Jeudi 15 mars 2018 4 15 /03 /Mars /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Le type entre les pieds de Christine, après avoir promené ses doigts sur son clitoris et ses petites lèvres, a commencé a les lui fourrer dans le vagin … son index, d'abord … puis son majeur … puis les deux en même temps …

 

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Evidemment, il n'a pas lâché son smartphone, et il continue de filmer ce qu'il lui fait … et ce qu'il lui fait …  lui fait beaucoup d'effet … les yeux fermés, elle halète et se cambre … il la fouille, il va et vient un moment, puis il retire lentement ces doigts là, et commence à enfoncer délicatement son pouce … quand son pouce est totalement enfoui, ses autres doigts plaqués sur son pubis, il fait osciller son poignet et il lui masse le clitoris avec la bride de peau entre son pouce et son index … son halètement se transforme alors en gémissement … les autres se regardent, les yeux écarquillés de stupeur … ils n'en reviennent toujours pas de la voir réagir aussi intensément … elle ne simule pas et ils le sentent … ils n'ont sans doute jamais vu une femme aussi addicte au sexe … ils doivent se dire que c'est un véritable phénomène qui les a racolés dans ce café parisien … la plupart d'entre eux se sont rapprochés du canapé … ils veulent être aux premières loges pour assister au spectacle … et ils veulent être les premiers à prendre la suite quand leur pote en aura terminé avec elle … ils ont hâte d'être à leur tour celui qui lui donne ainsi du plaisir … maintenant, elle gémit et secoue sa tête de droite à gauche … Et soudain:

- Allez, baise moi, maintenant !

 

Christine a ouvert les yeux, s'est un peu redressée et a crié ça en jetant un rapide coup d'œil vers moi … elle ôte son bras droit de sous sa nuque et tend sa main vers son amant pour l'inviter à la … à la couvrir … Son bref regard vers moi a rappelé ma présence aux autres types. Je sens leurs yeux sur moi … simplement curieux … ils guettent ma réaction … Lentement, je gagne le pied de l'escalier et, sans quitter des yeux le duo qui s'apprête à s'accoupler, je m'appuie au premier pilier de la rampe. Alors les six autres reportent leur attention sur ce qui se prépare sur le canapé. 

 

Le type extrait son pouce du vagin de Christine, pose son smartphone sur le coussin du canapé et commence à se lever … puis il s'agenouille entre ses mollets et se penche au-dessus d'elle …  elle le regarde … elle le regarde même avec une espèce de lueur amoureuse dans les yeux ! Ce type, cet inconnu, va la baiser, et elle est pleine de gratitude pour lui … il a empoigné son membre, et, appuyé de l'avant bras sur l'accoudoir où elle repose sa tête, il guide son sexe, les yeux rivés entre leurs deux ventres … elle aussi, la tête penchée en avant, cherche à voir le sexe de son amant s'enfoncer en elle … maintenant qu'il me masque l'entrejambe de Christine, je ne peux que deviner, au mouvement de son basin, qu'il est en train de la pénétrer … je ne peux qu'imaginer son membre qui s'enfonce lentement dans la tiédeur humide de ses chairs … Ça leur fait un effet terrible à tous les deux … elle, les mains posées sur les flancs de son amant, se cambre et halète, la nuque cassée, les yeux fermés et la bouche grande ouverte … lui, la bouche entrouverte dans une moue de stupeur, écarquille les yeux … Pas de doute, l'étroitesse du vagin de Christine amplifie ses sensations … tout à l'heure, le grand type m'a fait remarquer combien elle est serrée … et deux des triplés sénégalais me l'avaient dit aussi au Huitième Ciel … 

 

Ça y est, il est en elle et il entame un lent va et vient … comme par réflexe, elle enserre de ses jambes les jambes de son amant, puis elle l'enlace de ses bras et, tout en lui caressant fiévreusement le dos et les reins, elle le presse contre elle. Voilà, ils font l'amour … Christine et un inconnu font l'amour sous mes yeux et visiblement, elle y prend beaucoup de plaisir … lui, le visage dans le cou de Christine, se met à grogner … Le grand type, lui, n'a pas arrêté de filmer … son appareil braqué sur le couple qui baise, il se tripote la bite … Elle rouvre les yeux et balaie lentement l'assistance du regard … et rapidement, je comprends qu'en fait, ce qu'elle contemple, c'est les bites en érection des six types debout devant le canapé … Il n'est pas nécessaire qu'elle dise quoi que ce soit, son regard et son expression parlent pour elle … toutes ces mecs bandent pour elle … toutes ces mecs ont envie de la baiser … et leurs bites, elle les veut  … elle sait qu'elle va aussi se les prendre dans la chatte, ces six bites … elle sait que ces mecs vont tous lui passer dessus, l'un après l'autre, quand celui-ci en aura fini … cette perspective ajoute à son extase … nos regards se croisent … les yeux plantés dans les miens, elle passe se langoureusement la langue sur les lèvres … "tu vois, il me baise … et après lui, les autres aussi vont me baiser. "… je me trompe peut être, mais, à de subtiles réactions de son corps, j'ai l'impression que me voir assister à cette … à cette partie de cul entre elle et ces sept types (à ce véritable gangbang) accroît son extase … Tant mieux … si seulement ça pouvait l'inciter à me laisser assister à ses prochaines orgies … 

 

Brusquement, les grognements de son amant se transforment en un râle sourd … ses coups de reins se font plus erratiques … il est au bout de sa résistance et il ne maîtrise plus les réactions de son sexe, il ne maîtrise plus les mouvements de son bassin … il se laisse aller … il va jouir … il va éjaculer dans le ventre de Christine ! Son râle se mue maintenant en un gémissement qui va croissant … Christine a senti que le mâle qui est en elle est au bord de l'orgasme et qu'il va bientôt l'inséminer, noyer son utérus de sa semence … et ça alimente sa propre excitation … elle le presse et le caresse de plus en plus fiévreusement … les voilà emportés tous deux par ce furieux embrasement … elle se met aussi à gémir et à secouer sa tête de droite à gauche … Oh putain ! Assister à ça, c'est absolument …  beau et fascinant ! Je me suis approché, comme les autres, pour mieux voir, et je bande à mort … comme les six autres types … je bande tellement que ma verge en est presque douloureuse … j'ai la sensation que ma bite est lourde … et mes couilles aussi … comme si … comme si, à la vue de ce spectacle, elles s'étaient mises à produire et à stocker une quantité phénoménale de sperme … mais je sais bien que, physiologiquement, ça ne se passe pas comme ça … c'est seulement une impression … et je réalise que, moi aussi, je suis en train de me masturber … aussi, pour éviter de jouir, je suis brusquement obligé de serrer la base de ma verge, juste sous les couilles … je veux rester excité pour voir les six autres types la baiser à leur tour …

 

Après un ultime coup de reins, le type a plaqué son ventre contre le ventre de Christine, et le torse un peu soulevé au-dessus d'elle, la tête penchée vers elle, il halète, les dents serrées, et il postillonne sur elle … là, tout de suite, c'est évident, il est en train de jouir … il éjacule … il est en train de répandre sa semence au fond du ventre de Christine … Elle l'a senti et, prise d'une incontrôlable furie, bouche grande ouverte, elle se met à crier "Oh ouiiiiiiiii … ouiiiiiii … ouiiiiiiiiii … ouiiii … ouiiiiiiiiiiiiii" … à son tour, c'est sûr, elle jouit ! Putain, quel pied elle prend ! Essoufflé, le type se remet alors à aller et venir … avec brutalité ! Il lui donne de violents coups de bite, faisant claquer son pubis sur le pubis de Christine … elle ne crie plus, elle laisse échapper un long gémissement … plus qu'un gémissement, c'est le feulement amoureux d'une femelle que son mâle est en train d'inséminer … entre deux coups de reins de ce mec, je vois le ventre de Christine se soulever et se contracter spasmodiquement sous l'effet de son orgasme … fébrilement, elle se met à chercher la bouche de son amant … elle la trouve et elle le prend par la nuque … ils s'embrassent avec fougue, lui, continuant à la pilonner, mais un peu moins vigoureusement … et peu à peu, il ralentit et s'affaisse sur elle … ils finissent par décoller leurs bouches et il fourre de nouveau sa tête dans le cou de Christine … Voilà, c'est fini. Ce mec a tiré son coup, il s'est vidé les couilles. Il reprend son souffle et je vois son torse se soulever et s'abaisser comme un soufflet de forge … elle aussi s'efforce de retrouver sa respiration … ils restent comme ça un petit moment, puis un des spectateurs s'avance jusqu'au canapé, donne un coup de genou dans le genou de son pote, et:

- Allez, Chris ! Ça y est, t'as fini ! Laisse la moi, maintenant …

 

" Laisse la moi ! ". Je n'en reviens pas de la façon dont il parle de Christine … comme … comme d'un objet … comme d'une chose … et curieusement, au lieu de me choquer, je trouve ça … je trouve que ça cadre bien avec la situation … pour lui, Christine n'est rien d'autre qu'une espèce de poupée gonflable vivante … et en plus, je dois dire que ça me plaît ! "Laisse la moi ! ". Celui qui la veut, c'est le type un peu enrobé qui était venu nous retrouver dans la cuisine quand je discutais avec le grand … il s'appelle Gérard, il me semble. Tout à l'heure, quand il est arrivé dans la cuisine, sa bite baissait le nez, bien que, visiblement, il bandait … mais là, il est tellement excité que sa bite tient toute seule à l'horizontale, et je vois une énorme veine qui parcourt sa verge depuis la base jusque sous la couronne de son gland. Ce type n'est pas un perdreau de l'année … et c'est le contraire d'un Apollon, il a du ventre, il a des seins, il grisonne et il est déjà bien dégarni du crâne … rien de génial en soi, mais voir un mec comme lui, vieux et moche, s'apprêter à baiser Christine, je trouve ça tout aussi fascinant … troublant … excitant, que si c'était un jeune étalon fringant … Elle se tape vraiment tout le monde et n'importe qui du moment qu'il a une bite en état de marche ! D'un seul coup, ce … Gérard empoigne sa queue et la comprime … à l'évidence, il cherche à retarder une éjaculation imminente, et comme son pote Christophe ne réagit pas, qu'il ne lui laisse pas la poupée gonflable, il insiste:

- Allez, Chris ! Laisse la moi, j'te dis … ça urge !

 

Alors Chris appuie ses deux mains sur le canapé de part et d'autre du torse de Christine et commence à se soulever. Elle dénoue ses jambes et ses bras d'autour de son amant. Il se décolle, braque de nouveau son regard entre leurs deux ventres et il extrait lentement sa bite du ventre de Christine … les mains plaquées sur l'intérieur de ses cuisses, elle aussi penche sa tête pour regarder ce sexe sortir de son ventre … D'où je suis, je vois la verge encore gonflée de Chris glisser lentement entre les petites lèvres de Christine … elle est couverte d'un sperme très blanc et très épais ! Et là, je réalise … si j'en crois ce que m'ont dit le grand type et l'autre, tout à l'heure dans la cuisine, Chris est le quatrième à avoir joui … à avoir éjaculé dans son ventre ! Christine a approché ses mains de sa chatte et, en enserrant la bite de Chris avec ses doigts, elle racle son sperme qui s'accumule sur ses phalanges … elle semble ravie … voilà le gland de Chris qui, à son tour, passe entre ses petites lèvres … lui aussi est encore tout gonflé et rouge, tout maculé de sperme … 

 

Quel spectacle ! Je viens de regarder la bite d'un mec, d'un inconnu, sortir du ventre de ma femme où il vient de décharger sa dose de sperme ! Une fois encore, ça me bouleverse littéralement … et après lui, il va y avoir ce … ce Gérard … et encore d'autres après ! Je me demande … je me demande si je vais pouvoir tenir le coup … résister à l'excitation des accouplements suivants sans éjaculer à mon tour … Chris est maintenant complètement redressé, à genoux entre les jambes de Christine, il tient sa bite encore raide dans sa main et il la contemple, les yeux exorbités, comme ébahi de ce qui vient de se passer et de voir son sexe encore dans cet état … Christine, elle, glisse ses doigts dans son vagin, les bouge un peu, les ressort tout maculés de sperme, et, sans hésiter, elle les porte à sa bouche et les lèche avec gourmandise … Chris descend du canapé et récupère son téléphone:

- Oh, merde ! Quel pied j'ai pris !

 

Le Gérard ne perd pas de temps … il doit vraiment avoir une urgence … sa queue est turgescente, ses veines font saillie, son gland, décalotté, est gonflé … Putain, ce que ça me plaît de voir ces mecs se succéder comme ça sur Christine … sans la moindre pause ! A son tour agenouillé entre les jambes de Christine, il se penche, lui met ses mains derrière les genoux:

- Allez, remonte tes jambes … vite !

 

Il l'incite à fléchir ses jambes et à remonter ses cuisses de part et d'autre de son ventre … docilement, elle saisit l'arrière de ses genoux et les attire vers elle dans un bruit de bulles visqueuses qui s'échappent de son ventre … ça la fait rire … la voilà, les cuisses repliées sur son ventre, qui attend que ce nouveau type la prenne à son tour et se serve d'elle … Je n'en reviens pas, j'adore la voir se comporter comme ça … comme … une vraie salope … une paillasse … une viande à bites à la disposition de ces types ! Visiblement, elle se fout que ce mec soit vieux, mal foutu et gras du bide … il va la baiser et c'est tout ce qui compte pour elle ! C'est vraiment du sexe brut ! Lui est pressé: penché au-dessus de Christine, appuyé d'une main sur le dossier du canapé, il est déjà en train de guider sa queue à l'entrée de son vagin … voilà … son gland commence à disparaître entre ses petites lèvres … ça aussi, ça me bouleverse … voir le sexe d'un type commencer à disparaître dans le sexe de … de "ma femme" … ma queue en a même une espèce de spasme d'excitation … comme quand je m'apprête à éjaculer ! Chris a repris ses esprits et il s'est remis à filmer. Maintenant assuré d'être en place, le type qui vient de prendre son tour se laisse descendre brusquement entre les cuisses largement écartées de Christine et, dans le même mouvement, il finit de s'enfoncer en elle avec un énorme soupir… encore un type qui la baise … un parfait inconnu, un type qu'elle n'avait jamais vu il y a seulement quelques heures ! Oh, Christine, Christine ! Moi, des mecs, je peux t'en trouver d'autres et te les amener ici pour qu'ils te baisent ! 

 

Oh la la, ce Gérard était vraiment dans l'urgence ! Je crois que … oui, il est déjà en train de jouir ! Il gémit et agite convulsivement son bassin. Simplement s'introduire en elle a suffi pour déclencher son orgasme. Elle le sent … elle lâche ses genoux, croise ses chevilles dans le dos de son amant et l'enlace à son tour … les yeux fermés, la bouche ouverte, je la sens se concentrer … et brusquement, à son tour, elle jouit ! Putain, elle a déjà eu un orgasme, il y a quoi … deux, trois minutes, et elle recommence ! Elle gémit doucement … je ne suis même pas sûr que ce soit la présence de cette bite dans son sexe qui lui procure un tel plaisir … je crois … je crois que c'est de sentir qu'il est en train de la féconder ! C'est de sentir qu'un mâle lui déverse du sperme dans le ventre qui la rend dingue ! C'est ça qui lui déclenche un orgasme et c'est pour ça qu'elle ne veut pas qu'ils mettent de capote. Maintenant, tandis que Gérard se répand en elle en ahanant, elle le tient par le cou et gémit de volupté … et ça ressemble à … un sanglot de bonheur … 

 

Putain, j'adore ça ! Ce qui se passe là, sous mes yeux, c'est vraiment du sexe brut … pas du sexe brutal, non, du sexe BRUT … en fait, ces mecs ne lui font pas l'amour, ils la baisent ! Jusque là, de mes propres yeux, je n'en ai vu que trois la baiser … le premier, quand je suis descendu tout à l'heure, et les deux autres juste à l'instant … et pendant que je discutais avec le grand dans la cuisine, j'en ai entendu deux autres … et c'est évident, aucun sentiment, aucune tendresse de la part de ces types … et c'est assez normal, ils ne la connaissent pas … pour eux, elle n'est qu'un jouet sexuel, une chatte dans laquelle ils peuvent donner du plaisir à leur queue et un ventre dans lequel ils peuvent se vider les couilles … une femelle que n'importe lequel d'entre eux peut couvrir comme il veut … pas de sentiment ni de tendresse, mais quand même de la douceur …  peut-être, d'ailleurs, que pouvoir disposer d'elle comme ils veulent finirait par leur donner envie de la revoir, de recommencer, et susciter une forme de … d'attachement. Mais, pour le moment, on n'en est pas là ! Et pour elle … c'est aussi du sexe brut … elle aime LA BITE … elle aime se faire baiser … elle aime surtout se faire inséminer, se faire remplir de sperme … mais, à la différence de ses amants d'un jour, chaque fois que l'un d'eux tire un coup dans son ventre, en plus d'un orgasme purement physique, j'ai l'impression qu'elle se laisse submerger par une vague … disons par une vague sentimentale …

