Mercredi 30 novembre 2016 3 30 /11 /Nov /2016 01:00

Je ne vous ré-explique pas mon amour de la nature.

 

En particulier, j'aime beaucoup me masturber en plein air. Dans ce montage vidéo, quelques séances de branlette dans la nature, dans différentes tenues, plus ou moins habillées.


Branlette-nature-001.png

 

Notamment une où je suis carrément à poil dans un petit chemin de terre, et une autre en trav, avec mini jupe et collant résille.

 


 

 

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs de la bite - Communauté : Homme en lingerie féminin
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Dimanche 27 novembre 2016 7 27 /11 /Nov /2016 01:00

Avocats, avocats ... n'allez pas croire qu'il va être question de membres (hhmmmm, des membres !), de membres du barreau (hhhmmm, le barreau !).

 

Non, il s'agit seulement des avocats "fruits".

 

Comme vous le savez, j'applique scrupuleusement les conseils de nutrition qu'on nous prodigue depuis quelques années: 5 fruits et légumes par jour.

 

Avocats-001.png 

 

Là, ce sont des avocats. Il en existe plusieurs variétés.

 

Dans cette vidéo, les premiers sont de la variété Fuerte: allongés et en forme de poire, de couleur vert pâle. Hhhmmm, un régal: avec leur peau fine et lisse, ils glissent tout seuls.

avocat fuerte

 

Ensuite, ce sont des Hass

avocat-hass.jpg

Avec leur peau épaisse, rigide et granuleuse, ceux-là, on les sent passer, non seulement à cause de leur taille, mais aussi à cause de leur rugosité. Oh, la vache ! Un autre genre de plaisir.

 


 

 

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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Jeudi 24 novembre 2016 4 24 /11 /Nov /2016 01:00

Mon cul dans trois mini shorts échancrés, taillés dans des jeans.

Le premier, pas très échancré:

cheval 0032b 

 

Son petit frère, bien plus coquin:

 

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Et le troisième:

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Par Solosexe - Publié dans : Shorts et Daisy Dukes
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Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Denis:

- Tiens, si, allez, passe-le moi. J'vais quand même lui en foutre un p'tit coup.

 

Aaaah ouiiii ! Cette discussion et le spectacle de Domi qui me fourre lui ont donné envie. Il abandonne plat et soufflés et contourne l'îlot central en ouvrant sa braguette. Voir ce mec commencer à déballer sa queue pour venir me la mettre dans le cul, ça me bouleverse. D'autant plus que j'en ai déjà une dans le cul. Toujours agrippé au robinet et au bord de l'évier, je repose ma joue sur le bois du plan de travail et j'attends. Un mec va sortir sa bite de mon fourreau pour qu'un autre prenne sa place ! J'adore que des mâles se succèdent de cette façon dans mon cul. Dominique attend que Denis soit à côté de lui pour se retirer:

- J'te le laisse comme ça, la jambe relevée ?

- Ouais.

 

Domi sort lentement de moi et je sens sa queue retomber en glissant contre mon périnée. Il maintient mon genou sur le meuble et Denis vient se coller à son tour contre moi. Je sens sa main qui enserre sa bite et qui la plaque contre ma fleur, encore béante. A son tour, il me pénètre. Maintenant que personne ne retient plus ma jambe, je la remonte vers le milieu du meuble, m'ouvrant encore un peu plus. Denis est encore un peu mou et je sens qu'il a du mal. Sa bite, pas encore assez raide, se tord à l'entrée de mon fourreau. Je lâche le robinet, j'empoigne ma fesse et je m'ouvre. Ça y est, il est en moi. Il me prend par les hanches, et:

- C'est bien. T'es une bonne fille.

 

Il commence à aller et venir et, au fur et à mesure, je sens sa queue se raidir. Vas-y, mec, fais-toi du bien dans ton jouet. A la manière dont il va et vient, cramponné à mes hanches, je sens qu'il savoure les sensations de son gland qui glisse dans mes chairs:

- Hhhhmmmm, puuutaiiiiin, t'es boooonne !

 

Alors, vas-y, si je suis bonne ! Et t'arrête pas, va jusqu'au bout, jouis, remplis-moi de sperme. Oh la la, ta queue, ta queue, TA QUEUUUUE ! De nouveau, je halète, je gémis et je sens que ça attise son excitation. Les doigts plantés dans le gras de mes hanches, il respire bruyamment pas la bouche. Ouais, ça vient, laisse-toi aller, lâche-toi, baise-moi, baise-moi ! Soudain, il s'immobilise, la queue au fond de moi, il se plie en deux, se couche sur moi, le menton entre mes omoplates, et il grogne. Ouiiiii, il va jouir ! Il souffle entre ses dents serrées, me postillonne jusque dans le cou. Je guette le premier spasme de sa queue dans mon anneau. Je l'encourage:

- Vas-y, jouis ! Jute-moi dans le cul !

 

Mais non. Rien. Peu à peu, il reprend souffle. Il se redresse en s'appuyant sur mes reins … et sort sa queue ! A son tour, il me claque la fesse, et:

- Pfiouuuuu ! C'était limite !

 

Il se marre:

- Ah, la vache ! J'étais à deux doigts de prendre mon pied ! Quelqu'un d'autre ? Yann ?

- Non, non. Tout à l'heure.

 

Il descend doucement mon genou de la table, me fait poser le pied au sol, s'éloigne en remontant son pantalon et se remet à ses préparatifs. Yann et Nadir disparaissent de mon champ de vision. Putain, les salauds ! Je reste couché sur le plan de travail en reprenant mon souffle. Une pensée incongrue me traverse: c'est bien comme hauteur, cet îlot central de cuisine. C'est plus haut qu'une table standard. Plus haut, en tout cas, que la table où je me suis fait bourrer à la chaîne chez Jean-Claude. Ça doit faire dans les 90 centimètres, et je trouve ça plus confortable. 

 

Tandis que Denis installe des plats dans son four, je me redresse, je rajuste une fois de plus mon string, et je retourne à mon tour au salon. Domi, qui a regagné son fauteuil, me regarde revenir en souriant, sa flûte de Champagne à la main. Quand je passe près de lui, il s'empresse de me glisser son autre main entre les jambes et il la pose derrière mon genou. Ah ! Il va me peloter. Je m'immobilise, debout à côté de lui. Il me caresse l'intérieur de la cuisse:

- Dis donc, t'es vraiment chaud, comme … mec.

- Tu trouves ? Ça te plaît ?

 

Il rit:

- Ben oui. Au moins, tu fais pas ta chochotte, tu te fais pas prier pour prendre des coups de bite dans le cul.

- Je suis là pour ça. Mais vous êtes des salauds, tous les deux …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ouais. Vous me chauffez, et vous vous tirez sans finir. C'est frustrant.

 

Il rit:

- Ça viendra, mec, ça viendra.

 

Tant pis pour le pelotage. Je contourne son fauteuil et je viens devant lui. D'autorité, je lui décroise les jambes, je les écarte et je m'agenouille entre ses pieds. Il me regarde faire en souriant. J'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son pantalon. Voilà sa queue, toute chaude, sous mes doigts. Je l'extrais:

- Je ne l'avais pas encore vue, ta bite ! Tout à l'heure, tu me l'as mise dans la bouche avant que j'aie eu le temps de la voir, et dans la cuisine, tu m'as pris en traître.

- Ah, mais oui, c'est vrai.

 

Il se marre. Il a débandé, mais même comme ça, elle est plutôt sympa, sa bite. Pas beaucoup de poils. Ça donne l'impression qu'il les a désépaissis au ciseau. Alors, c'est ça qu'il m'a fourré dans le cul ! Je la caresse du bout des doigts, puis je me penche et je pose des baisers tout au long de sa verge et sur son gland. Il me regarde faire, amusé, les bras écartés. Je saisis les deux pans de son pantalon et je fais mine de le lui enlever. Il s'appuie des avant-bras sur les accoudoirs et soulève son bassin. Je descends son pantalon jusque sur ses pieds, je lui enlève ses chaussures et je finis de lui ôter son pantalon. Je me réinstalle entre ses genoux. Délicatement, je remonte ses couilles coincées entre ses cuisses:

- J'aime bien, comme tu m'as pris sur le plan de travail, mais j'aurais bien voulu que tu ailles jusqu'au bout et que tu tires un coup.

- Hé hé. Je te le ferai, mais avant, il faut prendre le temps de s'amuser, non ?

- Oui, d'accord. Mais ce soir, tu vas bien arriver à tirer ton coup plusieurs fois, non ? 

 

Je tire doucement sur ses bourses, j'enserre ses couilles entre mon pouce et mon index et, à leur tour, je les embrasse, je les lèche:

- Je veux te les vider. Je veux ce qu'il y a dedans. J'en ai envie. Hein, dis, tu pourras jouir plusieurs fois ?

- Oui, oui, t'inquiète pas, je l'ai déjà fait.

 

Je me penche à nouveau, je prends son sexe dans ma bouche, et je le suce. Il se laisse faire un moment, grossit entre ma langue et mon palais, puis il repousse délicatement ma tête:

- Bon. Va un peu sucer les autres, maintenant.

 

Je me redresse et je me retourne. Denis nous a rejoints et s'est assis dans le canapé. Nadir me regarde, l'air inquiet. Lui, il n'a pas envie de se faire sucer maintenant. Denis me fait un signe de tête:

- Allez, viens.

 

A son ton, c'est évident, il n'a pas plus envie que ça de se faire sucer, mais, sans doute parce que je suis "une bonne fille", il veut bien me laisser me faire plaisir avec sa queue. Moi, ça me va, je veux bien venir chercher ma récompense. Il pose sa flûte sur la table basse et se lève. Pendant que je contourne la table basse à genoux, il ouvre sa braguette, il ôte son pantalon, récupère sa flûte et se rassoit au fond du canapé. En passant devant Nadir, je lui passe la main sur le bas ventre:

- Allez, Nadir, sors aussi ta queue. Je vais vous sucer tous les quatre pendant que vous prenez l'apéro.

 

Il me regarde, inquiet, mais ne bouge pas. Me voilà entre les genoux de Denis. Il attend, toujours le même petit sourire sur les lèvres, les jambes écartées. Sa bite, toute molle, repose paresseusement sur sa cuisse. Je me penche et je la prends dans la bouche. Hhhmmm. Merci. Merci de me laisser jouer avec ta bite, merci d'avoir invité tes potes pour que je les suce et pour qu'ils me baisent. Je ne sais pas comment va se passer cette soirée, ni les quatre jours qui viennent, mais déjà, là, tu m'as fourni quatre sexes. Merci ! Merci ! Merci ! Malgré tout le soin et la fébrilité que je mets à le sucer, il reste mou. Il se contente de me caresser distraitement la tête en sirotant son Champagne. Les autres, silencieux, doivent regarder. Soudain, Yann demande:

- Au fait, Denis, on ira chez ton pote, tu sais, le mec du bar ?

 

Pourquoi "au fait" ? Qu'est ce qu'il vient faire là,  le "mec du bar" ? Denis:

- Ah ouais, tu fais bien d'en parler. Faut que je l'appelle, le Jeannot. Tiens, tu veux pas aller me chercher mon téléphone ? Là-bas, sur le meuble.

 

Il me caresse la nuque:

- Continue, toi.

 

J'entends Yann se lever, et après quelques secondes, donner l'appareil à Denis, qui pianote:

- Jeannot ? C'est Denis.

- …

- Ouais. Bon, alors, on pourra venir, ce soir, avec mes potes ? 

- …

- Ben ouais, avec le … le … le trav aussi. Ouais, il est là, et il viendrait avec nous.

- … 

- Non, non … il a une tenue un peu … il a une minijupe très très courte, si tu veux, mais autrement  …

- …

- Ben tu verras par toi même. Tu nous diras … si tu trouves ça trop … on restera pas …

- …

- Ouais, d'accord. A tout', Jeannot.

 

Il coupe la communication, pose le combiné à côté de lui, et il me met de nouveau la main sur la tête:

- Bon, ça marche. Jeannot, est d'accord. Pour toi, Marin, il a demandé si ta tenue de trav faisait pas trop … pute. C'est bizarre, parce que d'habitude, il est pas si … Bon, enfin, il veut pas que … Mais, à mon avis, ta tenue, là, c'est un minimum. On verra bien …

 

Pendant sa conversation avec Jeannot, je n'ai pas arrêté de le sucer. Il me tapote sur l'épaule:

- Tiens, va donc un peu sucer Yann ou Nadir. Je vais faire chauffer la bouffe.

 

Je sors sa bite de ma bouche et je me redresse. Il m'enjambe pour aller vers la cuisine. Nadir me jette un coup d'œil inquiet. Toujours pas décidé ! Il est venu ici pour quoi faire, celui-là ? Un petit sifflement sur ma gauche. C'est Yann. D'un signe de tête, il me fait signe d'approcher. Ah, merci, Yann ! Il se lève, ouvre sa braguette et, en se contorsionnant, il fait sauter ses tennis, baisse son pantalon, l'enlève à son tour et se rassoit. Je m'avance à genoux jusque entre ses jambes. Tout sourire, il me regarde approcher. Lui, il bande déjà un peu, sûrement excité de m'avoir vu sucer les deux autres. Je lui tripote un peu la queue, je prends ses couilles dans ma main, et je me penche. En prenant son sexe entre mes lèvres, je réalise qu'il y a une dizaine de jours, l'apéro se passait exactement de la même manière à L.F., en suçant les convives les uns après les autres ! Yann a déjà tiré un coup tout à l'heure, mais il est encore en forme. Instantanément, dès qu'il est dans ma bouche, il se met à grossir. En revenant, Denis m'enjambe de nouveau pour regagner sa place, se laisse tomber lourdement sur le canapé, et:

- Dis, Nadir, tu veux pas enlever ton froc ? T'es le seul à l'avoir gardé. Ça te gêne pas ?

- Non, non, ça fait rien.

- Ben si, ça fait. Nous trois, on l'a enlevé. En plus, toi, on dirait que t'as pas envie que Marin s'occupe de toi.

- C'est pas ça … 

- Si t'avais pas envie de te faire un trav, fallait pas venir.

- C'est parce que j'ai pas l'habitude.

- Pas l'habitude … Allez, ôte-le … et laisse-toi sucer. Fais-lui plaisir, à Marin. Il demande que ça, de nous sucer tous les quatre.

