe. Puis l'un d'eux – Into ou Iago ? – se met à sauter joyeusement en direction de l'entrée de la maison, et se retourne vers moi, comme s'il attendait que je le suive … C'est sans doute un effet  de mon imagination, mais ça a tout l'air d'une invitation: « Viens avec moi dans le salon, comme l'autre jour, je vais t'en remettre un coup dans le cul ». Je le rejoindrais bien, en effet, si l'autre ne s'était pas dressé contre moi pour me donner de grands coups de langue sur la figure, m'obligeant à m'adosser à ma voiture pour ne pas tomber. Je me laisse faire, et j'en profite pour tendre la main sous son ventre et lui caresser le sexe comme je peux. Oh la la, cet énorme vit ! C'est avec ça qu'il m'a pénétré et inséminé ! Comme j'aimerais recommencer, me faire encore couvrir par ces deux molosses ! Prendre notre temps, cette fois … les laisser me saillir et s'installer … laisser leur bulbe érectile gonfler tranquillement en moi … les laisser se verrouiller dans mon rectum … rester collés … sentir leur sexe énorme vibrer en moi pendant qu'ils éjaculent … Une vague de chaleur m'inonde le bas ventre à cette évocation, et un frisson me parcourt la prostate et l'anus.

- Ça va, les chiens !!!

 

Je n'ai pas vu Jean-Claude apparaître sur le seuil de sa maison. Un autre amant … humain, celui-ci. Mon … amant canin m'abandonne et son frère et lui rejoignent leur maître.

- Salut. Entre.

 

Au moment où je passe devant lui, je lui effleure le bas ventre du plat de la main. Il réagit:

- Arrête, j'ai pas la tête à ça …

 

Ouh la la ! Qu'est-ce qui se passe ? Nous voilà dans le salon, mes deux potes chiens sur les talons. Jean-Claude me désigne un des fauteuils. Il a vraiment l'air gêné. Je m'assieds, les deux bêtes entreprennent aussitôt de me grimper dessus. Jean-Claude:

- Couchés, les chiens !!

 

Ils s'assoient devant moi,  et m'observent, les oreilles dressées. Un des deux chiens a le bout de sa bite qui sort de son épui pénien, rouge et luisant. Je le fais bander ! Moi aussi, ça m'excite. Mais Jean-Claude n'a pas l'air disposé à me laisser batifoler avec ses molosses. Alors j'attaque:

- Qu'est-ce qui se passe ? T'as l'air bien sérieux.

 

Il se râcle la gorge.

- C'est au sujet de mes chiens …

- Ils vont bien ? Je ne les ai pas traumatisés, au moins ? Je leur ai foutu une maladie vénérienne ?

 

Je plaisante, mais son air grave m'intrigue.

- Non, non, rien de tout ça … Mais, tu te rappelles, je t'avais dit que l'éleveur où je les ai achetés voulait que mes chiens fassent des saillies à des femelles …

- Oui, tu m'as parlé de ça … Et alors ?

- Alors, je les ai emmenés chez lui … il avait deux femelles en chaleurs … je les ai laissés … en principe pour une semaine … et le type m'a rappelé au bout de deux jours …

- Ah bon ? Et alors, c'est pas normal ? Ils n'ont pas réussi leurs saillies ? Ils n'ont pas voulu couvrir les chiennes ?

- Si, si … au contraire … c'était fait et même bien fait … tout de suite, le premier jour … Dès le lendemain, les chiennes ont refusé de se faire couvrir de nouveau … c'est le signe qu'elles étaient fécondées …

- Alors, où est le problème ? 

- Justement … c'est vraiment inhabituel pour des chiens aussi jeunes … enfin … pour des chiens qui couvrent une chienne pour la première fois …

- Et ben, c'est bien. C'est qu'ils sont doués …

- Oui, mais "ils sont doués", ça va pas comme explication. Quand je les ai achetés, je me suis engagé à réserver leurs cinq premières saillies à cet élevage, où je les ai achetés. C'était dans le contrat. Sinon, je les aurais payés bien plus cher. Alors, là, normalement, c'était leur première fois, et en principe, la première fois, ça prend du temps, ils ne savent pas comment s'y prendre, ils tournent autour de la femelle, ils ne la prennent pas comme il faut … des fois, ça peut mettre quatre, cinq jours …

 

Ah OK, je commence à voir … Jean-Claude poursuit:

- Alors que là, l'un comme l'autre, ils y sont allés direct, ils ont couvert les femelles du premier coup, et ils les ont fécondées aussi du premier coup …

- Bon, c'est du temps de gagné … Et alors ? En quoi je suis concerné ?

- Ben justement … l'éleveur a tout de suite flairé quelque chose de pas normal. Il a l'habitude, c'est son métier, ça fait vingt ans qu'il élève des Dogues allemands … et des chiens d'autres races, aussi … que des molosses … et il avait jamais vu ça. Dix jours avant, il avait eu chez lui deux frères de la même portée que Iago et Into, et ceux-là ont tâtonné, hésité … et l'un des deux a mis trois jours pour y arriver, et l'autre cinq jours … et c'est ça qui est normal, il paraît, pour des premières fois … pas qu'ils couvrent les chiennes du premier coup …

- Alors ? Il est peut-être étonné, mais il devrait être content, ton éleveur. Il devrait te remercier … enfin … ME remercier …

 

J'ai compris en quoi ça me concerne: c'est moi qui les ai déniaisés, et grâce à moi, ils ont trouvé tout de suite le mode d'emploi des femelles …

 

Jean-Claude:

- Ouais, ben c'est pas le cas. Au contraire, il me fait des histoires. Il pense que j'ai fait faire des saillies à mes chiens chez quelqu'un d'autre … pour de l'argent … alors qu'il devait avoir l'exclusivité …

 

Au fond, c'est marrant. Je ne peux réprimer un sourire:

- Ben c'est un peu ça … tu leur as bien fait faire des saillies … sauf que c'était pas sur des chiennes … et que c'était pas pour de l'argent … j'ai pas payé …

 

Ça ne le fait pas rire:

- Te marres pas, il parle de rupture de contrat … en plus, il est expert pour les tribunaux, et il me laisse entendre qu'il pourrait me faire vraiment chier, demander des dommages et intérêts … d'autant que, paraît-il, il y avait des témoins que mes chiens ont sailli les femelles sans hésiter … les maîtres des femelles et des gens qui ont réservé des chiots des futures portées et qui voulaient voir les mâles … c'est des chiens avec pedigree, tu sais … alors c'est tout un cérémonial …

- Bon … et alors ?

- Ben … il m'a fait tellement d'histoires que j'ai fini par lui dire ce qui s'est passé …

- Comment ça ? ! ? !

- Oui, je lui ai dit que c'était pas des chiennes qu'ils avaient couvert …

- Quoi ? Tu lui as dit qu'ils m'ont sailli ! ? ! ? ! ?