 

Et moi, dans tout ça ? Et bien … moi, je trouve tout ça génial ! Je ne ressens plus la moindre gêne, je n'ai plus la moindre inhibition ni le moindre scrupule … toute cette débauche a eu raison de mes tabous, de mes interdits, de toutes mes barrières mentales, qu'elles soient morales ou sentimentales … Je ne ressens pas la moindre jalousie … au contraire, ça me fait carrément plaisir pour Christine de la voir se faire baiser par ces types, et en tirer une telle jouissance ! Il subsiste bien un tout petit quelque chose, dans ce qui me reste de raison, qui me souffle que tout ça est radicalement immoral, vicieux, pervers … je sais bien qu'aux yeux de la société et de sa morale, s'accoupler comme le fait Christine avec autant d'hommes … autant d'inconnus, et copuler sans frein avec eux est considéré comme des actes contre nature. Mais à mes yeux à moi, c'est exactement le contraire … pour moi, on est en plein dans le "naturel" au sens strict ! Christine et ces hommes qu'elle racole pour la chevaucher, s'abstraient des règles morales que la société prétend leur imposer … elle et eux ne se soumettent qu'à ces forces NATURELLES que sont leur désir brut et leurs pulsions sexuelles, comme le font … oui, comme le font les animaux … Et alors ? En quoi ça la regarde, la société, du moment qu'ils ne se livrent pas à ce libertinage en public ?

 

Et pour moi, la morale ? Elle n'a plus aucune prise sur moi, la morale … elle est étouffée par l'excitation purement sexuelle que me procure le spectacle de ces multiples coïts … excitation doublée d'une espèce de jubilation, d'exaltation cérébrale de voir cette femme … MA femme, au regard de la loi … ainsi possédée, utilisée sexuellement par des hommes qu'elle ne connaît même pas … et l'effet en est d'autant plus puissant sur moi que Christine ne triche pas, qu'elle va vraiment jusqu'au bout … en se faisant VRAIMENT baiser … en refusant que ses amants d'un soir mettent une capote … en se faisant VRAIMENT inséminer par tous ceux qui lui passent dessus, si nombreux soient ils … elle recueille VRAIMENT au fond de son ventre, jusque dans son utérus, la semence de tous ces types qui se succèdent en elle … Alors oui, je n'ai qu'une envie … que ça continue ! Que ça continue là, maintenant, cette nuit même, évidemment … mais aussi qu'à l'avenir, Christine continue d'aller provoquer des hardes de mâles, qu'elle continue de les mettre en rut en répandant ses effluves de femelle ou en collant sous leurs nez sa vulve humide et brûlante de désir … bref, qu'elle rabatte à la maison des mâles excités pour se faire saillir et couvrir encore et encore devant moi … 

 

Je verrais même assez bien que se constitue autour d'elle une espèce de … de cercle d'habitués, comme une "troupe régulière", regroupant les baiseurs les plus vigoureux et les plus endurants … une brigade de "tireurs" d'élite, en somme … comme un harem inversé … ou plutôt comme un haras … et on pourrait organiser un planning, de manière qu'il y ait constamment six ou sept étalons d'astreinte, à tour de rôle, afin de pouvoir satisfaire jour après jour son inextinguible fringale de bites et de foutre … On n'aurait sans doute aucun mal à recruter des volontaires ... pour peu qu'après avoir rempli leur office de reproducteurs on les laisse se "régénérer" pendant deux ou trois jours, je pense que des mecs tant soit peu portés sur le cul ne pourraient qu'être disposés à venir se vider les couilles régulièrement … une femelle constamment demandeuse de coups de bite, qu'ils n'auraient pas besoin de séduire ou de draguer, qu'ils n'auraient même pas à chercher à faire jouir, puisque c'est leur éjaculation qui lui fait prendre son pied, et qu'ils pourraient niquer aussi souvent qu'ils veulent … que demander de plus, pour des mecs ?

 

Tandis que mon imagination vagabondait, Gérard avait continué de se soulager dans le ventre de Christine et, du même coup, de la faire jouir … Ils ont fini, tous les deux, et ils reprennent leur souffle … Lui, toujours vautré entre les cuisses repliées de Christine, le visage enfoui dans son cou, comme l'autre, tout à l'heure, il semble apaisé … il remue doucement son bassin, comme s'il voulait sentir sa bite bouger dans ce vagin … elle l'enlace, lui caresse le dos … et elle l'embrasse dans le cou et sur la joue … image de la femme comblée et amoureuse … Et elle ne le connaissait pas il y a seulement quelques heures ! Et si ça se trouve, elle ne sait même pas comment il s'appelle ! Moi, j'étais pas loin de jouir aussi, il y a un instant, mais c'est passé … l'excitation est un peu retombée.

 

- Bon, ça y est, Gérard ?

 

Qui vient de rompre le charme de cette étreinte ? On dirait que c'est le grand … celui qui est venu discuter avec moi dans la cuisine … il est tout contre le canapé, il serre sa bite dans une main et de l'autre, il filme en gros plan le couple enlacé … Gérard sort sa tête du cou de Christine et regarde son pote:

- Ouais, ça y est !

 

Il commence à se soulever … Christine dénoue ses bras et ses chevilles pour le libérer, et elle regarde le grand, debout au-dessus d'elle … Il bande et sa bite se dresse à quarante cinq degrés ... et elle doit avoir une vue directe en contre plongée …  Gérard se redresse en s'appuyant sur le dossier du canapé, et finit de se relever … sa queue est toute molle … Christine redescend ses jambes et pose ses pieds sur le canapé … on dirait qu'un peu de sperme blanchâtre s'écoule de son vagin … sans quitter le grand type des yeux, elle descend sa main sur son ventre et glisse ses doigts sur son sexe … visiblement, elle attend quelque chose de lui … qu'il la prenne à son tour … qu'il lui ordonne ou lui demande je ne sais quoi … lentement, il promène son smartphone au-dessus d'elle, dans une sorte de traveling depuis sa tête jusque … et quand il arrive au-dessus de son ventre, elle écarte largement les cuisses et elle fourre son majeur entre ses petites lèvres … alors le grand type pose un genou sur le canapé, entre les pieds de Christine, et il braque son smartphone à une vingtaine de centimètres de son entrejambe … il filme en gros plan … les deux pétales roses et le haut des cuisses de Christine sont moites, mais je sais que, même s'il fait encore très chaud à cette heure de la nuit, ce n'est pas de la sueur qui les fait luire ainsi … ravie de voir ce mec la filmer, elle se prend au jeu et se met à jouer des doigt sur ses petites lèvres et son clitoris … je trouve ce tournage pornographique tout aussi excitant que les parties de cul elles-mêmes … c'est absolument indécent, lubrique, cru, obscène … et j'adore ! Et brusquement, le grand type détourne l'objectif de son appareil et le pointe … et le pointe sur sa bite ! Et, tout en filmant complaisamment son propre sexe, du dessus, de côté, de face, puis de nouveau du dessus, il lance à Christine:

- Tu veux que j'te la mette, ma queue ?

 

Un peu surprise, elle marque un temps … alors il braque de nouveau son smartphone sur elle et il insiste:

- Hein … tu la veux, ma bite ?

- Oui …

- Je vais te baiser …

- Oui …

- T'aimes ça, hein, te faire baiser …

- Oui, j'aime ça … 

- Et t'aimes te faire baiser devant ton mari, hein …

- Je m'en fous, de lui … j'aime me faire baiser, c'est tout …

- Bon, est-ce qu'il y a quelqu'un d'autre qui y est pas encore passé ?

 

Apparemment, c'est à ses complices qu'il s'adresse … il les balaie avec l'objectif de son appareil.

- Moi ! Mais c'est bon … j'irai après … toi et moi, on est les derniers, je crois …

 

C'est un petit brun à l'air juvénile qui vient de répondre. Oui, si j'ai bien tout compris, ils l'ont déjà tous plus ou moins fourrée, mais sur les sept, il n'y en a que cinq qui ont tiré leur coup … autrement dit, pas vraiment les derniers à y être passé, mais les derniers à se vider les couilles …

 

- Ouais, mais moi, j'ai l'intention de recommencer … 

 

C'est le rouquin qui intervient … celui qui était déjà en train de la baiser quand je suis descendu de la chambre, tout à l'heure … il me regarde et me sourit …

 

- Ouais, ben moi, pareil … je vais lui en remettre un coup …

 

Celui-ci, c'est le type qui était en train de tripoter la poitrine de Christine pendant que le rouquin la ramonait … lui, il a dû la baiser pendant que j'étais dans la cuisine … Je m'aperçois que le grand type me regarde avec insistance … il n'attend quand même pas que je commente … comme je ne réagis pas, il comprend que je ne dirais rien, et il reporte son smartphone sur Christine … elle sourit … elle est ravie ! Là, tout de suite, il y en a deux qui vont la baiser et deux qui veulent recommencer ! Elle tend la main vers le grand:

- Allez, viens, maintenant !

