Lundi 16 avril 2018 1 16 /04 /Avr /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

Je suis dans le séjour en train d'ouvrir et de trier du courrier quand je reconnais le bruit de la voiture de Christine qui entre dans notre cour … immédiatement suivi d'un autre bruit de moteur … sourd, puissant … Je jette un coup d'œil à la pendule … midi et demie ! Elle est partie chasser le mâle il y a à peine une heure et demie et la voilà déjà revenue … Intrigué par ce retour inattendu, je regarde par la fenêtre. C'est bien elle … mais pas seule. Une énorme moto noire est en train de manœuvrer de l'autre côté de la cour, avec deux types dessus … ils en descendent et le pilote la met sur sa béquille … c'est deux grands types, la trentaine, minces, athlétiques … belles silhouettes, je dois dire … pendant qu'ils ôtent leurs casques, Christine contourne l'avant de sa voiture, vient prendre le pilote de la moto par la main, et elle l'entraîne vers la maison … Je n'ai pas besoin d'explications, je devine ce que ces mecs viennent faire ici …  Putain, voilà autre chose ! Jusqu'ici, elle s'était arrangée pour amener des mecs chez nous plus ou moins en douce … les petits jeunes à la Mini, d'abord … je les avais croisés uniquement parce que j'étais rentré plus tôt que prévu … et les sept footeux qui la baisaient au rez-de-chaussée pendant que je dormais à l'étage … ceux-là, j'aurais pu ignorer complètement leur présence si je ne sais quoi ne m'avait réveillé … Mais là, elle ramène deux types à la maison en pleine journée, alors qu'elle sait pertinemment que je suis là ! Peut-être JUSTEMENT parce que je suis là ! J'ai soudain le cœur qui s'emballe … oh, pas de peur ou de … de colère, ou de je ne sais quoi … non, c'est … je sais ce qui va se passer … et ça me plaît !


Une évidence s'impose à moi … en allant chercher des mecs et en les ramenant ici pour qu'ils la baisent alors que je suis là, elle veut à la fois me prouver qu'elle n'a pas besoin de moi pour racoler … et elle veut me faire chier … Tout à l'heure, elle m'a craché que je n'avais rien compris … mais toi non plus, tu n'as pas tout compris, Christine ! OK, tu as réalisé que ça m'excite de voir des inconnus te baiser, mais si tu crois que je vais me sentir gêné ou humilié parce que tu amènes tes étalons à la maison pour qu'ils te sautent en ma présence, tu te goures …


Les voilà qui entrent … Tenant toujours un des types par la main, elle passe devant moi et, en plantant ses yeux dans les miens:

- Voilà, c'est lui, mon mari …


La première chose que je remarque, c'est qu'elle et ce type baignent dans des effluves de … d'Opium … c'est curieux, je reconnais le parfum qu'elle porte depuis le début du mois, mais il est légèrement différent de tout à l'heure, quand elle est descendue de la salle de bain … il m'évoque toujours le SEXE, mais il y a autre chose …  son odeur à lui ? Non, ce n'est pas une odeur masculine … au contraire, c'est plus subtil … oui, c'est ça, mêlée au bouquet si particulier d'Opium, il y a une odeur nettement féminine … je dirais même une odeur de … de femelle … comme si il émanait d'elle je ne sais quelle substance, je ne sais quelle sécrétion nettement … sexuelle ! Tout au long de ce mois de juillet, après chacune de ses escapades nocturnes, après chacune de ses séances de cul avec des inconnus, j'ai perçu les effluves de sexe qui l'entouraient … des vapeurs d'Opium, plus ou moins fortes ou atténuées, plus ou moins mêlées aux odeurs de déodorant, d'eau de toilette ou d'après rasage des mâles qui lui étaient passés dessus, et toujours accompagnées d'odeurs de sperme … mais c'est la première fois que je remarque ces exhalaisons de … oui, de femelle … et comme si mes nerfs olfactifs étaient directement connectés à mon appareil génital, un frémissement me parcourt le bas ventre … 


Christine semble euphorique. Et en effet, il est pas mal, ce type, vu de près … oui, la trentaine … grand, musclé, des cheveux noirs, mi-longs, bouclés, une barbe de plusieurs jours, un anneau dans l'oreille … T-shirt noir sans manches, imprimé de motifs genre "heavy metal", jean étroit, élimé et qui fut noir, lui aussi, vieilles tennis, large ceinturon de cuir avec une grosse boucle de laiton … et surtout … des tatouages plein les bras … et même depuis la naissance du cou, sur les épaules et jusque sur les mains … un look de "rockeur". En passant devant moi, il me reluque comme une bête curieuse, un petit sourire ironique aux lèvres … Je lui lance:

- Bonjour …


Surpris que je le salue, il grommelle je ne sais quoi. A la façon dont Christine m'a présenté " Voilà, c'est lui, mon mari ", il est clair qu'elle leur a parlé de moi avant d'arriver … elle a dû les prévenir que j'étais à la maison. Elle balance son sac à main sur le canapé et elle entraîne ce type vers la porte-fenêtre qui donne sur le jardin et repousse les volets de bois que j'avais tirés pour empêcher la chaleur d'envahir le séjour:

- Venez, les garçons, on va au jardin …


La lumière éblouissante et la chaleur déferlent dans la maison. Quand l'autre type passe à son tour devant moi, il me regarde par en dessous, avec un sourire un peu gêné et c'est lui qui me lance:

- Salut.

- Salut.


Il suit Christine et son pote, déjà au milieu de la pelouse. Même âge que l'autre, également athlétique, même coupe de cheveux, mi-longs, bouclés, mais blonds … pas de barbe … lui porte une chemisette claire à carreaux et une sorte de bermuda large qui lui descend sous les genoux … pieds nus dans des espèces de mocassins en cuir, un peu avachis … un seul tatouage discret sur l'avant bras droit … 


Bon, elle ramène deux types à la maison, et pour moi qui la connais, il est évident que c'est pour qu'ils la baisent … mais eux, je me demande si ils savent ce qui les attend vraiment … si ça se trouve, jusque là, elle leur a seulement proposé de venir boire un verre et elle compte aller plus loin maintenant. Déjà, si c'est ça, si elle ne les a pas prévenus ouvertement qu'ils sont là pour la sauter, le type brun a sans doute été surpris qu'elle se montre aussi familière avec lui en le prenant comme ça par la main, surtout en ma présence … mais en plus, je me demande comment ils vont réagir quand elle va leur proposer de baiser … qui plus est alors que je suis à la maison … Alors, je suis curieux de voir comment les choses évoluent.


