Lundi 4 mars 2019 1 04 /03 /Mars /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Dimanche 17 décembre. 9h20


Il fait vraiment frais sur cette plage. J'ai commencé ma balade depuis une vingtaine de minutes. Je porte la tenue que je me suis achetée hier: mini robe moulante, collant épais ouvert à l'entrejambe, guêtres en laine et ballerines … et en haut, une doudoune matelassée avec capuche bordée de fausse fourrure … une grande écharpe pour dissimuler mon visage en cas de rencontre … et dans une poche de ma doudoune, un micro string … ah oui, quelques capotes aussi … au cas où …


Le froid s'insinue jusque sous ma robe et me caresse les fesses … cette robe est déjà très courte, mais au fur et à mesure de ma balade, elle a glissé sur le collant et elle est remontée jusqu'à mes aines … et pour finir, comme le froid sur mon gland et mes couilles me fait bander, ma bite a fini par soulever le bas de la robe … j'adore ça … je me sens bien … 


Quand j'ai passé ces vêtements, ce matin, avant de me mettre en route, l'image de moi que m'a renvoyé le miroir de la salle d'eau m'a surpris … surpris et ravi … ces vêtements me font une allure, une ligne très … féminines … et une silhouette très jeune … alors là, sur cette plage, quand j'ai commencé ma balade, je me suis senti … FILLE ! C'est paradoxal, parce que, en même temps, avec le froid qui me picote un peu le prépuce, j'ai une conscience aiguë de mon sexe … 


Voilà … je me sens bien … je me sens FILLE … et j'ai une bite !


Alors tout ça … ces sensations physiques, ces impressions ... ça a fait remonter plein de choses … en particulier, allez savoir pourquoi, ma toute première expérience avec un mec … un copain … enfin, quand je dis "un mec" … à l'époque, il n'était encore qu'un grand ado … dix sept ans à tout casser … peut-être seulement seize, je ne me souviens plus … ce dont je suis sûr, c'est que j'avais quatre ans de moins que lui … douze ou treize ans, donc … Sous prétexte d'un jeu qui n'était déjà plus de notre âge, il m'avait mis sa bite sous le nez … Oh, j'avais tout de suite plus ou moins deviné où il voulait en venir … il devait vouloir que je le suce … mais j'avais quand même décidé de lui donner satisfaction, trop heureux de prendre son sexe dans ma bouche … et en plus, ému et fier qu'il m'ait choisi, moi, pour assouvir son envie. 

 

Je me souviens avoir pris son sexe dans ma bouche … directement ... et, dans un même mouvement, avoir pris ses couilles dans ma main … Quelle émotion et quelle sensation ! J'avais, pour la première fois de ma vie, le sexe d'un garçon dans ma bouche ! Une découverte bouleversante ! Le sexe de mon copain ! Mon copain, qui voulait que je le suce … mon copain qui voulait que je lui donne du plaisir avec mes lèvres, avec ma langue … Et quel plaisir pour moi ! Ce cylindre de chair … si doux … si tiède dans ma bouche … si vivant, aussi … Tout de suite, j'avais su que je le sucerais jusqu'au bout … je savais que j'allais lui donner tout le plaisir qu'il attendait de cette fellation … je savais que j'allais le faire jouir, le faire éjaculer, et je savais que je le laisserais éjaculer dans ma bouche … j'y étais prêt, j'en avais envie … Et à l'époque, le SIDA n'avait pas encore commencé ses ravages !

 

Sa main sur ma nuque ! Ça, c'était inattendu … je n'avais pas imaginé qu'il ferait ça, et ça m'avait fait un tel effet ! De la part de mon copain, ce geste instinctif était simplement destiné à m'inciter à le sucer, mais tout de suite, il prit pour moi une autre signification … je le ressentis tout à la fois comme un geste de domination, un geste de possession, un geste de gratitude et un geste de tendresse … étrangement, ça me plaisait beaucoup de me soumettre à son désir, d'être en quelque sorte sa chose ... docile, soumise ... et de sentir qu'il m'était reconnaissant de lui donner du plaisir … ça me plaisait et j'en ressentais de la fierté … c'est moi qu'il avait choisi pour lui tailler une pipe !


A posteriori, je pense que l'empreinte de sa main est restée à jamais inscrite sur ma nuque. Quand, plusieurs décennies plus tard, j'ai repris le sexe d'un homme dans ma bouche, j'ai eu envie de sentir à nouveau des doigts m'enserrer le cou.


Mais voilà, dérangés en pleine action, ce jour là, nous n'étions pas allés jusqu'au bout … nous avions dû sortir précipitamment de la maisonnette où nous étions, rouges, échevelés et honteux … et puis, justement à cause de la honte, de notre éducation et de la société d'alors, nous nous étions quittés et nous nous étions perdus de vue … 

 

 

Je sais bien que si ça s'était su, si quelqu'un avait appris ce qui s'était passé, c'est surtout lui qui aurait eu des ennuis … compte tenu de nos âges respectifs, on aurait considéré qu'étant mon aîné, il avait usé de son ascendant sur moi, abusé de ma candeur, on aurait pensé qu'il m'avait forcé, on aurait parlé de viol … pfffff, pas du tout … si je lui avais sucé la bite, ça n'était pas en raison d'un ascendant qu'il aurait eu sur moi ou parce qu'il m'aurait forcé … non, c'est en tout connaissance de cause et tout à fait volontairement que j'avais plongé sous ce drap et pris sa bite dans ma bouche … j'étais consentant et je savais très bien ce que je faisais … je lui avais sucé la bite parce que j'avais envie de lui sucer la bite … 


C'était donc ma toute première expérience avec un mec, et dès cette époque, s'étaient immédiatement manifestés mon goût pour la bite et mon envie de me mettre sexuellement à la disposition d'un mâle … Ce jour là, c'était ce copain là, mais je sais très bien que si ça avait été un autre copain ou n'importe quel mec qui m'avait demandé de le sucer, je l'aurais fait aussi. J'avais éprouvé une véritable ivresse à me montrer comme ça, totalement docile, totalement soumis aux pulsions sexuelles de ce copain … j'avais donc commencé à lui sucer la bite, bien décidé à lui donner tout le plaisir qu'il attendait de moi, bien décidé à lui procurer la jouissance avec mes lèvres et avec ma langue, bien décidé à le faire éjaculer dans ma bouche, et même, bien décidé à avaler sa semence. 