 

J'entends Nadir soupirer. Puis des bruits de tissu. Denis:

- Et ben voilà !

 

Je sors la bite de Yann de ma bouche et je me retourne. Nadir est debout, en train d'ôter son pantalon. Yann me prend par l'épaule et me dit:

- Vas-y ! Profites-en, va le sucer !

 

Je me lève et, au moment où je passe devant Denis, il m'arrête:

- Attends ! Bouge pas.

 

Il retrousse ma jupe, passe ses doigts dans la ceinture de mon string, et le descend sur mes cuisses:

- Enlève ça !

 

Je finis d'ôter mon string et je le pose sur la table, au milieu des flûtes. Denis:

- Non, non. Donne !

 

Il tend la main. Je lui donne mon string. Il le froisse entre ses doigts, le sent, et:

- Dis donc, il est mouillé, là, devant ! T'as pissé ?

 

Il le sait, pourquoi j'ai mouillé mon string, mais il veut me l'entendre dire. Alors:

- Ben non, j'ai pas pissé, c'est l'excitation.

- Ah ouais ! Tu mouilles comme une femme. Et qu'est-ce qui t'excite comme ça ?

- Ben vous, vos bites, évidemment.

 

Il me caresse l'intérieur de la cuisse et remonte ses doigts jusque entre mes fesses:

- Vas-y, maintenant. Suce-le !

 

Nadir s'est rassis et attend. Je m'installe entre ses genoux et je prends sa queue dans une main, et ses couilles dans l'autre. Lui aussi, a commencé de bander ! Je ne comprends pas. Si il est excité, pourquoi il est réticent comme ça ?

- La tienne aussi, elle me plaît beaucoup, ta bite, Nadir.

- Ah bon ?

 

Il paraît vraiment surpris. Tout en lui pelotant les boules, j'explique:

- Oui. Pour moi, elle a la forme parfaite. Ton gland, surtout: il est un peu retroussé, il est profilé pour la pénétration … j'aime beaucoup. J'ai hâte que tu m'encules, Nadir.

- Ah bon ?

 

Vraiment surpris. Je donne de petits coups de langue sur son gland, sur sa verge, sur ses couilles. Et ça lui fait de l'effet, il grossit, il durcit. Je commence à le masturber, et je le prends dans ma bouche. Il aspire une bonne goulée d'air et se cale bien au fond du canapé. Sans arrêter de le pomper, je lève les yeux sur lui. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il me regarde. Les bras tendus sur les côtés, comme pour éviter de me toucher, il respire bruyamment. Je jette un coup d'œil sur le côté. Denis regarde son pote, lui aussi les yeux écarquillés, la mâchoire pendante, il n'en revient pas de le voir dans cet état. Il lui enlève son verre de whisky de la main:

- Donne ça, tu vas le renverser !

- Ah ! Ah ! Ah ! Je vais …

- Oui, oui, vas-y ! Tire ton coup ! Il ne demande que ça, que tu lui jutes dans la bouche !

 

Oui, il va jouir, je le sens ! Ses couilles remontent vers son périnée.

- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaah !

 

Ça y est, il jouit . Je sens son urètre gonfler et aussitôt, un flot tiède s'étale sur ma langue. Hhhmmmm ! J'avale et je continue de faire aller et venir ma bouche sur son sexe. Un autre jet … un autre encore … J'avale au fur et à mesure. Encore … Encore … Il halète, essoufflé. Et voilà, on dirait que c'est fini. J'arrête mon va et vient, et je garde sa queue dans ma bouche. Il reprend son souffle:

- Ah putain ! Ah putain !

 

Il repousse ma tête:

- Bon. Laisse-moi, maintenant.

 

Je me redresse. Denis:

- Ça y est, il t'a juté dans la bouche ?

- Oui.

- Ben, tu vois, Nadir, c'était pas compliqué ! Bon, faudrait se mettre à table, avant que ça crame.

 

Il se lève, ramasse son pantalon et se penche pour le remettre. Je l'arrête:

- Hé ! Qu'est-ce que tu fais ? Reste comme ça !

- Le cul à l'air pour manger ?

- Oui, restez le cul à l'air pour manger. Mais surtout la BITE à l'air.

 

Un petit sourire sur les lèvres, il regarde les autres. Yann, qui avait aussi récupéré son pantalon, lui signifie d'une mimique "Pourquoi pas ?", et pose son jean sur le dossier du canapé. Dominique:

- Pas de problème.

 

Alors Denis laisse tomber son pantalon, tourne les talons et se dirige vers le coin salle à manger, suivi de Yann. Je leur emboîte le pas. Soudain, Denis bifurque vers la fenêtre et entreprend de descendre le store. Je réalise que, dehors, il fait déjà sombre et que le plafonnier au-dessus de la table, ainsi qu'un lampadaire et deux autres lampes au sol sont allumés. Il a sans doute fait ça quand il est allé enfourner les plats. Il doit avoir peur que, de l'immeuble d'en face, on voit ce qui se passe ici. Je m'approche de lui, et je lui prends la main qui actionne le mécanisme:

- Laisse ouvert, Denis.

- Mais … en face, ils vont nous voir …

- Je sais. Tant mieux. Ça te fait peur ?

 

Il hésite, regarde les autres, comme pour leur demander ce qu'ils en pensent. Dominique fait une grimace qui veut dire "je m'en fous", Yann se marre, Nadir ne comprend pas ce qui se passe. Il finit de descendre le store:

- Mouais. Faut pas pousser, quand même. 

 

Mais il règle les lames pour qu'elles soient à l'horizontale:

- Comme ça, ça te va ?

 

Bon, tant pis. Ça m'aurait bien plu qu'il remonte complètement le store. Mais comme ça, les gens du quatrième, dans l'immeuble en face, pourront quand même nous voir entre les lames. Dominique m'a rejoint. Il me claque le cul:

- Dis, ma poule, tu vas avoir encore faim ? 

- Pourquoi ?

- Tu t'es pas déjà pris deux … éjacs ?

- Si, mais c'est pas deux éjacs qui vont me couper l'appétit.

 

Il rit. Moi, ce qui m'amuse, c'est de voir ces trois mecs qui vont se mettre à table le cul à l'air. Nadir, quant à lui, s'éclipse vers la salle d'eau. La table est déjà mise. Denis me désigne la chaise en bout de table, du côté de la fenêtre:

- Mets-toi là. Et vous, les mecs, mettez-vous où vous voulez, mais laissez-moi une place du côté de la cuisine.

 

On s'installe. Dominique prend place à côté de moi, sur ma gauche, et Yann à côté de lui. Un geste de Dominique attire mon attention: une fois assis, il se remonte les couilles et se les cale au-dessus des cuisses. Et là, je réalise qu'à travers le plateau en verre de la table, j'ai une vue directe sur sa bite. Seule l'extrémité du set de table qui se trouve sous son assiette et ses couverts me gêne un peu. En revanche, comme Yann est plus loin de moi, son set de table ne me gêne absolument pas, et je vois très bien sa queue. Ah putain, je vais manger avec leurs sexes en permanence sous les yeux ! Mon regard braqué sur son bas ventre n'échappe pas à Dominique. Il rit, secoue la tête d'un air de dire « Alors, toi, tu ne perds pas une occasion ! », et complaisamment, il pivote vers moi sur sa chaise, écarte les cuisses et se met à se pétrir le paquet. Il est assez près de moi. Je tends la main et je la pose sur sa queue. Il se cale bien au fond de son siège, passe un bras sur son dossier et se laisse malaxer le gland. Je prends ma propre bite dans mon autre main et je commence à me tripoter. Yann, qui a repéré notre manège, se lève et vient s'asseoir de l'autre côté de la table, juste à ma droite. Lui aussi a envie de se faire peloter. Il approche sa chaise et tend aussi son ventre vers moi. Alors tant pis, je lâche ma bite, et, penché sur la table, je tripote mes deux voisins. Hhhmmm, une bite dans chaque main, j'adore !

 

Denis qui revient, un plat dans les mains, nous regarde et sourit. Il pose le plat au milieu de la table et s'apprête à s'asseoir. Mais il se ravise, contourne Yann, vient se planter à côté de moi et empoigne sa bite, visiblement avec l'intention de participer à notre jeu. Il doit vouloir que je le suce. Mais dans cette position, je ne peux pas à la fois tripoter ses deux potes et lui tailler une pipe. Entre branler ces deux mecs et le sucer, lui, il n'y a pas photo:

- Désolé, les mecs. Ça, je ne peux pas résister.

 

Je les lâche et je me tourne vers Denis, qui se masturbe et recommence à bander. Dominique, en riant:

- Ouais, vas-y ! Profite !

 

Denis remonte son T-shirt sur son ventre et tend sa queue vers moi. Je le prends dans la bouche. Hhhmmm ! Je commence à le sucer en lui caressant les abdominaux, les hanches, les reins. Je lève les yeux sur lui. La tête penchée sur le côté, il me regarde, un petit sourire sur les lèvres. Il pose sa main libre sur ma tête et, à son tour, il me caresse. Rapidement, je sens son excitation monter. Il aspire et souffle bruyamment par la bouche. Cette fois, je le sens, il va aller jusqu'au bout. Du coin de l'œil, je vois Yann, fasciné, qui me regarde en silence tailler cette pipe à son pote. Il est aux premières loges. Je tourne le dos à Domi, mais je suis sûr qu'il regarde aussi. Et là, je réalise que, dans la position où nous sommes, Denis et moi, de profil par rapport à la fenêtre, nous devons être parfaitement visibles entre les lames du store, depuis l'immeuble d'en face. Sans cesser de sucer Denis, je jette un coup d'œil sur le côté. Mon champ de vision est réduit, mais j'aperçois quand même deux fenêtres éclairées, et une autre obscure. Aux fenêtres éclairées, personne. Mais impossible de savoir si quelqu'un nous observe ou non depuis la pièce qui est dans le noir. Maintenant, Denis halète. Oui, pas de doute, je sens qu'il a l'intention de se laisser aller jusqu'à l'éjaculation ! Et je sais que lui, comme Yann tout à l'heure, il va me répandre son sperme dans la bouche sans état d'âme. C'est une volupté indicible de jouir dans quelqu'un, mais certains mecs se retiennent par peur de la réaction de leur partenaire. Moi, ça me plaît beaucoup, que les mecs me lâchent leur jouissance dans la gorge sans scrupule, sans hésitation. La pression de sa main, derrière ma nuque, se fait plus ferme et fiévreuse. Oh oui, vas-y, jouis ! De plus en plus excité, je gémis et j'accentue ma fellation. Vas-y, jouis, jute, éjacule, crache ton sperme !

 

Et il jouit en haletant et en pressant ma tête contre lui. Le nez écrasé contre ses abdominaux secoués de spasmes, je sens son sperme se déverser directement dans ma gorge. Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiii ! Du sperme, du sperme, du sperme ! Ça me rend dingue. Je gémis, je couine tout en avalant sa semence. Lui grogne au rythme des soubresauts de son sexe dans ma bouche. Voilà. Il se calme. Il a fini d'éjaculer et il souffle comme un bœuf. Sa main se fait plus douce sur ma nuque et je le sens qui recule son bassin en se marrant:

- Ha ! Ha ! Haaa ! Puuuu taiiiiin, la vaaaache ! 

 

Je presse sa queue entre mes lèvres pendant qu'il la sort lentement de ma bouche. Depuis ma nuque, il passe sa main sous mon menton. Quand sa bite finit de sortir, il lève mon menton vers lui et, sans prévenir, il se penche sur moi, et il plaque sa bouche sur la mienne. Je n'ai pas eu le temps de la refermer. J'ai déjà sa langue entre mes dents … contre ma langue. Hhhhmmmm, oui, roule-moi une pelle ! Le goût de son sperme toujours dans ma gorge, je le sens qui explore ma bouche avec sa langue. Nos langues se frottent, se caressent, s'entortillent, nos salives se mélangent, nos dents se heurtent … Enfin, à bout de souffle, il se redresse, il lâche mon menton et se plante devant moi en secouant la tête d'un air épaté:

- Ah, putain, comment tu suces !

 

Yann approuve:

- Ah ouais ! Sa bouche, c'est …

 

Il cherche ses mots, une expression:

- … c'est diabolique ! Ce qui me tue, moi, c'est de sentir comment ça l'excite, de sucer de la bite !

 

Dominique se marre. Denis reste là à me regarder:

- T'as tout avalé, évidemment !

 

Je bâille pour lui montrer que oui, j'ai tout avalé:

- Ben oui, j'aime ça.

 

Denis recalotte son gland en retournant s'asseoir à sa place:

- Y'a plus que toi, Domi, qu'as pas encore tiré ton coup .

 

C'est vrai. Sur les quatre, il n'y a plus que lui. Pendant que je suçais Denis, Nadir est revenu et s'est assis à côté de Dominique. Denis:

- Bon, allez, on mange.

 

Oui, Mangeons. Denis se relève et me sert un verre de vin blanc:

- Tiens. Tu dois avoir besoin de te rincer la bouche. Elle sentait le sperme.

 

Hhmmmm, c'est un premier cru de Chablis. Il a fait les choses bien, le Denis ! On mange et on boit. La conversation s'engage sur leurs envies, sur leurs expériences sexuelles, sur les miennes, et continue sur des anecdotes avec des femmes. Au passage, j'apprends que Dominique a été marié et que Denis a vécu en couple. Rapidement, la discussion glisse sur des sujets plus banals, les voyages, les vacances, le travail … L'ambiance de la soirée me rappelle celle de la journée chez Robert: un repas ordinaire entre potes. Denis est aux petits soins pour moi et veille à ce que mon verre ne reste pas vide. Yann écluse pas mal, tend son verre à Denis, se sert tout seul. Les trois autres sont plus raisonnables. Un repas ordinaire … à ceci près que nous sommes tous les cinq à table avec la bite à l'air. Tout en mangeant, je ne peux m'empêcher de jeter des regards appuyés sur ces quatre bites à travers le plateau en verre de la table. Elles sont maintenant toutes au repos. Seul Yann, entre deux plats, se tripote machinalement le gland. De temps en temps, l'un ou l'autre me surprend en train de contempler son sexe. Yann, alors, par provocation, se masturbe plus franchement, Denis se tourne vers moi et écarte les cuisses, et Dominique se pétrit complaisamment le paquet dans un geste obscène. Seul Nadir détourne la tête d'un air gêné. Lui ne se fait pas à cette demi nudité. Quand nous arrivons au dessert, je n'y tiens plus. Pendant que Denis remplace les assiettes par des coupes en verre, je quitte ma chaise et je m'agenouille à côté de Domi. Il devine immédiatement mes intentions, mais il prend un air faussement indifférent et ne bouge pas:

- Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?

