Partager l'article ! Premières fois. Au bord de l'autoroute.: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles &nb ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Depuis que Gabriel m’a baisé, je pense à sa grosse queue tous les jours et tout au long de la journée. Rien que de me remémorer les sensations de mon cul rempli et fourragé par son énorme engin, je bande. J’ai une furieuse envie qu’il me prenne à nouveau, mais je n’ose pas l’appeler. Alors, j’essaie de penser à autre chose, mais ça tourne invariablement autour du cul. Enfin, depuis un ou deux jours, une nouvelle idée me trotte dans la tête. C’est un ancien fantasme, ou plutôt une envie qui date de … plusieurs mois, et que je n’ai pas encore eu l’occasion de satisfaire : une exhibition en bordure de l’autoroute qui passe pas très loin de chez moi.
L'endroit, je l'ai repéré justement en circulant sur cette autoroute, et je l’ai exploré au cours d’une balade dans la campagne. Ce jour-là, je n’avais pas osé m’y exhiber, mais depuis, l’idée s’était peu à peu imposée à mon esprit. C'est un petit chemin empierré qui longe l'autoroute sur plus d'un kilomètre et qui conduit à un accès réservé aux services de secours et de dépannage. Au-delà de cet accès, il se poursuit sur un autre kilomètre comme chemin d'exploitation agricole et se termine en cul de sac, sauf à marcher à travers champs. On y accède par une petite route de campagne qui emprunte un pont au-dessus de l'autoroute. Au pied du pont, à l'angle de cette petite route et du chemin, il y a une aire de stockage de matériaux de la DDE, entourée d'un bosquet. La petite route est très peu fréquentée et l'aire de stockage assez discrète. Sur toute sa longueur, le petit chemin surplombe légèrement l'autoroute, dont il n'est séparé que par le grillage à larges mailles habituel le long des autoroutes et par quelques arbustes qui forment une haie discontinue et clairsemée. Depuis l'autoroute j’avais repéré qu’à travers ou par-dessus cette haie, on pouvait voir assez distinctement ce qui se passe sur le chemin. Ça me semble parfait pour ce que j'ai envie d’y faire: circuler en vélo, en vue des automobilistes, dans une tenue quelque peu … provoquante.
Pour cette exhib, la tenue, pour l'essentiel, ce sera ma minijupe en jean. Je devrais plutôt dire ma micro-jupe en jean. Quand je la porte normalement, disons … debout, elle m'arrive au ras du bonbon, et elle a tendance à remonter toute seule dès que je bouge. Et quand je la porte en faisant du vélo, elle me remonte à l’angle des cuisses et des hanches et, évidemment, elle me dévoile largement l'entrejambe.
Je n'ai pas encore décidé ce que je porterai dessous : string, string et porte-jarretelles avec bas, ou seulement porte-jarretelles et bas. Ce qui est sûr, c'est que ce sera flashy ! Le string, ce sera le rose fluo, le porte-jarretelles, ce sera le noir en dentelle avec les bas rouges. En haut, un T-shirt noir sans manches. Si les circonstances s'y prêtent, et si j'en ai le courage, je pédalerais même sans rien du tout sous ma jupe. Ce sera la première fois que je ferais ça au bord d'une autoroute, et ça m'excite.
Lundi 23 août.
C'est pour ce matin: il fait beau, pas trop chaud, et il y a une petite brise. Par précaution, je me prépare comme si j’avais un rencard avec un mec pour me faire baiser, c'est-à-dire une bonne douche pour être tout propre, à la fois à l’extérieur et … à l’intérieur. Je n’ai pas de projet particulier en tête, mais depuis cette expérience avec Laurent, ce cultivateur qui m’avait surpris dans son pré, je me prépare à toute éventualité. Je me sens prêt ... prêt à ... à avoir du sexe avec un inconnu. C'est encore un peu confus, mais ça oscille entre simplement toucher le sexe d'un inconnu, voire peut-être le masturber, et me laisser ... me laisser faire des choses sexuelles ... et pourquoi pas me laisser baiser par un inconnu. Ça dépendra des circonstances et du mec. Et je m'équipe: un pantalon large par-dessus ma jupe, un sweat par-dessus mon T-shirt, et mon sac à dos avec appareil photo, trépied et tout le nécessaire. Hé oui, comme d’habitude, je compte filmer ma prestation. Je charge mon vélo dans ma voiture, et en route.
Par précaution, je me gare dans le village le plus proche et je parcours le reste du trajet à vélo. A l'entrée du petit chemin, je m'engage sur l'aire de stockage pour me mettre en tenue. Après avoir vérifié qu'il n'y a personne aux alentours, je retire mon sweat et mon pantalon. Me voilà donc en minijupe, porte-jarretelles et string, avec, évidemment, mon T-shirt noir. J'enfourche mon vélo.
Je roule à contresens de la circulation de l'autoroute. Je fais donc face aux voitures, de façon que les conducteurs et leurs passagers aient une vue directe sur mon entrejambe à travers la haie qui borde le chemin. Je suis seulement à une quinzaine de mètres de la voie de droite de l'autoroute, un peu en surplomb, et j’espère que les couleurs vives de ma lingerie vont attirer l’attention de ceux qui y circulent, puisque j’ai choisi cette lingerie pour ça. Ils roulent vite, mais ils peuvent me voir de loin et, une fois qu'ils m'auront remarqué, ils auront suffisamment de temps pour réaliser ce qu'ils voient. Naturellement, je roule lentement pour faire durer le plaisir. J'adore ce genre de situation. Le premier plaisir est sensuel: je sens la brise et le soleil sur mes jambes, et en particulier sur la partie à nu de mes cuisses, entre le haut de mes bas et mon string.
Le deuxième plaisir est cérébral: dés que je me suis mis en tenue et que j'ai enfourché mon vélo, une délicieuse poussée d'adrénaline a fait accélérer mon rythme cardiaque. C'est ma première véritable exhibition publique ! Jusqu'ici, je me suis contenté de me foutre à poil ou en lingerie dans la campagne, parfois de me balader comme ça sur des chemins, mais jamais dans des endroits où j'étais susceptible d'être vu. Et si Laurent, le cultivateur, ne m'avait pas surpris dans son pré, l'autre jour, je n'aurais jamais été vu par personne. Mais ça a été une sensation tellement agréable, d'être vu dans cette tenue par un inconnu ...
J'observe les voitures et les camions qui me croisent, et surtout leurs conducteurs. Me voient-ils? Réalisent-ils ce qu'ils voient? Je ne tarde pas à le savoir. Plusieurs me suivent du regard et tournent nettement la tête vers moi. C'est certain, ceux-là m'ont vu et ont réalisé ce qu'ils voyaient. D'ailleurs, j'en ai rapidement la confirmation. Un poids lourd qui circule plus lentement que les voitures commence par faire des appels de phares. Est-ce à mon intention? Oui: arrivé à mon niveau, il me salue d'un long et puissant coup de klaxon ! Poussée d'adrénaline ! Et ça m'électrise instantanément tout le bas ventre … Ça y est, des gens m'ont vu ... des gens me voient, habillé en ... en salope ! Quelle sensation ! Je me sens à la fois vraiment indécent et ... et en sécurité derrière ce grillage.
Encore un peu plus excité, je poursuis ma promenade en écartant les cuisses aussi largement que possible. Ma minijupe remonte encore un peu, dévoilant presque entièrement le devant de mon string rose fluo. Cette situation m’excite passablement et je commence à bander. Ma bite se trouve déjà un peu à l’étroit dans mon minuscule string.
Me voilà à la barrière d'accès à l'autoroute. Que faire? Je pourrais m'arrêter là, sortir mon appareil photo et son trépied, et faire quelques photos et vidéos, la jupe retroussée, le cul et la queue à l'air devant les automobilistes. Mais c'est trop tôt, et je décide d'aller d'abord en vélo jusqu'au bout du chemin d'exploitation. Je m'arrêterai à cette barrière au retour …
Sur l'autoroute, la circulation est assez dense. Il y a surtout pas mal de poids lourds, et ça me plaît bien. Ils roulent moins vite que les voitures de tourisme et leurs chauffeurs ont plus de temps pour me voir. Et puis, haut perchés dans leur cabine, ils m'aperçoivent de plus loin et me voient sans obstacle par-dessus la haie d'arbustes. D'ailleurs, il me semble que la plupart d'entre eux me regardent fixement, tandis que bon nombre d'automobilistes semblent ne pas me remarquer.
