Jeudi 1 juin 2017 4 01 /06 /Juin /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Alors que Francis, mon client – MON CLIENT ! – après m'avoir plaqué face à ce mur, en haut de l'escalier de l'hôtel, après m'avoir retroussé la jupe, est en train de me doigter, d'une main passée derrière moi, je lui tripote sa grosse queue à travers la toile de son pantalon. Si ça se trouve, excité comme il est, il va vouloir me prendre là, en levrette. Ça me plairait beaucoup. D'autant plus que, d'après Lionel, il reste des clients dans l'hôtel qui pourraient bien nous surprendre ici en pleine action. Me faire baiser, tout debout sous leurs yeux … ouaaaahhhh !

 

Mes deux autres clients – clients de baise, pas clients de l'hôtel - qui étaient montés avec nous, se sont éclipsés et sont entrés, pour nous attendre, dans la chambre qui, probablement, sert de baisodrôme. Dommage ! J'aurais préféré qu'ils restent pour nous regarder.

 

Je sens que je commence à perdre les pédales : la perspective de me faire fourrer par l'énorme queue de Francis et son doigtage en règle me rendent dingue. La joue collée sur mon avant-bras plaqué au mur, je me laisse emporter par ce ramonage digital et je commence à haleter. Comment résister à ça ?  Est-ce que les putes professionnelles se laissent aller à prendre du plaisir ?

 

Soudain, là-bas, à une quinzaine de mètres, au milieu du couloir, un type apparaît, une valise à la main. Il vient de sortir d'une chambre. Un client de l'hôtel ! Ah yessss ! Il ne nous remarque pas tout de suite, et ferme consciencieusement sa porte. Je me demande si Francis l'a vu, occupé comme il l'est à m'explorer la caverne avec ses doigts. Je balance: j'ai bien envie qu'on continue sous les yeux de cet inconnu, mais si moi ça m'excite de me faire tripoter en public, ce n'est peut-être pas le cas de Francis. Alors:

- Hé … il y a quelqu'un …

- T'inquiète, j'ai vu.

 

Ah bon, très bien ! Il a vu, mais il ne bouge pas … il continue de me fouiller le trou du cul avec ses doigts. Ça me va ! Me faire doigter comme ça devant un étranger ! Comme par réflexe, j'écarte un peu plus les jambes, et surtout les cuisses pour me faire fourrager le fourreau plus profondément. Le type qui vient d'apparaître est un homme entre deux âges … la soixantaine, peut-être … cheveux blancs, grand, mince, élégant dans un costume impeccable … cadre d'entreprise ou peut-être patron … Il se tourne dans notre direction pour gagner l'escalier où nous sommes … et il nous découvre. Il marque un temps d'arrêt, semble réfléchir … et il se met en marche … Douze mètres … Je l'observe, je veux voir ses réactions quand il va réaliser ce qui se passe. Dix mètres. Tout en avançant, il nous examine … Cinq mètres. Il me dévisage. Je suis conscient que, tel qu'il me voit, haletant, pantelant, bouche entrouverte, yeux mi-clos, je dois être l'image même de la femelle qui s'abandonne à la caresse du mâle.

 

Dans un flash, une image s'impose à mon esprit: ce type va s'arrêter, poser sa valise, taper sur l'épaule de Francis … « Vous permettez, Monsieur ? » … Francis va s'écarter, le type va sortir sa queue et il va me prendre, là, debout contre le mur de ce couloir … il va tirer son coup, puis remballer sa queue, récupérer sa valise et poursuivre son chemin … Mais non, il se contente de me sourire. Je lui rends son sourire. Francis, toujours collé à moi, continue de me ramoner ostensiblement. Tel qu'il est placé, le Francis, un peu en biais, je le sens, lui aussi est en train de regarder ce type avancer vers nous … ce type qui ne peut pas manquer de voir mon bras, passé derrière moi, et mon poignet, coincé entre mon cul et le ventre de Francis dans une position explicite: je suis en train de tripoter la queue de mon amant pendant qu'il me doigte le cul … Deux mètres. Le type a ralenti:

- Bonjour, Messieurs-dames … Ah non … seulement Messieurs … Belle journée, n'est-ce pas …

 

Ah, putain, j'adore ça ! Il a tout compris. Il a vu mes fesses, dévoilées par ma jupe remontée sur mes reins, il a vu la main de Francis, plaquée contre mon cul, ses doigts qui s'agitent, enfouis dans ma raie … et il a réalisé que je suis un mec … Il commence à descendre l'escalier, et malgré la main gauche de Francis, toujours sur ma nuque, je tourne la tête pour le suivre des yeux. Il s'arrête au palier intermédiaire, lève le regard sur nous, me sourit encore, hoche la tête d'un air entendu et reprend sa descente. Hhmmmmm, j'adore ça ! Faire ma salope en public ! Francis lâche ma nuque et sort ses doigts de mon cul. Il ricane:

- Hé hé hé ! Il a pas perdu sa journée, celui-là !

 

Je le prends par la main, et je l'entraîne en hâte vers l'extrémité du couloir:

- Allez, viens me baiser … vite …

 

Il se marre:

- Le Lionel, il va gueuler, si il sait que son client nous a vus !

 

Voilà ! Cette porte ouverte … c'est la 111 ! Mes deux autres clients sont là. Le barbu a quitté ses chaussures et son pantalon et, la bite à l'air, à demi allongé, le dos appuyé à la tête du lit, il se tripote. L'autre est resté habillé et attend, les reins appuyés au rebord d'une fenêtre. Est-ce que les vraies putes font des passes en présence d'autres clients ? Je ne sais pas. Mais ceux-là semblent être des habitués de l'hôtel, et se retrouver tous dans la même chambre a l'air de leur paraître normal … En tout cas, moi, ça me plaît.

 

C'est une grande chambre, avec un lit double – tiens, il y a seulement le drap du dessous, sur ce lit. Ni couette, ni couverture … seulement un drap -, il y a aussi deux fauteuils, une sorte de bureau, un mini bar, un téléviseur et un canapé … deux portes doivent desservir les toilettes et la salle d'eau … deux fenêtres, aussi … une petite, qui doit donner sur le mur du pignon, vu que cette chambre est tout au bout du bâtiment, et, derrière le canapé, une autre fenêtre, ou plutôt une large baie munie d'un store vénitien – à travers les lames du store et la rambarde de la galerie extérieure, j'aperçois la rue par où je suis arrivé tout à l'heure … ça circule pas mal, en voiture et à pied - … à côté de cette baie, une porte vitrée, à moitié masquée par un lourd rideau, et qui donne sur la galerie extérieure. 

 

Le barbu:

- Bon. Qui passe le premier ?

 

 Francis:

- Moi ! Ça commence à urger … Elle m'a bien chauffé, c'te salope ! Moi aussi, je l'ai bien chauffée … pas vrai, ma salope ?

 

Je me tourne vers le grand costaud, je lui fais face, et, tout en lui palpant à deux mains le paquet à travers son pantalon:

- Tu m'as mis le feu. Tu me prends comment ?

- Fous-toi sur le dos au bord du lit …

 

Je m'assois au bord du lit. Le barbu fait mine de se lever. Francis, tout en balançant sa veste sur une chaise:

- Tu peux rester, mec … Ça me gêne pas de le fourrer à côté de toi … t'étais déjà là la dernière fois, ou je me trompe ?

- Oui, j'étais là. C'était la grande blonde …

- Ah ouais, une vraie bonasse, cette bimbo !

 

Il commence à déboutonner sa chemise. Je lui fais signe:

- Viens …

 

Il approche et se plante devant moi, entre mes genoux, tout en déboutonnant les manches de sa chemise. Je passe de nouveau mes deux mains sur son bas ventre. Hhhmmmm, sa grosse bite ! J'avance ma tête et je frotte mes lèvres sur la bosse que fait son gland dans son pantalon. Il envoie sa chemise rejoindre sa veste, et pose ses mains sur ma tête. 