Pour moi, ça allait même au-delà de l'excitation, au-delà du plaisir de la soumission à ce mec … je me sentais HONORÉ ! J'étais sûr qu'il était puceau, comme moi … j'étais sûr que personne n'avait jamais touché son sexe avant moi … que personne ne l'avait caressé, ne l'avait masturbé, et, à plus forte raison, ne lui avait sucé la bite … Et c'était À MOI qu'il faisait l'honneur de le dépuceler, À MOI qu'il confiait la toute première introduction de son sexe dans quelqu'un, À MOI que, pour la première fois, il avait l'intention de confier sa semence ! Alors oui, je m'étais senti HONORÉ … HONORÉ qu'il m'ait fait confiance, HONORÉ qu'il m'ait jugé digne de prendre son sexe dans ma bouche, HONORÉ que ce soit moi qu'il ait choisi pour éjaculer dans quelqu'un pour la première fois … j'espérais me montrer à la hauteur, j'espérais ne pas le décevoir, j'espérais qu'il garderait un souvenir impérissable de cette première fois  …


Ça me plaisait aussi beaucoup de sentir qu'il m'était reconnaissant de lui donner ce plaisir là … ça me plaisait et j'en ressentais de la fierté … c'est MOI qu'il avait choisi pour son premier rapport sexuel ! D'une certaine manière, ce jour là, grâce à mon copain, confusément, je m'étais déjà senti FILLE … pour moi, à l'époque, ce qu'il me faisait faire, "normalement", c'était les filles qui faisaient ça aux garçons … donc, si c'est à moi qu'il faisait sucer sa bite, c'est sans doute parce qu'il me considérait un peu comme une fille … en principe, avec mon orgueil de petit mec, j'aurais dû m'en offusquer, être vexé …  et bien, au contraire … oui, s'il me voyait comme une fille, alors, pour lui, je serais une fille … une fille docile, une fille soumise … déjà une "fille facile" … une suceuse de bite …

 

 

Malheureusement, interrompus par les appels d'une adulte, nous n'étions pas allés jusqu'au bout et nous nous étions quittés, frustrés et honteux au point de ne plus nous voir pendant de longs mois.  


Et il avait fini par reprendre contact ... lui était maintenant un jeune adulte tout juste majeur et j'étais encore un grand adolescent… je devais avoir dix-sept ans et lui vingt et un … je me rappelle parfaitement cette froide journée d'hiver où, pour renouer, il m'avait proposé de l'accompagner au club de voile où il apprenait à naviguer … c'était sur la Marne, assez loin dans la campagne, plus d'une heure de route … c'est évidemment lui qui conduisait et nous restions silencieux, ne sachant ni l'un ni l'autre de quoi parler … en fait, je pensais à ce jour où j'avais commencé à lui sucer la bite … et je crois que lui aussi y pensait, mais je ne savais pas si il avait envie de recommencer ou si il regrettait que nous nous soyons laissés aller, quelques années plus tôt … moi, dans cette voiture, à côté de lui, j'avais une folle envie me pencher sur son ventre, d'ouvrir sa braguette, de sortir son sexe et de le prendre encore dans ma bouche … retrouver le plaisir de sentir sa verge, douce et chaude, sur ma langue … et cette fois, je lui donnerais du plaisir jusqu'au bout, je le ferais jouir et éjaculer dans ma bouche … mais voilà, je n'osais pas le lui dire, j'avais peur qu'il soit passé à autre chose et qu'il me jette … Quoi qu'il en soit, cette fois, il ne m'a rien demandé, ou il n'a pas osé non plus … quand nous sommes arrivés à son club de voile, il était fermé … ben oui, il ne fonctionnait que l'été … je me suis demandé si son invitation n'était pas seulement un prétexte … mais le charme était rompu … nous sommes rentrés … et nous avons commencé nos vies de mecs … de mecs à filles, je veux dire …


Quelques années ont passé ... lui et moi, nous nous fréquentions avec nos compagnes respectives … j'étais en ménage avec Christine et lui avec Christiane … je faisais comme si notre relation homosexuelle avortée était définitivement rangée au rayon des événements à oublier … et puis un jour, j'avais proposé à Christine, ma femme, que nous la baisions ensemble, mon copain et moi … faire une partouze à quatre avec ma femme, la sienne et lui, ça ne m'intéressait pas, mais l'idée de partager Christine avec lui m'excitait beaucoup … être tous les deux DANS Christine, un dans sa chatte et l'autre dans sa bouche … et surtout, le regarder, lui, la baiser … le regarder enfoncer son sexe au fond du vagin de ma femme … le regarder prendre du plaisir en elle … le regarder donner du plaisir à ma femme … les regarder tous les deux, tête bêche, dans un 69 torride, elle lui suçant goulûment la bite pendant qu'il lui fourrerait sa langue dans la chatte … enfin, le voir jouir et éjaculer en elle, au fond de son ventre ou dans sa gorge … lui offrir ma femme comme moi je m'étais donné à lui quelques années auparavant ... mais en fait, sans me l'avouer vraiment, ce qui me motivait, ce n'était pas seulement de lui offrir ma femme à baiser, c'était aussi de me retrouver au lit avec eux deux, et surtout avec lui … Christine, en fait, n'était qu'un moyen de l'attirer dans mon lit… et au fond, j'espérais bien que, dans le feu de l'action, nous ne nous limiterions pas à la baiser, elle, mais que nous en viendrions à nous toucher mutuellement, lui et moi, à nous caresser, à nous masturber réciproquement, à nous sucer, à nous enculer … mais ça n'est pas arrivé … à cette époque, Christine n'était pas prête à ça …


