Partager l'article ! Les affaires reprennent. 2ème partie.: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosex ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.
Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Samedi 16 décembre. 11h00
Je sors de la gendarmerie où je viens de répondre aux questions d'un capitaine. Je viens de lui expliquer, à lui et à sa secrétaire, que je me fais baiser par des types en bande ! Putain ! Jamais je n'aurais imaginé pouvoir faire ça un jour !
Du coup, je me sens d'humeur … comment dire … folâtre. Tout ça … ma conversation avec Pierrot puis le visionnage de ses vidéos … ma conversation avec Philippe, puis le re-visionnage des vidéos de mon gangbang chez Jean-Claude … et à l'instant, cet interrogatoire par les gendarmes … toutes ces évocations de sexe, ça a éveillé mes sens … ou plutôt, ça a RÉVEILLÉ mes sens … et je repense à l'envie qui m'a pris hier, quand je parcourais le sentier côtier … me balader les miches à l'air. Pourquoi je n'irais pas acheter de quoi … de quoi m'habiller en femelle … Et il me reste pas mal de temps à tuer avant que je regagne la région parisienne … autant en profiter. Il y a bien longtemps que je ne me suis pas livré à ce genre d'escapade dans la nature … en fait, c'est depuis que j'ai commencé à me vouer aux mâles. Avant, il ne se passait pas une semaine sans que j'aille traîner dans les bois ou dans les champs avec, pour tout vêtement, un porte-jarretelles et des bas … Là, la météo ne se prête pas à un nudisme aussi poussé, mais avec une jupe ou une robe un peu courte, ça pourrait être très agréable … et pour le reste, bas et porte-jarretelles ou grosses chaussettes, gros pull ou blouson, c'est à voir à l'inspiration. Allez, aujourd'hui, j'ai le temps, il est encore tôt, je vais aller faire des emplettes.
Le jour où je suis arrivé à Quimper, en quittant la gare pour gagner le gite que j'ai loué, je suis passé dans une zone commerciale où il y a je ne sais combien de boutiques de fringues … si je ne trouve pas mon bonheur là-dedans … C'est parti ! Hhhmmm, re-voilà le délicieux fourmillement que je ressens à chaque fois que je m'apprête à acheter lingerie et vêtements féminins … il faut croire que, de ce point de vue aussi, je suis bel et bien une femelle.
Quarante cinq minutes plus tard, j'y suis. Putain, il y a du monde ! Il faut dire qu'on est à une semaine de Noël et les gens font des achats pour préparer le réveillon. Les boutiques de prêt à porter ont sorti les tenues de fête. Dans le premier magasin que j'explore, rien d'intéressant pour moi. Trop "bon chic" et classieux. Dans le deuxième, c'est un peu plus fun, mais pas vraiment convaincant. Enfin, j'entre dans un de ces commerces qui vend un peu de tout à pas cher, depuis la vaisselle en plastique jusqu'au petit mobilier en passant par la déco, les jouets et les chaussures, mais surtout en passant par les fringues et la lingerie féminines. En Seine-et-Marne, c'est dans un magasin de cette chaîne que j'avais l'habitude de faire mes courses un peu "spéciales". J'y ai trouvé presque toute ma garde-robe et toute ma lingerie. En plus, question lingerie, ce qu'ils proposent est toujours très sexy, et même plutôt … "sexe": dentelles, couleurs vives, voire flashy, nuisettes vaporeuses, micro strings, petites culottes suggestives, parures complètes pour soirées coquines … et même tenues en latex ... et les collections sont renouvelées assez souvent, ce qui permet de toujours trouver des nouveautés.
Dès que je passe les portes du magasin, je retrouve l'ambiance et les sensations que j'aimais dans celui de Seine-et-Marne. Quand j'ai commencé à m'acheter de la lingerie féminine, j'étais un peu complexé de rentrer dans ce rayon, mais avec le temps, la gêne a fini par disparaître pour faire place à une véritable jouissance. Non seulement pour le plaisir de fouiller dans ces dentelles, d'examiner ces tulles, de caresser ces voiles légers, de manipuler ces petites culottes de femme, mais aussi pour le plaisir d'y côtoyer les vendeuses ou d'autres clientes, toujours un peu surprises d'y trouver un homme explorant tous ces trésors avec autant de conviction … oui, je dis bien "d'autres clientes", parce que, dans ces moments là, je ne me considérais pas comme un client, mais comme une "cliente" … dans le fond, ce que je cherchais et ce que j'achetais, c'était pour moi, donc en quelque sorte pour une femme … et aller m'acheter de la lingerie coquine avait fini par faire intégralement partie de mon plaisir.
Ici, je retrouve la même disposition des différents rayons que dans le magasin de Seine-et-Marne où j'ai mes habitudes, et, apparemment, les mêmes produits. Dès l'entrée du rayon des vêtements pour femme, on a installé des mannequins en tenues de soirée … et là, on sent qu'il s'agit de faire la fête … tout ce qui est exposé est moulant, est échancré, est décolleté … bref, c'est sexy … immédiatement, je repère un modèle de robe assez courte, et qui épouse les formes généreuses d'un des ces mannequins de plastique … d'un peu loin, on dirait une robe de lainage, mais de plus près, je me rends compte qu'il s'agit d'un imprimé d'une matière extrêmement souple et douce au toucher. Non seulement sa coupe me plaît, mais la matière dans laquelle elle est taillée aussi. Elle doit être particulièrement agréable à porter. Il n'y a que sa couleur ... une sorte de brun chiné de beige, qui ne m'enthousiasme pas vraiment ... c'est un peu austère ... mais il faut reconnaître, ça cadre avec la saison … Bras tendu, je suis en train de l'examiner et de tâter la douceur du tissu, quand une vendeuse, les bras chargés de vêtements, passe à côté de moi:
- Je peux vous renseigner, monsieur ?
- Oui. C'est quoi, cette matière ?
- Ah oui. C'est étonnant, hein ? On dirait presque de la laine … un tricot … mais c'est tissé et c'est une nouvelle matière synthétique. Ça ne gratte pas et d'après les clientes, c'est chaud à porter … c'est de saison, en fait …
"Chaud à porter" ! L'expression est doublement juste. Dans l'esprit de la vendeuse, il est évidemment question de température, mais c'est vrai aussi du point de vue "sexe" … rien que sur ce mannequin, c'est assez … "hot".
- Et elle existe en quelles tailles ?
- Ah. Alors, pour ça aussi, elle est spéciale. Elle n'existe qu'en deux tailles … enfin, si vous voulez, il y a le petit modèle qui couvre en fait les tailles S et M … et le grand modèle qui couvre aussi les tailles L et XL … parce que, vous voyez, c'est un tissu très extensible … alors, bien sûr, après, pour les femmes un peu grandes, la robe est plus courte, naturellement … elle s'habille en quelle taille, habituellement, votre dame ?
