Partager l'article ! Premières fois. Tournante cinquième partie: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Et c'est reparti !
J'ai à peine eu le temps de boire un verre ! Après un passage plutôt agité dans la salle de bain de Jean-Claude, où j'ai dû soulager quatre étalons, je suis redescendu dans la cour de la ferme, tout propre et dans une tenue encore plus "sexe" que celle du début de matinée. Presque aussitôt, le costaud plein de tatouages m'a entraîné dans l'écurie où il m'a violenté physiquement et sexuellement sur la paille des stalles. C'est bel et bien la brute que j'imaginais. J'ai adoré ça ! Puis il a offert mon cul et ma bouche aux assauts de trois autres mâles. En revenant de l'écurie, je me suis rendu compte que le reste de la troupe avait dû écluser pas mal des verres, pendant que je me faisais fourrer là-bas. Il est vrai qu'il fait plutôt chaud, alors ils ont soif et c'est l'heure de l'apéro ! Et comme pour ces mecs, c'est jour de fiesta - surtout pour leurs bites – ils picolent tous plus ou moins. Chaleur plus alcool plus ambiance d'orgie … résultat, ils sont maintenant tous désinhibés, ils sont tous, ou presque, à poil, tous, ou presque, la queue raide, tous, ou presque, en train de se tripoter …
Alors, c'était inévitable, quand j'ai ramené mon cul près de la rangée de tables où ils sont réunis, je me suis tout de suite fait choper. Ils m'ont installé sur la table qui sert de bar, au milieu des gobelets d'apéro et des chips, à moitié couché sur le ventre, le torse dans une assiette de cacahuètes, cuisses écartées et cul béant… Et là, ils se sont mis à me fourrer à la chaîne dans un véritable déchaînement de frénésie sexuelle. Je me sens indécent, impudique, obscène … et je me sens surtout ouvert, offert, à disposition, comme un morceau de barbaque dans laquelle ils viennent se soulager l'un après l'autre … et j'adore ça ! En quelques minutes, plusieurs mecs - je ne sais pas combien - m'ont déjà tringlé et fécondé ! Oui, parce que, cerise sur le gâteau, ils m'ont tous baisé sans capote. Non seulement ils n'hésitent pas à me fourrer comme ça, à cru, sans crainte d'attraper une maladie, mais en plus, ça ne les gêne pas de patauger avec leur queue dans le foutre de ceux qui les ont précédés ! Et chaque nouvelle éjaculation, chaque nouvelle giclée dans mon cul, comme une injection de liqueur aphrodisiaque, ajoute à mon excitation. Je suis plein et ce cocktail me coule, tiède et gluant, le long des cuisses !
La joue appuyée sur la table, j'ai aussi sucé l'ours velu, le type qui m'avait baisé en cuiller ce matin. Après avoir été interrompu par le traiteur, venu demander s'il pourrait revenir me baiser après avoir ramené son commis, il me présente de nouveau sa queue à sucer. C'est une jouissance incroyable, de se faire saillir et fourrager, longuement, dans cette position. Mes deux orifices, ma bouche et mon cul, à la bonne hauteur sur cette table, sont tous les deux remplis, investis, occupés par des queues en érection, et je sais que, dans un instant, les deux mecs qui sont au bout de ces sexes, vont jouir dans moi, je sais que leurs deux queues vont aussi m'injecter leur jouissance, répandre leur liqueur séminale, l'un dans ma bouche et l'autre dans mon ventre …
En même temps que ces plaisirs immédiats - plaisir sensuel et plaisir cérébral - cette position, ouvert, écartelé, offert sur cette table, fait naître en moi un autre fantasme: l'envie que des mecs défilent dans mon cul … sept … huit … dix … quinze … vingt … les uns derrière les autres … pas pour me ramoner, non, simplement pour y jouir … qu'ils se branlent en faisant la queue derrière moi, jusqu'à être au bord de l'éjaculation, et qu'ils me pénètrent seulement au moment de se finir dans la chaleur humide de mon cul, pour y déverser leur sperme … j'ai envie de me faire remplir de semence par des mecs et des mecs … plein de mecs … des mains sur mes hanches ou sur mes reins, une bite dans mon cul, un ou deux va et vient, une éjaculation et au suivant … d'autres mains sur mes hanches, une autre bite dans mon cul, un ou deux va et vient, éjaculation et au suivant… encore des mains sur mes hanches, encore une bite dans mon cul, un ou deux va et vient, éjaculation et au suivant … Le mélange de millions de leurs "petites graines", des millions de leurs spermatozoïdes se croyant dans la chaleur du ventre d'une femelle, et faisant la course à la recherche d'un ovule à féconder … Je voudrais être rempli, gorgé, débordant d'un cocktail de liqueurs séminales …
Ces pensées, ma position obscène au milieu de tous ces mâles, les uns qui copulent avec moi, les autres qui regardent et se masturbent en attendant de s'accoupler à leur tour avec moi, c'est une volupté indicible. Mon excitation est telle que des gémissements de plaisir, jaillissent de mon ventre, et résonnent sourdement dans ma poitrine, étouffés par la bite que je suis en train de pomper fiévreusement.
Malgré tout, alors que ce qu'on est en train de me faire devrait l'occuper tout entier, une partie de mon esprit a quand même constaté que quelques types, dont Philippe et Jean-Claude, ont commencé à déballer les caisses et les glacières que le traiteur vient de livrer, et de disposer des plats chargés de victuailles sur les tables à côté de moi. Et cette même partie de mon esprit a remarqué qu'on a bien fait les choses: pas de vaisselle en plastique, mais des assiettes en porcelaine, des verres à pied, des couverts en métal … et des nappes en tissu sur les tables ! Décidément, ces Messieurs – sans doute Philippe et Jean-Claude - ont organisé un véritable banquet à la hauteur de l'événement. D'autres mecs s'activent autour du barbecue, dont la fumée nous envahit par intermittence.
Mais parmi la douzaine de ceux qui m'entourent encore, la frénésie sexuelle est à son comble, visiblement attisée par l'alcool pour la plupart de ces étalons. Ceux qui me sodomisent sont évidemment excités par notre accouplement, par la jouissance de leur sexe qui me fouille en glissant dans mes chairs … excités de me posséder sur cette table et dans cette position, image s'il en est de la domination, de la possession sexuelle… excités de me prendre sous les yeux d'autres mâles … à la suite d'autres mâles … avant d'autres mâles … excités par les feulements irrépressibles que leur saillie fait surgir de ma gorge.
