Partager l'article ! Premières fois. Un certain Paulin. 1ère partie: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexue ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Samedi 23 décembre. 16h00
Ouaaaaaaaahhhh ! Ce mec a voulu me prendre sur cette table, dans la salle à manger commune du gite où j'habite … et il vient juste de tirer son coup … au fond de mon ventre !
Le mec en question, il s'appelle Jean-Pierre, et je ne le connaissais pas il y a seulement deux heures … c'est Bernard, son collègue, qui me l'a amené … Bernard, lui, je le connaissais déjà un peu … j'avais fait sa connaissance samedi dernier, au cours d'une balade sur la côte, habillé en travelo, et je lui avais taillé une pipe dans sa voiture, au bord d'une route … d'ailleurs, tout à l'heure, je lui ai encore taillé une pipe dans ma chambre, pendant que Jean-Pierre me baisait, mais en levrette, cette fois ...
Voilà … donc, après que ces deux mecs se soient vidé les couilles une première fois, il a eu faim, Jean-Pierre, alors nous sommes allés chercher de quoi calmer sa fringale dans la cuisine commune du gite, et on s'est installés là, dans la salle à manger.
Il faut dire, nous sommes seuls ici, aujourd'hui … pas d'autres clients dans le gite, et la gérante a pris son week-end, en laissant à ma disposition toutes les parties communes … et déjà, rien que ça, pouvoir me balader partout avec le cul à l'air sous mon déshabillé et accompagné de mes deux mâles, j'adore !
On allait commencer à manger, quand ça lui a pris brutalement, à Jean-Pierre … j'étais assis sur son genou, il venait de me fourrer deux doigts dans le cul et ça me rendait folle … alors d'un seul coup, en me sentant réagir aussi intensément à son doigtage, il s'est levé, il m'a fait ôter mon déshabillé, il m'a fait allonger sur le dos au milieu de cette table, les jambes écartées, et il m'a prise …
Putain … c'est tellement excitant d'être là, cuisses grandes ouvertes, avec ce mec qui me bourre le cul tout en me masturbant !
En plus, l'autre, le Bernard, en voyant son pote me niquer, il s'est levé, il a sorti sa queue, et là, il se branle à côté de moi ! Alors, je vous dis pas dans quel état je suis ! Ces types vont me rendre dingue, avec leurs bites !
Comme il n'a pas arrêté de me branler vigoureusement, le Jean-Pierre, à mon tour, je jouis … je jouis en gémissant, je jouis en couinant … pendant qu'il éjacule dans mon cul, je reçois mon propre sperme sur le ventre … jusque sur la poitrine … jusque dans le cou … je n'avais jamais éjaculé aussi puissamment !
Ça y est, Jean-Pierre, haletant, a terminé, et il reprend son souffle, son sexe toujours enfoncé en moi, ses doigts toujours serrés sur le mien de sexe … Il déglutit bruyamment, il rouvre les yeux et il me regarde en souriant:
- Putain, quel pied !
- …
- Toi aussi, t'as pris ton pied …
- Hhmmm !
Il a arrêté de me branler, mais il tient toujours ma bite … il la presse doucement pour finir de la vider sur mon ventre. Puis il replace ses deux mains sous mes genoux, il me maintient les cuisses bien écartées, et il se remet à aller et venir lentement:
- T'es vraiment un sacré bon coup, hein … t'as un cul … un cul … putaiiiin, CE CUL !!!!!
Je sens que sa queue est moins raide, mais il continue de me limer tranquillement en souriant …
- Dis, euh, Marin … tu saurais où y'a du Sopalin ?
C'est Bernard qui se manifeste. Je tourne la tête vers lui. Il est là, debout contre la table, avec la bite qui pendouille entre ses cuisses:
- Pourquoi …
- Pour essuyer … j'ai … j'ai juté sur la table … et sur toi …
Ah, d'accord ! Ce n'est pas mon sperme que j'ai senti dans mon cou et sur ma poitrine, c'est le sien ! Putain, il avait déjà tiré son coup deux fois ! Ça fait trois ! Je recule ma tête et je regarde la table … en effet, il y a un long jet blanc nacré qui s'étale du bord de la table jusque vers mon épaule … d'où il sort autant de sperme, le Bernard ?
- Hein … tu sais où y'a du Sopalin ?
- Oui, mais laisse, je vais m'en occuper …
- Ah bon.
Il remonte son pantalon et il se rassied. Jean-Pierre sort son sexe doucement de moi et il redescend mes jambes:
- T'as vu ? Là aussi, au bout de la table, va falloir essuyer …
Je me remets sur mes pieds. En effet, étalée par mes fesses sur le bois, une tache de sperme brille dans le soleil. Alors je me penche et en trois coups de langue, je nettoie la table … Jean-Pierre s'esclaffe et me claque le cul … je regrimpe sur la table, mais cette fois à genoux, je m'approche de la longue traînée laissée par Bernard et je la fais aussi disparaître d'un coup de langue. Si ça fait rire Jean-Pierre, Bernard affiche un air toujours aussi effaré. Je me redresse, toujours à genoux au milieu de la table, j'appuie mes fesses sur mes talons, et du bout des doigts, je racle le sperme que j'ai dans le cou, sur la poitrine et sur le ventre … et je me lèche les doigts. Puis je glisse ma main entre mes cuisses, sous mon périnée et je recommence avec le trop-plein de semence qui s'écoule de mon cul. Bernard, avec un air dégoûté:
- Aaaaaaaahhh, mais t'es dégueulasse !