- Tu fais ça souvent ?

- Quoi …

- La pute dans un hôtel …

- Non, c'est la première fois …

- Oui, mais tu dois te faire sauter souvent … t'as l'air d'aimer ça, la queue … 

- Oui …

- Oui … tu te fais souvent sauter, ou oui t'aimes la queue ?

- Les deux …

- Ça se voit … t'as le cul accueillant … et t'es large …

- Je me fais souvent sauter, mais c'est la première fois qu'on paie pour me baiser …

 

Je recule ma tête et j'entreprends de déboutonner son pantalon. Je fais glisser son zip, et, d'un seul mouvement, je descends son pantalon et son slip. Sa bite apparaît et s'affaisse sous son propre poids …

 

Oh puuu … taiiiin, l'engin ! Une merveille ! Une sourde exclamation, sur ma droite, me rappelle l'existence de l'autre client, adossé à la fenêtre. Il n'a pas pu se retenir en voyant surgir cet énorme engin. Je le regarde. Les yeux ronds, il n'en revient pas. Je me tourne vers le barbu, toujours allongé derrière moi. Lui, paraît moins surpris … il a déjà dû voir cette queue quand ils ont baisé tous les deux la "grande blonde" … il n'en semble pas moins fasciné. Comment ne pas être fasciné par un tel gourdin ? Long … épais … je le prends entre le pouce et l'index, et je le soulève ... un gland magnifique, encore aux trois quarts caché dans son prépuce, mais je devine sa forme sous la peau … son méat, un peu béant, est déjà humide et la partie visible de son gland est mouillé d'excitation … il a besoin … ou envie … de se vider les couilles et il a déjà anticipé le moment où il va enfoncer son sexe en moi et y dégorger son trop plein de semence. Je redresse cette superbe queue et je la plaque sur son ventre … son urètre est gonflé et ses veines saillantes … en-dessous, une grosse paire de couilles, bien rondes, pendent dans ses bourses … le tout, couvert de poils blonds-roux, pas très fournis … Ça, c'est un SEXE ! Il évoque instantanément le coït, l'accouplement, la copulation, la fornication … la BAISE ! N'importe quelle femelle, en découvrant un tel organe, ne peut qu'avoir envie de se faire saillir ! Je me demande … je me demande si ce n'est pas la plus grosse bite que j'aie jamais vue ! Dans cette gamme de tailles, il y a eu celle de Gabriel, le black que Thomas m'avait offert … il y a eu  Andrej, le routier slovaque … il y a eu Sam, le tatoué et le gros Thierry pendant mon gangbang … il y a aussi eu ce gamin, que j'ai sucé derrière la ferme de Jean-Claude… comment il s'appelle, celui-là, déjà ? Je sais plus … le commis du traiteur … Ah oui, celui-là, sa bite était peut-être aussi grande … En tout cas, pour le moment, c'est celle-ci que j'ai sous la main … et dans la main … Je lève les yeux sur lui. Les poings sur les hanches, il me regarde, un petit sourire satisfait sur les lèvres. Il devine mon trouble:

- Elle est grosse, hein ?

- Oh oui !

 

Je n'ai pas pu m'empêcher de mettre dans ces deux mots toute l'admiration et l'envie que je ressens. 

 

- Elle te fait peur ?

- Oh non !

 

C'est plus fort que moi, je ne peux pas résister: j'avance ma tête et je pose des baisers tout le long de sa verge. Je ne sais pas si une vraie professionnelle ferait un truc comme ça, mais je m'en fous. Elle est chaude, elle est douce et je la sens vivante, sous mes lèvres. Hhhmmmm, ta bite, Francis, je … je l'aime ! Il rit et son ventre se secoue:

- C'est bien, alors, parce que y'a des femmes à qui elle a fait peur … et des mecs aussi.

- Moi, elle me fait pas peur !

 

Je l'embrasse de plus belle, et je lui donne de petits coups de langue. Ça fait glousser le barbu, derrière moi. Francis a dit « … et des mecs aussi ». Il a donc déjà dû se taper des mecs. J'empoigne sa verge et je le décalotte, précautionneusement. Ah la vache ! Le gland ! Superbe ! Retroussé et profilé pour pénétrer … Sa queue paraît encore plus longue comme ça. Je l'empoigne à deux mains … les deux, l'une au-dessus de l'autre, son gland dépasse encore entièrement ! Pourtant, j'ai des grosses mains ! Il a remarqué mon manège, il rit, et:

- Cherche pas … vingt-deux centimètres …

 

Et là, je réalise que, moi aussi, je bande … beaucoup plus modestement, mais je bande … ma queue soulève le bas de ma jupe … et je salive abondamment, comme devant une pâtisserie. De nouveau, j'avance ma tête, et je donne des coups de langue sous la base de son gland. Dans un instant, il va enfoncer ça au fond de mon ventre ! En attendant, je bâille et je prends son gland dans ma bouche. Hhmmmmm ! Ce que c'est bon ! C'est chaud, c'est vivant … ça a un goût de … un goût de bite, tout simplement … cocktail d'un peu d'urine et de beaucoup d'hormones mâles … J'adore ! Et tout en le masturbant, je commence à le pomper. Oh putain, si ses éjaculations sont proportionnelles à la taille de sa queue, ça doit être quelque chose de se faire tirer dans la bouche ! Oh, c'est bon, c'est booooooon ! Putain, ce que j'aime la bite ! Je sens son gland grossir dans ma bouche .. il se gorge de sang … et je sens aussi son urètre gonfler sur ma langue. Hhhmmmm, je le fais bander de plus en plus fort ! Je me laisse aller à gémir de plaisir. Pour un étalon, c'est un étalon, ce mec ! Je veux être à lui … je veux qu'il me prenne … souvent … et même sans payer …

- C'est ici, que ça se passe ?

 

Un type vient d'entrer … 

- Ah ouais, on dirait … Salut …

 

Du coin de l'œil, je le vois contourner Francis et serrer la main du type adossé à la fenêtre. Je le devine aussi qui serre celle du barbu, toujours allongé derrière moi:

- C'est lui qu'on baise ? T'es déjà passé , toi ?

 

Le barbu, à qui le nouveau venu s'est adressé:

- Non pas encore … c'est le grand, là, qui commence …

- Ah OK. Donc, je suis quatrième ..

- Voilà …

- Putain, bel engin, le grand …

 

Le nouveau venu a accompagné sa remarque d'une tape sur l'épaule de Francis, et je le sens, maintenant debout à côté de nous, sans doute en train de me regarder sucer "le grand". Francis:

- Merci, mec. 

 

Un long silence pendant lequel je sens leurs regards posés sur moi, puis le nouveau venu remarque:

- Dis donc, il a l'air d'aimer ça, hein …

- Ouais, j'ai l'impression. Et il s'y prend bien …

 

Vous avez raison, j'aime ça. Et puis, il n'y a rien à faire, j'ai toujours autant de plaisir à faire ça sous les yeux d'autres mecs. J'aime tellement qu'on me regarde pendant qu'un mâle prend du plaisir en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul ! Tailler une pipe ou me faire baiser, j'adore, bien sûr, mais le faire en public me procure vraiment une volupté supplémentaire. J'aime être vu comme un objet … comme un jouet sexuel entièrement consacré au plaisir des mâles … et, qui plus est, un jouet sexuel en libre service … Mais là, tout de suite, il me manque quelque chose. Tout en continuant de le sucer, je tends les mains vers les hanches de Francis, à la recherche de ses mains à lui. Les voilà. Je les saisis et je les attire sur ma tête. Il se laisse faire et je sens ses deux grosses pognes se poser sur mon crâne. Ça ricane sur ma droite. Ricanez, ricanez ! C'est comme un automatisme: dès que ses mains ont touché ma tête, Francis me l'a littéralement empoignée et, me la tenant fermement, il a commencé à bouger son bassin d'avant en arrière, m'enfonçant son gros pieu jusqu'au fond de la gorge … Oh, putain, il est en train de me baiser la bouche ! Nom de dieu ! J'ai du mal à ingurgiter ce morceau ! Evidemment, il ne peut pas me rentrer sa queue entièrement, mais comme je m'applique à la presser contre mon palais avec ma langue, ça lui fait beaucoup d'effet … et il ne tarde pas à haleter et à accompagner chaque aller et retour de grognements … J'ai du mal à déglutir et je sens mon trop-plein de salive se déverser sur mon menton. Soudain: 

- Bon, faut qu'j'te baise, maint'nant !