A mon tour, je m'approche de la porte-fenêtre. Christine a entraîné le premier type jusqu'au salon de jardin, dans l'ombre des grands noisetiers, et elle lui désigne une des chaises. Elle doit l'inviter à s'asseoir. Il pose son casque sur la table et obtempère. Sans hésiter, Christine s'assoit sur ses genoux et lui passe son bras droit sur les épaules … Et bien voilà ! Ça commence fort, et ça répond à mes interrogations … ils en sont déjà là … ils sont déjà suffisamment "familiers" pour qu'elle se permette de s'asseoir sur ses genoux et de le prendre par le cou tout de suite en arrivant … elle n'en est donc plus à la phase d'approche et de … et de flirt … Ouais, pour en être à ce stade, alors qu'elle n'a quitté la maison qu'il y a une heure et demie, je mesure à quel point elle a dû faire ouvertement du rentre-dedans à ce type … ou à CES types … parce que, telle que je la connais, ça m'étonnerait que le blond ait été invité uniquement pour tenir la chandelle. 


Tout de même, ça fait maintenant presque un mois qu'elle se tape des mecs plusieurs fois par semaine depuis la première fois, au Huitième Ciel … des inconnus qu'elle doit racoler n'importe où … et elle ne se contente pas d'un mec seul à la fois … une fois cinq et une fois sept d'un coup ! Et encore, je ne suis pas au courant de tout ce qu'elle a fait, les nuits où elle est allée se faire sauter je ne sais où. Combien de types ont pu lui passer dessus ? Qu'est-ce qui lui est arrivé, pour que, soudainement, elle ait une telle fringale de sexe ? Est-ce physiologique, comme une soudaine surproduction d'hormones ? Est-ce psychologique, comme une addiction à l'acte sexuel, au coït ? Mon impression, c'est qu'elle en a BESOIN … elle a BESOIN de bite … BESOIN de sentir des bites en elle … BESOIN de sentir des mâles décharger leur semence au fond de son ventre … maintenant, c'est apparemment ça qui déclenche ses orgasmes … et ses orgasmes sont d'une telle puissance ! C'est comme une drogue … si j'en crois la fréquence de ses sorties nocturnes et de ses séances de cul depuis fin juin, il lui faut au moins un shoot de … de sperme … peut-être pas tous les jours, mais au moins tous les deux jours … et plutôt que de la soulager, plutôt que de l'apaiser, j'ai l'impression que ça ne fait qu'alimenter son désir et lui donner encore plus envie …


Je ne sais pas où elle est allée les chercher, ces deux là, mais mon avis, si on tient compte d'un minimum de délai de route pour aller et pour revenir, elle leur a sûrement proposé la botte dès qu'elle les a trouvés … Mais eux, est-ce qu'ils en sont au même stade qu'elle ? Ils savent déjà sans doute ce qu'elle attend d'eux, mais est-ce qu'ils sont déjà prêts à passer à l'acte ? Est-ce qu'ils n'en sont pas encore au stade de la séduction … et dans une certaine expectative ? 


Le blond les a rejoints et s'est installé sur un des transats, dans l'ombre juste à côté d'eux. Je les entends parler … à cette distance, je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais ils rient … Le type brun se trouve plus ou moins de profil par rapport à moi, et Christine, assise en travers de ses genoux, me tourne le dos … lui, après avoir jeté un coup d'œil dans ma direction, a posé sa main gauche sur les reins de Christine, au niveau de la ceinture de sa jupe mais surtout sous le bas de son chemisier … directement contre sa peau, donc … ça peut paraître anodin, comme ça, mais le fait qu'il se permette déjà ce contact étroit, épiderme contre épiderme, ça veut dire qu'il est d'ores et déjà prêt à la proximité la plus intime … j'ai quand même l'impression qu'il n'ose pas encore lui caresser les fesses … peut-être à cause de ma présence … je ne vois pas ce qu'il fait avec sa main droite … il me semble qu'il a posé son avant-bras droit sur les cuisses de Christine … elle se tourne un instant vers la maison, comme pour vérifier que je suis là, et je la vois prendre le type par le menton, se pencher vers lui et chercher sa bouche … il hésite, mais il finit par se laisser faire … ils se roulent une pelle … Bon, c'est clair, maintenant ! La nature, et surtout le degré d'avancement de leur relation ne font plus de doute. J'aimerais bien savoir ce qui se passe dans la tête de ce type, à cet instant précis … se faire rouler une pelle par une femme, une inconnue, sous les yeux de son mari … ça ne doit pas être courant … et ça doit lui faire une drôle d'impression … Est-ce que ça l'excite ? Est-ce que ça lui fait un peu peur ? Christine y met vraiment beaucoup de conviction … lui, entraîné par cette fougue, lui glisse la main sous le chemisier et commence à lui caresser le dos …


L'autre, le blond, a sorti une cigarette de sa poche de poitrine, l'a allumée, et, amusé par la situation, il nous regarde alternativement, Christine et le type brun, et moi. Christine et le type brun décollent enfin leurs bouches, et je la vois qui ôte son bras du cou du type, se tourne vers moi et lance un regard dans ma direction … elle s'assure que je les regarde toujours … Oui, oui, ma chérie, je vous regarde ! Continuez. Je n'ai pas l'intention de me cacher ni de vous reluquer en douce … et cette fois, tu ne me coinceras pas à l'étage. Sans doute satisfaite, elle se retourne … elle penche un peu la tête en avant et je la vois faire je ne sais quoi … à ses mouvements, je ne tarde pas à comprendre … elle est en train de déboutonner son chemisier et elle en écarte maintenant les deux pans … puis je la devine qui saisit la main droite du type et qui l'attire vers ses seins … Décidément, ça va très très vite ! Le type jette encore un coup d'œil dans ma direction, et à ses mouvements à lui, je devine qu'il lui caresse la poitrine … Une main sur ses reins, une main sur ses seins … Et bien voilà ! On n'est déjà plus dans le flirt, on est carrément dans les prémices du sexe ! Puis elle le prend par la nuque et elle l'attire vers sa poitrine … il se laisse faire et se penche … Christine le masque à ma vue et je ne vois pas ce qu'il fait, mais je devine à sa posture qu'il est en train de lui embrasser les seins … peut être même de les lui lécher … ça frémit dans mon bas ventre … alors, sans doute pour lui faciliter les choses, elle pivote un peu, se tourne pour être face à lui, et, une main posée sur la nuque de son amant, elle rejette sa tête en arrière … whoooohhhh … maintenant, elle se trouve de profil par rapport à moi, et je vois distinctement le mec lui pétrir les seins à deux mains, tout en … oui, il a un sein dans la bouche … et il le suce, il le lèche … et à son comportement fébrile, je sens qu'il est gagné par l'excitation … hhhmmmm, elle aime ça … je dois dire que moi aussi … je sens ma queue commencer à frémir … 


L'autre, le blond, en oublie de tirer sur sa cigarette, il les regarde, fasciné, et n'arrête pas de jeter de rapides coups d'œil dans ma direction … à mon avis, voir son comparse commencer à tripoter ouvertement Christine de cette manière devant moi le trouble beaucoup. Je prends le parti de m'installer carrément à leur vue … pourquoi je devrais me gêner ? Je m'appuie de l'épaule contre le chambranle de la porte-fenêtre … De leur côté, ça dure comme ça un petit moment, le type brun malaxant, embrassant, léchant et suçant les seins de Christine … puis il se redresse et me regarde, l'air quand même un peu gêné. Il parle à Christine en me désignant d'un coup de menton. Elle se tourne vers moi, hausse les épaules et fait non de la tête. Il soupire. Elle me regarde à nouveau … et elle se lève. Elle vient dans ma direction ... elle n'a même pas pris la peine de resserrer les deux pans de son chemisier sur sa poitrine, qui s'écartent et dévoilent ses seins … ses tétons, encore luisants de salive, pointent d'excitation … apparemment, ce type l'a bien chauffée … Qu'est-ce qu'elle me veut ? Une fois devant moi, ses yeux plantés dans les miens, elle me lance sur un ton plein de défi:

- Quoi … qu'est-ce qu'il y a ? 