- Ecoute … j'étais emmerdé … il était vraiment en rogne … il m'a vraiment menacé … il m'a cité des articles de loi …  il m'a parlé d'un expert en comportement animal qu'il a contacté … tout ça, quoi. Il m'a paniqué et je savais plus comment m'en sortir … alors j'ai balancé ça sans réfléchir …

- Bon … et alors, il te fout la paix, maintenant ?

- Ben non … pas vraiment … c'est même encore pire …

- Comment ça ?

- Ben maintenant, en plus, il me menace de balancer que je me sers de mes chiens pour … pour ça … pour qu'ils niquent quelqu'un … il a parlé de … zoophilie … C'est ça ? C'est de la zoophilie, ce que tu as fait avec eux ?

- Oui, c'est ça. Et il te menace de balancer ça auprès de qui ?

- Je sais pas … des gens … il connaît plein de monde dans la région … des collègues à moi ... agriculteurs … il a cité des noms de collègues que je fréquente pour le boulot, au syndicat … il a parlé de journaux, aussi … 

- Alors, qu'est-ce qu'il veut, exactement ?

- Ben, il dit qu'il me croit pas … il veut une preuve … ou alors, il porte plainte contre moi et il me balance …

- Mouais, si il porte plainte en t'accusant d'avoir fait saillir d'autres chiennes que les siennes, il peut pas, en même temps, balancer que tes chiens ont baisé quelqu'un … faut être logique.

- Je … je sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai pas envie de me payer un procès et que j'ai pas envie d'avoir un scandale de … de zoophilie sur le dos …

- Bon. Il veut une preuve ? Quelle preuve ?

- Il veut rencontrer la personne qui a … qui a couché avec mes chiens, quoi …

- Pour quoi faire ?

- Pour que cette personne lui confirme ce qui s'est passé … en plus je lui ai pas dit que c'était … un homme … ni une femme, d'ailleurs … j'ai seulement dit "une personne" … j'ai dit "mes chiens, c'est une personne qu'ils ont saillie" … il m'a demandé si c'était moi … je lui ai dit que non, évidemment.

- Ben oui ... EVIDEMMENT. Et si je te comprends bien, tu voudrais que je rencontre ce mec, et que je lui dise "Oui, c'est moi qui me suis fais saillir par les chiens de Jean-Claude, c'était le pied, et j'ai joui comme une folle …"

 

Il me regarde, penaud. J'en rajoute une couche:

- Mais, t'es au courant que la zoophilie est interdite, en France ? Si il me balance, ou plutôt si il NOUS balance, ça peut se finir en taule … 

- Je pense pas qu'il nous balancera …

- « Je pense pas qu'il nous balancera …» Me voilà rassuré.

- Non … mais attends, je crois pas que ça ira jusque là … Il doit vouloir un dédommagement, ou je sais pas quoi … c'est un tordu, ce mec. Et puis quand même, il aura pas VRAIMENT de preuve que … que tu … il n'aura que notre confirmation verbale … ça ne suffit pas devant un tribunal, je pense … si il porte plainte pour ça, la zoophilie, on niera … comment il va prouver ? Il peut pas … Mes chiens ont niqué ses chiennes du premier coup ? Et alors ? Peut-être ils sont doués … peut-être ils ont niqué une chienne ici, sans que je le sache … une chienne, elle peut rentrer chez moi comme elle veut, si mes chiens ne peuvent pas sortir … Non ? Tu crois pas ? 

- Ben pourquoi tu t'es pas contenté pas de cette explication dès le départ ? C'est plausible. Pourquoi t'as eu besoin de lui dire que c'est un mec qu'ils ont sauté, tes chiens ?

- J'ai pas dit que c'était un mec … j'ai dit "quelqu'un … une personne" … et je sais pas comment c'est venu … il m'a manœuvré, il m'a mis la pression, il m'a pas laissé le temps de réfléchir, et sur le coup ça m'a paru moins grave de lui dire ça … je me suis dit qu'il s'en foutrait que mes chiens aient niqué quelqu'un plutôt que des chiennes, et que comme ça, il pourrait pas dire qu'il y avait rupture de contrat pour les saillies que je lui dois … je sais, c'est con … Bon, de toute façon, maintenant, c'est fait et faut s'en sortir … Tu lui dis "oui, c'est moi qui ai fait ça ", et voilà, le problème est réglé … 

 

Au fond, il a un peu raison. Reste que je me vois mal avouer froidement à un inconnu qu'en effet, je suis le genre de mec à me faire grimper par des chiens … Il insiste:

- Alors, t'en dis quoi ?

- J'en dis que … tu as sûrement raison: si c'est seulement verbal, ce qu'on peut lui dire à lui, ça n'est pas une preuve … c'est seulement une explication … 

- Voilà …

- Oui, mais … c'est plutôt gênant, d'avouer ce genre de chose …

- Oui, je comprends … mais ce mec, il te connait pas et tu le reverras jamais … alors, qu'est-ce que ça peut foutre ?

 

Facile pour toi, mec … Jean-Claude voit que je cogite et il me laisse mûrir tout ça quelques instants. Mais là aussi, au fond, il a raison, c'est vrai que je m'en fous d'avouer ça à un type que je ne connais pas. Quand on s'est fait passer dessus par trente mecs d'un coup, se faire saillir par deux molosses, c'est de la bricole … Et puis, d'un autre côté, ça ferait de Jean-Claude mon obligé: si je le tire de ce mauvais pas, il ne pourra pas me refuser une contrepartie … sa bite à lui ou celles de ses chiens … Bon, je me décide: je veux bien confirmer à l'éleveur ce qui s'est passé, à condition que ça soit seulement verbal et qu'il ne connaisse pas mon identité … Jean-Claude répète:

- Alors, t'en dis quoi ?

- Bon, admettons, je lui confirme … Comment on fait ? On va chez lui ? Tu le feras venir ?

 

Il se racle la gorge:

- Ben … il vient ce matin. C'est pour ça que je voulais que tu viennes tôt…

- Tu aurais pu me demander mon avis avant, non ?

- C'est ce que je fais: je te demande ton avis. Si t'avais pas été d'accord, tu l'aurais pas rencontré … je me serais démerdé autrement. Tu lui confirmes verbalement ce qui s'est passé, et puis voilà … je pense que ça suffira …

- Alors, deux conditions: il ne doit pas connaître mon identité … et déjà, il va falloir planquer ma voiture, je ne veux pas qu'il me retrouve par mon immatriculation … deuxièmement, tu vérifies qu'il n'a pas de micro ou de caméra, ou je ne sais quoi dans ce genre …

- Comment je fais ?

- Tu te débrouilles, tu le fouilles … Ou non, moi, je le fouille …

- Non non non !! J'aime mieux pas que ça soit toi qui le fouille … Je le ferai.