 

Il repousse ma tête, et se retire en comprimant sa verge, sans doute pour stopper un début d'éjaculation. Il pousse sur mes épaules et je me laisse tomber sur le dos. Ma tête heurte la cuisse du barbu, toujours couché en haut du lit. Il esquisse un mouvement pour s'écarter et me laisser de la place. Je m'empresse de poser la main sur sa cuisse:

- Non, bouge pas ! C'est bien comme ça.

 

Je me tourne un  peu sur le côté et je le regarde. Putain, il est raide ! Me voir sucer Francis l'a vraiment excité. Sa bite, qui émerge d'une touffe de poils noirs tout frisés, est assez ordinaire. Je tends la main, je la saisis et je la masturbe deux ou trois fois. Il me regarde faire, les yeux tout ronds. Je me retourne complètement et, à quatre pattes sur le lit, cul en l'air, je m'approche de son ventre. Il écarte les bras, ne sachant que faire de ses mains. Je me penche et je pends son sexe dans la bouche. Ça se fait, quand on est pute, de s'occuper de deux mecs en même temps ? Je m'en fous, moi je le fais. Hhhmmm, de toute façon, celui-là aussi, il va me baiser ! Je le suce pendant quelques secondes, puis je le sors de ma bouche, et:

- Tu voudras bien que je mette ma tête sur ta cuisse, pendant que Francis me baise ?

 

Il ne répond pas, mais hoche vigoureusement la tête « oui, il voudra bien ». Je le masturbe encore un peu puis je me retourne et je me remets sur le dos. Je sens le barbu me prendre délicatement la tête, la soulever et glisser sa cuisse sous ma nuque. Là, je m'aperçois que le type adossé à la fenêtre a sorti sa queue par sa braguette et se masturbe. Ah, putain, trois queues de sorties ! Trois queues qui vont me baiser ! Lui, ça doit être de me voir m'occuper du barbu pendant que Francis se prépare qui l'a "motivé". Le dernier arrivé me regarde en souriant d'un air qui veut clairement dire « quelle salope ! ». Francis, qui a ôté son pantalon, est en train de fouiller dans une de ses poches, et en sort ce qui est apparemment un étui de capote. Quand il lance son falzar sur la chaise où gisent déjà sa veste et sa chemise, sa grosse bite, cachée jusque là derrière son pantalon, réapparaît ! Elle qui, tout à l'heure, pendait tête en bas, est maintenant tendue à l'horizontale, malgré son poids, encore plus gonflée et raide, et une veine énorme court depuis la base de sa verge jusqu'à celle de son gland … son gland turgescent et rouge, pointé vers moi … ses grosses couilles pendant très bas entre ses cuisses. Il va me fourrer avec ÇA ! Je ne peux en détacher mes yeux. Dans sa main, l'étui de capote qu'il déchire:

- J'ai amené les miennes … la dernière fois, Lionel n'en avait pas à ma taille …

 

Il déchire l'étui, extrait la couronne de latex et commence à la dérouler sur sa queue. Autour de nous, le silence s'est fait, les trois autres assistent religieusement à la préparation du sacrifice: le Minautore va immoler sa proie, non pas en la dévorant, mais en l'empalant. Vas-y, plante-moi ton énorme pal, ta victime est prête à se faire bourrer, fracasser, défoncer, déglinguer … Oh, putain, cet énorme chose dans mon cul ! Il se laisse tomber à genoux devant moi, il tend ses grosses pattes vers moi, les glisse sous mes fesses et, d'un seul mouvement, il me soulève et m'attire vers lui. J'ai maintenant les fesses à moitié hors du lit. Il passe ses mains sous mes genoux, me dresse les jambes à la verticale et appuie mes mollets sur ses épaules. Derrière moi, le barbu:

- Dis, mec … il voudrait mettre sa tête sur ma cuisse pendant que tu le baises … Ça te gêne ?

- Nan nan, vas-y ! Hé hé hé ! 

 

Il sourit, plante ses yeux dans les miens et:

- Tu veux me regarder te baiser, hein ! ? ! ? 

- Oui.

 

Je sens le barbu se rapprocher et, de nouveau, il glisse sa cuisse sous ma tête. Ça doit lui plaire d'être aux premières loges, comme ça, et, plus ou moins, de participer. De ses grosses pognes, Francis m'écarte les genoux, puis il saisit son gourdin et avance son bassin vers moi. Ah oui, ça y est, je sens son gland contre ma rondelle. Il s'enfonce … je ne peux retenir un halètement … il pousse encore … mon anus résiste … pourtant, je me suis lubrifié … Ce matin, chez moi, pour faire mes lavements, je me suis bien rentré le pommeau de douche dans le cul, mais mes muscles se sont retonifiés pendant le trajet jusqu'ici … et sur le bidet de Lionel, ce n'est pas la minuscule douchette qui a pu me préparer comme il faut … surtout pour un engin pareil … Et le doigt de Francis, tout à l'heure en haut de l'escalier, ça n'a rien à voir avec ÇA ! Ce n'est pas douloureux, mon cul en a vu d'autres, et sa capote est aussi légèrement lubrifiée, mais je m'attendais à ce qu'il me fourre sa queue d'un seul coup, et là, c'est laborieux … laborieux, mais très agréable ! Je sens son gland qui irradie sa chaleur contre mon anus, à travers le latex du préservatif.

 

Je le regarde … il est concentré … il s'enfonce encore, toujours en cramponnant son gourdin … Je sens mon sphincter s'élargir peu à peu … et soudain, il lâche sa queue, place chacune de ses mains sur l'arrière de mes cuisses, juste sous les genoux, et d'un violent coup de reins, il se précipite en moi …  Ouaahouuuhhh ! Les yeux écarquillés, j'avale un grand bol d'air … Ah la vache ! Cette fois, pour être dilaté, je suis dilaté ! Mais j'ai l'impression qu'il bute au fond de moi … alors que sa queue n'est sûrement pas entièrement entrée … je devrais sentir son pubis contre mon périnée, je devrais sentir ses couilles battre mes fesses … Il repart en arrière … rapidement … et revient d'un seul coup … il bute encore … soit son gland ne trouve pas le débouché au fond de moi, soit mes entrailles refusent de se soumettre à cette invasion hors norme … Il recule de nouveau … et, au moment où je sens qu'il va foncer en moi pour la troisième fois, je me cambre … et cette fois, il s'enfouit entièrement en moi … Du coup, il reste au fond, et appuie bien son ventre contre moi … et il se met à me caresser les cuisses, les fesses, les hanches … il bouge imperceptiblement son bassin, faisant bouger son énorme sexe en moi.

- Ça va, ma poule ?

- Oui.

- Ça te fait mal ?

- Non.

- Ça te plaît ?

- Ouiiiii !