- Rien, rien … tu les as ramassés où, ces deux là ?


Encore une fois, je n'attends pas de réponse, et je m'écarte de mon chambranle pour la laisser entrer dans le séjour … mais elle s'arrête sur le pas de la porte-fenêtre:

- Au Marriott.

- Au Marriott ?

- Oui, à l'hôtel … à côté du parc d'attraction … 


Tiens, on dirait qu'elle a envie de parler – Hhhmmmm, cette odeur de sexe, qui émane d'elle ! Ça m'excite ! - Le Marriott, je connais … ce n'est pas vraiment un hôtel … plutôt une résidence de luxe où les clients logent dans des maisons individuelles … ça coûte un max. Je ne peux pas m'empêcher de m'étonner:

- Qu'est-ce que tu foutais au Marriott ?

- Ben, qu'est-ce que tu crois … je cherchais des hommes … 

- T'as pu entrer au Marriott ? Je croyais qu'il fallait montrer patte blanche à l'entrée …

- Oui, mais je connais un des agents de sécurité … c'est le père d'un de mes élèves …


Oui, pas de doute, elle a envie de raconter … à mon avis, c'est plus pour me provoquer qu'autre chose … mais je m'en fous. J'enchaîne:

- Ah oui ? Et tu lui as montré ton cul pour qu'il te laisse entrer, au père de ton élève     ?

- Non, j'ai pas eu besoin … son fils avait tabassé un autre gamin en classe et c'est moi qui avais convaincu les parents de pas porter plainte … alors il me devait un service …

- Et alors, pourquoi tu cherchais des mecs spécialement au Marriott ?

- Je me suis dit qu'en ce moment, c'était là qu'il fallait aller … y'a plein de touristes … ces deux là, c'est pas des touristes, mais ils prenaient leur petit déj' à côté de la piscine … 

- Ces mecs là étaient au Marriott ? C'est pas des clients friqués qui logent au Marriott ?

- Ces mecs là, c'est des membres d'un groupe qui va faire un concert au parc d'attraction … c'est pas eux qui paient leur séjour, ils sont invités … 

- Alors, tu les as abordés comme ça, et tu leur a proposé de venir te sauter à la maison …


Elle sourit:

- Non … c'était pas aussi direct … faire comme ça, ça ferait peur à n'importe quel mec …

- Alors ?

- Alors, je me suis installée à une table juste en face d'eux … et j'ai fait semblant de ne pas les avoir remarqués … 

- Et c'est eux qui t'ont abordée ?

- Exactement. 


Elle soulève un peu le bas de sa minijupe … elle me dévoile le triangle de son string … celui-ci, je ne l'avais encore jamais vu … enfin si, tout à l'heure, juste avant qu'elle parte, mais j'avais seulement aperçu le mince cordon blanc entre ses fesses … non seulement il est minuscule, ce string, mais en plus, il est en voile transparent … à travers, je distingue nettement la bordure de ses petites lèvres qui dépasse légèrement de la fente de son pubis  … image très sensuelle et érotique … elle poursuit:

- Il suffisait que je leur laisse voir ça …

- Ah, en effet … et je suppose que t'as écarté les cuisses …

- Ben oui, naturellement … tu sais, en général, les mecs ne résistent pas à la vue d'une petite culotte si ils ont l'impression de l'apercevoir par inadvertance … alors ça n'a pas manqué, le brun s'est levé et il est venu me proposer de m'asseoir à leur table … les mecs, vous êtes tellement faciles à harponner ... ce n'est même plus drôle, à force ... mais ça tombe bien, j'ai pas de temps à perdre ...


Je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais, après des jours à me faire la gueule et à n'être qu'agressive et désagréable, la voilà qui déballe … comme tout à l'heure, avant de partir en chasse … pourquoi elle est venue me parler et me raconter tout ça ? Là, je sens qu'elle attend que je demande encore des précisions. Alors:

- Et alors ? Tu t'es assise à leur table ?

- Ben oui … puisqu'on est là … 


Ben oui, forcément … elle a … ou ils ont engagé la conversation … même si ils sont visiblement plus jeunes qu'elle, elle ne les a sûrement pas laissés indifférents … elle est encore très appétissante … et puis ils ont dû se dire qu'une femme qui porte une petite culotte comme ça sous une minijupe "ras de la moule" est forcément portée sur le sexe … et que pour écarter les cuisses en public comme elle le fait, il faut qu'elle ne soit pas farouche … et puis, il y avait aussi ce parfum … il doit leur faire le même effet qu'à moi … ils ont dû tout de suite penser qu'ils avaient une ouverture … et tous les trois, ils n'ont sans doute pas tardé à parler cul.

- Et c'est eux qui ont commencé à parler cul, ou c'est toi ?

- Le brun, là, il m'a dit " j'ai aperçu ce que vous avez sous votre jupe, c'est très joli " ... il voulait parler de ma petite culotte, alors, j'ai un peu relevé ma jupe pour qu'il la voie mieux ... ça les a sciés, les deux mecs, ils étaient même un peu gênés parce que, il y avait pas mal de monde autour ... et pour me provoquer, il a ajouté " ce qui est dessous doit être très mignon aussi " ... il voulait me gêner, ou me mettre au défi ... alors j'ai ôté mon string ... tiens, attends, ils ont voulu faire une photo avec mon smartphone ...

 

Elle fouille dans son sac, en sort son téléphone, pianote et me le colle sous le nez:

- Tiens, regarde ...

 

010 

 

Ah oui, en effet, on aperçoi sa chatte. A quoi elle joue, pour me montrer ça ?rètement

- T'as enlevé ton string là ... au bord de la piscine et devant les autres clients ... et ils ont fait une photo ..

- J'ai fait ça discrètement ... et on a été faire la photo un peu plus loin dans le parc ...

- Et après ?

- Ben, après ... je leur ai dit que si ils voulaient la voir mieux, il n'y avait pas de problème ... et plus si affinités, comme on dit ... ils se sont regardés et le brun m'a proposé de les suivre dans leur suite ... et voilà ...

 

- Et ils n'ont pas cherché à te sauter sur place, au Marriott ?

