Mercredi 17 octobre 2018 3 17 /10 /Oct /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Mardi 12 décembre.

A 13 heures, je suis devant cette maison … enfin, devant MA maison … j'ai un peu de mal à réaliser que c'est MA maison. Pas de Gégé. Si ça se trouve, aujourd'hui, pour lui, l'après-midi commençait vraiment à midi et, ne me trouvant pas là, il est reparti. J'ouvre fenêtres et persiennes pour aérer, et je visite de nouveau les lieux. Il y a une espèce de sous-sol que Gwen ne m'avait pas montrée. Chaudière et ballon d'eau chaude. La maison étant un peu humide, je mets le chauffage central en route. La chaudière démarre immédiatement. Et tant que j'y suis, je démarre aussi le ballon d'eau chaude. Ça peut toujours servir. Dans cette espèce de cave, les locataires ont laissé une petite table de camping en mauvais état et une étagère métallique. J'explore aussi le jardin. Tout près de la maison, il y a un coin barbecue. 

 

En attendant Gégé, pour m'occuper, je regarde ce qu'il y a dans le dossier que Gwen m'a donné. En effet, ce sont des archives dont certaines remontent à l'époque de mes parents. Il y a aussi une grosse enveloppe en papier kraft, assez lourde, et portant le cachet d'une étude de notaires. Dedans, deux épais cahiers … le premier c'est l'acte d'achat de cette maison par mes parents, et le deuxième … tiens, c'est bizarre … c'est aussi un acte d'achat par mes parents … c'est quoi, ça ? L'acte date de la même époque … et du même jour, d'ailleurs … il s'agit d'un ensemble comprenant une maison d'habitation et des dépendances … hangar, crèche – il me semble que c'est comme ça qu'on appelle une étable, ici -, écurie, grange, four à pain, soue à cochon, remise agricole … et des terres … prairie, bois, verger, potager … près de 15 hectares, quand même … une exploitation agricole, en somme … le tout situé dans la commune de … Plouménez, Finistère, lieu-dit Coat ar Bleiz … Je n'ai jamais entendu parler de ça, ni par mes parents, ni au moment du règlement de leur succession … mes parents l'auraient revendu entre temps ? C'est curieux … il faudrait que je recherche où ça se trouve exactement. Il me semble que j'ai déjà entendu ce nom, Plouménez … on verra sur Internet ce soir, quand je serai dans le gite … Ils ont acheté ça … voyons … 30.000 francs ! 30.000 francs ? ! ? ! C'est pas possible, ça représenterait … moins de 5.000 € ! Un ensemble immobilier de cette importance, avec autant de terres ? Je sais bien que les terres agricoles ne valent pas très cher, mais là, quand même ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

 

Une pétarade provenant de la rue détourne mon attention. Quand je sors, je vois quelqu'un s'arrêter devant la maison en Mobylette … à la silhouette de colosse, je reconnais Gégé. Ça existe encore, cet genre d'équipage ? C'est la totale: Mobylette orange avec sacoches en cuir, et, dessus, Gégé portant un casque à l'ancienne, comme une demie sphère blanche, et des lunettes qui ressemblent à des lunettes de soudeur … une parka en grosse toile brun-kaki …  on se croirait revenu trente ans en arrière. Je me demande où il a pu trouver un engin comme ça avec tout l'équipement qui va avec. Il met sa Mob sur béquille et il ôte son casque.

 

Je lui fait visiter la maison et je lui explique ce que j'attends de lui. Le chantier lui convient. Comme je lui demande de me faire la liste de ce qu'il lui faut, il me propose que nous allions tout de suite acheter le nécessaire dans le magasin de bricolage qui se trouve à 5 minutes. Nous montons en voiture … Putain, qu'est-ce qu'il pue ! J'espère que l'odeur ne va pas imprégner les sièges. Il n'a sans doute pas l'eau courante dans son blockhaus, mais il doit bien exister des douches publiques dans le coin … Apparemment, il est connu, le Gégé … dans le magasin, tous ceux que nous croisons lui disent bonjour, employés et clients … à bonne distance, mais en le tutoyant et en l'appelant Gégé …

 

Pinceaux, rouleaux, seau, balais, peinture, bâche, escabeau, etc … Gégé sait ce qu'il veut, on voit qu'il a l'habitude … il prend même une combinaison jetable et des gants ! 

 

De retour à la maison, après avoir tout déchargé et rangé, je lui donne un des jeux de clefs que Gwen m'a remis:

- Bon, je vous laisse des clefs … vous venez quand vous voulez … j'ai remis le chauffage central en route … et le ballon d'eau chaude … la maison est à vous …

- Ouais. Je commence demain. Déjà, les plafonds … je ferai les murs après …

- Vous voulez que je vous laisse un peu d'argent, au cas où il manquerait quelque chose ?

- Pas la peine … ils me connaissent, ils me feront crédit …

- Bon, comme vous voulez … à plus tard.

- Salut.

 

Je regagne mon gite et j'appelle l'agence immobilière. C'est évidemment Gwen qui répond:

- Oui ?

- Dites, avec le dossier que vous m'avez remis, il y a 2 titres de propriété dans une enveloppe d'un notaire … un titre de propriété pour la maison qui était en location, et un autre pour un sorte de … d'exploitation agricole à Plouménez … ça vous dit quelque chose ?

- A Plouménez ? Non. Mais, vous savez, je n'ai jamais regardé dans cette enveloppe … elle était là quand j'ai repris l'agence … ça date de mon prédécesseur … vous avez interrogé le notaire ?

- Non, pas encore. Je vais le faire … je me disais que vous seriez peut-être au courant …

- Non, désolée. Voyez aussi auprès des services du cadastre …

 

J'appelle l'étude notariale. La personne qui me répond me reçoit sèchement. Je lui demande de me passer son patron … elle m'explique que le notaire qui a réalisé la vente de la maison a cédé son office depuis longtemps, et que, maintenant, c'est deux nouveaux notaires qui l'ont repris … elle ne peut pas me les passer, il faut que je prenne rendez-vous … pas de disponibilité avant la semaine prochaine … je lui explique quand même l'objet de mon appel, de façon que, d'ici le rendez-vous, on ressorte le dossier des archives … 

 

Quand j'appelle le service du cadastre, il est déjà trop tard, les bureaux sont fermés. Tant pis, j'irai demain. Je n'ai que ça à faire. Alors je pars traîner sur le sentier qui longe la côte. Il fait un peu frais, mais c'est supportable … je me soûle d'air marin et de cris de mouettes … ça sent l'iode, les algues et un peu la vase par endroits … 

 

Je me sens tellement loin … il y a deux jours, je me cachais de quatre types débarqués chez moi à l'improviste pour … pour me baiser ! Quand je pense à ça, c'est comme si c'était la vie de quelqu'un d'autre qui me venait en mémoire … Ici, j'ai une vie … normale … JE SUIS normal … Là-bas, en Seine-et-Marne, quand je rencontrais un mec … n'importe quel mec, un commerçant, un passant, un jogger, un flic, je ne pouvais pas m'empêcher de l'examiner en dessous de la ceinture pour essayer de deviner l'aspect de son sexe sous son vêtement … c'était devenu un réflexe … et plus que ça, une part de moi-même me soufflait « celui-ci, il faudrait bien qu'il me baise aussi » ! Et ce, quel que soit le mec …  ou LES mecs … parce que, même quand je me trouvais en présence d'un groupe, j'imaginais les mecs en train de me prendre en levrette, les uns après les autres … presque à chaque fois, j'étais pris d'une sorte de spasme du côté de mon périnée et de mon anus …

 

Ici, rien du tout … à aucun moment je n'ai pensé à ça en croisant des hommes … Gégé, par exemple … je suis certain qu'avant, même son côté hirsute et crasseux, même sa puanteur ne m'auraient pas rebuté … là, non … il ne m'inspire strictement rien … les employés du magasin de bricolage ne m'ont rien inspiré non plus … ni les clients … J'ai la sensation que mon entrejambe est comme endormi, engourdi … et je me sens très bien comme ça !