Après celui de tout à l'heure, un deuxième camion me fait des appels de phares. Je lui réponds de la main, et, arrivé à ma hauteur, il m'adresse à son tour un long coup de klaxon. C'est vraiment jubilatoire ! Une centaine de mètres derrière lui, un convoi de trois poids lourds à la queue-leu-leu me fait à son tour des appels de phares. Pas de doute, ils m'ont aussi repéré, et de loin ! Je m'arrête, je pose un pied à terre et, toujours assis sur ma selle, j'écarte largement les cuisses face à eux. C'est trop tentant: je soulève encore un peu plus ma minijupe, dévoilant complètement mon string. Ça les déchaîne: ils se mettent l'un après l'autre à klaxonner furieusement, et le premier de la file, arrivé à ma hauteur, ralentit en faisant grincer ses freins … Ça me déclenche une violente poussée d'adrénaline, à la fois d'émotion et de plaisir.
En guise de réponse, j’écarte la ceinture de mon string et je sors ma queue à demi en érection. Le premier m’a déjà dépassé et n’a pas pu profiter de ce spectacle. Mais le deuxième me fait signe, le poing fermé et le pouce en l’air. Il a aimé. Le troisième, tout en me fixant du regard, mime une masturbation en agitant de haut en bas sa main à demi fermée. Ils s’éloignent. En voilà trois qui auront un sujet de conversation à table ce midi…
Putain, mon exhibition fonctionne au-delà de ce que j'avais imaginé ! J'aurais dû faire ça depuis longtemps. Je me demande comment les types qui m'ont vu considèrent ma prestation. Est-ce que ça leur donne des envies ? En moi-même, je me dis que s'il n'y avait pas de grillage entre eux et moi, peut-être que certains de ces mecs pourraient bien décider de s'arrêter sur le bas-côté pour me faire ma fête … Et c'est assez excitant.
Je descends de mon vélo pour finir d’enlever mon string que j’accroche à mon guidon, tel une bannière. Je me remets en selle et je reprends ma balade.
C’est vraiment très agréable de pédaler la queue à l’air et le cul nu sur ma selle. Au loin, un autre poids lourd approche, un peu plus lentement que les autres, on dirait. Le chauffeur n'a pas dû me repérer, parce que ses phares restent éteints. Quand il est un peu plus près, je constate qu'il y a un passager à côté du chauffeur. Lui m'a repéré et il me fixe du regard. Je remarque qu'il tient devant sa bouche un objet raccordé à un câble spiralé qui pend du plafond de la cabine … Une CB ! Et il s'agite, le bougre, tandis que le camion ralentit encore! Il est maintenant en train d'ouvrir sa vitre, et, un peu avant de passer à ma hauteur, tout en me regardant, son poing devant la bouche, il se met à mimer une fellation ! Pris au dépourvu, j'improvise: je freine, je pose un pied par terre, et je relève ma jupe jusqu'à ma taille, dévoilant, en plus de ma queue, ma fesse et mon porte-jarretelles. Le type dans le camion est hilare à sa portière. Maintenant, le camion me dépasse, reprend de la vitesse et s'éloigne.
La CB ! Je n'avais pas pensé à ça. Bien sûr, s'ils me repèrent de loin, avant même de me voir nettement, c'est parce qu'ils sont au courant de ma présence à cet endroit! Ah, si les routiers se communiquent l'information par CB, je vais avoir du succès ! Il n'y a plus de temps mort lié à la surprise pour ceux qui sont branchés sur le réseau. Ils doivent même être impatients d'arriver près de moi. Je regrette de ne pas avoir une CB, j'aimerais bien les entendre parler de moi … C'est assez excitant de se savoir le sujet de discussions par radio entre ces mecs …
Je me rajuste vaguement et je repars. Arrivé au bout du chemin d'exploitation, je décide de profiter de cette publicité inattendue. A cet endroit, il n'y a plus de haie. Je m'arrête, je dépose mon vélo contre un arbuste, je sors appareil photos et trépied de mon sac à dos, et je m'installe. Quand c'est fait, je m'approche du grillage et, face à l'autoroute, je commence à soulever ma jupe.
Cette fois, la plupart des automobilistes, malgré leur vitesse, me repèrent. Le rouge vif de mes bas capte leur attention, et ils tournent leur regard vers moi. Arrive un nouveau poids lourd. Dès qu'il m'aperçoit, le chauffeur allume ses feux de détresse et ralentit. Aux changements de régime de son moteur, je comprends qu'il rétrograde. Je soulève doucement ma jupe sur mes hanches, lui révélant ma queue. Je le vois nettement dans sa cabine, les yeux rivés sur moi, sans doute sur mon entrejambe. Il n'en revient sûrement pas: un mec en minijupe et en porte-jarretelles qui s'exhibe au bord de l'autoroute ! Voilà qui rompt la monotonie de son trajet … Il va sans doute y penser longtemps, et peut être même rêver à ce qu'il aurait pu me faire … Il passe devant moi, ré-accélère et s'éloigne.
Maintenant, j'attends le camion suivant avec impatience. Je trouve ça excitant, que les mecs se passent le mot, et qu'ils guettent le spectacle que je leur offre. Le suivant ne tarde pas. Pourvu qu'il ait aussi une CB ! Bien qu'il soit encore très loin, je le vois qui allume ses phares. Aucun doute, à cette distance, il n'a pas pu voir précisément dans quelle tenue je suis. Il le sait donc forcément par la CB, qui diffuse l'information sur tout le réseau de chauffeur en chauffeur. J'imagine la teneur des messages:
- Ici Pégase 58. A tous. Je suis sur l'autoroute, à 15 kilomètres après le péage. Il y a un mec en minijupe et porte-jarretelles qui montre son cul et sa bite. Il doit avoir envie de sucer de la queue ou de se faire sauter. Qui veut s'arrêter? A vous.
- Oui Pégase, ici Popaul. Je l’ai vu aussi, mais trop tard, je n’ai pas pu m’arrêter. Une vraie pute. Ça a beau être un mec, je me serais bien fait sucer.
- Ici Marcelo 75. Je l’ai aussi dépassé, mais je sors à la première sortie, je fais demi tour et je vais me le faire.
Ce routier-là ne ralentit pas, mais au fur et à mesure qu'il s'approche, la jupe toujours relevée, je me tripote lentement la queue. Quand il passe à ma hauteur, le chauffeur m'adresse deux brefs coups de klaxon. Ça m'électrise le gland et la prostate, et je commence à me palper aussi la rondelle. Plus ces types manifestent leur intérêt, plus ce qui me restait d'inhibitions, de pudeur et de crainte disparaît.
Passe ensuite, assez lentement, un groupe de voitures sur la voie de droite. Conducteurs et passagers m'aperçoivent et ouvrent de grands yeux en découvrant le spectacle. Ça me plaît bien, mais c’est surtout les chauffeurs de poids lourds que j’ai envie d’exciter ... Va savoir pourquoi…
En voilà justement un autre. Tout en me tripotant, je le regarde approcher. Apparemment, il y a un passager à côté du chauffeur. Le camion ralentit et allume ses feux de détresse. Plus il approche, plus il serre à droite. Il finit même par mordre sur la bande d'arrêt d'urgence. Qu'est-ce qu'il fout ? A mon avis, celui-là veut profiter pleinement du spectacle … Tu veux du spectacle ? Je vais t'en donner…
Je commence par me retourner dos à l'autoroute, pour qu'il voit bien mon cul, encadré par ma jupe relevée et par mes bas rouges. Puis je me remets face à lui, toujours la queue à la main. Il est à 30 mètres, maintenant complètement sur la bande d'arrêt d'urgence. Ma parole, il va s'arrêter ! D'après son immatriculation, c'est un camion slovaque. J'ai un instant de panique. Qu'est-ce que je fais ? Je me barre ? Et puis non, il ne peut rien me faire, il y a le grillage … Mon rythme cardiaque s'accélère quand même… Il est maintenant pratiquement à ma hauteur, et le passager me regarde fixement, tandis que le chauffeur, tout à sa manœuvre, me jette de brefs coups d'œil. Par précaution, je m'éloigne un peu du grillage et j’arrête de filmer. S'ils essaient de l'escalader, j'aurais le temps de sauter sur mon vélo et de filer.