- Bon, comme tu veux … il arrive à quelle heure, ton éleveur ?

- Je lui ai dit neuf heures trente, dix heures …

- Où je peux planquer ma voiture ?

- Dans le deuxième hangar, celui du fourrage. J'en ai vendu et il y a de la place à côté des rouleaux qui restent …

- J'y vais.

 

Je sors, les chiens sur les talons, et je range ma voiture où il m'a dit. Quand je reviens dans le salon, il a l'air moins soucieux:

- Je voulais te dire … euuuuh, je te remercie …

 

Je profite de la situation:

- Ça méritera une compensation … tu crois pas ?

 

Il me voit venir, je pense. Il sourit, gêné:

- Quel genre de compensation ?

- Devine.

 

Je m'approche de lui et je tends la main vers son entrejambe:

- Qu'est-ce qui pourrait me faire plaisir, d'après toi ? 

 

A sa tête, je vois qu'il a compris. Je lui touche le pantalon, au niveau du sexe:

- Je peux, là ? Un acompte …

 

Ce n'est pas vraiment une question. Il ne répond ni oui, ni non. Je plaque franchement ma main sur son pantalon et je tombe à genoux à ses pieds. Les chiens dressent la tête et les oreilles, et tous deux se précipitent vers moi et entreprennent de me grimper. Leur maître les arrête:

- Into ! Iago !  Couchés !

 

Les deux molosses s'écartent et se couchent. En tout cas, Jean Claude se laisse faire. Je frictionne un peu sa queue, puis je pose ma bouche sur la bosse que font sa bite et ses couilles sous la toile. 

- J'ai envie de te sucer …

- Il va arriver, le mec …

 

Il finit à peine de dire ça … les deux chiens se mettent à aboyer – putain, quelles voix ! – et un bruit de moteur résonne dans la cour. Le type est déjà là. Vachement en avance ! Les chiens se lèvent. Je continue de parcourir la verge de Jean-Claude du bout des lèvres à travers la toile de son pantalon.

- Arrête, c'est lui !

- Hhhhmmmm … allez … vite fait …

- Mais, arrête, j'te dis …

 

Il me repousse. Je me relève pendant que Jean-Claude jette un coup d'œil à travers le rideau de la fenêtre.

- Ouais, c'est lui.

 

Il sort, ses deux chiens sur les talons. Je l'entends discuter avec quelqu'un. J'ai le cœur qui bat, la bouche sèche. C'est plus long qu'un simple accueil poli. Je regarde à mon tour par la fenêtre. A côté d'une grosse fourgonnette, un type qui doit avoir la cinquantaine, petit, enveloppé, grisonnant, habillé genre gentleman farmer. Les chiens lui font la fête. Ils le reconnaissent: ils sont nés chez lui, et dernièrement, ils sont même allés y tirer un coup. Ça discute fermement, avec force gestes véhéments. Je ne comprends pas ce qu'il dit, mais à son ton, je devine que Jean-Claude argumente. L'autre finit par secouer la tête, d'un air résigné et mécontent et il lève les bras à l'horizontale. Jean-Claude le palpe sous sa veste, puis au niveau des poches de son pantalon… avant de soupeser les poches de la veste … une fouille en règle. Je ne pensais pas que Jean-Claude le ferait. Le type sort un objet plat d'une poche … on dirait un smartphone … qu'il montre à Jean-Claude.  Jean-Claude fait un signe au type qui rouvre la portière de son fourgon, et qui dépose son téléphone sur le tableau de bord. Puis je vois Jean-Claude emmener ses deux dogues vers l'écurie en face, et les y enfermer. Enfin, Jean-Claude rentre, l'autre sur les talons. Je n'ai plus le cœur qui bat trop vite, mais j'ai les jambes en coton. Le type me découvre, surpris, l'œil froncé. Jean-Claude me présente:

- Voilà, c'est Monsieur qui a … enfin, vous savez quoi …

 

L'autre me dévisage, m'observe de la tête aux pieds, incrédule … et, bien sûr, il ne me tend pas la main:

- Mais … c'est … c'est un … c'est UN HOMME !

 

Jean-Claude, penaud:

- Ben oui … comme vous voyez …

- Mais … vous m'avez dit … vous m'avez parlé d'une femme …

- Non, je vous ai dit "une personne"  … je vous ai pas dit que c'était une femme … j'ai dit "une personne" … je suis sûr …

 

L'autre n'en revient pas. Il avait dû se faire un numéro en imaginant une femme avec les deux chiens de Jean-Claude, et voilà qu'il tombe sur un mec. Il n'en finit pas de me détailler, comme s'il devait mettre à jour son scénario:

- Alors, c'est vous qui … c'est vous le … c'est vous le … le PERVERS …

 

Il a craché ça avec mépris. Bon, pas la peine de l'exciter en répliquant vertement.

- Oui, c'est moi. Qu'est-ce que vous voulez savoir ?

- Déjà, je veux vous dire que c'est encore pire que ce que … Monsieur Jean-Claude m'avait dit. Un HOMME ! Un HOMME qui se fait … saillir par des chiens ! J'ai du mal à croire ça … déjà, une femme … 

- Ça vous paraîtrait plus naturel, si c'était une femme ?

- Non … mais … une femme et un chien … c'est femelle et mâle, tout de même … et j'ai déjà entendu dire que ça existait …

- Bon, ben ça aussi, ça existe … un homme et un chien … la preuve. 

- Mouais … mais avec un homme, je doute que ça marche … c'est … c'est pas possible !

- Pourquoi donc ?

- Ben … question de … de taille … Une femme, c'est … physiquement, c'est prévu pour, en tout cas … une femme, son … son … 

 

De la main, il désigne son bas-ventre:

- Comment ça s'appelle ? Quand elle accouche … 

- Son utérus ? Son vagin ?

- Voilà ! Son utérus, ou son vagin … ça peut laisser passer la tête d'un enfant, quand elle accouche. Alors la … la … la bite d'un chien, quand elle est gonflée, même si c'est énorme, d'accord, je veux bien croire qu'une femme puisse se faire … mais un homme, je vous le dis, j'y crois pas ! Vous avez déjà vu la … le … le sexe d'un chien, quand il … quand il couvre une chienne ?

- Ben oui … j'ai même fait mieux que voir …

- Hein ?

 

Il n'a pas compris et, tout à son emportement, il poursuit:

- Moi, j'ai déjà vu … quand mes chiens font une saillie … j'ai vu ce qu'ils sortent de la femelle quand ils ont fini ! 