 

Les trois autres pouffent de rire. Il faut dire que c'était plus un gémissement de plaisir qu'une réponse. Je m'en fous, pouffez, riez ! Oui, j'aime la bite et ça ne me gêne pas de manifester sans pudeur devant vous ce que je ressens.  Francis:

- Moi aussi ça me plaît … t'es … t'es drôlement profond … t'es … je suis bien, avec ma queue au fond de ton cul … c'est pas souvent que j'arrive à la fourrer entièrement, ma queue. Tu sais, ma bite, les femmes, des fois, elle leur fait peur … et des fois, ça leur fait mal … je … je peux jamais aller vraiment à fond … 

 

Je m'aperçois que les deux autres types, le nouveau venu et l'autre, se sont approchés et nous regardent, Francis et moi, les yeux rivés au niveau de son bas ventre et de mon cul. Ah, OK ! Ils voudraient voir cette énorme queue entrer et sortir de mon fourreau ! Mais là, ils ne voient rien, l'objet est entièrement enfoui dans moi. Francis poursuit:

- Là … là …

 

Il bouge encore son bassin:

- ... là, tu vois, je suis vraiment au fond … Tu me sens ?

- Ben oui, je te sens ….

- Au fond … tu me sens au fond ?

- Au fond, non, pas vraiment, mais là, à l'entrée, oh oui, je te sens … 

 

Satisfait, à la fois d'avoir pu loger entièrement sa queue dans mon cul et que je le sente à l'entrée, il bouge encore son bassin. Je demande:

- Alors, les femmes, tu peux pas leur rentrer complètement ta queue ? Pourtant, elles doivent être larges et profondes … et ça devrait leur plaire, une queue comme ça !

- Ben, faut pas croire ! Elles sont pas si profondes que ça … et y'en a pas tellement qui aiment ça.

- Ah bon ? Même quand tu les encules ?

- Surtout pas ! Elles veulent pas que je les encule … elles me trouvent trop gros … enfin, ma queue, trop grosse … je t'ai pas fait mal, à toi ?

- Non …

- T'as l'habitude ?

- Oui …

- Des grosses bites comme la mienne ?

- Quelques unes …

- Ah bon … QUELQUES UNES ? ! ? !

- Oui. Et une fois, deux bites à peu près aussi grosses que la tienne … en même temps …

- Tu veux dire … une double sodo ?

- Oui.

- Tu déconnes !

- Non. Je pourrais même te le prouver. J'ai des vidéos.

- Ah, putain ! Alors, ça m'étonne pas que je t'aie pas fait mal …

 

Il bouge doucement son bassin, goûtant le plaisir d'avoir son gros sexe entièrement enfoui dans mes chairs. Vas-y, mec, prends ton temps. Moi aussi, ça me plaît de sentir ton gros organe en moi, bien au chaud dans mon ventre.

 

Et puis, une main sur chacun de mes genoux, il commence sortir … lentement … J'ai l'impression de me vider ! Les trois autres écarquillent les yeux, bluffés par le spectacle. Je sens … je sens mon sphincter, non seulement forcé, dilaté, mais aussi comme … entraîné hors de moi par cette énorme chose qui glisse en lui … Oh, putain, l'étalon ! Oh, ce que c'est bon ! Je me cambre. Bouche grande ouverte, je sens chaque millimètre de sa bite coulisser dans mon rectum. Ah la vache ! C'est un plaisir … comment dire … physiquement, c'est un plaisir presque scatologique … c'est comme quand je me soulage d'une grosse envie … d'une très grosse envie … mais ce qui sort de moi, ce n'est pas de merde, c'est une queue … un sexe massif … et long ! Ça n'en finit pas, il prend vraiment son temps, dégustant, comme moi, cet instant exceptionnel. Du coin de l'œil, je vois que mes deux spectateurs n'en perdent pas une miette, fascinés par le spectacle de cet énorme organe sexuel qui s'extrait de moi. Et Francis s'arrête. Je réalise qu'il n'a plus que son gland, là, juste dans l'entrée de mon fourreau. Je le sens comme … palpiter. Il reste immobile deux ou trois secondes … et il repart en avant … tout aussi lentement …

 

Oh putain, ce que c'est bon ! De nouveau, sa queue me force un  peu, mais ma rondelle s'est détendue, et ça glisse tout seul. Je suis toujours cambré et il arrive encore à me rentrer toute sa queue dans le cul ! Putain, comme j'ai bien fait de me goder avec des jouets toujours plus gros ! A l'époque, je ne le savais pas encore, mais ça me préparait à recevoir ce genre de queue ! Aimer la bite et devoir refuser son cul à un mâle parce qu'il a un sexe trop gros, ça doit être une frustration terrible ! Ça y est, il commence à aller et venir un peu plus rapidement. Hhhmmmm ! Vas-y, Francis, baise-moi ! Je glisse mes mains entre ma tête et la cuisse du barbu et je croise mes doigts sous ma nuque. Les yeux à demi fermés, j'observe mon baiseur, concentré … il contemple, entre mes cuisses, son sexe qui entre et qui sort de moi … et chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond de mon cul, il regarde mon ventre … comme s'il essayait de deviner à quel niveau de mon abdomen son gland peut bien se trouver …  Oui, mec, ton gland est loin, très loin au fond de moi … Oh, putain, ce que j'aime ça !

 

Sous ma tête, je sens la cuisse du barbu se secouer en rythme … mais pas au même rythme que le va et vient de Francis … Serait-il en train de … Je tends la main et, à tâtons, je cherche son sexe, juste là, tout près de mon crâne … sa main … oui, il est en train de se branler … je pose mes doigts sur les siens … il suspend son mouvement … je cherche son gland … ah tiens, il se masturbe comme moi, son prépuce toujours sur son gland … je le pétris un peu et je sens qu'il ôte sa main … alors je l'empoigne et, à mon tour, je le masturbe … hhmmmmm, branler un mec, sans le voir, pendant qu'un autre me baise ! 

 

Francis, lui, ferme aussi à demi les yeux, et je vois ses mâchoires se crisper. Son plaisir monte, il commence à perdre le contrôle et je sens que, dans peu de temps, il va jouir … Moi, quand il me pénètre, je sens mon rectum se remplir brusquement, et quand il se retire, non seulement je me sens me vider, mais j'ai l'impression de sentir son gland me racler la paroi du rectum … s'il sort de moi assez lentement, par contre, pour rentrer, il me fout maintenant de violents coups de boutoir qui me secouent tout entier sur ce lit … Il commence à grogner et peu à peu, ses grognements se synchronisent à ses coups de queue, et se transforment en cris:

- Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

 

Ça y est, tête en arrière, il jouit ! Je sens le barbu prendre ma main qui le branle et la repousser. Si ça se trouve, lui aussi est au bord de l'éjaculation. A cause de ses va et vient incessants, je ne sens pas les soubresauts de la queue de Francis dans mon cul, mais il jouit, j'en suis sûr ! Il éjacule en continuant de me bourrer, et j'ai l'impression de ressentir comme … des gargouillis mouillés à l'intérieur de mon ventre … c'est sa queue qui patouille dans son propre sperme à l'intérieur de sa capote … Enfin, il ralentit ses allers et retours, redresse la tête, ouvre les yeux et me regarde, essoufflé:

- Putain, ça y est … j'ai pris mon pied …

- J'ai senti …

- Putain, c'était bon … Y'avait longtemps que j'avais pas pris mon pied comme ça … t'es … t'es vraiment profond …

 

Il reprend son souffle. Encore quelques va et vient … et il sort délicatement sa bite, repousse tout aussi délicatement mes jambes et m'aide à poser mes pieds au sol au bout du lit. Je me redresse et je m'appuie sur les coudes

 

- A moi !

 

C'est le barbu, derrière moi, qui se manifeste. Je sens le matelas se soulever quand il saute du lit. Je regarde derrière moi. Debout à côté de la tête du lit, il vient de prendre une capote dans le panier posé sur la table de chevet. Je le regarde déchirer l'étui et se dérouler la capote sur la bite en m'observant.

 

- Fous-toi à quatre pattes ! Je vais te baiser en levrette.

- Sur le lit ?

- Non, par terre … sur la moquette.

