Jeudi 13 octobre 2016 4 13 /10 /Oct /2016 01:00

Je ne suis pas vraiment fan des collants, auxquels je préfère nettement les bas avec porte-jarretelles (questions d'esthétique et d'accessibilité à ma queue et à mon cul).

 

Je ne suis pas fan des collants, sauf ... des collants résilles.

 

Ma queue dans la résille 003a

 

Sur le plan esthétique, je trouve que les motifs que dessinent les lignes entrecroisées de la résille accentuent et mettent en relief les courbes du cul, des cuisses et des mollets. Un peu comme font les courbes de niveaux sur une carte topographique. Mais en plus sexy !

 

Et sur le plan sensuel, alors là, se tripoter dans de la résille, c'est vraiment top. A travers les trou-trous de la résille, les doigts sentent la peau du sexe ou des fesses, et réciproquement, la bite et le cul sentent le contact des doigts.

 

Ma queue dans la résille 003a

 

Bref, j'adore me caresser, me frotter, me tripoter dans la résille.

Dans cette vidéo, d'abord séance sur mon lit avec un de mes collants perso, puis dans le lit de Marie-Claire avec un de ses collants.

 

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs de la bite - Communauté : Homme en lingerie féminin
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Lundi 10 octobre 2016 1 10 /10 /Oct /2016 01:00

Je continue d'utiliser comme jouet anal, tout ce qui est en rapport avec les corvées ménagères ...

 

Déjà, les quatres pieds d'une table à repasser:

 

La-fee-du-logis-003.png

 

Ensuite, l'anneau d'un valet de cheminée (vous savez, c'est l'ensemble des outils qui servent dans une cheminée: pince, crochet, balayette, pelle) et enfin le manche d'une ventouse en caoutchouc ...

 


 

 

Les précédentes vidéos en cliquant sur ça:

La fée du logis 001 La fée du logis 002

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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Vendredi 7 octobre 2016 5 07 /10 /Oct /2016 01:10

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Gégé m'entraîne dans la cuisine:

- Grimpe sur la table et fous toi sur le dos.


J'ai bien fait de récurer la table à fond au moment de la vaisselle. Je me contente donc de déplacer les plats sales sur la gazinière, et je m'assois sur le formica pendant que Gégé retire son blouson, qu'il n'avait pas quitté pendant le repas. Il le lance dans le salon et se place devant moi pour ôter son jean et son caleçon qui prennent le même chemin. Quand c'est fait, il s'approche jusque entre mes jambes. Je sens son haleine alcoolisée et je vois qu'il a l'œil trouble et humide du type bourré. Je regarde sa queue. Il bande déjà et son gland essaie de sortir tout seul de son prépuce. Je me penche un peu, je saisis sa bite et je commence à le masturber. Il se laisse faire, et son visage tout près du mien, il me souffle: 

- J'vais encore t'baiser.


Pendant une fraction de seconde j'ai l'impression qu'il est prêt à me rouler une pelle. Mais non, il se reprend. Tant mieux. Autant j'ai aimé quand je ne sais plus qui m'a roulé un palot samedi dernier, autant lui, surtout dans l'état où il est … beurkkk ! Il poursuit:

- Allonge-toi.

- Attends, Gégé ! Hé, Robert ! Tu veux par regarder dans mon sac, il y a le tube de lubrifiant, tu sais, celui que tu as utilisé, ce matin. 


Je commence par m'appuyer des deux coudes sur le formica. Gégé me prends sous les genoux et les soulève. Je bascule complètement sur le dos. Vu l'étroitesse de la table, d'un côté, j'ai le cul au bord et, de l'autre, la tête dans le vide. Je me redresse sur les coudes:

- Attends. Pas comme ça. Dans l'autre sens, sur la table. Là, j'ai la tête dans le vide.


Il passe ses mains sous mon cul et, d'un seul mouvement, il me fait pivoter à 90°. Il m'étonne, ce gringalet, d'avoir réussi à me bouger de cette façon. Voilà, comme ça, je serai mieux. Robert pose le lubrifiant sur la table et va s'adosser contre le mur à côté de la porte du salon. Diego aussi s'est levé et nous regarde depuis le salon, l'épaule appuyée contre le chambranle de la porte. Gégé dresse mes cuisses à la verticale et les écarte:

- Garde tes jambes en l'air.


Je tends les bras et je m'empoigne les cuisses à hauteur des genoux. Il attrape le lubrifiant, j'entends le bruit mouillé que fait le gel en sortant, et je sens qu'il m'en enduit le cul et me rentre deux ou trois doigts. Il commente:

- C'est bien … t'es une bonne fille. T'es contente, hein, que Gégé y va t'en foutre un bon coup dans l'cul … Gégé, y va t'baiser, Gégé, y va t'défoncer … 


Je lui souris. De lui, je ne vois rien en dessous de son abdomen, mais à ses gestes et à son regard braqué sur son entrejambe, je devine qu'il est en train de se décalotter. Il lance:

- Hé, les mecs, v'nez voir comment j'vais la démonter, c'te salope !


Il doit être bien bourré, parce qu'il a crié comme si il les croyait encore au salon. Il n'a pas encore remarqué que Robert et Diego sont déjà là. Diego:

- On voit, mec, on voit.


Gégé tourne la tête, les découvre, sourit et pose une main sur le dessus de ma cuisse, au niveau de mon genou:

- Maint'nant, j'vais t'enfiler !


Il guide son sexe et je le sens le plaquer contre ma rondelle. Il pousse et, d'un seul coup, il entre. Hhhmmm, ça y est, il est en moi ! Il me baise avec cet organe monstrueux, avec ce sexe … bestial ! Ses deux mains sur mes genoux, il commence à aller et venir. Oh, putain, ce que c'est bon de se faire baiser comme ça, sur cette table de cuisine et sous le regard de ces deux mecs … non, de ces trois mecs: Cricri vient d'apparaître à côté de Diego. Finalement, venir ici pour me taper le gros Robert, c'était vraiment un pis aller, faute de mieux, mais au final, je me fais troncher par quatre mecs ! Oh, c'est pas des flèches, ces mecs ! Tous les quatre c'est des paumés, ni beaux, ni bien montés, et, qui plus est, pas de première jeunesse pour trois d'entre eux. Mais justement, c'est parce qu'ils ne sont ni jeunes, ni beaux, ni bien montés qu'ils étaient en manque et qu'ils sont bien contents que je mette mon cul à leur disposition pour se soulager. Jambes en l'air, comme ça, je ne suis pas très bien:

- Attends, Gégé, je vais mettre mes jambes derrière toi.


Il plaque son ventre tout contre mes fesses, et s'immobilise pour me laisser faire. Je passe mes jambes de part et d'autre de son torse et je croise mes chevilles derrière ses reins. Il en profite pour ôter sa chemise. Le voilà complètement à poil. Il me prend par les hanches et il recommence à me bourrer. Il me regarde intensément. Il veut voir quel effet il me fait. De l'effet, il m'en fait, je n'ai pas besoin de simuler. Déjà, rien que de me prendre sur cette table de cuisine, et sous les yeux de ses potes, j'adore. Et comme ça, sur le dos, face à face, hhmmmm ! Me faire prendre en levrette, c'est le pied, mais regarder dans les yeux le mec qui m'encule, c'est aussi très excitant. D'abord parce que je peux voir ses réactions à lui, le plaisir qui le gagne, l'excitation qui monte et qui lui fait perdre le contrôle. Mais j'aime ça aussi parce que, en m'abandonnant au plaisir qu'il me donne, et en le lui montrant, je me mets en quelque sorte à sa merci, et j'ai davantage l'impression de lui appartenir. Lui, le Gégé, ce n'est pas une flèche. Bien que plus petit que moi, pas costaud et plutôt moche, je me serais de toute façon fait baiser par lui, maintenant que j'ai résolu de me faire grimper par tous les mâles qui en auront envie. Mais lui, sa bite bizarre, monstrueuse, inhumaine, me rend dingue. C'est comme si je me faisais saillir par je ne sais quel animal, par je ne sais quel monstre, par je ne sais quelle créature extraterrestre. Je me cambre pour faciliter sa pénétration et je halète sous l'effet du plaisir que me donne la bizarrerie qui me fouille les chairs.


Je voudrais bien voir sa bite qui entre et sort de mon cul. Alors, j'essaie de me redresser, et tant bien que mal, je m'appuie sur un coude. Mais je ne vois pas. Tout au plus, j'aperçois la base de sa queue quand il sort un peu de mon cul. Je tends la main, je la pose sur son ventre et je la glisse entre mon cul et son pubis. Je sens maintenant sous mes doigts sa verge coulisser en entrant et en sortant de mon cul. Il regarde ma main, il me regarde, les yeux grands ouverts, la bouche béante. Je halète et ça part tout seul:


- Ah oui, Gégé ! Baise-moi ! BAISE-MOI ! BAISE-MOIIIII !!!! 

- Ah putain, quelle saloooope !


Je regarde les trois autres, là, à l'entrée de la cuisine. Eux aussi sont gagnés par l'excitation. Robert a de nouveau la main dans son pantalon et il se branle. Diego, lui, a ouvert sa braguette et sorti sa queue qu'il pétrit mécaniquement en nous contemplant. Cricri a déboutonné son pantalon, descendu son zip et il se secoue la bite sans vergogne. Putain, tous les trois, ils savent qu'après Gégé, c'est eux qui vont venir s'installer entre mes cuisses, qui vont introduire leur bite en moi et qui vont me baiser chacun leur tour sur cette table ! Là, ils anticipent les sensations de leurs queues dans mon fourreau.


- Qui c'est qui veut s'le faire ?


C'est Gégé qui m'offre aux autres. Il a joui ? Je ne m'en suis même pas rendu compte !


- T'as pris ton pied, mec ?


C'est Diego qui s'étonne aussi. Gégé:

- Nan, pas encore. Mais j'te l'passe, si tu l'veux. J'me finirai après.


Diego quitte son chambranle de porte et s'avance:

- Bon, vas-y, passe-le moi. Mais avant, j'me déloque.


Ah, yessss ! « Passe-le moi ! ». J'adore quand les mecs me traitent comme je ne sais quelle poupée gonflable ou je ne sais quel bout de viande ! Gégé ralentit son va et vient et me dévisage:

- On va tous te défoncer, chérie. L'un après l'autre. 


Je hoche la tête vigoureusement:

- Oui, défoncez-moi ! Baisez-moi tous les quatre !

 

Diego, la bite raide qui dépasse de sa braguette, me regarde tout en déboutonnant sa chemise. Je ne quitte pas sa queue des yeux. Il ne s'est pas encore décalotté, et je vois du fluide translucide briller autour de son méat. Il est super excité et dans un instant, c'est cette bite déjà baveuse d'excitation qui va venir s'introduire dans mon cul. Gégé continue d'aller et venir en regardant, lui aussi, Diego se déshabiller. Celui-ci, les yeux toujours braqués sur moi, ôte sa chemise, la plie consciencieusement et va la poser dans le salon. Il revient, la bite toujours raide, et, en continuant de me fixer, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures et ôte son pantalon et son caleçon. Dans ses yeux, je lis « toi, tu vas voir ce que je vais te foutre dans le cul ! ». Maintenant complètement à poil, la bite raide, tendue à l'horizontale, il plie aussi soigneusement ses vêtements et va les déposer je ne sais où dans le salon. Il revient, s'approche de nous, sa quéquette fermement serrée dans sa main, se place à côté de Gégé et pose son autre main sur mon genou:

- Vas-y, passe-le moi !


Lui, jusqu'ici si posé, a dit ça mâchoire contractée, avec une espèce de violence à peine contenue. Gégé, un sourire mi narquois mi sadique au coin de la bouche, me fout encore deux ou trois coups de bite, puis m'écarte les genoux pour dénouer mes mollets d'autour de son torse. Dans un bruit de mouillé, il extrait précautionneusement sa queue de mon cul et se recule, cédant la place à son pote. Je remets mes jambes en l'air, les cuisses à la verticale. Diego se positionne devant moi, plante son regard dans le mien. Ses yeux me disent « Je vais t'enculer ! Je vais te baiser ! ». Avec les miens, je m'efforce de lui répondre « Oui, encule-moi, baise-moi et féconde-moi ! ». De sa main gauche, il maintient ma cuisse, et de la droite, il guide sa queue. Oh, ça y est, je la sens qui effleure ma rondelle … qui entre doucement dans mon anus … Il lâche son sexe, et, des deux mains, il noue à son tour mes mollets autour de son torse. Et il s'enfonce en moi … lentement, en surveillant mes réactions. Je me cambre, la nuque cassée en arrière, la bouche béante. Je halète, je gémis ! Oh putain, j'aime tellement cet instant où un mec enfonce son sexe en moi ! Là, je pense qu'en me pénétrant, le sien se décalotte, que son gland s'épanouit dans la tiédeur humide de mon rectum. Oh, vas-y, Diego, fais-toi du bien en le frottant dans le velours de mes chairs ! 


- Robert ! Tu veux pas lui mettre un coussin ou un oreiller sous la tête ?


Il est planté au fond de moi et, immobile, il me caresse les cuisses et les hanches en attendant que Robert ramène ce qu'il lui a demandé. Ce n'est pas une caresse de tendresse, c'est la caresse du maquignon qui jauge la qualité de la viande du bestiau qu'il veut acheter. 

- Je veux que tu me regardes pendant que je te baiserai !


Docile, je hoche la tête: « Oui, je te regarderai ». En me tordant le cou, je remarque que Gégé est derrière moi, les fesses appuyées contre l'évier, et qu'il se pétrit la queue. Cricri est entré dans la cuisine quand Robert a passé la porte pour aller dans le salon, et il est en train d'ôter ses tennis, sûrement pour se foutre à poil à son tour. Robert revient du salon avec un gros coussin en mousse qui devait servir d'assise à un fauteuil:

- Ça va, ça, Diego ?