 

Avec ses deux mains, il forme un cercle pour nous montrer la taille de l'objet, et il enchaîne:

- Et encore, à ce moment-là, quand ils sortent de la chienne, ça a déjà commencé à dégonfler … Alors, comment voulez-vous … ça peut pas rentrer … dans …

 

Jean-Claude toussote:

- Hemmmm ! Moi non plus, je croyais pas que c'était possible, avant … mais, j'ai vu, et si, c'est possible …

 

L'autre esquisse de nouveau la forme d'un bulbe érectile avec ses mains et éructe:

- De cette taille là ? ! ? ! Vous voulez me faire croire qu'un … qu'un truc pareil pourrait rentrer dans … dans un …

 

J'interviens:

- … rentrer dans un cul ? Ben oui, c'est possible. Dans le mien, du moins, ça peut rentrer, que vous le croyiez ou non. Question d'entraînement.

- Question d'entraînement ? Pourquoi, vous vous faites souvent … saillir … par des chiens ?

- Non. C'était la première fois. Je vous parle d'entraînement avec des jouets spéciaux … des sextoys … des gros sextoys … des TRÈS GROS sextoys !

 

Ça le scotche. Bouche ouverte, il roule des yeux tout ronds. J'enfonce le clou:

- Vous savez ce que c'est, des sextoys ? Des godemichés, quoi …

- Ben oui, je sais ce que c'est…

- Ben, il y en a des vraiment gros … très gros … c'est ça que j'utilise ..

- Ah bon ! Je vois, alors.

 

Bizarrement, ça semble le convaincre. Je lui demande:

- Bon. Et alors, vous voulez savoir quoi d'autre ?

- Alors, si c'est ça, vous me confirmez que vous vous êtes vraiment fait … saillir par les chiens de … Monsieur ?

- Oui, je vous le confirme.

- Par les deux ?

- Oui. Successivement, par les deux chiens … à quelques minutes d'intervalle …

 

Pour confirmer, Jean-Claude hoche la tête avec beaucoup de conviction. L'autre nous regarde à tour de rôle:

- Je n'en reviens pas … ça fait vingt cinq ans que j'élève des chiens, je n'ai jamais entendu une chose pareille … Vous savez que c'est répréhensible, de faire ça ?

 

C'est à moi qu'il s'adresse. Alors:

- Oui, oui, je sais, la loi prévoit ça … même s'il n'y a pas maltraitance … alors que la loi laisse faire des choses bien pires aux animaux dans certains élevages …

- Je n'ai jamais maltraité mes chiens, Monsieur !

- Je ne parle pas de vous ! Vous, je n'en sais rien, je parle d'élevages de porcs ou de volailles où il se passe des choses bien pires que ça … bien pires que des rapports sexuels entre un homme et des chiens. Et puis, je vous assure que Iago et Into, on ne les a pas forcés …

- C'est vous qui le dites … et de toute façon, vous pouvez affirmer tout ce que vous voulez pour … pour blanchir et pour protéger votre … ami Jean-Claude … ça ne prouve rien …

 

Ce type commence à me fatiguer, avec sa morale et ses arguties. Alors je tends un index menaçant vers lui:

- Ecoutez … laissez-moi vous dire comment je vois les choses …

 

Jean-Claude me regarde, un peu inquiet de ce que je vais dire. Mais, depuis que l'autre est entré, il n'a pratiquement pas pipé mot et il m'a laissé me démerder. Alors:

- Vous soupçonnez  Jean-Claude d'avoir fait saillir ses chiens ailleurs que chez vous, ce qui, selon vous, vous porterait préjudice. Bon, outre que la réalité d'un éventuel préjudice reste à prouver, à part votre prétendue expérience et votre prétendue expertise, vous n'avez aucune preuve matérielle … ce qui fait que le résultat d'un éventuel procès contre Jean-Claude pour n'avoir pas respecté votre exclusivité est plus qu'aléatoire … De plus, la cour de cette ferme n'étant pas hermétiquement close, Into et Iago auraient très bien pu saillir des chiennes errantes … Par ailleurs, si j'ai bien compris, vous menacez Jean- Claude, en plus, de le dénoncer pour zoophilie. Pour expliquer le comportement de ses chiens, Jean-Claude a eu le tort de vous révéler un événement, peut-être moralement et juridiquement condamnable, mais pour lequel vous n'avez pas, non plus, la moindre preuve … à l'exception de son aveu et du mien que, bien évidemment, nous ne réitérerions pas devant un juge … Quant à faire circuler une rumeur de cette nature, sans aucune preuve, ça s'appelle de la diffamation. Et ça aussi, c'est répréhensible. Donc, vous avez l'explication, disons de … l'expertise de Iago et Into avec vos chiennes, mais vous ne pouvez rien en faire non plus … Alors, en ce qui me concerne, je ne vois pas bien ce que vous voulez de plus…

 

Il est interloqué par ma démonstration, mais il ne se démonte pas:

- Mais … la PREUVE, Monsieur, la PREUVE !

- Comment ça, la PREUVE …

- Oui, vous me dites que vous avez fait ça, mais vous ne m'en donnez pas la PREUVE … je n'ai que votre … affirmation … Et permettez-moi de vous dire que c'est assez … incroyable, comme histoire … Moi, c'est une PREUVE, que je veux … A défaut d'une preuve, je n'hésiterais pas à faire quand même un procès, avec beaucoup de bruit autour, parce que, même si je ne le gagne pas, il aura coûté beaucoup de temps et d'argent à monsieur Jean-Claude, et ça pourra servir d'avertissement à d'autres clients …

 

Avec Jean-Claude, on se regarde. Il devine la même chose que moi ?

- Mais quelle preuve vous voudriez qu'on vous donne ? Jean-Caude ne m'a pas filmé …

- Ah non ? C'est dommage pour vous, parce que, à défaut d'une preuve, je reste sceptique sur la réalité … et même sur la possibilité de ce … de cet … de ce prétendu accouplement entre un chien et vous … et la seule hypothèse plausible de … l'expertise de Iago et Into, comme vous dites, ça reste qu'ils aient sailli une chienne …

- Ah, d'accord ! Je commence à voir où vous voulez en venir …

- Ah oui ?

- Oui ! Vous voudriez voir ça de vos propres yeux …

 

Il écarte les mains, hausse les épaules et fait une mimique qui veut dire "c'est exactement ça: soit tu le refais devant moi, soit je ne te crois pas. A toi de voir".

 

Jean-Claude, lui aussi, a compris. Dans son regard inquiet, je lis "fais-le, s'il te plaît, fais-le, que je sois tranquille". L'autre nous observe, un petit sourire aux lèvres. Ce type est vraiment un tordu. Je me demande ce qu'il espère vraiment: me voir me faire saillir par un chien, ou avoir la confirmation qu'on lui a menti … et dans ce dernier cas, il en ferait quoi ? Rien. Il ne pourrait rien en faire, et il le sait ! Alors, ça ne peut être que ça: il veut voir de ses yeux… Et si ça se trouve, depuis que Jean-Claude lui a expliqué ce qui s'est passé, il se fout de cette histoire d'exclusivité pour les saillies non respectée … si ça se trouve, ce n'est que l'envie d'assister au spectacle de quelqu'un se faisant couvrir par un chien qui le motive …

- C'est ça ? Vous voulez voir ça de vos propres yeux ? Vous voulez que je me fasse saillir par un chien, là, maintenant, devant vous ?