Tout en m'expliquant, la vendeuse a déposé sa brassée de vêtements sur un portant et elle a décroché deux cintres avec des robes du modèle en question, une petite et une grande. En vêtements masculins, je m'habille en XL, mais vu ma taille, en vêtements féminins, en principe, il me faudrait du XXL et même du XXXL … mais en général, je n'achète jamais au-delà du XL, et parfois, je descends au L, voire au M, si j'arrive à rentrer dedans … surtout pour les vêtements et la lingerie en matières extensibles … plus c'est moulant, plus c'est court et plus j'aime ça ! Comme elle le dit, la vendeuse, avec un modèle qui couvre deux tailles, plus la femme est grande, plus la robe paraîtra courte. C'est exactement ce qu'il me faut. Ça me démange de lui dire que c'est pour moi, cette robe … je crois que je vais l'acheter … non, je ne crois pas, je suis sûr ! La vendeuse, tient les deux robes devant elle, et:
- Hein, monsieur … elle s'habille en quelle taille, votre femme ?
- Ce n'est pas pour ma femme. Montrez moi la grande …
Sans malice, elle me la tend. Je plaque la robe contre moi, le cintre sous mon menton, je lisse le tissu du plat de la main sur moi, depuis mon épaule jusqu'à ma cuisse, et je me tourne vers un miroir sur pied qui se trouve juste là. Comme ça, le bas de la robe m'arrive à mi-cuisses, et j'imagine qu'une fois sur moi, elle remontera encore plus haut … Je lance:
- C'est bon, ça devrait aller … je la prends.
Cette fois, la vendeuse est interloquée, elle roule des yeux tout ronds. Ça tourne à fond dans sa tête. Elle doit se demander si elle comprend bien ce qui se passe mais elle n'ose pas commenter. Je lui fait un grand sourire:
- Merci. Le rayon lingerie, c'est par là ?
Je sais pertinemment où il est, le rayon lingerie, je le vois d'ici. La vendeuse se retourne et esquisse un geste en direction du rayon des slips et caleçons pour homme … puis elle se ravise, et me regarde d'un air interrogatif:
- Le rayon lingerie ?
- Oui, le rayon lingerie pour femmes.
De nouveau, elle roule des yeux tout ronds et elle tend le bras dans la bonne direction:
- Ben c'est tout de suite là.
- Ah oui. Je n'avais pas vu. Merci.
Je la plante là et je m'engage entre une gondole de soutiens-gorge et de petites culottes et une autre de chemises de nuit et de nuisettes. Je suis en train d'examiner un micro string en tulle lycra rose fuchsia quand la vendeuse, les bras toujours chargés d'une brassée de vêtements, passe devant le rayon et me jette un coup d'œil effaré. Vu ce que j'ai l'intention de faire, je ne suis pas sûr d'avoir besoin d'un string, mais ça ne fait rien, ça n'est pas ce que ça coûte … à vue de nez, je devrais pouvoir rentrer dans du L et y loger ma bite et mes couilles … je prends le string fuchsia.
J'ai l'intention d'aller traîner les miches à l'air sous ma robe sur une plage ou sur le sentier côtier, mais je ne tiens quand même pas à prendre froid aux jambes. Alors je passe au rayon bas et collants. Pas de porte-jarretelles … enfin, il y a bien un modèle de guêpière avec des jarretelles, et même un "slip porte-jarretelles", mais, ces trucs là ne sont vraiment pas pratiques … si on veut se retrouver les fesses à l'air sous sa robe, on est obligé d'ôter la guêpière ou le slip et les bas qui vont avec … non, non, rien ne vaut le véritable porte-jarretelles … mais pas de bol, il n'y en a pas. Alors, je jette un coup d'œil aux collants … à la limite j'en trouverai bien un dont je pourrais découper le superflu pour en faire un collant ouvert. Maintenant, la plupart des collants sont indémaillables … et puis, en fouillant bien, coup de chance, je trouve justement une série de collants ouverts … il y en a des noirs, mais j'opte pour un brun qui sera parfaitement assorti à la robe …
Il va aussi me falloir des chaussures un peu féminines. Avec mon 45, ça m'étonnerait que je trouve ici des escarpins ou des chaussures de femme à ma taille … pareil dans le reste de la zone commerciale. Ce genre d'article pour travesti ne se trouve que dans des commerces spécialisés ou sur commande par Internet. Mais je n'ai pas le temps d'attendre une livraison. Alors, peut-être des ballerines de sport … ça existe pour homme. S'il 'y en a pas dans ce magasin, j'irais dans une boutique de sport. Bon, juste à côté des collants, il y a un rayon chaussettes … bingo ! Ils vendent aussi des guêtres en laine … oui, avec ça par dessus mon collant, en retombant sur des ballerines, ça cachera un peu la taille de mes pieds … en plus de ma tronche, la taille de mes pieds et de mes mains, c'est mon problème pour passer pour une femme … ma taille, bien que supérieure à la moyenne, ça va, ça ne choque pas … il y a de plus en plus de filles grandes, voire très grandes … mais elles ont quand même des pieds et des mains plus fines que moi. Donc … pas grand choix de couleurs pour les guêtres … celles-ci, en laine chinée beige, ça rappelle un peu les touches plus claires de la robe … ça ira.
Voyons, ensuite … il me faudrait quelque chose pour me tenir chaud en haut … un pull, non … ça n'irait pas avec la robe … je retourne dans le rayon des vêtements pour femme … des manteaux, des parkas, des doudounes … mouais, c'est pas terrible, tout ça … bien trop long … plus long que ma robe, même … ah si … voilà ! Ça, ça devrait le faire … ce sont des espèces de doudounes, mais très courtes, un peu matelassées, avec une capuche bordée de fausse fourrure … à vue de nez, elles ne descendent pas plus bas que la taille … le truc, c'est que ça doit être pour les filles … et même les JEUNES filles … alors je ne sais pas si je vais trouver ma taille en largeur … si je vais pouvoir y loger ma carrure. Voyons … ah oui, il y a des modèles plus grands … heureusement, maintenant, dans le prêt-à-porter, on pense aux filles un peu rondes … celle-ci devrait m'aller … je pose ce que j'ai choisi sur le portant, j'ôte mon blouson et j'enfile cette doudoune … Yessss, elle me va ! Il ne faudra pas que je mette quelque chose en-dessous, mais si la robe est assez chaude, comme me m'a dit la vendeuse, ça ne sera pas nécessaire … Vendue ! Et puis, comme je suis dans le rayon, j'en profite pour prendre aussi une écharpe … elle me permettra de dissimuler un peu mon visage … on ne sait jamais, si je rencontrais des gens au cours de ma balade, sans ça, à ma tronche, ils verraient tout de suite que je suis un mec … tiens, ils vendent un ensemble assorti, écharpe ET bonnet …
Je passe ensuite au rayon chaussures … mais pas la moindre paire de ballerines de sport … et rien dans les chaussures pour homme qui pourrait faire l'affaire … en sortant, je verrais si il n'y a pas un magasin de sport dans le coin …
J'allais me diriger vers les caisses quand je me ravise … et si j'en profitais pour prendre aussi un jean … un jean stretch, évidemment … Je trouverai bien une occasion de mettre ça. J'adore ! Les fesses et les cuisses moulées, serrées dans un de ces jeans … rien dessous, ni slip ni petite culotte ... pas même un string ... avec la couture centrale qui me rentre à fond dans la raie du cul et qui me titille la rondelle … le paquet, bite et couilles bien serrés dans une jambière et bien mis en évidence … Allez hop, demi-tour … Là, il y a le choix ! Des slim, des skinny … Putain, c'est le pied ! On est revenu aux jeans hyper moulants, comme dans les années 70-80. Mais, à l'époque, la toile était raide, alors que maintenant, elle est souple, extensible, douce … Vive la mode ! J'en décroche deux de leur portant et je teste leur élasticité. Oh yessss ! Ça va le faire ! Là, je peux me permettre de prendre du L, même en taille pour femme ! Je vais me régaler !