 

Son téléphone toujours en main, il lui tapote la cuisse gauche:

- Bon, alors tourne –toi un peu, s'il te plaît …

- Sur le ventre ?

- Non, pas complètement … tourne toi sur le côté … comme ça …

 

Il l'aide, il la guide … la voilà allongée sur le côté droit, face à nous, son coude sur le coussin et le menton appuyé sur sa main, elle regarde le grand se mettre en position … il lui fait remonter sa cuisse gauche vers son ventre et il s'installe à califourchon, les genoux repliés de part et d'autre de la jambe allongée de Christine … son smartphone braqué sur elle dans une main, de l'autre, il lui caresse la cuisse qu'il vient de lui faire remonter avant d'aventurer ses doigts entre ses fesses … tout en lui tripotant les petites lèvres,  il s'avance lentement vers elle, un genou après l'autre … il approche son ventre de la fesse de Christine … surtout, il approche son sexe en érection du sexe de Christine … elle a compris ce qu'il veut … elle tend le bras, elle pose sa main sur sa fesse et elle s'ouvre … elle s'ouvre à la pénétration de ce sexe dont elle ne doit voir que le gland dépasser au-dessus de sa fesse … Oui, il va la prendre comme ça … on a déjà baisé dans cette position, Christine et moi, et c'était vachement bien … j'étais resté longtemps collé à elle, immobile, mon sexe gonflé baignant dans la chaleur mouillée de son ventre, à la caresser et à manipuler son clitoris et ses lèvres avec mes doigts … je me souviens, elle avait joui plusieurs fois et à chacun de ses orgasmes, j'avais senti son vagin se contracter en spasmes sur mon gland … quel bonheur ! Il va lui faire pareil … il va aussi la faire jouir plusieurs fois … j'espère, du moins … et il va goûter à cette béatitude d'être comme … comme tout entier dans les sensations de son sexe à l'intérieur des chairs de cette femme … 

 

Tout en filmant et sa queue et le cul de Christine, il avance encore un peu et, du bout des doigts, il appuie sur sa verge pour l'incliner et la présenter horizontalement à l'entrée du vagin de Christine … oh putain … son gland, rouge, luisant, turgescent, n'est plus qu'à un centimètre des petites lèvres … un nouveau spasme secoue ma propre bite … je la comprime pour éviter d'éjaculer … pas maintenant … pas encore … putain, c'est trop … trop excitant, de voir ce sexe masculin s'apprêter à s'enfoncer dans ce sexe féminin … Christine descend un peu plus ses doigts et, délicatement, elle soulève sa petite lèvre pour ouvrir le passage à cette … à cette bite ! Voilà ! Oh putaiiiin, ça y est, le gland du grand type se glisse entre les petites lèvres de Christine … elle l'a senti et ça semble lui faire un effet terrible … elle aspire une grande goulée d'air et se met à gémir en haletant … le grand type la filme, haletante et gémissante … elle pose sa tête sur l'accoudoir et, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle attend que le grand type finisse de la pénétrer et la possède … Il braque de nouveau son smartphone sur sa bite et le cul de Christine et avance encore un peu ses genoux … ça y est, il s'enfonce en elle … Je ne quitte pas sa verge des yeux … son gland est maintenant entièrement enfoui en elle, et je vois le reste de son sexe progresser lentement … son genou gauche est maintenant arrivé au niveau du nombril de Christine, et il continue d'avancer lentement … j'imagine les sensations de son gland qui glisse en écartant au fur et à mesure les chairs chaudes et soyeuses de ma femme … et … 

 

ah … ah … aah … aaaahhhh … putain … putain … ça y est, je … je jouiiiiiiiiis !

 

Ça a été plus fort que moi ! Ah la vaaaaaache … voir ce mec s'enfoncer dans le ventre de Christine … et elle … et elle qui se délecte de cet accouplement ! J'éjacule dans mon pyjama en haletant … longs spasmes … violents … qui me plient presque en deux et me coupent le souffle … oh putain, ce que j'aime ça, la voir se faire baiser ! Et c'est bien plus jouissif que la dernière fois que je l'ai baisée moi-même il y a … il y a déjà plusieurs mois, maintenant … ça avait été de la baise … mécanique … Là, c'est … Ouaaaaaaaaaaahhhh ! Je sens mon sperme s'écouler sur ma cuisse et le long de la jambière de mon pantalon de pyjama … jusque sur mon genou … Je déglutis et je reprends mon souffle … un coup d'œil autour de moi … apparemment, personne ne s'est aperçu que j'étais en train de jouir … ils sont tous fascinés par le spectacle … plusieurs compriment leur bite, sans doute pour ne pas jouir, eux aussi … Bon, mais je ne peux pas rester comme ça .. la toile de mon pyjama commence à se coller sur ma cuisse … lentement, discrètement, je recule … arrivé au pied de l'escalier, je le monte sans bruit … je vais me nettoyer et me changer … ou peut-être ne rien remettre du tout et redescendre à poil, pour assister à la suite dans la même tenue que ces types … à poil ...

 

J'ouvre la porte en haut de l'escalier et je m'éclipse à l'étage … Au moment où je m'apprête à entrer dans la salle de bain, j'entends comme un brouhaha au rez-de-chaussée … et distinctement la voix de Christine … "viiiite !" … pourquoi "vite !" … puis des pas et comme une bousculade dans l'escalier … et aussitôt, un bruit contre la porte que je viens de refermer derrière moi … des rires et des éclats de voix un peu étouffés … qu'est-ce que … quelqu'un veut me suivre à l'étage ? Mais non, personne n'ouvre la porte … personne ne me rejoint … qu'est-ce qu'ils ont foutu ? Alors, pris d'un soupçon, je fais demi-tour pour redescendre et voir ce qui se passe en bas … mais … pas moyen d'ouvrir la porte ! Je m'escrime, je secoue le loquet … rien ! Elle reste bloquée … et des nouveaux rires éclatent en bas … Putain … ils m'ont enfermé à l'étage ! Et ça les fait marrer ! Bande d'enfoirés ! C'est Christine qui a dû leur demander d'aller bloquer cette foutue porte ! La garce ! 

 

C'est une vieille porte en haut d'un vieil escalier dans une vieille maison … elle se ferme pas un simple loquet à l'ancienne … il n'y a pas de serrure … mais les précédents propriétaires, pour empêcher leurs enfants de descendre au rez-de-chaussée à tout moment, avaient improvisé un système pour bloquer ce loquet en glissant dedans une simple cheville en bois … nous n'avons jamais eu besoin d'utiliser ce système, mais nous n'avons pas non plus pris la peine de le supprimer … et pas moyen pour moi de descendre par un autre accès … je ne peux pas sauter par une fenêtre, au risque de me péter quelque chose … me voilà coincé à l'étage comme un con … Putain, ça a bien dû les faire marrer de m'enfermer et de m'entendre m'escrimer sur cette porte ! Je les entends discuter … des voix masculines, basses, sourdes … mais aussi celle de Christine … et ils continuent de se marrer … Je ne vais quand même pas leur demander de m'ouvrir … Je fais quoi, maintenant ? Putain, quelle salope ! Peu à peu, le bruit des conversations s'atténue … J'ôte mon pantalon de pyjama et je me nettoie vite fait dans la salle de bain … Et si … et si j'appelais les pompiers … en leur disant que je suis enfermé chez moi … Ouais … mais en débarquant ici, ils comprendraient vite la situation et j'aurais l'air encore plus con … Je retourne près de cette foutue porte … pratiquement plus de bruit, en bas … juste avant que je monte, c'était déjà plutôt silencieux … tout le monde regardait sans mot dire Christine se faire fourrer … la séance de cul a dû reprendre … le grand type doit être en train de la ramoner … Putain, j'aurais bien voulu le voir prendre son pied, celui-là !