Parmi les signaux qui auraient dû me faire comprendre l'attraction que mon cul exerçait alors sur les mâles, il y avait aussi eu cet épisode apparemment anodin, sur les quais de Seine, un jour où, avec Christine et sa cousine, nous explorions les trésors d'un bouquiniste … à cette époque – nous avions une vingtaine d'années -, nous portions tous les trois des jeans très ajustés, très moulants – ce n'était pas le tissu stretch d'aujourd'hui, mais une toile épaisse et raide - les culs des deux filles étaient vraiment magnifiques, bandants à souhait, et dans la rue, ils attiraient les regards, les sifflets et les remarques graveleuses des mecs … en ce temps là, on était loin de "balance ton porc" et de "me too", et les deux filles appréciaient beaucoup ces démonstrations d'admiration et de désir brut de la part des mâles … moi, de mon côté, je n'étais pas peu fier de me balader avec deux filles aux culs aussi bandants, sur lesquels tous les mâles se retournaient … Bref. Quelle ne fut pas ma surprise – et celle de mes deux copines – quand c'est à moi, et non à elles, qu'un type, en passant derrière nous et profitant que nous lui tournions le dos, plongés dans le coffre du bouquiniste, qu'un type, donc, me mit sa main au cul ! Oui, bien que mon physique, même de dos, ne laisse aucun doute sur le fait que j'étais bel et bien un mec, c'est mon cul qui avait excité cet individu, plutôt que les deux superbes croupes féminines qui l'encadraient ! Sur le coup, j'avais été vexé, virilité oblige … et d'autant plus vexé que Christine et sa cousine, dépitées d'avoir été ainsi négligées par cet individu s'étaient bien foutu de moi. Toutefois, au fond de moi, une petite voix avait fini par me souffler de drôles de choses … des choses troublantes … comme un certain plaisir, comme une certaine fierté … des choses que j'avais soigneusement gardées pour moi …


Oui, si à vingt ans j'avais réalisé l'attrait que je pouvais exercer sur les mecs, si j'avais pu me libérer de mes préjugés de l'époque et franchir le pas comme je l'ai fait il y a seulement quelques mois … oh la la … sans morale et sans peur comme je le suis devenu, "fille facile" comme je le suis devenu, à vingt ans, je pense que j'aurais été une véritable … une véritable nymphomane, une Marie-couche-toi-là, une paillasse … j'aurais passé ma vie sur le dos ou à quatre pattes avec les cuisses écartées et le cul offert … et ce n'est pas par dizaines … et peut-être même pas par centaines, que des mecs m'auraient alors baisé, mais pourquoi pas par milliers ! Jour après jour, mois après mois, année après année, je me serais fait passer dessus par tous ceux qui auraient eu besoin ou envie de se vider les couilles ! Viande à bites en libre-service … ça aurait été vertigineux !


Les bites ! D'ailleurs, c'est vrai … une bite, j'en ai une … et en fait, j'en suis très heureux ! A ce jeu des "si" … "si j'avais fait ci", "si j'avais fait ça", "si j'avais osé" … jamais je ne me suis dit "et si je n'avais pas une bite", "si j'avais été une vraie fille". Non … me faire baiser en tant que mec, et même en tant que tafiolle, ça me va très bien … d'une certaine manière, c'est même un certain motif de fierté … me dire que j'attire les mâles autant, et peut-être plus, que si j'étais une vraie femelle …  et me dire que je les attire plus que certaines vraies femelles, pour moi, c'est très gratifiant … Cela dit, je dois reconnaître que, d'un certain point de vue, j'envie quand même les vraies femelles … elles sont dotées de trois orifices qui leur permettent d'accueillir simultanément trois sexes de mâles. Avoir trois bites en moi … trois sexes, raides de désir, qui prennent du plaisir dans la soyeuse tiédeur de mes chairs … trois sexes qui finissent par larguer leurs charges de semence au fond de moi … putain, quel fantasme ! 


Mais d'un autre côté, j'aime tellement que le type qui s'apprête à me posséder, le fasse en sachant que c'est bien un mec qu'il va baiser. C'est en partie pour ça que j'aime tellement me faire prendre en levrette à quatre pattes ou étendu sur le dos sur une table, cuisses grandes ouvertes … ma bite et mes couilles sont alors bien en évidence, et c'est sans ambiguïté un mec, un garçon, une tapette, que cet amant de l'instant va saillir … Et puis j'aime aussi beaucoup les jouissances que me procure ma propre bite … la masturbation, l'éjaculation … et même, simplement l'érection … et aussi sentir ma queue et mes couilles ballotter sous moi quand un mec me secoue à grands coups de reins … Le rêve, finalement, ce serait d'être hermaphrodite, un être mi-femme mi-homme, doté à la fois d'un vagin, d'un clitoris, et d'un appareil génital masculin en état de marche …


Pour le moment, sur cette plage, c'est entre mes cuisses que ma queue ballotte … perdu dans mes pensées, sans vraiment m'en rendre compte, j'ai adopté un rythme de marche assez rapide … j'ai parcouru près de la moitié de la plage … j'ai arrêté de me tripoter, mais je suis toujours en érection … la marche m'a réchauffé, et sous ma robe, je sens d'autant mieux le froid là où mon collant est ouvert … le haut de mes cuisses et mes fesses … petit à petit, sous l'effet de la marche, le bas de ma robe est encore remonté … il est maintenant arrivé au dessus de mes aines, et j'ai maintenant la bite et les couilles carrément à l'air … délicieuse sensation … je pense même que le haut de mes cuisses et mes fesses, non couverts par mon collant, sont déjà plus ou moins visibles … mais il n'y a toujours que moi sur cette plage … je pourrais tirer sur ma robe pour la faire redescendre, mais je vais la laisser comme ça … Putain, ce que j'aimerais pouvoir circuler comme ça partout … en ville, en faisant mes courses … partout … 