 

Je le prends par les cuisses et j'entreprends de le faire pivoter sur sa chaise. Il rit, résiste un peu, et finit par se tourner face à moi. Il écarte même tout seul les cuisses, passe son bras droit sur le dossier de sa chaise, pose sa main gauche sur ma tête et appuie pour que je me penche sur son ventre:

- Allez, suce-moi !

 

Je l'aurais fait de toute façon, sans qu'il ait besoin de me "forcer", mais ça me plaît. Il ne bande pas. Je le prends dans ma bouche. J'aime beaucoup sucer un sexe encore mou. Je pense que c'est un peu le même plaisir que celui qu'éprouve un gamin qui suce une tétine, et c'est très agréable. Je prends ses couilles dans ma main. Je tournicote ma langue autour de sa bite. 

 

- Marin ! Je te sers ton  dessert ? C'est des profiteroles. 

 

C'est Denis. Je ne réponds pas. Mon dessert, je l'ai dans la bouche. Il insiste:

- Bon, je te mets le chocolat pendant qu'il est chaud. Tu voudras de la Chantilly ?

 

C'est Domi qui lui répond:

- Il est bien élevé, ce garçon, il ne parle pas la bouche pleine. 

 

Alors je sors la bite de Dominique de ma bouche et, tout en le masturbant, je me redresse:

- Non, ne me mets pas de Chantilly. La Chantilly, c'est Dominique qui va me la donner.

 

Ils rient tous les quatre. Je le reprends entre mes lèvres. Sa bite commence à gonfler. J'espère que, cette fois, il est mûr, et qu'il va se laisser sucer jusqu'au bout. Il commence à bander, mais ça ne l'empêche pas de s'occuper de ses profiteroles. Il prend sa coupe et il s'attaque à la pâtisserie au-dessus de ma tête. J'entends le bruit de sa cuiller qui grince contre le verre de sa coupe. Ça aussi, ça me plaît, lui faire une turlute pendant qu'il mange. J'entends confusément que tous les quatre ont repris leur conversation, comme si de rien n'était, Dominique y compris. Ils évoquent leurs desserts et leur pâtisserie préférés. Tant qu'il parle et déguste son dessert, Domi ne gonfle presque pas dans ma bouche. Mais dès qu'il a fini ses profiteroles et qu'il pose sa coupe sur la table, je sens sa queue grossir et s'allonger. Il prend délicatement ma tête à deux mains. Alors, je le sens qui se concentre sur ce que je lui fais.

- Putain, il a raison, Yann. C'est dingue comme t'aimes ça, sucer de la bite !

 

Rapidement, il bande vraiment, et ne participe plus à la discussion que par monosyllabes et grognements. Il commence à prendre du plaisir. Cette fois, il est raide et, au bout d'un moment, il se met à souffler par la bouche. Ça vient. Brusquement, il me prend la tête à deux mains, la repousse pour m'enlever de sa bite, et se lève:

- Lève-toi !

 

A son ton, je comprends qu'il a une urgence et qu'il projette autre chose. Engourdi par ma position, je me relève péniblement. Il me prend par le coude et me pousse vers le salon. Je ne peux m'empêcher de vérifier dans quel état j'ai mis sa queue. Elle est raide et tendue à l'horizontale. Son gland est gonflé à mort et rouge. Sur sa verge, ses veines sont gonflées.

- Mets-toi là, sur le dos !

 

Il me désigne l'angle du canapé. Ah yesss, il va me baiser ! Tandis que je m'assois, il me fait basculer en arrière, puis soulève mes deux jambes, les écarte et me positionne les fesses au bord du siège. Puis il se penche au-dessus de moi, s'appuie d'une main à côté de mon épaule et, de l'autre, il guide son sexe. Je sens son gland contre ma fleur. Il va m'enculer à sec ! Je ne sais pas dans quel état est mon fourreau. Moi, ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude de me goder comme ça, et ça ne m'irrite même pas. Mais lui … il risque de se faire mal. Je lui demande:

- Tu ne veux pas me lubrifier ? J'ai du gel.

- T'inquiète ! 

 

Et il me pénètre. Ça rentre tout seul. Il passe le goulet de mon sphincter comme si de rien n'était. Après, il s'enfonce d'un seul coup … complètement. Son pubis vient se plaquer contre mon périnée. Les sécrétions de mon rectum doivent me lubrifier suffisamment. Et il se remet à me bourrer comme tout à l'heure, dans la cuisine: boum !

 

Mais maintenant, il ponctue chaque coup de queue d'une onomatopée, entre un grognement et un gémissement. Si, tout à l'heure, contre le plan de travail, il gérait, il se maîtrisait, maintenant, il se laisse submerger par son désir.

Boum !

 

Courbé au-dessus de moi, bouche entrouverte, il regarde alternativement mon visage et sa queue qui entre et sort de moi. Boum !

 

Cette fois, c'est sûr, il va jouir. Je pose mes mains sur ses reins, je les glisse sous son T-shirt et je lui caresse le dos. Boum !

 

Il souffle de plus en plus fort. Les trois autres sont restés à table. Je ne les vois pas, masqués par Dominique. Quand il m'a entraîné vers le canapé, je les ai entendus rire et commenter. Maintenant, je pense qu'ils contemplent, silencieusement. Boum !

 

- J'vais … j'vais t'juter dans l'cul !

 

Entre deux halètements-grognements, il m'a soufflé ça dans le cou. Oh oui, oui ! 

- Oui, vas-y, jouis ! 

 

Oui, jouis, répands-moi ton sperme dans le ventre ! Insémine-moi ! Engrosse-moi ! Boum !

 

A mon tour, je gémis, je halète en lui pétrissant le dos, les omoplates, les reins. Alleeeeeez, vas-y ! Baise-moi, féconde-moi ! Boum !

 

Et brusquement, il n'est plus qu'un halètement, rapide, puissant. Il va jouir ! Boum ! Mais cette fois, il reste plaqué tout au fond de moi. Mes mains derrière ses reins, je le presse contre moi, EN moi. Je veux qu'il déverse son sperme au plus profond de mon ventre. Et je sens un premier soubresaut de sa bite dans ma rondelle. Ça y est, il éjacule ! J'imagine son méat, béant, déversant dans mon ventre sa crème, toute blanche, qui s'insinue dans mes chairs. Je geins, je gémis, je couine ! Je suis encore en train de me faire féconder par un mâle ! Combien de mâles ont joui en moi ? Combien de mâles m'ont rempli le ventre de leur semence ? Quarante ? Cinquante ? Encore ! Encore ! Encore ! Je veux encore des mâles ! Je veux encore des bites ! Je veux encore du sperme, de la semence, de la jute, du foutre !

 

Il s'effondre sur moi en reprenant bruyamment sa respiration. Il doit avoir fini. La joue posée sur ma clavicule, il me souffle son haleine chocolatée dans le cou. Je lui caresse la nuque et je pose des baisers sur son front et sur ses paupières fermées. Hhhmmmm, tu m'as bien baisé, Dominique, tu m'as fécondé,  et je crois que tu as pris un pied monumental. Peu à peu, sa respiration se calme et, à son tour, il se met à me caresser les cuisses, les hanches, les fesses.  

 

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

 

Les applaudissement viennent de la salle à manger. Dominique se redresse et regarde vers ses trois comparses en riant. Vautré comme ça sur l'arrière de mes cuisses, il commence à être lourd:

- Laisse-moi redescendre mes jambes, Dominique.

 

Il me regarde, me sourit:

- Ça t'a plu ?

- Oh oui. Tu as joui dans mon ventre !

- Oui. 

 

Il se relève et me tend la main pour m'aider à faire pareil. Je redescends mes jambes et je m'assois, mais il se ravise:

- Attends ! Reste sur le dos !

 

Je suis surpris, mais j'obtempère, appuyé des coudes sur le canapé. En deux pas, le voilà près de la table. Il prend ma coupe de profiteroles et revient vers moi:

- Tu voulais de la crème Chantilly ? Mets-la là-dedans !

 

OK. Je vois ce qu'il veut. Pas de problème. Il s'accroupit et tend la coupe vers mon cul:

- Vas-y, pousse !

 

Inutile de pousser. Le simple fait de m'asseoir devrait suffire. Dans un bruit de bulles, je sens sa semence sortir de mon cul. Il regarde, fasciné. Les trois autres se marrent. Je glisse une main entre mes cuisses et, avec deux doigts, je m'ouvre le sphincter. Voilà, le plus gros a dû s'écouler. Je lui prends la coupe des mains et je me lève. Je racle sur bord de ma coupe ce qui reste de crème collée à mes doigts, et je retourne m'asseoir à table. Tant bien que mal, je serre les fesses et je contracte mon sphincter pour éviter de souiller ma chaise avec ce qui a pu rester de semence dans mon cul. Dominique est aussi retourné à sa place et tous les quatre m'observent. Ils ont deviné la suite et ils se demandent visiblement si je vais oser le faire. Yann, Denis et Dominique sont hilares. Seul Nadir me regarde d'un œil réprobateur. Alors je coupe avec ma cuiller un morceau de chou couvert de chocolat, je le trempe consciencieusement dans la crème de Dominique, et je le porte à ma bouche.

 

- Yeeeeaaahhhh !

 

Exclamation de Denis. Les profiteroles, il faut les manger dès qu'elles sont servies pour apprécier le contraste entre la chaleur de la sauce au chocolat et le froid de la glace à la vanille. Là, pendant que je taillais une pipe à Dominique et qu'il me baisait, la glace a eu le temps de fondre et le chocolat de refroidir. Ça ne fait rien, pour le moment, ce n'est pas ça l'essentiel. L'essentiel, c'est que je suis en train de déguster une profiterole au sperme ! Oh, je ne le sens pas vraiment, le sperme: la saveur puissante du chocolat et celle, plus subtile de vanille masquent complètement son goût, mais je me régale autant du plaisir de cette pâtisserie spéciale que de voir mes trois … amants me regarder. 

 

Quand j'ai terminé, Denis se lève:

- Bon, qui veut un café ?

 

Il commence à débarrasser la table, aidé de Yann et Nadir. Dominique retourne s'asseoir sur le canapé. Je le suis. Il tapote le siège à côté de lui:

- Assieds-toi là !

- Deux secondes. Je ne veux pas souiller le canapé de Denis.

 

J'ai sans doute encore un peu de sperme dans le cul. Je disparais dans la salle d'eau. Vite fait, je me refais un lavement et je me sèche. Quand je reviens, je trouve Nadir assis dans l'angle du canapé et Yann dans le fauteuil en face. Je m'assois à côté de Dominique, et je prends son sexe entre mes doigts. Il pose une main sur ma cuisse:

- Alors, t'es content ? Ça y est, on a tiré un coup tous les quatre.

- Oui. Merci.

 

Ça l'amuse que ce soit moi qui lui dise merci. Il sourit:

- Pas de quoi, on est là pour ça. N'empêche, t'es un phénomène, toi.

- Ah bon ?

- Oui. C'est la première fois que j'ai affaire à quelqu'un qui aime autant la bite.

- Hééé ! C'est bien, non ?

- Bien sûr, que c'est bien. Quelqu'un qui se pose pas de questions, que t'as pas besoin de draguer, que t'as pas besoin de séduire pour te le taper, c'est top. Au moins, avec toi, on perd pas de temps en politesses, ou en discussion, on peut y aller direct: on veut te niquer, on te nique ! Excuse-moi de te dire ça, hein, mais tu serais une fille, on dirait que t'es une "fille facile".

- Mais ça me va tout à fait. T'excuse pas. Ça me plaît d'être considéré et traité comme une "fille facile". 

 

Denis, qui pose deux tasses de café sur la table basse:

- Ouais, t'es même plus qu'une fille facile, parce que, avec un "saute au paf" comme toi, on a même pas besoin de prendre l'initiative. Du moment que tu sais qu'un mec est là pour ça, c'est toi qui t'attaques à sa queue ! T'es prêt à tout pour sucer de la queue ou te faire enculer. Le rêve pour les mâles, quoi !

 

Yann, qui continue à se tripoter machinalement, comme tout à l'heure, à table:

- Ouais. Et en plus, t'es jamais rassasié ! Vingt et quelques mecs, quand même, l'autre fois, chez Jean-Claude ! Et c'qu'est dingue, c'est qu'tu prends tout le monde ! On dirait que t'as rien à foutre du physique des mecs. Du moment qu'ils ont une queue, c'est bon.

 

Il a l'élocution un peu laborieuse, conséquence de ce qu'il a picolé en mangeant. Notre conversation doit lui donner des idées parce qu'il se lève et vient, en titubant, s'affaler à côté de moi sur le canapé:

- Tiens, vas-y !

 

Il écarte les cuisses et s'empoigne le paquet à pleine main. Bon, il veut que je le suce. Je demande à Dominique:

- Tu permets ?

- Evidemment. 

 

Je lui tourne le dos et je commence à me pencher sur le ventre de Yann. Dominique se ravise:

- Attends, attends ! Allonge-toi sur moi. Tu seras mieux pour le sucer.

 

Ouais, peut-être. Je me redresse. Il me prend par les hanches et il me guide pour que je m'installe, le ventre sur ses cuisses. En m'allongeant, je réalise qu'il a sûrement une idée derrière la tête. On verra bien. Je me penche sur le ventre de Yann, je saisis sa queue et je commence à lui passer la langue sur la verge. Hhhmmmm, il n'y a rien à faire, je ne m'en lasse pas. Je pourrais passer des heures à lécher et à sucer une bite … ou des bites. Je le prends dans ma bouche. Aussitôt, il pose sa main sur ma tête. Il bande mollement, mais j'aime ça. Je commence à aller et venir, doucement. Je déguste le plaisir d'avoir ce sexe mou, tiède et doux, qui se laisse dorloter dans ma bouche. Il a peut-être encore envie d'éjaculer sur ma langue, mais pour le moment, je ne cherche pas à le faire jouir. Pour le moment, égoïstement, je le suce seulement pour mon plaisir à moi. J'ai passé un bras entre ses cuisses, j'ai pris ses couilles dans ma main et, de temps à autre, je les lèche aussi, je les prends une à une dans ma bouche et je les tète avant de reprendre sa bite. J'entends vaguement qu'il est question de café et de sucre entre Denis, Nadir et Dominique. Il me semble même que Denis a tendu une tasse à Yann, qui l'a bue tout en se laissant sucer, avant de la lui rendre. 