 

J'ai beau réfléchir, je ne trouve vraiment pas le moyen de me sortir de ce piège … Ça ne sert à rien de rester derrière cette porte … plus aucun bruit ne filtre à travers … Je retourne dans mon lit … et puis, je pense à ce que je viens de voir … ces types … SEPT types … SEPT inconnus, que Christine a racolés dans un bar, ramenés à la maison, et qui la baisent l'un après l'autre devant moi ! Putain, j'aime vraiment ça ! Les images défilent dans ma tête … et peu à peu, je me remets à bander … elle se fait vraiment sauter par n'importe qui … l'autre fois, des blacks … trois blacks, et un beur … ensuite des petits jeunes … dont un de seulement seize ans, d'après elle … et aujourd'hui ces mecs … avec un, visiblement le plus vieux des sept, qui est gros, gras et moche … sans compter ceux que je n'ai pas vus, au cours de ses précédentes escapades nocturnes … 

 

Il faudrait … il faudrait que j'arrive à la convaincre de me laisser participer à ses parties de cul … ou plutôt à assister … je sens bien qu'elle n'a aucune intention de me laisser participer, et, à vrai dire, je n'en ai pas tellement envie … je préfère regarder … de toute façon, je n'aimerais pas tremper ma queue dans le foutre de mecs que je ne connais pas … oui, c'est ça, assister à ses parties de cul … l'accompagner dans ses virées de racolage … et pourquoi pas recruter moi-même des types pour elle … et même, la conduire moi-même aux mâles … aller avec elle dans des endroits fréquentés par des mecs et leur proposer de la baiser … je sais pas … dans des clubs de sport, par exemple, comme celui des sept footeux qui sont là cette nuit … ou dans des salles de fitness ou de muscu … je me vois très bien débarquer avec elle, habillée en salope, robe transparente comme celle qu'elle portait au Huitième Ciel, ou en mini jupe ras de la moule, et pas de culotte, et dire aux types qui sont là « Regardez … c'est ma femme … ça vous dirait de la sauter ? » … En dehors des clubs de sport, il y aurait quoi d'autre comme concentrations de bonshommes ? Là où les fanas de bagnoles se réunissent … ah oui, sur un parking … ils pourraient la baiser sur un capot de voiture, comme les footeux de cette nuit ont fait avant de rentrer dans la maison … ou sur le plateau à l'arrière d'un pick-up … il y aurait aussi les mecs sur les chantiers … dans des maisons en construction … ou plutôt dans des IMMEUBLES en construction … il y a plus de monde sur les gros chantiers … 

 

Oui, je vais lui dire ça … que ça me dérange pas qu'elle se fasse sauter par des tas de mecs … que … qu'elle n'a rien à craindre de ma part, au contraire … que je suis prêt à l'aider à trouver des mecs qui veulent la baiser … que j'ai des idées où en trouver et que je peux l'accompagner … et que, si elle veut, on peut en ramener autant qu'elle veut à la maison … 

 

J'en suis là de mes élucubrations quand un brouhaha au rez-de-chaussée attire mon attention … des voix … dont celle de Christine … le grincement d'une porte … on dirait la porte de la penderie, là où sont rangés draps et couettes depuis qu'elle couche sur le canapé … et un autre bruit … le raclement des volets de la porte-fenêtre qui donne sur la terrasse … quelqu'un sort dans le jardin … Je me lève et je file dans le bureau … sa fenêtre donne sur l'arrière de la maison … coup de pot, je l'avais laissée ouverte, ainsi que les volets, pour laisser entrer un peu de la fraîcheur de la nuit … mais de fraîcheur, pas vraiment cette nuit … le jardin est éclairé par la pleine lune comme la cour tout à l'heure … il est plongé dans une lumière laiteuse qui donne une impression fantasmagorique … tout paraît décoloré, seulement baigné de nuances allant du gris clair au noir le plus intense … les ombres elles-mêmes paraissent beaucoup plus profondes et ténébreuses que dans la journée … tout ça me donne une drôle de sensation … comme du déjà vécu … ah non, je sais … c'est l'atmosphère de certains de mes rêves … je prends soin de rester dans la pénombre du bureau et je jette un coup d'œil à l'extérieur … c'est Christine qui vient de sortir et qui commence à traverser la pelouse … Christine et un des types … il me semble reconnaître la silhouette juvénile de celui qui disait être le dernier à ne pas y être encore passé … il a un bras passé sur ses épaules, elle le tient par la taille et je les entends rire … sous son bras libre, elle porte une espèce de masse indistincte … sans doute un drap ou une couette, et c'est pour y prendre ça que je l'ai entendue ouvrir l'armoire … équipés comme ça, ils vont sûrement aller baiser sur la pelouse … mais oui, bien sûr, avec cette chaleur, ils vont baiser dehors … et baiser sous la lune … plusieurs autres types les suivent en discutant et en riant…

 

Soudain, freinant Christine dans son élan, le jeune type s'arrête et pivote vers la rangée de noisetiers qui borde la pelouse … les mêmes noisetiers sous lesquels elle s'est fait baiser par les jeunes à la Mini il y a quelques jours … il lui dit quelque chose … elle approuve et rit encore … il se tourne alors vers ses potes et leur fait signe … ils le rejoignent et, avec lui, ils  disparaissent à deux ou trois dans l'ombre des noisetiers … je les vois ressortir, portant la table de jardin, et la poser au milieu de la pelouse … en pleine lumière … enfin, dans la lumière étrange de cette pleine lune … immédiatement, je devine ce qui va se passer maintenant … ce jeune type va baiser Christine sur cette table … lui et d'autres, peut-être … sûrement, même … Oh putain, bien sûr ! La baiser à l'extérieur … mais aussi la baiser sur cette table … et surtout, SURTOUT, la baiser sous la pleine lune ! Ils auraient aussi bien pu la baiser sur cette table dans l'ombre des noisetiers, mais ils préfèrent le faire en pleine lumière … ou, du moins, dans la lumière si particulière de cette pleine lune …

 

Le grand type y a fait allusion, tout à l'heure, quand il me racontait qu'ils avaient commencé à fourrer Christine sous la lune, dans la ruelle, sur le capot d'une voiture … l'un de ses potes leur avait dit que la pleine lune, ça excite, et qu'il y a des gens qui baisent comme des bêtes les nuits de pleine lune … il faut dire, moi aussi, ça me plairait … on l'a fait, avec Christine … une seule fois, il y a longtemps … on était partis se balader à travers champs … au départ, une balade banale, sans arrière pensée … et puis, c'était venu tout seul … le calme et la chaleur de la nuit, la même chaleur que maintenant, la certitude de ne croiser personne … et cette lumières si singulière … on avait commencé par se déshabiller et par se promener comme ça, tous les deux complètement nus, avec une certaine innocence, mais on avait fini en baisant à même l'herbe d'un chemin, entre un champ de blé tout juste moissonné et un autre de maïs … 

 

C'est pour ça que, cette nuit, je suis convaincu que Christine et ces types ressentent aussi l'influence de cette pleine lune … bien sûr, Christine s'est déjà offerte à ces sept types, mais le fait que, maintenant, elle se livre à eux, là, dans ce jardin et sous la lueur blafarde de la lune, ça prend une autre dimension … ça a quelque chose d'un rituel païen, primitif … ce à quoi ils vont se livrer, c'est un de ces sabbats nocturnes, comme il en existait au Moyen Age … à ceci près qu'à l'époque, non seulement il s'agissait d'orgies sexuelles, mais on y pratiquait aussi des rites sataniques …  avec une telle ambiance, on s'attend à voir surgir un satyre aux pieds fourchus ou un bouc et même Belzébuth en personne, accourus s'accoupler avec cette diablesse de Christine … évidemment, rien de tout ça … seulement sept types – si on peut dire "seulement" – sept types qui vont la baiser encore et encore … la victime consentante va se livrer à ses "bourreaux" … 

 

Et voilà ! En effet, le jeune type a posé ses mains sur la taille de Christine et l'a attirée près de la table … elle a laissé tomber sur la pelouse la couette qu'elle tenait sous son bras … le type la presse contre lui, plaque sa bouche sur celle de Christine, et, lui tenant la nuque d'une main, il lui pétrit le cul de l'autre en l'embrassant fougueusement … malgré la distance, je me rends compte qu'elle se prête fiévreusement à ce baiser torride … elle aussi, je la vois pétrir fébrilement d'une main le dos de son amant … et comme je ne vois pas son autre main, cachée par le corps du type, je présume qu'elle s'active sur sa bite … et soudain, il décolle sa bouche, il soulève Christine, lui fait poser ses fesses au bord de la table et la fait basculer en arrière … elle se retient, d'abord avec ses mains, puis elle appuie ses coudes sur le plateau de la table … il lui fait remonter ses jambes qu'elle lui plaque sur le torse et il s'avance … il me tourne le dos et je ne le vois que de trois quarts, mais à sa posture, je devine ce qu'il fait … tête inclinée en avant, il doit regarder vers l'entrejambe de Christine et, à la position de son bras droit, je suis sûr qu'il cramponne sa queue pour la présenter à l'entrée de son vagin … il est en train de la pénétrer … oui, il lâche sa bite, maintenant introduite dans Christine, il remonte sa main le long de sa cuisse jusqu'à son genou, et je le vois commencer à aller et venir lentement et très régulièrement … 