- Quoi … c'est du sperme … c'est pas plus dégueulasse que celui que t'as répandu dans ma gorge tout à l'heure …
- Ouais, mais là, ça sort de ton cul !
- Et alors, il est nickel, mon cul …
Il hausse les épaules, pas convaincu. Jean-Pierre, lui, se marre encore:
- Ha ha haaa ! Allez, moi, je mange, j'ai la dalle.
Pendant qu'il s'assied à côté de Bernard et commence à se tailler un gros morceau de baguette, je descends de la table et je m'approche de lui. Je pose la main sur sa cuisse et j'essaie de le faire pivoter … il proteste:
- Qu'est-ce tu fous … laisse-moi, j'ai la dalle …
- Tourne toi un peu, je voudrais m'asseoir sur tes genoux, comme tout à l'heure … ça t'empêchera pas de manger …
Il soupire mais il se tourne un peu vers moi et il écarte les jambes. Je m'assieds sur sa cuisse et je passe mon bras sur ses épaules:
- Vas-y, continue … mange …
- Ah, c'est vachement pratique, hein …
- Donne … je vais te le faire … tu veux quoi …
- Ça, là … fais-moi un sandwich avec cette terrine, là … elle a l'air sympa … et mets-moi des cornichons …
Pendant que je lui prépare son sandwich, il passe son bras derrière moi, il glisse sa main sous ma nuisette et il me caresse les reins:
- T'es quand même un drôle de mec, hein … tu te comportes vraiment comme une gonzesse … t'es pas comme les autres mecs que j'ai baisés … t'es … t'es gentil… t'es aux petits soins … on dirait une gonzesse amoureuse …
- Mais JE SUIS une gonzesse amoureuse …
- T'es amoureuse ?
Je lui donne son sandwich:
- Ouais, je suis amoureuse de ÇA !
Je descends ma main sur son entrejambe et je lui palpe le paquet:
- ÇA, ça me donne du plaisir, alors il faut bien que je prenne soin du propriétaire …
La bouche pleine, il se marre:
- Ah ouais … c'est pas de moi que t'es amoureuse, c'est de ma queue !
- Exactement … et de celle de Bernard, aussi …
- T'es aussi amoureuse de la queue de Bernard ?
- Ouais.
- Autrement dit, si on était ensemble, tu me serais pas fidèle … enfin … tu serais pas fidèle à ma queue ..
- Non. Je pourrais pas me contenter d'être fidèle à une seule queue …
Il se marre encore. Et à mon grand étonnement, Bernard, qui était en train de déguster une grande tranche de baguette garnie de fromage, la pose sur la table, il ouvre sa braguette, il sort sa bite et il avance sa chaise jusqu'à avoir ses genoux entre les miens. Il reprend sa baguette, mord dedans, et:
- Alors la voilà, ma queue …
Je tends la main et je la prends. Il est mou, Bernard … il ne bande pas … pas étonnant, il a joui trois fois cet après-midi … mais ça fait rien, ça me plaît bien de lui tripoter la bite dans cet état … sans cesser de la manipuler, je glisse mon autre main dans la ceinture du pantalon de Jean-Pierre et, avant que j'aie eu le temps d'atteindre son sexe, de lui-même, il descend le zip de sa braguette, et il sort sa bite … lui aussi est plutôt mou … et je trouve ça super agréable d'avoir une bite molle dans chaque main et de les tripoter comme ça, tranquillement, pendant que les deux mecs cassent la croûte et sirotent leur bière … il y a quelque chose de … de paisible, de serein, dans cette situation … mes deux mecs mangent, boivent comme si de rien n'était, jetant de temps à autre un coup d'œil sur mes mains qui leur palpent, qui leur caressent la bite …
Et puis, au bout d'un moment, je n'y tiens plus … je tombe à genoux aux pieds de mes deux mecs, je m'approche de l'entrejambe de Bernard et je prends son sexe dans ma bouche … hhhhmmm ! Son petit oiseau, tout chaud, tout doux, avec ce long prépuce un peu flaque … ça me fait saliver abondamment. Je ne sais pas pourquoi, j'étais sûr qu'il me laisserait faire … je ne le tète pas, je ne le pompe pas … je me contente de le garder au chaud dans ma bouche … ça ne le fait pas grossir, ça ne le fait pas durcir … et c'est très bien comme ça … je tends la main derrière moi et, à l'aveugle, je cherche à tâtons le sexe de Jean-Pierre … il prend ma main et la guide jusqu'à sa queue ! Je recommence à le manipuler délicatement … Et soudain:
- Au fait, c'est toi qui accompagne le patron à Brest, la semaine prochaine ?
Il s'est adressé à Bernard.