Ceux qui regardent et s'apprêtent à me baiser à leur tour, sont excités par le spectacle que je leur offre, par ma position obscène, par les accouplements successifs que je subis … excités par la fellation que je prodigue fiévreusement à cette bite … excités par la perspective de me posséder à leur tour et de jouir en moi … excités par leur masturbation … excités par ma conduite débridée, indécente, hystérique … excités par mes gémissements impudiques …
Le ventre de l'ours me masque la plupart d'entre eux, mais j'en vois deux, sur le côté, le sexe à la main, raides, qui s'astiquent fébrilement. Je porte mon regard alternativement sur leur bite et sur leurs yeux, m'efforçant de leur faire comprendre que je veux leur queue, que je veux qu'ils me prennent, que je veux qu'ils me baisent … je gémis autant à cause de mon accouplement actuel - de mes accouplements actuels, buccal et anal - qu'à cause du désir frénétique, de la furieuse envie de leurs queues … et bien qu'inarticulé, le message est explicite … à leurs yeux exorbités, à leur bouche entrouverte, à leur menton pendant, à leur masturbation soudain plus vigoureuse, je devine que le message passe.
Je tends la main. Le plus proche des deux s'avance. Je saisis son sexe et je poursuis fébrilement la masturbation qu'il avait entamée. Il se branle comme moi, le gland alternativement à demi décalotté puis enfoui dans le prépuce. Je continue de la même manière.
Mon lâcher prise est total: ooooh ouiiiiiii ! Baisez-moi ! Baisez-moi le cul ! Baisez-moi la bouche ! Fourrez-moi ! Remplissez-moi ! Souillez-moi !
Mon excitation est si communicative et mes gémissements si convaincants que l'ours ne résiste pas plus longtemps au déchaînement de ma main et de ma bouche sur son sexe. De ses deux mains, il m'immobilise la tête, extrait un peu sa queue, jusqu'à ce que son gland se trouve au milieu de ma bouche, et il jouit. Il jouit en poussant des râles . Son sperme, tiède, un peu sucré, se répand en quelques jets successifs sur ma langue et s'accumule dans ma joue. Son orgasme attise encore mon excitation et m'arrache des gémissements de plus en plus forts.
Le type qui me fourre – je ne sais même pas qui est en train de me pilonner le cul – devait être au bord de la jouissance: m'entendre gémir et deviner que l'ours éjacule dans ma bouche déclenchent son orgasme. Allant et venant à grands coups de reins, accompagnant chacun d'eux d'un grand "haaaa !", il pose soudainement sa jambe sur la table, contre la mienne, et se couche sur moi, le ventre plaqué contre mes fesses. Le menton entre mes omoplates, il pousse un long "hooooooooooonnn" en jouissant . Je sens sa bite tressauter violemment dans mon cul. Mentalement, je visualise son gland, dilaté, épanoui, au milieu de mes chairs, son méat béant déversant un flot de crème nacrée qui se mélange à celles des étalons qui m'ont fécondé avant lui …
Ces deux types ont joui simultanément, lâchant tous deux leur semence en moi sans retenue, sans réticence, sans précaution, sans scrupule … j'adore ça !
Je les laisse finir de jouir tranquillement, mais ma position, si excitante soit elle, commence à être inconfortable, une légère douleur, comme une crampe, s'est installée au niveau de ma taille du côté droit et ma jambe posée sur la table est toute engourdie. Et puis, ils s'attardent. Ils ont joui, il est temps qu'ils laissent la place. Je tapote la cuisse du type qui est sur moi et, écrasé sous son poids, je me soulève un peu, péniblement. Il comprend, s'appuie des deux mains sur la table, se relève et s'en va. Je sens sa queue déjà ramollie s'échapper de mon cul. Je pose mon pied droit au sol. Ça va mieux comme ça, la douleur dans ma hanche s'atténue et le sang afflue dans ma jambe.
La queue de l'ours est déjà un peu molle dans ma bouche … je réalise que, ça y est, celui-ci m'a fécondé deux fois: une fois le cul, une fois la bouche … je réalise aussi qu'il y en a sans doute d'autres qui m'ont aussi fécondé deux fois, parce que, si je vois bien qui je suce, je ne vois pas toujours, et pour cause, qui me prend le cul … J'avale goulûment le dépôt visqueux de l'ours. A son tour, il se retire doucement. Sa semence, en s'écoulant dans ma gorge et mon œsophage, agit aussi comme un puissant aphrodisiaque: je veux … il me faut une autre queue … tout de suite ! Je lève des yeux éperdus vers son voisin, que j'étais en train de masturber, et, en faisant coulisser ma main d'un mouvement ample sur sa verge:
- Viens, maintenant … je te suce !
Je lâche sa queue et je m'empoigne une fesse de la main droite, je me redresse un peu, j'écarte les jambes et je me cambre. Pas besoin de leur faire une dessin: « Un autre dans mon cul ! Vite ! ». Quelqu'un se plie immédiatement à mon injonction silencieuse: des mains sur mes reins … un ventre contre mes fesses … un … un sexe, un membre, une queue dans mon cul … un nouvel étalon commence à me saillir … Le regard éperdu, la bouche ouverte, je tends fiévreusement les mains vers cette autre queue que je viens de masturber. Le type a pris la place de l'ours, et il serre son membre sous les couilles et me présente son dard, raide, gonflé … tout en lui taillant une pipe, je vais branler celui qui est à sa gauche … un grand type brun, jeune, cheveux mi-longs, avec une très belle bite. Je tends la main vers lui. Inutile de parler, il s'approche et je saisis son membre.