Les freins grincent, l'engin s'arrête. Le passager ouvre sa portière, saute littéralement au sol et s'approche du grillage. Il me regarde de la tête aux pieds en riboulant des yeux. La minijupe relevée, la queue à la main, je soutiens son regard, tout en continuant à me tripoter. Le conducteur le rejoint près du grillage. Celui-là, c'est un colosse, il doit faire dans les 1 mètre 90 !
- Tou souce ?
- Pardon ?
- Tou souce la bite ?
Et joignant le geste à la parole, il s'empoigne l'entrejambe d'une main et mime une fellation de l'autre.
- Non, je ne suce pas …
- Pourquoi tou es là ?
- Je m'exhibe, c'est tout.
- Tou quoi ?
- Je me montre … je montre mon cul, c'est tout.
- Pourquoi tou branle ?
- J'aime ça.
- Tou branle moi ?
- …
- Tou branle moi par lé …
Une main toujours sur l'entrejambe, il secoue le grillage de l'autre. Il cherche le mot. L'autre observe la situation, un peu en retrait. La vache ! Il veut que je le branle ! J'avais imaginé qu'un truc comme ça m'arrive aujourd'hui, et ... et ça arrive !
- tu veux que je te branle à travers le grillage ?
- C'est ça. Branler au grillage.
Je réfléchis à la situation et aux risques. Franchement, l’idée de branler ce mec, et peut-être l'autre aussi, à travers le grillage, me fait furieusement envie . Mais alors, je devrais me mettre à leur portée, et les mailles du grillage sont assez larges pour qu'ils y passent leurs bras en plus de leurs queues. Ils pourraient me choper et, pendant que l'un me tiendrait, l'autre pourrait sauter le grillage.
Pendant que je réfléchis, ils se déboutonnent tous les deux et entreprennent de sortir leur queue . Ouaaaaah ! Je n'en reviens pas ... entre y avoir pensé et voir la chose se réaliser ... Ça y est, ils ont sorti leur bite ! Celle du conducteur, le colosse, est énorme! Presque aussi grosse que celle de Gabriel, mais blanche … enfin … beige foncé. Et encore, il ne bande pas . Je reste un instant interdit. Il remarque mon ahurissement et ça le fait marrer. Ho merde ! Après avoir tellement fantasmé sur des grosses bites, en voilà deux, coup sur coup à quelques jours d'intervalle … Et, si ça se trouve, je n'en reverrai jamais une comme celle-là ! Ah, si je pouvais être sûr, si je pouvais leur faire confiance, ce que j'aimerais branler et même sucer cet énorme engin … J’hésite un instant et des visions torrides s’imposent à mon esprit. Je me vois à genoux devant lui avec sa queue dans la bouche, puis pris en levrette, debout, agrippé au grillage. Involontairement, je me mets à bander plus fort. Je n’arrive pas à quitter son engin des yeux. Il commence aussi à bander. Je me dis que c’est moi qui l’excite comme ça, et pas seulement sa masturbation. Cette idée m’électrise le ventre. Maintenant, il bande vraiment, il s’est décalotté et il a un gland superbe. Je pense que sa queue est assez longue pour que je puisse l'empoigner à deux mains, l’une à côté de l’autre.
Bon tant pis, je me lance, on verra bien :
- D’accord, mais seulement branler …
Au fond de moi je me dis que si ça passe bien, s’ils ne se montrent pas hostiles ou violents, j’irais peut-être plus loin. Je crois que j’ai encore des capotes dans mon sac à dos.
Tous les deux s’approchent du grillage, y appuient leurs ventres et passent leurs sexes chacun dans une maille. La bite du géant est deux mailles au-dessus de celle de son compère. Totalement obnubilé par son énorme engin, j’avais presque oublié la présence du comparse. Il bande aussi, évidemment. Sa bite n’est pas mal non plus, d’une taille normale, mais bien proportionnée et avec un joli gland bien profilé et retroussé, comme je les aime. Finalement le seul reproche que je peux faire à ces deux queues, c’est d’être poilues.
- Comment vous vous appelez ?
Ils me regardent, étonnés. On dirait qu’ils n’ont pas compris.
- votre nom…
- Ah, oui. Moi Loukass (le petit).
- Moi Andrej (le géant).
Je réalise que, si la cabine et la remorque du camion nous masquent à la vue des automobilistes qui circulent sur les voies les plus proches, ceux qui circulent dans l’autre sens peuvent nous voir, et nous risquons de déclencher une émeute s’ils réalisent ce qui se passe. Bof, de toute façon, ça ne va pas durer des heures et, d’une certaine manière, cette séance plus ou moins publique n’est pas faite pour me déplaire, loin de là. Maintenant que je me suis fait baiser sous les yeux de ma voisine par Gabriel, je trouve encore plus excitant de m'adonner au sexe devant témoin.
Je m’approche donc et je pose délicatement une main sur chaque bite. J'ai le souffle coupé et le cœur qui bat. Je caresse leurs verges du bout des doigts. Elles sont douces et chaudes . J’avais légèrement débandé, mais le contact de ces deux sexes dans mes mains m’excite et je sens le mien se redresser. Je passe mes doigts sous leurs couilles. Celles du géant sont énormes, bien dessinées dans leurs bourses. Celles de l’autre pendouillent un peu. J’empoigne leurs membres plus fermement et je commence à les masturber. Je n’en reviens pas d’être là, habillé en pute, à faire la salope avec ces deux routiers, la jupe relevée et la bite à l’air. Je me concentre sur ce que je suis en train de leur faire. Leurs queues sont chaudes, douces et je les sens vivantes, presque fiévreuses. Sous ma main, elles durcissent un peu plus et leurs veines commencent à saillir. Leurs glands, décalottés, sont tout gonflés et rouges. Je suis en train de branler deux types ! Habillé en pute, je branle des routiers !
Le géant, les deux mains au-dessus de sa tête, s’agrippe au grillage contre lequel il appuie maintenant son torse et son ventre. Tout son sexe, bite et couilles, est de mon côté de ce grillage. Tout près comme ça, ce mec est vraiment impressionnant. Je réalise qu’il est beaucoup plus grand que moi. En fait, il doit approcher les 2 mètres. Je regarde sa queue dans ma main. Elle aussi, est impressionnante : mes doigts n’en font pas complètement le tour. Et quelle longueur ! Je réalise que j’ai arrêté de filmer, et ça me désole. Mais je n’ose pas leur demander de me laisser remettre mon appareil en route. Je ne sais pas comment ils réagiraient. Et puis, me filmer, ce n'est pas le plus important, et je décide de profiter de l’instant présent.
J’ai brutalement envie de prendre cette énorme queue dans la bouche, et je me mets à saliver abondamment. Evidemment, je n’ai pas envie que ce parfait inconnu me refile une saloperie, mais pour le moment, sa bite n’a pas commencé à baver. Je pourrais la sucer sans risque. Oui, mais si je commence à le sucer, il voudra que j’aille jusqu’au bout, il voudra que je le finisse comme ça plutôt qu’à la main. Et l’autre voudra sûrement la même chose. Je ne suis pas prêt à courir ce risque.
Merde, saloperie de SIDA !
Je renonce à cette magnifique gourmandise et j’accentue ma double masturbation. Le plus petit des deux a passé ses bras au travers des mailles qu’il agrippe maintenant à hauteur de sa figure. Cette masturbation m’excite de plus en plus. Je suis fasciné par ces deux bites en érection auxquelles je suis en train de donner du plaisir. Je me mets à penser à leur sperme, là, tout près, dans leurs couilles, que je vais faire jaillir dans un instant. Je n’en reviens pas d’être en train de faire ce que je fais : je fais la pute… Je ne me ferai pas payer, mais je fais la pute, il n'y a pas d'autre mot. Et avec deux mecs, qui plus est… Je les ai aguichés, je les ai excités, provoqués. Naturellement, ils m’en ont demandé plus, et j’ai accepté ! L’idée m’excite encore un peu plus. C’est un mélange de plaisir à la fois sensuel et cérébral : d’une part la jouissance de ce contact physique avec les sexes de ces deux mecs, et d’autre part une sorte de fierté d’avoir suscité chez eux un désir aussi soudain et aussi fort.