Bon, cette fois, direction les caisses. Quand j'arrive, les deux caisses sont ouvertes et il y a la queue aux deux ! La vendeuse qui m'a renseigné tout à l'heure est là. Je me mets au bout de la file qui va passer à sa caisse. J'aime bien ce moment, aussi, quand je dépose ostensiblement sur le tapis de caisse les vêtements féminins et la lingerie que j'achète. Au début, il y a deux ou trois ans, je m'efforçais de cacher la lingerie sous le reste, de façon qu'il n'y ait que la caissière pour voir ce que j'achetais … maintenant, au contraire … je mets toujours la lingerie la plus sexy au dessus … au vu et au su de tout le monde, employés comme clients … ça aussi, ça fait partie du plaisir … Là, c'est deux petites jeunes dans la file d'à côté – dix-huit ou peut-être vingt ans - qui remarquent le string fuchsia étalé sur le sachet du collant plus sombre, que je porte sur mon bras … elles se regardent et, sans un mot, elles se sourient … elle doivent se dire "tiens, voilà un mec qui achète de la lingerie pour sa femme" … La vendeuse qui m'a renseigné tout à l'heure vient de me repérer … et sans la moindre hésitation, elle interpelle sa collègue et me désigne du menton … d'où je suis, je n'entends pas ce qu'elle lui dit, mais ça doit être quelque chose du genre "regarde, c'est le type dont je t'ai parlé … celui qui s'achète une robe et de la lingerie". Sa collègue me regarde … et la cliente dont elle est en train de s'occuper se retourne, intriguée. Elle a dû entendre ce que l'autre disait. Je leur souris. Si vous croyez que ça me gêne, mesdames ! Au contraire !
Voilà, c'est mon tour. Je dépose mes achats sur le tapis. Dans les yeux de ma vendeuse-caissière, je lis … du mépris ? Par ses mimiques, elle manifeste clairement sa réprobation. Elle scanne les articles en les manipulant du bout des doigts … comme si ils étaient sales, comme si je les avais portés… beurk, un type dégoûtant qui se tripote dans la lingerie … quand elle a terminé, je lui tends ma carte bancaire. Elle me montre la machine d'un air hautain. Toi, ma cocotte, attends ! Je pianote mon code, et je lui lance:
- La robe, là, si elle ne me va pas, je peux la changer ?
Elle est muette, estomaquée … j'ai osé ! Autour de nous, c'est le silence … tout le monde nous regarde. J'en rajoute une couche:
- Hein, dites, si des fois cette robe ne m'allait pas, est-ce que je peux la changer ?
- En tout cas, si vous voulez la changer, je vous l'ai dit tout à l'heure, il n'y a pas plus grand …
- Ah oui, vous avez raison … en tout cas, je vous remercie, vous m'avez très bien conseillé.
D'un coup, la voilà impliquée dans ma … perversion … elle pique un fard et regarde tout le monde d'un air désespéré. Sa collègue et les clientes à qui l'échange n'a pas échappé se marrent discrètement. Je demande:
- Je peux avoir un sac ?
Elle fouille sous sa caisse et balance un grand sac sur le tapis de caisse. Posément, je range mes articles un à un et je lance:
- Au revoir. Et encore merci.
Je sors. Je regagne ma voiture. J'ouvre la portière arrière, et je dépose mes emplettes sur la banquette. Quand je me retourne, les deux petites jeunes qui faisaient la queue à côté de moi, sortent à leur tour du magasin, bras dessus, bras dessous, en riant. Elles me voient et la plus grande tape doucement dans ses mains à mon intention. Elle a apprécié le spectacle et elle m'applaudit. Je la remercie d'une signe de la main. Alors, entraînant sa copine, elle bifurque et s'approche:
- Vous lui avez mis la honte, à la caissière …
- Elle m'a cherché.
- Et quand vous êtes sorti, cette salope, elle a répété à tout le monde que vous étiez un sale vicieux parce que vous mettez des robes et des petites culottes de femme … c'est vraiment dégueulasse de dire des trucs comme ça …
- Bof … en même temps, c'est vrai …
- …
Les deux gamines écarquillent les yeux, suffoquées. Elles se demandent si je suis sérieux ou si je plaisante. Alors:
- Ben oui, elle a raison, c'est pour moi que j'ai acheté tout ça …
- Vous êtes … vous êtes un …
- Un travesti … oui …
La plus grande marque le coup, reste silencieuse une seconde ou deux … et elle éclate de rire … puis elle se reprend:
- C'est vrai ? Non, je … je croyais que vous plaisantiez …
- Pas du tout … vous avez quand même entendu dire que ça existe, non ?
- Ben oui, mais …
- Et bien voilà, vous pourrez dire que vous en avez rencontré un … pas en tenue, mais quand même …
- D'accord …
- Dites, les filles, vous êtes du coin ?
- Euh oui.
- Vous savez où je peux trouver un magasin de sport ?
- Ben oui, un peu plus haut, entre le magasin de jouets et celui d'électro-ménager.
- Ah, je ne l'ai pas vu. Bon … merci et au revoir.
- Au revoir.
Et, toujours bras dessus, bras dessous, elles s'éloignent en commentant et en riant. Quand je les dépasse en voiture, un peu plus loin, elles me font des grands signes de la main. En effet, je n'avais pas fait attention à ce magasin de sport. Comme je m'y attendais, il y a effectivement des ballerines de sport pour homme. Me voilà équipé.
Maintenant, je me dépêche de rentrer au gite. Ça me fait la même chose à chaque fois que je m'achète de la lingerie ou des vêtements sexy. J'ai hâte de les essayer … passer cette robe, sentir ce tissu sur ma peau, me regarder dans un miroir, me caresser … et mettre ce string … y loger ma bite et mes couilles … enfiler ces collants … hhhmmmm … et ce jean … je me sens tout émoustillé … et je sens que je bande déjà un peu …
Et ce soir, je vais avoir la visite de ce capitaine de gendarmerie ! Je me demande quand même ce qu'il veut vraiment, celui-là ! Seulement regarder les vidéos de mon gangbang ? Il n'aurait pas une idée derrière la tête … comme me sauter, par exemple ? Il faut dire, je lui ai tellement fait comprendre clairement que je suis une "fille facile" que ça ne serait pas étonnant. On verra bien. Je fais quoi, si il veut me sauter ? Je ne vois pas trop en quoi ça pourrait être embêtant … au contraire, ça pourrait servir. Ce qu'il y a, c'est qu'il faudrait que je prenne des dispositions pour les photos et les vidéos. Elles sont toutes sur mon disque dur externe … aussi bien celles du gangbang chez Jean-Claude, que celles avec Denis et ses potes, quand ils m'avaient emmené dans ce bar, chez Jeanneau, et qu'après, ils m'avaient traîné un peu partout en ville … mais ce n'est pas celles-ci qui pourraient poser problème … c'est celles de Pierrot. Celles-là, il ne faut pas que la capitaine tombe dessus. On est dans l'illégal, avec ces photos et ces vidéos, dans le délictueux. Le mieux, c'est de transférer les photos et les vidéos de Pierrot ailleurs … il y a bien le Cloud, mais je n'ai pas confiance. Il faut que je passe dans une grande surface pour acheter un deuxième disque dur externe.