- Si, bien sûr. Ils m'ont emmenée dans leur résidence presque tout de suite, et on a un peu … commencé ... tous les trois … je les ai laissés s'exciter et quand ils ont été bien chauds, je leur ai annoncé que je voulais bien les finir, mais ici, à la maison … et que c'était à prendre ou à laisser !


"… je leur ai annoncé que je voulais bien LES FINIR !" Quelle classe ! 


- T'as pas eu peur qu'ils te prennent  de force dans leur suite ?

- Si, j'y ai pensé … mais peur, non, pas vraiment … de toute façon, ça n'aurait pas été un drame s'ils m'avaient prise de force … je me serais laissé faire, tu sais … mais bon, apparemment, c'est pas leur genre, alors il me restait qu'à les convaincre de venir ici.

- Mais alors … pourquoi à la maison et pas là-bas ?

- C'est pas ce que tu veux … que je me fasse sauter devant toi ?

- Tu les as ramenés ici pour te faire sauter devant moi ? Tu veux que je les regarde te baiser ? ! ? ! Alors, tu leur as annoncé que je serais à la maison …

- Oui … non seulement que tu serais là, mais qu'en plus, tu les regarderais sûrement me baiser…

- Ah ben oui, évidemment … et ils ont tout de suite accepté … c'est tellement banal qu'une inconnue invite des types qu'elle vient de rencontrer à venir la baiser devant son mari … 

- Non, mais … je dis pas qu'ils ont accepté tout de suite … il a fallu les convaincre … mais ça, je sais faire …

- Et eux, ça les gênera pas, de te baiser devant moi ?

- Ben, en fait, ils savent pas trop … ils disent qu'ils ont jamais fait ça, baiser une femme devant son mari … ils sont pas sûrs … ils disent que ça pourrait les bloquer … ils verront au fur et à mesure … mais jusque là, ça va … ça se passe plutôt bien … moi, je suis sûre que ça ira … je te l'ai dit, l'autre fois, avec ce que je leur fais, aux mecs, ils finissent par s'en foutre que tu les regardes me baiser … 

- Mmmm … de toute façon, dis toi bien que j'ai pas l'intention de disparaître sous prétexte qu'ils seraient gênés … tu … je suppose que tu leur as dit qu'ils n'avaient rien à craindre … de ma part, je veux dire …

- Ben oui … je leur ai expliqué, et c'est pas par peur de toi qu'ils pourraient avoir du mal à me baiser … plutôt par gêne … mais à mon avis, ça devrait aller … quand ils seront bien chauds, ça m'étonnerait qu'ils renoncent à me sauter parce que tu es là … ils sont prévenus, et ils ont dit qu'ils veulent bien essayer. Bon. Ils m'attendent … ils veulent une bière …


Mouais … si c'était seulement pour aller leur chercher une bière, elle pouvait entrer directement dans la cuisine depuis le jardin … pas besoin de faire un détour par le séjour. C'était donc bien pour me parler qu'elle est passée par ici. Je finis de lui laisser le passage, elle entre et se dirige vers la cuisine … Je n'en reviens pas … elle a radicalement changé d'attitude à mon égard ! Je suis scié … non seulement elle me raconte tout, mais elle a même fini par me parler sans agressivité … presque gentiment. Est-ce que, par hasard, elle aurait pris goût à se faire sauter devant moi ? Je me tourne vers les deux types … le grand brun, penché en avant, les avant-bras posés sur les cuisses, parle à son pote en riant et en jetant des coups d'œil vers moi … Je lui souris et je lui fais un signe de la main. De la cuisine me parviennent le bruit du frigo qui se referme et celui de canettes qui s'entrechoquent … Christine repasse devant moi, des bières dans les mains … elle s'arrête:

- Alors, tu vas nous regarder baiser ?

- D'après toi … 

- Ben oui … tu vas nous regarder …


Elle sort … se ravise et fait demi tour:

- Euh … y'a plus rien, dans le frigo … 

- Comment ça, y'a plus rien … j'ai fait des courses hier … t'as pas vu ?

- Si, si, j'ai vu, il reste des choses, mais je veux dire … y'a plus rien de prêt … 

- Pourquoi ? Ils ont faim, en plus d'avoir soif ?

- Non, ils ont pas faim … pas encore, mais ça pourrait venir … tu pourrais pas … euh …

- Quoi ! Vous faire à manger pendant que vous baisez ? 

- Ben … je sais pas …

- Te fous quand même pas trop de ma gueule, hein … que tu te fasses sauter à la maison par des mecs que tu connais pas, je m'en fous … ça me plaît plutôt, même, mais ne …

- Justement … comme ça te plaît, tu pourrais faire un effort … ça serait sympa de …

- Non !

- Bon … oublie … 


Elle hésite une fraction de seconde, puis:

- En tout cas, si tu regardes, tu vas voir … le mec, là … 


D'un coup de menton, elle me désigne les deux types qui l'attendent.

- LE mec ? Lequel …

- Le brun, celui à qui j'ai roulé une pelle … et ben, il a une des ces … UNE DE CES BITES ! ! !


Elle sort et me plante là. Elle a lâché ça avec une espèce de … jubilation gourmande ! Hé oui, elle l'a déjà vue, sa bite à ce mec … puisque tout à l'heure, elle m'a dit qu'ils avaient "un peu commencé", dans leur suite, tous les trois … Alors oui, bien sûr que je vais vous regarder ! Je veux voir ça, une bite qui l'épate à ce point. Elle rejoint les deux types … elle leur tend leurs canettes en leur parlant et elle s'assoit de nouveau sur les genoux du type brun, un peu tournée vers lui. Ils boivent … elle, toujours avec son bras passé sur les épaules de ce mec. A la réflexion, je regrette presque d'avoir dit non pour la bouffe. Elle semble avoir changé d'avis en ce qui concerne ma présence pendant ses parties de cul … J'ai réagi trop impulsivement et j'aurais peut-être dû faire un effort. Après tout, j'aime bien cuisiner et en fin de compte, ça ne me coûterait pas de faire de la bouffe pour les types qui la baisent … et ça la disposerait bien à mon égard … Bon, on verra …


Elle sirote lentement la moitié de sa bière puis elle se penche pour poser la canette à ses pieds … elle se redresse et, dans le même mouvement, elle soulève ses fesses des genoux du type, glisse ses mains sous le bas de sa jupe, à hauteur de ses hanches, et se met à se tortiller … et sous ses fesses, je vois apparaître la ligne blanche de son string ! Les doigts passés dans la ceinture de la minuscule culotte de dentelle, elle se tortille encore et elle le descend sur ses cuisses … se rassoit … finit de le descendre jusqu'à ses pieds, l'ôte complètement et le lance au blond, vautré sur son transat … Il rit, pose aussi sa bière, prend la boule de tissu, la déroule, et, les pouces passés dans la ceinture du string, il tend le minuscule triangle de dentelle devant ses yeux … je suis sûr qu'il va le sentir … il jette un coup d'œil vers moi et … Yesss, j'en étais sûr ! Il hume la petite culotte qui vient tout juste de sortir d'entre les fesses et la chatte de Christine, et il se marre de plus belle …