 

Je descends du lit et je m'agenouille, sous le regard des deux autres. J'ai la rondelle en feu … j'ai l'impression de sentir encore cette grosse chose dans mon fourreau. Je glisse ma main entre mes fesses et je tâte … ah oui, j'ai l'anus encore dilaté … tout chaud … Francis, lui, après avoir ôté sa capote et l'avoir laissé tomber dans une corbeille, est déjà en train de remettre son pantalon. Il se tourne vers le barbu, et:

- Attends … excuses moi deux secondes, mec … faut que je lui dise quelque chose …

 

Il s'approche de moi en enfilant sa chemise:

- Euh, dis … tu reviendras, ici ?

- Je sais pas … peut-être …

 

Il hésite:

- Parce que … faut absolument qu'on se revoie …

- Ben oui, ça me plairait …

 

Je tends la main et je la passe sur son bas ventre. Il reprend:

- Un cul où je peux fourrer toute ma queue … y'a eu que le tien, jusqu'à présent. Alors, si tu revenais pas ici, faudrait qu'on se voie autrement … je … je paierais, hein, évidemment … comment … comment on peut faire ?

- Si je revenais pas ici, tu peux toujours demander à Lionel … il sait comment me joindre …

- Ah … oui. Bon, excuse-moi, barbu.

 

Le barbu:

- Y'a pas de souci.

 

Je regarde Francis enfiler sa veste, tâter ses poches et se diriger vers la porte. Juste avant de sortir, il se tourne vers nous:

- Bon, salut. Bonne bourre à vous, les mecs. 

- Merci. Salut.

- Salut.

- Salut.

- Salut, ma poule.

- Salut, Francis. 

 

Pendant cet échange, le barbu s'est approché, la queue toujours raide à la main. Une fois Francis parti, il me touche l'épaule: 

- Tiens, reste à genoux, mais appuie-toi plutôt sur le lit.

 

Ah bon, ce n'est plus à quatre pattes sur la moquette. Ça me va aussi. J'obtempère et je pose mon torse sur le matelas:

- Comme ça ?

- Ouais.

 

C'est pour le … boulot, mais j'ai toujours la même émotion à me mettre en position pour me faire chevaucher par un mec. Offrir ma croupe à un mâle pour qu'il s'accouple avec moi et qu'il s'y donne du plaisir, quel bonheur ! Là, en plus, ce type a payé pour me niquer ! C'est une drôle de situation: d'une certaine manière, je lui DOIS ce coup de bite, alors que, même s'il ne payait pas, je le laisserais me troncher … Dès que je suis en position, je sens le barbu venir entre mes mollets et s'agenouiller à son tour. Il pose ses mains sur mes fesses … me caresse … me palpe … glisse ses mains jusqu'à mes hanches … et je le sens qui approche encore un peu en avançant ses genoux ... et je sens … sa queue ? Oui, sa queue … se plaquer dans ma raie, entre mes fesses … Alors, la joue posée sur le drap, je passe mes mains derrière moi, je m'empoigne les miches et je les écarte dans une geste éloquent « Vas-y ! Mon cul est à toi ! Baise-moi ! ». Je sens mon fourreau béer tout seul, comme par réflexe. Face à moi, les deux autres me regardent en se marrant … le type qui s'était appuyé à la fenêtre, toujours en se paluchant la bite sortie par la braguette … et le dernier arrivé sa main dans son pantalon et se tripotant aussi …

 

Mon fourreau ainsi ouvert et offert, est un appel au coït, à la copulation. J'ai une furieuse envie qu'il me prenne, qu'il me baise … j'ai hâte de sentir son sexe s'introduire en moi, s'enfoncer en moi … j'ai faim de bite ! Qu'est-ce qu'il attend, bordel ? Ah, tout de même ! Je sens enfin le barbu poser son gland contre ma rondelle … il s'enfonce un peu et s'arrête … je le sens bouger un peu son gland dans mon anus, mais c'est tout … il ne va pas plus loin. Alors c'est plus fort que moi … je recule mon cul d'un seul coup et je sens sa queue s'enfoncer en moi ! Surpris, il pousse une exclamation … "haaa !" … entre un cri et un puissant halètement. Je ne bouge plus. J'ai son ventre contre mes fesses … je sens les poils de son pubis dans ma raie … et ceux de ses couilles contre mon périnée. Ses doigts se crispent dans le gras de mes hanches, je le sens se plier un peu au-dessus de moi, et il se met à haleter. Putain, il va jouir ! Déjà ! Alors, de lui même, il se met à aller et venir dans mon cul … lentement, méthodiquement … Il halète de plus en plus fort, commence à pousser un râle … son va et vient s'accélère et d'un seul coup, il se met à crier " haaa haaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ". Ça y est, il jouit ! Je le devine plutôt que je ne le sens: il n'arrête pas d'aller et venir et si sa queue est prise de spasmes, je ne les sens pas. Il continue de me bourrer comme ça pendant un bon moment … son cri se transforme en un sourd grondement seulement interrompu, de temps à autre, quand il déglutit bruyamment … Puis il colle son ventre à mon cul et s'affale sur mon dos en reprenant son souffle:

- Rhââââââ, putaiiiiiiiin !

 

Rhââ, oui, putain, t'as raison ! Moi aussi, j'aime ça ! Avoir sur moi, et surtout EN MOI, un mec qui vient de prendre son pied, de jouir, d'éjaculer … un mec qui reprend son souffle et ses esprits … au plaisir sensuel, érotique, se mêle une plénitude cérébrale … maintenant totalement voué au plaisir des mâles, j'ai, une fois encore, accompli mon devoir de femelle, rempli ma mission … je viens de vider les couilles d'un type ! J'aurais préféré, de beaucoup, qu'il répande sa semence directement dans mes entrailles, plutôt que dans une capote, mais voilà, une fois de plus, mon cul a servi de réceptacle au plaisir d'un homme, à sa jouissance et à sa semence ! Je sens son souffle sur mon dos. Il se calme peu à peu, puis, prenant appui sur le matelas, il se relève en même temps qu'il sort sa queue de mon cul:

- Putain, t'es bonne, toi !

 

Je reste comme ça, immobile, le torse sur le lit, tourné vers les deux autres types. Ça va être le tour de celui de la fenêtre. La queue toujours à la main, il regarde derrière moi … sans doute ce que fait le barbu. Je tourne la tête vers celui-ci au moment où, à son tour, il laisse tomber sa capote dans la corbeille. Il se penche sur le lit et récupère son pantalon. Je me tourne de nouveau vers les deux autres clients, attendant qu'ils me disent quoi faire. Numéro trois me fait signe d'un coup de menton:

- Viens là !

 

Je me relève et j'approche. Il me montre le canapé, devant la baie vitrée:

- Mets-toi à genoux là-dessus !

- Comment … dans quel sens ?

- Ben, à genoux là, et t'appuie tes coudes sur le dossier …

 

OK. Il veut me prendre le tête tournée vers la baie ! Alors je m'installe … genoux bien écartés, les avant-bras appuyés sur le dossier, et je me cambre. Numéro quatre, sur ma gauche, la main toujours dans son pantalon, a reculé jusqu'au mur à côté de la porte de la salle d'eau, où il s'est adossé. Numéro trois me passe une main entre les cuisses et, délicatement, il remonte jusqu'à mon entrejambe en me caressant. Il me palpe les fesses et, à son tour, il retrousse ma jupette sur mes reins:

- T'as un  beau cul, pour un mec !

- Merci.

 

J'adore qu'un mec me dise ça ! Ça veut dire que je l'excite, que je le fais bander, qu'il a envie de m'enculer. Et je me sens tellement indécente, comme ça … cul offert, cuisses écartées, reins cambrés, à la merci de ces deux types … j'adore ! Oui, INDÉCENTE … pas indécent … je me sens aussi tellement femelle … femelle à bites ! Il continue de me caresser … et je le sens qui se rapproche … entre mes pieds, qui dépassent de l'assise du canapé … et je sens … il a du empoigner sa queue, et il se frotte le gland dans ma raie … hhhmmm, vas-y, baise-moi ! Mets pas de capote, et baise-moi comme ça ! C'est plus fort que moi:

- Vas-y, baise-moi !