Samedi 16 décembre. 15h00
Me voilà enfin de retour au gite. Je n'ai même pas eu le temps de déjeuner. C'est pas grave, j'ai l'habitude. Je peux sauter un repas. J'ai balancé le sac avec mes achats sur le lit, j'ai mis en route mon ordinateur, et pendant qu'il démarre, je suis en train de déballer le disque dur externe que j'ai acheté tout à l'heure. Voilà, les deux sont branchés et je peux commencer à transférer les vidéos de Pierrot.
Pendant que ça tourne, je sors mes achats … Ouaaaaahhh, cette robe, ce qu'elle est douce à manipuler ! Vite, je me déshabille et je la mets. Hhhhhmmmm ! Rien qu'à l'enfiler, c'est un régal … j'ai l'impression de mettre ... une seconde peau. Elle épouse mes formes en glissant sur moi, elle me colle, elle me moule … j'adore ! Il n'y a qu'au niveau des emmanchures qu'elle est un peu juste … au niveau des épaules, j'ai l'attache des bras un peu grosse … mais ça va, ça passe … je la lisse du plat de la main depuis la poitrine jusqu'au milieu de mes cuisses … même au niveau des cuisses, elle est très moulante … hhmmmm … vite, j'ouvre la porte de la salle d'eau sur laquelle est fixé un grand miroir. Putain … quelles formes elle me fait, cette robe ! Elle souligne ma taille … elle accentue la cambrure de mes reins … elle fait ressortir la courbe de mes fesses … elle galbe mes cuisses … Oh la laaaa, quel cul ça me fait ! C'est un véritable appel au pelotage … Je me caresse longuement le cul et les cuisses devant ce miroir … J'ai acheté cette robe – et le reste - uniquement pour pouvoir me balader les miches à l'air, mais maintenant que je l'ai essayée, je suis convaincu que ce serait surtout un sacré piège à mâles !
Voyons … et avec le collant et les guêtres, ça donne quoi ? Hhhhmmmm, ça aussi, enfiler les jambières du collant, les étirer pour les remonter sur mes cuisses … relever le bas de ma robe jusque sur mes reins pour placer la ceinture du collant autour de ma taille … ouaaahhh, le cul et la bite à l'air ! Je rabats la robe sur mes cuisses … ouaiiiiiis … dans le miroir, c'est pas mal aussi comme ça … et on ne voit absolument pas qu'en dessous, j'ai les miches à l'air … seule la bosse que fait ma bite sous le tissu put révéler ce que je suis … et il suffirait de laisser le bas de la robe remonter légèrement pour que ma queue pointe le nez en dessous … je suis sûr qu'un peu de marche serait suffisant pour que ça se fasse tout seul, sans que j'aie besoin d'intervenir.
Par acquit de conscience, je mets toute la tenue, doudoune et écharpe comprises … ouais, ça ira … comme ça, pour peu qu'on n'y regarde pas de trop près, je peux passer pour une femme … une femme un peu taillée comme une nageuse de compétition, mais une femme … J'ôte tout et j'essaie le string … Ouais, il est vraiment mini-mini. Je ne sais pas si je le mettrai … je pourrais toujours le fourrer dans une poche, il ne tiendra pas de place … Là, je me rends compte que, depuis que je suis ici, je me suis un peu négligé … ma pilosité en a profité pour se lâcher … on dirait presque un mec. Il va falloir remédier à ça et mettre un bon coup de rasoir dans cette savane.
Enfin, j'essaie le jean … là aussi, quel régal … je dois faire un véritable effort pour l'enfiler, tellement il est étroit … mais heureusement, sa toile est si souple et extensible qu'elle se prête docilement à mes efforts et se coule autour de mes formes … finalement, il me moule autant que le collant … mais en plus, dedans, je me sens serré, contraint, tenu, parfaitement moulé … j'adore ! Je glisse consciencieusement sa couture centrale dans la raie de mon cul, et je la tends autant que possible … il faut que je la sente se presser contre ma rondelle … puis j'installe mes fesses, chacune dans le haut d'une jambière … et enfin, je me cale le paquet à gauche de l'extrémité de la couture centrale et de l'amorce du zip … enfin, je remonte celui-ci et je ferme le bouton métallique de la ceinture … Voyons, dans le miroir … Oh les courbes, le CUL que ça me fait ! Rebondi, charnu, ferme … avec ces deux poches plaquées qui mettent en valeur la chute de mes reins ! Et les CUISSES ! Fuselées, galbées … Et devant ? Putain, il me moule le paquet … faut voir ! On distingue parfaitement la forme de ma bite … et même celle de mon gland ! Et mes couilles, aussi … alors, cette fois encore, je passe longuement mes mains sur cette toile … sur mes fesses, sur mes cuisses, sur ma bite, sur mes couilles … et je glisse le bout de mes doigts tout le long de la couture centrale du jean.
D'un seul coup, il me vient une idée … ce soir, quand le gendarme va venir, je mettrais ce jean … il est très indécent avec mon paquet moulé, mis en évidence comme ça, mais je m'en fous … me montrer à lui dans cette tenue, c'est très anodin après ce que je lui ai raconté ce matin … et ce que je vais lui montrer … Je me demande … je me demande si ça va l'exciter, de regarder mes vidéos … de me voir me faire fourrer par tous ces mecs … si il bande, est-ce qu'il va le montrer ou essayer de le cacher ? Si il est très excité, est-ce qu'il va vouloir que je lui fasse quelque chose ? Ou que lui me fasse quelque chose ? C'est curieux, c'est seulement maintenant que je pense à lui comme ça … ce matin, à aucun moment, je ne l'ai vu comme un mec … comme un mâle, je veux dire, un mec avec une bite et des couilles, un mec susceptible de me baiser … à cause de l'uniforme ? Ou alors c'est parce que je m'efforçais de rester très concentré sur ce que je devais lui raconter … Bon, de toute façon, c'est décidé, je le reçois avec ce jean sur le cul … on verra ce que ça lui fait … Non, il n'y a rien à faire, je n'arrive pas à imaginer qu'il puisse me baiser ou que je puisse lui tailler une pipe …
Bon, c'est pas tout ça, il faut que je m'occupe de mon corps … demain matin, dès que je suis levé, je file me balader les miches à l'air sur une plage ou sur un sentier … alors je vais me préparer autant que possible dès aujourd'hui, et je fignolerais demain matin, si c'est nécessaire …
Je viens de me raser la bite et les couilles et je m'attaque à ma rondelle quand je me dis que, peut-être, je ferais bien de me préparer pour ce soir … pour le cas ou le gendarme voudrait me baiser … il faudrait que je sois clean … alors, j'essaie d'ôter le pommeau de douche de son flexible pour voir si je peux me faire un lavement … mais non, impossible, il est vraiment bloqué et je n'arrive pas à le desserrer à la main … comment faire ? J'ai un peu de temps, je vais aller acheter une pince … et j'en profiterai pour faire deux ou trois courses.