Avant de prendre l'autre dans la bouche, je remarque au bout de son gland, dans l'ouverture de son prépuce, une espèce d'écume blanchâtre … déjà un peu de sperme, ou seulement sa "mouille" qui a moussé à force de branlette ? Je passe ma langue dessus. Le gland rendu ultra sensible par sa masturbation, il aspire l'air bruyamment entre ses dents serrées. Je bâille, il s'avance et, en gémissant de plaisir, je serre mes lèvres sur sa verge, juste sous le gland. Il ne bouge plus, attend. Je passe ma main sur ses reins et je l'attire vers moi. En s'enfonçant dans ma bouche, son sexe se décalotte … ET … Oh oui ! Trop excité, trop masturbé, trop longtemps contenu, il éjacule en poussant des râles ! Déjà ! Je masturbe l'autre fiévreusement, et je m'active de la langue en gémissant: oui, vas-y, jouis, jouis, jouis ! Trois longs jets de crème chaude s'écoulent dans ma gorge …
Oh, putain ! Combien j'ai sucé de mecs jusqu'ici ? Combien j'ai avalé de sperme ? Encore ! Encore ! J'en veux encore ! Il a fini. Je le recrache, je le repousse, et j'attire l'autre, le grand brun, jusqu'à moi. Je l'enfourne et je commence à faire furieusement coulisser mes lèvres sur sa bite. Un autre type s'est approché, sur sa droite et se masturbe vigoureusement, tout près de moi. Je passe ma main sous les couilles de ce nouveau venu et je les pétris délicatement. Celui que je suce me prend la tête et m'immobilise avant de commencer à onduler du bassin d'avant en arrière.
- Raaaah puuuu…. taiiiiiin !
C'est le type derrière moi, les deux mains sur mes reins, qui prend son pied . Celui-ci aussi a été très vite: ça ne fait pas deux minutes qu'il a commencé à me baiser ! C'est ça, les mecs ! C'est exactement ça que je veux ! Prenez-moi, baisez-moi vite fait et prenez votre pied. En finissant de se vider les couilles dans mon cul, de ses pognes plaquées sur mes reins, il m'écrase sur la table.
- Ah putain, c'que t'es bonne, toi !
Il continue d'aller et venir, lentement, lascivement. Mais puisqu'il a fini, il faut qu'il se barre ! Je lâche la paire de boules que j'étais en train de peloter, et passant la main derrière moi, je la pose sur le ventre de mon baiseur et je le repousse. Il résiste un peu:
- T'en peux plus, hein ? T'as mal au cul ?
J'insiste et il finit par sortir en me claquant une fesse. Un flot de crème tiède s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles. De nouveau, je m'empoigne la fesse et je me cambre.
- Ah, putain ! T'en veux encore ?
Il faut que je leur dise. Je repousse à son tour le type brun devant moi et je sors sa queue de ma bouche.
- Oui, j'en veux encore ! Baisez-moi ! Baisez-moi !
J'ai crié. Stupéfaction générale. Pas seulement de ceux qui m'entourent. D'autres, en train de dresser la table un peu à l'écart s'approchent, intrigués par mes cris.
- Qu'est-ce qui se passe ?
Ils me dévisagent, éberlués, se regardent, interrogatifs.
- Venez ! Venez vous vider les couilles ! Tous ! Baisez-moi ! Baisez-moi vite fait ! Enculez-moi et jutez-moi dans le cul !
Je regarde derrière moi. Ils sont quatre, deux qui bandent mou et deux qui bandent dur et se tripotent … ceux-là sont sans doute déjà prêts à me saillir.
- Allez, vous deux …. Baisez-moi ! Et les autres, prenez votre tour et passez-moi dessus … venez tous me baiser !
Un des deux qui bandent dur se décide. Je le regarde s'approcher en m'écartant les fesses et en me cambrant.
- Oui, vas-y … encule-moi … et jouis dans mon cul, hein … et vite !
Je m'appuie des deux mains sur la table. Sa bite contre mon anus … dans mon anus … ses mains sur mes épaules … il va et vient … Je regarde le grand brun que j'avais commencé de sucer:
- Je te sucerai plus tard. Viens me baiser !
Il secoue la tête de droite à gauche … pas d'accord. Mâchoires serrées, yeux mi-clos, il se branle furieusement. Il va éjaculer sur la table ! Et brusquement, il m'attrape par la nuque et me force à me plier en deux. Je comprends immédiatement ce qu'il veut. J'ouvre la bouche et, au moment où son gland pénètre entre mes lèvres, je reçois un jet de sperme sur la langue . La queue secouée de soubresauts, il se répand longuement dans ma bouche. Je le pompe consciencieusement … puisqu'il est là, autant qu'on en profite … tous les deux … Sa main fermement posée sur ma nuque, sa superbe bite dans ma bouche, son fluide qui n'en finit pas de se répandre … j'adore ça … je caresse son ventre pour lui manifester mon plaisir. Il m'a tellement rempli la bouche qu'un trop-plein de salive et de sperme s'écoule sur mon menton quand il se retire … J'avale le reste, et je m'essuie la bouche. Son voisin, qui attendait son tour, s'approche.
- Non … je ne suce plus … baise-moi ! Viens me baiser !
Je jette un coup d'œil derrière moi. Je sens que celui qui m'encule n'est pas loin de conclure. L'autre, qui bandait dur aussi, tout à l'heure, bande toujours et s'astique. Les deux qui bandaient mou sont raides, maintenant … et deux autres les ont rejoints et font ... la queue, bite en main ! Un qui m'encule, et cinq qui font la queue ! Je tapote la cuisse de mon baiseur:
- Grouille un peu, toi !
- Aaaaaah ! Aaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaah !
C'est fait, il éjacule . Je le laisse finir … puis, la main sur son bas-ventre, je le repousse:
- Laisse la place, maintenant …
Il trébuche et manque de s'étaler en reculant. Le suivant est déjà contre moi. Pendant qu'il guide sa queue dans mon cul, il me souffle, dents serrées:
- T'es … t'es une chienne … tu te fais baiser comme une chienne …
- Oui ! Vas-y, baise-moi … fais vite !
Il entoure mon torse de ses deux bras et m'envoie un grand coup de boutoir … deux … trois … quatre …
- Aaaaaah … putaiiiiiiiiin !
Il jouit . Il avait dû bien s'exciter et beaucoup se branler, et il était déjà au bord de l'éjaculation quand il m'a pris. Oui, c'est ça que je veux. Je lance à la cantonade:
- Oui, c'est ça que je veux … deux ou trois coups de bite, et vous jouissez … Allez, suivant !
Il se retire. Je me cale bien, les mains sur la table, les jambes écartées, les reins cambrés. Un autre contre moi, je ne sais pas lequel, ses mains sur mes hanches … sa queue dans mon cul …
- Fais vite, hein …
- T'inquiète …
Planté au fond de moi … il ressort … lentement … de nouveau au fond de moi … il ressort lentement … au fond de moi … et …
- Hhhhhhhhhmmmmmm ! Nom … de … dieuuuUUUU !