Les deux potes n'arrêtent pas de me jeter des coups d'œil en riant … Ils doivent se foutre de ma gueule, mais je m'en fous, ils se détendent. Je vois Christine bouger, et il me semble qu'elle a de nouveau pris la main du type brun, mais, cette fois, c'est apparemment vers ses cuisses qu'elle l'attire … Et oui, bien sûr … pour elle, maintenant qu'elle a ôté son string, il est temps qu'il commence à lui tripoter la chatte ... le désir doit lui tarauder l'entrejambe et elle doit commencer à mouiller … sa chatte doit lubrifier toute seule pour se préparer à recevoir le sexe de ce mec … de CES mecs … Elle se retourne une fraction de seconde, comme pour s'assurer que je regarde toujours … et elle entreprend aussitôt de pivoter vers moi et de tourner le dos au type brun … elle doit considérer que je ne vois pas suffisamment … la voilà maintenant assise plus ou moins à califourchon sur les cuisses du type brun … C'est bien ça ! Elle a dû se dire que si elle restait dans la même position, je ne profiterais pas du spectacle ! Maintenant, elle est presque de trois quarts par rapport à moi … elle s'adosse au torse du mec, lui prend les deux mains, et les attire vers ses hanches … il hésite, me regarde, puis se laisse faire … elle écarte les cuisses … sa minijupe, retroussée en plis à l'angle de ses hanches, me dévoile son pubis et sa chatte … tous les deux bien roses et toujours totalement imberbes ! Je remarque que, telles une crête de coq rose pâle, ses petites lèvres dépassent légèrement de ses grandes lèvres encore un peu serrées … Putain, ce spectacle est à la fois tellement … impudique et adorable ! Paradoxalement, il y a une espèce d'innocence dans sa manière d'écarter les cuisses et de dévoiler sa vulve ! Elle fait ça avec autant de naturel qu'elle montrerait ses pieds ou ses genoux à une terrasse de café ! Il n'y a rien à faire, ça me trouble, ça me bouleverse toujours autant … je ne me lasse pas de la voir se comporter comme ça ! Cette fois, ce n'est plus un frémissement que je ressens dans ma queue … je commence à bander !


Elle tient toujours fermement les mains du type et il me semble qu'elle continue de le forcer … il n'ose pas lui toucher la chatte aussi ouvertement devant moi et il résiste … elle renverse sa tête en arrière, sur l'épaule du type, et elle lui parle … Je n'entends pas, évidemment, mais je n'ai aucun mal à imaginer ce qu'elle lui dit: « Vas-y, mets-moi tes doigts … tripote-moi la chatte … n'aie pas peur, il ne te dira rien ». Alors il cède … il lui glisse sa main gauche sur le ventre, sous la jupe, et il descend sa main droite sur son sexe ! Oh, putain, oui, vas-y ! J'ai beau être assez loin d'eux, je vois que, cette fois, sans hésiter, et directement, il lui plaque ses doigts sur le sexe. De là où je suis, je vois nettement son majeur s'enfoncer doucement entre son index et son annulaire … il lui a glissé entre les petites lèvres … Elle réagit instantanément … elle se cambre sous l'effet de ce début de caresse, redresse sa tête et me regarde … lui, ça semble le décoincer … sans doute le contact de son doigt dans la douceur de cette vulve humide … parce que je suis sûr qu'elle mouille déjà d'excitation … et sous son doigt, à la jonction de ses petites lèvres, il a dû sentir son clitoris déjà gonflé de désir … rien de tel pour exciter un mec, que de sentir qu'une femme "bande", mouille et lubrifie … ce qui le décoince, c'est peut-être aussi de la sentir aussi sensible et réactive à sa caresse … Oh la la, le doigt de ce type qui commence à aller et venir en glissant entre les petites lèvres de Christine et sur son clitoris … cette première phalange qui s'introduit de temps en temps dans l'entrée de son vagin pour y prélever un peu de fluide lubrifiant … à moi aussi, ça me fait un effet terrible !


Elle a lâché les mains du type et, de plus en plus vautrée sur lui, son chemisier grand ouvert sur sa poitrine, elle lui presse fébrilement les hanches … elle respire rapidement et je vois son abdomen se soulever au rythme de son souffle … je sens qu'elle me regarde … Soudain, comme soumise à une impérieuse nécessité, elle se décolle du torse de son amant, passe ses mains derrière ses fesses et elle se met à lui palper, à lui pétrir le bas ventre … et ça lui plaît, à ce mec … ça lui plaît même tellement que, pour mieux se prêter à ce jeu, il se cale bien au fond de sa chaise … et comme, en avançant son bassin, Christine a mis sa chatte hors de portée des doigts de son amant, il la prend par les hanches et braque son regard sur les mains de Christine qui lui tripotent fébrilement le bas ventre … On dirait qu'il a oublié ma présence … Il me semble … il me semble que je distingue une bosse dans son jean … une assez grosse bosse, en effet … elle le fait bander, à lui tripoter la bite comme ça …


Ce petit jeu doit rapidement s'avérer insuffisant pour Christine …  elle ôte ses mains, se lève, se retourne et se rassoit à califourchon sur les genoux du type, mais face à lui, cette fois … elle se penche et la voilà qui entreprend de lui déboucler sa ceinture … Quel spectacle ! Une femme … "ma" femme … la jupe retroussée à l'angle de ses hanches … "ma" femme, penchée sur le ventre d'un type bien plus jeune qu'elle …  "ma" femme qui va déballer la queue d'un inconnu … qui va sans doute la branler …  mais elle est tellement impatiente et fébrile qu'elle s'y prend mal…  impatience et fébrilité communicatives, parce que le mec lui repousse les mains et se charge de défaire lui-même sa ceinture et d'ouvrir sa braguette … il écarte les deux pans de son jean avant de la laisser continuer … elle y plonge sa main et, délicatement, mais fermement, elle en extrait un … oh putain, l'ENGIIIIIN !

 

Elle avait raison … même d'ici, je peux me rendre compte que ce mec à une bite vraiment hors normes ! La vaaaaache ! Non seulement elle paraît vraiment très longue, mais en plus, putain … quel calibre ! C'est un organe sexuel qui a la longueur de la bite de ses amants sénégalais … et le diamètre de la bite de … comment il s'appelle, déjà, leur pote beur ? Alors que ce type a un teint plutôt clair, légèrement hâlé mais clair, sa verge est très sombre, basanée … mais ce n'est pas ça le plus frappant … le plus frappant, c'est vraiment la taille de cet organe ! Pourtant, j'en ai vu, des queues, depuis un mois … au Huitième Ciel déjà, et pas seulement celles des cinq types qui ont baisé Christine … celles des spectateurs aussi … et l'autre nuit, les bites des sept joueurs de foot qui l'ont baisée ici … mais jusqu'ici, c'est vraiment celle-ci la plus grosse … et de très loin … Le type bande … il est encore calotté, mais sous son prépuce, je devine sa forme très ourlée, très profilée de son gland … magnifique ! 