J’en suis là de mes pensées quand le plus petit abat soudain ses deux bras. De la main droite, il me saisit le poignet avec lequel je suis en train de le masturber. De l’autre, il me saisit l’épaule. Il a dû remarquer que j’étais absorbé par mes réflexions. Il m’attire vers lui. Je lâche les deux queues. De sa main droite, il me saisit maintenant au niveau du coude et m’attire vers le grillage tout en grommelant je ne sais quoi à son compère. Puis il lâche mon coude, attrape mon T-shirt au niveau du col et m’attire vers le grillage. Je commence à paniquer. Il m’a lâché l’épaule et passé sa main derrière ma tête. J’ai beau résister, il est costaud et sa force est décuplée par son envie. Je n’arrive qu’à éviter de me faire écraser la figure contre le grillage. Il pousse maintenant ma tête vers sa queue. Il veut que je le suce. Le géant est sorti de sa torpeur et il prête mainforte à son compère, mais sans conviction. D’ailleurs, ils discutent dans leur langue et le géant n’a pas l’air vraiment d’accord avec l’autre. Il m‘a quand même saisi l’épaule et aide son compère à m'empêcher de m'échapper. J’ai beau me débattre, je n’arrive pas à me dégager, je suis tombé à genoux et j’ai maintenant la figure à dix centimètres de la bite du petit.
Excité par ma masturbation, il bande vraiment à fond ! Sa verge est dressée presque à la verticale, son gland est tout rouge et tout gonflé, ses veines aussi, et un peu de liquide perle à son méat. Je réalise que ma tenue et mon comportement provoquants ont éveillé en lui une pulsion primaire de sexe, une pulsion de viol, presque animale . Et à mon grand étonnement, au lieu de m'affoler, ça suscite en moi une sorte de ... oui, de désir de ... d'envie de ... d'envie qu'il me ... d'envie qu'il me force ... et ... et c'est mêlé d'un sentiment de fierté !
Je réalise tout ça en un éclair et brutalement, je suis pris d’une envie folle de céder, de prendre sa bite dans la bouche et de le sucer. Des images de viol – de mon viol – se bousculent dans ma tête, et contre toute attente, ces images m’excitent. Je me vois, à genoux, ceinturé par le géant, tandis que l’autre, ses deux mains sur ma tête, me force à le sucer. Puis, dans mon fantasme, ils inversent les rôles et je m’imagine avec l’énorme queue du géant dans la bouche, le nez contre son ventre. Des images s’imposent à mon esprit, dans lesquelles ils me prennent l’un après l’autre, tantôt debout contre le grillage de l’autoroute, tantôt à quatre pattes sur l’herbe, une queue dans le cul, une autre dans la bouche. Et cette idée de l’énorme bite du géant dans mon cul et de celle de son comparse dans ma bouche m’excite totalement. Dans des flash, je vois, je sens leur sperme m’inonder la bouche, le cul, la figure …
Alors je me rends. Toute crainte, toute inhibition ont brutalement disparu, comme des bulles de savon qui éclatent. Comme si, inconsciemment, je n’attendais que ça : me faire forcer.
J’arrête de résister, ou plus exactement, je me laisse aller, et je laisse le petit me pousser la tête contre son ventre. Il sent que je cède, et il relâche un peu son étreinte. J’ai ses couilles au niveau des yeux. J’avance un peu la tête et mon nez entre en contact avec lui, juste sous les testicules. Je relève un peu la tête et je commence à lui passer ma langue sous les bourses. Tous les deux éclatent de rire et échangent je ne sais quoi dans leur langue. Et, le petit, en s’adressant à moi :
- Tou es un bon garçon …
Et il éclate de rire.
Maintenant, j'ai envie qu'il me baise ! Je reprends sa queue dans la main gauche, et je remonte ma langue sur ses couilles. Le grand m’a lâché, et du coin de l’œil, je vois qu’il commence à se masturber en me regardant faire. Je lèche les couilles du petit tout en recommençant à le masturber. L’espace d’une seconde, je réalise qu’ils ne me tiennent plus fermement. Seul le petit a encore ses mains posées sur ma tête. Je n‘aurais aucun mal à me dégager, à m’éloigner et à fuir. Mais je reste. Maintenant que je me suis décidé, que j’ai commencé, j’irai jusqu’au bout. D’ailleurs, j’y suis, au bout … le sien. Et j’y reste.
Je gobe une de ses couilles et je la masse de la langue à l’intérieur de ma bouche. Ses poils me gênent un peu, mais ça m’excite quand même et je continue. Une idée s’impose à mon esprit : là, entre mon palais et ma langue, il y a ce testicule, plein de sperme, et dans un moment, je vais le faire jaillir et procurer un orgasme à ce mec. Je me demande si j’oserai recevoir sa semence dans la bouche, et si je le fais, si j’oserai l’avaler. Ça me fait un peu peur, ce mec est peut-être malade. Mais ça me fait tellement envie que je salive abondamment. On verra au moment où il éjaculera. Je gobe son autre couille et je lui applique le même traitement. Je passe maintenant ma langue le long de son urètre, jusqu’en haut, et je gobe son gland. Je sens que ça lui fait un effet terrible : ses mains se sont crispées sur ma tête, son ventre s’est plaqué un peu plus contre le grillage, sa queue s’est un peu plus raidie et son gland a encore un peu gonflé dans ma bouche. Sa respiration s’est ralentie, presque suspendue. J’ai maintenant son gland au fond de la gorge, et je commence à faire aller et venir sa queue entre ma langue et mon palais. Tout ça m’excite beaucoup. Et je repense à mon appareil photos. Voilà une scène que j’aurais aimé filmer. Mais j’ai peur de rompre … le charme.
Du coin de l’œil, je m'aperçois que le géant me fixe du regard, les yeux ronds. Il masturbe toujours son énorme bite. Je tends la main vers sa queue. Il comprend immédiatement ce que je veux, et se rapproche et il la passe de nouveau dans le grillage. Je la reprends et je recommence à le masturber. J’ai une furieuse envie de le sucer aussi. Au point où j’en suis, contaminé par un mec ou par deux, c’est pareil. Après un instant d’hésitation, je sors la bite de son copain de ma bouche et je prends cet énorme gland entre les lèvres. La sensation est terrible ! Il est vraiment énorme et brûlant. L’autre râle, évidemment et tend sa queue vers moi pour que je continue de le sucer. Je ne comprends pas ce qu’il dit, mais je le devine, et je ne veux pas lâcher l’énorme queue du géant qui repousse alors son collègue sans ménagement. Cette jalousie que je suscite entre ces deux collègues accroît mon excitation. Alors j'accentue ma fellation, à la fois pour procurer plus de plaisir au géant, et pour attiser l'envie et la jalousie de l'autre.
L’énorme bite du colosse toujours dans la bouche, je saisis quand même l’autre queue et je me remets à la masturber. Il se calme un peu. L’énorme sexe que je suis en train de pomper m’excite incroyablement. Je n’en reviens pas d’être en train de le sucer comme ça. Maintenant, j’ai une furieuse envie de me le faire fourrer dans le cul. Au point où j’en suis, autant aller jusqu’au bout. Et je réalise que ce grillage, que tout à l’heure je voyais comme une sauvegarde, me semble maintenant un obstacle insupportable.
Cette queue est tellement énorme que je suis incapable de la prendre entièrement dans la bouche. Sous ma langue, je sens ses veines et son urètre tout gonflés. Son gland vient buter au fond de ma gorge. Je masse ses couilles, que j’imagine gorgées de crème et que je vais aussi vider dans un instant.
Et soudain, je réalise que je suis en train de tailler une pipe à un inconnu et d’en branler un autre en public, ou presque. J’avais oublié le trafic sur l’autoroute, oublié jusqu’au bruit des voitures et des camions qui passent à quelques mètres de nous. Alors, tout en suçant ce mec et en masturbant l’autre, j’essaie de regarder à droite et à gauche pour vérifier si on me voit. Sur la droite, le géant me masque à la vue du trafic. Mais les automobilistes doivent le voir, lui, et se demander ce qu’il fait, appuyé comme ça au grillage. Sur la gauche, la remorque du camion fait en partie écran, mais au-delà de la remorque, la vue est dégagée, et du coin de l’œil, je vois nettement le trafic arriver sur nous. Les usagers doivent aussi nous voir, du moins jusqu’à ce que la remorque nous cache à leur vue : un poids lourd garé sur la bande d’arrêt d’urgence, ça attire forcément l’attention. Les automobilistes réalisent-ils ce qu’ils voient ? Un mec collé contre le grillage et un autre agenouillé devant lui, collé à son ventre de l’autre côté du grillage... Je ne tarde pas à avoir la réponse sous forme d’une soudaine et énorme rafale de coups de klaxon de poids lourd, suivi du bruit d’une boîte de vitesse qui rétrograde et de celui d’un coup de freins.