- Ouais. Mets-lui sous la tête.


Je me soulève comme je peux et Robert me glisse l'épais coussin sous les épaules et la tête. Je remarque alors que sa bite tend la toile de son pantalon. Il bande à mort. Au moment où il s'apprête à s'éloigner, je lui attrape la verge. Il s'immobilise et attend. Je le masturbe un peu à travers la toile de son survêt, et, levant les yeux vers lui:

- Déshabille-toi aussi !


Je le lâche et je le suis des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse dans le salon. A son air, je suis sûr qu'il va le faire. Il va aussi se foutre à poil. Cricri, ça y est, il est à poil, et lui aussi, il bande. Rhooo, putain, ils vont me fourrer tous les quatre à tour de rôle ! J'entends Robert qui discute avec Jean-Louis dans le salon, mais je ne comprends pas ce qu'ils disent. 


- Regarde moi, maintenant !


C'est Diego. Entre temps, il a passé ses deux mains sous mes reins, et il m'a un peu soulevé, comme pour me cambrer. Pour son gabarit, il est étonnamment costaud. Je croise mes mains sous ma nuque, et il commence à aller et venir en moi. Chacune de ses pénétrations m'arrache un halètement de plaisir « Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! ». Il me fait jouir et ça lui plaît. Je vois ses mâchoires se contracter. Il respire par la bouche entre ses dents serrées. Il baisse les yeux et regarde sa bite entrer et sortir de mon cul. A la manière dont il contemple notre coït, je pense qu'il établit mentalement le lien entre ce que ses yeux voient et les sensations de son gland qui me fouille les entrailles. De temps à autres, il lève les yeux sur moi, et les laisse braqués sur les miens pendant un moment. Ce n'est pas seulement pour vérifier que je le regarde bien me baiser. Non, en même temps, la lueur froide, dédaigneuse, presque méchante de son regard me fait passer un message silencieux: « Il te fait jouir, hein, le Diego ! T'es qu'une paillasse, t'es que de la viande à bites, t'es qu'une vide-couilles ! ». Et il reporte ses yeux sur notre accouplement. Soudain, je sens ses doigts se crisper dans le gras de mes hanches et il se met à aspirer et souffler de plus en plus fort entre ses dents en me postillonnant sur ventre.

- Fffffff ! Putain, j'vais jouir ! Fffffff ! J'vous préviens, les mecs … ffffffff … j'vais lui tirer dans l'cul ! 

 

Ah oui, vas-y ! Féconde-moi ! Il va me remplir de sperme, alors je ne peux réprimer un gémissement d'impatience qui se transforme en un long couinement de plaisir:

« AaaahaaaAAahhAAAaaaahhhaaaAAAhhhaaahhhAAAhhh ! Oui ! Oui ! Oui ! ».


- Ouais ! Vas-y, Diego ! Baise-la, c'te salope ! R'garde-la comme elle aime ça !


C'est encore Gégé, derrière moi.


- Ffffff ! Ouais, mais j'ai pas mis d'capote, les mecs ! Ffffff !

- J'm'en fous ! Vas-y, jute lui dans l'fion ! Moi aussi, j'vais lui tirer dans l'cul !

- Fffffff ! Rââââhhhh, putain ! Ffffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff …


Ça y est, je crois qu'il jouit ! J'entends de plus en plus de bruits mouillés du côté de mon cul. Sa bite doit être en train de me répandre sa semence dans le ventre et de la touiller. Ah oui ! Ah oui ! Ah oui ! J'imagine son gland qui déverse des jets de sperme dans mon ventre. Les abdominaux contractés, il redouble de coups de bite, les yeux braqués sur mon entrejambe. Enfin, essoufflé, il ralentit, desserre les mâchoires et me regarde en continuant à aller et venir lentement:

- J't'ai baisé ! J't'ai tiré dans l'cul !

- Oh oui, je sais.

- Ça t'plaît, hein …

- Ah oui !

- Faut que t'ailles te laver l'cul, maintenant.


Je me tords de nouveau le cou pour regarder Gégé:

- Gégé, faut que j'aille me laver le cul ?


Il décolle ses fesses du bord de l'évier d'où il assistait au spectacle. Il bande toujours, son gland bizarre est tout rouge et tout gonflé:

- Nan.

- Tu vas me baiser dans la jute de Diego ?

- Ouais. J'm'en fous.


Ah, tant mieux ! Je n'ai pas envie de casser l'ambiance en allant me laver entre deux coïts. J'ai envie qu'ils me baisent tous les quatre à la chaîne, qu'ils me remplissent de sperme. Je me tourne vers la porte de communication avec le salon. Robert s'est aussi mis à poil et s'est de nouveau adossé au mur. Il serre fermement sa queue et fait aller lentement sa main sur sa verge. Cricri, lui aussi à poil, se tripote, adossé au chambranle de la porte. Et dans l'encadrement de la porte … Jean-Louis ! La curiosité a été la plus forte, et il est venu voir ce qui se passe. Instinctivement, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Mais je ne vois pas si il bande, lui aussi. En tout cas, il ne se tripote pas. Diego continue d'aller et venir mécaniquement en moi. Je lance à Robert et Cricri:

- Et vous, là ? Vous aussi, vous voudrez bien me baiser dans la jute de votre pote ? 


Robert:

- Moi aussi, j'm'en fous !


Cricri, hilare, hoche la tête frénétiquement « Oui, oui, j'te baiserai aussi comme ça ! »


Yessss ! Ils vont m'inséminer tous les quatre à la chaîne ! Ça m'excite et ça me touche aussi, d'une certaine façon. Voilà des mecs dont l'essentiel de la sexualité, jusqu'à présent, consistait en branlettes, et qui, dans la même journée, non seulement se voient offrir spontanément et gracieusement de baiser à volonté un travelo, mais, en plus, tombent sans aucune réticence ni retenue dans la dépravation la plus obscène, la plus immorale, la plus bestiale. Parce qu'il faut bien reconnaître qu'accepter de tremper sa bite dans le sperme d'autres mecs n'est sans doute pas évident, quand bien même il s'agirait de copains. Bien des queutards expérimentés s'y refuseraient sans doute, par dégoût ou par précaution. Ça en dit long sur l'état d'excitation de ces quatre paumés. Franchement, je n'en espérait pas tant de leur part. 


Ah, putain ! Il y a deux jours, c'est une trentaine de mecs à poil que j'avais à ma disposition pour me faire féconder, mais ces quatre là, aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, ça me plaît tout autant ! Avant-hier, je ne connaissais pas davantage la trentaine d'étalons venus me baiser, mais c'était un truc prévu, programmé, organisé. Alors qu'aujourd'hui, Robert mis à part, les trois autres, c'est vraiment une rencontre de hasard, imprévue, inattendue, inespérée, et ça m'excite !  


- Bon, alors, venez ! Allez, Robert, viens me baiser.


Diego se retire lentement pendant que Robert approche. Je sens quelque chose de tiède s'écouler entre mes fesses. Diego "me passe" à Robert comme Gégé m'avait "passé" à Diego. A la façon dont il me regarde et me sourit, je me rends compte que Robert n'en revient pas de la situation. Après avoir ronchonné à l'arrivée de Gégé, je crois que maintenant, il est content que la partie de cul ait tourné au gangbang. A quarante ou quarante cinq ans, il vient de perdre son pucelage, et il est en train de se partager un travelo avec des copains, sur sa table de cuisine ! Je l'enserre à son tour avec mes jambes. Tout en me pelotant les cuisses et les hanches, il me pénètre directement et s'enfonce à fond tout de suite. Quand son pubis vient frapper mon périnée, j'entends un bruit mouillé … flaaaatch ! Yess ! Sa queue baigne dans la semence de Diego, et visiblement, à son air ravi, ça lui plaît ! 


Pendant que le gros s'installait, Diego a longé la table et est venu se placer à côté de moi, à hauteur de mon visage. Surpris, je me tourne vers lui. Il passe sa main derrière ma nuque et, d'un même mouvement, il m'attire vers lui et tend son ventre:

- Nettoie-moi la bite !


Il n'a pas complètement débandé et sa bite pend, à demi gonflée. Hhhhmmmm, elle est encore toute luisante du cocktail qu'elle a brassé à l'intérieur de mon cul. Je prends ses couilles au creux de ma main, et j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle a un goût de sperme, de sécrétion anale et de lubrifiant. Alors que je le suce consciencieusement en lui pelotant les boules, je sens la pression ferme mais délicate de sa main sur ma nuque. J'adore ça. Je pose ma main libre sur la sienne et je la caresse, accompagnant, sollicitant son geste de domination. Son sexe dans ma bouche, sa main sur ma nuque alors que le gros Robert s'apprête à se donner du bonheur dans mon cul ... une fois encore, je gémis. Pendant que je fais tourner ma langue autour du gland de Diego, Robert commence à aller et venir. Je suis sûr que, tout en me fourrant, il me regarde sucer son pote. Hhhmmmm, être pris sur cette table par deux mâles en même temps, le cul et le ventre déjà enspermés, quel bonheur ! Je continue de pomper fiévreusement Diego bien après avoir fini de lui nettoyer la bite. Bien sûr pour le plaisir d'avoir son sexe dans la bouche, mais surtout pour celui de sentir l'étreinte de sa main sur ma nuque. Ce geste en dit bien plus que ne pourraient en dire des mots. Ça veut dire « Tu es une bonne fille, tu suces bien », mais surtout « Sois docile et soumets-toi ! », « Tu me suceras aussi longtemps que je le voudrai », « Tu es à moi ! » … ou plutôt « Tu es à NOUS », parce que, avec l'un d'eux dans mon cul et un autre dans ma bouche, j'ai plus le sentiment d'être leur propriété collective que d'appartenir à chacun d'eux à tour de rôle. Le langage de mon corps en raconte aussi très long sur ce que je ressens: ma docilité quand Diego m'a présenté sa bite à nettoyer, la fébrilité de ma fellation, mes petits gémissements qui disent à la fois mon plaisir et ma soumission … Une soudaine fraîcheur sur mon ventre me dit autre chose sur le language de mon corps. Je réalise que je bande. Ma bite doit être en train de baver du fluide d'excitation en quantité, sans doute aidée par la pression de la queue de Robert sur ma prostate !


Moi, ça me va, les mecs, disposez de moi à votre guise, chacun à votre tour ou en même temps. Usez de moi, usez de ma bouche, usez de mes mains, usez de mon cul pour le plaisir de vos bites, jouissez, déversez votre sperme. Simple effet de ma fellation ou de mon évidente soumission, Diego recommence à grossir et durcir dans ma bouche. Ah, putain, si je pouvais le faire jouir encore une fois ! Dans ma gorge, cette fois ! Le voilà qui approche sa main libre de ma bouche, et qui enserre de ses doigts sa verge humide au contact de mes lèvres. La voir entrer et sortir de ma bouche ne lui suffit plus, il faut qu'il touche. Quand je lève les yeux sur lui, il remarque, admiratif:

- Putain ! Alors toi, tu peux dire que t'aimes la bite !


Il glisse son index entre mes lèvres, contre sa bite, comme pour voir quel effet ça fait à son doigt, puis il sort enfin doucement son sexe de ma bouche, me lâche la nuque et s'écarte. Je gémis de déception que ça s'arrête. Je reviens à ce que me fait Robert.


Les mains posées sur mes cuisses, la tête un peu penchée, il va et vient à petits coups en regardant son sexe entrer et sortir de moi. Décidément, ça leur plaît aux mecs, de voir leur bite aller et venir dans mon cul. De temps en temps, il me regarde et me sourit, presque timidement, comme s'il se sentait gêné de sa réaction de curiosité.

- Ça va, Robert ? T'es bien dans mon cul ?

- Rhô ouais !

- Moi aussi, ça me plaît que tu m'encules.

 

 

Les yeux écarquillés, il déglutit bruyamment et se passe sans arrêt la langue sur les lèvres. Les mains crispées sur mes cuisses, il me fout des coups de queue de plus en plus amples, toujours en regardant sa bite disparaître et réapparaître. Evidemment, après avoir tiré un coup deux fois dans la matinée, il tient le coup plus longtemps. Mais je sens que son excitation monte en flèche. Je voudrais bien qu'il me foute la même dose que celle qu'il s'est crachée sur le ventre ce matin. Je vois Cricri approcher et se positionner de façon à mieux voir notre accouplement. La mâchoire pendante, les yeux exorbités braqués sur mon cul, il se masturbe vigoureusement. 

- Doucement, Cricri. Prends pas ton pied avant de m'avoir baisé. Garde ça pour moi.


Il me fixe, semble réfléchir, comme s'il donnait à son cerveau le temps de comprendre ce que je lui ai dit. Puis il hoche la tête, "OK, compris", et il ralentit sa masturbation. 


- Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa !


C'est Robert qui se met à haleter au rythme de ses coups de queue de plus en plus violents. Son ventre claque contre l'arrière de mes cuisses " flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! ". Il va jouir ! Son excitation se communique à moi, et je me mets de nouveau à haleter. A son tour, il va se répandre dans mon ventre !


- Haaaaaaaaaaaaaaaaa ! Haaa ! Haaaaaaaaaaaaaaaaaa !


Ça y est, il jouit ! Son éjaculation est si intense qu'il se plie en avant, les yeux grands ouverts, un filet de salive s'échappant de ses lèvres. Il est entièrement concentré sur cette explosion de jouissance qui lui irradie le sexe, le bas ventre et la prostate. Il n'est plus que cette queue qui éjacule son plaisir dans un corps chaud, humide et vivant. Ça dure quelques secondes, puis il se redresse, à bout de souffle et le corps secoué de spasmes. Quand ça se calme, il s'essuie la bouche et se met à rire:

- Rhâââ ! Puu…taiiin ! Tu … je … 


Il me regarde et secoue la tête comme s'il était sidéré de ce qui vient de lui arriver. Je croise les mains sous ma nuque et je lui souris:

- C'était bien, on dirait …


Il reprend doucement ses va et vient en me caressant mécaniquement les cuisses. Il me regarde et secoue encore la tête:

- Rhââ, putain, oui, c'était bien ! Putain … t'es une … t'es une vraie … Putain, ce cul !