Dans mon anus, je ressens chaque spasme de son membre au passage de son sperme. Je sais que, tout au fond de mes chairs, il est en train de répandre sa semence, il est en train de me féconder . Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir … il a fini … il se retire en me donnant une claque sur la fesse …
Je m'accoude sur la table et je pose mon front dans mes mains croisées. Je sens une main dans ma raie … des doigts dans mon cul … qui pataugent dans le foutre … qui m'ouvrent … la tête dans les mains, je miaule … des doigts qui m'étalent ce yaourt tiède dans la raie, sur les fesses … un ventre contre moi … une queue en moi … un ventre claque contre mes fesses dans un bruit mouillé … encore … encore … encore … encore … le ventre plaqué contre mes fesses … immobile … pas un cri, pas un mot … seulement un halètement entre ses mâchoires serrées … il jouit . Oooh oui ! C'est comme ça que je veux que vous me baisiez ! Je gémis. Il se retire.
Une présence derrière moi, contre mes mollets … qui m'essuie les fesses avec un papier … entre mes fesses, un poing serré qui guide une queue vers mon cul … une bite en moi … encore une bite … combien de bites, aujourd'hui ? Combien de mâles m'ont couvert, m'ont sailli, m'ont pris ? Ses deux mains à plat sur mes fesses, il va et vient … je ne peux pas m'empêcher de compter … trois … quatre … mesurer leur excitation … six … sept … mesurer leur désir … neuf … il hésite … dix … et il jouit … il me caresse les reins, se retire sans un mot.
- Tourne … je vais te baiser sur le dos …
Quoi ? J'ai un instant d'hésitation. Il insiste:
- Tourne-toi et mets-toi sur la table … je te baise sur le dos …
Je me retourne. C'est le plus vieux de la bande … la cinquantaine grisonnante et bedonnante de ce matin.
- Assis-toi sur la table …
Je retends vite fait mes bas et je rajuste grossièrement mon porte-jarretelles à demi vrillé sur mes reins, et je m'assieds. Il me pousse en arrière d'une main en me retenant de l'autre par l'épaule. Tiens, je remarque seulement maintenant que je bande. Mon excitation n'était donc pas uniquement cérébrale. Je m'allonge sur le dos et je croise les mains sous ma nuque. Il me relève les jambes, me pose les chevilles sur ses épaules, vient plaquer son ventre contre mes fesses. Je sens le cocktail crémeux s'écouler de mon cul. Tout en guidant sa queue vers mon fourreau:
- Je veux que tu me voies te baiser … T'aimes ça, voir les mecs te baiser ?
- Oui.
- t'es vraiment une sacrée salope …
- Oui.
Il va et vient.
- J'en connais, des salopes … mais toi, t'es … t'es la plus salope que j'aie vu …
- Tu trouves ?
- … et de loin …
- Merci.
Ses deux mains sur mes genoux, il ferme les yeux, rejette la tête en arrière, et bouche grande ouverte, il pousse un long Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh en continuant à aller et venir. Je ne sens pas sa queue tressauter, mais de toute évidence, il a joui . Il rouvre les yeux, se redresse;
- Ouais … des femelles, des vraies, qui aiment la bite, j'en connais … des tapettes aussi … mais des qui se font passer dessus comme ça … par … par autant de mecs …
Il se retire. Je replie les jambes, attendant le suivant. C'est le type un peu mou, un des premiers que j'ai … salués ce matin. La position lui convient. Il m'écarte les cuisses, ne sachant pas trop quoi faire de mes mollets. Je les passe autour de sa taille. Les mains sur mes cuisses, il doit être assez raide et dressé pour me pénétrer comme ça, sans avoir besoin de guider sa queue de la main. Yeux mi-clos, bouche entrouverte, il s'enfonce doucement en moi en haletant sourdement. De toute évidence, tout en savourant la lente progression de son membre dans mes chairs, il scrute mon visage, observe mes réactions. Le voilà le ventre tout contre moi … sa bite au fond de moi, immobile, et … ce que je sens contre mes fesses … oui, c'est ses couilles ! Je me cambre un peu plus, et, comme lui, yeux mi-clos et bouche entrouverte, je presse, comme par réflexe, mes mollets contre ses reins. Oui, vas-y ! Jouis ! Vide-toi dans mon ventre ! L'effet est immédiat: il rejette sa tête en arrière, recule un peu son bassin et revient le plaquer violemment contre mon cul en éjaculant … encore… encore … accompagnant chaque coup d'un bref " ha ! " … " ha ! " … " ha ! " … " ha ! " … " haaaaa ! " … Voilà … il a fini. Il se retire lentement, baisse les yeux vers son sexe, le saisit, et je le sens qui le presse en frottant son gland contre mon anus … Puis il écarte mes genoux, dénouant mes mollets de derrière ses reins, et s'éloigne.
Je reste sur le dos, jambes relevées, attendant une nouvelle saillie … Personne … Je relève la tête et regarde à droite et à gauche. Apparemment, les cinq ou six qui faisaient la queue sont tous passés. Le dernier, le type finalement pas si mou que ça, est en train de se rincer la queue au tuyau d'arrosage que j'ai employé un peu plus tôt. Tout le monde ou presque semble se désintéresser de moi. Deux ou trois finissent de dresser la table et de disposer les plats. Plusieurs sont déjà attablés, un verre à la main, prêts à manger. Les autres discutent, debout près des tables ou autour du barbecue. Seuls, un ou deux, me regardent en souriant. Je glisse ma main vers mon bas ventre. Du sperme a coulé sur mes couilles et ma queue et me tire un peu la peau, comme de la colle, là où il a commencé à sécher. J'en ai aussi plein le périnée. Je poursuis mon exploration entre mes cuisses. Des coulures ont même souillé le haut de mes bas. Putain, j'ai la semence de combien de mecs, sur moi … et dans moi ?
Le sperme frais ne sent pratiquement rien, mais la mixture que ces types ont élaborée dans mon ventre pendant la dernière demie heure a déjà commencé à se dégrader et son odeur si particulière arrive à mon nez. C'est le mélange de combien de spermes ? Combien de mecs m'ont baisé sur cette table ? Huit ? Dix ? Je pose les doigts sur mon anus. Waouhhh, drôle d'impression ! Comme si les muscles de mon sphincter étaient ressortis ! Je le palpe mieux: non, il est seulement un peu … boursouflé … non, tuméfié … non, même pas … légèrement enflammé … brûlant et … hypersensible, oui, c'est ça, hypersensible … En tout cas, c'est une sensation délicieuse, sans doute conséquence de ces dizaines – de ces centaines ? – de va et vient de queues dans mon cul … Encore béant après la dernière saillie, il déborde de liqueur qui s'écoule, gluante, sur mes fesses.