 

- Tiens, Denis, tu peux reprendre aussi la mienne ?

- T'en veux un autre ?

- Non, merci.

 

C'est la voix de Domi, suivie du bruit de deux tasses qu'on pose sur la table basse.  Aussitôt, je sens qu'on retrousse ma jupe sur mes reins. "On" … Dominique, forcément. Il se met à me caresser les fesses. Hhhmmm ! Sa main s'insinue entre mes cuisses … jusqu'à mes genoux … avant de revenir sur mes fesses. Peu à peu, il ne me caresse plus, il me palpe, il me pétrit les miches … fermement. Hhhmmmm, c'est boooon ! Je soulève mon bassin. Oh oui, pelote-moi le cul ! Et soudain, tout en continuant de me pétrir une fesse, il insinue les doigts de son autre main dans ma raie. Depuis les reins jusqu'au périnée. Alors là ! Là, j'écarte les cuisses en glissant mes genoux sur le cuir du canapé. Je sens son ventre se secouer contre ma hanche. Ça le fait rire:

- T'aimes ça, hein !

 

Il remonte ses doigts en direction de mes reins et s'attarde une fraction de seconde sur ma fleur. Je gémis et, comme par réflexe, je soulève un peu plus mon bassin. Il rit encore:

- Regarde-le ! Là, il a envie que je lui mette un doigt.

 

Oui, j'ai envie que tu me mettes un doigt ! Ses doigts quittent ma raie, j'entends un bruit de succion et, presque aussitôt, il les pose sur ma rondelle. De sa main qui me pétrit la fesse, il m'ouvre. Je le sens, ses doigts glissent sur mon anus. Il a dû les mouiller à la salive. Je sens mon fourreau frémir et j'ai l'impression qu'il bée tout seul. Etonnamment, tout ça ne me détourne absolument pas de la pipe que je suis en train de tailler à Yann. Au contraire. Excité par ce que Dominique est en train de me faire, et à l'idée de ce qu'il s'apprête à me faire, je suce Yann encore plus fiévreusement. Ah, ça y est ! Il enfonce un doigt dans mon cul ! Oh, putain, ce que c'est bon ! Voilà son doigt entièrement en moi. Il le bouge et mon anus se détend, s'ouvre tout seul.

- C'est bon, ça, hein ? T'aimes ça, hein ?

 

Il ressort un peu son doigt, et il en glisse un deuxième. Hhhhmmmm ouiiiii ! Il me rend dingue. Je gémis de plus belle en remuant convulsivement mon bassin. Et je sens qu'il écarte ses doigts délicatement mais fermement pour m'ouvrir l'anus ! Ouiiiii, vas-y, ouvre-moi ! Et mets-en un autre ! Ouiiiii, il m'en met un autre ! Ah, putain ! Mets-moi ta main, maintenant ! Mets-moi ta main ! Ah, j'en peux plus, j'en peux plus ! Je halète tellement que je ne peux plus garder la bite de Yann dans ma bouche. Appuyé des avant-bras sur ses cuisses, je me cambre à la recherche de toujours plus de saillie. Et il me fourre encore un doigt ! J'ai quatre de ses doigts dans le cul ! C'est très légèrement douloureux au moment où il ajoute un doigt, mais une fois mes muscles détendus, la douleur disparaît et ce n'est plus que du plaisir ! Je geins. Yann m'appuie sur la tête. Il veut que je continue de le sucer ? Mais je ne peux pas ! Ah non. Il a empoigné sa bite, et il se contente de me frotter son gland sur la figure. Je lui donne de petits coups de langue quand son gland passe près de mes lèvres. Dominique continue de me forcer. Il a même dû me mettre son pouce. Mais ça ne rentre plus. Ses doigts restent bloqués au niveau de la première phalange. J'ai beau essayer de m'ouvrir autant que je peux, rien n'y fait. 

- T'aurais pas quelque chose à lui foutre dans le cul, Denis ?

- Hein ?

- Ouais. Je sens qu'il voudrait bien que je le fiste, mais ma main rentre pas. Ça passe pas, regarde.

 

Et il fait des va et vient qui bloquent tous au même endroit. 

- Ou alors … fais voir ta main  …

- Quoi ! Tu veux que je le fiste ? Marin … tu veux te faire fister ?

- Ouiiiiii !

 

Je hoche la tête vigoureusement. Denis reprend:

- Ouais, mais … ça va pas le faire, j'ai la main aussi grosse que la tienne, Domi.

 

Je relève la tête et je regarde la main de Yann, qui cramponne toujours sa queue. Ça le fera pas non plus. D'ailleurs, il confirme:

- Moi, c'est pareil, j'ai la main trop grosse. Et toi, Nadir ?

- Non, non. Trop grosse aussi, ma main. Et de toute façon, moi, je fais pas ça.

 

Domi continue de me travailler le fourreau. Soudain, Denis:

- Attends. Je crois que j'ai ce qui faut !

 

Je l'entends s'éloigner en direction de la cuisine. Bruit de tiroir qu'on ouvre. Bruit de tiroir qu'on referme. 

- Regarde ça ! Ça devrait lui plaire !

- Ah ouais. T'as raison. Mais c'est pas du bois, au moins.

- Nan. C'est du plastique. Regarde, Marin.

 

Je tourne la tête vers lui. Il revient en exhibant un long cylindre blanc:

- Ça te dit, ça ? C'est mon rouleau à pâtisserie. C'est du plastique anti-adhésif.

 

Il me le colle sous le nez. Ça doit faire dans les cinq centimètres de diamètre et les bords des extrémités sont arrondis. Je le prends dans la main. C'est très lisse. Ça va le faire:

- Oh oui, ça me dit. Allez-y, fourrez-le moi !

- Attends, je vais lui mettre une capote, quand même …

- Nan. Pas besoin. 

 

Je lui arrache littéralement des mains, et je le porte à ma bouche. Je crache dessus et j'étale ma salive avec mes lèvres et ma langue, avant de le tendre vers mon cul:

- Vas-y, Domi, fourre-le moi !

 

Dominique rit et, sans hésiter, il le prend et le présente aussitôt à l'entrée de mon fourreau:

- Putain, c'est quand même un gros morceau ! T'es sûr, Marin ?

- Oui. J'ai déjà pris plus gros. Vas-y !

- Bon. Comme tu veux.

 

Je sens qu'il m'écarte les fesses et qu'il pose l'extrémité contre mon anus. C'est frais. Il commence à pousser. Le godemiché improvisé me pénètre doucement en écartant mes chairs. Ça résiste un peu. Domi:

- Ça va ? Je te fais mal ?

- Non, vas-y ! Ça me fait pas mal.

 

Il pousse encore. Yann a arrêté de me badigeonner sa bite sur la figure, et il l'a même lâchée. Il doit être en train de regarder ce que me fait Dominique. Denis aussi, qui est maintenant debout près de mon cul. Ça y est, l'extrémité du rouleau a passé le goulet étroit de mon sphincter, et je le sens qui s'enfonce dans mon rectum. Je me cambre. Oh putain, ce que c'est bon ! Je m'affale complètement sur les cuisses de Yann, je passe mes deux mains derrière moi, je m'empoigne les fesses et je les écarte. Dominique rit:

- Oh oooooh ! J'en reviens pas ! Ça rentre tout seul ! Je continue ? Tu me diras quand il faut que j'arrête.

- Vas-y. Tu le sentiras, quand tu seras au fond.

 

Il continue et, tout en l'enfonçant, il se met à tourner un peu le rouleau de droite à gauche dans mon cul. Voilà, ça résiste. Il est au fond. Hhhmmmm ! C'est encore meilleur de se faire goder par quelqu'un que de se le faire tout seul. Dominique remue un peu le rouleau dans mon cul, puis commence à le retirer. Hhhmmm, ça aussi c'est bon !

- Putain, j'en reviens pas de ce que je t'ai rentré dans le cul ! Regarde ça, Denis ! 

 

Je sens le godemiché glisser lentement dans mon anus. Et Dominique le sort complètement ! Ça fait un petit "plop !" mouillé. Je m'écarte de nouveau les fesses, attendant qu'il me remette ce truc. Qu'est-ce qu'il attend. Je le sens qui bouge contre moi, comme s'il se penchait au-dessus de mon cul. Et je sens un truc chaud tomber sur mon anus. Denis:

- Tu veux pas lui mettre plutôt du lubrifiant, au lieu de lui cracher dans le cul ? T'en as, du lubrifiant, Marin ?

- Oui. Dans mon sac. Il doit être dans la salle d'eau.

- Bougez pas.

 

Il n'y a pas de risque que je bouge. D'autant que Domi a de nouveau enfoncé l'extrémité du rouleau à pâtisserie sur quelques centimètres dans ma rondelle, et qu'il a commencé à le faire aller et venir rapidement. Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Ça a l'air de beaucoup l'amuser. Et moi, ça me fait du bien. Denis revient:

- Hé ! Ça aussi, c'est pas mal !

 

Il arbore mon tube de lubrifiant. C'est vrai qu'avec son extrémité arrondie et son diamètre assez conséquent, il fait envie, lui aussi. D'ailleurs, je me le suis déjà fourré dans le cul à la maison. Je suis persuadé que le fabricant a choisi cette forme et ces dimensions pour que ce flacon de lubrifiant puisse servir de jouet sexuel. Domi sort le rouleau à pâtisserie de mon cul. Plop ! Rapidement, je sens le froid du gel sur ma rondelle, puis un doigt (un pouce ?) me l'étaler et me le rentrer dans le fourreau en faisant plusieurs allers et retours.

 

- Allez, fous-lui le tube dans le cul.

 

C'est Domi qui vient de dire ça à Denis. Lequel ne se le fait pas dire deux fois. Je les entends rire doucement, tous les deux. Je sens le bout du tube se poser sur ma rondelle et s'enfoncer immédiatement en moi.

- Oh putain !

 

Domi est scié ! Je ne sais pas lequel des deux est à la manœuvre, mais il m'a enfoncé ce tube d'un seul coup. Et entièrement ! Ou presque. J'approche ma main de mon trou. Du tube, il ne dépasse plus qu'un centimètre ou deux, c'est-à-dire le bouchon. Des doigts (ceux de Denis ou de Dominique ?) appuient dessus  pour le maintenir dans mon cul. Ils se marrent. Je tourne un peu la tête. Denis est penché au-dessus de moi. C'est lui qui pousse ce tube dans mon cul. Domi me demande:

- Ça va toujours ?

- Oui. Gode moi encore.

- Enlève tes mains.

 

Je les enlève et je les croise sous mon menton sur les genoux de Yann. Je sens que Domi m'empoigne les fesses et me les écarte. Denis sort le tube rapidement (j'ai l'impression de me vider), et le renfonce d'un seul coup. Hhhmmmm ! Ils se marrent de plus belle. Puis il le sort à moitié et se met à le faire aller et venir en rythme. Avec la dose de lubrifiant qu'ils m'ont fourrée, ça glisse tout seul. De temps à autre, Denis me l'enfonce de nouveau à fond et continue d'appuyer, comme pour essayer de me le rentrer complètement dans le cul, avant de reprendre ses va et vient. Dominique demande à Denis:

- Laisse-moi essayer …

 

C'est maintenant Denis qui m'ouvre bien le cul en m'écartant les fesses. Domi me fait la même chose que lui, mais à un rythme légèrement différent, plus lascif. La joue posée sur la cuisse de Yann, je me laisse faire. Ça me plaît. Non seulement que ces mecs me fassent quelque chose que j'adore, mais aussi qu'ils s'amusent avec mon cul. Ils jouent, ils expérimentent.

 

- Yann, tu veux essayer ?

- Ouais. Attends.

 

Il se dégage de sous moi, se lève, et je le sens qui monte sur le canapé et s'agenouille entre mes mollets.

- Enlève-lui ce truc-là. Ça, c'est plus gros.

- T'as raison.

 

"Ça", c'est sûrement le rouleau à pâtisserie. Quelqu'un sort le tube de mon cul, et Yann me pose le rouleau sur la rondelle. Il commence à me l'enfoncer délicatement. Il ne doit pas y avoir une grosse différence de calibre, mais en effet, "ça", c'est plus gros. Je tourne la tête. Denis s'est assis sur la table basse. Alors ça doit être Domi qui me maintient les fesses écartées. Yann demande:

- Je peux lui mettre jusqu'où ?

- Vas-y, t'as encore de la marge. Regarde, t'as la trace, là. Moi, je lui ai enfoncé jusqu'où c'est mouillé. 

- OK.

 

Une fois au fond, il ressort et commence à me goder comme les deux autres. Je l'entends rire:

- Ça te plaît, ma poule ?

- Oui.

 

Ah putain, trois mecs qui s'amusent avec mon cul ! J'adore ! Yann me ramone comme ça pendant un moment, puis il se met à faire pivoter doucement l'engin sur lui-même. Hhmmmm, c'est bon, ça !

- Ça aussi, ça te plaît ?

- Oh oui !

 

Ça l'encourage et il fait tourner le gode un peu plus vite. Je gémis, je geins, je soulève mon bassin, je me cambre. Ils se marrent. 

- Dis, Denis, t'aurais pas un truc un peu plus gros ?

 

A son ton, je sens que Yann s'excite à me ramoner comme ça. Denis:

- Plus gros ? Non, je crois pas. 

- T'es sûr ?

 

Maintenant, c'est à la brutalité de ses gestes, que je sens que Yann s'excite. Denis:

- Ouais, je suis sûr. Et puis là, tu t'excites trop, Yann. Vas-y mollo. Vas pas nous l'esquinter. Il faut qu'on puisse encore s'en servir. Pas vrai, ma poule ?

 

Denis s'est levé. Il me claque la fesse, et je sens que le ramonage s'arrête brusquement. Je tourne la tête. Denis a saisi le gode improvisé et empêche Yann de continuer:

- Arrête, Yann ! De toute façon, c'est l'heure d'aller chez Jeannot.