Cricri s'est encore rapproché. Visiblement, il attend son tour, il est prêt à prendre la place de Robert, et ça urge ! Je balance entre l'envie de sentir Robert continuer de jouir de son sexe dans mon cul et la nécessité d'accueillir rapidement Cricri pour qu'il se vide en moi.

- T'as fini, Robert ?

- Rhââ ouais !

- Bon, alors, s'il te plaît, laisse la place à Cricri. Là, je sens qu'il va répandre sa jute par terre. 


Il regarde Cricri et hoche la tête "OK". Je dénoue mes jambes d'autour de lui, et:

- Allez, Cricri, à toi ! 


Cricri se précipite pendant que Robert s'écarte. Je n'ai pas le temps de passer mes mollets derrière lui. Il est entré directement en moi et, immédiatement, il jouit en gémissant ! Il était plus que temps ! Instinctivement, le gamin a saisi l'arrière de mes genoux et il maintient mes cuisses à la verticale. Il gémit en me donnant des petits coups de bite dans le cul. Son regard stupéfait passe alternativement de mon visage à notre coït, comme s'il était abasourdi de ce qu'il est en train de faire . Il pousse des petits « Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! ».


- C'est bien, mon Cricri ! Qu'est-ce tu lui fous dans l'cul, à c'te salope !


Gégé, évidemment ! Je tourne la tête. Il a quitté l'évier où il appuyait ses fesses, et il s'approche de moi, comme Diego, il y a un instant. Il va vouloir que je le suce. En effet:

- Tiens, toi ! Suce-moi la queue !


Un main qui enserre sa bite sous les couilles et l'autre qui empoigne sa verge, il tend son ventre vers moi, un rictus sur le visage. Son gland est tellement gonflé de sang qu'il est légèrement bombé. Comme ça, il ressemble encore plus à un champignon. Celui-là, dans l'état d'excitation où il est, il va sûrement jouir au moindre contact ! Il n'aura sans doute pas le temps de venir me saillir et me remplir le cul. Mais ça ne fait rien, qu'il me crache sa jute dans la gorge ! Au moment où j'ouvre la bouche pour ingurgiter cette chose, je sens Cricri commencer à se retirer. Il a fini de jouir. Alors, je me tourne précipitamment vers lui:

- Reste dedans Cricri !


Trop tard, sa bite est sortie dans un bruit de gargouillis. J'insiste:

- Remets-la moi, ta queue, Cricri. Reste au chaud pendant que je suce Gégé.


Il ricane et je le devine qui prend sa bite dans la main et qui la guide vers mon cul. Voilà, il est dedans, sans doute un peu mou, mais ça ne fait rien, il recommence même à aller et venir.

- Ouais, c'est bien comme ça, Cricri. Merci.


Je me tourne vers Gégé:

- Je vais te sucer à fond, Gégé. Je veux que tu me jutes dans la bouche.

- Nan nan nan ! Tu m'suces, mais après, j'vais te tirer dans l'cul !


On verra, mec, si je n'arrive pas à te faire jouir dans ma gorge. Je bâille et j'enfourne cette chose. Putain, quel drôle d'engin ! Je n'ai pas besoin de bouger, c'est lui qui, aussitôt, entreprends de me baiser la bouche. Je n'ai finalement qu'à me concentrer sur ce qui se passe, me contenter d'augmenter et réduire la pression de ma langue sur son gland et laisser Gégé décider du rythme et de la profondeur de ses va et vient. Je sens encore son gland se courber quand il l'enfonce, mais comme il est plus gonflé et plus dur que tout à l'heure, il se replie moins. Je le sens aussi se retourner un peu quand il repart en arrière, mais surtout, je sens sa couronne frotter, et presque racler mon palais et ma langue ! Putain, à ce régime, si il ne prend pas son pied vite fait …


Mais non. Il tient le coup, l'animal ! A lui aussi, je passe ma main sous ses couilles et je prends ses petites olives dans ma paume. 

- Tourne-le sur le côté, Cricri !

- Hein ?

- Tourne-le, j'te dis ! Qu'y soye face à moi … pour que j'y bourre sa gueule !


Je vois ce qu'il veut. Alors, de moi-même, je bascule mes jambes de son côté tout en tournant mon bassin et mon torse face à lui. Gégé:

- Ouais, comme ça. R'tiens-lui les jambes, Cricri ! Qu'elles tombent pas de la table.

- …

- Et refous-lui ta bite. Y d'mande que ça !


Je sens que Cricri me remet sa bite, qui était sortie pendant la manœuvre. On dirait qu'il s'est un peu raidi. Il pose ses deux main sur ma cuisse et se remet à aller et venir. De son côté, Gégé me prend la tête à deux mains, une sur le dessus du crâne, et l'autre sous le menton:

- Tu veux d'la bite ? J'vais t'en donner, moi, d'la bite !


Et c'est un vrai festival !  Il me bourre littéralement la gueule, comme il dit, alternant des grands coups de reins ponctués de « Tiens ! Tiens ! Tiens ! » dents serrées, et des va et vient plus lents, plus doux, presque lascifs, accompagnés de « C'est bon, comme ça, hein ? Tu l'aimes, la bite à Gégé, hein ? ». Du coin de l'œil, j'aperçois Diego et Robert qui se sont placés un peu en retrait de Gégé, de façon à ne rien manquer de ce coït buccal. Je remarque que si elles ne sont plus raides, leurs bites pendent quand même, encore un peu gonflées, comme si ce spectacle les titillait pas mal. L'autre est tout content de leur montrer de quoi il est capable. Soudain, la pression de ses mains sur mon visage se fait plus intense, il m'enfonce brutalement sa queue au fond de la gorge et il s'immobilise, essoufflé, en poussant des grognements. Putain, je l'ai eu, il va jouir ! Je sens son gland contre ma luette, presque contre mes amygdales ! 


Allez ! Vas-y, jouis, putain ! Mais non, pas le moindre spasme. Ses couilles ne remontent même pas, comme quand elles s'apprêtent à lâcher leur semence. Et il se recule lentement:

- Ha ha ! Tu y'as cru, hein !


Et ça recommence: alternance de "boum ! boum ! boum ! " «Tiens ! Tiens ! Tiens ! », et de phases plus lentes. Je commence à avoir une crampe dans la mâchoire et ma salive s'écoule toute seule sur ma joue et sur le coussin sous ma tête. Et soudain:

- Casse-toi, Cricri ! J'vais y foutre ma bite dans l'cul !


Il extrait sa bite de ma bouche d'un seul coup, et, en la pressant dans sa main, il se précipite vers mon cul. Cricri a juste le temps de dégager. Au passage, Gégé passe son autre main sous mes genoux et me fait pivoter pour me remettre sur le dos. De moi-même, je relève mes jambes et le voilà contre moi. Lubrifié comme je suis par les spermes de Diego, Robert et Cricri, il n'a aucun mal à introduire d'un seul coup son espèce de piston dans mon fourreau. Il s'enfonce en moi d'un grand coup de reins, et reste plaqué à moi, tenant mes jambes écartées, ses deux mains sous mes genoux. Tête un peu rejetée en arrière, bouche grande ouverte, yeux révulsés, il jouit en râlant:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaaah !


Voilà, c'est fini. Il redresse sa tête, ferme sa bouche, déglutit, rouvre les yeux, me donne quelques petits coups de bite, et:

- Ah, putain ! Quel panard ! Alors ? Qu'est-ce que j't'avais dit ? J't'ai pas tiré dans l'cul ?

- Si. Viens là. Je vais te nettoyer la queue, comme à Diego.

- Putain, t'es vraiment la plus grosse salope que j'ai …


Il s'arrête là. Des salopes, il n'a pas du en baiser tant que ça. J'insiste:

- Allez, viens !


Il s'extrait:

- Nan, nan. Ça va comme ça. Tu touches plus à ma bite.


Il est déjà en train de refourrer son gros gland comme il peut dans son prépuce. Il ne va pas se laver ? Les quatre se regardent en souriant. Je me redresse et je m'appuie sur les coudes, jambes pendantes. Je sens une mixture tiède s'écouler de mon cul, et je l'entends tomber en grosses gouttes visqueuses sur le carrelage. Cricri est déjà en train de récupérer ses vêtements éparpillés dans la cuisine. Diego se dirige vers le salon, suivi de Robert et de Gégé. Fin de séance ? Je m'apprête à descendre de la table quand je m'aperçois que Jean-Louis, s'effaçant pour laisser les autres passer dans le salon, me regarde intensément. Une main appuyée au chambranle de la porte de communication, il me demande:

- Ça va ?

- Oui. 

- Ils t'ont tous …

- Baisé ? Oui. Tu as regardé ?

- Euh … un peu.

- Tu veux ?

- Hein ?

- Tu veux aussi me baiser ?


Il baisse les yeux. Mais il ne dit pas non, comme tout à l'heure. Il en a envie. Aussitôt, par réflexe, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Rien de spectaculaire. Il bande, ou il ne bande pas ? Je lui lance:

- Viens, Jean-Louis. Approche.


Il hésite et entre dans la cuisine, mais reste à bonne distance.

- Approche, Jean-Louis. Je ne vais pas te violer.


Il fait encore deux pas.

- Alors, tu as envie de me baiser ?


Il hoche la tête: oui, il a envie de me baiser.

- Et ben, viens, alors. Je suis ici pour ça, me faire baiser. Profites-en. Tu veux aussi me baiser ici ?

- Oui, mais pas …


Il jette des coups d'œil inquiets vers la porte du salon. Compris ! Il ne veut pas faire ça devant les autres.

- Vas-y, ferme la porte.


Il pousse la porte de communication, et, aussitôt, Robert et Gégé se pointent avant qu'il ait eu le temps de la fermer complètement. Robert:

- Qu'est-ce tu fous, mec ?

- Je …


Gégé:

- Wo, le frangin ! Tu veux te l'faire aussi ?


Et, s'adressant à moi en repoussant la porte:

- Tu vas pas te laisser baiser par ce taré ? ! ? ! 

- Si. Je vais me laisser baiser par ton frangin. Vous y avez tous eu droit, et j'en ai envie.

- Ouais, ben on r'garde, alors.

- Non.


Je sens que Jean-Louis préférerait renoncer plutôt que d'affronter Gégé. Alors je descends de la table (ça me coule, tiède et gluant, le long des cuisses), je repousse Gégé et je ferme la porte:

- Tu nous fous la paix, Gégé ! Vu ?


Il a un rictus de dépit, mais comme il me sait plus costaud que lui, il n'insiste pas. Pour plus de tranquillité, je chope une chaise et je la coince sous la poignée. C'est symbolique, mais je pense que ça le découragera d'insister. Je traverse la cuisine pour fermer l'autre porte, qui donne sur le couloir. Je m'apprête à la bloquer de la même façon, mais celle-ci est dotée d'un loquet. Ça ira. Dans le salon, j'entends des éclats de voix. Je ne comprends pas ce qui se dit, mais je reconnais les intonations de Gégé et le bourdonnement plus sourd de Diego. J'ai l'impression que le premier s'en prend à nous et que l'autre essaie de le calmer. Je m'approche de Jean-Louis et sans avertissement, je lui colle mes deux mains sur le bas ventre. Surpris, il a un mouvement de recul, mais je me colle à lui. Oui, on dirait qu'il a un début d'érection. 

- Tu veux me baiser comme eux, sur le dos ?

- Euh, non. Je veux pas que tu me regardes.

- Je peux fermer les yeux.

- Non, non. Dans … dans l'autre sens …


De son index dressé, il dessine un cercle. Vu: 

- Tu veux me prendre debout, en levrette ?

- Oui, de… debout, par derrière.

- Tu veux que j'aille me laver le cul ?

- Nan. 

- Ça te dérange pas de me baiser dans le … dans le sperme des autres ?


Il s'écarte un peu, fouille dans sa poche et en sort une pochette de capote qu'il m'exhibe fièrement:

- Je … j'ai fouillé dans ton sac. Cricri m'avait dit que t'avais des capotes. Je m'excuse …

- Tu as bien fait. Tu as déjà mis une capote ? Tu veux que je te la mette ?

- Non, je sais comment on fait.

- Bon, déshabille-toi.

- Je … me regarde pas, s'il te plaît. Mets-toi sur la table, maintenant.

- Comme tu veux.


Je pose mes deux mains sur le bord du formica, j'écarte les jambes, je me cambre et j'attends. Dans le miroir au-dessus de l'évier, je le vois jusqu'au niveau des épaules. Il baisse la tête et semble s'affairer. Il doit être en train de déballer sa bite, mais apparemment, il garde son pantalon. J'aurais bien aimé la voir, cette bite, quand même. Mais je ne veux pas le gêner. Je l'entends déchirer la pochette de plastique. Il la pose, vide, sur la table. Encore cinq secondes, et je le vois se redresser dans le miroir. Visiblement, il regarde mon cul, embarrassé:

- Je … comment …

- Tu veux que je reste comme ça, ou tu préfères que je me penche davantage ?

- Nan, comme ça, c'est bien.

- Alors, vas-y, mets-moi ta bite dans le cul, et après, prends-moi par les hanches.

- Ah, OK.


Je sens quelque chose tâtonner aux abords de ma rondelle. Je me cambre autant que je peux. Ah, voilà, il entre. Très lentement. Une main sur ma hanche gauche. Une main sur ma hanche droite. Il halète. Déjà ! Je sens que ça va aller très très vite. D'un seul coup, il me pénètre en se collant à moi, m'enserre de ses bras et me colle … sa joue contre la nuque:

- Aaah ! Aaah ! Aah ! Aaaaaaaaaaaaaaaah !