 

J'en suis là de mes réflexions, quand mon téléphone portable se met à sonner. Je décroche par réflexe, ayant presque oublié que ce portable est aussi celui de mes affaires de cul. 

 

- Allô ? 

 

C'est Pierrot, l'éleveur de molosses. Je reconnais tout de suite sa voix, rien qu'à son "allô ?". Instantanément, me voilà confronté à deux tentations antagonistes: d'un côté rester dans cet état de calme sexuel et ne pas répondre, raccrocher ou l'envoyer balader … et en fait, c'est la première pensée qui me vient … mais elle ne fait que m'effleurer, parce que de l'autre côté … de l'autre côté, ben il s'agit de Pierrot, le maître de Falco et de Gordo, le maître de mes … le maître de mes deux extraordinaires amants, le maître des deux molosses qui m'ont si bien saillie, le maître de mes deux mâles ... et ça, c'est comme une vague qui me submerge, comme un tsunami, parce que Pierrot, c'est la tentation du sexe … pas avec lui, bien sûr, mais avec ses deux molosses … c'est même la tentation du sexe avec TOUT son élevage … et au-delà de Pierrot et de son élevage, c'est la tentation du réseau de ses collègues éleveurs et de leurs chiens … la tentation du sexe avec les chiens de ses collègues éleveurs … tout ça me tombe dessus d'un seul coup … et comment résister à ça ? Instantanément, je suis littéralement cueilli par cette espèce de délicieuse contraction de mon périnée et de mon anus … et il me suffit d'une fraction de seconde pour décider:

- Ouais … salut Pierrot.

- Tu m'as reconnu ?

- Oui.

- Ah bon … bon, dis donc, je t'avais dit que je te contacterais pour … pour … enfin, tu sais quoi … tu te rappelles ?

- Oui, je me rappelle parfaitement.

 

Ça a été plus fort que moi … Pierrot n'a pourtant fait qu'une allusion très anodine … "tu sais quoi" … et me voilà ferré comme un poisson au bout d'une ligne … oh oui, je me souviens pourquoi il devait me contacter ! Ce jour là, chez Jean-Claude, il avait dit qu'il me contacterait pour que j'aille me faire encore saillir et féconder par ses chiens, et même, si j'en avais envie, par tous les mâles de son élevage … Oh, putain ! Ce jour là, il avait été bien plus direct qu'un simple "tu sais quoi" … après m'avoir simplement offert de visiter son élevage, il avait fini par me proposer carrément, ouvertement, de venir chez lui pour me faire sauter par ses chiens … et par autant de chiens que je voudrais … et ça … ÇA !!!!!! Oh, putain, cette perspective me rend dingue ! Dès que j'ai reconnu sa voix, je me suis arrêté de marcher sur l'étroit sentier côtier. Maintenant, Pierrot marque un silence et toussote … comme s'il était gêné. Alors pour le mettre à l'aise, j'enchaîne:

- Tu devais m'appeler pour que je vienne me faire sauter par tes chiens … 

- Ouais … alors euh … justement, je voulais te dire …

 

Aïe ! A son ton, je le sens embêté … j'ai l'impression qu'il prend des gants, qu'il ne sait pas trop comment exprimer ce qu'il a à me dire … si ça avait été ce que j'imaginais, ce que j'espérais, il n'aurait pas employé ce ton hésitant, il aurait été plus direct … mon enthousiasme retombe brusquement … il toussote encore:

- heeemmm ! Je … ben, ce qu'on avait dit, ça va pas être pour tout de suite … tu comprends, il fait moche, il fait froid … je préférerais attendre qu'il fasse meilleur … tu vois, pour que tu puisses faire ça dehors … là, en ce moment, tu serais obligé de faire ça à l'intérieur, et j'ai pas d'endroit prévu pour ça, comme Jean-Claude, avec son écurie … moi, j'ai pas la place … je suis embêté, tu comprends …

 

Oui, je comprends. Mais si ce n'est que ça, ça va … j'ai eu peur qu'il ait changé d'avis, qu'il ait renoncé … Il reprend:

- J'espère que … j'espère que t'es pas trop déçu …

- Pierrot … t'as pas changé d'avis, quand même …

- Changé d'avis ? Oh non ! C'est seulement … tu sais, j'aurais voulu que ça se fasse rapidement, mais … je me rends compte que tout de suite, là, ça va pas être possible …

 

Je le sens sincère. Derrière moi, sur la portion de sentier que je viens de parcourir, un couple approche. Alors pour leur laisser le passage et pour pouvoir continuer cette discussion un peu spéciale en toute discrétion, je descends sur la grève de galets en contrebas. Et je rassure Pierrot:

- Bon, alors si c'est que ça, ça va … je peux attendre un peu …

- Ah bon … et toi … t'as … t'as pas changé d'avis non plus, alors …

- Oh que non ! Et t'as raison, ce sera mieux si on peut faire ça en extérieur avec tes chiens … me faire grimper en extérieur, j'adore ça ! Alors, me faire couvrir par tes chiens dans ton … dans ton élevage ou dans ton jardin, j'en rêve …

- Bon, ben … tant mieux … et … je me demandais … heeemmm … tu te rappelles, t'as dit que t'étais d'accord pour que je montre les photos et les vidéos que j'ai faites chez Jean-Claude à quelqu'un de sûr … hein, tu te rappelles ?

- Oui, je me rappelle … et tu les as montrées ?

- Oui, oui, je les ai montrées à un copain … et tu peux être tranquille, hein, il gardera ça pour lui … mais en fait … je me demandais … comme ça te dérange pas que quelqu'un d'autre voie des photos de toi en train de te faire … de te faire saillir par mon chien … est-ce que … est-ce que ça te gênerait si je … si j'invitais quelqu'un pour venir te voir … tu sais, pendant que tu … pendant que mes chiens ils te … pendant qu'ils te baiseraient … ça serait pareil, que quelqu'un te regarde en photos ou en direct … je veux dire .. ça changerait rien … Mais hein, si t'es pas d'accord, pas de problème, on fait ça seulement entre nous …

 

Oh la vache ! Ce mec ! Il voudrait faire venir quelqu'un pour me regarder me faire baiser par ses chiens ! Et il a bien préparé son argumentaire, l'animal ! Il a raison, ça ne changerait pas grand chose, que celui qu'il veut inviter ait regardé les photos et les vidéos ou qu'il me voie en chair et en os en train de me faire couvrir par les molosses de Pierrot. Au contraire, même, j'aime tellement me faire sauter devant du public ! De nouveau, dès que Pierrot a parlé d'inviter quelqu'un, un spasme m'a contracté le périnée et ma rondelle a frémi. Le Pierrot, même si il met les formes pour me demander la permission, à mon avis, ils sait déjà à quoi s'en tenir … ce mec a compris ce que j'aime ! Mais je ne dois pas trop lui montrer l'effet que ça me fait. Je demande:

- Ouais, donc, t'as envie d'inviter quelqu'un … Qui ça … "quelqu'un" ?

- Ben … un copain à moi … le même, hein, celui qu'a déjà vu les photos … j'te dis, il est vraiment sûr … t'as rien à craindre, je le connais bien, c'est pas le genre à … 

- Pierrot, tu connais les risques … il faut que tu sois sûr de lui à 200% …

- Alors là, pas de problème … avec ce mec, AUCUN problème … tu sais, j'ai bien vu, quand je lui ai montré les photos et les vidéos, il était comme fou ! Il donnerait n'importe quoi pour venir te voir te faire saillir en direct …

- Bon, si t'es sûr de lui, ça ne me dérange pas … au contraire … 

- Bon, bon … d'accord, alors … 

 

Il marque une pause, comme s'il hésitait … puis:

- Tu sais, le copain en question, lui aussi, c'est un éleveur … un éleveur de chiens, je veux dire …

 

De nouveau une pause. Là, c'est évident il a encore quelque chose à dire … ou à demander … je suis sûr qu'il voudrait que … Et d'un seul coup, il se lâche:

- Et ce copain, il aimerait bien venir avec un de ses chiens … tu sais, pour que … pour que son chien, il te fasse comme les miens !