 

Je tourne la tête. Denis et Yann tiennent tous les deux le godemiché, le premier empêchant le second de continuer à me ramoner comme ça. Leur affrontement se répercute dans mon cul à travers le rouleau à pâtisserie.

- Ouais. Arrête tes conneries, Yann. Tu dérapes, là.


Cette fois, c'est Dominique qui intervient. Il y a deux ou trois secondes de flottement, puis je sens qu'on sort lentement le jouet de mon fourreau. " Plop ! ".


- Ouais. Je crois que j'ai un peu trop picolé. Désolé.


Denis se redresse et s'éloigne vers la cuisine, son rouleau à la main. Dominique, en me pétrissant la fesse:

- Ça va, ma poule ?

- Ça va.


Je sens Yann descendre du canapé. Je me relève. Il se tient devant moi, tout penaud:

- Je t'ai fait mal ?

- Non, ça va. Mais il était temps d'arrêter.

- Ouais. Excuse-moi.

- Ça va, je te dis. Mais contrôle-toi quand tu picoles.

- OK, OK.


Denis:

 

- Bon, allez. On se prépare.

 

Pendant qu'il ramasse son pantalon et commence à l'enfiler, je récupère mon string:

 

- J'arrive. Il faut que je passe à la salle d'eau.

 

La suite en cliquant ici: Offert à des mâles

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Vendredi 13 octobre. 17 heures.

J'arrive à l'entrée du parking souterrain. Ce matin, au téléphone, Denis m'a donné le code d'accès et le numéro de la place où je pourrais me garer. Il m'a expliqué où il aura planqué la clef de son appartement. Ça marche, la porte du parking est en train de basculer. Dès que je pointe le nez de ma voiture dans l'ombre de ce sous-sol, l'éclairage s'allume. Voilà, place n° 112. Ça pue là-dedans: caoutchouc des pneus, huile des moteurs, gaz d'échappement et cette indéfinissable odeur de crasse de tous les parkings souterrains. Il fait frais, aussi. La température a pas mal baissé depuis quelques jours, et il a plu la nuit dernière. La fraîcheur me caresse les cuisses et s'insinue sous ma minijupe, jusque sur mes fesses. Très agréable.

 

Ma balade en voiture avec Nicolas, samedi dernier, m'a permis d'attendre aujourd'hui sans être trop en manque. Je me suis seulement masturbé deux ou trois fois en regardant les photos et les vidéos du gang bang. Il faut dire que Guy m'a de nouveau envoyé toute la série, mais cette fois avec les visages floutés, pour me demander s'il pouvait les diffuser comme ça. Apparemment, plusieurs participants lui ont demandé de les flouter aussi. Alors, il a flouté tout le monde. Comme ça, je trouve ça beaucoup moins excitant. Mais je m'en fous, moi, j'ai la version intégrale. Forcément, revisionner tout ça m'a passablement excité. D'où mes branlettes. Depuis, à la perspective des deux, trois ou quatre jours que je vais passer chez Denis, l'envie de bite est revenue.

 

Oui, Denis ne m'a donné aucune consigne pour ma tenue et j'ai décidé d'arriver chez lui en trav. Je suis habillé entièrement en toile de jean bleue. J'ai mis la minijupe en toile stretch que j'ai achetée la semaine dernière. Ultra courte, elle m'arrive vraiment à ras le bonbon. Si je n'avais pas mis un string, ma bite dépasserait sous l'ourlet. C'est dire ! De plus, elle est très extensible, et elle me moule vachement bien le cul. C'est sûr, elle va chauffer les mecs. Et c'est un régal à porter. En haut, un blouson de marque, aussi en toile de jean, avec plein de poches, que j'ai dégotté sur une brocante il y a cinq ou six mois. Dessous, un T-shirt noir moulant. Et c'est tout ! Enfin, j'ai quand même mis mon mini string rose flashy et des ballerines. Ni collant, ni porte-jarretelles et bas. Je suis jambes nues. Ah oui, j'ai aussi mis un postiche à cheveux courts, et j'ai mon baise-en-ville avec une tenue de rechange, de la lingerie, une nuisette, du lubrifiant, des capotes … bref, tout le nécessaire. Et évidemment, avant de partir, régime habituel: lavements et rasage complet. 

 

Je trouve immédiatement la clef de Denis, scotchée dans la poignée d'un extincteur. Tandis que je me dirige vers l'ascenseur, la porte du parking s'ouvre et une voiture entre. Je presse le pas pour pouvoir prendre l'ascenseur avant que le nouveau venu ne soit garé et descendu de sa voiture. Pas la peine que les voisins de Denis me voient dans cette tenue. Merde ! L'ascenseur n'est pas à ce niveau. Le bouton d'appel lumineux clignote et j'entends des cliquetis métalliques derrière la porte, mais derrière la vitre, c'est l'obscurité. Ah la vache ! La voiture s'est garée seulement à quelques mètres de l'ascenseur, et au volant, c'est une femme. Et si je montais par l'escalier ! Re-merde ! Généralement, les escaliers se trouvent à côté de la cage d'ascenseur, mais pas dans ce parking ! L'escalier est là-bas, à quinze mètres. Pas le temps de traverser, d'autant que, ça y est, la conductrice est descendue. Bêtement, je lui tourne le dos. C'est con, parce que, malgré ma tenue, et vu ma taille et la largeur de mes épaules, je ne peux pas faire illusion. Au moment où je vois la lumière de la cabine d'ascenseur descendre le long de la vitre, j'entends la femme claquer sa portière et s'approcher. Bon, tant pis, on verra bien. La voilà derrière moi, et je sens les effluves de son parfum dominer les odeurs du parking. 

 

J'ouvre la porte et je m'efface pour la laisser entrer dans la cabine. En passant devant moi, elle lève les yeux sur moi et sourit:

- Bonjour.

- Bonjour.

 

La trentaine, pas très grande, brune aux cheveux mi-longs, vêtue bon chic sans ostentation, elle ne paraît pas surprise le moins du monde. C'est évident, même de dos, elle a vu que je ne suis pas une femme. Et puis, je l'ai laissée passer, vieux réflexe masculin. Enfin, à ma voix, elle ne peut plus avoir de doute, s'il lui en restait. Elle se colle contre la paroi du fond et me regarde entrer dans la cabine, toujours souriante. Je lui demande:

- Quel étage ?

- Cinquième.

 

J'appuie sur le cinq, et j'hésite. Denis habite au quatrième. Je ne sais pas combien il y a d'appartements par étage. Je ne voudrais pas le trahir en appuyant sur le quatre. Mais si j'appuie sur un autre bouton, cette femme risque d'imaginer que je vais chez tel ou tel autre locataire. Bon, tant pis. Quatre. Je m'adosse à la paroi de côté. Du coin de l'œil, elle me regarde de la tête aux pieds. Du coin de l'œil, mais sans se cacher et sans gêne. Soudain:

- Très jolie votre jupe en jean. Elle vous va très bien. Surtout avec vos jambes bronzées.

- Merci. 

 

Comme il est évident qu'elle a vu que je suis un travesti, je crois bon de me justifier:

- J'espère que je ne vous choque pas. Je pensais ne rencontrer personne.

- Ça ne me gêne pas. Chacun vit comme il veut. Du moment qu'on n'embête pas les autres.

 

Elle doit se demander ce qu'un travesti, dans une tenue aussi ostensiblement "sexe", vient faire dans son immeuble. Ou pas: si elle est tant soit peu délurée, elle doit bien en avoir une petite idée. Ma tenue n'est pas exactement le genre de déguisement qu'on met quand on veut simplement déconner entre potes. Elle est même assez parlante, ma tenue. Oui, oui, ma cocotte, là, tel que tu me vois dans cette cabine, je suis en train de … "monter à la bite ". Putain, cet ascenseur est particulièrement lent. Elle continue de me jeter de petits coups d'œil. Ah, j'aimerais bien lire dans ses pensées. Enfin, dans une secousse, l'ascenseur s'arrête. Quatrième étage.

- Au revoir.

- Au revoir. Et bonne soirée.

 

De l'ironie dans son "bonne soirée" ? Je me demande. Je pousse la porte et je sors. J'appuie sur un bouton à côté de la cage d'ascenseur. La lumière éclaire un long couloir. Sept portes dont celle de la cage d'escalier. Donc, six appartements. Ça va, la femme de l'ascenseur ne peut pas deviner chez qui je vais. Tout au bout du couloir, voilà le 4F, c'est l'appartement de Denis. J'entre. C'est pas mal. Moderne et assez … pas luxueux, mais très clair, sobre, des meubles modernes et de qualité. C'est curieux, ça ne ressemble pas au personnage. Comme quoi, les idées préconçues … En tout cas, cet appart, c'est le jour et la nuit avec le pavillon miteux du gros Robert. Autant c'était vieux, sombre et crade chez lui, autant c'est neuf, propre et moderne chez Denis. Mais au fait, il m'a dit qu'on pouvait difficilement être plus de quatre ou cinq chez lui parce que ce n'est pas très grand ! Il y a largement la place !

 

Je cherche tout de suite la salle de bain. Je ne sais pas à quelle heure Denis et ses invités vont arriver, et je pourrais bien me retrouver rapidement avec une bite à l'entrée de mon fourreau. Alors, il faut que je sois nickel. La vache, elle est immense, cette salle de bain ! Il y a même une porte-fenêtre à trois vantaux avec un store à lames verticales pour l'intimité. Ah oui, il y a un autre immeuble juste en face, et sans ce store, les occupants des étages supérieurs de l'immeuble d'en face auraient une vue plongeante sur ce qui se passe ici. Pas de baignoire, mais une douche à l'italienne: receveur de plain-pied, sol carrelé sur pratiquement la moitié de la surface de la pièce, et une simple cloison de verre pour l'isoler de la vasque qui sert de lavabo. En plus du large pommeau de douche fixé au mur, il y a une douchette à main au bout d'un flexible. Impeccable, longue et cylindrique, elle a un diamètre idéal pour me rentrer dans le cul. Je m'administre deux nouveaux lavements. Je fignole aussi le reste: ultime coup de rasoir sur ma bite, mes couilles et mon pubis, et crème hydratante partout. 

 

Un fois rhabillé, je visite l'appartement. Dans la chambre, pas de sommier, mais un matelas, assez large, posé sur des espèces de tatamis, avec une couette par-dessus. Je vais sûrement me faire baiser là-dessus… et peut-être même y dormir. Le long du mur, une sorte de banquette-coffre. De chaque côté de la tête du "lit", des lampes de chevet posées à même le sol. En face du lit, toute la surface de la cloison est occupée par trois miroirs montés sur les portes pivotantes d'un dressing. Hhhmmm, à quatre pattes sur le lit, face à ces miroirs, avec Denis  - ou je ne sais qui – en train de me prendre en levrette … A part un bureau minuscule et un cellier, le reste de l'appartement consiste en une vaste pièce d'un seul tenant. A un bout, un salon avec deux gros fauteuils en cuir crème, un grand canapé d'angle assorti et une table basse; au milieu, une assez grande table au plateau de verre reposant sur un piétement métallique et six chaises, et à l'autre bout, une cuisine moderne avec un large îlot central.

 

Il y a aussi une porte-fenêtre qui donne sur un balcon avec une petite table de bistrot et deux chaises. Sur la moitié de sa longueur, le balcon est sécurisé par un garde-corps en barreaux métalliques et sur l'autre moitié par une maçonnerie. Je jette un coup d'œil aux alentours. L'appartement de Denis se trouve à l'extrémité de l'immeuble, et son balcon donne aussi sur l'avenue et sur l'entrée de la résidence. Au pied de l'immeuble, un espace vert avec une aire de jeux pour enfants. Sur un banc, deux femmes bavardent en surveillant une poignée de gamins qui se chamaillent sur un toboggan. En face, à une trentaine de mètres, l'autre immeuble: six étages, avec également des balcons. Par une fenêtre au rez-de-chaussée, j'aperçois une femme qui, apparemment, s'active dans sa cuisine, et, au deuxième étage, un homme d'un certain âge lit dans un fauteuil à côté de sa fenêtre. Sur un balcon, au quatrième, donc au même niveau que moi, un type, accoudé au garde-corps, fume en regardant distraitement les deux femmes et leurs mômes dans le jardin. Ces scènes de vie ordinaire, alors que je m'apprête à me faire grimper par plusieurs types, j'adore ça. Je me dis que, tout à l'heure, pendant que ces gens vaqueront tranquillement à leurs occupations, moi, je serais en train de sucer une ou plusieurs bites, ou de me faire enculer ! Cette pensée réveille quelque chose du côté de mon bas ventre et de ma prostate. Je commence à bander. Comme je suis sur la partie du balcon protégé par le muret, celui-ci me dissimule depuis la taille jusqu'aux pieds. Alors, je glisse une main sous ma jupe, je descends la ceinture de mon string sous mes couilles, et je commence à me tripoter. 

 

Putain, si les potes de Denis ne se dégonflent pas, je vais encore me faire quatre mecs ! Quatre mecs, dont deux inconnus ! Deux nouvelles queues à mon palmarès ! Un de ces jours, il faudrait que je compte combien j'ai fait jouir de mecs, combien j'ai fait éjaculer de bites. Ah, putain, le bouche à oreille commence à vachement bien fonctionner. Comme les mecs qui m'ont baisé sont contents de moi, ils en parlent autour d'eux et ils recrutent. Allez-y, les mecs, recrutez, jouez les rabatteurs, amenez-moi de la bite ! Ou si vous préférez, amenez-moi A la bite ! Quand je prends la peine d'y réfléchir, je suis sidéré d'en être arrivé à offrir mon cul au premier venu, et de m'être fait grimper par autant d'inconnus. Bon, ce qui est sûr, c'est que, tout comme un novice peut devenir accro à l'héroïne dès son premier shoot, moi, je suis devenu addict à la bite dès ma première pipe ou dès ma première sodomie. Ce qui m'étonne presque autant, c'est justement le nombre de types qui me sont passés dessus en l'espace de quelques mois. Comment ai-je pu en attirer autant, qui me sont tombés dessus comme des mouches sur un pot de miel ? Je n'ai pourtant pas un physique efféminé, ni même androgyne ! Un peu plus grand que la moyenne, plutôt costaud sans être baraqué, des pognes assez grosses, un visage masculin, je n'ai jamais rien eu d'un "minet" susceptible d'intéresser les amateurs de délicats éphèbes. 