Putain, je … cette bite … cette bite, elle me … non non … non non … je peux pas penser à des trucs comme ça… c'est seulement pour les femmes, une bite comme ça … c'est pour Christine … moi, je suis un mec … je peux pas avoir … mais putain, je comprends qu'elle ait envie de se faire … de se faire fourrer par un truc comme ÇA ! Mais moi, non non … je peux pas avoir envie de … je suis content pour elle, c'est tout … moi, je … c'est pas possible que j'aie … je ne pourrais pas … Oh, merde, qu'est-ce qui me prend ?


Je me déplace un peu, et cette fois, je m'adosse ostensiblement au battant de la porte-fenêtre … Dès que la bite de ce type est apparue, Christine l'a empoignée de sa main droite, et, la tête penchée, elle la contemple, comme fascinée par ce qu'elle tient entre ses doigts … oh la vache … sa main, sa main si petite et si fine, qui serre cet énorme engin ! J'ai l'impression que ses doigts n'en font pas complètement le tour ! Je me demande à quoi elle pense, à cet instant précis … Le type avance sa tête et pose son front contre le front de Christine … il lui saisit le poignet avec lequel elle tient sa queue et il lui parle … elle hoche doucement la tête et elle se met à faire coulisser lentement sa main le long de cette hampe … elle commence à le masturber … dans un mouvement parfaitement synchronisé, tous deux tournent la tête vers moi, me regardent et il me semble qu'ils m'envoient chacun un message silencieux… Elle: « Qu'est-ce que je te disais … t'as vu, ce morceau ? » Lui: « Regarde, mec … c'est avec ça que je vais baiser ta femme »… Oh oui … j'ai hâte de voir ce … ce sexe énorme s'enfoncer dans le ventre de Christine …


Putain, j'en ai le cœur qui bat la chamade … J'ai … j'ai une furieuse envie de m'approcher … pour voir ce phénomène de près … pour voir la main de Christine monter et descendre le long de cette … de cette GROSSE BITE  ! Le front toujours collé au front de son amant, Christine a aussi serré sa main gauche sur ce sexe … et ses deux mains tiennent facilement l'une au-dessus de l'autre… elle le masturbe à deux mains et, peu à peu, son gland se décalotte … lui, il a plaqué ses deux mains sur la poitrine de Christine et il lui palpe doucement les seins … Merde, je n'y tiens plus … jusque là, je craignais plus ou moins que ma présence ne gêne ce type si je me montrais trop curieux ou indiscret, et que ça le décourage … mais, visiblement, ce n'est pas le cas … ou ce n'est PLUS le cas … Alors, je me décolle de ma porte-fenêtre et je m'approche … on verra bien, je tente le coup … Mon mouvement ne lui a pas échappé … il me jette un rapide coup d'œil par en dessous et il chuchote quelque chose à Christine … sur ses lèvres à elle, je lis "oui" … Me voilà près d'eux … à trois mètres à peine … je prends une chaise de jardin, je la tourne, je m'assieds à califourchon et je croise mes avant-bras sur le dossier… Elle tourne alors la tête vers moi et, tout en continuant de masturber cette grosse queue, elle me regarde … je lui souris … elle approche alors sa bouche de l'oreille du type et lui parle … puis elle ôte sa main gauche de sa bite, elle lui saisit le poignet droit et l'attire vers son entrejambe … il se laisse faire, glisse sa main entre les cuisses de Christine et, sans doute, il recommence à lui tripoter la chatte … Comme tout à l'heure, elle réagit instantanément … je l'entends aspirer une grande bouffée d'air, elle tend son bassin vers l'avant pour faciliter le doigtage du type, et elle accélère le mouvement de sa main droite sur sa bite … sa bite maintenant complètement décalottée … son gland … son gland est magnifique … je crois que … je crois qu'une petite goutte de fluide translucide perle déjà à l'entrée de son méat … Si j'étais Christine, j'aurais envie d'essuyer ce fluide avec ma langue …


Putain, moi aussi, je bande ! Je bande et ma bite, coincée dans mon short, n'arrive pas à se redresser … j'hésite quelques secondes, puis je me décide … je glisse ma main dans la ceinture de mon short, et je décoince ma bite … heureusement, dessous, je n'avais mis ni slip ni caleçon … ffffffffff … ça va mieux … Je … je fais quoi, maintenant … je ne sais pas si ils ont remarqué mon geste … j'ôte ma main de mon short, ou je la laisse ? Si j'en profitais, maintenant que c'est fait, maintenant que j'ai ma queue à la main … ils n'ont rien remarqué … ils sont trop concentrés sur ce qu'ils sont en train de se faire mutuellement … mais, je ne sais quoi me retient … une espèce de honte … pourtant, l'autre nuit, je me suis ouvertement tripoté devant les sept types qui baisaient Christine … et puis, j'ai un peu peur que sortir ma queue maintenant et me palucher devant ce mec lui coupe ses moyens … il vaut mieux attendre qu'il soit vraiment chaud … alors je sors ma main de mon short … Christine et le type brun sont concentrés et de plus en plus fébriles … Christine, en particulier … surexcitée par le gros membre qu'elle est en train de masturber et par les doigts du type qui lui fouille la chatte, elle s'active de plus en plus vigoureusement … sans lâcher la verge qu'elle actionne de la main droite, elle a glissé sa main gauche dans le jean du type et, apparemment, elle cherche à lui tripoter les couilles … mais le jean est tellement étroit que son poignet est coincé et qu'elle ne parvient pas à ses fins … 


Alors brusquement, très agacée, elle sort sa main du jean, elle lâche la bite, elle se lève, recule, saisit le jean du mec au niveau de ses hanches et essaie de le descendre … il soulève ses fesses du siège et elle glisse un peu le pantalon sous ses cuisses … puis elle plonge à nouveau sa main dedans et cette fois, elle en extrait les couilles du mec ! Ouaaaahhh ! Sacrés morceaux aussi, du moins pour ce que j'en vois … ses couilles, au lieu de s'affaisser dans son entrejambe, sont retenues par la toile du jean tendue entre ses cuisses … affalé, il s'agrippe à deux mains à l'angle entre l'assise et le dossier de sa chaise, et, le bassin tendu en avant, le dos bien calé, il regarde Christine et attend qu'elle s'occupe de lui … Appuyée d'une main sur une cuisse du type, elle approche sa main … et elle reprend ce gros membre entre ses doigts … 


Lentement, elle fait coulisser sa main … elle le masturbe ... et soudain, sans lâcher cet énorme sexe, Christine tombe à genoux dans l'herbe entre les pieds du type … elle paraît de plus en plus fascinée par le membre exceptionnel qu'elle tient dans sa main, et, tout en continuant de le branler, elle semble observer comment il réagit … j'imagine qu'elle se demande aussi ce que ça lui fera d'avoir ÇA dans le ventre … Le type la regarde … il sourit … il se tourne vers son pote et je m'aperçois que l'autre a sa main dans son bermuda, et qu'il est en train de se caresser … 