D'un même mouvement, je me redresse et je descends de la table pour aller me rincer le cul au robinet près du hangar. Mes fesses glissent l'une contre l'autre avec des bruits de bulles. Un pied posé sur une chaise en plastique, je m'introduis dans le cul l'extrémité du tuyau qui débite l'eau fraîche à gros bouillons. Je sens la fièvre de mon fourreau se calmer, mon sphincter se contracter sur le tube de plastique. Tant qu'à faire, je me rince aussi les fesses et les cuisses, trempant au passage mes bas et mon porte-jarretelles, et je finis par une douche complète. Je rajuste tant bien que mal ma lingerie mouillée qui refuse de glisser sur ma peau. Je me sens bien, humide et frais dans la chaleur de cette fin d'été.
Il n'y a rien à faire, bien qu'ils m'aient sans doute tous fourré leur queue, la vue de cette bande mecs me trouble toujours autant. Seuls, quelques uns, timides ou frileux, ont gardé ou remis leur T-shirt. Beaucoup de bites sont maintenant au repos, plus ou moins ratatinées, le gland caché dans leur prépuce un peu fripé, mais il y en a encore pas mal en semi érection, un peu gonflées, un peu pendantes … sans doute pour certaines le simple plaisir d'être nues, pour d'autres l'effet de l'alcool, ou un reste d'excitation … quoi qu'il en soit, j'ai toujours autant envie de les tripoter … simplement, de les prendre entre mes doigts et de les malaxer … les ratatinées comme les autres.
Je ne suis qu'à quelques pas d'un trio en train de discuter près de la rangée de tables. Il y a là, face à moi, le grand type maigre qui m'a roulé des pelles en me baisant, ce matin, et le petit blond bien monté; en voilà deux qui bandent à moitié. Et le troisième, qui me tourne le dos … on dirait l'ours velu. Tous trois sont complètement à poil et bavardent, un verre à la main. Je les observe à distance. C'est une drôle de sensation, de voir ces trois types qui m'ont baisé chacun leur tour, et qui discutent, à poil, tout aussi naturellement qu'ils le feraient dans un troquet. De quoi parlent-ils ? De moi ? De mon cul ? Ou seulement de foot et de bagnoles ? Ils m'ont baisé tous les trois, alors c'est quoi… mes amants ? Oui, d'une certaine manière, c'est … mes mecs … Je sais bien qu'on ne dit pas ça d'une aventure d'un jour, mais j'ai bien l'impression, à la façon dont ils m'ont baisé, qu'ils ne demanderaient pas mieux que d'établir une relation durable avec moi … le grand type maigre et l'ours, en particulier. Et puis, ça me plaît bien de voir les choses comme ça: ces trois mecs-là, c'est mes hommes, mes mâles … Et les autres aussi … enfin, ceux qui m'ont baisé … eux aussi, c'est mes mâles: Hamid … la brute tatouée … l'obèse qui m'a fait jouir … Philippe … le blond à la coupe en brosse et le type un peu mou qui m'ont baisé dans la salle de bain … et les autres … tous les autres … tous ceux qui m'ont fourré par derrière sans que je voie leur gueule … dans l'écurie … sur cette table … Tous ces mecs, c'est mes mecs … c'est mes mâles !
Le grand type maigre et le petit blond se rendent compte que je les observe, à quelques pas d'eux. Ils me regardent en souriant. Le troisième se retourne – c'est effectivement l'ours – et s'écarte un peu pour me laisser entrer dans leur … cercle. Lui est au repos. J'approche, je m'insinue au milieu du trio et, sans un mot, je prends dans une main la bite du grand type maigre, et dans l'autre celle du petit blond. Ils se regardent, mi étonnés, mi amusés … Je soupèse leurs sexes, je les effleure délicatement, je les caresse … Leur contact, sous mes doigts, dans la paume de mes mains … quel plaisir ! Ils restent impassibles, mais je sens leurs membres réagir imperceptiblement … D'autres, derrière eux, m'ont vu finir mes ablutions et approcher du trio, et voient maintenant - ou devinent - ce que je fais. Ils se poussent du coude, murmurent, commentent, se déplacent pour mieux voir … Le grand type maigre, le regard pétillant, pose sa main sur mon poignet et le caresse. Il apprécie ce que je lui fais. L'autre est plus sur la réserve …
Puis je les lâche, je quitte leur cercle et je m'avance au milieu du reste de la troupe, effleurant au passage, ici un zizi frippé, là une bite pendante, plus loin une paire de boules … tous ceux qui sont à portée de ma main y ont droit. Pendant que j'avance parmi eux, des doigts frôlent mes reins, des mains effleurent mes fesses … Et soudain, devant moi, la brute tatouée, assis au bord d'une table. Tandis que les autres s'écartent, il me regarde approcher, un sourire goguenard sur les lèvres. Sa queue est dans le même état que ce matin, quand nous avons fait … connaissance: longue, gonflée, décalottée … Au repos, la bite de ce type est plus grosse que beaucoup d'autres en érection. Un canette de bière à la main, il attend, sûr de lui. Il sait l'effet que me fait sa queue, il sait le pouvoir qu'elle exerce sur moi. Je m'avance. A quelques centimètres de lui, je pose ma main droite sur ses reins et je lui effleure le torse de la main gauche. Je passe mes doigts sur son ventre, je le caresse … je prends sa queue dans la main … il ne bouge pas … je regarde autour de nous … les autres nous observent en souriant, et je sens qu'ils attendent quelque chose de moi, avec comme un encouragement dans leurs yeux pétillants. Alors, je passe le bout de mes doigts sur sa verge, puis je me penche, je pose mes lèvres sur son sternum, sur son ventre … je redresse son sexe à l'horizontale, je pose des baisers tout au long de sa hampe … et je finis par prendre son gland dans ma bouche.
Eclats de rire ! Applaudissements ! Commentaires !
Je fais quelques va et vient de la bouche sur sa queue, et brusquement, je la sors d'entre mes lèvres, je me redresse et:
- Bon. On mange ?