Il a joui. Il déglutit et respire bruyamment. Je sens sa poitrine bouger contre mon dos au rythme de sa respiration. Putain, je me suis fait niquer par les trois frangins ! Je lui caresse les avant bras, croisés sur mon torse:

- Ça va, mec ?

- Ouiihhh !


Seulement un souffle, son "oui". Nous restons un moment comme ça. Puis il desserre son étreinte et s'écarte de moi en laissant sa bite sortir toute seule.

- Attends ! Te retourne pas tout de suite.


Ah bon ! Qu'est-ce qu'il faut ?


- C'est bon, vas-y.


Je me retourne. Il a déjà remballé sa bite, et il tient sa capote en me regardant d'un air interrogatif. Il ne sait pas quoi en faire. Je la lui prends des mains:

- Tu as déjà remballé ta bite ! C'est frustrant, j'aime bien voir par quoi je me fais baiser. Montre-la moi !

- Non.

- Si ! Tu m'encules et tu tires ton coup dans mon cul, alors tu me montres ta bite !


Je pose la capote sur la table et je m'attaque à sa braguette. Résigné, il se laisse faire, mais détourne le regard. Je descends son zip, j'écarte les pans de son pantalon – il s'empresse de les agripper pour l'empêcher de tomber sur ses genoux -, et je baisse la ceinture de son caleçon sous son paquet. Pas mal ! Sa bite a un air de ressemblance avec celle de Cricri. Elle est encore un peu gonflée. Je m'accroupis, j'approche mon visage et je pose un baiser sur son prépuce:

- Mffff ! Merci, toi, la bite à Jean-Louis.


Et je prends son gland dans ma bouche. Hhhhhmmm ! Je sens qu'il est surpris, qu'il a un mouvement réflexe de recul, mais il se laisse faire. Je joue un peu à tournicoter ma langue autour de son gland, puis je le recrache et je me relève. Sa bite dans ma main, je le tripote un peu, et:

- Elle me plaît bien, ta bite, Jean-Louis. J'aurais bien aimé te tailler une pipe.


Il ne sait pas quoi répondre, détourne le regard. Je le lâche et il s'empresse de se rhabiller. Je débloque les deux portes de la cuisine. Dans le salon, il n'y a plus que les trois adultes. Cricri est parti. Robert et Diego sont vautrés dans la banquette et je suis accueilli par Gégé qui attendait, debout derrière la porte:

- Alors ! Ça y est, t'es content, il t'a niqué ?

- Oui.

- Ça m'étonnerait, il est impuissant !


Je pense qu'il dit ça par pure méchanceté, mais je lui exhibe quand même sous le nez la capote avec sa dose de sperme:

- No comment, hein, Gégé !

- Ouais, ben lui aussi, il était puceau.

 

Je me tourne vers Jean-Louis, interrogatif:

- T'étais puceau ?

 

Il baisse le nez, ne répond pas. C'est clair, lui aussi était puceau ! Ah la vache, j'ai dépucelé trois mecs aujourd'hui ! J'ai le pucelage de trois mecs dans le cul ! Gégé tousse et ricane:

- Tu vois ? Il était puceau, j'te dis ! Bon, c'est pas tout ça. Avec Diego et Robert, on en a parlé: quand est-ce tu reviens te faire baiser ?

- Oh la la ! J'en sais rien !

- Pour nous, hein, c'est quand tu veux ! Tu peux même venir habiter chez Robert. Il est d'accord.

- Ça, c'est pas possible. 

- Ben pourquoi ? Tu s'rais not' p'tite femme, tu f'rais la bouffe, la vaisselle, le ménage, t'as l'air d'aimer ça. Et nous, en échange, on t'niquerait.


Je ne peux pas lui dire que c'est une de mes fantasmes, encore inassouvi. Vivre avec trois, quatre, cinq mecs, ou plus, et être à leur disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept pour qu'ils me tirent quand ils en ont envie. Mais pas avec ces cinq là ! Ces cinq là, il est possible que je revienne me les taper le jour où je serai en manque, mais c'est tout. A la rigueur, peut-être même qu'un de ces jours, je les emmènerai dans le jardin public où j'ai rencontré Robert, pour qu'ils me baisent dans leur taillis de troënes. Gégé m'a lancé sa proposition sur son ton habituel de débiteur de conneries, mais Robert et Diego me regardent intensément en hochant la tête, comme pour approuver et valider ce que m'a dit leur pote. Ils attendent vraiment que je réponde à cette proposition ! Jean-Louis aussi, adossé au mur.

- Non, les mecs ! Vous êtes gentils, mais ne rêvez pas. Je reviendrai peut-être un de ces jours pour que vous tiriez encore un coup, mais habiter ici, c'est niet !

- C'est vrai ? Tu r'viendrais ?

- Peut-être. Je sais pas. Si un jour je suis en manque, pourquoi pas …


Ça a l'air de les satisfaire. 

- Bon, les mecs, c'est pas que je m'ennuie, mais je vais vous laisser.


Robert:

- Tu … tu veux pas monter à la salle d'eau ?

- Non. C'est gentil. Merci.

- Mais … t'es … plein de …

- Oui, je sais. Ça me coule sur les cuisses, même. Tenez, regardez !


Je glisse ma main entre mes cuisses et je la leur montre, luisante de sperme.

- Mais j'aime bien. Je vais rentrer comme ça.


Ils sont sciés. Je me lèche les doigts, puis je récupère ma jupe sur le dossier de chaise où je l'avais mise à sécher, et je la remets. Je cherche mon string des yeux. Il me semble que, ce matin, je l'avais enlevé là, au pied de la banquette:

- Vous n'avez pas vu mon string ?


Ils se regardent en se marrant. J'insiste:

- Vous savez où il est ?


C'est plus fort que Gégé, il montre Robert du doigt:

- C'est lui ! Il te l'a piqué et il l'a foutu dans sa poche. Il nous l'a montré, tout à l'heure !


Robert rougit, essaie de nier, mais, devant la poilade de ses potes, il finit par fouiller dans sa poche:

- Tiens ! Le v'là !

- Garde-le, Robert. Je te le donne, j'en ai plein d'autres.

- Ah bon ! OK. Ben merci, alors.

- Bon, ben salut, les mecs. J'ai été ravi. Je vous laisse la vaisselle et le rangement, hein. J'ai passé une très bonne journée. Merci à vous.


Ils n'en reviennent pas que je les remercie. Je leur serre la main. Robert et Diego se lèvent de la banquette, et tous les quatre me suivent jusqu'à la porte du pavillon. Je tire un peu sur le bas de ma jupe, pour cacher ma bite autant que possible, je traverse le bout de jardin, je sors et je me dirige vers ma voiture. Ce n'est qu'une fois assis au volant que j'aperçois, derrière la grille d'un pavillon de l'autre côté de la rue, la voisine au chien qui m'avait déjà surpris ce matin. Robert va encore devoir trouver une explication fumeuse. Je démarre et je donne une série de petits coups de klaxon à l'intention de mes quatre lascars agglutinés sur le perron et qui me regardent m'éloigner, hilares.


En chemin, je sens la mixture de mes donneurs de sperme s'écouler sous moi, souillant et ma jupe et mon siège. 


Au moment où j'arrive dans mon village, je vois la voiture de Yolaine, ma voisine, s'engager devant moi, dans notre rue. Elle doit rentrer du travail. Décidément. On est parfois dix ou quinze jours sans se croiser, et là, deux fois coup sur coup à deux jours d'intervalle ! On va arriver en même temps dans notre cour. Cette fois, contrairement à samedi, pas besoin de réfléchir si je me montre à elle en travelo, ou pas. C'est fait, elle est au courant. La question, c'est « Aujourd'hui, va-t-elle vouloir que je lui bouffe la chatte ? ». Nous entrons dans la cour l'un derrière l'autre. Elle se gare devant sa porte. Je me gare à côté d'elle. Je descends et, comme avant hier, j'ouvre ma portière arrière pour récupérer mon baise-en-ville, lui montrant encore une fois mon cul. Quand je me retourne, elle me jette un coup d'œil, et reste dans sa voiture, faisant je ne sais quoi sur le siège passager à côté d'elle. J'attends. Je suis sûr qu'elle fait semblant et attend que je rentre chez moi. Elle veut m'éviter. Si tu veux jouer à ça, ma cocotte, très bien. Je m'approche de sa voiture, côté passager, et je frappe à sa vitre. Elle fait semblant de ne pas m'avoir remarqué. J'insiste, plus fortement. Elle lève es yeux. Je lui fais signe de baisser sa vitre. Excédée, elle actionne la commande. 

- Bonsoir, voisine.

- Oui, bonsoir.

- Vous allez bien ?

- Oui.

- Moi aussi, merci.


Elle hausse les épaules:

- Vous voulez quoi ?

- Cinq.


Je lui montre ma main gauche, paume tournée vers elle, doigts écartés.

- Quoi, « cinq » !

- Cinq mecs ! Je me suis fait cinq mecs, aujourd'hui. J'en reviens. C'était vachement bien …


Elle actionne son lève-vitre électrique pour refermer. Je me dirige vers ma porte. Son petit manège pour m'éviter étant devenu inutile, elle descend à son tour. Quand je me retourne, elle est devant sa porte et me regarde, comme si elle s'apprêtait à me dire quelque chose. Et puis elle semble se raviser, et rentre chez elle. Et moi chez moi.

 

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Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 7 octobre 2016 5 07 /10 /Oct /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Lundi 3 octobre.

Ce matin, j'ai atterri à L.F., chez ce paumé de Robert. Gras, moche, pas très net, c'est tout ce que j'ai pu trouver pour calmer ma fringale de bite. Mais au fond, je m'en fous, je suis comme un junkie en manque et prêt à se faire un shoot avec la première seringue qu'il aura sous la main, même crade, même rouillée, même contaminée. Voilà, c'est ça, je suis un junkie de la queue et pour avoir ma dose de sperme, mon injection de semence, mon shoot de foutre, peu m'importe l'aspect de la queue qui me piquera.

 

Pour le Robert en question, je suis une occase: sans qu'il ait besoin de draguer une nana, de la conquérir ou de la convaincre de coucher, ou même de payer une pute, je suis tombé tout rôti dans son plumard. En fait, ce type n'avait jamais baisé et ne s'était jamais fait sucer. Alors, quand j'ai pris sa bite dans ma bouche, ça a été trop pour lui, il a joui immédiatement. Après, j'ai réussi à le motiver suffisamment pour qu'il me baise dans sa chambre. 

 

Entre temps, Gégé, un de ses potes de branlette, avait débarqué sans prévenir, et s'était imposé en pensant pouvoir me baiser, lui aussi. Très bien, moi, me taper deux mecs au lieu d'un, ça me va. Pendant que Robert me faisait mon affaire à l'étage, le Gégé est allé chercher son jeune frère Cricri (seize ans, et une bite plus qu'intéressante) ainsi qu'un type plus vieux, Diego. Ce Diego fait un peu moins "paumé" que les autres. Je me demande si il fait partie de la bande de branleurs qui zone avec Robert et Gégé dans le jardin public au bord de la rivière. Evidemment, Gégé l'a invité, ainsi que son frère, pour leur faire profiter, eux aussi, de l'occasion (l'occasion, en l'occurrence, c'est moi !). Alors, encore mieux: quatre bites à soulager, alors que je n'étais venu que pour une, c'est le pied. 

 

Bref. Quand Gégé a déballé, ça queue, j'ai eu LA surprise de l'année. Sa bite, c'est un truc … je n'avais jamais vu ça: un gland large et tout plat au bout d'une verge plutôt mince. Très bizarre. Ça me fait penser à un sexe d'animal. Presque monstrueux. Je me suis empressé de le sucer. Un effet terrible, dans la bouche ! Et pendant que je le pompais, son petit frère, Cricri, m'a enculé. Puceau, mais plutôt bien monté, ce môme. En tout cas, contrairement à son frère, il a une bite normale. Bon, maintenant, il n'est plus puceau puisque, il y a un instant, il m'a enculé et il m'a inséminé. 

 

Maintenant, c'est le tour de Gégé. Il veut me baiser comme son frère, en levrette, mais lui, c'est debout contre la table de la cuisine qu'il veut me prendre. Lui et moi, on a essayé en vain de lui enfiler une capote sur sa monstrueuse queue, et on a fini par renoncer. Entre temps, il m'a expliqué qu'à la suite d'une bagarre en taule – oui, il a fait de la taule. Je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas ça qui m'intéresse, pour le moment – il a dû faire des test pour s'assurer qu'il n'était pas contaminé. Ouf, il est sain, et il va pouvoir, lui aussi, m'injecter sa semence.

 

Pendant qu'il se débat avec son jean qui se coince dans ses tennis qu'il n'a pas enlevées, je lui tripote la queue. Je m'agenouillerais bien pour lui sucer encore son drôle d'engin ! Putain, il va me fourrer avec ce truc-là ! Je me demande quel animal pourrait bien avoir une queue dans ce genre. Je remarque que ses couilles sont proportionnées à sa verge, pas très grosses et en forme d'olives, très allongées, et elles pendent beaucoup. J'adore. Quand il a fini de se déshabiller, je me retourne, je retrousse bien ma jupe, je m'appuie des deux mains sur la table et:

- Vas-y, BAISE-MOI !