Maintenant, Christine, il est temps de la prendre dans ta bouche, cette bite … allez, vas-y, suce la … goutte la … pour voir ce que ça fait d'avoir un morceau comme ça dans la bouche … Moi, j'aimerais bien savoir ce que ça fait … ça doit être chaud … ça doit être doux … ça doit palpiter sur la langue … ça doit être vachement … putain, je suis pas bien, moi, ou quoi … prendre la bite d'un mec dans ma bouche ! Et puis quoi, encore ! Et, comme si nos envies … enfin, non, pas nos envies … nos idées … comme si nos idées avaient suivi le même cheminement, je vois Christine se pencher, commencer par poser sa langue à la base de la verge du type, qu'elle tient toujours dans sa main, et la remonter lentement le long de son urètre … Oh, putain, ce que ça doit être bon ! Pour elle, je veux dire … Arrivée juste sous le gland, maintenant complètement décalotté, elle s'arrête, la langue toujours collée à cette verge … elle braque son regard sur le visage du type … ils sont les yeux dans les yeux … il lui sourit … il lui murmure quelque chose … elle frotte un peu sa langue sous son gland … et brusquement, elle empoigne plus vigoureusement cette bite … et elle enfourne ce gland dans sa bouche !  Ouaaaah, la vaaache ! Ça y est, elle le suce ! Vue la taille de l'objet, et bien qu'elle bâille autant qu'elle peut, il lui est impossible d'enfoncer entre ses lèvres beaucoup plus que le gland … alors, plutôt que de faire aller et venir ce gros truc jusqu'au fond de sa gorge, elle bouge vigoureusement sa tête un peu dans tous les sens … J'imagine … j'imagine qu'en même temps, elle tourne sa langue tout autour de ce gland … Ça y est, elle l'a dans sa bouche, la mouille de ce type ! Hhhhhmmm, quel goût ça a ?


Délicatement, il pose ses deux mains sur le crâne de Christine et, la tête un peu penchée sur le côté, il la regarde le sucer … Ça a l'air de lui plaire, à ce mec … de temps à autres, elle sort cet énorme truc de sa bouche, le temps de reprendre son souffle, elle l'observe, lui donne de petits coups de langue sur la verge, sous le gland … prend même ses couilles dans la main pour les lécher à leur tour … une ou deux fois, je la vois ôter de sa langue un poil de bite ou de couille égaré, mais ça ne la décourage pas … elle recommence aussitôt … c'est … pfiouuuu … à cette espèce de concentration, à la manière dont elle retourne jouer de la langue et des lèvres sur ce sexe … avec une telle gourmandise, on sent que non seulement elle cherche à donner autant de plaisir qu'elle peut à ce type, mais qu'elle y prend elle-même beaucoup de plaisir … elle aime vraiment ça, sucer de la bite ! 


Au bout d'un moment, elle sort cet engin de sa bouche, elle se recule un peu, saisit à nouveau les côtés du jean du mec et elle le descend sur ses mollets … puis elle lui ôte ses tennis l'une après l'autre, puis ses chaussettes, et finit de lui enlever son pantalon qu'elle lance sur la table … le voilà à moitié à poil … alors, de lui même, il passe son T-shirt par-dessus sa tête et l'envoie rejoindre son jean … il est maintenant complètement à poil … il est aussi tatoué sur tout le côté du torse, depuis l'aisselle jusqu'à la hanche … tel un félin qui s'étire, il se vautre un peu plus sur sa chaise, tend les jambes de chaque côté de Christine et croise ses mains derrière sa nuque … L'intention est claire: il s'est installé en position pour qu'elle continue de le sucer … il lance un rapide coup d'œil vers moi … j'ai l'impression que ma présence ne le dérange plus vraiment … pourtant, complètement à poil devant quelqu'un qu'on ne connaît pas, il y en a plus d'un qui serait gêné … lui, non … pour faire preuve d'une telle assurance, il faut qu'il ait vraiment conscience de sa beauté … Les mains sur les cuisses de ce mec, Christine le contemple, visiblement avec admiration … elle a raison, il est vraiment beau … et je dois dire que, même si je trouve Christine encore bien foutue et sexy, je suis quand même étonné qu'un mec comme lui, bien plus jeune, très beau et bien monté comme il l'est, ait envie de se taper une femme comme elle … il doit pouvoir se faire toutes les petites jeunes qu'il veut … il faut croire que, comme elle l'a dit, elle sait se montrer persuasive … elle compense les conséquences de l'âge sur son physique par ce comportement ouvertement provoquant, indécent et lubrique … comment des types jeunes et en plein bouillonnement sexuel pourraient-ils résister à ça ?


Elle remonte ses mains le long de ses cuisses, elle effleure sa bite au passage … sa bite toujours en érection… elle s'avance autant qu'elle peut entre ses cuisses, se met à lui caresser les abdominaux … puis les flancs … suit du bout des doigts le dessin d'un tatouage … frôle ses pectoraux … puis elle redescend ses mains sur son ventre, prend à nouveau son sexe dans la main, lève les yeux sur lui, et tout en le masturbant;

- Je te suce encore ?


Il tourne la tête vers moi et me regarde, une drôle de lueur dans les yeux …


- Oui, vas-y, suce-moi … 


Elle se penche et reprend son gland dans la bouche … cette fois, elle le suce avec moins de fougue, moins d'ardeur … c'est beaucoup plus sensuel, plus voluptueux … à lui, ça lui fait encore beaucoup d'effet … tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, il halète … elle alterne fellations et masturbations … Soudain, il redresse la tête et pose un main sur la nuque de Christine … aussitôt, je perçois un changement de comportement aussi bien chez lui que chez elle … c'est léger, subtil, mais c'est évident … pour lui, la crispation de ses doigts sur le cou de Christine, d'abord hésitante, se fait plus ferme, plus intense, au fur et à mesure qu'il sent qu'elle l'accepte … pour elle, le contact, la pression de cette main sur sa nuque, c'est à la fois la contrainte, la domination et le plaisir … alors que jusque là, c'était elle qui prenait les initiatives, elle qui se servait de ce type, voilà qu'il joue au mâle dominant … et elle l'accepte … il la possède, et elle se soumet à lui … j'adore !