 

Il a lancé ça à toute vitesse, et il me semble qu'après, il a poussé un bref soupir, comme soulagé d'avoir osé. Je le sentais … je sentais qu'il avait un truc dans ce genre à me demander … C'est dingue ! C'est vraiment dingue ! De nouveau, des frissons m'électrisent l'anus, la prostate et les couilles ! YESSSSSSS ! ! ! Cette fois, on y est ! J'avais déjà ressenti quelque chose comme ça quand j'ai réalisé que des mecs qui m'avaient baisé refilaient mes coordonnées à d'autres mecs … une espèce de jubilation et de … et de fierté … oui, être non seulement une "fille facile", mais aussi être un bon coup … un coup exceptionnel … un coup tellement exceptionnel que ceux qui m'ont essayée ne peuvent pas s'empêcher d'en faire profiter les autres … et jusque là, c'était des mecs, des hommes qui faisaient ça, mais maintenant, c'est des éleveurs de chiens ! Je jubile ! Des éleveurs de clebs … des éleveurs de clebs se donnent le mot pour … pour m'offrir à leurs chiens … Rhôôôô, putain ! D'un seul coup, une bouffée de chaleur me parcourt de la tête aux pieds, mon plexus se contracte violemment et j'ai les jambes qui flageolent … au point que je dois m'asseoir sur un gros rocher … Oh la la ! J'avais fantasmé ça … devenir … devenir … je ne sais même pas comment formuler ça … en tout cas, c'est en train de m'arriver ! Et ça m'arrive beaucoup plus vite que je l'avais imaginé ! Oh, pour le moment, c'est seulement UN mec, enfin, seulement UN éleveur, mais je suis sûr que ça fera comme ça a fait avec les mecs … le bouche à oreille … et puis, en plus des éleveurs, après, il pourrait y avoir des particuliers … enfin, des propriétaires de chien … des images défilent dans ma tête… des images d'accouplements, de saillies … de … 

 

- Marin ? Allô ? T'es toujours là ?

- Oui, oui … je suis là.

- T'as entendu ? 

- Oui, j'ai entendu.

- Et tu dis rien … je suppose … alors, je suppose que t'es pas d'accord … mais ça fait rien … si t'es pas d'accord pour son chien à lui, est-ce qu'il peut quand même …

- Non, mais attends … JE SUIS d'accord …

- Pour qu'il vienne regarder ?

- Oui, pour ça, pour regarder, je t'ai déjà dit que j'étais d'accord … mais je suis aussi d'accord pour qu'il vienne avec son chien … BIEN SÛR … EVIDEMMENT … 

- T'es d'accord pour qu'il vienne avec son chien ? Et pour que … t'as envie que son chien  … t'as envie que son chien aussi, il te …

- Oui, j'ai envie que son chien me saute aussi …

 

Un silence … ou plus exactement, ce qui ressemble à une déglutition … Pierrot est soulagé … troublé et soulagé … puis:

- Oh putain, Marin ! Putain ! Tu verras … oh la vache ! Ça va être … j'te dis pas ! Tu seras pas déçu, j'te promets … rhôôôô, putaiiiiiin, Marin !

 

Il en a la voix qui tremble. Un silence, puis:

- Ah Marin, t'es … t'es vraiment … t'es vraiment une …

 

Il réalise, je pense. Encore un long silence. Il n'a pas exprimé ouvertement ce que je suis pour lui, mais j'en ai une idée … pour lui, je suis vraiment une grosse salope … et ça me va. Je me demande si il digère seulement ce que je viens de lui dire ou si il prépare autre chose.

 

- Bon … dis Marin … tout à l'heure, quand je t'ai demandé si ça te dérangerait qu'un copain vienne pour regarder pendant que mes chiens te … pendant que mes chiens te baisent, t'as dit "non, au contraire" …

- J'ai dit ça ?

- Oui, t'as dit  "au contraire". Ça veut dire que t'aimes vraiment ça, qu'on te regarde pendant que tu te fais baiser ?

- Oui, j'aime vraiment ça … T'as bien vu, chez Jean-Claude …

- Ouais. Alors … si … si il y avait pas seulement UN copain, mais plusieurs … 

- Plusieurs ?

- Oui, plusieurs copains à moi pour regarder pendant que tu te fais baiser par mes chiens et par celui de mon copain …

- Pareil … plus il y aura de monde pour me regarder, plus ça me plaira … si c'est des gens dont tu es sûr à 200%, évidemment … mais tu sais, dans ce genre de pratiques illégales, plus il y a de monde dans la confidence, plus il y a de risques que ça fuite … 

- Non, mais t'inquiète pas, j'ai compris … d'abord, y'aura que des gens que je connais bien et dont je suis sûr, et en plus, je sais ce qu'il faut faire pour être tranquille …

- Comme tu veux … tu sais que tu risques autant que moi …

- Justement, je sais. Du coup, je me demandais … combien … combien je peux en inviter, des gens ?

- Pourquoi ? T'en connais tant que ça, des gens intéressés par ce genre de spectacle ?

- Ben, disons … pas mal … 

- Tu en as déjà parlé à plein de monde ?

- Non, c'est pas ça, mais tu sais, dans le milieu de l'élevage, on en vient souvent à parler des saillies et des performances de nos mâles … et parfois, de fil en aiguille, ça dérape, on en vient à parler de sexe, plus ou moins ouvertement … pas seulement de sexe pour nos chiens, hein … de sexe pour les gens … on en parle entre éleveurs, mais aussi avec des clients, avec ceux qui nous achètent les petits … on a vite fait de se rendre compte de ceux qui aiment ça, parler de cul, de ceux qui sont portés sur la chose et de ceux qui ont les idées larges ou au contraire de ceux qui sont coincés du cul … tu vois ? Mais c'est vrai, depuis que je t'ai vu, chez Jean-Claude, j'en ai parlé autour de moi …

- Tu as parlé de moi et de ce qui s'est passé chez Jean-Claude ?

- Non, j'ai pas parlé de toi spécialement, ni de ce qui s'était passé chez Jean-Claude … mais avec certaines personnes, j'ai tâté le terrain, si tu veux… j'ai parlé de ce genre de choses EN GÉNÉRAL … de la zoophilie, de ce genre de trucs, quoi … pour voir comment les personnes réagissaient … et si ça réagissait bien, j'en ai dit un peu plus, ou au contraire, quand je sentais que les gens étaient gênés, j'ai pas insisté … 

 

Ça ne m'étonne pas. Quand je me rappelle comment il nous a manœuvrés, Jean-Claude et moi, pour arriver à ses fins, je ne suis pas surpris qu'il ait su "tâter le terrain", comme il dit. 


 

Il poursuit:

- Dans ceux qui ont bien réagi, y'en a qui m'ont dit qu'ils en avaient déjà vu sur Internet … des femmes qui se font monter par leur chien … et même, certaines qui se prennent une bite de cheval dans la chatte ! Et ceux-là, ils ont trouvé ça génial … tu sais, sur Internet, on tombe pas là-dessus par hasard … ça veut dire qu'ils ont cherché ce genre de vidéo …  y'en a même un qui m'a laissé entendre qu'il en avait déjà vu EN VRAI, hein ! Une femme avec un berger allemand. Bon, ceux-là, c'est sûr, ils ont rien contre, au contraire … ils pratiquent pas … enfin, je crois pas, mais ça les choque pas, et même, ils aiment ça … du coup, je leur ai parlé de ma propre expérience …

- De TA propre expérience ?