 

Bon, c'est vrai, il y a mon cul. J'ai réalisé son pouvoir d'attraction sur les mâles quand j'ai commencé à le montrer en photos sur Internet. Les premiers commentaires élogieux que j'ai reçus à son propos m'ont d'abord étonné et quelque peu gêné. Je ne pensais pas mon cul aussi … attirant pour des mecs. Il faut dire que je ne le connaissais pas, mon cul: pendant longtemps, je l'avais seulement aperçu dans un miroir, et encore, par accident, et pas entièrement. On n'en voit au mieux que la moitié, dans un miroir, et en se tortillant, qui plus est, ce qui le déforme en partie et n'en donne qu'un vague aperçu. Il n'y a qu'en photos ou en vidéos qu'on le voit tel qu'il est vraiment. C'est donc seulement quand j'ai commencé à me photographier et à me filmer au cours de mes séances de sexe en solo, que je l'ai vraiment découvert. Ça a été un choc pour moi: j'ai réalisé que j'avais un cul … musclé mais pas trop, rebondi mais pas trop, et surtout galbé et mis en valeur par une assez belle cambrure naturelle des reins … bref, un cul bandant. Enfin, un cul qui me faisait bander, moi ! Oui, contempler mon propre cul, me faisait bander ! Le comble du narcissisme. Au début, ces photos et vidéos de mon cul étaient à usage strictement personnel et je n'avais absolument pas l'intention de les montrer à qui que ce soit, et surtout pas de les publier sur Internet. Et puis, quand je me suis décidé, "pour voir", à mettre en ligne quelques photos parmi les plus soft, le succès auprès de visiteurs masculins a été immédiat. Il n'a été que croissant au fur et à mesure que je montrais des photos plus hard, surtout en lingerie féminine. Ce succès, je ne l'avais justement attribué qu'au caractère fétichiste et pornographique de ces images, mais à la réflexion, mon cul y était sans doute pour beaucoup.

 

Il y a donc mon cul, qui attire des mâles, mais il n'y a pas que ça. D'une manière ou d'une autre, quelque chose en moi doit leur dire que je suis amateur de bite, et à tendance passive. D'ailleurs, c'est si net, cette tendance passive, qu'à une ou deux exceptions près, tous les mecs qui m'ont baisé ou que j'ai sucé ne m'ont pas demandé la réciproque. Pour les mecs, je suis celui qu'on pénètre, pas celui qui pénètre, celui qu'on baise, pas celui qui baise. Et ça me va très bien. Mais en plus, pour qu'ils n'hésitent pas à m'aborder et à me proposer très directement leur bite, il faut aussi qu'ils me devinent accueillant, facile, docile ! Bref, je ne sais pas ce qui leur garantit qu'ils ne se prendront pas un râteau avec moi et qu'ils pourront m'introduire leur queue pour tirer un coup, mais ça me va aussi. Philippe, par exemple, mon cul, il ne l'avait pas vu, ou pas vraiment, quand il s'est décidé à me … solliciter au bord de ce canal. Thomas, mon premier "vrai" coup, il n'avait pas vu mon cul non plus, quand il s'est mis à "manœuvrer" pour se retrouver dans mon lit,  et se coller à moi pour me ... Parmi tous ceux qui m'ont fourré jusqu'ici, il y a eu de vrais homos et de vrais bi – actifs, essentiellement -. Pour ceux-là, il était dans l'ordre des choses de me draguer et de me baiser. Il y a eu aussi des baiseurs d'occasion. Parmi eux, certains n'avaient ni a priori ni préjugé, et, pour peu qu'une occasion de tirer un coup se présente, ils ne voient pas de problème à fourrer leur bite dans n'importe quel trou, qu'il soit masculin ou féminin.  Enfin, il y a des paumés comme Robert et ses potes, peut-être foncièrement hétéros, mais trop moches, trop timides, trop marginaux ou trop complexés pour arriver à trouver une vraie femme, et qui se rabattent sur la moindre occasion qui s'offre à eux, même si l'occasion est un travelo. Et pour ceux-là, l'occasion qui s'est offerte à eux, au propre comme au figuré, c'était moi. Moi, je m'en fous, je prends tout ce qui se présente: vrais homos, vrais bi, baiseurs d'occasion, hétéros en manque … tout le monde !

 

Dans l'immeuble d'en face, le type a fini de fumer sur son balcon. D'une pichenette, ce porc balance son mégot sur la pelouse. Je réalise qu'il m'observe peut-être depuis un moment, sans doute intrigué à la fois par mon apparence et par mon bras qui bouge, à demi dissimulé derrière le garde-corps. Oui, mec, tu vois bien, je suis en train de me tripoter. Je m'en fous, je continue. Il me regarde avec insistance. A cette distance, je suis sûr qu'il peut voir que je ne suis pas une femme. J'ai l'impression qu'il me sourit. Il me fait un petit signe de la main. Je lui réponds d'un signe de tête, et il disparaît dans son appart.

 

Bon, je remballe ma queue et je rentre. En attendant, pour m'occuper, je regarde si il n'y aurait pas quelque chose à faire dans cette cuisine. Dans le lave-vaisselle, un bol, un verre, deux assiettes et quatre couverts. Ça ne vaut pas le coup de laver tout ça à la main. Au point de vue propreté, tout le reste de la cuisine est nickel, y compris l'intérieur de l'énorme frigo. Dedans, je remarque plusieurs cartons, genre boîte à pâtisserie. Ça vient de chez le meilleur traiteur de la ville. Et deux bouteilles de Champagne, ainsi que du Chablis. Je retourne sur le balcon et je regarde le trafic sur l'avenue et les gens qui circulent aux alentours. Ça finit par me lasser et je rentre à nouveau, cette fois pour regarder la télé, vautré dans le grand canapé.

 

Il n'y a pas cinq minutes que je suis là, à zaper pour trouver un programme intéressant, quand j'entends des bruits de clef et de serrure à la porte de l'appartement. Ah voilà quelqu'un. Sans doute Denis. Un frisson m'électrise la prostate et le bas ventre, et des images de bites en érection s'imposent à mon esprit. Je ne bouge pas. Dans l'entrée, je reconnais la voix de Denis qui s'adresse à quelqu'un, et, aussitôt, un type entre dans le salon, suivi de Denis. La trentaine, pas très grand, un visage ingrat, les cheveux châtains, l'inconnu est littéralement stoppé dans son élan en me découvrant. C'est certainement un des deux types que Denis a recrutés. Alors, lui, c'est un des mecs qui vont me baiser ce soir ? Je me lève. Denis contourne le type mec et me voit à son tour: 

- Tiens, t'es déjà là ! Salut.

- Salut.

- Je te présente Nadir. Nadir, Marin.

- Bon … bonjour.

- Bonjour.

 

Nadir ! C'est un prénom arabe. Ça doit être son collègue. Il est moche, mais pas typé comme Hamid. Dans un coin de ma tête, je constate que, comme beaucoup d'autres avant lui, son physique déplaisant m'est totalement indifférent. Je n'éprouve aucune répulsion, et je sais que je n'aurai aucune réticence à me le taper, à lui sucer la bite, à le laisser me sodomiser. Tout ce qui m'importe, c'est ce qu'il a entre les jambes.  Denis dépose une mallette sur la table en verre, s'approche de moi, et m'embrasse sur les deux joues. Tiens, c'est le premier à me faire ça. Il se tourne vers son collègue:

- Bon, ben reste pas là, Nadir. Serre-lui la main ou embrasse-le. C'est lui que tu vas te taper, mec !

- Oui, oui.

 

Il me tend la main. Je la lui serre et il reste scotché sur place, me déshabillant du regard. Alors, histoire de détendre l'atmosphère et de commencer à entrer dans le vif du sujet, j'emploie le truc qui m'a déjà servi: je m'écarte un peu et je fais un tour sur moi-même, pour qu'il voie en détail dans quoi il va introduire sa queue. Denis se marre:

- Ah dis donc, tu vas mettre le feu aux braguettes, avec cette jupe !

- Elle te plaît ?

- Devine.

 

Il s'approche et me met une main au cul. Il me palpe les fesses à travers la toile.

- Elle a plu aussi à une de tes voisines.

- Ah bon ?

- Oui, je l'ai rencontrée dans le parking et je n'ai pas pu éviter de prendre l'ascenseur avec elle.

- Comment elle est ?

- Petite, brune, elle habite au cinquième, sympa …

 

Il me coupe la parole, tout en me pelotant, en commençant même à me glisser ses doigts sous la jupe:

- Sa place de parking est tout près de l'ascenseur ?

- Exact.

- Je vois qui c'est. Elle t'a dit quelque chose ?

- Elle m'a fait un compliment sur ma jupe.

- Et ?

- Et c'est tout. Elle a bien vu que je suis un trav, mais ça n'a pas eu l'air de la choquer.

- Tu lui as dit où tu allais ?

- Ben non.

- Bon. Enfin, elle, je m'en fous qu'elle sache. C'est pas le genre à faire des ragots. Alors, Nadir, tu le touches, ou tu vas te contenter de le regarder ?

- Je … attends. Il faut que je …

 

Denis ôte sa main de mon cul, saisis la mienne, et me la plaque contre le bas ventre de son pote:

- Vas-y, toi. Commence, il est trop timide.

 

Alors, je palpe le paquet de Nadir. Il est saisi et il ne sait pas où poser son regard, ni quoi faire de ses mains. Avec les miennes, j'explore son entrejambe à travers la toile de son pantalon. Pas énorme, ce qu'il y a là-dedans ! Pour le moment, du moins. J'espère qu'il va grossir et durcir. Denis a récupéré sa mallette et s'est éclipsé vers son bureau. En commençant à glisser une main à l'intérieur du pantalon de Nadir, je lui demande:

- Tu t'es déjà fait un travesti ?

- N… non.

- Un homme, alors ?

- Non plus. C'est … la première fois.

- Tu as envie de me faire quoi ?

- Je … je sais pas. Tu veux que je te fasse quoi ?

- Ah, mais moi, je fais tout ce que tu veux. J'accepte tout sauf la violence, le SM, le scato, enfin, tous ces trucs-là. Autrement, je te masturbe, je te suce, tu me baises dans la position que tu veux … tout ce qui te fait envie. Je suis à ta disposition pour que tu prennes du plaisir et pour que tu tires un coup … ou plusieurs.

 

Bouche bée, yeux ronds, il a écouté, visiblement scotché. Sous son pantalon, il porte un slip moulant en coton. Je glisse aussi ma main dedans. Voilà, je sens sa queue. Toute chaude. Hhhmmmm ! Toute serrée dans ce caleçon, j'ai un peu de mal à la saisir. Délicatement, je la prends dans mes doigts. Elle est encore molle, mais je crois qu'elle commence à gonfler. Il est circoncis et je sens son gland, à nu sous mes doigts. Ah putain, je n'y tiens plus, je veux le prendre dans ma bouche. Tout en palpant sa bite de la main droite, j'entreprends de déboutonner fébrilement son pantalon de la gauche. A force, j'ai acquis à cet exercice une dextérité surprenante. Voilà son zip descendu, les deux pans du pantalon écartés et la ceinture de son slip abaissé sous ses couilles. Je tombe à genoux sur la moquette. Hhhmmmm, quelle merveille ! Je crois que je trouve merveilleuses toutes les nouvelles bites que je découvre. Celle-ci n'est pas très grosse, mais elle est exactement proportionnée. Et puis, elle est toute brune, sauf sur deux centimètres sous le gland, qui sont tout roses. Et son gland ! SON GLAND ! Retroussé, légèrement aplati et élancé, juste comme je les aime ! Je m'approche et j'embrasse sa verge sur toute sa longueur. C'est une véritable friandise, une gourmandise que j'ai maintenant une furieuse envie de goûter, de déguster. Il repousse ma tête, délicatement:

- Attends, attends ! Il faut que je me lave …

 

Ah oui. Maintenant qu'il le dit, je perçois une légère odeur d'urine. Mais à ce détail près, sa bite à l'air toute propre. Alors, basta, j'en ai sucé des plus "sales". J'ouvre la bouche et je le prends. Oh putain  ce que c'est bon ! Chaud, caoutchouteux, vivant. Je ne peux pas retenir un gémissement de plaisir. Sous ma langue, je sens les deux bosses que fait la couronne de son gland, de part et d'autre de son frein. J'adore ça ! Et son urètre, que je sens gonfler au fur et à mesure qu'il grossit dans ma bouche. Ah, ce que c'est bon, de sucer une bite ! Il se laisse faire. Il n'a plus du tout envie d'aller se laver. Contre mon front, je sens qu'il relève le bas de sa chemise. Je lève les yeux. Il me regarde, fasciné. Je lui caresse le ventre d'une main et je glisse l'autre sous ses couilles.

 

- Et ben, mes salauds, vous avez déjà commencé !

 

C'est Denis qui se ramène dans le salon. Il vient à côté de nous, je le vois du coin de l'œil. Il me regarde sucer son collègue, et il commente:

- Alors, Nadir, il est chaud, hein, mon pote …

 

Nadir ne répond pas, mais aux secousses de son ventre, je devine qu'il hoche la tête. Denis insiste:

- Il suce bien, hein …

 

Re-hochement de tête. Je devine un mouvement à côté de moi et, presque aussitôt, je sens une main – une main de Denis, évidemment – se glisser sous mes fesses. Il agrippe le bas de ma jupette, et la retrousse d'un seul mouvement sur mes reins. Hhhmmmm, c'est parti ! J'adore quand ça démarre comme ça, qu'on entre tout de suite dans le vif du sujet, directement, sans préliminaires. J'ai déjà une queue dans la bouche et le Denis commence à m'entreprendre à son tour ! Avant longtemps, j'aurai sa bite dans le cul ! Je le sens qui s'accroupit maintenant à côté de moi, et qui glisse ses doigts dans ma raie en direction de ma rondelle:

- Ça serait une femelle, une vraie femelle, je veux dire, je suis sûr qu'il mouillerait à c't'heure !

 

Tu as raison, sûr que je mouillerais déjà, si j'étais une vraie femelle. Il écarte la ficelle de mon string, pose un doigt sur ma rondelle, sans doute son majeur, et il le bouge légèrement, comme pour m'avertir qu'il va me pénétrer. Il me demande:

- T'es propre ? Tu t'es lavé le cul ?