 

D'une main, il se cramponne à ma hanche et, de l'autre, il guide ce qui lui sert de bite vers mon fourreau. Comme il est plus petit que moi, j'écarte bien les jambes et je les fléchis légèrement. Je le sens plaquer son gros gland tout plat contre ma rondelle, poser sa deuxième main sur ma hanche, et pousser. Pour la première fois depuis longtemps, mon sphincter résiste à une tentative de pénétration ! J'empoigne mes fesses, et, bien cambré, je les écarte autant que je peux. De son côté, je sens Gégé se caler mieux sur ses pieds, se cramponner davantage à mes hanches, et pousser plus vigoureusement. Alors, je suppose que son gland se rabat sur sa verge, comme tout à l'heure pour entrer dans ma bouche, et il pénètre d'un seul coup dans mon cul. Du même élan, Gégé s'enfonce en moi jusqu'à ce que son ventre vienne buter contre mes fesses.

 

C'est un peu confus, là-dedans, mais j'ai l'impression qu'une fois passé le couloir étroit de mon sphincter, son gland s'est épanoui dans mon rectum, qu'il s'y est en quelque sorte "déployé", comme un parapluie qu'on ouvre ! Oh putain, ça y est, j'ai ce sexe monstrueux en moi. Je m'en suis fait fourrer de toutes sortes, des queues: des petites, des grosses, des énormes, des noires, des blanches toutes pâles, des fines, une ou deux tordues … mais un truc comme ça, c'est la première fois ! Y'a pas à dire, j'aurais vraiment dû amener un appareil photos. Je me mets à onduler du bassin, pour la sentir bouger dans mon cul. Je remarque tout de suite deux choses: déjà, vu que dans l'urgence, Gégé n'a pas ôté son blouson, je sens sa fermeture Eclair me chatouiller le flanc au rythme de nos mouvements; et ensuite, je sens à peine la verge de Gégé dans mon anus. Et pourtant, j'ai quand même l'impression d'avoir le rectum rempli. 

 

Gégé commence à se retirer lentement. Ah oui, putain ! Je sens que ça bouge, à l'intérieur, comme si … comme si … Une image s'impose alors à mon esprit; celle d'un hérisson, cette espèce de brosse, au bout d'un long manche, qu'on passe dans une cheminée pour la ramoner. C'est exactement ça: Gégé est en train de me ramoner ! "Se faire ramoner", j'emploie souvent cette expression pour imager un coït anal, mais c'est la première fois qu'elle s'applique d'une manière aussi appropriée. Quand on ramone une vraie cheminée, on passe dans les tuyaux qui ont servi à la tuber, un hérisson d'un diamètre un peu supérieur pour qu'il frotte et gratte bien les parois du conduit. Et bien là, c'est pareil: j'ai l'impression que le tour du gland de Gégé me racle les parois du rectum, comme le fait un hérisson dans une cheminée ! Et en plus, j'ai la sensation de me vider, comme quand des mecs très bien montés, comme Gabriel, ou Sam, ou le gros Thierry, se retiraient de mon cul. La verge de Gégé est fine, mais son gland fait aspiration, comme un piston. 

 

S'il a un physique différent de Robert, ce mec est un paumé du même genre. Je les imagine tous les deux sans travail, vivant d'aides et sans doute, pour Gégé, de trafics. Ils doivent passer leur temps à glander dans le jardin public où j'ai rencontré Robert, à y vider des packs de bière ou à picoler dans je ne sais quel troquet en ville. Mais lui, Gégé, sous son physique ingrat de gringalet nerveux, il dispose avec cette queue hors norme, d'un atout exceptionnel. A mes yeux, du moins, parce que je ne doute pas qu'une telle bite puisse répugner et même faire peur à n'importe quelle femme normalement constituée. Mais à moi, non. Au contraire. Là, à la manière dont il va et vient, lentement, consciencieusement, je pense qu'il contemple sa queue qui entre et sort de mon cul. Il remonte ses mains jusque sur mes épaules, me pousse un peu en avant, pour que je me courbe au-dessus de la table. Je m'accoude dans la crasse, les mains cramponnées à l'autre bord de la table, et il se met à aller et venir en commentant:

- Oh, putain, c'que t'es bonne, toi ! Tu la sens, ma bite ?

- Oui, je la sens même vachement bien, ta bite.

- Ça te plaît, comme je t'encule ?

- Oh oui. Je me suis jamais fait enculer par une bite comme ça. J'adore ! Vas-y, prends ton temps. BAISE-MOI !

 

Satisfait, il se concentre et commence à souffler et aspirer l'air bruyamment entre ses dents, les mains toujours agrippées à mes épaules. Il va et vient lentement, comme s'il dégustait chaque frottement de sa queue dans mon rectum. Mentalement, j'essaie d'imaginer ce qui se passe là-dedans, son gland tout rond qui se rabat, qui se "ferme" sous la pression  de mes chairs quand il s'enfonce en moi, son gland qui se retourne et se rouvre, qui s'épanouit quand il recule. Je passe une main derrière moi, je la plaque sur son pubis et, à tâtons, je cherche sa bite. Il s'immobilise. Je glisse mes doigts autour de sa verge, et j'ordonne:

- Vas-y, bouge !

- Oh putain ! Quelle salope !

 

Il se remet à aller et venir. Du bout des doigts, je sens sa bite entrer et sortir de mon cul. Il enlève ses mains de mes épaules, les descend jusque sur mes reins, remonte mon t-shirt sur mon dos et se met à me caresser les flancs, les omoplates … Je saisis sa verge entre mon pouce et mon index, et je la presse délicatement, la masturbant passivement au rythme de ses va et vient. Je lui demande:

- T'es bien, dans mon cul, Gégé ?

- Rhôôôôô … PU…TAIIIIIIIN ! J'ai jamais baisé une salope comme toi !

 

Oh oui, il a l'air d'être bien dans mon cul. J'entends un raclement de gorge dans la pièce d'à côté, comme si Diego cherchait à attirer notre attention. Il entend notre "conversation", et il a envie de venir voir ce qui se passe. Alors, je lui lance:

- Diego ?

- Oui ?

- Viens avec nous.

- Ça … ça te dérange pas ?

- Non. Viens.

- Gégé ? Ça te dérange pas non plus ?

- Ben …

 

Je lui coupe la parole:

- On s'en fout. Viens Diego !

 

Je tourne la tête vers la porte de communication. Diego apparaît, la bite dans une main et retenant son pantalon de l'autre. Il nous découvre en plein coït, s'arrête et contemple Gégé qui me lime consciencieusement. Y'a pas à dire, me faire saillir sous le regard d'un tiers, ça ajoute toujours un plaisir supplémentaire à un accouplement. Au bout d'un moment, il détourne les yeux et me regarde. D'un signe de tête, je lui fais signe de venir devant moi. Il ne se le fait pas dire deux fois. Tenant toujours son froc de la main gauche, il s'approche, se place devant moi. Je lâche la bite de Gégé et je tends la main vers celle de son pote. Il avance son ventre vers moi et lâche sa queue. Je la saisis. Pas mal: bien droite, assez longue, le gland un tout petit peu trop gros pour le calibre de sa verge, pas trop de poils, et au total, un organe agréable, sympathique … appétissant. Je le masturbe un peu, puis, levant les yeux sur lui:

- Je vais te sucer, Diego.

 

Il ne répond pas, me sourit. 

- Je vais te sucer, et j'aimerais bien que tu me jouisses dans la bouche. C'est possible ?

- Ben oui, évidemment.

- Je veux dire … je prends un risque, si tu éjacules dans ma bouche ?

- Un risque ?

- Oui. Un risque de choper une maladie ..

- Ah ! Non.

- Sûr ?

- Oui, sûr.

 

Je ne sais pas pourquoi, celui-ci m'inspire confiance. Derrière moi, Gégé a encore ralenti son va et vient. A mon avis, il regarde ce qui va se passer de ce côté-ci. Hhhmmmm, c'est terrible d'avoir déjà dans le cul un mec qui bande à mort, et de s'apprêter à en sucer un autre ! Tout en la masturbant, je regarde la queue de Diego. Toi, je vais te prendre dans ma bouche et je vais te faire beaucoup de bien en te suçant. Je vais te faire tellement de bien que tu ne pourras plus te retenir, et que tu me cracheras ta crème dans la gorge. Je descends mes doigts le long de sa tige en faisant coulisser la peau de sa verge jusqu'à sa base, tendant sa queue au maximum. Puis je passe mes doigts sous ses couilles et je les soupèse, je les fais rouler dans leurs bourses, je les pétris délicatement. Diego est tout raide, les veines de sa queue sont toutes gonflées, son gland est tendu, violacé et une goutte de fluide translucide perle à l'entrée de son méat.

- Approche encore un peu, Diego.

 

Tout en soulevant le bas de sa chemise, il avance. Voilà, j'ai le haut du crâne contre son abdomen. En soulevant sa queue, je bave sur son gland une bonne dose de salive que je l'étale du bout de la langue. Puis, empoignant sa bite, je me passe son gland tout autour de la bouche, sur les joues, sur le menton, jusque sur le front … Tout en me pressant sa queue partout sur la figure, je ne peux retenir un gémissement:

- Hhmmmmm ! Ta bite, Diego ! TA BITE ! Hhhhmmm ! Je la veux, ta biiite ! Je veux avoir vos deux bites dans moi, les mecs ! 

 

Il lâche son pantalon, le laisse s'affaisser sur ses genoux, déboutonne sa chemise et en écarte les pans, puis il me prend la tête à deux mains, délicatement. Quand je lève les yeux sur lui, tout en continuant de me passer son nœud chaud et humide sur le visage, je vois qu'il me fixe intensément, visiblement troublé et excité par mon comportement débridé. Gégé:

- Ah, la salope ! Ah, LA SA…LOOOOPE !

 

Et il accentue les coups de son sexe monstrueux dans mon cul. Alors, en gémissant de plus belle, je me mets à donner de vigoureux coups de langue sur la bite de Diego, sur son gland, tout le long de sa verge, dessus, dessous, et jusque sur ses couilles:

- Hhhhmmmm ! BAISEZ-MOI, les mecs ! Hhmmm Hhmmm Hhmmm ! BOURREZ-MOI ! DÉFONCEZ-MOI ! Hhmmm Hhmmm Hhmmm !

- Ah, quelle SA…LOOOOOPE ! QUELLE SA…LOOOOPE !

 

Brusquement, j'enfourne la queue de Diego dans ma bouche et je l'enfonce jusque dans ma gorge. Est-ce l'effet d'une telle excitation ? J'ai son gland qui me titille la luette, et je n'ai pas le moindre haut le cœur ! Je l'entends aspirer l'air violemment. J'entame une turlutte ardente, fiévreuse, hystérique, suçant, tétant, léchant, pompant cette bite tout en la masturbant. Je la sens palpiter dans ma bouche. A cet instant, j'aimerais que cette queue se mette à me déverser de la crème dans la bouche en continu. Je gémis, je geins, je couine du plaisir de sentir ces deux types en érection en moi, du plaisir de leur donner du plaisir, du plaisir de savoir que, dans un instant, ils vont tous les deux m'injecter leur semence, l'un dans le ventre et l'autre dans la gorge ! 

 

Mon excitation se communique aux deux mecs en train de me fourrer. Gégé me bourre maintenant moins rapidement, mais à plus grands coups de reins accompagnés de sourdes expirations, tandis que la pression des mains de Diego sur ma figure se fait plus forte et qu'il fait aller et venir son bassin d'avant en arrière, me baisant littéralement la bouche. Nous sommes tous les trois déchaînés. Gégé me pilonne tellement fort que nous bousculons la table qui commence à se déplacer sous moi. Soudain, je sens mes couilles effleurer le bord de cette table et ma bite se poser dans la crasse. Je réalise alors que, presque couché là-dessus pour sucer Diego et subissant les coups de boutoir de Gégé, je me suis peu à peu affaissé, mes pieds s'écartant insensiblement en glissant sur le carrelage crasseux. Je sens que je bande, que ma queue a bavé sur le formica un peu de fluide d'excitation dans lequel mon gland va et vient au rythme des coups de reins de Gégé. Au bord de l'orgasme, c'est maintenant un gémissement implorant qui jaillit de mon ventre: mes deux orifices quémandent, réclament leur shoot de semence. Je veux que ces deux mâles déversent leurs spermes en moi, je veux qu'ils m'en remplissent par les deux bouts, je veux que leurs liqueurs s'insinuent dans mes entrailles et dans mon estomac !

 

C'est Gégé qui craque le premier. Contrairement à beaucoup de mecs qui se collent à moi et s'immobilisent au moment de jouir, lui continue de me bourrer de grands coups de queue ponctués de:

- Aaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaah !

 

Ça y est, je sens qu'il éjacule ! Malgré ses va et vient, je sens son membre tressauter en moi. Et presque immédiatement, j'entends des gargouillis s'échapper de mon cul. Sa bite brasse son sperme dans mon fourreau ! Alors, à mon tour, je jouis. Ma bite, pressée entre mon ventre et le plateau de formica, n'a pas pu résister plus longtemps à cette espèce de masturbation provoquée par les secousses de Gégé. Le souffle coupé, je suis obligé de recracher en urgence la queue de Diego, mais je continue de le masturber mécaniquement. Mon anus se contracte spasmodiquement sur la bite de Gégé. Il le sent:

- Ah ouiiii ! Putain, c'est bon, ça !

 

Il ralentit son va et vient, sans doute pour mieux percevoir les spasmes de mon anus sur sa queue. Je sens les jets de mon sperme s'étaler entre la crasse de la table et mon abdomen. Oh, putain, oui, c'est bon de prendre son pied en même temps que le mec qui me baise ! J'ai l'impression qu'il a fini d'éjaculer. Il se plie en deux et s'affale sur mon dos, le menton calé entre mes omoplates en soufflant comme un bœuf. Moi aussi, j'ai fini, mais contrairement à ce qui m'arrivait par le passé, avoir joui ne fait pas retomber mon excitation. Alors je glisse de nouveau la queue de Diego dans ma bouche et je reprends fiévreusement ma fellation. Il me tient toujours la tête à deux mains, mais il est encore plus raide qu'avant que je suspende ma turlute. Nous voir et nous sentir jouir, Gégé et moi, a ajouté à son excitation. Il ne bouge plus son bassin, mais il le tend en avant, le torse rejeté en arrière. Tant bien que mal, je lève les yeux sur lui. Le regard fixe, la bouche entrouverte, il contemple sa queue qui disparaît entre mes lèvres, qui réapparaît, redisparaît, réapparaît …

 

Je sens Gégé décoller son menton d'entre mes omoplates, se soulever un peu, et:

- Ah, la salooope ! Ah dis donc, t'aimes la bite, toi alors ! Quelle saloooope ! QUEEEELLE SALOOOOOOPE !