- Oui, de ce que j'avais vu dans le cadre de mon activité d'éleveur. Tu sais, déjà, c'est arrivé que des femmes qui venaient assister à des saillies dans mon élevage reconnaissent qu'elles étaient impressionnées par la taille de … de la bite de mes molosses … y'en a même qui ont reconnu plus ou moins ouvertement que leur bite, à mes molosses, ça les laissait rêveuses … c'était sur le ton de la plaisanterie, mais ça voulait bien dire ce que ça voulait dire … j'ai même eu deux acheteuses, à leur façon d'insister pour adopter un mâle plutôt qu'une femelle … c'était presque indécent … c'était évident qu'elles avaient l'intention de se faire grimper par le chien quand il serait devenu adulte … 

- Ah oui ?

 

Quand je pense que chez Jean-Claude, il nous l'a joué "j'ai entendu dire que…". Il en savait beaucoup plus qu'il ne voulait bien le dire. Mais ça faisait sûrement partie de sa stratégie … avoir l'air de pas savoir et d'être outré par l'idée ! Il poursuit:

- Oui. La première, je me rappelle, ça m'avait choqué … je m'attendais pas à ça … je me souviens de cette bonne femme… c'était pas la première à venir m'acheter un chiot, mais elle, c'était tellement évident … elle était tout le temps en train de lui regarder sa bite, au chiot… un petit dogue allemand … à lui regarder sa bite et à s'inquiéter si elle serait aussi grosse que celle de son père quand il serait adulte … j'ai failli refuser de lui vendre … c'est ma femme qui m'a convaincu que ça nous regardait pas et qu'il serait sans doute très bien traité … 

- Ta femme ?

- Ouais, ma femme. Elle, elle le fait pas, mais ça la dérange pas que d'autres femmes le fassent. Là, pour cette bonne femme, elle m'a fait remarquer que si cette salope avait été plus discrète, on lui aurait vendu le chien sans problème, et après, elle aurait fait exactement la même chose, sauf que nous, on l'aurait pas su.  J'ai aussi eu un couple, comme clients … et ben, j'ai tout de suite compris que le mari offrait le chien à sa femme POUR ÇA … pour que le chien, il saute sa femme … c'était un Cane corso, cette fois … le mari, il arrêtait pas de lui demander, à sa femme, "alors, il te plaît ?", et avec plein de sous-entendus, et ils se chuchotaient des trucs à l'oreille et ça les faisait rire … et des fois, il lui sortait carrément des trucs salaces … ils s'en cachaient à peine, tous les deux, que c'était pour que le chien saute la femme, qu'ils l'achetaient … et elle, visiblement, ça lui plaisait, elle en avait envie, du chien … je suis sûr, elle devait mouiller rien qu'à l'idée de se faire grimper par cette bête … elle était à peine gênée que ça se voit tant que ça … tu sais, j'en ai vu, hein …

- Bon, alors, tu envisages combien de spectateurs ?

- Ben, jusqu'à présent, j'en ai trois, en plus de l'éleveur dont je t'ai parlé … plus moi et ma femme … mais d'ici qu'on arrive aux beaux jours, j'en aurais sûrement trouvé d'autres …

- Bon, c'est toi qui vois … au fait, les photos que tu as faites chez Jean-Claude, je les ai toujours pas vues …

- Ah ben oui, c'est vrai … je vais te les envoyer …

- Tu as mon mail ?

- Oui, oui.

- Bon. J'attends de tes nouvelles …

- Pas de problème. Salut … et merci, hein, Marin …

- Pas de quoi. Salut.

 

Je reste un long moment sur cette grève à réfléchir à ce qui vient de se dire … à la fois troublé et excité. Depuis mon arrivée ici, j'avais eu l'impression d'avoir rompu avec mes frasques sexuelles, d'avoir trouvé ici une sorte de refuge à l'abri du sexe … je réalise que ce que j'avais fui, c'était mes relations avec les hommes … pas le sexe … et surtout pas le sexe avec des chiens … en trois mots, Pierrot m'a instantanément reconnecté avec le sexe bestial. 

 

JE VAIS ALLER CHEZ PIERROT ME FAIRE SAUTER PAR SES CHIENS

! ! ! ! !

 

 

ET AUSSI PAR LE CHIEN D'UN DE SES POTES ! ! ! ! ! ! !

 

 

Et en plus, je vais me faire sauter par des chiens

 DEVANT DES SPECTATEURS ! ! ! ! 

 

Je bande … j'ai une furieuse envie de me masturber, et ça ne va pas pouvoir attendre que je rentre au gite. Il ne circule pas grand monde sur le sentier côtier. A part le couple, tout à l'heure, personne. Et puis, assis sur mon rocher, je tourne le dos au sentier et à ceux qui passeraient là. J'ouvre ma braguette, je sors ma queue et je commence … 

 

Putain, ça y est ! J'ai un peu de mal à réaliser les implications de tout ça, mais c'est sûr, maintenant, je suis considéré par ce mec, ce Pierrot, comme … comme un jouet … un jouet sexuel qu'il peut … oui, qu'il peut OFFRIR à ses chiens ! Et c'est pas seulement Pierrot qui me voit comme ça … son collègue éleveur aussi ! D'ailleurs, je n'ai même pas demandé à Pierrot quelle race de chien il élève, son collègue ! Mais je m'en fous … je suis sûr que Pierrot a compris mes goûts, et ça m'étonnerait qu'il me recommande à un éleveur de Yorkshires ou de caniches. La vache ! Ça m'étourdit … j'ai une espèce de grosse boule à la fois brûlante et voluptueuse au niveau du plexus, qui irradie tout mon corps de décharges d'adrénaline … parce que, même si j'ai déjà expérimenté l'accouplement, la saillie par des chiens, ce qui va m'arriver, c'est quand même un grand saut dans l'inconnu ! Je vais devenir … pour Pierrot et les éleveurs de son réseau, je vais devenir une … une sorte de "femelle-jouet" qu'ils vont … qu'ils vont offrir à leurs chiens … et ce que je ne sais pas, c'est … combien il y a d'éleveurs dans le réseau de Pierrot … quatre, cinq, dix ? Plus ? Et si ça fait comme avec les mecs, après, il y aura le bouche à oreille … Et ils élèvent quelles races de chiens, ces types ? Je ne sais rien de tout ça … ça pourrait m'inquiéter, et pourtant, je suis absolument déterminé à le faire … oui, je vais me livrer à ces types et à leurs chiens … pour qu'ils disposent de moi, pour qu'ils s'amusent … parce que, dans l'esprit de ces mecs, Pierrot et son copain, c'est ça, ils veulent que leurs chiens s'amusent avec moi … pour eux, je suis une … une "chienne publique" - comme on dit une "fille publique"-  pour que leurs molosses baisent pour autre chose que pour se reproduire ! Et surtout, ces mecs, c'est pour leur plaisir à eux, qu'ils veulent m'offrir à leurs chiens … ça va les exciter de regarder leurs protégés me grimper dessus et me saillir … quand je me suis fait grimper chez Jean-Claude, le Pierrot, il se tripotait en regardant ses deux mâles me couvrir !

 

Putain, c'est complètement dingue … mais j'adore ça ! Oui, c'est ça … je vais être … U-TI-LI-SÉ … je vais être utilisé par ces mecs et par leurs chiens pour … pour qu'ils s'amusent avec moi, qu'ils se distraient et se vident les couilles … les hommes autant que les chiens, d'ailleurs. Je suis maintenant considéré comme une "femelle-jouet", comme une "chienne publique", comme une "salope à chiens" … je me répète ça plusieurs fois pour bien m'en imprégner … et c'est une délectation … Et puis, je vois une autre dimension à tout ça … ce Pierrot, si fier des molosses qu'il élève, si fier qu'ils représentent les standards de leur race, si fier que leurs saillies soient recherchées, si fier de leurs performances de reproducteurs, si fier d'eux qu'il leur donne du "fils" à tout bout de champ … et bien, ce mec voit en moi non seulement une "femelle" suffisamment crédible pour qu'il veuille bien l'offrir à ses mâles, mis surtout une "femelle" digne de se faire couvrir et inséminer par eux ! Quelque chose me dit que je devrais trouver ça dégradant, humiliant, avilissant … mais pas du tout … bien au contraire, j'en éprouve une espèce de … de fierté, d'orgueil … ça flatte mon amour-propre … Il ne doit pas y avoir tellement de mecs dans mon genre que des éleveurs ont envie d'offrir à leurs chiens ! Des types ou des femmes qui se font grimper par leur propre animal de compagnie, c'est certain, ça existe … la preuve, ce que Pierrot vient de me raconter … mais ça doit rester dans le secret de leur intimité … mais quelqu'un comme moi, que des éleveurs de chiens peuvent mettre à la disposition de leurs protégés … Oh, je sais bien que pour beaucoup ce n'est qu'une dépravation, un avilissement, mais pour moi, pas du tout … c'est même … une sorte d'accomplissement … il y a déjà eu les hommes pour me considérer comme de la viande à bites, et maintenant, c'est les chiens … enfin, leurs maîtres … je suis … je suis une salope polyvalente, une salope inter-espèces … de la viande à bites universelle ! 