Samedi 16 décembre. 18h00
Je rentre au gite. Ça y est, j'ai ma pince. Au supermarché, j'ai aussi acheté du jus de fruit, du Coca et du whisky … le capitaine voudra peut-être boire quelque chose … j'ai tout mis au frais dans la cuisine collective du gite. Ah oui, j'ai aussi acheté un paquet de capotes. Si le gendarme a envie de me baiser, il ne faudrait pas qu'il renonce parce que je n'ai pas de capote. Bon, je crois que je suis prêt. Le transfert des vidéos de Pierrot sur mon deuxième disque dur est terminé, et je l'ai planqué dans le frigo de la cuisine. Je vais me faire un premier lavement maintenant … et je m'en ferai un autre juste avant que le capitaine arrive.
Samedi 16 décembre. 20h30
Je suis prêt. C'est bizarre, je me sens comme une pucelle le jour de son premier rendez-vous avec le "loup". Pourtant, le "loup", ça fait un moment que je l'ai vu … et j'en ai vu, des "loups", en quelques mois ... toute une meute, même ! Bon, peut-être qu'il n'a pas l'intention de me sauter, le gendarme, mais ça ne fait rien, au moins, je vais déjà me régaler à lui montrer mes vidéos. J'ai mis mon nouveau jean hyper moulant … sans rien dessous, évidemment … et je le sens qui me moule étroitement les fesses et les cuisses … et je sens aussi la couture du milieu parfaitement plaquée au fond de ma raie. J'adore ces sensations. J'ai aussi mis un cockring … juste sous mes couilles … un cockring que j'ai improvisé à partir d'un élastique à cheveux que j'ai acheté tout à l'heure avec le reste. J'ai vérifié dans le miroir … sous la toile de mon jean, on devine parfaitement la silhouette de mon paquet, tellement il est étroitement moulé … là, ma bite, légèrement en érection, et là mes couilles … je passe le bout de mes doigts dessus … hhhmmmm … on reconnaît même la forme de mon gland … Il ne peut pas ne pas remarquer tout ça, mon gendarme … surtout que j'ai soigneusement choisi ce que je porte en haut … j'avais commencé par un pull, mais il est trop long et ils masquait presque tout mon bas ventre … alors j'ai préféré mon sweat-shirt rouge … il ne me descend pas en dessous de la ceinture … effet garanti !
Bon, j'espère qu'il ne va pas trop tarder … et même, tout simplement, qu'il va venir … je jette régulièrement un coup d'œil par la fenêtre de mon gite, qui donne sur le parking en contrebas.
21h00.
Putain, qu'est-ce qu'il fout ? A mon avis, il ne viendra pas …
21h05
Ouais, c'est sûr, c'est foutu. Merde ! Je ne vais quand même pas m'être préparé comme ça pour rien ! J'attends encore dix minutes et je me barre … je vais aller … je sais pas … sur le port, à Pors-an-Enez. Là, je pense qu'il y aura de l'animation … je pourrais mettre mon cul et le reste sous le nez de la faune qui traîne là-bas … ça devrait en intéresser certains …
21h10
On frappe … deux coups à la porte . Ffffffffffffff ! Ça y est, le voilà ! J'ouvre.
C'est bien lui. Je suis surpris parce qu'il est en civil. Je ne sais pas pourquoi, je l'imaginais venir en uniforme. Il me regarde, interrogatif:
- Bonsoir …
Oui, je reste là, comme un con, à tenir la porte …
- Oui, bonsoir … entrez.
Il porte une parka bleu marine, un jean et des tennis … et une eau de toilette très agréable. Ce n'est plus le même homme. Ou plutôt, maintenant C'EST un homme, alors que ce matin, c'était seulement un uniforme. C'est un homme avec qui je peux envisager de … J'ai eu juste le temps de saisir le bref regard qu'il a posé sur moi … en un clin d'œil, il m'a scanné de la tête aux pieds, mais, c'est sûr, il m'a surtout reluqué sous la ceinture … ça me plaît, de me montrer à lui comme ça … dans un jean aussi moulant, qui me met le paquet tellement en évidence, je suis presque plus indécent que si j'étais carrément à poil … c'est une façon d'annoncer la couleur, "regarde … tu peux même toucher, si ça te dit … c'est à ta disposition" … en moi-même, je me dis que maintenant, il faut que je trouve le moyen de lui montrer mon cul … j'ai capté un étonnement amusé dans son regard … mais il ne manifeste rien … rien qu'un sourire poli:
- Excusez-moi, je suis un peu en retard … en venant, j'ai croisé Gégé.
- Ah bon ?
- Oui. Gégé et sa mobylette … On s'est arrêtés tous les deux et on a bavardé cinq minutes. Il partait en bordée.
- En bordée ?
- Oui. Il partait faire la tournée des bars, à Pors an Enez. Il fait ça tous les samedi et tous les dimanche. Souvent, comme il n'est pas en état de rentrer, c'est une de nos voitures de patrouille qui le ramène.
- Ah oui ?
- Oui. On a l'habitude. On sait où le trouver. On préfère le ramener plutôt que de le laisser prendre la route sur son engin. Il finit la nuit chez nous, en cellule de dégrisement. Nos cellules, il les connaît bien, le Gégé ... même à jeun ...
- A ce point ?
- Oui. On l'a arrêté je ne sais pas combien de fois. La nuit, il cambriolait les commerces et les résidences secondaires, il vidait les casiers des pêcheurs pour revendre les homards et les langoustes, il siphonait le réservoir des poids lourds ... et je passe sur le reste.
- Il fait encore ce genre de choses ?
- Non. Maintenant, il travaille ... au noir ... vous êtes bien placé pour le savoir ... mais puisque la justice ferme les yeux ...
Je sens de la rancœur dans sa dernière remarque.
- Pourquoi elle ferme les yeux ?
- Ben ... on a des juges qui se prennent pour des assistances sociales. Ils préfèrent qu'il travaille au noir plutôt que de continuer ses méfaits.
- Ils 'ont peut-être pas tort ...
- Mouais ... mais nous, on passe pour des ..
Il laisse sa phrase en suspens.
- Ah ... Bon, vous voulez ôter votre parka ?
- Oui, merci.
Il me la tend et je vais l'accrocher à la patère. La voilà, l'occasion ! Pendant que je lui tourne le dos, j'espère qu'il mate mes fesses. Quand je me retourne, je le surprends, les yeux effectivement fixés sur mon cul. Yessss ! Reste plus qu'à espérer que mon cul lui fera le même effet qu'aux autres mecs. Même si il n'ose pas le toucher et essayer de se le payer, ça le fera peut-être rêver et fantasmer. Il relève la tête, un peu gêné. J'ose, ou j'ose pas ? J'ai une furieuse envie de lui demander ce qu'il pense du jean que je viens d'acheter … évidemment en tournant sur moi-même, pour qu'il puisse apprécier à la fois le côté pile et le côté face … mais non, tout de même … je n'ose pas … pas tout de suite …
- Bon … alors, je vous les montre, ces vidéos ?