- Ben ouais … c'est moi qui ai réglé la machine, alors c'est normal qu'il m'emmène …
Et ils se mettent à parler boulot … le plus naturellement du monde … Ça pourrait être une scène d'une grande banalité … deux types qui parlent travail en cassant la croûte, sauf qu'entre eux, il y a une taffiole en train de sucer la queue de l'un et de tripoter celle de l'autre ! Je les entends, au-dessus de moi, qui mangent, qui boivent, qui tranchent du pain, qui taillent dans la terrine et les fromages et qui bavardent … et ça me plaît vraiment beaucoup ! Je me sens à ma place … au pied des mâles, au service des mâles ! Oh, comme j'aimerais pouvoir faire ça tous les jours … au fait, il y a peut-être une cantine, là où ils travaillent, tous les deux … je me demande combien ils sont d'ouvriers, dans leur boîte … il faut que je pense à leur demander … Après avoir longuement dégusté la bite de Bernard, je me retourne et je prends celle de Jean-Pierre dans ma bouche … il s'est arrêté de parler quelques secondes, il a posé sa main sur ma nuque, et il a repris la conversation … lui, je le sens légèrement gonfler sur ma langue … mais sans plus … Hhhhmmmm, je me sens … c'est la volupté … quand je pense qu'il y a quelques jours, j'avais des velléités d'arrêter tout ça !
Je ne sais pas combien de temps ça dure … je me souviens seulement qu'à un moment, Bernard s'est levé et est allé chercher d'autres bières dans la cuisine … et que pendant ce temps, Jean-Pierre m'a caressé la tête, et que sa queue a légèrement grossi dans ma bouche avant de se dégonfler au retour de son pote … Ils aiment ça, ces mecs … ce que je leur fais … ça n'a jamais dû leur arriver …
- Bon, c'est pas qu'on s'ennuie, là, mais on va devoir y aller …
C'est à moi que ça s'adressait … Jean-Pierre a tapoté mon épaule … il poursuit:
- Hein, ma poule … faut qu'on y aille, maintenant …
Je sors son sexe de ma bouche, et, m'appuyant sur ses cuisses, je me relève:
- Vous êtes sûrs ?
- Ouais, faut que Bernard me ramène …
- Je peux te ramener, moi …
- Nan, mais il faut qu'on passe chez lui avant, il a un truc à me donner … Bon, on va t'aider à ranger …
- Non, laissez, je vais m'en charger.
- Comme tu veux … alors on retourne à ta chambre, finir de se rhabiller …
- Allons-y. Je reviendrai ranger après.
Dès que nous sortons de la salle à manger, Jean-Pierre me passe un bras sur les épaules:
- C'était vachement bien, cet après-midi de baise avec toi … une des meilleures parties de cul que j'aie vécues … faudra vraiment qu'on se revoie, hein …
- Ben d'accord.
Une fois dans ma chambre, assis au bord du lit, je les regarde se rhabiller. Jean-Pierre:
- On n'a pas fini de regarder tes vidéos … quand tu reviendras de Paris, tu penseras à les ramener ?
- Oui, bien sûr …
- Tu me notes tes coordonnées … téléphone, adresse mail … et l'adresse de ton blog ?
- OK.
Je lui écris tout ça sur un post-it et il me donne son numéro de téléphone et son adresse mail. Et Bernard:
- Ah, au fait, je me suis acheté un téléphone portable. Tu veux aussi mon numéro ?
- Ben oui, donne.
Il l'ajoute aux notes de Jean-Pierre, et nous nous séparons. Bernard me tend la main, mais Jean-Pierre me fait la bise. Je les regarde monter en voiture et s'éloigner.
Je retourne à la salle à manger, je range, je nettoie et je regagne ma chambre.
Samedi 23 décembre. 18h30
Coup de téléphone. C'est Gwen:
- Bonjour. Dites, la semaine prochaine, je ferme l'agence … ce serait possible d'aller voir votre propriété, à Plouménez ?
- Ben oui … pourquoi pas … quel jour ?
- Pas lundi, c'est Noël … mardi ?
- Mais … vous voulez pas en profiter pour vous reposer … ou pour profiter de votre famille … y'a pas urgence.
- Oui, je sais, mais vous savez, lundi matin, mes enfants et mon homme partent au ski avec mes beaux-parents … moi, je peux pas y aller, alors autant en profiter pour visiter Plouménez … ce sera fait … mardi ou un autre jour de la semaine, si vous préférez …
- Ben, mercredi, on me livre des meubles … vous savez, pour ma maison … et leur montage va sans doute durer deux jours, voire trois … alors mardi, c'est bien … sinon, ça reporte à vendredi ou même samedi.
- Bon, alors mardi. Vous verrez, j'ai déjà travaillé sur la vente de vos terrains …
- Ah oui ?
- Oui. Je vous expliquerai ça mardi. Je peux vous prendre à votre maison … en passant, j'aimerais bien voir le travail de Gégé.
- Ben d'accord. Quelle heure ?
- Neuf heures ? Ça vous va ?
- Très bien.
- Alors à mardi.
- A mardi.
Je passe le reste de la soirée allongé sur mon lit, toujours en nuisette et en porte-jarretelles, à repenser à ce qui vient de m'arriver avec les deux mecs … il n'y a qu'un peu plus de dix jours que je suis ici, et ça y est, je me suis déjà fait passer dessus par deux types ! Et encore une fois des types que je ne connaissais pas ! Oh, ce n'est pas tellement que ce soit nouveau, de me faire sauter par des inconnus … non, mais, en Seine-et-Marne, j'ai connu tellement de mecs que j'ai l'impression que c'est surtout le bouche-à-oreille et ma réputation de "fille facile" qui m'amenaient de nouveaux queutards. Ici, ce n'est pas ça … personne ne me connaît, ma réputation ne me précède pas, alors c'est bel et bien mon cul qui a attiré ces mâles et ma propension à écarter les cuisses qui a fait le reste … la vraie grosse salope, quoi ! Et ben, j'en suis fier !