 

Et ça va même encore plus loin, puisque, non content de me faire couvrir par ses mâles reproducteurs, Pierrot a l'intention d'inviter du monde à assister au spectacle ! Des gens vont être témoins de mes accouplements avec des … avec des Danois, avec des Mastiffs, avec des Cané corso ! Des images se bousculent dans ma tête, mêlant le souvenir des saillies des dogues de Jean-Claude et des molosses de Pierrot, avec des divagations de nouveaux accouplements avec des chiens inconnus … j'imagine … j'imagine des types … des éleveurs … des éleveurs qui tiennent leur chien en laisse … UNE FILE d'éleveurs qui … qui font la queue en attendant leur tour pour m'offrir à l'animal qu'ils tiennent en laisse … 

 

Ah, putain ! Je jouiiiiiiiiis !

 

Mercredi 13 décembre. 10h00 

L'employé du cadastre vient de me remettre le résultat de ma recherche. Tout ce que mes parents ont acheté à Plouménez il y a plus de 15 ans, bâtiments et terres, est encore à leurs noms. C'est donc qu'ils n'ont pas revendu jusqu'à leur décès. Mais ensuite, tout ça aurait dû passer à mon nom au moment du règlement de leur succession. J'explique mon cas. L'employé et son chef, qu'il a appelé en renfort, ne comprennent pas. Mais ils ne peuvent rien faire: je n'ai aucun document justifiant de ma situation et, de toute façon, seul un notaire pourrait faire procéder aux corrections. Tout de même, le chef de service s'étonne que je n'aie jamais rien reçu concernant les taxes foncières, soit à mon nom, soit à celui de mes parents. Il me demande de patienter et va vérifier quelque chose. Du guichet où je suis, je le vois discuter avec une collègue puis téléphoner. Quand il revient, au bout d'un bon quart d'heure:

- Si ces biens ne sont pas passés à votre nom, c'est forcément que le notaire n'a pas fait son travail. Mais pour ce qui concerne la taxe foncière pour laquelle vous n'avez rien reçu, j'ai peut-être un explication. Ma collègue, là-bas, elle était déjà ici à l'époque où vos parents ont acheté à Plouménez. Elle croit se rappeler … il y avait eu un projet de création d'un centre d'enfouissement d'ordures pour la moitié du département, et une bonne partie de la commune devait être touchée. A l'époque, ça avait fait du bruit … manifestations, blocages de routes, fumier devant la préfecture … enfin, comme d'habitude quand il y a un problème ici. Bref, tous les terrains concernés ne valaient plus rien, ou presque … alors les propriétaires avaient été exonérés d'impôts fonciers en attendant d'être expropriés … et finalement, le projet a été abandonné … Mais, en principe, les biens exonérés auraient dû être de nouveau imposés … De toute façon, il faut voir avec votre notaire …

 

Le notaire, je ne le verrai que mardi prochain, le 19. Je regagne mon gite. Je vérifie mes mails. Pierrot ne m'a pas encore envoyé ses photos et ses vidéos. 

 

Bon, il faut que je m'occupe de meubler la maison. Il y a bien des magasins de meubles dans le coin, mais il n'ont pas l'air d'être très bien achalandés … et ils sont chers. Comme j'ai du temps, je décide d'aller explorer le magasin de meubles suédois qui se trouve à Brest ... une bonne centaine de kilomètres. C'est un peu loin, mais d'après leur catalogue en ligne, ils ont de tout, en tout cas de quoi meubler une maison de la cave au grenier … enfin, de la cuisine au bureau, en passant par les chambres et le reste … et puis, je n'ai que ça à faire.

 

Un vendeur, en me voyant tourner dans les différents espaces du magasin, me demande ce que je cherche. Quand je lui dis que je veux meubler intégralement une maison, électro-ménager compris, il m'emmène voir une commerciale. Nous passons en revue toutes les pièces de la maison et, au fur et à mesure, nous notons ce qui sera nécessaire. Dans ses yeux, je lis qu'elle tient la bonne affaire. Elle m'interroge sur mes goûts pour ce qui concerne les styles d'ameublement, les matières et les couleurs, et nous faisons  ensemble le tour du magasin. C'est beaucoup plus facile comme ça. Elle est de bon conseil, cette femme, et elle sait me vendre un peu plus que nécessaire sans trop me forcer la main. Ça va des lits, des penderies, des bibliothèques et des meubles de salle à manger jusqu'aux frigo, plaque à induction et lave-linge, en passant par les draps, les oreillers, les assiettes et les couverts … Une fois que nous avons trouvé mon bonheur pour toutes les pièces, elle demande au directeur du magasin de me recevoir. Il faut dire que l'addition est salée. A mon grand étonnement, non seulement le directeur m'offre spontanément une grosse remise sur l'ensemble de ma commande, mais il me propose aussi de me la livrer en totalité et de faire monter les meubles par son personnel. Evidemment, ça me va. Autrement, j'aurais dû louer un camion avec un gros volume et peut-être faire plusieurs voyages. Le seul petit inconvénient, c'est que, pour tout recevoir en même temps, je vais devoir patienter au moins deux semaines. Qu'à cela ne tienne. J'ai le temps.

 

Mercredi 13 décembre. 19h00

De retour au gite, je démarre mon ordinateur et je jette un coup d'œil à mes mails. Yes ! Cette fois, Pierrot m'a communiqué un code pour accéder à son Cloud. 

 

Je découvre d'abord quelques photos ! Oh putain ! Me voir … me voir, à poil, dans l'écurie de Jean-Claude … avec Falco, le Cané corso … enfin, pas tout à fait à poil … le peignoir de Jean-Claude ouvert en grand sur mon ventre, et le chien visiblement en train de me lécher les couilles et le cul … mais ça, c'était tout à la fin, après m'être fait saillir par les deux chiens, au moment de nous séparer … je n'avais pas remarqué que Pierrot nous prenait en photos à ce moment … Putain, le bestiau ! Quand je pense … quand je pense que ce … ce BESTIAU … que ce BESTIAU m'est monté dessus … et qu'il m'a … qu'il m'a sailli !

 

Et puis, il y a des vidéos ! Chronologiquement, Pierrot les avait faites avant les photos. Dès les premières secondes de la toute première vidéo, c'est le choc ! J'apparais, cette fois complètement à poil, et tirant sur la laisse de Gordo, le Mastiff … je l'entraîne vers le tapis au centre de l'écurie … Rhôôôôô putain ! Me voir … me voir comme ça, complètement nu, avec la bite à moitié en érection qui ballotte de droite à gauche … me voir qui entraîne ce molosse vers le tapis au milieu de l'écurie de Jean-Claude pour qu'il me … pour qu'il me saute … c'est … troublant … non … pas seulement troublant … c'est bien plus fort que ça: la scène a quelque chose de fantastique, d'extraordinaire, presque de fabuleux au sens propre ! Oui, cet énorme chien et moi, ce couple, quoi, me fait penser à une scène de la mythologie grecque … ça me rappelle je ne sais plus quelle reine de Crète dont les amours avec un taureau ont donné naissance au Minautore … ce n'est pas un taureau que j'entraîne vers ce tapis pour … pour du SEXE, non c'est un énorme molosse, mais comme cette reine et son taureau, cette scène évoque la bestialité …  

 

l'homme, la BÊTE ... le SEXE !