Nouveaux éclats de rire. Alors que je me tourne pour m'éloigner de lui, le tatoué m'attrape par le bras, se redresse, pose sa canette sur la table et m'attire contre lui. Une main plaquée dans mon dos, il me serre contre lui, m'empoigne une fesse de son autre main. Il plante ses yeux dans les miens. Je passe mes bras autour de son cou. Sa main qui me pétrit la fesse s'égare dans ma raie, ses doigts glissent jusqu'à mon fourreau, s'y pressent, comme prêts à s'y enfoncer. Hhhhmmmm, ce que c'est bon ! Dans son regard, je lis que, tout à l'heure, ce n'est pas ses doigts qu'ils mettra à l'entrée de mon étui ! Je lis même que, non seulement il va me baiser, mais qu'il va m'en foutre une bonne pétée. Je sens encore sa queue qui pend contre mes cuisses et, tout à la fois, je ressens une furieuse envie qu'il me baise là, tout de suite, ainsi qu'un trouble plaisir à faire durer cette attente, comme un délice de frustration dont je sais qu'il se conclura par une jouissance d'autant plus forte que l'attente aura été longue. Et, à ma grande surprise, il penche la tête et pose ses lèvres sur les miennes. Surpris, j'ai un réflexe de recul, puis je sens sa langue qui force mes lèvres. Alors j'ouvre la bouche et nos langues s'entremêlent. C'est une pelle passionnée, ardente, impétueuse que nous nous roulons ! Je n'en reviens pas que ce mec, cette espèce de brute épaisse, me roule un tel patin ! Ça ne colle vraiment pas à son image … virile … plus que virile … brutale ... Tout à ce fougueux et surprenant baiser, je perçois confusément de nouveaux éclats de rire, applaudissements et commentaires !
Et tout aussi brusquement, la brute s'écarte de moi, me repousse et me donne une claque sur le cul. Il me faut trois secondes pour m'en remettre, et je réitère:
- Alors, on mange ?
C'est comme un signal: dans une espèce de tumulte, les autres s'assoient ou cherchent une place en reprenant leurs conversations. Ils doivent avoir faim ! Philippe, à quelques mètres de moi, me fait signe d'approcher, et me désigne un fauteuil de jardin. Tandis que je m'assois, il me demande:
- Tu as vu Jean-Claude ? Je ne sais pas où il est …
Jean-Claude est à l'autre bout de la cour; en train d'accueillir son copain traiteur qui, de retour, gare sa camionnette. Je le dit à Philippe qui, pour leur garder des places à côté de moi, fait déplacer deux types déjà installés à mes côtés.
Les plats circulent, les verres se remplissent. Beaucoup se jettent sur la bouffe avec appétit, comme après un effort. Je me dis que j'y suis pour beaucoup: après que je leur aie vidé les couilles, il faut qu'ils se reconstituent, comme on dit … Jean-Claude arrive, suivi de son pote qui regarde, les yeux ronds, cette assemblée de mecs à poils. Le commerçant porte une chemisette à discrets carreaux et un long bermuda beige. En tenue "civile", il est assez quelconque. Jean-Claude dépose deux gros cartons sur notre table et explique:
- C'est des flûtes … mon pote nous offre le Champagne …
Se tournant vers son pote:
- Vas-y, mec, approche, avec ton Champagne …
Hésitant, intimidé, l'autre pose à son tour deux cartons de Champagne sur la table:
- Il est frais, il était dans ma chambre froide …
Des mecs l'acclament, déballent les flûtes, sortent les bouteilles et les font circuler. Philippe:
- Asseyez-vous … on vous a gardé des places, à côté de notre … à côté de Marin …
Ils contournent la rangée de tables et viennent s'asseoir, Jean-Claude à ma droite et son pote à ma gauche. Le copain traiteur dégage une fraîche odeur de déodorant et il a les cheveux encore humides. Je parie qu'il a pris une douche avant de revenir. Il ne sait pas trop où poser les yeux, apparemment gêné de se trouver ainsi au milieu d'une bande de types à poils. Je me demande si c'est la nudité des autres qui l'embarrasse, ou le fait qu'il soit le seul habillé … avec Jean-Claude.
Philippe:
- Merci pour le Champagne … c'est sympa. Tu t'appelles comment ?
- Moi ? C'est Alexis.
- Tu sais, Alexis, tu peux te mettre à l'aise … à poil, comme tout le monde …
- Je … je sais pas … tout à l'heure …
- Toi aussi, Jean-Claude …
Je sens qu'Alexis me regarde à la dérobée, examinant sans doute le mec qu'il est revenu se taper.
Philippe:
- Jean-Claude … déshabille-toi … ton copain n'osera pas si tu reste comme ça …
Jean-Claude hésite un instant et, à ma grande surprise, se lève, déboutonne et ôte sa chemise, détache sa ceinture, fait sauter le bouton de son pantalon et descend son zip. Je ne veux pas manquer ça et je le regarde, aussi fasciné qu'étonné. Des convives applaudissent, sifflent, comme devant un strip-tease de danseuse. Cette fois encore, il ne porte rien sous son pantalon et, quand il commence à le baisser, les sifflets d'admiration redoublent. Si eux découvrent son gros engin, moi, je l'ai déjà vu, mais il me bluffe toujours autant. Ouaaaaaahhh, quelle queue ! Et quelle paire de couilles ! Les mecs les plus éloignés ne voient pas ce qui déclenche tant d'enthousiasme et de commentaires (j'entends plus ou moins prononcer les mots de nature, de gâter, d'injustice, de concurrence déloyale, de conversion ...), et se lèvent pour regarder. Jean-Claude finit d'enlever son pantalon, lance ses vêtements sur la balle de paille la plus proche, et se rassoit, gêné. Je n'arrive pas à détacher mon regard de ce qui repose, mollement, entre ses cuisses, sur le plastique de sa chaise de jardin.
- Hé !
C'est Philippe qui, s'adressant à moi, me lance un clin d'œil en désignant Alexis d'un coup de menton. Compris. Je me tourne vers le traiteur:
- Tu vas rester comme ça ?
- Beeen … comment ça ?