Mes deux slovaques éclatent de rire. Ils ont compris que les coups d’avertisseur s’adressaient à nous. Je tourne un peu la tête vers la droite au moment où le camion débouche de derrière celui de mes deux mecs. Le poids lourd qui nous a klaxonnés est en train de se garer à son tour sur la bande d’arrêt d’urgence. Il vient voir ce qui se passe. Ou il vient participer à la fête... En effet, du coin de l’œil, je vois le conducteur qui saute de sa cabine côté passager, entre son camion et le grillage. J’ai une nouvelle poussée d’adrénaline et mon rythme cardiaque s’accélère. L’idée de sucer et de branler mes deux slovaques devant un public me ravit. Eux aussi apparemment : ils ne bougent pas, rigolent et se laissent masturber et sucer sans bouger. Le type s’approche. Il est jeune et plutôt pas mal. Quand il me voit de près, il semble sidéré :
- C’est un mec qui vous suce ? Merde, je croyais que c’était une pute.
- C’est oune poute, mais tou payes pas.
Apparemment, le nouveau venu est un français. Je sors la queue du géant de ma bouche et, toujours à genoux, tout en masturbant lentement mes deux slovaques, je le regarde et je lui demande :
- Ça te pose un problème ?
- Pas du tout. Mais sur la CB, il se dit qu’ici, une pute est en train de sucer des routiers. Alors je m’arrête.
- Bon, et du coup, tu en penses quoi ?
- J’en pense qu’un mec ou une pute, pour moi c’est pareil…
- C’est-à-dire ?
Il ne répond pas, mais il empoigne le grillage, glisse un pied entre des mailles un peu en hauteur, et en un rien de temps, il a escaladé la barrière et sauté de mon côté. J’ai un instant d’inquiétude, mais je ne lâche pas mes deux queues. Qu’est-ce qu’il me veut ? Mes deux slovaques restent aussi un peu interdits. J'ai une nouvelle poussée d'adrénaline.
Je ne tarde pas à savoir ce que me veut le nouveau venu. Il est maintenant à côté de moi, il ouvre sa braguette, il sort sa queue et il s’approche. Il se penche vers moi, se mouille un doigt, me le passe dans la raie du cul, me le pose sur la rondelle et l’enfonce doucement.
- Ne te gêne pas, hein …
Je râle pour la forme, mais dans l’état d’excitation où il m’a trouvé je prends ça comme une nouvelle aubaine et mon excitation grandit. J’ai bien fait de me laver à fond avant de partir. Je regarde sa bite. Il bande déjà. Elle n’est pas très grosse, plus petite que celles des deux autres, mais dans l’état où je suis, ça n’a pas d’importance ... ce qui a de l'importance, c'est qu'il y a trois mecs autour de moi et que je vais sans doute me faire ... Par défi, je lui demande :
- Je peux savoir ce que tu veux ?
- D’après toi ?
- Je me doute, mais tu pourrais demander la permission, non ?
- OK. Je peux te baiser ?
- Je peux te baiser ... s’il te plaît ?
- Je peux te baiser, s’il te plaît ?
- Oui, tu peux me baiser, mais avant, approche un peu.
Il a compris ce que je veux, il hésite un instant, mais finit par s’avancer et présente sa queue devant ma bouche. Tout en continuant à masturber mes deux slovaques, j’entrouvre les lèvres et il glisse son membre décalotté dans ma bouche. Elle a un goût sucré. J’adore. Les deux autres n’en reviennent pas et en restent bouches bées.
Il tient sa queue serrée sous les couilles. Ses veines sont gonflées et je les sens sous ma langue. Trois bites ! Je donne du plaisir à trois bites en même temps ! C’est un de mes fantasmes les plus torrides, et je suis en train de le faire…
Surexcité par cette idée, je le suce quelques instants et je finis par le libérer.
- Elle est bonne. Comment tu t’appelles ?
- … Sébastien
- J’aime bien le goût de ta bite, Sébastien. Maintenant, tu peux me baiser !
La situation a évolué à une vitesse que je n'imaginais pas. Dans l’état d’excitation où je suis, adieu la prudence, adieu les précautions, adieu les inhibitions.
Il passe derrière moi. Je me redresse, je me cambre et j’écarte les jambes, lui offrant ma croupe. Il s’agenouille derrière moi, et je l’entends fouiller sa poche, en sortir quelque chose qu’il déchire, et je vois tomber à côté de moi une pochette de préservatif vide. Je le sens s’approcher entre mes jambes, poser sa bite contre mon anus, et il me pénètre d'un vigoureux coup de reins. Il passe ses bras autour de mon torse, et commence à aller et venir en moi. Ah putain ! Je suis en train de me faire baiser par un routier !
Les deux autres en restent interdits. Alors, pendant que le nouveau venu commence à me baiser, je me penche, je reprends la bite un peu ramollie du géant dans la bouche et je recommence à le sucer tout en masturbant son collègue. Puis j’alterne : je suce le petit en masturbant le géant. Rapidement, mes deux slovaques se remotivent grâce à l’effet conjugué du spectacle de celui qui est en train de me fourrer et de ce que je leur fais.
Trois bites à ma disposition ! Trois bites que j’excite ! Trois bites qui entrent en moi ! Trois bites à qui je donne du plaisir ! Trois bites que je vais faire jouir et qui vont cracher leur crème ! Au point où j'en suis, j’aimerais, je rêve, j'ai envie qu’ils éjaculent tous les trois en moi, dans le cul et dans la bouche. Dommage que Sébastien ait cru bon de mettre une capote ! Ah, et merde, si j’avais osé nous filmer … Quels souvenirs !
Quand je me suis mis en route ce matin, c’était avant tout pour m’exhiber. Si je n’excluais pas une rencontre inopinée, j’étais quand même loin d’imaginer que j’en serais là quelques heures plus tard à donner du plaisir à trois mâles : une bite dans le cul, une bite dans la bouche et une troisième à la main.
Est-ce l’effet de mes caresses buccales et manuelles sur les deux slovaques, le spectacle du troisième larron en train de me baiser ou les deux ? Leurs queues sont maintenant extrêmement tendues, dures, turgescentes. J’ai l’impression qu’ils sont tous les deux au bord de l’éjaculation. Je me concentre sur celui qui s’occupe de mon cul. Je suis un peu déçu, il ne me fait pas autant d’effet que je l’imaginais. Il me baise un peu laborieusement. L’idée qu’il est en train de m’enculer me fait plus d’effet que son va-et-vient proprement dit.
Mes deux slovaques sont maintenant complètement affalés contre le grillage qui commence à ployer sous leur poids. Soudain, alors que je suis en train de le sucer, Loukass, le petit slovaque, ôte brusquement sa queue de ma bouche, prend son élan et escalade à son tour le grillage qui ploie encore davantage sous son poids. Le voilà à côté de moi, la bite à la main. Je m’attends à ce qu’il me la présente de nouveau à sucer ou à branler, mais il passe derrière moi, et du coin de l’œil, je le vois qui se place à côté de Sébastien, et, tout en se masturbant, il le regarde me baiser. Il doit être en train de contempler le va et vient de la queue du français dans mon cul. M’agrippant d’une main au grillage, je reprends la queue d’Andrej de l’autre, et tout en le masturbant, je me remets à le sucer. Mon excitation monte encore d’un cran. J'espère que Loukass n'est pas passé de ce côté du grillage uniquement pour regarder l’autre m’enculer…
Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps :
- A moi, maintenant.
C’est la voix de Loukas
- Ho ! Doucement.
Je sens comme une bousculade derrière moi, et Sébastien sort brusquement sa queue de mon cul. Il est presque aussitôt remplacé par le slovaque qui me pénètre d’une violente poussée. Il s’agrippe au grillage au dessus de moi et commence à aller et venir. Mais ma position ne doit pas lui plaire. Il sort de moi, se recule, me prend une hanche d’une main, une épaule de l‘autre, et m’attire en arrière. Il me décolle du grillage, me faisant abandonner la bite du géant, puis il me force à me mettre à quatre pattes en m’appuyant sur le cou.