 

Les images qui défilent sont tellement fortes, que j'en oublie presque que l'homme que je contemple sur l'écran de mon ordinateur, c'est moi ! La dissemblance entre le molosse et moi est tellement … tellement énorme ! L'homme et la BÊTE … l'homme, nu comme un ver … tellement nu qu'il en paraît fragile, vulnérable, face à cette BÊTE … et la BÊTE velue, énorme, puissante, presque sauvage … inconsciemment, j'en occulte l'air bonasse de Gordo pour ne voir que son apparence brutale … et malgré ça, c'est l'homme qui entraîne la BÊTE … l'homme qui entraîne la BÊTE pour s'accoupler avec elle … sur ces images, l'intention de l'homme est évidente … l'homme est en érection, l'homme est excité, l'homme désire la BÊTE … l'homme veut que la BÊTE le possède … 

 

Il s'agirait simplement d'un maître, nu, qui s'apprêterait à promener son chien, l'image serait déjà troublante, mais là, cette scène suinte littéralement le … le … le rut … le coït … la fornication … le SEXE … le SEXE entre l'homme et la BÊTE ! Quiconque regarderait cette vidéo pour la première fois devinerait immédiatement ce qui va se passer, devinerait que l'homme et la BÊTE vont s'accoupler sur ce tapis … que l'homme et la BÊTE vont copuler … que l'homme va faire monter la BÊTE sur lui, que la BÊTE va saillir l'homme, que la BÊTE, va laisser son sexe gonfler dans les entrailles de l'homme, et qu'une fois l'homme et la BÊTE ainsi rivetés l'un à l'autre, l'un DANS l'autre, la BÊTE va posséder l'homme, la BÊTE va féconder l'homme …

 

Cette scène à deux personnages, Gordo et moi, serait déjà suffisamment explicite en elle-même, mais ce qui accentue son caractère fabuleux, c'est qu'en arrière-plan, on distingue, attachés à l'entrée des stalles de cette écurie, les quatre autres molosses que Pierrot a amenés … les deux dogues allemands, le Cané corso et un autre Mastiff ! La première idée qu'induit cette vision, c'est évidemment que l'homme ne va pas avoir une relation sexuelle seulement avec le molosse qu'il tient en laisse, mais qu'il va forniquer avec celui-ci ET avec les quatre autres ! Oh, évidemment, au moment où Pierrot a commencé à nous filmer, le Cané corso m'a déjà saillie, et après Gordo, les trois autres chiens ne me passeront pas dessus, mais tout de même, tout ça évoque véritablement le début d'une scène de … sabbat sexuel entre un homme et cinq chiens ! Cette vision me bouleverse … mon cœur bat la chamade et des bouffées de chaleur me parcourent de la tête aux pieds. Et je suis excité … je bande et je suis obligé d'extraire ma bite de mon pantalon où elle n'arrive pas à s'épanouir à son aise. Ce ne sont que des images, mais tout me revient … j'ai même l'impression de sentir l'odeur du chien, mêlée aux odeurs de cette écurie, la paille, le cheval, la crasse … et mêlée au parfum … au parfum de la semence de Falco, le Cané corso, qui venait tout juste de m'inséminer, et dont les écoulements souillaient encore le haut de mes cuisses.

 

C'est fou … j'ai vécu tout cela … j'en ai été l'acteur principal … j'ai désiré, j'ai voulu que ce chien introduise son sexe en moi … j'ai voulu sentir son knot brûlant gonfler dans mes chairs …  nous riveter l'un à l'autre m'a rempli de bonheur … le sentir répandre sa semence au fond de mon ventre m'a enivré … mais me voir … NOUS voir, le chien et moi, sur cet écran d'ordinateur, c'est absolument … INOUÏ ! Je suis pris d'un vertige. Pourtant, les premières images de cette première vidéo ne montrent finalement pas grand chose … un homme nu et un énorme chien … mais pour moi, c'est d'un érotisme terriblement excitant … cet homme nu qui va se donner à cette BÊTE … c'est à la fois moi et quelqu'un d'autre … sur l'écran de cet ordinateur, je les vois … je NOUS vois avec le regard d'un autre, avec, d'une certaine manière, le point de vue de Pierrot …

 

Et sur l'écran, me voilà qui m'assois sur le tapis … le chien me bouscule … le chien me donne de grands coups de langue sur la figure, sur le torse … le chien cherche à me grimper dessus … et je finis par m'effondrer complètement sur le dos … dans cette position, le chien paraît encore plus gros, encore plus impressionnant au-dessus de moi … l'homme sous la BÊTE … l'homme à la merci de la BÊTE ! Dans un mouvement du smartphone avec lequel Pierrot nous filme, on aperçoit ma bite … et on voit nettement que je bande … on voit que je bande et aussi que le chien commence à bander … l'extrémité effilée de son vit pointe déjà hors de son étui pénien … et aussitôt après, le smartphone capte sur mon visage une expression de stupeur à la découverte de ce sexe si étrange, si animal ! Le smartphone capte ma stupeur et surtout … une expression de fascination …

 

- Pierrot … ou Jean-Claude … tenez le chien, je vais …

 

C'est ma voix qui vient de résonner ! On aperçoit une main - la main de Jean-Claude - saisir la laisse du chien , et, toujours sur le dos, je me glisse précipitamment jusque sous le ventre de la BÊTE … 

 

Oh putain, la tête me tourne, devant mon ordinateur … je sais ce qui va se passer après … je vais … je vais sucer ce sexe qui se secoue au rythme du halètement du chien … je vais … je vais tailler une pipe à la BÊTE ! Pierrot a encore approché son smartphone et il me filme en gros plan … il me filme en train de contempler avec gourmandise ce ... ce sexe hors normes … je le contemple et je le touche, je le caresse … et, repoussant du bout des doigts son étui pénien, je décalotte un peu plus la BÊTE … le bout fuselé de son vit est rouge vif et luisant … une goutte translucide perle à son extrémité … fasciné, je caresse aussi ses testicules … ses testicules toutes rondes et couvertes d'un poil noir et luisant … je les prends délicatement dans ma main, et je les soupèse avec envie … 

 

Et là, je me souviens qu'à ce moment précis, toute ma pensée était concentrée sur ces testicules, et que je me disais " dans quelques minutes, les magnifiques couilles de mon mâle vont déverser leur semence au fond de mon ventre "… Oui, à ce moment, c'était devenu une évidence: Gordo était mon mâle et j'étais sa femelle !

 

Sur l'écran, je me vois me soulever un peu, m'appuyer sur un coude, approcher ma bouche … et prendre le sexe de Gordo entre mes lèvres ! Oh putain, les yeux rivés sur cet écran, un flot de salive m'inonde encore la bouche à ce souvenir ! Il était tellement doux entre mes lèvres, ce sexe, il était brûlant et il palpitait sur ma langue … je l'enfonçais lentement dans ma bouche en repoussant délicatement son étui pénien … Je me souviens que son extrémité était parvenue jusqu'au fond de ma gorge sans me provoquer le moindre haut le cœur ! Je me souviens que j'avais gardé longuement et sans bouger ce sexe entre ma langue et mon palais … je le sentais vibrer, je le sentais gonfler … c'est sûr, Gordo prenait beaucoup de plaisir dans ma bouche … et moi, je prenais autant de plaisir à sucer Gordo qu'il en prenait à se laisser sucer la bite … le chien avait commencé à éjaculer à petits jets et ma bouche, ma gorge, s'étaient peu à peu remplies, m'obligeant à déglutir à plusieurs reprises et à avaler sa semence … hhhmmmm … après que Falco ait répandu son sperme dans mon ventre, c'était maintenant Gordo qui envoyait sa semence au fond de mon estomac !