 

Les autres se sont regroupés autour de la table et, tout en discutant, ils regardent leur pote en train de fourrer Christine … de temps à autres, en plus du bourdonnement sourd de leurs voix, des rires me parviennent … elle, toujours appuyée sur ses coudes, tantôt regarde son jeune amant la baiser, tantôt discute avec les spectateurs et rit …  et puis l'un d'eux – je ne reconnais pas sa silhouette – l'un d'eux s'approche du jeune type, lui pose une main sur l'épaule et semble lui parler … le jeune type va et vient encore deux ou trois fois, et il se retire … de toute évidence, d'après sa gestuelle maîtrisée, il n'a pas joui … aussitôt, l'autre prend sa place … il procède comme le jeune type, guide sa bite, puis, posant sa main – sans doute SES mains – sur les genoux de Christine qui a toujours les jambes en l'air, il commence à la pilonner … celui-ci est plus dans le puissant coup de reins que dans le va et vient régulier … rapidement, je vois Christine finir de s'allonger sur la table et croiser ses mains sous sa nuque … il la secoue, il la bouscule … et puis, peu à peu, il ralentit son mouvement et je le vois tourner la tête vers ses comparses … et leur parler … alors un autre s'approche à son tour … j'imagine que le "baiseur" leur a demandé un truc du genre « qui est-ce qui la veut ? » … on dirait que c'est la silhouette du rouquin qui s'est approchée …  j'ai le temps d'apercevoir sa bite en ombre chinoise … sa bite que lui aussi serre dans sa main … et de nouveau, celui-ci remplace celui qui ramonait Christine … ouaaaaahhhh ! Ces mecs se relaient … si ça se trouve, ils vont tous la tringler sur cette table, chacun à leur tour !

 

Et ben oui, c'est bien ça ! Quand le jeune type a installé Christine sur la table, les autres se sont spontanément groupés autour du couple, de manière disons … désordonnée, seulement de façon à assister à leur aise à ce spectacle … mais maintenant, j'ai l'impression que … oui, on dirait qu'ils se placent, qu'ils … qu'ils s'alignent, qu'ils se mettent en rang … regarder les trois premiers prendre Christine comme ça, sur cette table, a dû finir par donner envie aux autres de faire pareil … et maintenant, ils prennent leur tour, ils font la queue … ils vont tous la fourrer sur cette table … elle est vraiment ramenée à l'état d'objet … d'objet sexuel … ni plus ni moins qu'une vulgaire poupée en silicone … à ceci près que, pour ces mecs, c'est quand même beaucoup plus agréable de fourrer le corps chaud, humide et vivant de Christine qu'une espèce de baudruche inerte et froide ! Et je suis sûr … je suis sûr qu'à elle aussi, ça lui plaît d'être utilisée comme ça, pour le plaisir lubrique de ces mâles … de laisser tous ces mecs fourrer leur sexe dans son sexe pour se faire du bien, qu'ils soient jeunes ou vieux, moches ou beaux, bien montés ou avec une petite bite … 

 

En effet, toujours planqué dans la pénombre de mon bureau, je vais les voir la prendre l'un après l'autre … elle toujours allongée sur le dos sur cette table, le sexe offert, et eux, chacun à sa manière, plus ou moins rapidement, plus ou moins vigoureusement, plus ou moins fébrilement, mais tous plusieurs fois, me semble-t-il … je pense que … qu'aucun d'eux ne va jusqu'au bout, qu'aucun d'eux ne va jusqu'à jouir, qu'ils s'arrêtent juste à temps et cèdent la place au suivant … je me rends bien compte que pour ces types, c'est une sorte de jeu, mais dans la lumière étrange qui baigne toute cette scène, leur défilé entre les cuisses de Christine a vraiment quelque chose d'une cérémonie, d'un rite de … de magie noire ou de messe noire … avec, comme autel du sacrifice, la table où gît la "victime" à immoler … "victime" ô combien consentante … et ces sept types sont les officiants de ce rituel chargés de pratiquer avec leur victime une espèce de communion charnelle et lubrique … « prends, ceci est ma bite ! »

 

Je les entends discuter et rire, même si, à cause de la distance, je ne comprends pas ce qu'ils disent … par moments, elle aussi leur parle et rit …  la chatte au ras de la table, pile à la bonne hauteur pour leurs bites, elle a toujours les jambes en l'air, même si parfois elle les dresse à la verticale le long du torse de l'un, et si parfois elle croise ses mollets sur les reins d'un autre … Ce manège dure comme ça un bon moment, puis, alors que l'un d'eux s'applique à la queuter consciencieusement, la silhouette du jeune type s'approche et semble leur parler, à lui comme à elle … je ne sais pas ce qu'il leur dit, mais je les vois tous deux hocher la tête avec conviction … ils sont d'accord … d'accord pour quoi, je ne sais pas … le niqueur se retire, elle redescend ses jambes, se redresse, aidée par le queutard, et pose ses pieds au sol … alors je vois le jeune type lui faire signe … il lui montre la pelouse, juste à côté de la table du "sacrifice" et aussitôt, elle se laisse tomber à genoux … ah non, à quatre pattes, même … Compris ! Maintenant, le jeune type veut se la faire en levrette et ça va se passer là …

 

Et en effet, dès qu'elle est en position, il s'agenouille derrière elle, il lui fait écarter un peu plus les genoux, et, une main plaquée sur sa hanche, il guide sans doute sa queue, il la pénètre et commence à aller et venir … ils me tournent encore le dos, pratiquement dans l'axe de mon champ de vision, et le jeune type me masque presque entièrement Christine, mais je la vois quand même se cambrer et baisser la tête … la plupart des autres se regroupent autour d'eux et regardent … deux se sont appuyés des fesses contre la table et discutent … deux ont tiré des chaises de jardin près d'eux et se sont assis … un autre s'est agenouillé juste à côté, les fesses reposant sur ses talons, et le dernier est resté debout … et, pour ce que je vois, ils ont tous la bite à la main … à mon avis, le défilé va recommencer comme ça … ils vont tous la prendre à quatre pattes sur la pelouse … Pour le moment, le jeune type va et vient lentement, un peu comme tout à l'heure, quand il a commencé à la baiser sur la table … mais là, ça paraît plus … lascif … d'où je suis, je ne vois qu'une seule de ses mains, avec laquelle il tient Christine par la hanche, au niveau de l'angle que fait sa cuisse avec son ventre, mais j'ai la conviction qu'il fait pareil avec son autre main, celle que je ne vois pas … il la tient par les deux hanches et il s'enfonce lentement en elle … il reste plaqué à elle un bon moment avant de ressortir et de se renfoncer … hhmmm, j'imagine ses sensations … sa bite qui glisse dans le vagin étroit de Christine, son gland qui s'épanouit au fond d'elle … 

 

Putain, quelle soirée ! Ou, plutôt quelle nuit ! Je crois que, cette fois, ça dépasse tout … du moins pour ce que je sais … la toute première fois, au Huitième Ciel, quand elle s'est fait sauter d'abord par ce Jo, puis, aussitôt après par les trois blacks et le beur, ça avait duré … je ne sais plus, peut-être une heure et demie en tout … après, avec les cinq jeunes à la Mini, dans le jardin, d'après elle, elle les avait ramassés vers les midi, et je les avais vus partir vers les cinq heures et demie … mais apparemment, au cours de cet après-midi, ils n'avaient pas fait que baiser, ils avaient aussi mangé et bu … évidemment, les soirs où elle est allée se faire sauter je ne sais où, je n'ai aucune idée de ce qui s'est passé … quand elle s'est fait tabasser, elle-même ne sait pas combien de mecs lui sont passés dessus … elle sait seulement qu'ils étaient "beaucoup" … c'est combien "beaucoup", pour elle … mais là, à part se taper aussi ma bière et mon whisky, depuis des heures, ces mecs ne font rien d'autre que la baiser … elle les a commencés dans une voiture en venant ici, ensuite ils l'ont prise SUR le capot d'une voiture dans la ruelle devant chez nous, puis dans le salon, puis dans le jardin sur la table ... et maintenant sur la pelouse … il faut dire, pour ces mecs, c'est vraiment une occase inespérée … une salope qui ne demande qu'à se faire baiser … dans toutes les positions et autant de fois qu'ils veulent … et dans laquelle ils peuvent se vider les couilles sans capote … ils veulent en profiter à fond et autant qu'ils peuvent … c'est humain … mais elle … comment elle peut se faire … se faire baiser comme ça pendant des heures ? Elle ne devrait pas avoir la chatte en feu, irritée, meurtrie, à vif, à force de se prendre coups de bite sur coups de bite ? Mais non, ça a l'air d'aller … elle accepte tout … sans hésitation … avec gourmandise, même …