Cette contrainte, ses manières brusques m’excitent aussi, j’aime ça et je me laisse faire. Il devait aussi trouver que le français s’y prenait mal. Tant mieux. A son tour, il va me baiser en levrette devant les deux autres. En effet, le voilà qui se plaque de nouveau à moi, qui applique son gland contre ma rondelle, qui me prend par les hanches et me pénètre d’une poussée aussi brusque que la première fois. Son ventre claque contre mon cul. Je sens sa queue beaucoup mieux que celle de Sébastien. Cette fois, ça a quelque chose d’un viol, et ça monte mon excitation d’encore un cran. Entre mes jambes, ma queue en érection bat au rythme des coups de boutoir du petit slovaque.
Sébastien lui-même doit être impressionné. Il s’est un peu reculé et me regarde me faire baiser en se masturbant. Je relève la tête et je vois Andrej, toujours de l’autre côté du grillage, qui se donne aussi du plaisir en observant la scène. Je me surprends à gémir sous les coups de boutoir de Loucas. Je m’adresse au français :
- Toi, viens ici, je vais te sucer …
Il hésite un instant, puis s’approche et s’agenouille près de moi. Appuyé au sol d’une main, je prends sa bite de l’autre et je l’attire vers moi. Sa queue est encore couverte du lubrifiant naturel de mon cul, mais j’ai l’habitude, et je la prends dans la bouche. Vraiment, c’est dommage qu’il ait gardé sa capote. Je commence à le sucer.
C’est la première fois que j’ai deux bites en moi, une dans la bouche et une dans le cul. Ça m’excite d’autant plus que c’est pratiquement en public. Et par-dessus tout, ce mec, derrière moi, surexcité par mon cul, qui me baise, pour qui je ne suis qu’une pute, un morceau de viande, un trou de chair, ce mec qui prend son plaisir en moi avec cette brutalité, qui va éjaculer en moi, me remplir de sa semence … Et je vais aussi faire jouir celui que je suis en train de sucer… Ah s’il pouvait se répandre dans ma bouche et pas dans sa capote…
Et ce ne sera pas fini, il y aura encore l’autre, le géant et son énorme queue. Lui aussi, il faudra qu’il me prenne en levrette, il faudra qu’il m’encule, il faudra qu’il me baise, il faudra que je sente sa bite entrer en moi, me forcer la rondelle, il faudra qu’il me pénètre à fond, il faudra que je sente son ventre taper contre mes fesses, ses couilles battre contre mon périnée, son gland repousser mes entrailles… Je veux le sentir aller et venir dans mon cul, longuement, avant qu’il ne vienne se plaquer et s’immobiliser, le ventre contre mes fesses, sa queue tout au fond de moi, prise de soubresauts et que je sente son sperme m’inonder le ventre en longs jets brûlants…
J’ai dû communiquer mon excitation à Sébastien, parce que soudain, je sens sa queue tressaillir dans ma bouche, se raidir. Il s’est adossé au grillage et je le sens entièrement tétanisé par la brusque montée du plaisir. Au même moment, je sens sa queue s’agiter de soubresauts sur ma langue, et sa capote se remplir d’un liquide chaud. J’accentue ma fellation et il se met à gémir. Il saisit sa queue sous les couilles et il se met à haleter. Maintenant, il crie presque, il se raidit et pousse un long Aaaaaaaah ! Il retombe et tente de sortir sa bite de ma bouche. Mais je la suis tout en la serrant entre mes lèvres et entre ma langue et mon palais.
- Arrête ! Arrête !
Je desserre légèrement les lèvres, et sa queue sort de ma bouche, ou plus exactement, elle sort de la capote qui reste collée entre mes lèvres. Il se relève précipitamment en grommelant :
- Ah, la vache ! Quelle suceuse de bite!
Je le regarde tout en ressortant le préservatif de ma bouche. Son réservoir et son extrémité contiennent une bonne dose de sperme. Pendant ce temps, Loucas a ralenti sa sodomie. J’ai l’impression qu’il a observé la scène et qu’il me laisse continuer pour voir ce que je vais faire. Je reprends la capote entre mes lèvres, mais du côté de l’orifice, cette fois. Et, tout en regardant Sébastien droit dans les yeux, je saisis le réservoir entre deux doigts, je renverse la tête en arrière et je fais couler son sperme dans ma bouche. C’est encore tout chaud, légèrement visqueux et salé. J’entrouvre les lèvres pour lui montrer son sperme sur ma langue, et je déglutis.
Il est sidéré :
- Ho, merde ! T’es dingue, tu sais pas si j’ai le SIDA…
- Tu ne l'as pas. Tu as mis une capote parce que tu as peur de l'attraper.
De l’autre côté du grillage, le géant, hilare et toujours son énorme queue à la main, n’a pas perdu une miette du spectacle.
Je lui lance :
- Allez, toi, viens aussi me baiser.
Apparemment, il a compris ce que je veux. Ça le décide, et tandis qu’il entreprend d’escalader à son tour le grillage, je jette la capote vide, je saisis ma queue de plus en plus érection et je commence à me masturber. Me tournant vers son comparse toujours collé à mon cul, je lui dis :
- Et toi, continue, baise-moi !
Il ne se le fait pas dire deux fois. Je crois que je l’ai bluffé en avalant le sperme de l’autre, et ça lui redonne de la vigueur. Pendant qu’il recommence à me ramoner, je vois Andrej escalader le grillage qui s’effondre à moitié sous son poids. Il le passe et Sébastien cherche à profiter de cette espèce de brèche pour retourner du côté autoroute. Je le hèle :
- Attends !
Il se retourne.
- Je voudrais que tu me filmes.
Il est scié.
- Te filmer ? Mais tu es vraiment une grosse salope ! Ils sont d’accord, tes deux potes ?
Et s’adressant à eux :
- Il veut que je vous filme en train de le baiser.
Devant leur regard ébahi, il mime un opérateur en train de tourner la manivelle d’une caméra.
- Filmer … cinéma … vous, lui …
Les deux compères se regardent, échangent deux mots dans leur langue et acquiescent:
- Oui. Pas problème.
Sébastien, se tournant vers moi:
- Ta caméra ?
- Là-bas. C’est un appareil photos qui fait aussi des vidéos.
- Ah oui, je vois. Tu es vraiment un gros vicelard …
- Plains-toi, tu en as profité de mon vice, non ?… Ça me fera des souvenirs…
Pendant notre échange, le géant s’est approché de son compère et je l’entends lui dire je ne sais quoi dans leur langue. L’autre répond en riant et je le sens qui me lâche et qu’il sort sa bite de mon cul. Et tandis qu’il se relève et vient devant moi, je sens le géant s’agenouiller entre mes jambes.
Ça y est, il va me baiser, il va m’enculer ! Vas-y, fourre-moi !
Il a fini de déboutonner son pantalon et il l’a descendu au niveau de ses genoux, parce que je sens la peau nue et les poils de ses cuisses contre le haut de mes cuisses. Pendant ce temps, son comparse est venu s’asseoir devant moi, à la place qu’occupait Sébastien il y a un instant. Visiblement, il veut que je le suce à son tour. Allons-y ! Sébastien a l’appareil en main et lève le pouce à mon intention pour me dire qu’il est prêt.
Je m’apprête à sucer le petit slovaque, mais au moment où je vais prendre sa queue dans la bouche, je me sens soulevé de terre. C’est le géant qui a passé une de ses grosses pognes sous mon ventre. Et presque aussitôt, je sens quelque chose s’introduire dans mon cul. Mais c’est plutôt dur, comme un doigt.
En effet, c’est un doigt du géant. Il l’a mouillé en crachant dessus, et il me l’enfonce profondément. Vu le diamètre, ça doit être son pouce. Sans doute satisfait de son examen, il l’extrait, et je sens qu’il appuie autre chose contre ma rondelle. Après ce que lui ont fait les deux autres, je la sens complètement détendue, ouverte, offerte. Je me retiens comme je peux pour ne pas basculer en avant.
- Allez, vas-y ! Baise-moi !
Et, en effet, je sens qu’il me pénètre, doucement, lentement. Au début, c’est la même sensation que quand son comparse m’enculait. Puis je sens que sa queue me force un peu plus. Oh, putain, ce que j’aimerais voir sa queue me rentrer dedans ! Me retenant toujours d’une main au sol, je passe l’autre derrière moi, jusqu’à mon cul. Je tâte l’entrée de ma caverne et je sens son gros truc qui me l’ouvre. Puis je remonte le long de sa hampe. Oh, merde ! Il est loin d’avoir tout rentré, il reste encore tout ça ! Et c’est encore plus gros ! Je jette un coup d’œil vers mon cameraman, qui a suivi mon geste et compris ce que je fais. Il cadre sur mon cul. Bon, je pense qu’il sait ce que j’attends de lui. Je peux me concentrer sur ce que me fait le géant.