 

Sur la vidéo, je me vois commencer à faire aller et venir ma bouche sur la verge du chien … sa verge est luisante et entièrement sillonnée d'une multitude de minuscules vaisseaux sanguins … et l'objectif inquisiteur de Pierrot de se braquer soudainement sur mon ventre … il me filme parce qu'il a remarqué que je suis en train de me masturber … et son appareil capte nettement le sourd gémissement de plaisir qui remonte de mon ventre et gronde dans ma gorge … et son appareil capte aussi son propre ricanement teinté d'incrédulité … Oui, c'est vrai, je me souviens que sucer ce chien m'a fait gémir de plaisir … 

 

Et brusquement, je sors le sexe de Gordo de ma bouche et je l'observe … il a changé d'apparence … sous l'effet de mes caresses buccales, il a gonflé, il s'est allongé, et son extrémité n'est plus aussi effilée, plus aussi pointue que tout à l'heure … maintenant, elle se termine par une sorte d'à-plat, comme tranchée net, avec, en dessous, un méat sous la forme d'une espèce de minuscule appendice qui continue de crachoter du sperme à petits jets brûlants qui se répandent sur mon menton et sur mon torse … tout comme ce jour là, ce sexe que je venais de sucer, ce sexe que je m'apprêtais à accueillir au plus intime de mes chairs, même sur l'écran de mon ordi, ce sexe me paraît si terriblement étrange, si terriblement inhumain, si terriblement bestial, que j'en ressens encore à la fois une violente excitation et une sorte de fierté … oui, oubliant toute morale, oubliant toute dignité, faisant fi de l'aspect si bizarre de cet appareil génital, je vais me faire pénétrer et féconder par le sexe de cet animal ! 

 

Non, je ne VAIS pas …

 

JE ME SUIS FAIT PÉNÉTRER ET FÉCONDER PAR LE SEXE DE CET ANIMAL !

 

Et soudain, je remonte vers la tête du chien en rampant sur le dos, je m'accroche à son cou, je me hisse et j'enfouis mon visage dans sa fourrure ... le smartphone de Pierrot capte un sorte de bourdonnement étouffé … je parle au chien, mais on ne comprend pas ce que je lui dis … et le chien … le chien abaisse son arrière-train et l'agite frénétiquement d'avant en arrière … oui, il essaie de trouver … ma vulve ! Il essaie de trouver ma vulve pour y enfoncer son sexe ! Et je me vois … comme mû par un réflexe, toujours accroché au cou du chien, je me vois soulever mon bassin pour mettre ma vulve à portée de son sexe ! Mon geste est tellement spontané que ça ne peut être qu'un automatisme, une réaction instinctive à la tentative du chien de me pénétrer ! Je mesure l'ampleur de la métamorphose qui s'est opérée en moi … c'est à la fois une véritable inversion sexuelle qui m'a fait muter en femelle, et un retour à mon animalité primitive ! Ce que je vois sur mon écran d'ordinateur, ce n'est pas un homme se livrant par vice à une dépravation bestiale … non, ce que je vois, c'est une femelle dont le corps obéit à une pulsion irrépressible, une femelle qui se soumet à l'injonction vitale de s'accoupler pour se reproduire …  

 

C'est moi qui l'ai fait, c'est moi qui l'ai vécu, mais le voir comme ça, d'un point de vue extérieur, à travers l'objectif du smartphone de Pierrot, ça me rappelle que, tout au long de mes ébats avec ce chien, deux hommes m'observaient … oui, sous leurs yeux, j'ai cédé sans retenue et sans pudeur à mes pulsions les plus amorales, les plus bestiales, je me suis abandonné fébrilement à l'ivresse de cette relation sexuelle contre-nature … j'ai laissé ces deux types me regarder sucer avec gourmandise le sexe du molosse, ils m'ont entendu gémir de plaisir, ils m'ont vu tendre mon entrejambe vers son vit … et non seulement leur présence ne m'a ni gêné ni inhibé, mais je l'ai voulue, je l'ai souhaitée, j'en avais besoin … j'avais besoin que ces types me voient forniquer avec le molosse … ces types ou d'autres, d'ailleurs. Les circonstances ont fait que c'est ces deux-là qui étaient là, mais ça aurait pu être n'importe qui … j'avais besoin que quelqu'un assiste à mon accouplement avec ce chien … Evidemment, je me serais donné de la même manière à ce chien sans la présence de ces deux types, mais là, des témoins ont assisté à cette saillie … des témoins ont vu le chien me monter dessus, des témoins l'ont vu enfoncer son sexe dans mon anus, ils l'ont vu se verrouiller en moi, ils l'ont vu m'inséminer … ils ont assisté à une saillie complète, parfaite, jusqu'à la fécondation, comme si j'étais une vraie chienne ! Et pour moi, le faire sous leurs yeux a été une volupté supplémentaire.

 

Voilà, ces deux hommes l'ont vu … ils pourront témoigner et dire "il l'a fait, il s'est vraiment fait couvrir par le Mastiff ! ". Et aujourd'hui encore, je suis heureux que Jean-Claude et Pierrot aient été là. Oh bien sûr, ils pourraient me dénoncer, ils pourraient se servir contre moi de ce qu'ils ont vu … d'autant que tous les deux nous ont filmés, les chiens et moi … ils en détiennent la preuve … mais ça ne m'inquiète pas le moins du monde, au contraire … ils peuvent même le raconter … d'ailleurs, c'est ce qu'avait fait Jean-Claude en racontant à Pierrot comment ses dogues allemands avaient été déniaisés … et c'est ce qu'a fait Pierrot en recrutant pour moi le chien de son copain éleveur … 

 

Pendant que je me livrais à ces réflexions, cette première vidéo a défilé jusqu'au bout et, machinalement, j'ai commencé à visionner la suivante … Apparemment, Pierrot ne nous avait pas filmés en continu. Il manque quelques secondes ou quelques minutes de cette séance. Dès le début de la deuxième vidéo, on me voit déjà allongé sur le dos, sur les espèces de poufs que Jean-Claude avait glissés sous moi … j'ai les jambes relevées, les cuisses repliées sur mon ventre, et le molosse est couché sur moi … nous sommes fac à face, dans la position du missionnaire … Je ne sais pas si c'est dû à notre position ou à la manière de nous filmer, mais le molosse paraît encore plus massif comme ça … il paraît même plus gros que moi … et il agite encore son bassin à la recherche de ma vulve … 

 

- Pierrot ! Aide-le, il ne trouve pas l'entrée de ma vulve ! Guide sa bite !

 

C'est encore ma voix qui vient de résonner ! Et aussitôt, la vidéo s'interrompt. Pierrot a arrêté de filmer pour aider son chien à me pénétrer. Quand il se remet à nous filmer, c'est en gros plan, et de côté, juste au niveau du ventre de son chien et de mon cul … on devine mes chevilles croisées sur le dos de la bête … oui, le maître a voulu filmer l'introduction du sexe de son protégé dans … dans moi … le molosse agite frénétiquement son bassin et … Oh putain, l'image est tellement … c'est très fugace, mais chaque fois que le chien recule son bassin, pendant une fraction de seconde, on aperçoit nettement sa verge … on aperçoit sa verge qui glisse hors de mon cul pour y rentrer aussitôt … Putain, oui, cette fois, le chien est bel et bien … DANS MOI ! SON SEXE EST EN MOI ! 

 

- Ça y est ! Il est dedans, là … Tu le sens ?

 

Cette fois, c'est la voix de Jean-Claude qu'on a entendue. Et dans un mouvement du smartphone de Pierrot, on aperçoit la main du fermier qui soulève la queue du chien pour regarder.

 

- Oui …

 

Encore ma voix … puis de nouveau celle de Jean-Claude, inquiète:

- Oh, putain … mais j'suis pas sûr qu'il va pouvoir te rentrer son … son machin, là … tu sais, le gros truc … la position est pas terrible.