D'un seul coup, à une cinquantaine de mètres, sur le petit cordon de sable et de galets qui borde la plage, un couple surgit.  Ils sont tous les deux emmitouflés, mais, à leur allure, je leur donne quarante-cinq ou cinquante ans. Les voilà sur la plage … bras dessus, bras dessous, ils viennent dans ma direction … alors, par réflexe, je tire sur le bas de ma robe et je la redescends à mi cuisses … Je pense qu'ils n'ont pas remarqué mon geste … mais je continue de bander et ma bite fait maintenant une grosse bosse sous la toile de la robe … vu la trajectoire du couple et la mienne, nous allons nous croiser à quelques mètres de distance et ils ne pourront pas manquer de repérer ma bite qui tend le tissu. En d'autres circonstances, je serais resté comme ça, histoire de voir comment ces gens-là réagiraient, mais là, je ne sais pas pourquoi, me voilà pris d'une espèce de panique … et je n'ai rien pour dissimuler cette érection … ma doudoune est trop courte … ah si, mon cache-nez … il est peut-être assez long pour que je le laisse pendre jusque devant ma bite … rapidement, je l'enlève d'autour de mon cou et, gardant une extrémité plaquée devant ma bouche comme pour me protéger du froid, je laisse l'autre bout pendre devant mon ventre … oui, ça va, il descend suffisamment bas … ça va peut-être leur paraître bizarre, à ces gens, que je laisse pendre mon écharpe comme ça, mais je n'ai pas le choix … Voilà … ils ne sont plus qu'à dix mètres … sept mètres … cinq … trois …


Ouais, c'est ça … ils ont la cinquantaine … ils me regardent avec insistance … ma présence ici, si tôt un dimanche matin et en cette saison, doit les intriguer … 


- Bonjour …

- Bonjour …


Ils m'ont souri au moment où on s'est croisés … ils sont à peine à quelques mètres derrière moi, quand j'entends " T'as vu ? Qu'est-ce qu'elle est grande, cette fille ! ". J'ai même perçu une intonation d'admiration. Ouaaaaaaahhh ! Putain, ils me prennent vraiment pour une fille ! J'en ai le cœur qui bat. J'adore ! Alors, ça me confirme ma propre impression … je n'étais pas vraiment sûr, je me disais que j'étais subjectif … 


Je m'arrête et je me retourne. Ils ont fait pareil. Ils se sont arrêtés, ils se sont retournés … et ils me regardent … sans aucune gêne ! Instantanément, me voilà parti dans des délires ... j'ai brusquement envie de les rejoindre et de leur montrer ce que c'est, en réalité, cette fille … oui, ce couple, c'est peut-être … c'est peut-être un couple libertin … peut-être que … peut-être que si je leur propose de tailler un pipe à l'homme … Et puis la femme me fait un petit signe de la main et elle repart, entraînant son compagnon. Je les entends qui parlent, mais, à cette distance, je ne saisis pas ce qu'ils disent … Non, je ne vais pas faire ça … autant ça m'est arrivé d'y aller franchement avec certains mecs, autant, ce matin, je manque d'assurance … comme hier soir, à Pors-an-Enez, où je n'ai pas osé aborder les mecs dans ce café … l'autre connard de gendarme, si j'ai osé, c'est parce que je me disais qu'il était peut-être demandeur … mais là … je me contente de faire un peu glisser ma robe vers le haut, et je redémarre … Pendant ma rencontre avec ce couple, j'ai légèrement débandé, mais, la bite de nouveau exposée à l'air froid, ça ne tarde pas à revenir


Rapidement, je suis au bout de la plage … faire demi-tour ou m'engager sur le sentier côtier ? 


Allez, le sentier … il grimpe sur la pointe rocheuse qui limite la plage de ce côté.


Je ne tarde pas à regretter. C'est sûrement très agréable de se balader ici avec des chaussures de randonnée, mais pas avec mes ballerines … elles ne me tiennent évidemment pas la cheville, et sur ce chemin plein de trous, de bosses et de cailloux qui dépassent, je dois me concentrer sur chaque pas … de plus, la semelle de mes ballerines est lisse et, par endroits, je glisse … soit je vais me casser la gueule, soit je vais me faire une entorse … si je me blesse, j'imagine la tête des pompiers ou du médecin quand ils vont me prendre en charge … tant bien que mal, je progresse quand même et je finis par découvrir, au-delà de la pointe rocheuse, une large crique bordée d'une petite plage … plus loin, le sentier n'a pas l'air d'être en meilleur état … et au moment où je me décide à faire demi-tour, je découvre un autre sentier qui monte sur la droite … et là-haut, par-dessus une haie, on distingue les ardoises d'un toit … si il y a une maison, il doit y avoir une route d'accès sans doute plus praticable … je m'engage sur l'étroit sentier … putain, ce que la pente est raide !


En effet, c'est une maison isolée desservie par un simple chemin de terre gravillonné Ça doit être une résidence secondaire. Et elle semble inoccupée: les volets sont fermés, une chaîne avec cadenas enserre les deux battants du portail en PVC et de hautes herbes envahissent l'allée qui conduit à la porte du garage. Et si je …


Je jette un coup d'œil autour de moi …  pas d'autre maison aux alentours, pas âme qui vive à l'horizon … je m'approche du portail … il n'est pas très haut, à peine quatre vingt centimètres … j'entreprends de l'enjamber … et alors que je me trouve avec une jambe de chaque côté de cette barrière, ma bite effleure la traverse supérieure, couverte de rosée … hhhmmmmm … c'est froid, c'est mouillé … j'adore ! Alors, plutôt que de finir d'entrer dans cette propriété, je reste là, à cheval sur ce portail, et je commence à me frotter la bite, les couilles et la raie du cul sur le PVC froid et humide … c'est le genre de chose que je faisais régulièrement, avant … avant que toute ma sexualité soit entièrement vouée aux mecs … j'adorais m'adonner à ce genre de pratique solitaire. Je me frotte comme ça pendant quelques minutes, et je finis d'entrer dans la propriété, la bite raide.


Je contourne la maison et me voilà sur l'arrière. Il y a une grande terrasse surplombant la pente du coteau que je viens d'escalader par le chemin, de l'autre côté de la haie … ça fait comme un belvédère donnant sur la crique que j'ai aperçue depuis le sentier côtier… du côté qui donne sur la pente, la terrasse est bordée par un garde-corps … une double rangée de câble métallique supportée par des piliers en acier inox. Quelle vue on a d'ici ! La baie, la crique, la plage et plus loin la côte rocheuse avec des falaises … pas une maison, pas une route … seulement une lande de fougères, de ronces et d'ajoncs parsemée de bosquets de pins … la nature sauvage … la nature seulement perturbée par le sentier côtier que je parcourais tout à l'heure et que je devine zigzaguant au sommet de la falaise. 