- Ben … oui … si … si ça vous gêne pas … parce que, vous savez, si ça vous embête …
- Non, non, ça ne me gêne pas … ce qui est dit est dit … quand je décide quelque chose, je m'y tiens … tenez, asseyez-vous là …
- Vous savez, vous m'étonnez quand même, hein …
- Ah bon ?
- Oui. Déjà, avouer à un officier de police judiciaire que vous vous faites …
- Attendez ! Je n'avoue rien … On avoue … je sais pas … un crime ou un délit … moi, en me faisant sauter par des hommes, je ne me commets ni un crime ni un délit … alors je n'avoue pas, je RECONNAIS …
- Si vous voulez … donc, reconnaître ça devant un officier de police judiciaire, c'est déjà une chose, mais ensuite, accepter de lui montrer des photos et des vidéos de … de vos gangbangs … de quelque chose de tellement … intime …
- D'abord … oui, ce matin, j'ai reconnu devant un officier de police judiciaire me faire sauter dans des gangbangs … mais ce soir, c'est pas à l'officier de police judiciaire que je vais montrer mes vidéos, c'est à un particulier, à un civil … on est bien d'accord, tous les deux ? Vous n'êtes pas ici comme gendarme …
- Non, non ! Vous avez raison. Là, c'est pas le gendarme qui est là. C'est Michel Blanchard, simple civil, et à titre strictement privé.
- Bon. Comme ça, ça va.
Je lui désigne la table collée contre la cloison, où j'ai posé mon équipement informatique, et je tire pour lui une des deux chaises qui sont glissées dessous. Mon ordi est resté allumé et, pendant qu'il prend place, je manipule la souris à la recherche du fichier de mes vidéos:
- Je vous préviens … ce que je vais vous montrer, c'est vraiment du hard, hein …
- Ah bon ... à ce point ?
- Oui. Alors, pour commencer, je vous montre les vidéos de mon plus gros gangbang …
- Là où vous … enfin … le gangbang d'une trentaine d'hommes ?
- C'est ça.
Je m'assieds à côté de lui, à sa droite, un peu tourné vers lui, et je démarre la première vidéo. C'est celle où je me fais tringler sur la pelouse par ce type, là, celui qui était tellement velu qu'il me faisait penser à un ours. A côté de moi, mon gendarme sursaute sous le choc des toutes premières images. Il faut dire, ça commence très fort … immédiatement, on voit deux corps, l'un derrière l'autre, en gros entre le nombril et le haut des cuisses … Celui qui filme a commencé par un gros plan sur un coït. Moi, je sais que le corps du dessous, allongé plus ou moins sur le dos, c'est "l'ours". Je sais aussi que celui qu'il est en train de prendre "en cuiller", c'est moi. Mais, évidemment, sur ce premier plan, on ne voit pas ma tête et on ne me reconnaît pas. Et dès les premières images, il est clair que c'est un accouplement entre deux hommes: on voit le sexe de "l'ours" qui va et vient dans mon cul et au-dessus, on voit le mien, de sexe, qui ballotte de droite à gauche. Ce qu'on voit aussi, c'est ma minijupe rouge, retroussée sur ma taille, et, dépassant un peu en dessous, le porte-jarretelles en dentelle noire que j'avais mis pour l'occasion et les bas assortis à ma jupe … J'explique à mon gendarme:
- En fait, c'est la toute première vidéo qui a été faite ce jour là avec mon accord … jusque là personne n'avait osé sortir ouvertement son smartphone.
On voit que j'ai les cuisses largement écartées … et on devine que je bouge mon bassin pour accompagner les coups de bite de "l'ours" … notre posture est absolument indécente … surtout la mienne, d'ailleurs … un mec en porte-jarretelles et en bas, qui se fait enculer … les bites de deux mecs sur la même image, mais une qui va et vient dans le cul de l'autre …
J'observe le gendarme … il semble impassible … et puis celui qui filme se recule et fait un plan plus large … on vois d'abord mon T-shirt, rouge lui aussi, puis on découvre ma tronche et celle de "l'ours", derrière moi … l'ours qui, d'une main, me tient la jambe droite au niveau du genou pour maintenir mes cuisses bien écartées … je guette la réaction du gendarme au moment où il va réaliser que c'est bien moi qu'on voit se faire enculer. Et en effet:
- Mais … c'est … c'est vous ? ! ? !
- Ben oui. Qu'est-ce que vous imaginiez ? Je vous ai dit … dans mes gangbangs, il n'y a que moi qui me fais baiser …
- Ben je … je sais pas … je m'attendais pas … à ça … j'ai cru que c'était quelqu'un d'autre, sur cette première vidéo, avec cette … cette tenue … c'est tellement … en effet, c'est vraiment très hard !
- Je vous ai prévenu, hein. Vous voyez ? C'est bien moi … on me reconnaît bien, non ?
- Ou … oui. Le type, là, derrière vous, il vous … il vous …
- Il m'encule … vous pouvez le dire.
- Oui, il vous ... il vous sodomise ... enfin, il vous encule, c'est vrai
Tiens, il me rappelle Yolaine, quand elle a commencé à user de ce genre de vocabulaire. Il a prononcé "il vous encule" lentement et du bout des lèvres … Je sens que les questions se bousculent dans sa tête, mais soit il n'ose pas les poser, soit il ne sait pas par laquelle commencer. Il reprend:
- Alors, vous … pour vos … pour vos gangbangs, vous vous … vous vous travestissez ?
Il a posé la question sans même se tourner vers moi.
- Ah oui, j'aime beaucoup. Comme ça, je trouve que je fais encore plus … femelle et encore plus salope que carrément à poil … et ceux qui me baisent, ils aiment aussi beaucoup ! C'est bien plus excitant … pour eux comme pour moi …
Maintenant, le vidéaste fait un plan encore plus large et balaie l'assistance avec son objectif … on découvre, debout autour de nous, une quinzaine de types, certains complètement à poil, d'autres avec seulement une chemise ou un T-shirt, mais tous avec la bite à la main … Putain, c'est moi qui me trouvais au centre de cette scène, c'est moi qui ai vécu ça, mais la revoir comme ça, sur mon ordi, en présence de ce mec … un frisson me parcourt de la tête aux pieds … j'ai eu beau regarder ces vidéos je ne sais combien de fois, je ne suis toujours pas blasé si peu que ce soit … c'est toujours aussi excitant. Je suis sûr que ça va aussi finir par l'exciter, mon gendarme.
D'ailleurs, il a cillé, en découvrant les mecs qui nous entouraient, l'ours et moi … il faut dire que, si on ne s'y attend pas, ça a de quoi troubler … je me fais baiser sous le regard de spectateurs … qui plus est, des spectateurs à poil, qui bandent et qui se tripotent … évidemment, n'importe qui, en voyant ça, ne peut pas s'empêcher de penser que les spectateurs vont certainement devenir acteurs et qu'ils vont aussi me baiser.