Mais, contre toute attente, il me repose au sol, et sa bite ressort de mon cul. Il se soulève un peu, pousse mes jambes l’une contre l’autre et pose ses genoux assez écartés de part et d’autres des miens. OK, comme ça, sa bite est à la hauteur de mon cul sans qu’il ait besoin de me soulever. Je sens qu’il pose de nouveau son gland contre ma rondelle, et dès qu’il commence à me pénétrer, je découvre un autre avantage à cette position : je suis plus resserré et je sens encore mieux sa bite dans mon cul.
Oh la la ! Quel engin, ce qui me pénètre ! Cette fois, il y entre plus résolument, et je sens mon anus ouvert, contraint, forcé, violé. Mais ça n’est absolument pas douloureux. Il est vrai que, même si sa queue est énorme, je me suis déjà enfilé des trucs bien plus gros. Et les deux autres m’ont déjà bien préparé, détendu la rondelle. Là, ce n’est que du plaisir. Je sens son membre s’introduire dans ma caverne et j’ai l’impression de le sentir progresser dans mes entrailles. Je visualise à quel endroit de son long manche il en est.
Tellement concentré sur ce qui arrive à mon cul, j’ai occulté ce qui se passe du côté de ma tête. Celle-ci étant revenue à bonne hauteur, le deuxième larron en a profité pour l’attirer vers son ventre, il a glissé sa queue dans ma bouche, et, mécaniquement, j’ai commencé à le sucer. Mais maintenant que je réalise la situation dans son ensemble, j’en profite pleinement: j’ai une énorme bite dans le cul, une autre dans la bouche, je suis en train de me faire baiser par deux mecs, et un troisième, que j’ai sucé et vidé tout à l’heure, est en train de nous filmer ! La queue de Lucas toujours dans la bouche, je tourne un peu la tête vers le cameraman improvisé. Fasciné par ce qu’il voit, il est en train de filmer la spectaculaire pénétration d’Andrej dans mon cul. Il remarque mon mouvement et dirige la caméra vers ma tête. Tout en fixant l’objectif de l’appareil, je me mets alors à pomper furieusement le deuxième larron qui paraît apprécier ce changement de régime.
La situation et le plaisir que j’éprouve à avoir ainsi deux bites en moi, attisent encore un peu plus mon excitation. Et malgré moi, je me mets à gémir tout en accentuant ma fellation sur celui qui est devant moi. Et c’est visiblement contagieux : celui que je suce se met à grogner, et je sens sa queue durcir encore un peu dans ma bouche. Je quitte l’appareil photo des yeux pour me concentrer sur la pipe que je suis en train de tailler. Lucas a posé ses deux mains sur ma tête et il appuie pour enfoncer sa bite au plus profond de ma gorge. Bizarrement, ça ne me provoque pas le haut-le-cœur que je craignais. Au contraire, ça attise ma propre excitation et je redouble de vigueur. Je sens qu’il est maintenant au bord de l’éjaculation, et ça ajoute encore à mon excitation. Soudain, je sens les muscles de ses cuisses se contracter, son souffle s’arrêter, ses testicules remonter vers son ventre et sa bite se tendre dans ma bouche. Il va éjaculer ! J’accentue ma fellation.
Un premier soubresaut de sa queue contre mon palais. Mais à blanc : rien sur ma langue, ni dans ma gorge. Je suspens ma fellation, mais je garde sa queue dans ma bouche. Un deuxième soubresaut. Cette fois, je sens une peu de sperme sur ma langue. Qu’est-ce que je fais ? Je recrache ? J’avale ? Dans l’état d’excitation où je suis, je déglutis. C’est alors une déchaînement, une rafale de jets de crème de plus en plus puissants. Un flot épais, un peu salé, m’envahit la langue, le palais, les joues. Je l’avale, tant bien que mal, tellement il arrive furieusement. Lucas gémit de plaisir. Et le flot commence à se tarir. Excité comme je suis, je me masturbe en m’appliquant à déguster cette semence. Des petits grumeaux qui baignent dans un liquide un peu acide s’insinuent entre mes dents et mes joues. Je presse la queue de Lucas pour en extraire le sperme qui reste. Soulagé, comblé, il essaie de repousser ma tête de son membre qui commence à ramollir. Je résiste, j’essaie de garder sa bite dans la bouche. Je remarque alors que Sébastien me filme toujours. Je recrache alors la queue de Lucas et j’ouvre ma bouche en grand face à la caméra. Quelques grumeaux de sperme restent sur ma langue. J’espère qu’on les verra sur la vidéo. Je n’avais pas fait attention, mais Sébastien, tout en filmant d’une main, se tripote de l’autre. Cette séance l’a remotivé, on dirait. Je lui demande :
- Tu veux que je te suce encore ? Approche !
- Non, non. Merci. Tu aimes le foutre, on dirait… Tu es une sacrée suceuse, mais non.
Il paraît un peu gêné de s’être laissé surprendre à se tripoter.
- Approche quand même, je vais te branler. Le spectacle t’a excité, non ?
- Oui, tu m’as excité, mais non. Vraiment. Je me finirai tout seul.
- Dommage !
Lucas, affalé contre le grillage, n’a pas bougé, tout à son plaisir. Andrej, imperturbable, continue de me ramoner. Les deux autres étant hors jeu, je me concentre sur ce qu’il me fait. Les mains sur mes hanches, il me baise lentement, consciencieusement. Il sort presque entièrement sa bite de mon cul, ne laissant que son gland dans moi, avant de me pénétrer de nouveau, doucement, tranquillement mais fermement. Il pousse son énorme bite tout au fond de moi, jusqu’à appuyer son ventre contre mes fesses. Il s’immobilise un instant. Et je sens cette énorme présence à la fois dans mon cul et dans mon ventre. Puis il repart en arrière, tout aussi lentement. Et je sens mes entrailles se vider. La sensation est terrible. Presque entièrement sorti, il marque de nouveau une pose. Et il me pénètre à nouveau. Je sens chaque centimètre de son énorme queue coulisser dans ma rondelle. Je sens son gland repousser mes chairs, tout en douceur. Cette sensation de se faire remplir, puis de se faire vider, c’est un vrai bonheur !
Je m’adresse de nouveau à Sébastien :
- Séb, tu filmes sa queue quand elle rentre et quand elle sort, hein ?
- Oui, oui. Il ne te fait pas mal ?
- Oh non, c’est bon. Je me suis fourré des trucs bien plus gros …
Malgré le plaisir, la position est fatigante. Lucas est toujours devant moi, les jambes étendues sous moi. Je m’affale, les bras croisés sur ses cuisses, toujours le cul en l’air. Ça pourrait durer des heures comme ça, à me faire ramoner doucement par cette énorme bite.
- Maintenant, je vais baiser toi.
C’est Andrej qui vient de s’adresser à moi.
- Pourquoi, tu ne me baisais pas, jusqu’à présent ?
- Non, j’ai regardé soucer, et je amusais sôlement.
- Ah bon ! Alors vas-y, baise-moi…
Il ajuste la position de ses énormes pattes sur mes hanches, il me pousse lentement en avant, faisant sortir sa queue presque entièrement de mon cul, et m'attire brutalement à lui. Cette fois, j'ai senti son énorme braquemard littéralement me défoncer. Maintenant, il se déchaîne et me secoue violemment d'avant en arrière. Mes fesses viennent claquer contre son ventre. C'est une véritable tornade qui me ballotte à un rythme effréné. Je dois résister pour ne pas m'écrouler sous les coups de boutoir. Il commence à pousser des grognements de plaisir. Toujours à genoux, je m'efforce de me redresser, d'abord sur les coudes, puis sur les mains. Maintenant, vraiment à quatre pattes, je sens beaucoup mieux le slovaque m'enculer. J'ai l'impression qu'il me pénètre encore plus profondément dans cette position. La bouche ouverte, le souffle suspendu et les yeux mi-clos, je suis tout entier concentré sur le pilonnage de mon cul. Lucas, toujours vautré sous moi, paraît s'exciter de nouveau à me voir baisé comme ça. Il se met à se masturber.