 

Haussant de nouveau les épaules, il se contente d'un:

- Hé !

 

C'est exactement ça ! De cette simple exclamation, de cette simple mimique, il me confirme qu'il veut que je me fasse sauter par un chien devant lui ! Putain, c'est dingue ! On est dans une espèce de partie de billard à trois bandes, Jean-Claude, ce mec et moi … ou plutôt dans une partie d'échecs … ou de poker. Je ne sais plus trop quoi penser. Est-ce que ce type fait de l'intox ? Si ça se trouve, dès le départ, dès que Jean-Claude lui a parlé de zoophilie, il n'avait qu'une idée en tête: voir ça de ses propres yeux … Mais si ça se trouve, il doute vraiment que ce soit arrivé, et il croit qu'on bluffe … et là, en nous mettant en corner, il essaie de nous obliger à montrer notre jeu: soit on reconnaît que je ne me suis pas fait niquer par les chiens de Jean-Claude, soit je lui prouve que c'est possible en recommençant … Ce qu'il ne sait pas, c'est que, loin de me gêner, je ne demande que ça, de me faire encore saillir devant lui ! Ce type est une ordure, c'est un tordu, un maître chanteur … mais sans le vouloir, il vient de m'offrir une occasion de me faire encore baiser par un des molosses de Jean-Claude … ou,  pourquoi pas, par les deux ! En fait, quand Jean-Claude a commencé à me raconter cette histoire avec son éleveur, j'ai pensé à ça tout de suite … j'ai revécu cette séance en pensée et ça m'a redonné envie. Et pendant que je discutais avec ce type, l'idée de me faire de nouveau passer dessus par les chiens devant lui se faisait de plus en plus nette. Alors, dès que j'ai compris que ce type demanderait à assister à ça, ma décision a été prise: oui, je vais encore me faire saillir par un des Danois de Jean-Claude ! Et avec d'autant plus de plaisir que ça va se passer sous les yeux de ce type. Je lui souris, à ce con:

- Alors, écoutez moi bien … comme je vous l'ai expliqué, en fait, vous n'avez rien, ni contre Jean-Claude, ni contre moi . Et comme on ne vous en donnera pas plus, vous ne pourrez rien faire contre Jean-Claude ou moi. Donc, vous voyez, rien ne m'oblige à vous donner satisfaction … 

 

Je laisse ma sortie faire son petit effet. Ce mec en reste coi. Il blêmit. Il croyait nous tenir, et brusquement, il sent qu'il est dans une impasse … son visage se décompose et il jette des coups d'œil à Jean-Claude, comme s'il attendait de lui qu'il essaie de me convaincre. Jean-Claude me regarde, surpris, inquiet. Je les laisse mijoter quelques secondes, puis je reprends: 

- ... rien ne m'oblige à vous donner satisfaction … mais je vais le faire quand même … 

 

Vu sa tête, le type n'a pas compris ce que je viens de lâcher. Il regarde Jean-Claude comme s'il attendait une traduction. Jean-Claude a l'air à la fois sidéré et soulagé. Je poursuis:

- Hein m'sieur… vous avez entendu ce que j'ai dit ? 

- Je … non, j'ai pas compris …

- Je vous ai dit que je vais le faire … je vais me faire de nouveau baiser par un des chiens de Jean-Claude … MAINTENANT … DEVANT VOUS !

 

Les yeux écarquillés, la mâchoire tombante, il regarde alternativement Jean-Claude et moi. Je le laisse réaliser, et je poursuis:

- Et vous savez pourquoi, je vais le faire ?

- N… non …

- D'abord parce que je sens que ça soulagerait Jean-Claude … il a tort, mais il surestime encore votre capacité de nuisance …

 

Jean-Claude fait une espèce de moue en secouant la tête, comme pour dire que non, qu'il n'est plus tellement inquiet. Avant qu'il ait le temps d'intervenir, je le coupe:

- … mais surtout, je vais le faire … parce que j'aime ça …

- Pardon ?

- Je vais le faire parce que j'aime me faire bsiser par des cheins ! Je vais recommencer parce que l'autre jour, quand Iago et Into m'ont baisé, j'ai adoré ça ! D'une manière générale, j'adore me faire baiser par des hommes, mais par des chiens montés comme ces deux-là, c'est vraiment autre chose ! Un SUMMUM !

 

L'autre est interloqué et ne sait pas quoi dire. J'enfonce le clou:

- Vous êtes conscient que vous ne pourrez rien faire non plus de ce que vous allez voir ?

- Ben … je … oui …

- Le seul avantage que vous en tirerez, c'est que, comme ça, vous verrez que c'est possible, et que Jean-Claude vous a dit la vérité ..

- …

 

Il ne répond pas, mais, à sa tronche, je sens que le voilà rasséréné. Il a même l'air satisfait … il va assister à ce pour quoi il a fait tout ce numéro … C'est même curieux, j'ai une drôle d'impression. Comme si ce n'était pas le fait que j'accepte qui l'étonne, mais le fait que j'accepte si facilement. Jean-Claude, lui, est soulagé:

- Tu … t'es sûr, hein …

- Oui … si t'es d'accord, bien sûr… c'est tes chiens …

 

L'autre s'empresse d'intervenir:

- Euh … attendez … vous faites ça avec un des chiens de Monsieur Jean-Claude, si vous voulez, mais  … j'en ai amené …

- Vous avez amené un chien ! ? ! ?

- Et pourquoi pas …

 

Encore plus tordu que je pensais, ce type ! On se regarde avec Jean-Claude. Moment de flottement. Je demande à l'autre:

- C'est quoi, votre chien ?

- Un Cane corso. Vous connaissez ?

- Non. C'est gros ?

- Ah oui, c'est gros ! 

 

Il a dit ça sur un ton de jubilation et de fierté. Jean-Claude hoche la tête avec conviction: lui aussi trouve que c'est gros, un Cane corso. Je demande:

- C'est plus gros que les Dogues de Jean-Claude ?

- Ah non. Si vous voulez, c'est moins … HAUT que le Dogue allemand, mais c'est plus râblé … C'est autre chose, vous verrez … Moi, je trouve ça plus impressionnant … et point de vue … 

 

D'un geste maladroit, il montre son propre entrejambe:

- … si vous aimez les gros hem hem… ça devrait vous plaire …

 

OK, compris ! Il veut dire "point de vue grosse bite" ! Une étincelle très vicelarde dans son œil. C'est ça, ironise, connard … Bien sûr, que j'aime les grosses bites, et j'espère bien que ça va me plaire, c'est surtout pour ça que je vais le faire. L'air excité, le type poursuit:

- Vous connaissez pas le Cane Corso ? Il a vraiment une grosse …

 

Les yeux écarquillés, un sourire lubrique sur les lèvres, il redessine d'un geste des deux mains, une forme plutôt conséquente. C'est quoi, le diamètre du knot de ce molosse, ou la longueur de sa verge ? Je lui demande:

- Il a une très grosse bite ?