Il m'est souvent arrivé de m'introduire clandestinement dans ce genre d'endroit pour des séances de shooting de photos "hot". C'est con, j'aurais dû emmener mon appareil photos et son trépied quand je suis parti de Seine-et-Marne, l'autre jour. Mais je n'étais pas dans de telles dispositions d'esprit, à ce moment là. 


De ce côté de la maison, les volets de deux fenêtres et d'une grande porte-fenêtre sont aussi fermés. Rangé contre le mur, sous une des fenêtres, un salon de jardin … une table et quelques chaises empilées, emboîtées les unes dans les autres. A défaut de faire des photos, j'ai bien envie de … Je dégage une des chaises et je l'amène à proximité du garde-corps. Je m'assieds face à la crique et je pose mes chevilles sur le filin d'acier du bas … la robe retroussée sur mon ventre et les cuisses écartées, je commence à me tripoter la bite … j'ai légèrement débandé, mais ça revient assez vite … hhhmmm, ça me plaît beaucoup de me masturber ici, dans cette fraîcheur matinale, face à la mer, face à la nature, devant ce spectacle grandiose … 


Et puis un mouvement attire mon attention … c'est pile entre mes genoux ... mais loin là-bas, au bout de la pointe rocheuse qui borde la crique, une tête apparaît … à cette distance … ah non … deux têtes … à cette distance, je ne vois pas s'il s'agit d'hommes ou de femmes, de vieux ou de jeunes … ces deux … "personnes" cheminent lentement dans ma direction sur le sentier côtier. Je ne sais pas d'où elles arrivent, mais elles sont aussi matinales que moi. Je ne pense pas que, de leur côté, elles me voient … elle voient sans doute la maison derrière moi, oui, puisqu'elle domine la crique, mais moi, je suis encore trop loin … si elles continuent de suivre le sentier, je vais les voir de mieux en mieux et, pour peu qu'elles lèvent les yeux vers cette terrasse, elles vont sans doute finir par me voir aussi …


Putain, c'est excitant ! Dans l'alignement de ma main droite, qui s'active sur ma bite, ces randonneurs qui approchent … Hé, les gens, regardez ! Levez les yeux ! Vous verrez une salope en train de se branler, avec les cuisses grandes ouvertes … Oh la la, ça m'excite ! Tout en me masturbant de la main droite, je me pétris doucement les couilles de la main gauche … je suis tellement excité que je suis rapidement au bord de l'éjaculation … je suis obligé de ralentir un peu … les gens, là, j'ai envie de les laisser approcher encore, avant de lâcher ma crème … 


- MAIS !!! QU'EST-CE QUE VOUS FAITES LÀ ?


Ça a éclaté derrière moi, immédiatement suivi d'un claquement sec ! Je descends précipitamment mes pieds du garde-corps, je rabats ma robe sur mes cuisses, et je tourne la tête … Il y a un type dans l'encadrement de la porte-fenêtre ! Et le claquement qui a suivi sa question, c'est celui du volet qu'il vient de flanquer contre le mur en l'ouvrant … Je me lève brusquement, envoyant valser la chaise sur laquelle j'étais assis … j'ai le cœur qui bat la chamade … Le type paraît aussi surpris que moi … la grosse quarantaine, pas très grand, cheveux courts poivre et sel, il porte une espèce de coupe-vent rouge … la main sur le deuxième volet à moitié ouvert, il ne sait pas quoi faire … je crois qu'il a un peu peur … il a été surpris, et maintenant que je suis debout, il doit se rendre compte que je fais une bonne tête de plus que lui et que, en dépit de mon apparence féminine, j'ai l'air d'être costaud … enfin … costaude.


- Hein ? Qu'est-ce que vous faites là ?


Je ne prends pas la peine de lui répondre … pour lui dire quoi, d'ailleurs … que j'étais en train de me branler ? Je fonce en direction du côté de la maison …


- Héééé ! Attendez !


Le petit portail est maintenant ouvert, et une voiture est garée devant, une vieille 205 blanche, pleine de taches de rouille … c'est donc que ce type n'était pas encore dans la maison quand je suis entré ... c'est ce que j'ai cru, tout d'abord ... mais il vient seulement d'arriver et je n'ai pas entendu le bruit de son moteur … je m'empresse de sortir du jardin … j'hésite … je repars par où je suis arrivé et je regagne le sentier côtier, ou je m'engage sur le chemin de terre qui dessert cette maison ? Allez, le chemin de terre … il est mieux entretenu, et pour courir si ça s'avérait nécessaire, c'est préférable. Je ralentis un peu … apparemment, le type ne m'a pas suivi. Ouuuufff, ça va mieux ! Il m'a fait peur ce con !


Le chemin descend plus ou moins en direction de l'extrémité de la grande plage où j'ai marché tout à l'heure. Il doit bien aboutir à une route goudronnée. De temps en temps, je jette un coup d'œil derrière moi, pour vérifier que le type ne me suit pas, mais avec les virages que fait ce chemin et les bouquets de prunelliers et d'ajoncs qui le bordent, je ne vois plus ni la maison ni la haie qui l'entoure. Finalement, maintenant, ça me fait plutôt marrer de m'être fait surprendre comme ça … Ça doit être le propriétaire qui arrivait pour les vacances de fin d'année. 


Ça fait trois ou quatre minutes que je marche quand j'entends, derrière moi, le crissements de pneus sur les graviers du chemin .. je me retourne … c'est la 205 du type … je jette un coup d'œil autour de moi … le chemin est bordé par des haies de pruneliers et de ronces, pas moyen de m'échapper … et puis, de toute façon, il m'a vu … alors je continue … Qu'est-ce qu'il peut faire ? Je n'ai rien cassé, je n'ai rien volé … il m'a surpris chez lui, c'est tout … il ne va pas appeler les flics pour ça. J'entends sa voiture qui approche au ralenti … il a l'intention de … je sais pas quoi … en tout cas, pas de me dépasser et de s'en aller … il a ralenti et il roule doucement derrière moi … il va bientôt me rattraper … je marche sur le côté gauche du chemin, à la limite de la bande gravillonnée et du bas-côté herbeux.