Les accoudoirs de mon fauteuil me gênent. Alors, je le tourne vers Alexis, je pose mes mains sur ses genoux, et je l'oblige à me faire face. Il résiste mollement, et finit par se laisser faire. J'entreprends de déboutonner sa chemisette. J'ai un peu de mal avec les minuscules boutons, et je décide d'employer les grands moyens: je saisis les pans de la chemisette et je la lui enlève d'un seul coup par-dessus la tête, comme un T-shirt. Sifflets, applaudissements. Je balance la chemisette sur un rouleau de paille et je me penche vers son ventre pour déboutonner son bermuda. Il grommelle je ne sais quoi, se tortille, fait mine de repousser mes mains. Mais j'insiste:
- Tu es revenu pour me baiser, non ?
- …
- et tu comptes me baiser en restant habillé ?
Il cède. Ce n'est pas un zip, mais des boutons. Premier bouton … deuxième bouton … tendu, penché en arrière, il rentre son ventre … troisième bouton … il tremble … quatrième et dernier bouton … J'écarte les pans du bermuda. La ceinture d'un caleçon apparaît. Je me redresse, je le regarde, et je glisse ma main entre son ventre et la ceinture du caleçon … d'ailleurs, ce n'est pas un caleçon, mais un boxer … moule-bite. Il a le souffle coupé, les yeux écarquillés. Sous mes doigts, une touffe de poils, dense, puis sa queue, recroquevillée dans le gousset du slip, mais je la sens, chaude dans ma main. Elle n'a pas l'air bien grosse, ni très vaillante, mais un frisson de plaisir me parcourt de la nuque à l'anus, et une espèce de décharge électrique contracte mon périnée et ma prostate. Brusquement, je sens … ou plutôt je réalise que ma rondelle est en contact direct avec le plastique de mon fauteuil … comme si mon cul s'était ouvert par réflexe à la perspective d'accueillir un nouvel étalon … Autour de nous, on regarde ce qui se passe. Certains se sont levés et approchés.
La queue d'Alexis est coincée dans son slip et j'ai du mal à la redresser pour l'extraire. Je sors ma main, j'empoigne les deux pans du bermuda, et:
- Aide-moi … soulève-toi un peu …
Il obtempère en regardant autour de nous d'un air effarouché. Je descends le bermuda et le boxer d'un seul mouvement sur ses mollets. Je pose mes mains sur ses genoux et, tout en les écartant, je m'accroupis devant lui.
- Non … attends … qu'est-ce que tu …
Il proteste, de plus en plus affolé. Pour le rassurer, je pose une main sur son ventre et je le caresse:
- N'aie pas peur … Tu es revenu pour du sexe, ou seulement pour manger avec nous ?
- Oui, mais … je pensais pas que …
- Tu ne veux pas que je te suce un peu ? Après, on mange, et cet après-midi, tu me feras ce que tu voudras … D'accord ?
- B … bon … d'a… d'accord …
Son petit Jésus disparaît presque au milieu de sa touffe de poils pubiens. Je plonge vers son ventre pour prendre son sexe entre mes lèvres. Mon front bute contre son abdomen. Il est tendu, contracté, mais je sens qu'il se penche tout de même un peu en arrière pour me faciliter les choses. Voilà, j'ai son gland dans la bouche. Je le serre doucement entre mes lèvres, je caresse son méat du bout de ma langue en m'efforçant de la glisser entre son prépuce et son gland. Je le sens réagir immédiatement. Son gland gonfle un peu et sa verge s'allonge dans ma bouche. Hhmmmm, c'est très agréable de le sentir commencer à bander sous l'effet de ma fellation. Je serre mes lèvres un peu plus et j'enfonce son sexe dans ma bouche. Son gland se décalotte et s'épanouit entre ma langue et mon palais. Ooooh putain ! Décidément, j'adore ça, sucer des mecs ! J'ai probablement autant de plaisir qu'eux à leur tailler une pipe ! Et c'est encore meilleur de le faire quand d'autres mecs me regardent. Je vais et je viens sur sa bite de plus en plus raide. Et soudain, il prend mon visage dans ses mains, très délicatement, et il me repousse pour se dégager:
- Ah … arrête … s'il te plaît … arrête … je vais …
Je serais bien allé jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma gorge, mais je ne veux pas le brusquer. Je sors sa bite en érection de ma bouche:
- Comme tu veux … mais ça me plaisait … dommage …
Il regarde autour de nous, honteux … les quelques autres qui continuaient de regarder ont des mimiques approbatrices, l'un d'entre eux lève son poing serré, pouce levé, un autre applaudit discrètement. Ça semble le rasséréner. Tandis qu'il "rhabille" maladroitement son gland dans son prépuce, je me relève.
En me rasseyant, je vois Jean-Claude, qui s'était sans doute tourné sur sa chaise pour contempler le spectacle, reprendre précipitamment sa place à table. Je n'y prête pas plus attention que cela, jusqu'à ce que mon regard, irrésistiblement aimanté par son bas ventre, tombe sur sa queue … dressée à la verticale … raide … les veines saillantes … le gland gonflé … le méat humide … Le début de pipe que je viens de tailler à son copain l'a excité. Ooh, Jean-Claude, quelle bite ! C'est plus fort que moi, je tends la main vers cette merveille, et:
- Ooooh, Jean-Claude, ta biiite ! Tu bandes … Je peux ?
Il repousse ma main:
- Non … laisse !
- S'il te plaît … laisse-moi te sucer aussi …
- Non !
Je minaude, je me fais chatte, le poignet sur son épaule, je lui caresse la joue:
- Allez, Jean-Claude, s'il te plaît … laisse-moi te sucer un peu …
- NON !
- Ils m'ont tous baisé … et ils vont recommencer … ton pote Alexis aussi, il va me baiser … tu vas être le seul qui me sera pas rentré dedans … allez, s'il te plaît … je te suce rien qu'un peu …
- NON ! Arrête, ou je me barre …
Il fait mine de se lever. J'avais cru qu'il jouait, mais je réalise qu'il est vraiment en pétard. Toujours la présence de témoins ? Pas la peine d'insister, il ne ferait que se braquer davantage. Je m'écarte en poussant un long soupir de déception. Je me rends compte que ça a jeté un froid, au moins parmi ceux qui sont directement autour de nous. C'est le gros poussah, celui qui m'a écrasé sous son poids ce matin, qui détend l'atmosphère:
- T'inquiète, si tu veux encore sucer de la bite, tu vas en sucer de la bite … à commencer par la mienne …
Philippe enchaîne:
- Tu … tu en as sucé combien, depuis ce matin ?