- Oh oui ! Vous connaissez vraiment pas ?

- Non, je ne connais pas. Bon, vous permettez ? Je voudrais dire deux mots à Jean-Claude.

- Ben ... oui, faites …

 

J'entraîne Jean-Claude à l'entrée de la cuisine, et gardant un œil sur l'éleveur, je lui murmure:

- Tu connais ça, un Cane corso ?

- Ouais, j'en ai vu chez lui … c'est du GROS chien. De toute façon, il n'élève que des grosses races … que des molosses …

- Bon, je vais le faire … mais deux choses: il faut que son chien soit muselé, et lui, il ne faut pas le quitter d'une semelle. Je ne veux pas qu'il puisse prendre je ne sais quoi dans sa voiture, comme son smartphone ou autre chose. 

- T'es sûr, hein … je sais pas comment c'est, un Cane corso … point de vue … point de vue de la taille de sa bite  …

- On verra bien. Va avec lui chercher le chien … de toute façon, si c'est lui qui … fournit le chien, qu'est-ce que tu veux qu'il fasse, après … il devient complice … 

- Ouais, t'as raison … 

- En parlant de smartphone, t'en as pas un, ou un camescope, pour les filmer, lui et son chien, pendant que … ? Comme ça, on le tient, si il nous cherche encore des poux …

- Ben, oui, j'ai mon téléphone … il fait photo et vidéo …

- Très bien.

- Euh … dis … je voulais te dire …

- Oui ?

- Tu sais … même si y'avait pas eu cette histoire, avec ce type … et ben … 

 

Il déglutit, gêné, et il poursuit:

- … et ben, je t'aurais quand même appelé …

- Ah oui ?

- Oui. Pour te … tu vois ? 

- Non. Précise …

 

En fait, je me doute, mais je voudrais qu'il le dise. Il se dandine d'un pied sur l'autre:

- … pour recommencer … comme l'autre jour … toi et moi …

- Pour me baiser, tu veux dire ?

- Oui. J'arrête pas d'y penser.

- Hhhmmmm, très bien, Jean-Claude. On en reparlera. 

 

Yesss ! Ça y est ! Il a de nouveau envie de me baiser ! Bon, pour le moment, je dois penser à ce qui va se passer maintenant. L'idée du smartphone me plaît, non seulement parce qu'elle nous protège de velléités néfastes de ce type, mais aussi parce que, comme ça, je vais être filmé en pleine action … Je m'apprête à retourner vers l'éleveur, mais Jean-Claude me retient par le bras:

- Attends … je préfère que ça se passe en face, dans l'écurie … ça te dérange pas ?

- Ben … non, comme tu veux …

 

Il a l'air embarrassé. Il hésite une seconde, puis il reprend:

- Je … tu sais … ce mec, il m'avait fait comprendre qu'il voudrait voir ça de lui-même … et je me disais qu'il pourrait nous obliger … enfin, t'obliger, toi, à le faire ... et qu'il faudrait que … que tu recommences devant lui … 

- Ah bon !

- Oui. Alors j'ai … j'ai chauffé l'écurie … j'aime mieux que ça se passe pas dans la maison.

 

Il a vraiment tout prévu et organisé, le Jean-Claude !

- T'as chauffé l'écurie ?

- Ouais. J'ai un appareil pour chauffer les serres, tu sais … Je l'ai mis en marche depuis 8 heures, ce matin. Il doit y faire bon, maintenant.

- Bon. Comme tu veux. 

 

Ah, Jean-Claude ! Tu savais comment ça allait se terminer. Je reviens vers l'éleveur:

- Bon, je vais le faire avec votre chien … il est comment ?

- Le Cane corso, vous ne connaissez pas ? C'est un GROS chien. Et surtout, il a un GROS …

 

De nouveau, il me montre avec ses mains. Je lui coupe la parole:

- Attendez ! Ça, j'ai compris, vous me l'avez déjà dit: il a un gros sexe. Ce que je vous demande c'est si il est gentil, ou agressif. Vous avez une muselière ?

- En principe, pas besoin … il est très doux et il m'obéit … mais si ça vous rassure …

- Oui, ça me rassure … On fera ça dans l'écurie …

 

Je le sens surexcité, impatient. Moi, mon énervement est retombé. Je me sens calme, presque serein, même si je me sens aussi baigné d'adrénaline … je vais encore me faire sauter par un molosse ! Un Cane corso ! Je ne sais même pas à quoi ça ressemble, un Cane corso, et j'ai pourtant accepté de me faire saillir par un chien dont les deux, là, m'ont dit que c'est très gros ! Au fond de moi, ça me plaît d'être comme ça, d'accepter de me faire sauter par n'importe qui ou n'importe quoi ! Ça me procure une drôle de sensation … un peu comme quand j'ai compris que Denis m'avait amené dans le troquet de son pote Jeannot pour m'offrir à des inconnus … une espèce de gratitude à leur égard, mêlée de fierté !

Et là, ce type … cette ordure … c'est à son chien qu'il va m'offrir ! A SON CHIEN, putain ! Parce que c'est ça, qu'il veut faire, plus que d'avoir la preuve qu'il prétend vouloir, il veut m'offrir à son chien ! Comme il lui offrirait une femelle Cane Corso ! Et bien ça me plaît ! Ça me plaît de servir de substitut de femelle Cane Corso ! Que des mecs m'offrent à d'autres mecs … ou à leur chien, j'en ressens de la fierté ! Je n'en reviens pas … en plus, je me sens presque … redevable … reconnaissant, vis-à-vis de cette ordure d'éleveur ! Et tout comme j'avais accepté sans poser de question de me faire sauter par de parfaits inconnus, j'ai d'ores et déjà accepté de me faire couvrir par le molosse de ce type, alors que je ne l'ai même pas encore vu ! 