 

Une fois encore, pour moi, cette scène a quelque chose d'étrange, de bizarre, d'irréel … pas à cause de ce que font ces mecs et Christine … ou pas SEULEMENT à cause de ce qu'ils font, qui est tout de même assez fou, extravagant, mais en raison de l'atmosphère fantasmagorique qui les entoure … cette lumière, les ombres tellement denses de leurs corps … Et ce que j'avais prévu se produit … le jeune type se recule, se relève et son pote, agenouillé à côté de lui et de Christine prend sa place … à son tour, il commence à fourrer Christine qui n'a pas bougé … et … MERDE ! Qu'est-ce que …

 

Ah merde ! Je crois qu'il m'a vu ! Le jeune type … en se relevant, il s'est tourné machinalement vers la maison, et il est tombé comme en arrêt … et puis soudain, il s'est adressé aux autres en tendant le bras dans ma direction … je me suis reculé et caché derrière le mur à côté de la fenêtre … mais il a dû avoir le temps de me voir … les pensant suffisamment captivés par le spectacle, je m'étais imprudemment avancé dans l'encadrement de la fenêtre … à présent, dissimulé dans l'ombre de mon bureau, je ne jette plus que des rapides coups d'œil dans le jardin … maintenant, ils regardent tous par ici, et je les entends discuter et se marrer … Christine aussi, a tourné la tête … la voilà debout … elle ramasse la couette qu'elle avait lâchée dans l'herbe tout à l'heure, elle prend par la main celui qui était en train de la tringler et elle l'entraîne vers le fond du jardin … 

- Venez, les garçons !

 

Sa voix a claqué dans le silence de la nuit. Les autres types hésitent et jettent encore des coups d'œil dans ma direction … 

 

- Allez, venez, les garçons ! On va continuer par là …

 

Je sens que c'est autant à mon intention qu'à la leur qu'elle insiste … alors ils se décident à la suivre … Entraînant toujours son amant par la main, la voilà au niveau de l'abri de jardin, espèce de grande remise en bois où je range ma tondeuse et mes outils … j'ai tout juste le temps de la voir déplier sa couette et la lancer sur la pelouse, et elle disparaît derrière le cabanon avec son baiseur … Quelle salope ! Les autres les rejoignent et disparaissent aussi de ma vue … à l'exception de deux d'entre eux qui se plantent là, juste au ras de l'abri de jardin … et à leur posture, je me rends compte qu'ils regardent ce qui se passe au sol, pratiquement à leurs pieds, mais que moi, je ne vois pas … la partie de cul a dû reprendre derrière le cabanon … leur pote a recommencé à baiser Christine … sans doute en levrette … Je ne vois plus ce qui se passe, mais je n'arrive pas à quitter mon poste d'observation … et puis, au bout d'un moment, je vois un des deux types avancer, se laisser tomber à genoux et disparaître à son tour derrière la remise … ça doit être son tour de se taper Christine … le deuxième type se déplace et disparaît aussi de ma vue … je ne vois vraiment plus rien, mais je reste là un moment … seuls me parviennent, de temps en temps, des rires et des éclats de voix … je suis frustré … j'aurais voulu la voir continuer à se faire baiser … l'excitation de ce spectacle pornographique retombant, la fatigue commence à se faire sentir … je baille … ça ne sert à rien de rester là … je retourne sur mon lit et je finis par m'endormir …

 

Ce sont des voix sur la cour, devant la maison, qui me réveillent … le jour pointe tout juste … je me lève et je regarde par la fenêtre … le soleil n'est pas encore levé … c'est les amants de Christine qui parlent sur la cour … tout en se dirigeant vers leurs voitures, ils finissent de se rhabiller, l'un enfilant sa chemise, un autre remontant son jean, un troisième fermant sa braguette … ils sont euphoriques … ils le seraient à moins … leur troisième mi-temps s'est formidablement bien terminée, ils ont baisé chez elle une salope qui leur a bien vidé les couilles … qui leur a même ESSORÉ les couilles … la salope en question est là, au milieu de la cour, complètement nue dans les bras du grand type … elle se fout apparemment de risquer d'être surprise là dans cette tenue et avec ces types … mais à cette heure, ils ne tisquent pas gran chose, tout le monde dort dans la village ... avec le grand type, ils se roulent une pelle torride … dès qu'ils ont terminé, c'est le jeune type qui s'approche d'elle et, à son tour, tout en lui pétrissant les fesses, il galoche Christine longuement, fougueusement… il devait être le dernier à lui faire ainsi ses adieux … il rejoint les autres et tous montent en voiture … elle s'approche de la ruelle, évidemment toujours complètement à poil, elle regarde les voitures manœuvrer, faire demi-tour et avancer vers la rue qui conduit à la place de l'église …  coups de klaxon … elle leur fait un signe de la main … ils disparaissent au coin de la rue … départ pas vraiment discret … heureusement que nos voisines ne sont pas là et qu'à cette heure il ne circule personne dans notre campagne … elle se retourne, lève les yeux vers la fenêtre de la chambre et me voit … elle entre dans la maison … quelques secondes plus tard, j'entends un bruit contre la porte en haut de l'escalier … elle vient d'ôter la cheville de bois qui bloquait le loquet … Sans hésiter, j'ouvre la porte et je descends.

 

Elle est déjà allongée sur le canapé, en train de s'enrouler dans un drap … seul dépasse le haut de son crâne … elle doit avoir la chatte pleine de foutre et elle n'est même pas montée à la salle de bain pour se laver !

 

- Pourquoi t'as fait ça ?

- Hein ?

 

Elle sort la tête du drap. Je répète:

- Pourquoi t'as fait ça ? Pourquoi tu m'as bloqué en haut ?

- Ah, j'ai sommeil et j'ai froid… fous moi la paix !

 

Elle s'enroule encore dans le drap. J'insiste:

- Qu'est-ce que ça peut te foutre, que je te regarde te faire sauter ? Je laisse ces mecs te baiser, ça me dérange pas qu'ils te baisent, alors tu pourrais me laisser regarder …

- …

- Hé ! Je te parle ! Ça te dérange, que je te regarde ? Ça t'empêche de prendre ton pied ? T'as peur que ça refroidisse tes étalons ?

 

Elle repousse le drap et me regarde, pleine d'ironie et de mépris:

- Pfffffff ! T'as vraiment l'impression que ça ne me dérange, que tu me regardes me faire baiser ? T'as l'impression que ça m'empêche de m'envoyer en l'air et de prendre mon pied ? Et mes étalons, comme tu les appelles, t'as l'impression que ça les refroidit, que tu les regardes me baiser ? Avec ce que je leur fais, ils s'en foutent, mes étalons, que tu les regardes me grimper … au contraire, ça les excite, mes étalons, que le cocu les regarde me monter … non, c'est uniquement pour te faire chier que je t'empêche de regarder, c'est tout … je sais que ça t'excite de voir des mecs me baiser, alors ça me plaît que tu puisses pas voir, que tu restes frustré … Voilà, t'es content ? Maintenant, retourne te coucher … ou branle-toi en pensant à mes étalons … mais FOUS … MOI … LA … PAIX !!!

- Et alors … ça t'aide à jouir, que je sois frustré ? 

- Oh non, même pas … tu comptes pour rien dans tout ça … ni dans un sens, ni dans l'autre … que tu voies ou que tu voies pas, ça ne me fait ni mieux jouir, ni moins bien … 

- Alors, justement … si ça te fait rien, laisse-moi regarder …

 

Elle me regarde en secouant la tête d'un air las:

- Oh la la ! Tu me soûles … Bon, laisse-moi ... je me suis tapé sept mecs, je te rappelle, et plusieurs fois … alors faut que je dorme … on parlera de ça une autre fois …

 

Elle s'enroule dans son drap, me tourne le dos et, après seulement une seconde ou deux, elle se met à ronfler … Inutile d'insister.