Dimanche 24 décembre.
Aujourd'hui, c'est un peu grasse matinée, mais le supermarché restant ouvert jusqu'à midi, je me dépêche quand même de faire quelques courses. Et je passe l'après-midi à légumer devant la télé.
Lundi 25 décembre.
Aujourd'hui, jour de Noël, la météo a annoncé de la pluie pour toute la journée. Alors, histoire de ne pas rester encore enfermé dans ma chambre, je décide d'aller traîner en voiture … sans but précis. Pour ça, je remets la robe avec laquelle j'avais fait ma balade sur la côte la semaine dernière, mais cette fois, dessous, au lieu de mon collant ouvert, c'est porte-jarretelles avec les bas noirs que je me suis achetés … je me sens mieux comme ça … et pas de culotte, évidemment … pas même un string.
Je traîne à petite vitesse, la robe remontée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre, et la bite à la main … En fait, c'est pour le seul plaisir de me balader comme ça … je n'ai même pas envie de faire une rencontre … la séance de samedi m'a assouvi … temporairement, du moins. Tout est vraiment mort, aussi bien en ville que dans les petits villages que je traverse. Pas un commerce ouvert. Sur la route je ne croise que quelques voitures, mais pratiquement personne à pied. Tout le monde doit se remettre du réveillon de la veille. En plus, avec cette petite pluie continuelle … Je monte jusqu'à Brest par la voie express … En fait, ce n'est pas plus animé qu'à Quimper… Le seul fait un peu marquant, c'est quand je fais le plein à la station service d'un supermarché … une voiture avec quatre jeunes à l'intérieur, garçons et filles, s'arrête à la pompe à côté de celle où je suis … le conducteur, en descendant de voiture, me lance un "Joyeux Noël, mademoiselle ! " … tout en lui tournant le dos pour ne pas lui montrer ma tête, je lui réponds de la voix la plus efféminée que je peux " Merci, vous aussi " … Quand je remonte dans ma voiture, les trois passagers me regardent avec l'air endormi de ceux qui ont fait la fête toute la nuit. Ils ne remarquent même pas ma minirobe remontée pratiquement au ras de mes fesses. En fin d'après-midi, je rentre au gite.
Mardi 26 décembre. 18h00
Me voilà de retour de Plouménez. J'ai passé une journée très agréable.
Elle vraiment mimi, cette Gwen ! Non seulement je la trouve plutôt compétente, mais en plus, elle est vraiment bien foutue. Là, j'ai eu l'occasion de m'en rendre compte … elle portait une petite jupe noire, courte et moulante qui mettait très en valeur son petit cul … et quelle chute de reins ! Et pour ce que j'ai pu en voir, elle a aussi sans doute une belle poitrine … et des cuisses magnifiques, bien galbées … et des mollets fuselés … quel physique ! Et ce n'est pas Cloarec, le voisin de Coat-an-Bleiz, qui me contredirait … Oui, parce que j'ai encore fait appel à lui … Gwen souhaitait voir de ses propres yeux les terrains que je compte vendre, et Cloarec m'avait dit en connaître la plupart … une fois arrivés sur place, Gwen s'est rendue compte qu'elle avait oublié ses bottes en caoutchouc dans sa voiture … alors Cloarec lui a proposé une paire de sa femme et, le temps qu'elle les enfile, il l'a littéralement dévorée des yeux … c'en était presque gênant … mais je crois qu'elle ne s'en est pas aperçue.
Plus tard, dans la journée, je comprendrai à quoi elle doit un physique aussi … avantageux … Comme pour compléter le tableau, et malgré la fraîcheur, elle était jambes nues … de longues jambes toutes dorées avec, aux pieds, une paire d'escarpins qui allaient très bien avec le reste, mais tout de même assez incongrus en cette saison … En plus, elle sent bon … un parfum léger, discret, frais … Je me suis même demandé un moment si elle ne cherchait pas à m'allumer en ayant choisi une toilette aussi sexy … mais non, j'ai vite réalisé que pour elle, ça devait être une tenue de travail ordinaire … N'empêche, à mon propre étonnement, je réalise que j'aimerais bien lui fourrer ma tronche entre les cuisses, et lui bouffer la chatte … et au cours de cette journée cette idée m'a naturellement amené à plusieurs reprises à me poser des questions … tout d'abord, que portait-elle sous sa jupe … petite culotte ou string ? Parce que, sur le tissu de sa jupe, pas la moindre marque visible d'un élastique au niveau des cuisses … Et mes tentatives d'imaginer l'une et l'autre hypothèses, petite culotte ou string, m'ont naturellement amené à me demander aussi si elle avait le minou épilé ou si elle avait gardé une touffe … allez, au fond, je préfère imaginer qu'elle a le minou glabre. En fait, je n'aimerais pas seulement lui bouffer la chatte, à Gwen … j'aimerais bien aussi la baiser !