Voilà, il est à côté de moi … il roule à gauche sur chemin pour être le plus près de moi qu'il peut … j'ai enroulé mon écharpe autour de mon cou et caché mon visage … je jette un coup d'œil vers lui … il a baissé sa vitre …


- Attendez, mademoiselle … je vous veux pas de mal … j'ai été surpris, c'est tout … c'est normal, hein … je viens ouvrir la maison avant l'arrivée des propriétaires et je vous trouve là … j'ai bien vu … vous faisiez rien de mal …

- …


Ah oui, c'est pas le propriétaire. Ça doit être un voisin qui a les clefs. Ça change rien. Je continue de marcher … il roule tellement près de moi que je suis obligé de monter sur le bas-côté herbeux trempé de rosée … maintenant, il appuie son bras, replié, sur sa portière …


- J'espère que je vous fais pas peur, quand même … y'a pas de quoi, vous savez … j'ai jamais fait de mal à une femme … surtout à une jolie femme comme vous …


Aaaaah, OK ! Ça commence … il a un peu ralenti, il s'est laissé légèrement distancer, et maintenant j'ai l'aile avant de sa voiture juste à côté de moi … tout en avançant, je continue de jeter de rapides coups d'œil en arrière … D'accord ! Je comprends … il s'est laissé un peu distancer pour pouvoir mater mon cul !


- Vous savez … je vous trouve vraiment très mignonne … votre robe vous va comme un gant …

- …

- Vous voulez pas me répondre ? 

- … 

- Vous n'avez pas froid ? Vous pouvez monter avec moi … vous seriez mieux que dehors … j'ai du chauffage, vous savez …


Brusquement, je m'arrête et je me tourne vers lui. Il pile … juste à ma hauteur. Il lève les yeux sur moi … il est surpris que je me sois arrêté, mais il doit se dire que, si je m'arrête, c'est que c'est bon, que je vais monter avec lui ou je ne sais quoi. Avec un large sourire, il répète:

- Alors ? Vous voulez monter avec moi ?


De la main gauche je dégage mon écharpe de devant ma bouche, et de la droite, je soulève le bas de ma robe et je lui lance:

- C'est ça que tu veux ?


Sa mâchoire inférieure s'affaisse, ses yeux s'arrondissent. Il 'en revient pas … il draguait une fille, et il se retrouve avec une bite à hauteur des yeux. J'ai saisi ma bite et je la lui montre.


- Ah meeeerde ! T'es … t'es un homme ?


A ma gueule, à ma voix et à ma bite, il découvre que je ne suis pas exactement le genre de "demoiselle" qu'il pensait. La demoiselle, il la vouvoyait … le mec, le travelo, il le tutoie. Je lui agite ma bite sous le nez:

- Alors … c'est ça que tu veux ?


Il est interloqué … et puis il se reprend, et:

- Ah putain, ça va pas, non ? Ah, la vaaaaache !


Il enclenche la première et il démarre … moins de dix secondes plus tard, il a disparu dans un virage. Il aurait vu le diable, ça lui aurait fait le même effet. Au moins, il va me foutre la paix, maintenant. Je redémarre à mon tour. 


J'ai fait à peine deux cents mètres quand, après un virage, je découvre la 205, garée un peu plus loin, sur le bas-côté droit du chemin. Allons bon, qu'est-ce qu'il veut, maintenant ? Il a dû réfléchir. Je continue. Il me regarde approcher … je vois sa tronche dans son rétroviseur latéral. Maintenant, je n'ai plus besoin de dissimuler mon visage. Le coude toujours posé sur la portière, il m'attend. Marchant sur la gauche du chemin, je passe devant lui. 


- Dites … euh ... je peux vous demander quelque chose ?


Je m'arrête et je me tourne vers lui:

- Qu'est-ce que tu veux ?

- Ben … approchez … vous n'avez rien à craindre, hein …


Tiens, il a repris le vouvoiement. C'est vrai ... vu ses réactions, je pense que je n'ai rien à craindre, il a l'air d'être un peu trouillard. Alors autant que je prenne l'ascendant sur lui. J'approche. Il lève les yeux sur moi avec un sourire un peu con … je crois qu'il n'est pas vraiment rassuré … il évite soigneusement de poser les yeux sur le bas de ma robe … il doit avoir peur que je lui sorte encore ma bite.


- Alors ? Qu'est-ce que tu veux ?

- Ben … je voulais savoir … vous êtes pas obligé de me répondre, hein … 

- Bon, vas-y, accouche …

- Vous êtes un … un travesti ?

- On peut dire ça comme ça …

- Mais … vous faites ça … vous êtes tout le temps comme ça, en … en travesti ?

- Non. De temps en temps, seulement …

- Ah bon … et … et vous mettez pas de … vous mettez pas de culotte ?

- Ça se voit, non ?


Je me suis appuyé d'une main sur le toit de sa voiture et je me penche vers lui. Il a ôté son bras de la portière et il s'est un peu reculé sur son siège. Il a peur que je le touche. Et là, d'un seul coup, à voir ce type assis dans sa voiture, et moi au-dessus de lui … il suffirait que je tende le bras … je pourrais lui toucher la bite … je pourrais même le branler … c'est vrai que notre première prise de contact, là-haut, dans cette propriété, a été un peu chaotique, mais maintenant … si ça se trouve, ma bite ne lui fait pas si peur que ça … peut-être que je pourrais … peut-être que je pourrais m'occuper de la sienne, de bite … Pendant que je partais dans mon délire, il a poursuivi: 

- Et j'ai vu votre … votre collant, il est … il est ouvert … c'est pour faire quoi ?