- Vous voyez ? Il y avait du monde, hein ?
- Ah oui, en effet. Et ça se passe où ? On dirait …
- C'est dans la cour d'une ferme, où un ami cultivateur nous a accueillis.
- Et tous ceux qui sont là … ils vous ont … ils vous ont tous …
- Enculé ? Oui.
Je sens que là, vis-à-vis du gendarme, j'ai gagné en crédibilité. Si il lui restait des doutes sur ce que je lui ai raconté ce matin, il doivent commencer à se dissiper.
- Et encore, ils ne sont pas tous là. Là, ils sont à peu près une quinzaine. Vous allez en voir d'autres sur les vidéos suivantes …
- Ah, d'accord …
- En fait, ça, ce n'est même pas le début du gangbang. Là, quand ce type me baise et qu'on commence à nous filmer, j'ai déjà commencé depuis un moment avec d'autres mecs, mais jusque là, personne n'avait pensé à filmer … à ce moment là, je pense que je me suis déjà fait baiser par trois ou quatre autres types … je me souviens plus exactement … et j'en ai déjà aussi sucé plusieurs. Quand je dis "sucé", c'est "sucé jusqu'au bout", hein, "sucé jusqu'à ce qu'ils jouissent" ... aussi trois ou quatre, il me semble, ça non plus, je ne me souviens plus. J'avais commencé par ça … les sucer un peu tous … du moins, ceux qui étaient là quand je suis arrivé. Ça a démarré pratiquement tout de suite. A peine dix minutes après être descendu de voiture, j'avais déjà une bite dans la bouche et une autre dans chaque main.
- C'est-à-dire … si je vous comprends bien, quand vous arrivez dans cette … dans cette ferme, il y a là quelques hommes …
- Oui, une douzaine, à peu près …
- … une douzaine d'hommes que vous ne connaissez pas, hein … et presque aussitôt, vous les … vous les sucez …
- Oui, c'est ça.
- …
- Tenez, vous voyez ?
J'ai arrêté la vidéo.
- Vous voyez ? Sur ce plan là, on voit que je me suis déjà fait baiser avant ce type, là … regardez, là, ce qui brille … on dirait que c'est mouillé, hein … et ben c'est du sperme … j'ai déjà du sperme plein le cul et même sur le haut des cuisses.
- Parce que … parce que … ils ne … ils ne mettaient pas de préservatif ?
- Non … à part l'un d'eux, aucun n'a mis de préservatif. Il y en avait, hein, des préservatifs, mais c'est moi qui leur ai demandé de ne pas en mettre.
- Ah bon ? ! ? ! Et … et ils ne se retiraient pas … au moment de … ils ne se retiraient pas ?
- Au moment de jouir ? Non … ça aussi, c'est moi qui leur ai demandé … sentir les hommes jouir en moi, ça me rend … ça fait partie de mon plaisir …
J'ai failli lui dire "ça me rend folle"! Je redémarre la vidéo.
- Mais … vous … vous n'avez pas peur d'attraper une maladie ?
- Non. En principe, tous ces types sont sains …
La vidéo se termine. Mon gendarme reste à regarder fixement l'écran de mon ordi. Comme s'il digérait ce qu'il vient de voir. La main sur la souris, je lui demande:
- Alors ? Vous êtes convaincu, maintenant ?
- Je suis convaincu de quoi ?
- Ben, que je vous disais la vérité, ce matin … j'ai senti que vous doutiez de ce que je vous disais …
- Ben, avouez qu'il y avait de quoi … mais j'avais quand même senti qu'il y avait une part de vérité … les collègues de la PJ de Seine-et-Marne aussi, d'ailleurs …
- Ouais, je sais bien que ça pouvait sembler du baratin … et vous en pensez quoi, maintenant ?
- Comment ça …
- Ben … je sais pas … vous devez bien en penser quelque chose, de ce que vous venez de voir … Vous condamnez ce genre de pratique ? Vous trouvez ça immoral ? Ou bien ça vous est indifférent ? Ou alors vous approuvez, vous appréciez … ça vous fait envie ?
- Me faire envie … non. Je … condamner … non plus. Vu que vous faites ça volontairement, je … si ça vous plaît et que ça ne dérange personne, je vois pas pourquoi je condamnerais …
- Bon, ça, c'est l'aspect ... disons l'aspect moral … mais autrement, ça vous fait quel effet, de voir ça ?
- Comment ça …
- Ben … ça vous déplaît, de regarder ça ? Ça vous répugne ? Ça vous dégoûte ?
- Non, non … je peux pas dire que ça me répugne ou que je trouve ça dégoûtant … c'est pas le genre de choses que je ferais, mais … non … ni répugnance, ni dégoût …
- Ça vous excite ?
- …
Il me regarde, choqué. Je le sens troublé par ma question … comme si j'avais mis le doigt sur un point sensible.
- Hein, ça vous excite pas un peu ?
Il déglutit et regarde fixement l'écran de l'ordi. Je sens qu'un malaise pourrait s'installer. Alors:
- Moi, revoir ces vidéos, ça m'excite. Bon, on continue ? Je vous montre la suite ?
Il se contente de hocher la tête. On continue. Je clique sur la vidéo suivante. Le même vidéaste a recommencé à filmer presque immédiatement. Il faut dire que c'est à ce moment qu'un autre vidéaste, celui que j'avais surnommé "le comptable", s'était approché de l'ours et de moi et qu'il m'avait demandé de le sucer. Quand cette deuxième vidéo commence, on voit "le comptable" juste à côté de moi … il brandit son propre smartphone et visiblement, il filme en gros plan mon coït avec "l'ours" … et il bande ! On aperçoit sa bite qui soulève son T-shirt … une petite bite, mais très raide et dressée à la verticale … après avoir filmé notre coït en gros plan, on le voit qui relève son smartphone, et qui nous filme … ou plutôt qui ME filme, depuis mon entrejambe, où la bite de "l'ours" va et vient, jusqu'à ma tête … puis il s'agenouille tout près de moi, presque à me toucher … d'une main, il soulève le bas de son T-shirt, de l'autre, bras tendu, il nous filme, lui et moi, comme pour faire un selfie, il tend son ventre vers moi et me lance "Suce-moi, salope !".
C'est plus fort que moi, ça me fait bander, de revoir tout ça. Depuis un moment, je sens ma bite qui grossit dans mon jean, mais elle a un peu de mal à s'épanouir, coincée, serrée comme ça dans cette toile. En gonflant, elle s'allonge en se repliant un peu sur elle-même. Je me demande si il s'en aperçoit, que je bande, mon gendarme, quand il tourne la tête vers moi. Jusque là, je me suis contenté d'étendre mes jambes … l'une sous la chaise du gendarme, l'autre sous la table, mon pied tout près de son pied … j'ai étendu mes jambes, et je me vautre un peu plus sur ma chaise, mais je n'ai pas osé tirer sur la toile de mon jean pour faire un peu de place à ma queue, mais ça me démange. Oh, et puis merde ! Il est en train de me regarder me faire baiser, alors quelle importance s'il me voit me toucher la queue à côté de lui … je pince un peu du tissu de mon jean, et je le soulève … voilà, ma bite peut s'étaler tranquillement. Je crois qu'il n'a rien vu, le gendarme Blanchard. Tant que j'y suis, je laisse ma main gauche sur la bosse de ma bite et je me caresse doucement.