Bref … nous avons commencé par visiter Coat-an-Bleiz. Elle aime bien et elle m'a dit qu'elle me donnerait les coordonnées d'un architecte de sa connaissance qui pourrait se charger de la restauration des bâtiments. Ensuite, Cloarec nous a véhiculés dans son pick-up à travers les landes, les bosquets et les bois … Gwen, assise à côté de lui, lui désignait les parcelles sur des photocopies du cadastre et il nous emmenait … Au fur et à mesure, Gwen prenait des photos et annotait ses extraits de cadastre. Ça nous a pris la matinée et même pas mal plus. Ensuite, je les ai emmenés tous les deux manger à l'auberge Gaillard, là où j'avais mangé avec Gégé l'autre fois.
Le service était presque terminé quand nous sommes arrivés, mais le maître d'hôtel m'a reconnu et il a insisté auprès du chef pour qu'on nous serve quand même … je crois qu'il m'a à la bonne, depuis l'autre jour. Là, on a très peu parlé terrains et immobilier. Gwen s'est un peu laissée aller sur l'apéritif (Champagne et amuse-bouche), et, une fois détendue et désinhibée grâce aux effets de l'alcool, elle s'est pas mal confiée sur elle-même. Elle vit avec un chercheur en biologie marine – elle a l'air d'être très amoureuse de son homme - ils ont deux enfants, une fille de huit ans et un garçon de six ans, qu'elle a eus quand elle était encore assez jeune. D'après mes calculs, elle doit avoir dans les trente ou trente et un ans. Dans l'agence immobilière dont elle est maintenant propriétaire, elle a commencé comme secrétaire avant que son patron lui confie des transactions, où, visiblement, elle a très bien réussi. Alors, quand son patron a pris sa retraite, n'ayant pas d'enfants à qui transmettre son affaire, il lui a proposé de la racheter. Entre autres choses, elle nous a parlé de son goût pour le sport qu'elle pratique dès qu'elle peut avec son compagnon … elle fait du surf aussi souvent qu'elle peut … y compris en cette saison – j'aimerais bien la voir dans sa combinaison néoprène moulante - de plus, un matin sur deux, elle court pendant au moins une heure avant d'aller travailler … et deux ou trois fois par an, elle participe à des compétitions de triathlon … pas de doute, voilà ce qui explique ce physique …
Avant de rentrer, nous avons raccompagné Cloarec chez lui. C'est là qu'il m'a annoncé qu'il allait se charger de ré-ouvrir l'allée qui dessert ma ferme depuis la départementale … il n'y a que par là qu'il pourra amener jusqu'à Coat-an-Bleiz l'abri de chantier qu'il veut nous prêter, à Gégé et moi … le sentier que nous prenons habituellement n'est pas assez large pour ça. Il compte donc dégager d'un coup de pelle le talus qui condamne l'allée et débroussailler les quelques centaines de mètres entre la route et la cour de la ferme … Je lui ai dit que je le dédommagerai, mais il l'a mal pris … il ne veut pas entendre parler d'argent … ça ne lui coûtera qu'un peu de gas-oil et à peine une journée de travail … à mon avis, il pense aussi au terrain sur lequel il a mis des bêtes et il veut me disposer favorablement à son égard …
Sur le chemin du retour, j'ai eu du mal à rester concentré sur ma conduite … tandis que Gwen m'exposait dans les grandes lignes comment elle envisage la mise en vente de mes terrains, mon regard était constamment attiré par la magnifique paire de cuisses qu'elle étalait à côté de moi …
En reprenant sa voiture, elle m'a dit qu'elle allait se coller immédiatement sur mon dossier et qu'elle me tiendrait au courant dès que possible.
Mercredi 27 décembre 8h00
Je suis chez moi … je veux dire dans ma maison, et j'attends les livreurs.
Hier, en fin d'après-midi, la commerciale du magasin de meubles m'a confirmé la venue des livreurs ce matin. Elle m'a dit qu'ils finissaient de charger les meubles et que, le lendemain, aujourd'hui, donc, ils prendraient la route à la première heure. Elle a cru bon d'ajouter que, parmi les monteurs auxquels le magasin fait appel habituellement, elle avait choisi pour moi le plus efficace et le plus fiable … un certain Paulin, qui viendra avec un coéquipier. Jusqu'à présent, elle n'a eu que des bons retours de la part des clients dont il s'est occupé, et certains d'entre eux le demandent maintenant à chaque fois qu'ils ont un meuble à monter, même pour les meubles les plus basiques qu'ils pourraient pourtant monter eux-mêmes. Le montage et l'installation des meubles devraient donc aller très vite. Je trouve ça assez … cocasse, ces expressions qu'elle a employées tout au long de la conversation … le monteur, monter, etc. … je n'ai pas pu m'empêcher de penser à leur sens … sexuel !
Venant de Brest, le temps de faire la route, je me doute qu'ils ne seront sans doute pas là avant neuf heures. Mais je voulais m'assurer que la maison est vraiment prête. J'ai hésité, en m'habillant. J'avais une furieuse envie de mettre un de mes jeans moulants de femme, comme quand je suis allé à Plouménez avec Gégé. Pas spécialement pour la venue des livreurs, mais parce que je me sens bien dans cette tenue. Mais je me suis rappelé la critique de Gégé, justement, à propos de mon allure trop "sexe" pour le quartier. Alors, je me suis contenté d'un pantalon masculin "normal". J'ai quand même choisi le plus ajusté, le plus près du corps. Il me moule quand même pas mal le cul, même si, devant, il ne laisse pas deviner la forme et la taille de ma bite.