 

Les yeux à moins de vingt centimètres, il est aux premières loges pour me regarder sucer son pote. Et ça l'excite. Ou, du moins, ça lui évite de débander après son orgasme, et ça le maintient bien raide dans mon cul. Il se remet même à bouger légèrement, comme pour bien sentir sa queue au chaud dans ma viande. Hhhhhmmmm, oui, baise-moi encore, Gégé ! Je gémis, je geins … 

 

Et soudain, Diego accentue la pression de ses mains sur ma tête, et m'enfonce sa queue au fond de la gorge ! Il pousse un long « Rhââââââââââââââââhhhhhh ! » et je sens un premier jet de semence brûlante frapper ma luette et mes amygdales ! Oh ouiiii, il éjacule dans ma gorge ! Et toujours pas le moindre haut-le-cœur ! Bloquant ma respiration par une sorte de réflexe involontaire qui ferme ma trachée, je sens sa liqueur s'écouler directement dans mon œsophage. Je m'apprête à le sortir un peu de ma bouche pour recevoir le reste de sa jouissance sur la langue, mais il le fait de lui-même, et il continue d'éjaculer entre ma langue et mon palais. Hhhhhhmmmm, ce que c'est bon ! C'est tiède, c'est un peu salé et je sens quelques grumeaux caoutchouteux se coller à mes papilles. Je garde cette crème dans ma bouche, qui commence à s'insinuer jusque entre mes gencives et mes joues. Il grogne, il halète, le ventre pris de soubresauts incontrôlés. Enfin, l'étau de ses mains se desserre sur ma tête. Il se calme, souffle bruyamment et extrait délicatement sa queue de ma bouche. Je serre consciencieusement les lèvres sur sa verge, à la fois pour en extraire toute sa liqueur, et pour empêcher ce qu'il m'a répandu dans la bouche de ressortir et de me couler sur le menton. Il saisit sa queue entre son pouce et son index, et:

- Ah, la vaaaaache !

 

Et, tout en se recalottant, il se met à rire.:

- Ah, dis donc, Gégé, t'as bien fait de venir me chercher !

 

Me prenant par le menton, il demande:

- Et toi, alors, t'as tout avalé !

 

Je secoue la tête et je bâille: non, pas encore. Il se penche et regarde:

- Ah non. T'as tout gardé. Tu vas avaler ?

- Attends, attends ! Fais voir.

 

C'est Gégé qui veut voir. Il se redresse en s'appuyant lourdement sur mes reins, et je sens qu'il extrait lentement sa queue de mon cul. Je sens son gland passer en glissant le canal plus étroit de mon anus. Il se recule pour me laisser me redresser à mon tour. Je me retourne, je lui fais face et je bâille à nouveau:

- Ah ouais ! Il t'a mis la dose, hein, le Diego ! Putain, tu vas avaler sa jute ?

 

J'avale, je déglutis, puis je bâille à nouveau face à Gégé:

- Rhââ, putain ! Il a tout avalé ! Putain, Diego, il a avalé tout c'que tu y'as mis ! Ah la vache, t'aimes pas que la bite, toi  alors ! T'aimes aussi la jute !

- Oui.

- Oh, la VAAAACHE ! T'es … tu … tu t'prends des bites dans l'cul  et … et … et t'avales de la jute … t'es … tu … PUUUU …TAIIIIIIN !!!

 

Il n'en revient pas. Les idées se bousculent dans sa tête et il ne trouve plus ses mots. Diego a remonté son pantalon et est en train de refermer sa braguette. Je regarde Gégé tirer sur la peau de son prépuce pour remballer son gland. En un tournemain, il parvient à le faire rentrer dans cette poche qui semble pourtant bien trop petite pour contenir ce disque de chair improbable. D'un seul coup, il se tourne vers moi, comme si une idée venait de jaillir dans sa tête:

- Hé, mais … qu'est-ce tu fous, maintenant ?

- Comment ça …

- Ben ouais, Cricri t'a baisé, j't'ai baisé, Robert t'a baisé, et t'as sucé Diego. Alors, qu'est-ce tu fous, maintenant ? Tu te barres ? Tu … tu restes, ou quoi ?

 

Il a récupéré son caleçon et son pantalon et il se débat pour les remettre, toujours sans prendre la peine d'ôter ses tennis. Bon, je fais quoi, je me barre ou je reste ?

- Je sais pas. J'attends que Robert se réveille …

- Pour quoi faire ? Il t'a déjà baisé …

- Oui, il m'a baisé. Ben, je l'attends pour lui dire au revoir. A moins qu'il ait envie de recommencer …

- … de recommencer ? Tu veux dire … de t'baiser ? Tu r'commencerais si il avait envie ?

- Ben oui.

- Et nous, si on voulait r'commencer …

- Et ben, on recommencerait. T'as encore envie ?

- Nan, pas là, tout d'suite, mais plus tard …

 

Il regarde Diego. Ça carbure dans sa tête:

- T'en dis quoi, Diego ?

- Je … je sais pas … moi, j'veux bien recommencer, mais pas tout de suite non plus.

- Bon. Alors, on fait quoi ?

 

Autrement dit, dans l'immédiat, ils ne peuvent plus, mais ils ont bien envie de me garder "sous le coude" pour un peu plus tard. Une "fille facile" comme moi, qui ne demande qu'à se faire baiser par les deux bouts, c'est une occase à ne pas laisser s'envoler. Et moi, recommencer, évidemment, ça me dit. Alors:

- Alors ? J'attends que vous soyez de nouveau en forme, et on recommence.

- Tu … tu restes pour recommencer avec nous ?

- Oui.

 

Ils se regardent, incrédules. Pour les rassurer, j'insiste:

- J'ai toute la journée devant moi. Alors, si ça vous dit, on recommence cet après-midi, et en attendant, on se fait une bouffe.

- Une bouffe ? Ici ?

- Oui. T'as un meilleur endroit ?

- Nan, mais Robert, il va gueuler.

- Robert, j'en fais mon affaire. Vous, vous allez acheter de la bouffe. En attendant, je fais un peu de vaisselle et de rangement.

- De la bouffe ? Mais quoi comme bouffe ?

- A vous de voir. Mais, s'il vous plaît, pas de burger, de pizza ou de merde dans ce genre. De la vraie bouffe, quoi.

 

 Diego:

- Y'a le traiteur, devant la mairie.

 

Gégé:

- C'est lundi. Il est fermé

- Y'a la supérette. Ils sont ouverts le lundi et ils font boucherie.

- Ouais, mais moi, je sais pas faire la bouffe.

 

J'interviens:

- Moi, je sais. Vous prenez ce qui vous fait envie, et moi, je cuisinerai.

- Ah bon. OK.

- Et pensez au reste: pain, vin, légumes, fromage …

 

Ils me dévisagent. Gégé:

- Tu suces, tu te fais enculer, tu fais la vaisselle et le ménage … et en plus, tu sais faire la bouffe ? Tu veux pas te marier avec moi ?

 

Il ricane, content son bon mot, et:

- Dis, en plus, tu nous donnerais pas de la tune, pour acheter la bouffe ?

- Bon, allez-y, je vous attends.

 

Gégé, après avoir donné une petite claque dans le dos de son pote, se tourne vers moi:

- On y va, mec. Et toi, bouge pas, hein, on r'vient t'baiser.

 

Ils disparaissent dans le couloir et j'entends Gégé commenter « Putain, quelle salope ! Tu le crois, toi, une salope pareille ? ». Je ne distingue pas la réponse de Diego, mais à son ton, je comprends qu'il approuve le commentaire. J'entends la porte d'entrée se refermer. Je jette un coup d'œil circulaire dans la cuisine. La vache, quel bordel ! Par où commencer ? Déjà, faire de la place sur l'évier. C'est parti ! En rabattant ma jupe, je me rends compte qu'en jouissant, je l'ai souillée, et je sens le sperme dont je l'ai imprégnée se coller sur ma cuisse. Alors, je l'enlève et je la pose sur le dossier d'une chaise. Je tacherai de la nettoyer après. D'ailleurs, du sperme, j'ai l'impression qu'il m'en coule du cul. C'est ce que Gégé m'a injecté. Je monte à la salle d'eau ? Bof, en arrivant, tout à l'heure, j'ai vu une troisième porte au bout du couloir. Peut-être des chiottes. Yesss, c'est ça ! Ça va faire l'affaire. C'est crade et ça pue la pisse là-dedans. Peu importe, je me pose, je pousse un peu pour me vider et je m'essuie. Ça ira. Je passerai par la salle d'eau quand Robert sera réveillé.

 

Quand j'entreprends de vider les restes de fayots à moitié pourris qui traînent dans une casserole, je m'aperçois que la poubelle est plus que pleine. C'est elle qui dégage la puanteur qui règne dans cette cuisine. Je ferme comme je peux le pochon de supermarché qui sert de sac poubelle et je le porte jusque sur le perron devant l'entrée. Au moment où j'ouvre la porte, cul nu et la bite à l'air, une mémère qui promène son chien passe devant la maison. A ma vue, elle ouvre de grands yeux et détourne brusquement la tête. Pour la discrétion à laquelle Robert semblait tant tenir, c'est foutu !

 

J'essaie d'aérer, mais la fenêtre me résiste. J'ai l'impression qu'elle n'a pas été ouverte depuis des lustres. Je m'aperçois aussi qu'un des carreaux est cassé et qu'il a été remplacé par un bout de carton. A force d'insister, je parviens à ouvrir. Ouf, on respire, dans ce taudis. Je mets à tremper les casseroles et les gamelles les plus encrassées et je commence à laver le reste. C'est alors que Robert, enfin réveillé, déboule dans la cuisine. Dans le miroir au-dessus de l'évier, je le vois regarder autour de lui, l'air hébété et de mauvais poil :

- Ben, qu'est-ce que c'est ce bordel ? Et qu'est-ce tu fous, l'cul à l'air ?

- Tu vois, je fais la vaisselle.

- Ben pourquoi ?

- Elle en avait besoin. Tu crois pas ?

- Mouais … mais pourquoi t'as l'cul à l'air ?

 

Je le vois qui se dandine derrière moi, les yeux braqués sur mon cul.

 

- J'ai joui sur ma jupe. Tiens, regarde, elle est là.

- T'as joui ?

- Oui. On a baisé avec Gégé.

- T'as baisé avec Gégé ?

- Oui. Et avec son petit frère et un certain Diego. Tu connais ?

- Avec Cricri ? Ouais, Diego, j'le connais … c'est l'aut' con d'Gégé qui les a ramenés, j'suis sûr.

- Exact. Il est allé les chercher pendant qu'on était dans ta chambre, toi et moi.

- Mais pourquoi … pourquoi ils t'ont … pourquoi t'as fait ça ?

- Pourquoi j'ai baisé avec eux ? Enfin, c'est plutôt eux qui m'ont baisé. Ben j'en avais envie, tout simplement. Ça te gêne ? J'espère que non, parce qu'on va recommencer.

- Vous allez recommencer ? Il s'est pas barré, l'autre con ?

- Si, il s'est barré, mais il va revenir. Diego aussi, d'ailleurs.

- Ils sont partis où ?

- Ils sont partis acheter à manger.

- A manger ?

- Oui, on va manger …

- Ici ?

- Oui…

- Ouais, ben moi, j'leur fais pas à manger !

-  Personne te demande de leur faire à manger. C'est moi qui vais cuisiner.

- Ah bon ?

 

Aussitôt, toujours dans le miroir devant moi, je le vois sourire. La perspective de manger semble le mettre de meilleure humeur. Du coup, il se met à mater mon cul d'un autre œil, plus lubrique. Il lève les yeux, réalise que je le vois dans le miroir, et il me sourit. Je lui lance:

- Approche.

 

Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà derrière moi. Il me plaque ses deux mains sur les fesses. Alors ça, me faire tripoter quand je suis occupé à la vaisselle, j'adore ! Le yeux baissés sur mes reins, il me palpe les miches, il me les pétrit. Tout en continuant de récurer des assiettes, je me laisse peloter un petit moment. Puis je sors mes mains de la bassine, j'attrape un torchon pas très propre, accroché à côté de l'évier, et je me sèche grossièrement. Je raccroche le torchon et je passe mes mains derrière moi. Il écarte les siennes, comprenant immédiatement où je veux en venir. Mes paumes sur la toile de son pantalon … sur son ventre … sur la bosse que fait sa queue … sa bite, déjà un peu gonflée … hhhmmmm, il commence à bander !

- T'as encore envie de m'enculer, Robert ?