J'adore cette situation. Je suis là, assis à … vingt centimètres de ce type … tourné vers lui, les jambes écartées … le ventre offert à sa vue, avec ma bite en érection qui fait une longue bosse sous la toile de mon jean, ma main gauche sur ma queue et la droite sur la souris …
Je l'observe toujours, le gendarme Blanchard. Cette fois encore, il a tressailli en voyant le "comptable" me présenter sa bite à sucer. Le smartphone du premier vidéaste a parfaitement capté son ordre … " Suce-moi, salope ! ". Et on me voit me pencher et prendre son sexe dans ma bouche. Mon gendarme est scotché ! Il tourne la tête, s'apprêtant à me dire quelque chose, et il découvre ma position … mes jambes écartées qui encerclent sa chaise, mon bas ventre étalé vers l'avant et ma main qui me caresse la bite. Il doit se sentir un peu coincé, comme ça, entre moi, à sa droite, et la cloison de la salle d'eau à sa gauche … il la regarde, ma main … pendant trois ou quatre secondes, puis il me regarde, moi … on dirait qu'il a oublié ce qu'il voulait dire, tellement il est surpris et troublé … et puis:
- Vous … il y en a un qui … il y en a un qui vous BAISE … et en même temps, vous en sucez un autre ? ! ? !
- Oui. Mais, regardez jusqu'au bout … ça ne dure pas longtemps … ce type est très excité …
A ce moment, le premier vidéaste a eu l'idée de zoomer sur moi … ou, plus exactement sur la pipe que je commençais à tailler au "comptable" … le "comptable" qui se trouve alors de profil … et rapidement, on voit nettement ses couilles remonter vers son périnée et son urètre, sous sa verge, se gonfler brusquement … "le comptable" éjacule, c'est très net … "le comptable" éjacule dans ma bouche …
Le gendarme n'a rien perdu de la séquence … il a compris ce qui se passe … sidéré, il ne peut retenir une exclamation de stupéfaction:
- Mais … il vous … il est en train de …
- Oui, il jouit … et il éjacule dans ma bouche … mais attendez …
On voit le ventre du "comptable" secoué de spasmes violents … on l'entend haleter … mais il garde son smartphone braqué sur sa bite et sur moi … et puis on me voit sortir sa bite de ma bouche et bailler … j'ouvre ma bouche en grand face au smartphone du "comptable" … et je déglutis, j'avale.
- Vous … vous … vous avez AVALÉ ! ? ! ?
Fin de la deuxième vidéo.
- Oui, j'ai avalé. Ça aussi, j'aime beaucoup … le sperme, j'adore ça ! Le goût du sperme, la texture du sperme … j'y ai pris goût et maintenant, j'adore ça ! J'aime beaucoup sucer des bites, mais pour moi, le top, c'est quand les mecs jouissent dans ma bouche … Et eux aussi, ça leur plaît … la plupart des mecs n'ont pas souvent l'occasion de se finir comme ça … en général, celles ou ceux qui les sucent refusent … alors, quand ils tombent sur quelqu'un comme moi, vous pensez, ils se lâchent. Ce qui fait que, non seulement la plupart de ceux que j'ai sucés disent que je suis une bonne suceuse, mais en plus, ils apprécient de pouvoir éjaculer en restant bien au chaud dans ma bouche …
- Ils disent que vous êtes "UNE BONNE SUCEUSE" ? Et ça vous choque pas qu'ils parlent de vous comme ça ... au féminin ?
- Que je sois une bonne suceuse … au féminin ? Non. En général, ils finissent tous par me parler comme ça. Et ça ne me gêne pas … au contraire. Oui, de l'avis de la plupart, il paraît que je suce vraiment bien. Tu sais, si tu veux essayer, c'est pas un problème …
Il roule des yeux ronds en me regardant:
- Mais … non … non … et on … on se tutoie, maintenant ?
- Oh, hé ! T'es en train de me regarder me faire baiser et sucer une queue, alors, arrivés à un tel degré d'intimité, on peut bien se tutoyer, tu crois pas ?
- Ben, je … admettons, mais … en tout cas … en … en présence de mes adjoints, faudra me vouvoyer …
Je trouve ça marrant. Ce matin, c'est lui qui menait l'interrogatoire. Il était en position de force par rapport à moi. Maintenant, ça s'est un peu inversé, je trouve. J'ai l'impression que, à la fois du fait même de sa présence ici, "chez moi", d'une certaine manière, et du motif de sa présence, il culpabilise et il se sent en position de faiblesse. Alors, il n'ose pas trop la ramener. De plus, je pense qu'il ne s'attendait pas à voir du sexe aussi hard … et surtout, voir du sexe aussi hard dans une telle proximité avec celui-là même qu'il est en train de regarder se faire baiser, ça le met mal à l'aise … c'est que là, lui et moi, nous sommes presque à touche-touche … et peut-être même que ça le trouble un peu. Il insiste:
- Hein … si jamais on se retrouve en présence des personnels de la brigade, il faudra me vouvoyer … d'accord ?
- Ah d'accord, si y'a que ça … alors, t'as envie que je te suce ?
- Mais … non, voyons !
- Bon, comme tu veux … Ça t'excite pas, ce que je te montre ?
- Non … je suis pas … je suis pas homo … alors, ça ne m'excite pas … si j'étais homo, peut-être …
- Oh la la ! Homo, pas homo … y'a pas besoin d'être homo pour être excité par ce genre de scène ! Moi aussi, j'étais exclusivement hétéro quand j'ai commencé à y prendre goût. Tu sais y'a quelques hétéros qui m'ont baisé … il suffit d'avoir le courage de s'avouer qu'on en a envie …
- Ouais, ben c'est pas mon cas …
- Dommage. Bon. On continue quand même ?
- Ben oui.
- Ah oui, il faut que je te dise … le type que j'ai sucé, là … t'as vu, il filmait, lui aussi …
- Oui …
- Et ben, il a filmé toute la séquence … depuis la bite du type velu allant et venant dans mon cul, jusqu'à ce que j'avale sa crème à lui … et ben, sa vidéo, je l'ai, il me l'a envoyée … tu verras, vu de son smartphone, c'est encore mieux … Au fait, tu veux boire quelque chose ?
- Bah … pourquoi pas …
- Coca ? Jus de fruit ? Whisky ?
- Jus de fruit, alors.
- Bon. Je vais te chercher ça … c'est dans le frigo de la cuisine … Je te mets la vidéo suivante ?
- Si vous … si tu veux … mais tu sais, j'ai compris comment il faut faire.
- Ok. Ben vas-y, alors. Je reviens …
En me dirigeant vers la porte, je me dis qu'il va sûrement mater mes fesses moulées dans ce jean … alors, juste avant d'ouvrir, je tourne brusquement la tête. Bingo ! La main sur la souris, il a en effet les yeux braqués sur mon cul … je me cambre, je me claque une fesse et je lui lance:
- Pas mal, hein ?
Il ne répond pas et détourne le regard. Je sors.
à suivre.