Quand je suis arrivé, Gégé venait de se lever. Il m'a annoncé que c'était décidé, il retournerait à son blockhaus aujourd'hui même. Il me fait un peu la gueule, mais je n'arrive pas à savoir pourquoi. Pour couper court à mes questions, il est monté prendre une douche. Je lui ai dit que je lui laisserai un jeu de clefs et qu'il pourrait passer quand il voudrait se servir de la salle d'eau et du lave-linge, que je sois là, ou pas.
9h00
J'entends le bruit d'un moteur qui ralentit et celui d'un camion qui se gare. Je sors.
En fait, devant la maison, il y a deux gros fourgons blancs, garés l'un derrière l'autre. Un type descend du second fourgon … plutôt fluet. Une casquette vissée sur la tête, il porte un sweat-shirt, un jean élimé et une paire de tennis usées. La main sur le portillon, il semble attendre l'autre conducteur …
L'autre conducteur débouche d'entre les deux fourgons, une liasse de papiers et un téléphone portable à la main … Oh merde … drôle de tenue, pour un mois de décembre ! Ce mec porte seulement un T-shirt bariolé sans manches et très ajusté, et une sorte de … je sais pas quoi, exactement … ça ressemble un peu aux pantalons de survêtement molletonnés qu'on mettait dans le temps … flottant, les jambières larges au niveau des mollets et serrées aux chevilles par un simple élastique … par la forme, ça ressemble aux anciens pantalons de survêt, mais apparemment c'est un tissu bien plus fin et léger … en fait, ça me fait plutôt penser aux pantalons des zouaves … oui, c'est ça, un genre de pantalon de zouave … la brise froide qui souffle lui plaque le tissu sur les cuisses et les mollets … au pieds, des claquettes avec, tout de même, des chaussettes blanches … Il sort d'où, ce mec, pour se balader dans cette tenue estivale en plein mois de décembre ? Pourtant, il a l'air parfaitement à l'aise et la fraîcheur ne semble pas le gêner le moins du monde. Il ouvre le portillon:
- Vous être monsieur Cathare ?
- Oui.
- Bonjour. Paulin. On vient vous livrer vos meubles.
Tiens, drôle d'accent, il prononce un peu les "r" comme les antillais … il doit être originaire de la Martinique ou de la Guadeloupe … pourtant, il n'est pas noir … ou alors, il est de la Réunion.
- Bonjour. Allez-y, entrez.
Tandis qu'il approche, suivi du type à casquette, je me rends compte que le vent qui souffle en tourbillons ne lui plaque pas la fine toile de son pantalon uniquement sur les jambes, mais aussi sur le bas-ventre, et … nom de dieu ! Oh, je sais bien que je suis obsédé par ce que les mecs ont entre les cuisses, mais là, même si ce n'était pas le cas, je n'aurais pas pu manquer ÇA ! Durant à peine une seconde ou deux, là, en haut de sa cuisse droite, j'ai aperçu une forme qui pend dans sa jambière, une forme moulée par cette fine toile … une forme à la fois longue et … et épaisse … c'est sa queue, ÇA ?
Puuuuutain ! L'image a été fugace, mais je n'ai pas rêvé … ce qui est sûr, c'est que, sous cette espèce de pantalon bizarre, ce mec ne porte rien, ni slip, ni caleçon … putain, et il faut qu'un mec équipé comme ça de l'entrejambe débarque chez moi ! Bizarrement, me voilà gêné d'avoir entr'aperçu sa queue ! Pourtant, j'en ai déjà reluqué sans me cacher, des queues … Je ne sais pas si il a remarqué mon regard appuyé … ça m'étonnerait, ça a été trop rapide … et puis après tout, je m'en fous … s'il ne veut pas qu'on reluque sa queue, il n'a qu'à porter un futal moins … un futal plus … plus décent, quoi … il ne doit pas ignorer que dans certaines circonstances, ce qu'il porte lui moule la bite de cette façon. D'ailleurs, si ça se trouve, ce mec est tellement fier de son organe qu'il le fait exprès et qu'il se complaît à l'exhiber !
Troublé par cette vision, j'ai tourné les talons et j'ai précédé les deux mecs dans la maison:
- Voilà … ici, c'est le salon.
- Ah très bien … c'est grand, on va pouvoir stocker pas mal de choses ici en attendant de les monter.
Il agite la liasse de papiers qu'il tient à la main:
- Au magasin, on m'a donné un plan de la maison avec le détail de ce qui va dans chaque pièce ... comme ça, dans les fourgons, on a regroupé les meubles par pièce … c'est plus facile pour s'organiser.
Oui, j'avais dessiné ce plan pour la commerciale qui m'avait aidé à choisir les meubles, les accessoires et la déco.