- T'es vraiment curieux, toi …

- Ben … c'est la première fois que … que j'ai affaire à un travesti, alors ça m'intrigue. Mais, si ça vous gêne, vous êtes pas obligé de me répondre, hein …

- Ça me gêne pas … D'habitude, je ne mets pas de collant … et je ne mets pas de culotte non plus, d'ailleurs, mais là, il fait froid, alors il a bien fallu que je mette quelque chose un peu chaud … et c'est un collant ouvert parce que j'aime bien avoir le cul et la bite à l'air sous ma robe … 

- Ah, d'accord …

- Dis, tu m'as proposé de monter avec toi, tout à l'heure … ça tient toujours, ta proposition ?

- Euh …


Dilemme. Il n'est pas rassuré, mais c'est lui qui me l'a proposé, tout à l'heure, et c'est lui qui a ré-engagé la conversation. 


- Tu sais, t'as rien à craindre, je n'ai jamais fait de mal à un homme …


Je lui ressers ce qu'il m'a dit tout à l'heure, quand il croyait que j'étais une femme. Alors, un peu à regret, il opine du chef:

- Oui … bon … d'accord …


Il se penche vers sa portière de droite et il la déverrouille. Je fais le tour de la voiture, j'ouvre et je monte … Il s'est installé aussi loin de moi que possible, le dos dans l'angle que fait son dossier avec sa portière … il me regarde m'asseoir … je me rends tout de suite compte que, le temps que je prenne place, l'air de rien, il regarde surtout le bas de ma robe … il doit essayer de voir ma bite … dès que je suis assis, il relève les yeux à toute vitesse … de mon côté, je m'assieds comme lui, le dos dans l'angle de la portière et du dossier, et tourné vers lui … et je remonte ma jambe gauche à plat et repliée sur mon siège … tu veux voir ma bite ? Tiens, regarde ! Me voilà avec les cuisses largement écartées, alors, forcément, ma jupe remonte à l'angle de mon bas ventre, et je lui dévoile ma bite et mes couilles … j'adore faire ça … il n'ose pas regarder ce que je lui montre … il me dévisage et il déglutit bruyamment … j'enlève ma capuche et je soulève carrément le bas de ma robe:

- Regarde, c'est un collant du commerce, hein … il est vendu comme ça, ouvert … tu sais à quoi ça sert, qu'il soit ouvert ? A part pour avoir les fesses et la bite à l'air … 


Là, il ne peut pas faire autrement que jeter un rapide coup d'œil. Il déglutit encore:

- Oui, je me doute. C'est un collant exprès pour les … pour les travestis ?

- Ah non, pas du tout ! C'est un collant pour femme … pour celles qui veulent avoir le cul et la foufoune à l'air … et surtout, qui veulent pouvoir se faire sauter sans ôter leur collant … la robe aussi, d'ailleurs, c'est vraiment une robe pour femme … elle est bien, hein, la robe …


Je me caresse doucement les hanches.


- Ou … oui, elle est bien …

- Elle me fait un beau cul, je trouve …

- …

- T'es pas d'accord ?

- Si, si, je suis d'accord … mais … mais pourquoi vous … pourquoi vous vous habillez en femme ?

- J'aime bien … je me sens bien comme ça … je les envie, les femmes, de pouvoir se balader comme ça … on se sent mieux que dans des vêtements d'homme … en été, les femmes peuvent être carrément à poil sous leur robe ou sous leur jupe …

- Ah bon … c'est seulement pour ressembler à une femme, alors …

- Oui, il y a déjà ça … et c'est pas mal réussi, non ?

- Comment ça …

- Ben … tout à l'heure, tu m'as effectivement pris pour une femme, non ?

- Ah oui …

- Et je suis sûr que c'est mon cul qui t'a plu … exact ?

- …


Il sourit avec son air con et il pique un fard. Je poursuis:

- Mais j'ai pas seulement ENVIE de ressembler à une femme … ce que j'aime bien aussi, c'est FAIRE la femme …

- FAIRE la femme ?

- Oui, FAIRE la femme avec les hommes …


Il écarquille les yeux. Alors je précise:

- Faire ce que les femmes font avec les hommes … le SEXE !


Je commence à avoir chaud … sans doute les effets de la marche … je descends le zip de ma doudoune et j'écarte les deux pans. Il roule des yeux ronds.


- Ça te dirait ?

- Pardon ? ! ? !

- Le SEXE … avec moi … ça te dirait ?

- Mais … NON !

- Oh ! Arrête ! Tout à l'heure, mon cul, il t'intéressait … ne dis pas le contraire … c'est pour ça que tu t'es arrêté à côté de moi …

- Oui, mais je croyais que vous étiez une femme …

- Et alors … un cul, c'est un cul …

- Oui, mais je fais pas ça avec un … avec un … homme …

- J'ai des capotes, tu sais …

- Oui, mais même avec une capote, je …

- Et seulement te faire sucer, ça te dit ?

- … me … me faire sucer ?


Yesssss ! Pour ça, il hésite … Si vraiment ça le répugnait, il aurait dit non tout de suite … Il ne faut pas le laisser réfléchir, trouver des arguments, s'enferrer dans un refus sur lequel il n'oserait pas revenir … alors, sans le prévenir, je m'avance vers lui, je me penche, et je lui plaque la main sur l'entrejambe:

- Oui, te faire sucer … je suis une bonne suceuse, tu sais … tous ceux qui m'ont essayé le disent … tu regretteras pas …


Il voudrait bien reculer pour échapper à ma main, mais il est coincé contre sa portière … il pourrait repousser ma main, mais non … il écarte les bras, le gauche appuyé sur la portière, le droit sur le dossier de son siège … c'est qu'il veut bien que je le tripote … je commence à lui pétrir le paquet … je sens sa bite sous mes doigts …

- Laisse toi faire … une bouche de travesti ou une bouche de femme, c'est pareil … et moi, ma bouche, dans son domaine, c'est une experte …


Comme il ne réagit pas, je m'avance encore un peu, jusque à avoir mon genou sur son siège, et je soulève le bas de son coupe-vent … cette fois, c'est bon, il regarde ma main, et il me laisse faire … ce mec là, maintenant, c'est sûr, je vais le sucer … il a une ceinture … je la déboucle et j'entreprends de déboutonner son pantalon … mais il est trop serré, son ventre fait un bourrelet qui me gêne.