- Attends … faut que je mette une ...

- Non ! Mets pas de capote ! Baise-moi comme ça !

 

Je l'entends rire, derrière moi:

- Hé hé hé ! Si si si … je vais mettre une capote. Je te fais … seulement … ça …

 

Et il enfonce un peu son gland dans mon  anus. Hhhmmm ! Je le sens … il est chaud … Je m'apprête à m'empaler sur sa queue, en reculant d'un seul coup, comme j'ai fait avec le barbu, mais … il a du deviner mon intention, et, ses deux mains plaquées derrière mes fesses, il me retient et rit de plus belle:

- Ha ha ha ha ! Raté ! Je m'en doutais !

 

Il sort son gland, et:

- Attends un peu, bouge pas.

 

Je me retourne. Il saisit un des cordons du store vénitien, le manœuvre, et commence à le remonter. Du coup, ce n'est plus à travers les lames de plastique que je vois la rue et le parking de l'hôtel, c'est directement à travers la baie vitrée et les barres de la rambarde du balcon. Ah oui, pas mal ! Je vais pouvoir contempler l'animation de la zone commerciale pendant qu'il va me niquer. L'idée me plaît. Satisfait, lui aussi, il ôte ses chaussures, se déshabille entièrement, prend une capote dans le panier, l'enfile – putain, lui aussi, sa queue est relevée à l'horizontale … pas très grosse, mais sympa … rasée – et il prend aussi le flacon de lubrifiant, l'ouvre, en presse un peu sur ses doigts et se rapproche de moi. Alors j'écarte un peu plus mes genoux, j'appuie mon torse sur le dossier du canapé, et, comme pour le barbu tout à l'heure, des deux mains, je m'écarte les fesses. Il pouffe, et aussitôt, je sens la fraîcheur du gel sur ma rondelle. Il m'enfonce ses doigts pour me l'étaler dans l'anus, puis je le sens qui s'essuie la main sur ma jupe. Je maintiens mes fesses écartées et j'attends.

 

Hhmmm, putain, j'aime tellement ça ! Ouvrir mon cul comme ça, sans retenue, et m'offrir à un inconnu pour qu'il m'encule, pour qu'il me baise ! Je me sens tellement impudique ! Impudique, pas seulement à cause de l'exhibition de mon anatomie la plus intime, mais surtout parce que je dévoile sans honte et sans réserve, à des types que je ne connais pas, mon addiction à la bite! Un type a les couilles engorgées ? Il a besoin de tirer un coup ? Il veut se soulager dans mon cul ? Alors, qu'il vienne, et qu'il me baise !

 

- Enlève tes mains !

 

Il me claque la fesse. Je ramène mes mains devant moi, je croise mes avant-bras sur le dossier du canapé et je pose mon menton dessus. Cette fois, ce n'est pas ses doigts qu'il enfonce dans mon cul … c'est sa queue ! Les mains sur mes hanches, il progresse lentement. Oh putain, j'ai encore un sexe en moi ! Je me laisse aller:

- OoooOOhhhh Ouiiiii ! Baise-moi ! Baise-moi ! BAISE-MOIIIII !!!!!

- Oh, putain ! Alors toi, t'aimes la bite !

 

Je pose maintenant mon front sur mes avant-bras, et je gémis:

- Ooooh ouiiii ! Ta bite ! Ta bite ! TA BIIIITE !!! 

 

Il rit:

- Pourtant, la mienne est moins grosse que celle du grand, là … le Francis …

- Je m'en fous ! Les grosses bites … les petites bites … j'aime toutes les bites ! Je veux que tu me baises ! Baise-moi ! BAISE-MOI, PUTAIN !!!

 

Alors, il me baise. D'abord lentement, méthodiquement, lascivement, langoureusement … il s'applique et prend pas mal de plaisir, je le sens à la pression de ses mains sur mes hanches, puis sur ma taille, et à la concentration qu'il met à me pénétrer … je suis sûr qu'il regarde son sexe entrer et sortir de moi … Je redresse la tête et je réalise que là, dehors, un étage en-dessous de nous, il y a du monde qui circule … des voitures, presque en continu sur la rue qui dessert l'hôtel, et aussi pas mal de piétons qui vont faire leurs courses … Hé, les gens ! Levez les yeux et regardez ! Là-haut, cette tête, derrière cette fenêtre … et le mec, qui bouge derrière moi … IL EST EN TRAIN DE M'ENCULER ! Oh, putain, je voudrais ouvrir cette baie et leur crier que là, tout de suite, j'ai sa bite dans le cul et qu'il me baise ! 

 

- Y'a du monde, dehors, hein ?

 

Ah, oui ! Est-ce qu'il a perçu mon trouble, quand j'ai relevé la tête ? Je ne sais pas, mais à son ton, c'est évident, lui aussi, ça l'excite de me fourrer en regardant passer ces badauds ! Soudain, une envie folle m'envahit. Je passe une main derrière moi, je lui caresse le ventre, et:

- J'ai envie que tu me baises dehors, sur la galerie !

- Quoi ? ! ? !

 

Il a arrêté son va et vient.

- Je veux que tu me baises dehors !

- T'es dingue ?

- Non. Je suis sûr que t'en as envie autant que moi … allez, baise-moi dehors …

- Je suis à poil !

- On s'en fout ! T'as qu'à remettre ton T-shirt !

 

C'est gagné ! Il hésite, il pèse le pour et le contre, mais je sens que c'est gagné ! Et en effet:

- Bon, OK !

- Ahhhh, merci !

 

Il se retire et aussitôt il récupère son T-shirt sur le lit. Sa bite n'est plus à l'horizontale, mais carrément dressée à la verticale. L'autre, toujours adossé au mur, ne peut s'empêcher de rigoler. Je descends du canapé, je rabats ma jupe sur mes fesses et j'ouvre la porte qui donne sur la galerie. Il fait frais, mais c'est supportable … un petit vent me caresse les cuisses et s'insinue jusque entre mes fesses … avivant la fraîcheur du lubrifiant qui me macule la rondelle … très agréable ! Je m'avance jusqu'à la rambarde. En fait, ce garde corps, c'est simplement quatre rangées de planches rabotées et vernies, séparés par des intervalles d'une quinzaine de centimètres. Même si ça nous dissimulera un peu, ce sera mieux que derrière le dossier du canapé … à part l'espèce de cloison à claires voies que constitue la rambarde, rien ne nous dissimule vraiment aux yeux des passants. D'ailleurs, maintenant que je suis dehors, j'ai l'impression que j'en entends certains qui discutent en passant sur le trottoir. Numéro trois sort à son tour sur cette galerie, seulement vêtu de ses chaussettes et de son T-shirt, et vient immédiatement se cacher derrière moi, sans doute pour que je dissimule sa nudité aux yeux de passants. Il pose ses mains sur mes hanches. Numéro quatre nous rejoint … il ne veut rien manquer du spectacle. Numéro trois, en glissant une main sous ma jupette:

- T'es une sacrée salope, hein !

- Non … tu crois ?

 

Je le repousse en me reculant légèrement, je me penche, je m'accoude au haut de la rambarde, j'écarte les pieds et je me cambre:

- Allez, baise-moi !