 

Pierrot filme toujours et entre deux coups de reins de son chien, on voit nettement que, peu à peu, la verge du Mastiff grossit … sa verge luisante et toute veinée de rouge, comme une chair à vif, gonfle en moi … le molosse a senti que son sexe est dans la tiédeur humide de mes entrailles, et un réflexe atavique fait maintenant grossir son membre, un instinct commande à son corps de se verrouiller en moi pour assurer ma fécondation. Et je me rappelle en effet qu'à ce moment, mon corps à moi et mon esprit totalement concentrés sur ce qui était en train de m'arriver, j'avais nettement senti le sexe du chien grossir en moi ... Quelle volupté ça avait été ! Ce chien, ce mâle réagissait avec moi comme si j'étais vraiment une chienne ! Alors j'avais su ! J'avais su que, comme avec le Cané corso juste avant, cette deuxième saillie irait jusqu'au bout … ce chien allait, lui aussi, nous riveter l'un à l'autre … et ce chien allait, lui aussi, confier sa semence à la chaleur de mon ventre ! Puuuuutain ! Cette image que j'ai sous les yeux ! Devant mon écran d'ordinateur, je vois le chien me saillir ! Je vois son sexe aller et venir dans mon anus ! Je vois son sexe si bizarre qui va et vient DANS moi ! J'imagine son extrémité, tellement étrange, qui repousse mes chairs, qui se frotte et s'excite au contact soyeux de mes muqueuses … et là, devant mon ordinateur, j'en ai la souffle coupé, le cœur qui accélère, les oreilles qui bourdonnent … et je bande si fort que c'est presque douloureux !

 

- Dis … je … je crois que son … bulbe … commence à gonfler … mais … il est pas dedans, son bulbe …

 

Cette fois, c'est la voix de Pierrot qui vient de résonner. Puis celle de Jean-Claude qui insiste:

- Ouais, il a raison. J'te l'avais dit … il pourra pas y arriver, comme ça … si tu veux qu'il te le foute dans le cul, son … son bulbe, tu devrais changer de position …

- …

- Dis, Marin, t'entends ? Une fois que son … que son bulbe sera gonflé en dehors de ton cul, ce sera foutu … il pourra plus te le foutre dans le cul …

- OK, je change. Tenez-le !

 

Fin de la deuxième vidéo. Pierrot a arrêté son smartphone pour tenir son molosse.

 

Quand la vidéo suivante commence, un plan large me montre maintenant à quatre pattes sur le tapis, cuisses écartées et reins cambrés … Oh putain, cette position ! Je fais vraiment … c'est vraiment la femelle qui cherche la meilleure position pour se faire prendre à fond ! Et Gordo est sur moi … il m'agrippe par les hanches avec ses pattes antérieures, et il agite frénétiquement son bassin d'avant en arrière … Là, au moment où cette vidéo commence, je suis sûr que son sexe a déjà retrouvé le chemin de ma vulve … il est EN moi ! Et un mouvement du smartphone de Pierrot me le confirme. L'éleveur s'est rapproché de l'arrière-train de son chien en même temps qu'il abaissait son appareil presque au ras du sol, et … et il filme … il filme notre coït en gros plan ! 

 

Juste avant, pendant une fraction de seconde, dans un mouvement de l'objectif, j'ai eu le temps d'apercevoir une main, sans doute encore celle de Jean-Claude, qui soulève la queue du chien pour dégager la vue ! Vraiment, rien n'arrêtait ces mecs pour parvenir à leurs fins et pouvoir mater notre coït à loisir … Pierrot avait déjà fait ça quand j'étais collé cul contre cul avec son autre chien, Falco … une fois le knot du Cané corso gonflé dans mon cul, une fois qu'il s'était senti solidement verrouillé en moi, le chien s'était retourné, comme il aurait fait avec une femelle de sa race … et son maître s'était installé au-dessus de moi, une jambe de part et d'autre de mes hanches, il avait soulevé la queue de son chien, et sans aucune gêne, il avait examiné et commenté notre coït ! Et bien, ça me plaît beaucoup que ces mecs se soient permis de nous examiner de cette manière … comme des … comme des chercheurs étudiant la reproduction des insectes … ils ne se sont pas plus sentis tenus de me demander la permission qu'à une mouche en train de copuler sous un microscope … Ça me plaît d'autant plus que moi aussi je peux maintenant contempler mon accouplement avec le chien en détail.

 

Et ce que je contemple maintenant sur mon ordinateur, c'est … au premier plan, les couilles velues e luisantes du chien … ses couilles qui ballottent légèrement à chaque coup de reins …  et au-delà de ses couilles … on aperçoit … on aperçoit, dépassant de son étui pénien poilu et complètement replié sur lui-même .. on aperçoit sa verge qui va et vient à toute vitesse dans mon anus ! Oh putain ! Le faire, le vivre, c'est une chose, mais le voir ! La tête me tourne ! Je vois le molosse en train de me saillir ! Je vois le molosse en train de m'enculer ! Comme dans la vidéo précédente, quand Pierrot nous filmait de côté, j'aperçois la verge humide du chien entrer et sortir de mon anus … c'est extrêmement fugace, tellement le chien va et vient rapidement, mais c'est très net … mon sphincter semble parfaitement lubrifié par les semences que m'ont injectées les deux chiens, et Gordo glisse en moi sans aucune difficulté … le molosse m'encule frénétiquement, mais à aucun moment son vit ne sort complètement de mon anus … en mâle reproducteur expérimenté, il sait parfaitement doser l'ampleur de son mouvement pour rester constamment en moi ! 

 

- Ouaiiiiiis, cette fois, ça va être bon comme ça …

- Ouais, il va pouvoir lui rentrer son gros truc …

 

Le smartphone de Pierrot a encore capté les commentaires des deux mecs qui nous regardent copuler, le chien et moi.

 

Et en effet, j'ai l'impression que … oui, c'est sûr … la partie de la verge du chien qu'on aperçoit allant et venant dans mon cul … elle est … elle est de plus en plus grosse … elle ouvre de plus en plus ma rondelle quand le chien recule son bassin ! Son bulbe érectile est en train de gonfler dans mon cul ! Il va … il va se verrouiller en moi ! Et là encore, l'avoir vécu, avoir senti le knot du chien se dilater dans mon anus, ça a vraiment été une sensation inouïe, mais le voir … assister de visu à cet événement … voir cette ... cette bizarrerie, ce prodige  se produire EN moi, c'est époustouflant ! Non seulement tout ce que j'ai ressenti dans mes chairs me revient en mémoire … cette chose énorme, brûlante, vivante, qui vibrait dans mon cul et jusque dans mon ventre ... cette présence imposante, obsédante dans mon intimité … non seulement tout me revient, mais maintenant, je vois la scène se produire d'un point de vue extérieur …

 

Et cette fois encore une réaction atavique commande au chien de ralentir son va et vient … jusqu'à l'arrêter complètement … Toujours agrippé à mes hanches, il sautille d'une patte arrière sur l'autre … Pierrot se recule … nous filme en plan large … et on me voit ... SOUS le chien ... SOUS le chien qui est en train de me ... de me COUVRIR, de me POSSÉDER … reins cambrés comme jamais, croupe offerte à ce coït de plus en plus bestial, la tête rejetée en arrière, la nuque cassée ... les yeux fermés, je gémis … un petit gémissement aigu, comme une plainte … c'est un gémissement de volupté, comme celui de la chatte qui feule sous le matou qui la couvre … Oh putain, quelle image ! C'est l'image de la jouissance, c'est l'image de l'extase ! C'est l'image de la femelle comblée ! Visiblement, je savoure sans pudeur et sans retenue cet accouplement contre nature et hors normes ! Oh, Pierrot, merci de m'avoir filmé à ce moment ! C'est tellement cru ... c'est tellement bestial ... tellement impudique ... tellement immoral ... tellement illicite et tabou … et c'est pourtant tellement beau, cette fusion la plus intime qu'on puisse imaginer entre deux corps … 

 

- Rhôôô, putain ! Vous avez vu, Jean- Claude ? Ça y est, ils sont collés ! Rhôôô, puuutaiiiiiiiin !

 

à suivre ... 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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