Vautré sur sa chaise, la main toujours serrée sur le cou de Christine, le type se tourne vers moi et me regarde … et puis, comme assuré de sa domination sur elle, il se met à lui caresser la tête et la nuque en me dévisageant … ce n'est plus de la gêne que je vois dans ses yeux … c'est un mélange de provocation, de défi, d'arrogance: « regarde, ta femme, c'est moi qu'elle est en train de sucer … elle est à moi, ta femme … elle est à moi et à mon pote … et on va la baiser, ta femme … devant toi … ». Maintenant, c'est évident, non seulement il s'est fait à l'idée que je vais les regarder baiser, mais en plus, ça l'excite ! Très bien …


Moi, si les choses évoluent comme ça, ça me va. Jusque là, tout ça est vraiment très excitant … déjà, de regarder Christine sucer consciencieusement cette superbe bite et donner du plaisir comme ça à ce type … mais en plus, le fait que ça se passe en extérieur, dans notre jardin, ça ajoute au mien, de plaisir … quand je pense qu'il y a seulement … deux jours … ou trois jours … elle se faisait déjà baiser là par sept types, dans le jardin, sur cette table et sous la lumière blafarde de la pleine lune … aujourd'hui, elle taille une pipe à ce mec en plein jour, et sous mes yeux … et si elle lui fait visiblement beaucoup d'effet, à ce mec, elle y prend aussi beaucoup de plaisir … ça se voit, elle ne suce pas ce sexe machinalement ou seulement pour faire plaisir à ce mec … non, elle se régale, elle savoure littéralement l'organe qu'elle a dans la bouche … elle en tire autant de jouissance qu'elle en donne … tout en lui tétant langoureusement le gland, elle le masturbe toujours avec sa main gauche, mais maintenant, je m'aperçois qu'elle a glissé sa main droite entre ses cuisses … je suis sûr qu'elle se masturbe aussi … Je jette un coup d'œil vers l'autre, le blond … il a les yeux rivés sur Christine et son copain, et il continue de se donner du plaisir … je remarque que, pour se tripoter plus à son aise, il a déboutonné sa ceinture, descendu le zip de sa braguette et écarté les deux pans de son bermuda … et il a maintenant les deux mains dedans … il doit se masturber d'une main et se tripoter les couilles de l'autre … son excitation monte, c'est évident … lui aussi a dû sentir le changement qui s'est opéré entre son pote et Christine … il doit se dire que, tout à l'heure, c'est sa bite à lui qu'elle sucera, cette salope, et qu'ils vont se la faire tous les deux … moi aussi, j'espère bien que je la verrai le sucer, lui aussi, et qu'ils vont la baiser tous les deux … 


Puisque Christine et ses deux amants se laissent maintenant aller ouvertement, je ne vois pas pourquoi je continuerais de me gêner … je glisse ma main dans la jambière de mon short et, tant bien que mal, j'en extrais ma bite toute raide et mes couilles … putain, ma queue bave déjà … je mouille d'excitation ! Je commence à me masturber doucement … Elle avait raison, Christine … moi aussi, je suis sûr que ça va le faire … ils vont la baiser devant moi … 


Sans sortir le gland du type brun de sa bouche, elle tourne la tête vers moi et me regarde du coin de l'œil… elle baisse les yeux sur mon ventre et se rend compte que j'ai sorti ma queue et que je me masturbe … elle m'observe comme ça un moment, puis elle sort la bite du type d'entre ses lèvres, lève les yeux sur lui, et:

- Qu'est-ce que je t'avais dit … tu vois ? Il se branle …


A son tour il me regarde et sourit:

- Oui, j'ai vu …


Ils me regardent tous les trois … c'est bizarre … quelque chose me dit que je devrais être gêné … ma femme et les deux mecs qui vont la baiser devant moi me regardent me branler … mais, au contraire, j'en tire un plaisir supplémentaire … je n'interromps pas ma masturbation … 


- Ça te plaît, hein, de me regarder lui tailler une pipe …


Tiens, voilà autre chose … elle m'interpelle en pleine action … je n'ai pas l'impression qu'elle attende que je réponde à sa remarque, mais:

- Ben oui, évidemment ça me plaît …


Comme si mon échange avec Christine ajoutait à son excitation, le type lui prend alors la tête à deux mains et la presse vers son sexe;

- Allez, toi … suce-moi encore … 


Mais elle résiste:

- Non … attends …


Elle se dégage et se relève … elle détache le bouton qui ferme la ceinture de sa mini jupe et, en se tortillant, elle la descend sur ses cuisses, finit de l'enlever et l'envoie rejoindre les vêtements du type sur la table … puis elle ôte son chemisier… la voilà complètement nue … ils sont beaux, tous les deux à poil … oh, bien sûr, la différence d'âges saute immédiatement aux yeux … et même la différence de générations … il doit avoir une quinzaine d'années de moins qu'elle, ou au moins une douzaine, mais on sent nettement cet écart de génération, et pas seulement à des détails physiques … c'est difficile à définir … c'est aussi dans la gestuelle, dans le comportement, dans l'assurance, dans l'aisance dont elle fait preuve et qui lui manque encore, à lui … dans le fait que c'est elle qui prend les initiatives … dans l'ascendant qu'elle semble avoir pris sur ce jeune type … dans l'espèce de respect, de déférence qu'il lui manifeste (malgré les circonstances, puisque, il faut bien le dire, elle se comporte tout de même avec lui comme une véritable salope nymphomane) … voilà, il y a de ça … bien qu'il s'apprête à la baiser, il demeure entre eux comme une … comme une distance … la même distance générationnelle qu'il doit avoir avec les amies de sa mère … et avec sa mère … 


Oui, la différence d'âges et de générations saute au yeux et dans leur nudité impudique, ils ont quelque chose d'un couple incestueux … ce jeune homme va prendre, va posséder, va connaître charnellement cette femme plus âgée que lui, ils vont s'accoupler, forniquer et il va la féconder … et paradoxalement, en dépit de ce sexe masculin qui se dresse avec toute la vigueur de l'excitation sexuelle, en dépit de ce pubis féminin totalement épilé et de cette vulve que je devine déjà lubrifiée de désir, à mes yeux, c'est un tableau plein de fraîcheur, presque de candeur et d'innocence que Christine et son amant offrent à mon regard … Adam et Eve au jardin d'Eden … Adam et Eve avant que l'Eglise n'invente le péché originel et ne souille le SEXE de sa morale morbide … eux deux, là, ce jeune mâle et cette femelle mûre qui s'apprêtent à forniquer pour le seul plaisir de leurs sens, ils se sont totalement émancipés de toute morale et il sont seulement beaux et terriblement érotiques.


Elle s'avance, à califourchon au-dessus des cuisses de son amant, lui empoigne le sexe, tend son bassin en avant et commence à fléchir les genoux … elle va s'empaler sur son pieu ! Et c'est à chaque fois la même chose … voir le sexe d'un homme qui s'apprête à pénétrer le sexe de Christine et à s'enfoncer dans son ventre, ça me bouleverse … Je ne sais pas précisément ce qu'elle a voulu dire, tout à l'heure, quand elle m'a expliqué qu'ils avaient "un peu commencé" tous les trois à l'hôtel, mais j'imagine qu'elle les a seulement masturbés et sucés,  sans les laisser la pénétrer … alors là, ça va être la première fois que ce jeune mec va introduire ce … cet énorme membre dans le vagin de Christine … il a pris Christine par la taille et, la tête baissée, le regard braqué sur sa queue, il attend que son gland entre en contact avec sa vulve et s'y enfonce … il doit anticiper les sensations de son membre se frayant un chemin en progressant dans les chairs humides et tièdes de cette femme … 


 

 

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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