 

Il s'avance entre mes pieds et je sens ses genoux effleurer les miens, il relève légèrement ma jupe, remet une main sur ma hanche, plaque sa queue dans ma raie, bouge sa tête chercheuse et je la sens venir se loger dans ma rondelle. Hhhmmmm, j'ai son sexe, doux et chaud, dans mon anus ! Quand il me pénètre plus à fond, je ne peux retenir un gémissement. Oh la la ! Je suis en train de me faire enculer sur cette galerie … en extérieur … et nous sommes à … quoi … quinze ou vingt mètres à tout casser du trottoir … si des passants lèvent les yeux vers nous, ils me verront moi – mon corsage bariolé de couleurs vives ne passera sans doute pas inaperçu – et derrière moi, la tête de numéro trois en train de bouger … en train de M'ENCULER … ils me verront alors que j'ai UNE BITE DANS LE CUL ! Je meurs d'envie d'attirer l'attention des prochains qui passeront devant l'hôtel … en sifflant ? en les appelant ? Numéro trois a repris son va et vient … et je le sens vraiment très excité: il souffle en postillonnant entre ses lèvres entrouvertes et, de temps à autre, il déglutit bruyamment. Numéro quatre, appuyé à la rambarde à un mètre sur ma gauche, nous observe du coin de l'œil, une main toujours dans son pantalon. Vas-y, paluche-toi, pendant qu'il m'encule … après, c'est ton tour !

 

C'est soudain et brutal ! Numéro trois m'empoigne la taille à deux mains, enfonçant ses doigts dans le gras de mes poignées d'amour, et propulse son bassin en avant, m'envoyant sa queue au fond du cul et me coinçant le ventre contre la rambarde … genoux à demi pliés, il reste comme ça, immobile, le front appuyé à l'arrière de mon crâne, et, à son halètement entre ses dents serrées, à son sourd grognement, je devine qu'il jouit. L'excitation de me baiser ici, en extérieur, en vue de la rue, a été trop forte. ! Je passe une main derrière ma tête, derrière la sienne et, tant bien que mal, je lui caresse la nuque. Vas-y, mec ! Prends ton pied, soulage-toi ! Tiens, un couple de vieux passe sur le trottoir, la femme traînant un chariot à roulettes pour les courses. Ils n'imaginent sans doute pas qu'à quelques mètres au-dessus d'eux, il y a un type qui est en train de déverser son sperme au fond de mon cul ! 

 

Oh, putain, sentir ce type éjaculer, sa queue fichée tout au fond de moi … une vague d'émotion me submerge ! J'en ai le cœur qui bat la chamade … c'est tellement troublant … c'est tellement voluptueux … et je … oui, je ressens un drôle de truc pour ce mec … c'est un peu confus, mais je crois que c'est … de la reconnaissance pour ce qu'il est en train de me faire - ce type … ce type ME BAISE ! - … de la reconnaissance et peut-être même … de la tendresse … pourtant, une petite voix, dans ma tête, me souffle « Hé ! Te laisse pas aller comme ça, la pute ! T'es au boulot, là ! C'est seulement un client qui tire son coup. » … oui, j'ai de la tendresse pour ce type … pour cet inconnu … parce qu'après m'avoir enculé, il est en train de décharger son foutre au fond de mon cul !

 

En fait, je réalise seulement maintenant que c'est probablement ça que j'ai ressenti pour TOUS les mecs qui m'ont baisé … Je ne l'avais pas analysé jusqu'ici … je l'avais peut-être même refusé, refoulé … mais oui, en plus de l'espèce de fierté de me sentir désiré par autant de mâles, je me rends compte que l'impression trouble, indéfinissable, que j'ai ressentie pour CHAQUE type qui m'a baisé et inséminé, c'était ça … de la tendresse, de l'attachement … comme si tout coït avec un mâle … avec n'importe quel mâle … déclenchait ça en moi … en plus des hormones de la jouissance sexuelle – adrénaline pour l'excitation, dopamine et endorphine pour le plaisir – m'accoupler avec un mâle doit me faire instinctivement sécréter cette hormone de l'attachement … l'ocytocine, il me semble … Ah oui, ça ne peut être que ça ! Philippe, Thomas, Laurent … c'était ça ! Denis, lui aussi, non seulement quand il m'a baisé, mais aussi quand il m'a offert à ses potes chez lui, puis aux types de chez Jeannot … et ce Lionel ... Merci de me baiser … et merci de me faire baiser ! Même mes blacks, dans cet autre hôtel, après qu'ils m'aient pris de force, ce n'est pas seulement le plaisir anal que l'un d'eux m'a procuré qui m'a fait basculer … c'est à la fois cette fierté d'avoir suscité le désir sexuel chez ces six mâles … ET une sorte d'émoi, d'attachement sentimental … "Je vous aime parce que vous me baisez ! ". Et la débauche, la dépravation la plus totale à laquelle je peux me livrer n'y changent rien, parce que, oui, même les trente types qui me sont passés dessus chez Jean-Claude, je les ai aimés .. TOUS … parce que, les uns après les autres, ils se sont accouplés avec moi, ils m'ont enculé, ils m'ont baisé, ils m'ont inséminé !

 

Numéro trois a fini de jouir … il reprend son souffle et soudain, il pose ses lèvres chaudes et humides sur ma nuque et m'embrasse, attisant mon trouble. Mais aussitôt, il se décolle de moi et je sens sa queue sortir de mon cul. J'ai juste le temps de me retourner … il est déjà rentré dans la chambre. Numéro quatre me regarde en hochant la tête, un sourire aux lèvres:

- T'es vraiment une drôle de pute !

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Je sais pas .. j'en ai jamais vu se comporter comme ça. On dirait pas une pute.

- C'est parce que je débute.

- C'est pas que ça.

- Tu veux aussi me baiser ici, sur ce balcon ?

- Non, dans la chambre.

 

Il me fait signe de le précéder pour rentrer. Numéro trois est déjà en train de remettre son pantalon. J'attends que numéro quatre me dise ce qu'il veut. Il fouille sa poche, en sort un jeton rouge, me le montre et le dépose sur la table de chevet:

- Allonge toi sur le lit.

 

Oui, c'est vrai, c'est un client. Jeton rouge … il va me baiser. Je n'avais pas envisagé autre chose. Je monte sur le lit et je m'étends sur le ventre. Pendant qu'il commence à se déshabiller, je m'appuie sur les coudes, je pose mon menton sur mes mains croisées et je l'observe. Tout en déboutonnant sa chemise, lui aussi me détaille de la tête aux pieds en souriant. Alors, mine de rien, j'écarte les cuisses, je relève mes mollets à la verticale, je me cambre et je me mets à osciller lascivement du bassin de droite à gauche. Mon manège ne lui échappe pas. Ça le fait sourire. Il déboutonne son pantalon et en écarte lentement les deux pans. J'attends, languissant, de découvrir cette queue que je n'ai encore pas vue. Il ne porte ni slip ni caleçon … aaaah, voilà sa biiiite ! Elle n'a rien d'exceptionnel, mais elle bande ! Déjà ! Ou encore, puisqu'il s'est pas mal tripoté depuis qu'il est arrivé. Il n'y a rien à faire, découvrir le sexe d'un inconnu me bouleverse toujours, si banal soit-il … enfin, ça me bouleverse surtout quand c'est le sexe d'un inconnu qui va entrer en moi … et même si ce n'est que pour le stupre, la luxure, je ne peux m'empêcher de voir un sexe masculin d'abord comme un appareil génital, comme un organe reproducteur avant d'être un instrument de plaisir … et ce sexe, là, sous mes yeux, est déjà en érection, gonflé, raide de désir, alors que ce type ne m'a même pas encore touché ! 

 

Pendant qu'il finit d'ôter son pantalon, je lui lance, les yeux toujours rivés sur son membre:

- Tu sais, t'es pas obligé de mettre une capote.

 

Surpris, il écarquille les yeux:

- Ah bon ? Mais …

- J'aimerais mieux que tu jouisses directement dans mon cul …

- Moi aussi, ça me plairait, mais je te connais pas …

- T'as peur ?

- Non, je suis prudent.

 

Je sens qu'il est déterminé … pas la peine d'insister:

- Bon, comme tu veux.

 

A son tour, il se sert dans la corbeille de capotes et il en met une. Puis il me montre le flacon de lubrifiant:

- Tu crois qu'il y en a besoin ?

 

Je passe une main jusqu'à mon cul et je tâte:

- Non. Ce que l'autre m'a mis devrait suffire.