 

Ce type insiste tellement sur le fait qu'il est gros, plus impressionnant que le Dogue allemand … ce n'est même pas une question de grosseur de sexe … c'est l'idée de sa … bestialité … ça contribue à m'exciter. Nous sortons. Quand il ouvre les portes arrière de son camion, une puissante odeur de fauve nous saute aux narines. Et puis, c'est la surprise, le choc ! Dans ce fourgon, il n'y a pas un chien, mais … un … deux … trois … quatre … cinq ! Cinq chiens ! Sur le coup, dans la pénombre, je ne distingue que des mufles contre les grillages, et des ombres … énormes. Ils sont dans des cages individuelles: trois cages en bas, et deux autres au-dessus. J'ai un mouvement de recul. Cinq masses énormes se sont levées à l'ouverture des portes, et cinq truffes se collent au grillage des cages. Les cages ont beau être grandes, les bêtes peuvent tout juste se tenir debout, tellement elles sont énormes ! Plusieurs se mettent à aboyer de leurs voix rauques, graves, profondes. Jean-Claude est aussi stupéfait que moi, et il recule aussi sous l'effet de la surprise. Une fois les deux portes du camion ouvertes, je les vois mieux. Visiblement, ils ne sont pas tous de la même race. Dans deux des cages du bas, je reconnais des Dogues comme ceux de Jean-Claude, mais blancs tachetés de noir. Dans la troisième cage du bas et dans une du haut, il y a deux autres chiens vraiment énormes, beiges, aussi grands que les Dogues, mais plus massifs, plus lourds, et dans la dernière, encore un autre, tout noir, peut-être un peu moins grand, mais plus râblé, plus costaud … Cinq molosses … tous avec une énorme tête carrée. Chacun des bestiaux est impressionnant, mais l'ensemble est vraiment … saisissant. L'éleveur, une main toujours posée sur une des portières, nous observe … ou plutôt m'observe, moi. Il désigne le chien noir:

- C'est lui, le Cane corso.

 

Une idée s'impose à moi, comme une évidence: ce type m'a proposé son Cane Corso … seulement son Cane Corso, mais vicelard comme il est, il n'a sûrement pas amené les autres simplement pour les promener en camion. Je parie qu'il les a pris pour la même raison: me faire grimper par ses cinq chiens … M'OFFRIR à ses cinq chiens ! Enfin, offrir "une femelle" à ses molosses, puisqu'il pensait avoir affaire à une femme. Mais découvrir que c'est un mec qui a déniaisé les Danois de Jean-Claude ne lui fait pas changer ses plans. Moi, servir de femelle à ses molosses, ça me va ! Instantanément, mon anus et mon ventre réagissent … me faire … me faire prendre par cinq molosses … l'un après l'autre … me faire féconder par cinq bestiaux comme ça ! Ah putain ! On n'en est plus à ce que des mecs m'offrent à d'autres mecs, comme l'ont fait Denis et Jacky … et Philippe, à sa manière … là, c'est un maître … un éleveur … qui voudrait bien me livrer à des mâles de son élevage ! Ce type est un tordu, un connard, mais qu'il ait organisé ce coup, ça me plaît ! Je ne sais pas si je vais me faire sauter par ses cinq clebs aujourd'hui, mais déjà, dans ma tête, j'entrevois les possibilités que sa fréquentation m'offre pour l'avenir … Tant pis si c'est une ordure, il faudra que j'aille faire un tour dans son élevage. Je sens ma queue commencer à gonfler dans mon string.

 

Et cette odeur ! Ça sent le chien, évidemment… mais pas seulement ! Ça sent aussi le mâle … ça sent la bête en rut … ça sent … le sexe ! Et ça, ça me … ça m'affole et ça me bouleverse ! L'éleveur me regarde du coin de l'œil, un petit sourire aux lèvres, satisfait de son effet. Qu'est-ce qui le fait sourire comme ça ? Ma tête en découvrant cinq chiens au lieu d'un ? La fierté d'avoir des bêtes aussi … magnifiques ? Ou l'idée qu'il se fait des réactions d'un zoophile devant cinq molosses ? En moi-même, je dois reconnaître qu'une fois la surprise passée, mon regard a été irrésistiblement attiré vers le ventre de cet énorme chien noir, puisque c'est avec lui que je vais m'accoupler. Il s'est assis, dans sa cage, et il nous regarde alternativement, son maître et moi, en haletant. Il se passe quoi, dans sa tête, à ce moment ? Il le sent, il le devine, qu'il a devant lui une femelle que, dans un instant, il va devoir couvrir et inséminer ? S'il a déjà couvert des chiennes, peut-être qu'il ne voudra pas d'un mec … Sous son ventre qui palpite au rythme de son halètement, j'aperçois son étui pénien, velu, qui tressaute aussi … putain, il a raison, son maître, il a vraiment une grosse bite, ce clebs … et … et oui … je vois aussi l'extrémité de son sexe qui dépasse légèrement, rouge et luisant, de son étui pénien … comme le Danois de Jean-Claude, tout à l'heure. Il est déjà en érection ? Oh, putain, oui, je veux qu'il me fourre ÇA dans le cul ! 

 

Et les autres, ils sont aussi bien équipés ? Presque sans m'en rendre compte, je me retrouve accroupi devant les cages, à m'efforcer d'apercevoir leurs bites par en-dessous !

 

- C'est tous des mâles ?

 

Merde ! Je n'en reviens pas, c'est sorti tout seul ! Moi qui ne voulais pas révéler mon excitation à ce sale type, je pouvais difficilement être plus clair sur mes arrières pensées. Oh, et puis je m'en fous. Mais je n'ose pas le regarder. Il est à côté de moi, la main appuyée sur une des portes de son fourgon, et je sens son regard posé sur moi:

- Hé hé hé ! Oui, c'est que des mâles …

 

Putain ! Il a ricané sur un ton tellement salace, cet enculé ! A son ton doucereux, je le sens triomphant: « Oui, c'est que des mâles et toi, t'as envie de te faire grimper par les cinq ! »

 

- Je vais vous sortir le Cane Corso 

 

Je me relève et je m'écarte. Il ouvre la cage et il saisit le collier du chien noir. Quand la bête saute sur le plancher, ça fait bouger tout le fourgon. Putain, le bestiau !

 

Falco 

- Voilà, c'est celui-là. Ça vous va ?

 

Poussée d'adrénaline ... frisson ... maintenant que la bête est devant moi, deux chocs à la fois antagonistes et complémentaires me frappent ... ce molosse est effrayant mais son apparence elle-même, cette brutalité, cette sauvagerie ... aiguillonnent mon désir ! J'ai comme un frissonnement dans l'anus et tout le périnée.

 

- Alors ? Ça vous va ?

- Je …  je sais pas … enfin, oui, ça me va ... Il pèse combien ?

- Celui-là, cinquante cinq kilos. Il est EXCEPTIONNEL !

 

Le maître cramponne le collier du chien qui tire pour venir me renifler. En fait, il est gris foncé, le poil ras et luisant … en effet légèrement plus petit que les Dogues de Jean-Claude, mais plus massif, les muscles saillants sous le pelage, et il dégage plus que les Dogues une impression de force, presque de brutalité. LA BÊTE ! Mais sous cette apparence presque sauvage, il a un  air bonasse et il remue la queue. Je m'approche, je me penche et je lui prends la tête à deux mains. Sa tête est plus massive que celle des Dogues. Il essaie de me lécher les doigts et tire sur son collier. Il a le poil aussi soyeux que les Danois de Jean-Claude. J'avance mon bassin et je colle mon bas ventre contre son mufle pour qu'il fasse ma connaissance à la manière des chiens.