Andrej semble marquer une pause. Sa queue toujours dans mon cul, je le sens se mettre sur ses pieds. Il est maintenant au-dessus de moi, les jambes à demi fléchies et les pieds un peu devant mes genoux. Appuyant une main entre mes omoplates, il me force à redescendre ma tête vers le ventre de Lucas. Celui-ci m'appuie sa queue contre la bouche. Je l'ouvre tandis qu'Andrej recommence à me forcer le cul. Moins violemment. Il est à califourchon au-dessus de moi, le ventre à la verticale de mon cul, et il reprend son va et vient, lentement, mais il s'enfonce au plus profond. J'ai recommencé à sucer Lucas, mais distraitement, parce que je suis attentif à ce qui se passe derrière moi. Les râles d'Andrej suivent maintenant le rythme de son va et vient, et je devine qu'il jouit intensément de chaque pénétration, je devine qu'il se retient d'éjaculer pour faire durer le plaisir autant qu'il peut. Je me concentre sur les sensations de mon cul qui se fait forcer. Mentalement, je visualise cette queue énorme, raide, dure, gonflée, aux veines saillantes, au gland turgescent, progresser dans mes chairs, les écarter, les repousser et descendre au plus profond de moi.
Brutalement, Andrej, sa queue tout au fond de moi, suspend son mouvement. Il ne râle plus, il a le souffle coupé. Le pubis plaqué sur mes fesses, je le sens peser de tout son poids, comme s'il cherchait à pénétrer entièrement en moi. Et soudain, alors qu'il se met à pousser des «Ha !», je sens sa queue qui amorce ses premiers soubresauts. Il crie de plus en plus fort tandis que les spasmes de son sexe se font plus rapprochés et plus violents. Il éjacule … il me féconde. En effet, j'ai l'impression de sentir quelque chose couler en moi, m'envahir le rectum. Et ça semble ne pas devoir finir. Puis les spasmes se calment et Andrej arrête de crier. Il reste un petit moment comme ça, immobile au-dessus de moi.
Et je réalise que Lucas, bien placé comme il était, n'a pas perdu une miette du spectacle. Et cette vision, autant que ma fellation, toute distraite qu'elle était, l'ont visiblement beaucoup excité, au point qu'à son tour, il se met à haleter. Et tandis qu'Andrej extrait sa queue de moi, Lucas commence à éjaculer de nouveau dans ma bouche. Je le finis consciencieusement pendant qu'Andrej s'écarte de moi. Alors que je presse la verge du petit slovaque comme un tube de dentifrice pour en extraire toute la crème, je sens une autre présence contre ma cuisse gauche. Je regarde derrière moi. C'est Sébastien, le pantalon sur les pieds, en train de se masturber au-dessus de mon cul. Je pose ma tête sur les cuisses de Lucas et, saisissant chacune de mes fesses dans une main, je les écarte pour m'offrir au routier français.
- Vas-y, Séb, féconde-moi ...
Cette fois, il aura peut-être aussi envie de me baiser … Mais non. Il continue de se masturber. Ça ne dure pas longtemps, le voilà qui éjacule à son tour. Je sens son sperme qui me tombe sur la fesse et coule jusqu’à mon anus. Je t'étale un peu et je porte mes doigts pleins de semence à ma bouche pour les lécher.
Pendant ce temps, Andrej a déjà remonté son pantalon, et m'observe. Lucas s'est relevé et est aussi en train de se rajuster. Sébastien les imite à son tour. Je m'assois, le dos appuyé au grillage. Je sens que le sperme d'Andrej commence à s'écouler de mon cul. Ils sont tous les trois, debout autour de moi. Les deux slovaques me regardent avec un petit sourire, Sébastien avec l'air gêné. M'adressant à eux:
- Ça va mieux, les mecs?
Les deux slovaques, riant en chœur:
- Ça va …
Lucas:
- tou est bonne. On dit comme ça, en français, non?
- Oui, on dit comme ça. Merci pour le compliment. Ça t’a plu, on dirait.
- Pas compris.
- Ça ne fait rien. Tu as aimé ça …
- Oui, beaucoup aimé.
- Tu veux me sucer?
- Comment ? Non ! Je pas soucer.
- C'est bon tu sais.
M'adressant aux deux autres:
- Et vous, vous voulez me sucer?
Andrej se contente de secouer la tête, tandis que Sébastien:
- Non. Pas question, moi je ne fais pas ça.
- Me branler, alors … Vous ne voulez pas me branler ?
Tous trois, en même temps:
- Non !
- C'est pas sympa. Tant pis.
Je saisis ma queue d'une main, de l'autre, je recueille le sperme d'Andrej qui s'écoule de mon cul et, tout en commençant à me masturber, je me lèche consciencieusement les doigts. Mes deux slovaques, comme à leur habitude, se marrent, tandis que Sébastien prend un air effaré et entreprend de repasser le grillage. Andrej s'accroupit entre mes jambes, se penche, passe ses doigts dans son sperme avant de me les présenter à lécher:
- Quand nous revient en France, nous te revoir?
- Ça dépend …
Je plante mes yeux dans les siens et je finis de lui nettoyer les doigts. Alors qu'il va retirer sa main, je la saisis et je la dirige vers mes cuisses largement ouvertes. Intrigué, il se laisse faire. Je pousse ses doigts contre mon anus. Il a compris. Il s'agenouille, replie tous ses doigts, sauf le majeur, et me l'introduit dans le cul. Je ferme les yeux et je reprends ma masturbation. Comme dans un rêve, j'entends le camion de Sébastien démarrer et s'éloigner. Le doigt d'Andrej est comme le reste, énorme. Et en plus, il le bouge lentement en moi. Ça va très très vite. J'ai un orgasme rapide et violent. Mon sperme me coule sur la main. Andrej sort son doigt de mon cul, y recueille un peu de ma semence et me le donne à lécher. Je suce ce mélange de nos deux spermes et de mon fluide anal.
Maintenant que je suis assouvi, après cet orgasme, l'excitation est retombée, les envies envolées. Je pense à ce qu'Andrej m'a demandé. Il a envie de me revoir ... et de me baiser à nouveau, je pense ... Ça a dû vraiment lui plaire ! Je ne sais pas trop quoi lui répondre. Au fond de moi, quelque chose me dit que je peux toujours dire oui et que j'aviserai. En me relevant:
- D'accord, on pourra se revoir.
- Tou a portable ?
Je lui mens :
- Non. Mais j’ai un blog.
- Un blog?
- Oui, un site sur Internet. Avec des photos et des vidéos. Vous avez Internet? Si vous avez un papier, je vous écris l’adresse.
Ils se regardent, et visiblement, ils ne comprennent pas.
- Un papier, donnez-moi un papier et un stylo.
Sur un signe d'Andrej, Lucas grimpe le grillage, suivi du géant qui l'effondre encore un peu plus. Lucas monte dans la cabine et Andrej lui explique je ne sais quoi dans leur langue. Enfin, il se retourne et me tend à travers le grillage un bout de papier et un stylo. Je note l’adresse de mon blog et je lui rends le tout.
En voyant l’adresse, il semble comprendre de quoi il s’agit.
- D’accord. Web… Je veux dire à toi, c'est bien, baiser toi. Je pas vou ma femme de un mois. Je vois dans houit jours, après je travaille encore un mois sans voir.
Il se justifie ! Il me tend la main pour que je la lui serre, et pendant qu'il contourne son camion pour reprendre le volant, son collègue claque la portière et me lance:
- tou es bonne, tou es bonne, tous souce bien…
Le moteur se lance, et l'engin commence à rouler lentement sur la bande d'arrêt d'urgence. Il prend de la vitesse, et quand le flot de véhicules le lui permet, il s'engage sur la voie de droite et s'éloigne.
Je range mon matériel photos dans mon sac à dos et, négligeant de remettre mon string, je me contente de rabattre ma minijupe sur mes fesses. Je reprends mon vélo et en l’enfourchant, je sens que de la semence du routier s'écoule encore de mon cul. Décidément, il m'a mis la dose, Andrej … Je m’assois et en commençant à pédaler, je sens que j’étale cette crème avec mon cul sur ma selle. C’est très agréable.
Ça sera tout pour aujourd'hui, j'ai eu mon compte de cul et de bite. Bien plus que je n'imaginais. Pour le moment, je rentre, mais je reviendrai.
J’ai hâte de regarder les vidéos.
Superbe ton récit, moi aussi j'aurais aimé me retrouver dans cette situation
Merci ...
Un fantasme, ça n'a pas de limites, ça autorise tout, et c'est sans risque.