- Avance toi un peu, je n'y arrive pas comme ça …


Il respire fort ... il doit avoir le cœur qui bat ... docilement, il glisse un peu son bassin en avant … et, de lui-même, il descend le zip de son coupe-vent … pas de doute, il en a envie … dessous, il porte une chemise écossaise rouge à motifs jaune-orangé … comme ça, ça va … je détache le bouton, j'ouvre sa braguette, j'écarte les deux pans du pantalon, je soulève la ceinture de son caleçon et je glisse ma main à l'intérieur … oh, la laaaa, encore une bite dans ma main ! Je la sens sous mes doigts … elle est un peu repliée, la tête en bas … délicatement, je la redresse … elle est douce, elle est chaude, elle est un peu moite …

 

 

Quelle merveille, une bite ! C'est vraiment un truc incroyable ! C'est l'organe qui peut donner le plus de plaisir à un homme … les mecs sont prêts à tout pour pouvoir l'introduire dans quelqu'un ou simplement pour qu'on s'occupe de leur bite … ils peuvent enfreindre les lois, braver les règles sociales, la morale, la pudeur pour parvenir à leurs fins ... jouir et éjaculer … on dit " mener quelqu'un par le bout du nez ", mais on devrait dire " mener quelqu'un par le bout de la bite " … certains sont capables de forcer, de contraindre, de brutaliser quelqu'un pour y introduire leur bite … et moi, une bite, n'importe quelle bite, ça me trouble, ça m'émeut, ça m'attendrit, ça me fait fondre … une bite, j'ai envie de la câliner, de lui faire des bisous, de la cajoler … mais surtout, j'ai envie de lui procurer un orgasme, j'ai envie de la faire jouir …


Je le regarde … il a les yeux braqués sur ma main qu'il regarde bouger dans son caleçon … du bout des doigts, j'explore sa verge et son gland … il commence à bander … j'ai l'impression qu'il a un prépuce très long … je descends mes doigts vers ses couilles … elles sont coincées dans une touffe de poils apparemment pas très épaisse, au fond de son caleçon, entre ses cuisses … je sors ma main, et:

- Soulève tes fesses …


Il obtempère docilement. Je saisis les côtés de son pantalon, et j'essaie de le descendre sur ses cuisses. Mais ça résiste … alors, sans que j'aie besoin de lui demander, il s'en charge … voilà, il a le ventre à l'air …  j'aperçois ses couilles sous sa bite … je glisse mes doigts entre ses cuisses et je remonte délicatement ses boules … Je m'avance encore un peu … j'ai maintenant mon genou contre sa cuisse et mon épaule pratiquement contre lui … je lui caresse la verge et le gland en le regardant … il bande de plus en plus … il me regarde aussi … je lui souris … il me sourit …


- Je vais te tailler une pipe.

- Bon … d'accord.

- Je vais te faire jouir dans ma bouche …

- Ah bon ? Tu veux pas que …

- Non, je veux pas … je veux que tu jouisses dans ma bouche … laisse-toi faire …

- D'accord, alors …


Je change de position … je me mets à genoux sur mon siège et je me penche sur son ventre … je prends son sexe dans la main droite et je le soulève … en effet, son prépuce est très long … bien qu'il bande, au bout de son gland, il reste à peu près deux centimètres de ce manteau de peau, un peu flasque … je n'ai jamais vu un prépuce aussi long … ça doit être très agréable à sucer … ça me plaît beaucoup … je commence à saliver … un réflexe … comme quand je me trouve devant une sucrerie … je vais commencer à le sucer comme ça, sans le décalotter … je pose mes lèvres sur son ventre et je glisse ma main gauche sous sa chemise … tout en lui caressant les abdominaux, je pose des baisers sur son bas ventre … je le sens frissonner … hhhhmmmm, dans un instant, je vais avoir, une fois de plus, le sexe d'un homme dans ma bouche ... et une fois encore, le sexe d'un inconnu ! Ce sera ma première bite ici, en Bretagne ! 


Oh putain, j'en aurais sucé, des bites ! C'est tellement facile, finalement … je commence à être convaincu que tous les mecs sont prêts à se faire sucer, y compris par un autre mec, pour peu qu'on y mette un peu de conviction … oh, quelques uns font bien un peu des manières au début, mais ils finissent tous par y venir … Lui, par exemple, il ne m'aura pas fallu dix minutes pour avoir sa queue dans la bouche. J'approche mes lèvres de la base de sa bite, que je maintiens à la verticale … je sors ma langue au milieu de sa touffe de poils pubiens, et je lui lèche la verge depuis le bas jusque sous la bosse de son gland … et je tourne ma langue tout autour de son gland …

 

 

Oh la laaaa, ça me rend folle ! Ce type, je vais le sucer longuement … je veux faire durer le plaisir … le sien et le mien … il faut que je fasse attention de ne pas le faire jouir trop vite … je veux avoir sa bite longtemps dans ma bouche … j'aime tellement ça … voilà, je le prends dans ma bouche … il aspire une grande bouffée d'air … ça leur fait presque tous ça … son gland juste à l'entrée de ma bouche, je joue un peu avec lui du bout de ma langue … oh ce que c'est booooon ! Cette consistance caoutchouteuse, cette douceur, cette tiédeur sur ma langue, contre mon palais … pour moi, c'est devenu un plaisir du même ordre que … que la dégustation gourmande d'une nourriture … je salive de plus en plus … même le goût de cette bite me plaît … elle sent un peu le savon ou le gel douche … c'est légèrement sucré … miel ou vanille … elle sent aussi un tout petit peu l'urine, mais j'aime bien … alors, c'est pratiquement un réflexe … je l'enfonce dans ma bouche … hhhmmmm, son gland qui progresse, coincé entre ma langue et mon palais … jusque dans ma gorge ! Je sens … je sens son prépuce qui bute contre mes amygdales … j'aime d'autant plus ça que, maintenant, je sais que je suis à l'abri d'un haut-le-cœur … je sens ma salive qui déborde et s'écoule dans ses poils pubiens par la commissure de mes lèvres … 

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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