 

Alors il s'approche du pied du lit. Au moment où je sens le matelas s'affaisser sous son poids, j'écarte un peu plus les cuisses. Voilà, ses genoux entre mes genoux … il remonte ma jupe sur mes reins … le matelas s'affaisse maintenant près de mon coude droit … il a posé sa main à côté de moi … il est au-dessus de moi … ses cuisses contre mes cuisses … son torse contre mes omoplates … il pèse de tout son poids … j'écarte les bras et je me laisse aplatir sur le lit … hhhmmmm, sentir un homme sur moi, j'adore ! La joue posée sur le drap, je le sens bouger sa main droite entre mes fesses … il guide son sexe … il entre en moi et finit de s'affaisser sur mon dos … son ventre nu, sur mes fesses … à demi appuyé sur les coudes, les mains sur mes épaules, il commence à aller et venir … et tout de suite, à sa respiration, au gémissement de plaisir qu'il laisse peu à peu échapper, je sens que lui aussi, ça va aller vite ! Putain, c'est tous des rapides ! Ça se passe toujours comme ça, quand un mec baise une pute ? Je pensais que ça durait quand même plus longtemps … Il halète et je sens son abdomen qui se soulève sur mes reins au rythme de sa respiration. 

 

Et après seulement une dizaine de va et vient, il se lâche en laissant échapper un grognement sourd contre ma nuque. Lui ne se bloque pas, la queue au fond de mon cul, comme beaucoup, mais il continue d'aller et venir d'une manière désordonnée en ahanant. Enfin, à bout de souffle, il se retire, soulève son bassin et loge sa queue à plat dans ma raie avant de s'écrouler mollement sur moi en poussant un soupir de satisfaction. Y'a pas à dire, me faire baiser avec capote, c'est pas mon truc. Quatre types m'ont baisé, et je me sens … le ventre vide ! Dès qu'il a repris son souffle, après à peine une minute, numéro quatre se relève. La joue posée sur mes mains croisées, je le regarde ôter sa capote, s'essuyer vaguement la queue de la paume de la main et se rhabiller. Quand il a fini, il me sourit:

- Bon, salut …

- Salut.

 

Il disparaît, me laissant seul, fesses à l'air sur ce lit, attendant que Lionel fasse monter un autre client. Je n'attends pas très longtemps. Le téléphone mural, au-dessus d'une des tables de chevet se met à bourdonner. Ça ne peut être que pour moi. Je rampe jusque là et je décroche:

- Oui ?

- C'est Lionel.

- Oui.

- Tu peux descendre, il n'y aura plus personne.

- Ah bon ? Tu avais parlé d'une dizaine de …

- Je sais ! Mais à part ces quatre là, les autres habitués ne sont pas intéressés. Descends !

 

Bon. Je raccroche, je descends du lit et de sors de la chambre.

 

Quand j'arrive dans le hall, Lionel est en train de raccompagner numéro quatre à la porte de l'hôtel. Sur le guichet de l'accueil, deux bouteilles et des verres … whisky et Chablis … J'ai l'impression qu'il y a quelqu'un dans le bureau … je contourne le guichet et je passe la tête par la porte … Oh, putain ! 

 

Sur le canapé … sur le canapé, ils sont trois ! La femme de Lionel, Carole, est étendue, complètement à poil, la nuque sur l'accoudoir, les cuisses écartées et, entre ses cuisses … la tête du barbu … le barbu qui m'a baisé tout à l'heure, lui aussi complètement à poil, est en train de lui bouffer la chatte … et au-dessus d'elle, un pied au sol et l'autre sur le canapé, les mains appuyées sur le dossier, un autre type, lui aussi nu comme un ver, est en train de se faire sucer par cette … par cette superbe femelle ! Putain, quelle scène !

 

- Elle est pas belle comme ça, ma Caro ?

 

Lionel est arrivé sans bruit derrière moi, et il contemple sa femme … en train de baiser avec deux hommes ! J'en reste coi. Bon, tout à l'heure, il l'a regardée se titiller le clito pendant que je suçais leur client … il l'a même vue toucher la bite de ce mec … mais là … là … Carole, une main sur la tête du barbu qui lui broute le minou, est en train de malaxer avec conviction les couilles du type qu'elle suce. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle ne subit pas passivement. Visiblement très impliquée dans l'action, elle gémit sourdement de plaisir. Notre présence à l'entrée du bureau n'a pas pu échapper au trio qui continue comme si de rien n'était. C'est … très excitant … non seulement de les voir se donner du plaisir, mais de les voir faire ça ouvertement sous les yeux du mari !

 

- Alors, tu la trouves pas belle, comme ça ?

 

Il insiste. Alors:

- Oh si … elle est … magnifique ! Mais … ça vous … ça te dérange pas que …

- Qu'elle baise avec d'autres hommes ? Non. Ça me plaît. J'aime la voir baiser avec d'autres hommes. Mais, vas-y, entre. Tu peux regarder, ça la dérange pas, au contraire, elle est très exhibitionniste quand elle baise.

 

Poussé par Lionel, je m'avance au milieu du bureau. Lui s'approche des trois corps en pleine séance bucco-génitale, se penche et caresse la poitrine de sa femme. Ni elle ni eux ne réagissent. Lionel revient vers moi:

- Ça t'excite ?

- Ben oui. Ils vont … ils vont la baiser ?

- Oui. Moi aussi, et on va la baiser tous les trois …

- Ah bon ?

- Oui, tous les trois en même temps Ce qu'elle aime par-dessus tout, ma Caro, c'est avoir un sexe dans chacun de ses orifices … un dans le cul, un dans la chatte et un dans la bouche … alors, pour commencer, nos deux amis, là, vont lui fourrer la chatte et le cul … en même temps … mais ça, c'est surtout pour mon plaisir à moi … j'adore la voir avec les sexes de deux hommes en elle … et après, je lui donnerai ma queue à sucer … pour son plaisir à elle …

 

Je le sens très excité par cette évocation. Moi aussi, il m'a excité, à me raconter ça. Est-ce qu'ils vont me laisser assister à ça ? Mais, comme s'il avait deviné mes pensées, il ramasse mon baise-en-ville, resté au pied du canapé, il me prend par le bras et m'entraîne hors du bureau:

- Bon. Ben … on n'a eu que quatre clients … cinq, avec le guignol que t'as sucé au départ. J'espérais mieux. Petite journée, pour nous. T'en dis quoi, toi ?

- De quoi …

- De cet essai … ça t'a plu ?

- J'aime me faire baiser, mais je suis frustré.

- Ah bon ?

- Oui. J'aime pas me faire baiser avec capote. 

- Mouais. Et t'auras envie de recommencer ?

- Je sais pas.

- Moi, si j'ai pas plus de candidats, je te cache pas, ça m'intéresse pas. Si tu veux continuer, t'auras qu'à voir avec Jacky quand il sortira. Bon, c'est pas que je te chasse, mais ils sont chauds, tous les trois …

 

D'un coup de menton, il désigne le bureau. Il poursuit:

- Je vais devoir y aller. Tu veux te changer avant de rentrer ?

- Euh, non. C'est pas la peine.

- Bon, alors salut.

 

Il me tend mon baise-en-ville et me fait signe de me diriger vers l'entrée de l'hôtel. je serais bien resté pour assister à cette partie de cul à quatre, mais à son air, je sens qu'il n'est pas décidé. Il m'ouvre la porte vitrée. Je sors. Je n'ai même pas mis un string. De nouveau, l'air frais me caresse les cuisses et les fesses. Je monte en voiture et je démarre.

 

J'ai bien le cul nu sur mon siège, mais il me manque quelque chose ... pour une fois, je rentre chez moi le cul propre après m'être fait baiser par plusieurs types ... je ne sens pas, leur semence s'étaler sous moi. Quand j'arrive dans ma cour, la voiture de Yolaine n'est pas là. Dommage, je lui aurais bien raconté cette matinée.  

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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