 

Moi, je dois aller travailler dans quelques heures, alors je ne me recouche pas. Je me fais du café et, la tasse à la main, je sors dans le jardin. La table sur laquelle Christine s'est fait sauter cette nuit est toujours au milieu de la pelouse. Je pousse jusqu'à la remise à outils … la couette est restée par terre, froissée … autour, le gazon est aplati, piétiné par ceux qui regardaient … sur la couette, des traces douteuses en plusieurs endroits … des grumeaux blanchâtres collés au milieu de taches humides … du sperme et des fluides vaginaux … Putain, qu'est-ce qu'ils lui ont mis ! Voir comme ça le sperme de ces types … le sperme qu'ils ont craché au fond du ventre de Christine … jusque dans son … jusque dans son utérus … et qui a fini par … par ressortir, ça me … un frémissement me secoue le bas ventre … je me dis que je suis dingue d'être excité comme ça par le sperme des types qui ont baisé ma femme … enfin, Christine … et puis je me dis que je m'en fous, qu'au point où on en est, être excité à la vue du sperme de ces types, ce n'est qu'un détail … je ramasse la couette, je la renifle … de nouveau un spasme dans mon bas ventre … hhhhmmm, cette odeur … l'odeur du sexe … l'odeur de la partie de cul … je ne vais pas la laver, cette couette. Je rentre me préparer pour partir travailler.

 

Deux jours plus tard, c'est-à-dire le samedi, alors qu'une chaleur étouffante me fait lever en milieu de matinée, j'ai la surprise de trouver Christine debout, en peignoir, et en train de prendre un café dans la cuisine, les fesses appuyées au plan de travail. Hier, elle était sortie en fin de soirée, et je m'attendais à ce qu'elle soit rentrée tard d'une nouvelle partie de cul nocturne, et qu'elle soit encore en train de dormir sur le canapé du salon.

- Tiens, t'es pas encore couchée ? 

 

Je n'espère pas vraiment de réponse, et, comme à son habitude, elle me lance un regard plein d'indifférence et continue de siroter son café en silence. Tout en me disant que ça servirait seulement à l'énerver davantage, j'insiste pour le seul plaisir de l'emmerder:

- Tu viens seulement de rentrer ?

 

Elle hausse les épaules et, contre toute attente, elle me lance:

- Non, je viens de me lever …

- Ah bon ? Mais … tu t'es pas couchée tard, alors …

- …

- T'es pas sortie, hier soir ?

- Si, je suis sortie …

- Et ? T'es rentrée plus tôt que prévu ?

- Voilà …

- Ah bon ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

 

Je n'en reviens pas … elle m'a parlé ! Elle soupire … je l'emmerde. Elle se décolle du plan de travail et se ressert une tasse de café. Quand elle a quitté sa place, son peignoir s'est entrouvert … elle n'a pas pris la peine de le refermer et j'ai eu juste le temps d'apercevoir son pubis … plus de trace de tatouage … je ne peux pas m'empêcher de lui faire remarquer:

- Tiens, t'as plus de tatouage ?

- Ça se voit, non ?

- Tu l'as fait enlever ?


Elle reprend son poste contre le plan de travail et laisse son peignoir entrouvert:

- Si on veut ... c'était un tatouage temporaire … 

- Un tatouage temporaire ?

- Ouais … un essai … je voulais voir ce que ça donnait, avant d'en faire un définitif … 


Elle se caresse rêveusement le pubis, puis:

- De toute façon, il n'était pas complet …

- Pas complet ?

- Non … au départ, je voulais un truc du genre "entrée libre", ou "entrée gratuite" … enfin, tu vois l'idée  …  mais, avec le tatoueur, on n'avait eu le temps d'en faire que la moitié …

- Ah bon ? Comment ça se fait ?

- "Comment ça se fait ?" … devine …


Elle se fout de ma gueule. J'ai une vague idée de pourquoi ils n'avaient as eu le temps, mais je voudrais être sûr, alors je prends mon air le plus con et j'insiste:

- Ben … comment veux-tu que je devine … il avait un autre rendez-vous ?

- "Il avait un autre rendez-vous ? " T'es con ou quoi ?

 

Elle m'a imité avec une mimique de dégoût. Elle enchaîne:

- Il avait pas un autre rendez-vous, mais il me tatouait le pubis et forcément, il arrêtait pas de me toucher la chatte …

- Ah bon ?

- Ben oui … pour me tatouer, il doit tendre la peau … avec ses doigts, tu vois … alors, à force, ça m'a excitée et je mouillais … et il a fini par s'en rendre compte … 

- Et alors …

- Tu le fais exprès, ou quoi … alors, on a arrêté le tatouage et on a baisé … 

- Ah, OK ! 

- Et si tu veux des précisions, je peux même te dire qu'on a baisé dans sa boutique … voilà, t'es content ?

 

Content, ce serait exagéré, mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Elle avale son café, elle pose sa tasse et disparaît dans le salon. Je me sers à mon tour un café et je la rejoins. Elle est en train d'ôter ses draps froissés du canapé. Je la relance:

- Ouais, alors, tu me disais ... hier, t'est sortie et t'es rentrée plus tôt que prévu ? T'as pas trouvé de mecs pour te sauter ?

- Non.

 

Putain, elle me répond encore ! J'en profite:

- T'as pas essayé le Huitième Ciel ?

- Il est fermé …

- Fermé ? ! ? ! Fermé-fermé ou c'est temporaire ?

- Fermé pour congés …

- Et t'as pas …

- Si, J'AI ! 

 

Agacée, elle m'a sèchement coupé … et elle poursuit:

- J'AI essayé de trouver des mecs autrement … C'est bien ça, que tu veux savoir ? Si j'ai cherché d'autres mecs ailleurs ? J'AI essayé … les trois frères, les sénégalais, ils sont au Sénégal … ils rentrent en septembre … et Jo … tu sais, c'est le …

- Oui, je sais qui c'est …

- Lui, j'ai pas pu le joindre … après, j'ai fait les bars en ville … y'avait personne … enfin, que des cons … ou des mecs avec leur bonne femme ou des branleurs qui ont eu peur de moi … C'est les vacances … y'a plus personne … plus personne de valable, en tout cas. Alors je suis rentrée, finalement …

 

Putain, tout en repliant ses draps, elle m'a déballé tout ça aussi naturellement qu'elle m'aurait expliqué avoir cherché en vain une boulangerie ouverte ! "Plus personne de valable " ! C'est plus fort que moi, ça part tout seul:

- Pourquoi ? Tu ne cherches plus que des mecs "valables" ? Tu te fais plus sauter par tout le monde et n'importe qui ?

 

Elle se retourne, me fusille du regard, récupère ses vêtements sur un fauteuil et s'apprête à monter à la salle de bain. Tant que le fer est chaud, il faut le battre … alors j'enchaîne avant qu'elle n'arrive à l'escalier:

- Si tu veux, je peux essayer de t'en trouver, moi, des mecs …

 

Elle s'arrête net, se retourne, et me dévisage, stupéfaite:

- Toi ? Me trouver des mecs ?

- Oui. Pourquoi pas ? Je te trouve des mecs et je te les amène ici … pour qu'ils te baisent, évidemment …

- Mais … t'as vraiment rien compris ! Tu crois que j'ai besoin de toi pour me trouver des mecs ?

- Ben on dirait … la preuve. Tu vois, là, je …

 

Elle me coupe encore:

- Cette nuit, si j'en ai pas ramené à la maison, des mecs, c'est seulement parce que ceux que j'ai trouvés me plaisaient pas … et … 

- Je croyais que tu prenais n'importe qui …

- Ça dépend … De toute façon, je me ferais certainement pas sauter par des mecs que TOI, tu aurais trouvés …

- Ah bon ? C'est con … que ce soit toi ou moi qui les trouve … du moment qu'ils sont prêts à te baiser …

- Bon ! Ça suffit ! J'ai pas besoin de toi, j'te dis …

 

Elle tourne les talons et s'élance dans l'escalier. Fin de la discussion.

 

Une demie heure plus tard, elle redescend … habillée … mini jupe ultra courte en jean et petit chemisier blanc sans manches, assez transparent … pas de soutien gorge, parce que je devine ses aréoles plus sombres à travers le tissu … une simple paire de sandales aux pieds … elle est quand même très bandante, avec ses cuisses toutes bronzées sous cette jupe ... elle est aussi légèrement maquillée, et surtout, parfumée ... hhhmmmm, ce parfum ! Depuis qu'elle à commencé à le porter, fin juin, il m'évoque irrésistiblement ... le SEXE ! Est-ce exprès ou involontaire ... en prenant la pochette qui lui sert de sac à main, elle fait tomber ses clefs de voiture devant moi, et se baisse pour les ramasser, me dévoilant son cul … entre ses fesses, uniquement le trait blanc d'un string … Aucun doute, dans cette tenue, elle part à la chasse au mâle. Elle sort de la maison et j'entends sa voiture démarrer dans la cour. Je m'attends à la revoir au plus tôt en fin de journée … ou demain … 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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