Vu de près, ce type est … je sais pas … étrange … et je ne sais pas pourquoi, mais il me met mal à l'aise. C'est son physique, déjà … il est assez grand … à peine une demie tête de moins que moi … mais il est beaucoup plus costaud … massif … dense … un physique de rugbyman … des épaules et des bras épais … sous son pantalon, je devine aussi des cuisses puissantes … ce type est taillé, mais ses muscles ne sont pas saillants comme ceux d'un culturiste … non, il paraît même tout en rondeurs … sa tête aussi, est toute ronde ... des cheveux noirs très courts … j'ai l'impression qu'ils doivent être très ondulés quand il les laisse pousser … peut-être même crépus … oui, en fait, il a des traits … pas vraiment négroïdes, mais il aurait une lointaine ascendance africaine que ça ne m'étonnerait pas … lèvres épaisses, nez fin mais légèrement épaté … avec aussi un mélange … peut-être asiatique … des yeux légèrement bridés … sa peau est … disons café au lait, avec beaucoup de lait … et légèrement luisante … drôle de mélange.
Et cet accent … par moments, je dois me concentrer pour comprendre du premier coup ce qu'il dit …
Mais c'est surtout autre chose qui me provoque une impression désagréable … sa façon de me regarder … et cette espèce de sourire suffisant … le sourire du mec content de lui … sûr de lui, même … bon, d'accord, avec un physique de baraque comme le sien, il peut faire preuve d'assurance, mais il y a autre chose … il a une façon de me dévisager presque … malsaine … oui, un regard … vicieux, salace … un regard qui évoque la dépravation, le … le … la perversité …
C'est peut-être seulement dans ma tête, mais ce type suinte la bite perverse, le cul vicelard … je reçois ça en pleine gueule, et ce qui provoque cette sensation de malaise, c'est que, en même temps qu'une espèce de répugnance, j'éprouve une … une attirance … une attirance trouble, équivoque … précisément parce que ce type a l'air si ouvertement lubrique et dépravé … bien sûr, inconsciemment, cette attirance est peut-être due à la vision de sa bite qui pend dans sa jambière, mais ce n'est pas que ça … j'avais déjà ressenti quelque chose dans ce genre avec Sam, le costaud tatoué de mon gangbang chez Jean-Claude … d'ailleurs, tous les deux, ils ont un peu le même physique … et ils ont surtout une bite énorme tous les deux ! Et Sam, quand je l'avais découvert, complètement à poil dans la cour de la ferme, avec sa gosse bite tatouée qui pendait entre ses jambes, j'avais immédiatement eu à la fois peur de lui et un folle envie qu'il me prenne, qu'il me possède !
Lui, là, le livreur, je ne l'ai pas encore vraiment vue, sa bite, mais je suis sûr qu'elle est énorme … rien qu'au repos, déjà … Brusquement, je réalise qu'un long silence s'est instauré, et que nous nous regardons l'un l'autre … j'ai soudain l'impression d'être une proie, hypnotisée par le regard du serpent qui s'apprête à la frapper … je détourne la tête, et:
- Bon, je vous montre l'étage.
- Très bien. On va commencer par là, en effet.
Je m'engage dans l'escalier. Les deux types me suivent. Sur le palier, nous croisons Gégé qui finit de débarrasser ses affaires de la chambre qu'il occupait. Je le présente:
- Lui, c'est Gégé. Il travaille pour moi … lui et moi, on va pouvoir nous aider.
Ils se serrent la main. Je montre les deux chambres, la soupente et la salle d'eau. A chaque pièce, Paulin commente d'un " très bien, très bien ". Nous redescendons. Dès que nous sommes en bas, il me montre le plan de la maison et explique:
- Bon. On va commencer par amener à l'étage les meubles de la chambre numéro un, et on va les stocker dans la chambre numéro deux. Pendant que je les monterai, vous n'aurez qu'à continuer à vider le premier fourgon avec mon collègue, et à stocker les meubles dans les pièces correspondantes. C'est pas difficile, on a marqué tous les cartons avec le nom de la pièce correspondante. Vous me suivez ?
- Oui, oui, c'est clair.
- Bon. Après, mon collègue, lui, il va commencer à monter les meubles des pièces du rez-de-chaussée pendant que je monterai ceux de l'étage. D'accord ?
- D'accord.
- Bon, alors, c'est parti.
Pendant que Gégé finit d'évacuer ce qu'il avait installé dans la cuisine, nous commençons les navettes entre le fourgon et la maison. Rapidement, Paulin s'attaque au montage de la penderie de la première chambre … de MA chambre. Très efficace et rapide, le mec. Il ne prend même pas la peine de consulter les plans de montage. Il ouvre un carton, il étale son contenu au sol, il le classe et il commence à assembler les différents éléments … comme à l'instinct. Je me rends compte qu'il va bien plus vite que je pourrais le faire … je ne lui serais d'aucune utilité pour le montage des meubles. Alors je me contente de faire le grouillot … je débarrasse les cartons vides, les emballages en cellophane et les calages en polystyrène … et je continue de vider les fourgons et d'entreposer les cartons pleins dans les différentes pièces, avec l'aide de Gégé.
Il faut moins d'une demie heure à Paulin pour finir de monter la penderie. Quand il a terminé, il me demande:
- Vous voulez la mettre où ?
- Ben là, contre ce mur … au milieu.
- Bon, je vais avoir besoin de ma caisse à outils et mon escabeau. Je reviens.
- Euh, vous voulez un café ?
- Bah … pourquoi pas …
- C'est du café en poudre, hein …
- Pas de problème.