 

Sans recracher la queue de Nadir, de plus en plus grosse, je hoche la tête aussi vigoureusement que possible: Oui ! Oui ! Oui ! Je me suis lavé le cul ! Tu peux y aller ! Fourre-moi ton doigt ! Et, tant bien que mal, toujours en suçant son pote, j'écarte mes genoux sur la moquette et je me cambre pour faciliter sa pénétration. Vas-y, Denis, doigte-moi le cul ! Denis:

- Regarde-le Nadir, comment il écarte les cuisses et comment il se cambre pour que je lui fourre mes doigts dans le cul ! 

 

Au-dessus de moi, je sens Nadir se pencher un peu pour regarder par dessus mon épaule, Denis qui s'apprête à me doigter. Alors, je passe ma main droite derrière moi, je m'empoigne la fesse et je l'écarte. Ça y est, il enfonce son doigt ! A sec et complètement ! Ah la vache ! C'est rien, un doigt, mais il me fait un effet terrible. L'humidité résiduelle de mon dernier lavement me lubrifie suffisamment pour que ça ne soit que du bonheur. Je gémis de plus belle. Allez-y, les mecs, fourrez-moi tout ce que vous voulez dans mes deux trous, vos doigts, vos bites, vos langues, n'importe quoi ! Il retire son doigt et pendant quelques secondes, il ne passe rien. Mais je suis convaincu qu'il ne va pas s'arrêter là, le Denis. En effet, maintenant, j'entends de légers bruits de succion: il est en train de se mouiller le doigt avec sa salive. Il va encore me le fourrer ! Puis je sens de nouveau sa main sous mes fesses. Oh, putain, il m'en fourre au moins trois, cette fois ! Oh oui ! Il s'installe confortablement, agenouillé derrière moi, un peu sur ma gauche, un genou derrière mon cul et un genou à côté de mon genou gauche. Il plaque sa main gauche contre mon ventre, comme pour me retenir, et il enfonce ses doigts ! Il n'y va pas vraiment en douceur, et il me force le sphincter. Heureusement que j'ai habitué mon cul à ce régime avec des jouets au moins aussi gros. Rapidement, je sens mes muscles se détendre. Denis aussi le sent:

- Tu t'ouvres, hein, ma salope ! Toi, tu as vraiment le cul accueillant ! T'aimes ça, hein, te faire défoncer le fion !

 

Pas la peine de confirmer, il le sent, il le sait. A son souffle, je devine qu'il commence à s'exciter sérieusement. D'ailleurs, je sens qu'il essaie de déboutonner son pantalon de la main gauche., Il doit commencer à bander et à être à l'étroit. Il n'y arrive pas et commence à extraire ses doigts de mon cul, sans doute pour s'aider de la main droite. Alors je tends précipitamment ma main gauche vers son ventre et je le déboutonne d'un seul mouvement. Il se laisse faire, réintroduit ses doigts  dans mon fourreau et descend son zip de la main gauche. A tâtons, je cherche sa queue. La voilà. En effet, il bande et son gland est coincé dans la ceinture de son caleçon. Je le manipule un peu pendant qu'il écarte les pans de son pantalon et abaisse la ceinture de son caleçon. Du bout des doigts, à l'aveugle, j'explore sa bite sur toute sa longueur. Oh, putain, Denis ! Ta bite ! Ta bite ! TA BITE ! Tu vas me baiser ! Je le décalotte et je commence à le masturber. 

 

Et soudain, Nadir recule brutalement son bassin, sortant d'un seul coup sa queue de ma bouche:

- Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaah ! Faut arrêter !

 

De la main, il serre fermement sa verge. Il soupire, il souffle, les yeux braqués sur sa bite. Il est au bord de l'éjaculation. Je tends la main:

- Reviens ! Tu peux jouir dans ma bouche.

- Non, non ! Plus … plus tard. 

 

Et, comme s'il craignait que je lui saute dessus, il s'éloigne de moi, en comprimant toujours sa queue. Ah, dommage ! Denis, ses doigts dans mon cul, s'excite de plus en plus. Alors, je lâche la queue de Denis, je me plie en deux et je pose mes deux mains à plat sur la moquette devant moi, pour une levrette à quatre pattes. Je tourne la tête vers Denis. Je me cambre autant que je peux, telle la femelle réclamant sa saillie:

- Vas-y, mec, baise-moi !

 

Il me sourit, se campe bien sur ses genoux, me pose une main sur les reins, écarte un peu mieux la ficelle de mon string, et … il me remet ses doigts ! Il se met à aller et venir. Ma parole, il n'y en a pas que trois ! Oh putain, il me défonce ! J'ai le sphincter détendu au maximum. J'ai l'impression que s'il y allait un peu plus brutalement, il arriverait à me fourrer sa main entière dans le cul ! Un fist ! Je ne me suis jamais fait fister ! Je n'ai même jamais essayé de trouver un mec avec la main assez fine pour me la rentrer entièrement.

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! On dirait la sonnette à la porte. Denis suspend son ramonage et:

- Nadir ! Who, Nadir, où t'es ? Où il est cet animal ?

 

Nadir ne répond pas. Denis soupire et, en désespoir de cause, il sort ses doigts de mon cul et se lève péniblement:

- C'est l'interphone. Ça doit être Yann. Bon, ben, on reprendra ça plus tard. Fait chier, Nadir !

 

Il se dirige vers l'entrée en remballant plus ou moins sa queue. Je m'assois sur la moquette. J'entends Denis dans l'entrée:

- Oui ?

- C'est Yann !

- Ouais. Je t'ouvre. Quatrième étage. Porte 4F, au bout du couloir.

- Bzzzzzzz !

 

Je l'entends tourner un verrou, entrouvrir sa porte, et il revient:

- Bon, on reprendra tout à l'heure, hein ...

- Comme tu veux.

- Il est où, l'autre animal ?

 

L'autre animal reparaît, sortant de la salle de bain:

- Je … je me suis … lavé. Et rafraîchi.

- Tu m'as pas entendu ? Je t'ai appelé.

- Non.

- C'est Yann qui arrive. Manquera plus que Dominique.

 

Je me lève, je rajuste mon string au fond de ma raie, je palpe ma rondelle pour m'assurer que je ne fuis pas, et je vais m'asseoir dans le canapé. Nadir remarque:

- Dis, Denis, elle est vachement bien, ta salle de bain. Elle est immense.

- Ouais. A l'origine, c'était une chambre, avec la salle de bain juste à côté. J'ai abattu le mur entre les deux. J'avais toujours rêvé d'une salle de bain comme ça. C'est pour ça qu'il y a une porte fenêtre. Elle était dans la chambre.

- Ah ouais. Mais, comment t'as fait pour … tu sais, l'évacuation … au ras du sol …

- T'as pas remarqué ? La salle de bain, elle est plus haute que le reste de l'appart. Il y a une marche pour entrer.

- Ah ouais, c'est vrai.

- On a fait un faux plancher. Toutes les alimentations et les évacuations sont dessous. Et on s'est repiqué sur celles de la salle d'eau d'origine. Il y avait bien un autre système, mais c'était plus compliqué et plus cher. C'est un pote à moi, un pro, qui a fait tout ça.

 

On entend la porte d'entrée s'ouvrir, se refermer, et Yann arrive. Ça y est, je le reconnais. Il doit avoir dans les … vingt-cinq ans, mais il fait très gamin, pas très grand, plutôt fluet, une belle petite gueule, toujours souriant. Lors de mon gangbang, je ne sais pas pourquoi, il m'avait fait l'effet d'être un déconneur. Pas grande gueule, mais toujours prêt à participer aux déconnades des uns et des autres. En effet, chez Jean-Claude, je lui avais fait une turlute, il me semble – complète, avec éjac dans la gorge - et je crois qu'il m'a aussi baisé sur le bar … ou sur la scène. En fait, exception faite de la douzaine de types les plus marquants, comme Sam ou Thierry, parmi les plus discrets de mes étalons, je ne sais plus trop qui m'a fait quoi, ni où. Il serre la main à Denis, qui lui présente Nadir, et:

- Je te présente pas Marin, tu l'as déjà niqué chez Jean-Claude.

 

Comme je fais mine de me lever, Yann me fait un signe de la main:

- Reste assis. Salut, ma poule. Alors, t'es venu te prendre encore quelques coups de bite ?

- Oui, comme tu vois.

 

Denis;

- D'ailleurs, on avait commencé. Plus ou moins. Ça a démarré dès qu'on est arrivés, avec Nadir.

 

Yann, à mon intention:

- T'es encore affamé, alors ?

- Oui.

- Mais là, on va pas être vingt et quelques, comme chez Jean-Claude. Ça va te suffire ? On va être combien, au fait, Denis ?

- Ici, quatre. Seulement quatre ! 

 

Il se marre.

 

Yann:

- Ben, ma poule, faudra faire avec !

- Oui, mais ce sera à vous d'assurer.

 

Il est resté devant moi. Je me redresse, je tends la main, je saisis la ceinture de son pantalon, et je l'attire vers moi:

- D'ailleurs, viens là, toi.

 

Il se laisse faire en souriant. Je m'avance et je colle mon visage sur son bas ventre. Il rit et me prend la tête dans ses mains. Sous mes lèvres, je sens la bosse de son sexe. Je me frotte la bouche dessus en ronronnant. Denis:

- Bon, ben, allez-y, commencez. Moi, je vais préparer l'apéro. Domi ne devrait pas tarder.

 

Pendant que je me frotte la bouche et les joues sur son sexe, je sens que Yann déboutonne son pantalon et descend sa fermeture éclair. Hhhmmmm, il est pressé, il a déjà envie. Tant mieux. Dans quelques secondes, j'aurai sa bite dans la bouche ! Je devine Nadir qui s'assoit sur le canapé à ma gauche. Yann descend son pantalon et son caleçon sur ses genoux. Oh oui ! Je me souviens de sa bite, maintenant. Il bande déjà un peu. Il s'est rasé depuis l'autre jour. Complètement. Il devait avoir tous ses poils, chez Jean-Claude, mais je la reconnais, sa bite. Je le prends directement dans ma bouche et je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ça le fait rire:

- Tu aimes toujours autant ça, hein …

- Il est complètement accro, tu veux dire ..

 

C'est Denis qui revient dans le salon. Je ne le vois pas, derrière Yann, mais j'entends cliqueter des verres. Oui, j'aime toujours autant ça, oui je suis complètement accro. Les sexes des hommes. Leurs organes génitaux. Leur bite, leurs couilles. Leur sperme qui s'écoule, tiède et gluant, dans mon œsophage. Leur semence qui se répand dans mon ventre. Ça me rend dingue. Yann remarque:

- C'est bon pour nous, ça. Avec une folle de bite comme ça, pas besoin de la séduire, pas besoin de lui faire la cour, pas besoin de tourner autour du pot pendant des heures. Même pas besoin de lui payer un restau ou un ciné ! Tu claques des doigts, et aussitôt, elle te suce ou elle te donne son cul ! C'est une bonne fifille, ça madame ! 

 

Ah oui, continue de parler de moi comme ça, pendant que je te suce, j'adore ça ! Ecouter ce genre de discours, ça m'excite, et je le suce de plus en plus fiévreusement. Oui, je suis une fille facile. Oui, je suis une fille docile. Oui, je suis une fille soumise. Oui, je suis une fille soumise à ta bite. Je suis une fille docile et soumise à toutes les bites, en fait ! Je suis une viande à bites ! J'ai l'impression qu'il a compris que ses paroles m'excitent et agissent sur la fébrilité de ma fellation. Et la fébrilité de ma fellation accentue son excitation. Il bande de plus en plus fort et son souffle est de plus en plus rapide et bruyant ! Il poursuit:

- Elle en veut, de la bite, la fifille ? Elle va en avoir, de la bite ! Et pas qu'un peu, hein, espèce de salope ! Elle va tous nous sucer, la gourmande ! Elle veut aussi de la jute ? On va lui en donner de la jute ! Elle va en avaler, de la jute ! 

 

Il me cramponne la tête à deux mains. Denis s'est affalé dans l'angle du canapé, à ma droite. Il a ressorti sa bite, il bande et il se masturbe. Il a une vue directe sur ma fellation. Hhmmmm, je suis en train de faire une turlute à ce mec, avec deux autres types qui me regardent, un à ma droite et un à ma gauche ! C'est tellement bon de sucer ou de se faire baiser devant du monde. Yann se met à souffler rapidement par la bouche, comme  un joggueur pendant l'effort. Je lève les yeux sur lui. Il a la tête rejetée en arrière. Je ne vois pas ses yeux, mais je suis sûr qu'ils sont fermés. Et soudain:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaah ! Puuuuu … taiiiiiiiin !

 

Il jouit . Son sexe est secoué par un violent spasme dans ma bouche et je sens un jet brûlant s'étaler sur ma langue. Ah putain, j'aime ça ! Cet instant où le mec, arrivé au sommet de sa jouissance, lâche sa semence en moi, tranquillement, sans hésitation, sans scrupule … comme une chose naturelle. Et le goût de ce sperme ! Il est chaud, il est suave, il est un peu salé. C'est un nectar dont je ne peux plus me passer. Encore, j'en veux encore ! Un nouveau jet. Je déglutis et je sens cette crème fabuleuse s'écouler dans ma gorge. Ça me rend dingue, un mec qui jouit dans ma bouche ! Il continue de se répandre sur ma langue, jusque dans ma gorge. Je gémis de plaisir, je gémis d'excitation, je gémis de bonheur ! Je voudrais sucer des dizaines de queues, les faire jouir et me faire remplir la bouche et l'estomac de sperme jusqu'à l'écœurement. Tout le corps de Yann est secoué par cet orgasme et il bouge spasmodiquement son bassin d'avant en arrière. Et brusquement il sort sa queue de ma bouche et:

- Arrête, arrête, arrête ! Wouhouhouuuuuuuuu !

 

Il s'écarte de moi, empoigne sa queue et la presse:

- Ah, la vaaaaaaache ! Comment elle m'a pompé !

 

Il se marre. J'avale ce qu'il m'a répandu sur la langue et je m'affale contre le dossier du canapé. Je soulève le bas de ma jupe et j'extrais ma queue de mon micro-string où elle commençait à être à 'étroit. Yann me fixe:

- Ça t'excite, hein, de te faire juter dans la bouche. T'as tout avalé ?

- Oui.