- Bah ! Aucune idée … six ou sept … J'ai pas compté …
- Seulement ? Bon, attends …
Il se lève et lance à la cantonade:
- Qui s'est fait sucer par Marin, ce matin ?
Des mains se lèvent.
- Quatre … six … huit … neuf … onze … douze … quatorze …
Il se rassoit:
- Tu vois ? Quatorze. Tu en as sucé quatorze !
- Oh non, pas tant que ça …
- Ben si, ils ont levé la main …
Une voix s'élève, au bout de la rangée de tables:
- Moi, il m'a sucé ET ... il a même avalé , c'te salope !
Eclats de rire. Je me penche pour voir de qui il s'agit. Je le reconnais, c'est le tatoué … pas la brute, l'autre, celui qui a une paire d'ailes tatouée sur le bas-ventre. Une autre voix:
- Ouais, moi pareil … moi aussi, il a avalé ! Et j'ai la preuve !
Ça, c'est le type au smartphone, celui qui m'a filmé pendant que je le suçais … D'ailleurs, il brandit fièrement son appareil. Philippe se relève:
- Bon, alors … qui s'est fait sucer … et lui a … éjaculé dans la bouche ? Alors … deux … cinq … sept … huit … C'est tout ? Ouais. Bon, tu en as sucé quatorze en tout, et seulement huit t'ont éjaculé dans la bouche… enfin … "seulement" … c'est déjà pas mal …
- Moi, il m'a sucé, mais je me suis retenu … et après, je l'ai baisé …
C'est Hamid, assis en face de moi, un peu sur ma gauche.
- Pareil ! Il a commencé en me taillant une turlute … mais je lui ai pas juté dans la gueule … mais après, je lui en ai foutue une bonne pétée dans le cul !
Ça, c'est le gros poussah ! Philippe se lève de nouveau:
- Bon, alors, écoutez, les mecs … Hé ! Ecoutez ! Maintenant, on va compter ceux qui l'ont baisé … mais baisé à fond, hein … ceux qui lui ont éjaculé … éjaculé dans le cul … hein, compris ? Alors … six … neuf … onze … quatorze … Oh, la vache ! Seize … dix-neuf … vingt-deux … Putain ! Vingt-cinq … et moi aussi, vingt-six ! Oh putain, mec … tu t'es fait … tu t'es fait baiser vingt-six fois !
Déchaînement de cris, de sifflets, de rires, d'applaudissements !
Pendant que les commentaires vont bon train autour des tables, Philippe se rassoit et me dévisage:
- Putain, tu t'es déjà fait baiser vingt-six fois, ce matin ! Baiser et … et …
Il ne trouve pas le mot. Je lui souffle:
- … baiser ET féconder …
- Ouais, c'est ça, baiser ET féconder !
- Ben oui … c'était le but … Pendant que tu comptais, tu as pu voir ? Tout le monde m'a baisé ?
- Euh, non, je sais pas … On est combien, en tout ? Attends …
Il se lève pour la troisième fois:
- … quatre … six … dix … seize … vingt … vingt-quatre … vingt-six, vingt-sept, et avec moi vingt-huit … et … Alexis … vingt-neuf. Ouais, si tout le monde est là, on est vingt-neuf … donc … non, sur les vingt-neuf, on est que vingt-six à t'avoir … Il y en a trois qui t'ont pas baisé … Jean-Claude … Alexis … Alexis pas encore, mais … et puis, il y en a un autre qui t'a pas …
Haussant le ton, il enchaîne:
- Qui est-ce qui a pas baisé Marin, aujourd'hui ? Enfin, qui lui a pas … éjaculé dans le cul …
- Moi ! Je l'ai baisé, mais j'avais mis une capote …
Le petit blondinet bien monté ... c'est vrai. Philippe se rassoit:
- Ben voilà … le compte est bon … La vache ! Non, mais, tu te rends compte ? Y'a des putes qui se font pas autant de mecs dans une journée ! Putain, si tu voulais, avec ton cul, tu pourrais te faire du fric ...
Il lève sa flûte de Champagne et la tend vers moi:
- Alors, à toi ! A toi et à ton … à ton cul !
D'autres lèvent leur flûte ou leur verre:
- A ton cul !
- A ton cul !
- A ton cul !
- A ton cul de salope !
- Ah ouais ! Quelle salope !
J'attends que le toast se termine et je demande:
- Moi, je voudrais savoir ... parmi vous, lesquels sont mariés, ou en couple ... avec une femme ou avec un homme ...
Moment de gêne autour de moi. Philippe hésite une seconde, puis:
- Moi, je suis marié ...
- Qu'est-ce qu'il veut ?
- Il veut savoir qui est marié, ou en couple ...
- Moi ...
- Moi ...
- Moi aussi ...
Philippe se lève à nouveau:
- Qui est marié ou en couple ? Levez la main ... six ... huit ... douze ... quinze ... dix-sept ... dix-neuf ... vingt ... ving-trois ... avec une femme ou avec un mec ? Qui avec un mec ? Personne ? Voilà ... vingt-trois ...
Il se rassoit:
- Pourquoi tu veux savoir ça ?
- Comme ça ...
Et les conversations et les agapes reprennent tout autour des tables. Je n'en saisis que quelques bribes, mais il est beaucoup question de cul … du mien, mais pas seulement … c'est le déballage général de leurs souvenirs de baise. Très bien, ça va les entretenir dans l'ambiance et, j'espère, leur donner des idées … A côté de moi, Alexis paraît détendu et je sens que, tout en écoutant les discussions, et en mangeant, il ne me quitte pas des yeux.
Philippe, s'adressant à moi:
- Ça va ?
- Très bien …
- T'as pas … t'as pas mal ? Je veux dire … après toutes ces … t'as pas mal au cul ?
- Après toutes ces queues, tu veux dire ? Non … je n'ai pas mal, mais il était devenu … super sensible. C'est très agréable. Et puis, tu sais, mon cul en a vu d'autres …
- Des queues ?
- Des queues … des godes … des jouets de toutes sortes … et du gros …
- Oui, mais là, c'est le … le nombre ! T'avais jamais … t'avais jamais eu … autant de mecs …
- Non.
- Tu m'as dit huit mecs, une fois …
- Oui. Et trois autres, avant ces huit …
- Ouais, trois, une rigolade … pour toi …
- Oui, mais c'était les premiers à … à me prendre en même temps …
- Raconte …
Alors, tout en mangeant et en buvant, je raconte …
à suivre ...