Je n'ai plus aucun doute: je VEUX que cette bête me saute ! J'espère que je te plais, parce que tu vas devoir me baiser, mon gros père ! Pendant qu'il me fourre son museau entre les cuisses, qu'il me renifle et souffle un air brûlant sur le périnée à travers la toile de mon pantalon, je lui caresse les flancs. Son maître n'en revient pas de me voir si à l'aise, si peu effrayé par ce monstre.  Cette chaleur, cette puissance, cette force bestiale, sous mes mains … je sens mon désir monter, j'ai des frémissements dans le ventre, comme des décharges électriques dans la prostate, et mon rectum frémit. Oh oui, j'ai envie de me faire prendre par ce molosse ! Il est moins élégant, moins racé que les Dogues allemands, mais cette … bestialité ! Putain ! Etre sa femelle ... me donner à lui ... me mettre à quatre pattes devant lui et lui présenter ma vulve ... le sentir me lécher, le sentir me monter dessus et me saisir les hanches entre ses pattes avant ... le sentir donner des coups de reins à la recherche de mon fourreau ... sentir son vit, déjà dur et mouillé, taper dans ma raie et contre mes fesses et s'approcher de plus en plus de ma vulve … jusqu'à ce qu'il me pénètre ! Je me demande si son bulbe érectile est aussi gros que celui des Dogues … j'espère !

 

Le chien me renifle longuement et semble satisfait de son examen: on dirait qu'il a senti que, même si je ne diffuse pas de phéromones, je suis quand même une sorte de femelle en chaleurs, réceptive, fécondable. Il est vrai qu'avant lui, par je ne sais quel mystère et pour mon bonheur, des hommes, dès notre première rencontre, m'ont déjà perçu et traité comme une femelle en plein œstrus, réceptive, disponible … et même plus que ça: demandeuse de coït, de saillie … Quant à moi, après avoir découvert cette part de ma féminité, ou devrais-je dire de "femellité", je découvre avec délectation ma part d'animalité, de bestialité. Quelle volupté de susciter du désir chez ce molosse après l'avoir suscité chez les Dogues de Jean-Claude ! Parce que je n'ai aucun doute: à la manière dont il m'a reniflé, à la façon dont il me regarde, à sa soudaine nervosité, j'en suis sûr, il me veut ! Il essaie de se dresser contre moi pour me faire la fête et me lécher la figure. Hein, mon gros pépère, que tu as envie de me saillir et que tu vas me faire une portée ! Son maître le retient.

- Vous voyez, il est gentil, il vous a adopté … 

 

Lui, par contre, n'a pas encore compris. Il croit que son chien me fait la fête seulement par gentillesse. Il n'a pas encore intégré qu'entre son chien et moi, c'est déjà une affaire de sexe. Moi qui suis maintenant devenu une sorte d'expert en mâles, moi qui sais déchiffrer leurs réactions, deviner leurs pulsions, je le sais, son chien a d'ores et déjà envie de s'accoupler, de copuler avec moi. Oui, il est gentil, mais il a surtout envie de me niquer. Ça tombe bien, parce que, moi aussi, j'ai envie qu'il me nique.

 

- Mais … vous en voulez peut-être un autre …

 

Je le regarde. Ça veut dire quoi "vous en voulez peut-être un autre ?". Un autre à la place de celui-ci, ou un autre … en plus ? Je m'accroupis à côté du chien, je regarde sous son ventre et je lui touche le sexe … grosse bite ! Son bout, rouge et humide, pointe de plus en plus hors de son étui pénien. Le chien me regarde d'un air satisfait. Je le décalotte un peu plus. Puis je le lâche et je lève les yeux sur son maître. Il est à la fois excité et sidéré de me voir me comporter avec aussi peu de retenue, aussi peu de pudeur. Mais la retenue et la pudeur, quand on s'apprête à se faire baiser par un chien …

- Non, c'est bien, celui-ci  … 

 

Et puis, c'est plus fort que moi:

- Mais … c'est quoi les autres, comme races ?

 

Il me dévisage, un petit sourire triomphant sur sa sale gueule:

- Ben … il y a deux Dogues allemands … les mêmes que Jean-Claude…

- J'avais reconnu.

- … et deux Mastiffs. Les Mastiffs, c'est LES PLUS GROS chiens que j'aie …

 

Sur "les plus gros", il a insisté sur un ton qui évoque d'évidence la taille de leur sexe, plutôt que la leur proprement dite. En tout cas, ces deux-là sont apparemment aussi grands que les Dogues, mais plus massifs, plus lourds, poils courts, beige, gueule carrée, fripée. Il précise:

- Je n'élève que ces trois races là, mais … si les molosses, ça vous intéresse, je connais des éleveurs qui en élèvent d'autres races …

 

Y'a rien à faire, cette remarque là est aussi chargée de sous entendus. Il enchaîne:

- Vous connaissez le Pittbull ? C'est aussi un molosse … dangereux, mais il est plus petit que ceux-là … et si vous les préférez très gros, il y a le Berger sud-africain … ça, c'est très gros, aussi … quatre-vingt kilos, c'est assez courant … et je connais un éleveur … y'a le Fila brésilien, aussi … ENORME, le Fila brésilien ! Je connais aussi un éleveur. Et le Dogue argentin ! C'est plus petit, le Dogue argentin, mais si vous aimez les chiens sportifs et musclés, c'est bien aussi le Dogue argentin … Mais moi, j'élève que ça, le Cane Corso, le Mastiff et le Dogue allemand …

 

Je le sens hésiter, puis:

- Les Dogues, c'est aussi deux mâles, évidemment … et je les ai amenés, parce que … vous … vous connaissez déjà … alors je me suis dit …

- Vous vous êtes dit …

- Ben … que vous voudriez peut-être recommencer … plutôt avec ... des Dogues …

 

Voilà. Il avait ça en tête depuis le début … avec les Dogues ou avec les autres. Et il insiste … ça fait deux fois qu'il me dit que c'est que des mâles, sur un ton plein de sous-entendus. Sans en avoir l'air, sans le formuler ouvertement, il me les propose tous. Il m'observe, avec toujours le même petit sourire … Dans un coin  de ma tête, il y a un "ça me plairait bien … mais on verra, si c'est pas les cinq aujourd'hui, ça pourrait être pour plus tard", que je me garde bien de formuler pour le moment. Il insiste:

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Commentaires

Hummmmmm c'est vraiment trop bon, comme j'aimerais enfin me faire saillir par des bites canines.

J'attends avec impatience la suite, je suis toute mouillée comme une connasse de pute en chaleur

Bisessssssssssssssssssssssssssssssssss

commentaire n° :1 posté par : Jeanne travestie le: 30/06/2017 à 10h59

La suite va venir.

J'entends déjà les bestiaux aboyer.

réponse de : Solosexe le: 01/07/2017 à 09h16

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