 

Je baille pour lui montrer. Il se marre encore. Les deux autres aussi. Je les regarde alternativement:

- Venez, vous deux. Je vous fais pareil !

 

Je tends la main vers Nadir:

- Allez, viens, toi !

- Non, non. Plus tard.

 

Prudemment, il s'écarte.

- Denis, viens ! Donne-moi ta bite !

 

Ah oui, il se lève et s'approche. 

 

Ding ! Dooooong ! La sonnette dans l'entrée, cette fois.

 

Tandis qu'il vient se placer face à moi, Denis lance à Yann:

- Tu peux aller ouvrir, Yann ? C'est sûrement Dominique.

 

Je saisis sa queue, j'approche mon visage et je me passe son gland partout sur la figure en ronronnant, lui donnant, de temps à autre, de petits coups de langue. Oh la la, je suis fou de leurs bites ! Toi aussi, je vais te faire jouir ! Je le prends dans ma bouche et je commence à le lécher, à le sucer, à le téter, à le mordiller, à le mâchouiller, je lui titille le gland du bout de la langue … je le sors de ma bouche et je lui lèche les couilles, avant de le reprendre.

 

- Salut Denis !

 

Je sens Denis se tourner légèrement vers l'entrée de la pièce:

- Salut, Domi !

- Ah, t'es déjà en mains !

- "En mains", pas vraiment. Plutôt en bouche, comme tu vois.

 

Je sens que, d'une main, il soulève sa chemise. Il pose l'autre sur ma tête:

- Bon, ben … Dominique, j'te présente Marin. Continue, toi. 

 

Oui, oui, je continue. Je n'avais pas l'intention de m'interrompre pour saluer le nouveau venu. Il poursuit les présentations:

- Celui qui t'a ouvert, c'est Yann …

- Oui, on s'est présentés.

- Yann, il était du gangbang dont je t'ai parlé.

- Ah, OK. Et lui, qui te suce, c'est Marin, c'est lui que vous avez baisé, à ce gangbang ?

- Voilà, et c'est lui que tu vas baiser ce soir. Et lui, là, c'est Nadir, un collègue de travail.

- Salut Nadir.

- Bonjour.

 

Domi s'est approché, a serré la main à Nadir. Denis:

- Tiens, Domi, sors ta queue et viens prendre ma place. 

- Déjà ? Je lui ai même pas dit bonjour.

- T'inquiète ! Crois-moi, il préfère te sucer que te dire bonjour. Demande à Yann. Dès qu'il a été là, il lui a sauté au paf pour lui faire une turlute. 

 

Comme je ralentis ma fellation pour me préparer à accueillir la bite du nouveau venu, Denis me presse l'arrière de la tête:

- Continue, toi, en attendant. 

 

A ma gauche, j'entends le bruit d'un zip qu'on descend et de tissu qu'on froisse. En une fraction de seconde, Denis extrait sa queue de ma bouche, et une autre se présente à moi. Je n'ai même pas le temps de voir à quoi elle ressemble. Domi me l'a tout de suite collée contre les lèvres. J'ouvre la bouche, je la prends et je passe mes mains derrière ses cuisses. Denis:

- Tu vois ? Qu'est-ce que je te disais ! 

 

Hhhmmmm, ça, ça me plaît ! Commencer à tailler une pipe à un mec que je n'ai même pas encore vu ! Je lève les yeux sur lui. De dessous, comme ça, je ne vois pas grand chose. Il est brun, et il a sans doute une belle gueule. On verra tout à l'heure. Il ne bande pas et il m'a fourré sa queue encore calottée. J'aime bien. Un bite encore molle, le gland encore dans son prépuce, c'est un régal. La tiédeur humide de ma bouche lui fait tout de suite de l'effet, et je le sens s'allonger et grossir sur ma langue. Il remarque:

- Ben dis donc, t'es pas farouche, toi !

 

Denis confirme:

- T'as même pas idée à quel point, il est pas farouche ! Pour te dire, le jour du gangbang, sur une trentaine de types qui étaient là pour le baiser, il en connaissait … hein, chérie, t'en connaissais combien, des mecs du gangbang ?

 

Je tends la main, pouce et index levés: deux ! J'en connaissais deux: Philippe et Jean-Claude ! Et encore, pas depuis longtemps.

 

- Tu vois ? Deux ! Ça l'a pas empêché de se faire sauter par tout le monde. Y'a des moments, je suis sûr qu'il savait même pas qui c'est qu'était en train de l'enculer ! Ça y allait, à la chaîne, les uns derrière les autres !

 

Je sens son gland se décalotter peu à peu entre ma langue et mon palais. Rapidement, il est raide, Dominique. Il bande vraiment. Et j'ai l'impression qu'elle est pas mal, sa bite. Sans doute recourbée vers le haut. A tâtons, je cherche ses mains. Les voilà, posées sur ses hanches. Il retient son pantalon pour l'empêcher de tomber sur ses pieds. Je les saisis. Il hésite et se laisse faire. Je les attire sur ma tête. Denis se marre:

- Regarde-le ! Ça, tu vois, Dominique, tes mains sur sa tête, c'est un signe de soumission.

 

Ça a l'air de lui plaire, à Dominique. Il me caresse le crâne et, de lui-même, il passe une de ses mains derrière ma nuque. Encore mieux ! Tout en me serrant l'arrière du cou, il commence à bouger imperceptiblement son bassin en fléchissant les genoux. Peu à peu, son mouvement s'amplifie, il commence à aller et venir:

- Hum, c'est bon, ça !

 

Il a dit ça entre ses dents serrées. Son gland me frotte le palais et je sens, sur ma langue, la bosse de son urètre. 

 

- Tu peux lui juter dans la bouche, hein, Domi. Il aime ça.

 

C'est Denis qui commente, tout en continuant à préparer l'apéro sur la table basse derrière Dominique.

 

- Moi, je viens de lui faire !

 

C'est Yann, cette fois. Je m'aperçois qu'il s'est assis où était Denis tout à l'heure. Il poursuit:

- Pareil, il m'a sucé dès que je suis arrivé. Et je lui ai tiré une cartouche ! Dans la bouche. Et il a tout avalé, hein.

- Moi aussi, il m'a sucé tout de suite quand je suis arrivé. Mais moi, je n'ai pas … joui.

 

Nadir, cette fois. Dominique desserre son étreinte sur ma nuque et extrait doucement sa bite de ma bouche:

- Ouais, c'est très bien tout ça ! Moi, je vais attendre un peu, avant de lui tirer une cartouche. On va s'amuser un peu, avant.

 

Il remballe sa bite, referme son pantalon, et me tend la main:

- Bon, ben … bonjour quand même, Marin. Enchanté.

- Bonjour. Moi aussi, enchanté.

 

Je lui serre la main. En effet, il est pas mal, ce mec. Denis:

- Bon, on boit un coup ? Assieds-toi, Domi.

 

Dominique s'écarte et je m'aperçois que Denis a sorti le grand jeu: 

- Champagne pour tout le monde ?

 

Yann et Dominique acquiescent. Mais Nadir:

- Non, pas moi.

 

Denis:

- Ah ouais, c'est vrai. T'es musulman ? Excuse-moi, je … je pensais pas.

- Ah non, c'est pas ça, je pratique pas. Mais je supporte pas le Champagne. T'as pas un whisky ?

- Si. 

 

On commence à boire. On discute. Denis et Yann racontent notre gangbang à Nadir et Dominique. Il me font raconter mon aventure à l'hôtel avec les huit blacks. J'en profite pour parler de mes paumés de L.F. Je remarque que Dominique, assis dans le fauteuil en face de moi, reluque sans arrêt mon entrejambe. Il faut dire que, vautré comme je le suis dans ce canapé, ma jupe remontée à l'angle de mes cuisses, je ne lui cache rien de mon intimité. Quand j'avais débandé, j'avais remballé tant bien que mal ma bite dans mon micro string rose. Je crois que c'est cette tache fluo entre mes cuisses qui attire irrésistiblement son attention. Alors, je m'amuse à écarter et resserrer les cuisses en guettant ses réactions. Quand la première bouteille de Champagne est terminée, Denis se lève, et:

- Je vais commencer à m'occuper de la bouffe. Yann, il y a une autre bouteille de Champ, dans le frigo. Tu veux bien t'en occuper ?

 

Les voilà partis. Je me lève aussi et tout en rabattant comme je peux ma jupe sur mes fesses, je rejoins Denis:

- Je peux t'aider ?

- Si tu veux. Tiens, t'as qu'à mettre ces trucs-là dans ce plat.

 

Il a sorti du frigo une des boîtes du traiteur qu'il pose sur l'îlot central. J'ouvre le carton et je commence à disposer une multitude de minuscules soufflés sur le plat en faïence. Je tourne le dos au salon, où Yann a rejoint Dominique et Nadir. Alors, ce n'est qu'en voyant Denis sourire en regardant derrière moi, que je devine qu'il se passe quelque chose. Je n'ai pas le temps de me retourner pour voir de quoi il s'agit, des mains se posent sur mes hanches et un corps se plaque contre moi, me coinçant contre le meuble. Un souffle dans mon cou:

- Bouge pas !

 

Il se frotte le bas ventre contre mes fesses en me caressant les hanches, les fesses et la taille. Je tourne un peu la tête. C'est Dominique. Il a posé ses lèvres dans l'angle de mon cou et de mon épaule. Sa main droite descend le long de ma cuisse, se glisse sous ma jupe et commence à me pétrir la fesse. Il se décolle un peu de moi, et se met à m'explorer la raie. Ses doigts s'aventurent maintenant vers ma fleur, sous la ficelle de mon string. Tant bien que mal, j'écarte les jambes pour lui faciliter son exploration. Ah, voilà ! Comme Denis tout à l'heure, il a posé son doigt contre ma rondelle. Oh oui, il va me doigter ! Hhhmmmm, ça y est, il me pénètre. Je ne peux retenir un gémissement et j'écarte encore mes cuisses, mes fesses, je me cambre pour me livrer à sa pénétration. Son doigt qui va et vient en moi me fait un effet terrible. Denis me regarde en souriant, tend la main vers le carton de soufflés et vers le plat, que je tiens toujours:

- Donne-moi ça, je vais finir. Tu vois, je PENSE qu'il va t'enculer.

 

Dominique sort son doigt de mon cul. Toujours en me maintenant contre le meuble, je sens qu'il ouvre sa braguette et descend son pantalon sur ses cuisses. Puis il retrousse ma jupe, m'appuie entre les omoplates pour que je couche mon torse sur l'îlot, passe sa main droite sous mon genou droit, le soulève fermement, mais délicatement, et me le fait poser sur le plan de travail. Ah oui ! Il va me baiser là-dessus, comme les mecs, l'autre jour, sur le bar chez Jean-Claude ! Je pose ma joue sur le bois lisse et j'attends. Je le sens qui écarte la ficelle de mon string, qui guide sa queue, et il pose doucement son gland contre ma rondelle. Hhhmmmm ! J'ai l'impression qu'elle s'ouvre toute seule pour accueillir son sexe ! Et il s'enfonce en moi. Ah, putain, ça y est, j'ai une bite dans le cul ! Oh, oui, baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi !

- Oui ! Baise-moi ! BAISE-MOI, DOMINIQUE !

 

J'ai presque crié. Sa main gauche sur ma hanche, sa main droite qui maintient mon genou sur le plan de travail, il se recule et me rentre brusquement dedans. Boum !

 

En levant les yeux vers Denis, je m'aperçois qu'au lieu de finir de mettre les soufflés dans le plat, il me regarde, un petit sourire aux lèvres. 

 

Boum ! Nouveau coup de bite. Tiens, voilà Yann, une flûte de Champagne à la main, qui vient assister au spectacle.

 

Boum ! Coup de bite. Ah, putain ! Ce que j'aime ça ! Vas-y, encule-moi !

- Vas-y, Domi, ENCULE-MOI, putain ! Encule-moi ! ENCUULE-MOIIIIII !

 

Yann pouffe. Denis rigole plus franchement. Boum ! 

 

Riez, riez, je m'en fous ! Ça me plaît de me laisser aller sans pudeur et sans retenue devant vous ! Au contraire. J'aime la bite et je tiens à le faire savoir ! La main gauche accrochée au bord de l'évier, la main droite agrippée au col de cygne du robinet, j'attends le coup de queue suivant, ce sexe en érection qui se propulse violemment tout au fond de moi. Je le sens coulisser d'un seul coup dans mon anus, et ressortir en glissant lentement. Un mâle, un mâle de plus s'est accouplé avec moi, et il se donne du plaisir, et il ME donne du plaisir ! Boum !

 

Yann s'accoude sur le plan de travail, les mains croisées sous son menton, et me regarde. Ce n'est pas notre coït qui l'intéresse. C'est mes réactions. Bouche ouverte, mes yeux dans les siens, je halète sans pudeur sous l'effet du plaisir que me procure cette queue dans mon cul. Boum !

 

Nadir, à présent, à côté de Yann. Je jette un coup d'œil à Denis, pour m'assurer qu'il me regarde toujours. Ils sont maintenant trois, autour de ce meuble, qui me regardent me faire baiser. Oui, les mecs, voyez comme je me soumets à votre pote qui me baise ! Et je me soumettrai à vous aussi quand vous me baiserez ! Oui, je suis accro à la bite ! Regardez comme sa bite me rend dingue ! Vous me feriez faire n'importe quoi pour de la bite ! Boum !

 

Et voilà Yann qui approche une main de moi … de ma bouche. Poing serré, il me présente son pouce et commence à l'introduire entre mes lèvres … Boum !

 

Je referme ma bouche sur ce pouce et je commence à le sucer. Hhhmmmm, oui, ce n'est qu'un pouce, mais ça me plaît. Boum !

 

Yann joue à faire aller et venir son pouce dans ma bouche. C'est excitant et je sens que ça l'excite aussi. Boum !

 

Vas-y, Domi, maintenant, jouis ! Insémine-moi !

 

- Quelqu'un veut continuer ?

 

Ah, putain, NOOOOOON ! C'est Dominique qui demande aux autres ! Continue, Dominique. Je recrache le pouce de Yann:

- Toi, continue Dominique. BAISE-MOI !

 

Il rit:

- Non. C'est tout pour le moment. Alors, quelqu'un d'autre ? Denis ? Yann ? Nadir ?

 

La suite en cliquant ici: Chez Denis 2ème partie

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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