 

Il ne répond pas. A tâtons, je cherche la ceinture de son pantalon, je glisse une main dedans, puis dans son caleçon, et je trouve sa queue. Hhhhhmmmm ! Toute chaude, toute douce sous mes doigts, déjà bien gonflée, mais pas dure, pas raide … j'aime beaucoup tripoter une bite dans cet état. C'est comme un jouet en caoutchouc. Je la saisis et je commence à la masturber en prenant garde de ne pas la décalotter. Je sens qu'elle bave un peu contre mon poignet. Alors là, je ne peux pas résister plus longtemps ! Serrant toujours sa bite dans ma main, je me retourne et, dans le même mouvement, je m'accroupis devant lui. De mon autre main, je descends d'un seul coup les ceintures de son pantalon et de son caleçon sous ses couilles. Et la voilà ! Hhmmmm ! Elle est toujours aussi quelconque, mais cette bite qui commence à bander, le gland presque entièrement caché dans son prépuce, je trouve ça à la fois attendrissant et excitant. Une goutte translucide perle à l'entrée de son méat, et le peu de son gland qui dépasse de son prépuce est humide et luisant de mouille. Je pose le bout de mon index sur cette goutte d'excitation. Quand j'éloigne mon doigt, elle s'allonge en un long fil visqueux que j'étire jusqu'à mes lèvres. Je l'aspire délicatement pour ne pas le rompre, tout en approchant ma bouche de ce sexe. D'un coup de langue, je nettoie tout ce fluide qui commence maintenant à couvrir jusqu'à la bordure de son prépuce, tant son excitation augmente. Alors, serrant mes doigts sur sa verge, j'en fais coulisser la peau vers son pubis et, au fur et à mesure qu'elle se décalotte, j'enfonce sa bite dans la tiédeur humide de ma bouche. 

 

Tandis que je me cramponne au tissu de son pantalon pour ne pas perdre l'équilibre, Robert me saisit la tête à deux mains. C'est bien, presque tous les mecs me font ça, sans que j'ai besoin de leur demander. J'adore ! Je commence à faire aller et venir ma bouche sur son membre. Il durcit entre ma langue et mon palais. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Sentir un mâle prendre du plaisir comme ça dans ma bouche, ça me … ça me trouble, ça m'émeut, ça m'excite, ça me comble. Définitivement, je suis fait pour ça, donner du plaisir aux mâles. A la pression incontrôlée de ses mains sur mon crâne, à sa respiration de plus en plus bruyante, aux mouvements erratiques de son bassin, je sens que son excitation augmente à toute vitesse. Mais comme il a déjà joui deux fois ce matin, il va tenir le coup et je vais pouvoir profiter longtemps de sa queue dans ma bouche. J'accentue ma fellation.

 

Et j'entends la porte d'entrée s'ouvrir et des pas résonner dans le couloir. Ça ne peut être que Gégé et Diego, alors je continue, je me fous de tailler une pipe à Robert devant eux. Mais Robert, non. D'un brusque mouvement du bassin, il sort sa queue de ma bouche et remonte précipitamment son pantalon sur son ventre.

 

Ce n'est pas Gégé et Diego. C'est Cricri et un autre type, plus grand et plus vieux que lui. En me voyant, accroupi devant Robert et le cul à l'air, Cricri comprend tout de suite ce qu'on faisait, et il se marre. L'autre ouvre de grand yeux. Robert:

- Ben, Cricri, qu'est-ce tu viens foutre ? Salut, Jean-Louis.

 

Cricri ne prend même pas la peine de répondre. Tandis que je me relève, il me désigne au nouveau venu:

- Tu vois ? C'est lui. J'te l'avais dit: y suce et y s'fait mettre !

 

Le Jean-Louis en question tend la main à Robert, avant de se tourner vers moi, ne sachant pas trop où poser les yeux:

- Salut, Robert. Tu vas bien ? Bonjour mons… monsieur. Désolé d'arriver comme ça. Je savais pas que … que vous … Je … je sors.

- Non, ne sortez pas. A moins que ça vous gêne. Moi, ça ne me gêne pas.

- Bon, bon, d'accord. Je suis le frère de Cricri. Je … il m'a raconté ce que vous ... Je voulais pas le croire, il est assez menteur, mais comme cette fois il y mettait beaucoup de conviction et d'insistance, j'ai voulu en avoir le cœur net … Je … je vois que … qu'en effet, il avait raison. Je … je vais m'en aller, maintenant.

 

C'est lui, le frère de Cricri et de Gégé ? Il a l'air très bien, ce mec. Il n'a pas l'air … comment il a dit, Gégé ? Taré ? Ou peut-être débile, je ne sais plus. Il s'exprime très bien et en fait, il m'a plutôt l'air d'être le moins taré des trois. Alors je m'avance et je lui tends la main:

- Non. Ne partez pas, vous pouvez rester. Enfin, à moins que ma tenue et ma présence ne vous gênent vraiment. Moi, je ne suis pas pudique du tout et ça ne me gêne absolument pas de me promener devant vous dans cette tenue. 

- Et même de sucer des bites et de te faire enculer.

 

C'est Cricri qui croit utile de préciser. Je confirme:

- En effet, comme dit Cricri: ça ne me gêne pas non plus de sucer des bites et de me faire enculer devant des gens. Là, par exemple, quand vous êtes entrés, j'étais en train de tailler une pipe à Robert, et j'aurais bien continué, mais c'est lui qui a préféré arrêter.

 

Robert, gêné, bougonne je ne sais quoi où il est question de "se faire sucer devant tout le monde". Jean-Louis sourit:

- Mais, vous faites ça pour …

 

Sans en avoir l'air, c'était une question. Alors je lui explique:

- Je fais ça uniquement pour le plaisir … le plaisir des hommes ET le mien. J'aime ça. C'est pas pour de l'argent, si c'est ce que vous voulez savoir. 

 

De nouveau, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir. Cette fois, c'est sûrement Gégé et Diego. En effet, les voilà dans la cuisine, avec, tous les deux, un sac de supermarché dans chaque main. Gégé:

- Tiens. Qu'est-ce tu fous là, toi ?

 

Ça s'adressait à son frère, Jean-Louis, qui répond:

- Cricri m'a dit ce qui se passait ici et j'ai voulu voir si c'était vrai.

- Bon, ben t'as vu. Tu peux t'casser. Salut.

 

Jean-Louis nous regarde, Robert et moi, gêné par le comportement de son frère. Je m'apprête à intervenir, mais Robert me devance:

- Hé, Gégé, t'es pas chez toi, ici, et c'est pas toi qui décides si ton frangin il reste ou pas.

 

Jean-Louis:

- C'est pas grave, je m'en vais.

 

Robert:

- Nan. Tu peux rester, Jean-Louis. 

 

Et se tournant vers moi:

- Pas vrai ?

- Bien sûr. Plus on est de fous, plus on rit.

 

Gégé:

- Ouais, mais y'a pas à bouffer pour lui.

- Mais si, y'aura assez. Salut, Jean-Louis.

 

C'est Diego qui intervient à son tour, et serre la main au nouveau venu après avoir posé ses sacs sur la table de formica. Il en ouvre un et s'adresse à moi:

- Regarde. On a pris un rosbif. A mon avis, y'a de quoi pour six. Non ?

 

En effet, vu la taille du paquet de boucherie que je vois au fond du sac, il y en a même sûrement pour huit ou dix. J'insiste:

- Oh oui, vous avez vu grand, et il y a largement. Reste, Jean-Louis. Tu vois, Robert et moi, on t'invite.

 

Gégé:

- Hé, c'est nous qu'on a payé les courses.

 

Diego:

- Non. C'est MOI qui ai payé, toi, t'as jamais un rond. Alors Jean-Louis, il peut rester, moi aussi je l'invite.

 

C'est réglé. Gégé soupire et se retire dans le salon. Puis il se ravise, revient et demande à Robert:

- J'peux prendre une bière ?

- Vas-y.

 

Pendant que Diego, Robert et Jean-Louis déballent sur la table le contenu des sacs de courses (trois bouteilles de Bordeaux ! Des patates sautées surgelées, un camembert, une bouteille de whisky, une de Porto, un sac de salade toute prête, des pâtisseries et jusqu'à des crackers pour l'apéritif !), je retourne à la vaisselle. Tout ça est assez simple, mais j'ai l'impression que, pour Diego - et les autres -, c'est un repas de fête qu'il a composé. Ces mecs ne doivent pas faire souvent un repas de ce genre. Je les imagine plutôt se taper tous les jours des sandwichs et des boîtes de conserve Je lance à Robert:

- Tu as ce qu'il faut, comme oignon, ail et persil ?

- Euh. Non. J'vais aller en chercher chez la voisine.

 

Diego:

- Si tu veux commencer à cuisiner, t'as qu'à laisser la vaisselle. On va la finir, avec Jean-Louis. Au fait, je sais même pas comment tu t'appelles.

- Marin. Appelle-moi Marin.

- Ou alors salope, ou pute !

 

C'est Gégé, vautré sur la banquette, qui la ramène. Alors, je confirme:

- Oui, tu peux aussi m'appeler salope, ou pute, comme dit Gégé. Ça ne me dérange pas.

 

Diego hausse les épaules:

- Non. Marin, c'est bien.

 

Je m'essuie les mains, et, en me mettant à la recherche d'un plat assez grand pour contenir l'énorme rosbif, je lance à Cricri, qui glande, affalé sur une chaise:

- Tiens, Cricri, mets donc la table. Robert va te dire où trouver ce qu'il faut.

 

Il me regarde, ébahi. On n'a jamais dû lui demander de mettre la table. Robert:

- Ouais. Dans le buffet, y'a le service de table à ma mère. J'm'en suis jamais servi. J'te montre et après j'vais chez la voisine.

 

Il a l'air tout content d'avoir l'occasion de sortir le service de sa mère. Et voilà, à part Gégé, ils s'activent tous. Et ça a l'air de leur plaire. Si je ne me baladais pas le cul et la bite à l'air, ça ressemblerait presque à un dimanche matin en famille, quand tout le monde se retrouve avant un bon repas ! Et en fait, je me demande si mes cinq mecs ne seraient pas aussi réjouis à la perspective de ce gueuleton qu'à celle de la partie de cul qui va suivre. Quand Robert revient, il a l'air soucieux:

- La voisine, elle t'a vu t't'à l'heure !

- Ah, c'est celle qui promenait son chien ?

- Ouais. Elle a dit qu't'avais ton oiseau à l'air !

 

Eclat de rire général. J'explique:

- Oui, j'ai sorti le sac poubelle sur le perron. Je pensais pas qu'il y aurait quelqu'un dans la rue. Désolé.

- J'lui ai dit qu't'es mon cousin et qu'tu sortais de la douche.

- T'aurais plutôt dû lui dire que c'était ta tante, et pas ton cousin !

 

Gégé, évidemment. Re-éclat de rire général. Il ne faut pas un quart d'heure pour que toute la bouffe soit prête et le rosbif bon à enfourner. Je m'aperçois alors que Cricri, après avoir mis la table, a même préparé l'apéro sur la table basse du salon. Debout à côté de la banquette, il me regarde, content de lui, en attendant un compliment. Alors:

- T'es un chef, Cricri !

- Ouais ! C'est bien, Cricri ! T'es un bon garçon et t'auras le droit de m'niquer une deuxième fois.

 

Encore Gégé ! Je m'approche de Cricri et je lui passe la main sur le bas-ventre:

- T'as raison, Gégé, si ça lui dit, il aura le droit de me niquer une deuxième fois, comme dit ton frère. Ça te dit, Cricri ?

 

Il hoche la tête vigoureusement:

- Ah ouais, ça m'dit. Et mon frangin, il pourra aussi te niquer ?

- Jean-Louis?

- Ouais.

 

Jean-Louis, lui, secoue la tête:

- Non non non ! Je suis pas venu pour ça ! Non non !

- Ben si. Si ça te dit, tu pourras aussi me niquer. Ou si tu préfères, je te suce.

 

Cricri:

- Ah ! Tu vois ?

- Non non, je … excusez-moi, je … je veux pas …

- Comme tu veux. Mais si tu changes d'avis, c'est pas un problème. Ça me ferait plaisir, même.

 

Robert:

- Bon, on boit un coup, les mecs ?

 

Ils s'assoient. Robert et Gégé remplissent les verres: whisky pour tout le monde, y compris Cricri, sauf Jean-Louis qui prend un porto ! Whisky pour moi aussi, mais il faudra que je veille à garder le contrôle. On a à peine commencé à siroter que Gégé pose son verre à ses pieds et entreprend de déboutonner son jean et de descendre son zip:

- Hé, la suceuse de bites, viens là !

 

Immédiatement, je pose aussi mon verre et, sous les yeux ébahis des quatre autres, je m'approche de Gégé. Pendant qu'il déballe sa queue, je m'agenouille entre ses jambes. Je crois que, des cinq, c'est lui le plus surpris de ma docilité. Mais il bande déjà ! Je prends directement ce truc bizarre dans ma bouche et je le décalotte en faisant coulisser la peau de sa verge et en m'aidant de la langue. Hhmmmm, ça, c'est du biscuit à apéro ! Je vais les sucer tous les cinq en guise d'amuse-bouche. Pas jusqu'à les faire éjaculer, mais les faire bander à mort et leur donner du plaisir. J'espère que les autres vont aussi sortir leurs bites. Gégé a la même idée que moi:

- Allez-y, les mecs ! Sortez vos zobs ! Vous voyez ? Il ne demande que ça, sucer de la bite ! Attends une seconde, toi.

 

Il m'a tapoté sur l'épaule en disant ça, et il se penche au-dessus de moi pour récupérer son verre à ses pieds, puis il se cale bien au fond du canapé, ventre tendu et bite offerte. Il avale une gorgée, et:

- Et alors, les mecs ! Elle est pas belle la vie ?

 

Je n'ai pas recraché sa queue. Assis à la gauche de Gégé, Diego, tout en me regardant sucer son pote, sort aussi sa bite. Yessss ! Cricri, sur sa chaise au bout du canapé, les yeux exorbités, a glissé sa main dans son jean et, visiblement, il est en train de se tripoter. Les deux autres derrière moi, j'ai beau faire, pas moyen de savoir si ils sortent aussi leurs bites. Gégé, une main sur ma tête:

- Putain ! T'aimes ça, hein !