Nous descendons. Avant de quitter le gite, ce matin, j'ai pris ce qui restait de mes achats de boissons de l'autre jour, et j'ai encore emprunté une bouilloire, des tasses et des cuillers. Pendant que Paulin va récupérer son matériel dans son fourgon, je fais chauffer de l'eau. Tout en sirotant notre café, nous bavardons. Paulin s'étonne … ce n'est pas courant que quelqu'un meuble et équipe entièrement une maison comme je le fais … il demande si je suis de la région … d'où je viens … si je vais habiter là … ce que je fais comme travail … si je suis marié … il pose aussi des questions à Gégé qui élude pas mal. En fait, c'est surtout lui, Paulin, qui parle … son collègue écoute, mais ne pipe pas un mot … j'ai quand même l'impression que c'est plus l'employé de Paulin que son collègue …
Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de jeter de temps en temps un coup d'œil sur le bas ventre de Paulin pour essayer d'apercevoir encore sa grosse bite. Mais quand il est debout, elle se perd dans la largeur de la jambière de son pantalon. J'essaie de mater discrètement, mais à un moment, il surprend mon regard … je détourne les yeux, mais je crois qu'il m'a repéré … et presque aussitôt, dans un mouvement très naturel, il se gratte le bas ventre … forcément, son geste attire mon attention … et plutôt que d'ôter sa main, il la descend et se met à se gratter ostensiblement la queue ! La revoilà, emballée dans la toile du pantalon, aussi longue que tout à l'heure, aussi épaisse que tout à l'heure … je n'arrive pas à en détacher mon regard … pourtant, je sens qu'il me regarde … ce qui me ramène à la réalité, c'est deux choses … d'abord, une sourde exclamation de Gégé … à son tour, il vient de découvrir l'engin et il n'a pas pu retenir un grommellement … je ne le jurerais pas, mais il me semble qu'il a lancé un sourd "oh bordel ! " entre ses dents … l'autre chose, c'est le collègue de Paulin qui pose bruyamment sa tasse sur l'évier et qui quitte la cuisine en soupirant …
Quand je relève les yeux, Paulin me regarde avec un sourire sardonique.
Alors, à mon tour, je sors de la cuisine et je remonte à l'étage … le costaud me rejoint avec ses outils et son escabeau.
En cinq minutes, il a mis la penderie à sa place et il l'a fixée au mur … et il commence à déballer les éléments de la commode. Je redescends avec les cartons vides et quand je remonte, je m'appuie au chambranle de la porte pour le regarder faire. Et là, je remarque que chaque fois qu'il s'accroupit ou qu'il s'agenouille, il tire un peu sur la toile de son pantalon … c'est un geste un peu mécanique pour éviter de trop tendre le tissu, un réflexe pour se donner un peu d'aisance … tout le monde fait ça, à commencer par moi, quand je dois m'accroupir … mais ce qu'il y a, c'est que lui, à chaque fois, ça plaque la toile de sa culotte de zouave contre ses cuisses et surtout … contre son sexe ! Et tout le temps qu'il reste comme ça, agenouillé, à enfoncer des chevilles dans les panneaux de bois ou à encastrer des ferrures et des charnières, je vois son sexe, moulé dans sa jambière le long de sa cuisse … et c'est … fascinant ! Putain, j'aimerais y mettre la main, dans sa culotte de zouave !
Je suis tellement fasciné, appuyé au chambranle de la porte de la chambre, que je ne m'aperçois pas qu'il a fini de préparer un élément de la commode et qu'il me regarde …
- Hé ! Vous voulez me passer le panneau qui est contre le mur ?
Ça me réveille brusquement. Merde, je me suis encore fait surprendre à lui reluquer la queue … et comme un con, je sens que je pique un fard. Toujours à genoux, les fesses appuyées sur ses talons, il sourit, les poings appuyés sur le haut de ses cuisses … un sourire tellement suffisant que je réalise qu'il a compris ce qui se passe dans ma tête. Il baisse les yeux sur sa bite, et, plutôt que de tirer sur le tissu pour lui redonner un peu de flou et dissimuler tant soit peu son braquemart, il passe délicatement ses doigts sur la toile qui couvre son sexe … sous mes yeux, sans aucune gêne, il lisse la fine étoffe, il la caresse, il la tend délibérément pour mettre son sexe en valeur … puis, satisfait du résultat, il relève les yeux vers moi et il me dévisage:
- Bon, alors, vous me le passez, ce panneau ? Il est là … juste à vos pieds …
Une bouffée de chaleur me monte à la tête. Je lui passe le panneau. Putain, j'ai même vu la forme de son gland, sous la toile de son pantalon ! Comme si de rien n'était, il se remet à assembler les éléments de la commode. Moi, je ne sais plus quoi faire, quelle attitude adopter … et j'ai la bouche sèche. Bordel, me voilà intimidé comme une pucelle ! Alors je disparais dans la salle d'eau et je bois directement au robinet du lavabo. Quand je me redresse, je découvre mon image dans le miroir … et en moi-même, je me dis "T'es con, ou quoi ? T'en as envie, de cette queue, alors fais pas ta mijorée … assume !"
- Y'a quelque chose qui va pas ?
Il est là, dans l'encadrement de la porte de salle d'eau, et il me regarde, toujours avec son sourire sardonique.
- Non, non, ça va …
Il s'approche de moi … près … vraiment très près:
- Tu veux la toucher ?
- …
- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?
à suivre.