 

Inutile de répondre, je pense que ça se voit. Je le sors de ma bouche et je glisse jusque entre les genoux de Diego. Il bande aussi et se masturbe doucement. J'en profite pour jeter un coup d'œil derrière moi, à Robert et Jean-Louis. Robert a une main dans son pantalon de survêt et il se tripote. Jean-Louis, les yeux ronds, les deux mains sur les genoux, n'a pas ouvert sa braguette. Je demande à Robert:

- Dis, Robert, tu voudrais pas enfourner le rosbif ?

 

Surpris que je pense à ce genre de chose dans un moment pareil, ils se regardent, les uns les autres et se marrent. Sans un mot, Robert lâche sa bite, se lève et disparaît dans la cuisine. Je me tourne vers Diego, je donne un coup de langue sur toute la longueur de sa verge, je prends son gland dans ma bouche et je le suce, lentement, lascivement. C'est lui, au bout d'un moment, qui me fait arrêter, sans doute au bord de l'éjaculation. Cricri, toujours la main dans son pantalon, me regarde approcher, la bouche entrouverte et les yeux ronds. Il me laisse ouvrir sa braguette et extraire sa bite. Hhhmmmm, un long fil de bave s'étire entre son gland et le tissu de son caleçon. Je commence aussi en léchant sa verge de bas en haut puis de haut en bas, avant de la prendre à son tour dans ma bouche. Il me fait arrêter rapidement en plaquant la paume de sa main sur mon front et en me repoussant. Je me tourne et j'approche de Jean-Louis. Les cuisses serrées, il secoue la tête; "non non non !". Je pose les mains sur ses genoux et je les écarte de force. Il empoigne le haut de sa braguette pour m'empêcher de l'ouvrir. Derrière moi, Gégé:

- Pfffff ! R'gardez-le ! Lui aussi, c'est un puceau. Il a la trouille !

 

Pas la peine d'insister pour lui faire sortir sa bite. Je ne vais quand même pas le violer. Je me contente de me pencher et de poser mes lèvres sur son bas-ventre. Là, sous la toile, je sens la bosse que fait son sexe. C'est chaud et j'ai l'impression que c'est un peu dur. Il ne veut pas que je le suce, mais me voir le faire aux autres le fait quand même bander. Je lève les yeux sur lui:

- C'est dommage, ça me plairait beaucoup.

 

Il continue de secouer la tête "non non non !". Je passe à Robert, qui descend de lui même la ceinture de son pantalon sous ses couilles. Alors lui, il est déjà décalotté et sa bite se dresse, raide, à la verticale. Je le prends directement dans ma bouche. Moi aussi, je bande et, sans aucune retenue, je me mets à me masturber en le suçant. Quand, à son tour, il repousse délicatement ma tête, je retourne à Gégé et à son étrange queue, et je recommence ma "tournée". Maintenant, l'ambiance est vraiment très chaude, dans ce salon: pendant que je suce l'un d'eux, les trois autres se tripotent plus ou moins ouvertement, plus ou moins vigoureusement, et discutent en attendant leur tour. Je fais comme ça deux autres tours complets, essayant toujours, au passage, de convaincre Jean-Louis de me confier son sexe. Je suis sûr qu'il bande de plus en plus, mais il refuse systématiquement. Robert, après mon troisième passage, lance:

- Bon, on boufferait pas, maintenant ? J'ai la dalle.

 

Instantanément, ça casse l'ambiance. Il faut dire que l'odeur de ce qui cuit dans le four commence à se répandre jusque dans le salon. S'ils ne disaient rien, les autres devaient aussi "avoir la dalle", parce qu'ils approuvent et commencent à se lever et à remballer leurs outils. En moins de dix secondes, les voilà tous attablés. Visiblement, ils comptent sur moi pour faire le service. Bah, ça aussi, ça me va. Toutefois, Diego me lance:

- T'as besoin d'un coup de main ?

- Non. Ça va aller.

 

Pendant que je sors la viande du four et que je la coupe, j'entends, au milieu de leurs conversations et de leurs rires – ils commentent sans vergogne et en termes extrêmement crus mes "compétences buccales", en prenant bien soin que je les entende. J'adore ça ! - j'entends le bruit sec des bouchons des bouteilles de Bordeaux qu'ils débouchent, et le glouglou des verres qu'ils remplissent. Quand j'entre dans la salle à manger, le plat de viande et de patates à la main, je suis accueilli par des sifflets et des acclamations. Quelque chose d'indéfinissable dans le spectacle de ces cinq mecs attablés me trouble. Pourtant, une petite voix, au fond de moi, me dit « Regarde-les, c'est bien des mecs ! Ils se mettent les pieds sous la table et comptent se faire servir ! » Spontanément, naturellement, ils se sont conformés à la caricature du mâle: les mecs à table et la femme au service ! Et pourtant, malgré ça, j'éprouve un vrai plaisir à ce spectacle, une espèce de … plénitude. En dépit de son côté surréaliste, cette scène a vraiment quelque chose de familial ! A ceci près que je ne suis pas la mère de ces mecs, mais la femelle qu'ils ont niquée et qu'ils vont encore baiser après manger ! Je ne suis pas leur mère, mais ils me manifestent tous plus ou moins une espèce de déférence (Gégé mis à part, évidemment. Mais lui ne respecte pas non plus sa "vieille", comme il l'appelle, et qu'il traite même de salope), tout en considérant que je suis à leur service. Cela dit, moi aussi, je me considère à leur service. Et plus pour leur soulager la bite que pour les servir à table. Mais là, ça me fait plaisir de jouer le jeu et de faire le service, comme ça, le cul et la bite à l'air. D'ailleurs, plutôt que de poser le plat au milieu de la table et de les laisser se servir, ou de les servir depuis ma place – ils m'ont quand même réservé une place d'honneur, au bout de la table -, je vais faire le service debout, à côté de chacun d'eux, et j'espère bien qu'au moins l'un d'entre eux aura l'idée de me tripoter pendant que j'aurais les mains occupées.

 

Alors je commence par celui qui est sans doute le plus âgé des cinq, Diego. Et bingo, ça ne manque pas ! Je ne suis pas sitôt à sa gauche, entre lui et Robert, qu'il me glisse une main entre les cuisses, et remonte jusqu'à mon cul. Hhhmmmm, j'adore ! Son geste n'échappe pas aux autres, évidemment, qui se remettent à siffler et à s'esclaffer. Alors, j'écarte un peu plus les jambes, je me cale bien sur mes pieds, et je prends mon temps pour le servir. Il me caresse l'intérieur de la cuisse. Quand son assiette est pleine, j'attends qu'il me "libère". J'adore ça, et je commence à bander. Ce qui n'échappe pas non plus à Gégé:

- Il bande, c'te salope ! 

 

Diego accentue sa caresse en riant et commence même à s'aventurer entre mes fesses. Oh, putain, il va me mettre un doigt ! Les mains prises, je fléchis un peu les genoux de façon à m'écarter un peu les fesses. Ma parole, c'est son pouce qu'il plaque contre ma fleur ! Il le bouge un peu, et j'attends qu'il me l'enfonce ! Cette fois, c'est moi qui perds le contrôle et qui manque de lui renverser patates et viande sur les genoux. Il ôte précipitamment sa main en riant:

- Hé ! Fais quand même gaffe !

 

Je me reprends et je passe à Robert. Ça ne manque pas, lui aussi se met à me peloter, sans doute pour faire comme Diego, mais plus maladroitement, sans doute pressé de manger. Evidemment, j'y ai droit aussi de la part de Gégé et de Cricri. Mais lui, je me rends compte rapidement que, tout en me palpant le cul, il a les yeux rivés sur ma bite. Il ne va quand même pas me la tripoter !

- Hé, Cricri, suce lui la bite, tant que tu y'es !

 

Gégé, encore Gégé, toujours Gégé ! Cricri ôte sa main de mon cul, hausse les épaules, ricane, et saisit couteau et fourchette. Il n'y a que Jean-Louis, qui ne me tripote pas quand j'arrive à lui. Après, ils mangent et ils boivent. Ils mangent même de très bon appétit. Et ils boivent pas mal, Jean-Louis excepté, qui tourne à l'eau du robinet, et Cricri, que ces deux frangins modèrent beaucoup, trop à son goût. Ils mangent, ils boivent … et ils causent ! 

 

L'apéro et le vin leur délient la langue, et je n'ai pas besoin de les pousser beaucoup pour en savoir plus sur leur compte. Comme je le pressentais, aucun des quatre adultes ne travaille. Robert vit du RSA et, en fait, il n'a hérité de sa mère que la moitié de la maison, le reste appartenant à son oncle, fortuné et bienveillant, qui le laisse en jouir et qui paie même les impôts locaux et les travaux d'entretien les plus urgents. Gégé s'est fait "sucrer" ses allocs, comme il dit, faute d'accepter de se plier à certaines formalités administratives. Egalement incapable d'obéir aux ordres d'un patron ou d'un contremaître, il s'est fait virer de tous les emplois que les uns et les autres lui avaient trouvés, et il "bricole", comme il dit, en vendant à la sauvette diverses marchandises "tombées du camion". Ce qui lui a déjà valu plusieurs séjours en prison. Avec ses frères, ils s'entassent dans le logement social (deux pièces !) fourni par la mairie à sa mère, alcoolique et à demi grabataire. Cricri a fui le foyer de la DASS où il avait été placé et vit plus ou moins en clandestin, se planquant sur le toit de l'immeuble lors des descentes des services sociaux et des gendarmes. Jean-Louis vit d'une petite pension d'invalidité due à de fréquentes crises d'épilepsie invalidante (ça doit être ce que Gégé appelle "avoir une case en moins"). En outre, il s'adonne à la peinture en autodidacte et parvient à vendre une toile ou deux de temps à autre. Enfin, de Diego, beaucoup moins loquace que les autres, j'apprends seulement qu'il vit d'une petite "pension" et de ce que lui donnent quelques commerçants qu'il aide à déballer et remballer sur les marché de la ville. Bien évidemment, à l'exception de Diego, les uns et les autres profitent des restos du cœur, et pour ne pas faire de jaloux, aussi bien du secours catholique que du secours populaire.

 

Tout en mangeant et en parlant, c'est Robert et Gégé qui picolent le plus. Les trois bouteilles de Bordeaux sont éclusées avant que nous en soyons au fromage. Mais non, Robert n'a pas de vin, ni dans sa cuisine, ni dans sa cave … non, Robert n'a que de la bière et non, Robert ne veut pas aller demander du vin à sa voisine. Qu'à cela ne tienne, pour finir le repas, Gégé et lui se rabattent sur la bouteille de Porto.

 

Bien évidemment, quand ils ont terminé, mes quatre queutards quittent la table sans débarrasser et retournent s'asseoir dans le salon, me laissant en tête à tête avec Jean-Louis. Quand je passe devant eux en allant reporter les plats vides à la cuisine, à leur comportement, je sens tout de suite dans quelles dispositions mentale et physique ils se trouvent. Le ventre plein, repus, le cerveau plus ou moins embrumé par l'alcool, ils se vautrent. Avachis dans la banquette, jambes tendues, Robert, Gégé et Diego, la paupière lourde, semblent saisis par cette espèce de torpeur qui suit un repas copieux et bien arrosé. Cricri, pas vraiment en meilleure forme, s'est écroulé dans un fauteuil, le dos appuyé à un des accoudoirs et les jambes sur l'autre. C'est le moment où la bonne chaire et l'alcool, en même temps qu'ils entraînent un engourdissement de la tête et du corps, provoquent dans certaines parties du corps un afflux de sang (notamment le bas ventre et le sexe), et poussent certains à faire ce qu'on appelle une sieste crapuleuse. 

 

Donc, quand je passe devant eux, les mains chargées de vaisselle, non seulement je sens leurs quatre regards braqués sur mes fesses et sur mes cuisses, mais je devine aussi les pensées salaces que ça provoque en eux. D'ailleurs, Gégé se redresse promptement et essaie en vain de me coller une main au cul, avant de s'écrouler de nouveau au fond du canapé. Quand je pose les plats sur la table, Diego me lance:

- Laisse ça, Marin, on fera ça tout à l'heure. Viens avec nous, on va prendre le café.

 

Mouais, ça semble partir d'un bon sentiment, mais aux ricanements de Gégé et de Cricri, je me demande s'ils ne comptent pas que je leur offre un café à ma façon, comme tout à l'heure je leur ai offert un apéro à ma façon. Et puis, non, Robert n'a pas non plus de café. Même pas en poudre, et ni Diego ni Gégé n'ont pensé à en acheter. Alors, le café à ma façon, ce n'est pas Diego qui y pense le premier, mais Gégé. Quand je reviens dans le salon, il s'extrait péniblement du canapé, me prend par le coude, et:

- Viens par ici, toi. Puisque y'a pas d'café, à la place j'vais t'en foutre un coup dans l'cul !

La suite en cliquant ici: Les paumés de L.F. 3ème partie

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 4 octobre 2016 2 04 /10 /Oct /2016 01:00

Promenons nous dans les bois ...

... pendant que le loup n'y est pas ...

 

Si le loup y était ...

... il me mangerait !

 

Hhhhhhmmmm !

 

 

Promenons-nous-dans-les-bois-001.png

 

J'aime beaucoup me balader en minijupe dans la nature, la bite et le cul à l'air. Evidemment, je choisis des endroits tranquilles, où je ne risque pas de rencontrer des gens que ma tenue pourrait déranger.

 

Ça, c'est une vidéo que j'ai faite au cours d'une de ces balades dans un bois. Au bout d'un moment j'ai entendu, puis vu passer des voitures, et j'ai compris que j'étais arrivé à l'orée de ce bois. Petite route avec pas mal de circulation. Alors je n'ai pas pu résister, je me suis peloté en regardant passer le trafic.

 


 

Par Solosexe - Publié dans : Exhibitions - Communauté : TRAVESTIS
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