Jeudi 2 février 2012 4 02 /02 /Fév /2012 07:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dimanche 9 juillet. 9 heures.

Je me lève le premier, je me douche et je descend préparer le petit déjeuner. Il arrive peu de temps après, douché et portant un de mes peignoirs. Nous prenons le petit déjeuner au soleil dans le jardin. La légère gêne que j'ai ressenti à son arrivée se dissipe tout de suite devant son naturel. 

- Des regrets ?

- Pas du tout. Je regrette seulement d'avoir attendu si longtemps. Et toi ?

- Je te l'ai dit, c'était très bien… pour un novice. Mieux qu'avec certains mecs expérimentés.

 

Il me pose la main sur le genou, me caresse légèrement la cuisse, remonte jusqu'à mon entrejambes, glisse ses doigts dans la jambière de mon short et me touche le sexe. Il est insatiable ! Mais c'est excitant et je caresse sa main qui me tripote. Au bout d'un moment, il retire sa main, se lève, s'approche de moi et me serre contre lui, avec une certaine tendresse. J'ai la tête contre son ventre. Je glisse ma main sous son peignoir, la remonte entre ses cuisses jusqu'à son entrejambes. Je lui caresse un moment la raie des fesses, puis je dénoue la ceinture du peignoir. Il a un début d'érection. Je l'attire face à moi, mes jambes entre les siennes. Je saisis sa queue, la masturbe deux ou trois fois, et la prends dans ma bouche. Je le tiens par les hanches, et lui, les genoux de part et d'autre de mes cuisses, me tient la tête à deux mains. Il a écarté les pans du peignoir, il se cambre pour mieux m'offrir sa bite à sucer, et rejette sa tête en arrière. Soleil, chaleur et sexe … instant magique.

 

Il se laisse sucer comme ça un long moment. Je sens bien qu'à ce moment, il ne recherche que le plaisir sensuel et que ça ne le conduira pas à l'orgasme. Moi, je me concentre sur la dégustation de cette bite. L'étudiante en psychologie qui, un jour, m'a dit que j'étais un "buccal", avait bien raison. Comment l'avait-elle compris? C'est si agréable de sucer cette queue, que l'eau m'en vient littéralement à la bouche, et que je salive abondamment. Sa forme, sa taille, sa consistance, son goût, sa chaleur, la douceur de sa peau, ses veines et son urètre qui saillent, sa palpitation, le fluide qui s'en écoule légèrement sur ma langue, le sperme que je devine à quelques centimètres de ma gorge … tout contribue aux plaisirs confondus de ma bouche, de ma tête et de ma propre queue. Ça m'excite beaucoup, je bande, et je sens que ma queue bave un peu de fluide contre ma cuisse. Je dois être en train de mouiller mon short. 

 

Il retire doucement sa queue de ma bouche et s'assoit à califourchon sur mes genoux, face à moi. Il soulève mon T-shirt, écarte la ceinture de mon short, y glisse sa main, extrait ma bite un peu baveuse et commence à me masturber doucement. Il me demande:

- A part sucer un mec, tu as d'autres fantasmes ?

- Plein…

- Comme ?

Un réflexe idiot de pudeur me retient un court instant. Bêtement, je biaise:

- Certains que j'ai assouvis, d'autres pas …

Il rit:

- Encore un peu coincé? C'est normal. Moi, j'ai essayé plein de trucs. Par exemple, je rêvais de baiser avec un transexuel, tu sais, ceux qui ressemblent à des filles à gros seins, mais avec une grosse bite. Beau cul, belle gueule, belle poitrine et grosse queue ... J'ai essayé. J'adore.

- J'aimerais sûrement aussi …

- J'aime bien aussi me faire attacher par mon partenaire … ou ma partenaire … et me laisser faire tout ce qu'ils veulent. 

- Ça, non, ça ne me tente pas trop …

- J'ai aussi fait une partouze avec seulement des mecs. Sept, huit, je ne sais plus…

 

Pendant ce temps, il continue de me malaxer la bite. J'ai pris la sienne et je lui fais la même chose.

- Une troupe de mecs, j'aimerais bien, mais il faut être sûr d'eux, que ça ne tourne pas mal.

- Et toi, quelles expériences "hors normes" tu as faites ?

- Ça t'intéresse ?

- Evidemment.

- Alors, attends un instant …

 

Je lui fais signe de se lever et il s'écarte. Je me rajuste et je monte chercher mon ordinateur portable. Quand je redescends, il est assis dans un fauteuil, il a enlevé le peignoir et s'offre nu au soleil. Il paraît étonné de voir ce que je ramène. Etonné et intéressé. Je démarre l'engin et je commence la visite guidée:

- Tu vas voir quelles sont mes fantasmes et mes perversions.

- Tu te prends en photos ?

- Et je me filme. 

Au point où nous en sommes de nos relations, j'ai décidé de ne rien lui cacher. Ni mon fétichisme pour les petites culottes, ni que j'aime porter de la lingerie féminine, ni mon auto-sodomie, ni mon goût pour la branlette, ni que je m'introduis tout ce qui me tombe sous la main … Dès les premières photos, il s'étonne:

- Tu caches bien ton jeu.

- Je ne cache pas, je suis discret. Nuance …

 

 

Après un moment pendant lequel je l'ai guidé dans les méandres de mon ordinateur, il prend lui-même la souris et se met à explorer mes déviances. Et de toute évidence, ce qu'il voit l'étonne et lui plaît. Il ne peut pas dissimuler le trouble que tout ça lui occasionne: il se remet à bander, et il se tripote. Agenouillé à côté de lui, j'écarte la main avec laquelle il se masturbe et je me mets à le branler pendant qu'il découvre mes vidéos. 

- Dis donc, tu te mets des trucs énormes dans le cul… Tu aimes ça ?

- Comme tu peux voir.

A ce moment, il regarde des scènes dans lesquelles je me donne du plaisir avec un gros godemiché noir. 

- Il y a plus gros que ça. Vas voir dans le fichier "mousse noire".

Il cherche, trouve, et se met à bander un peu plus fort. Toujours agenouillé à côté de lui, je commence, ou plutôt je recommence, à le sucer. Après quelques minutes, il écarte ma tête de son sexe:

- Doucement, ça va trop vite.

- Ce gros truc en mousse, c'est aussi agréable qu'impressionnant. Mais il y a plus "hard".

Et je lui indique où trouver les scènes où je m'introduis des bouteilles de gros diamètre et des objets de toutes sortes. Il est sidéré:

- Tu vas bien plus loin que moi …

- Je vais surtout bien plus profond …

- Quel fantasme tu aimerais pouvoir réaliser ?

- Baiser avec un black qui aurait une grosse queue.

- Ça, je l'ai déjà fait. Tu aimerais qu'il te fasse quoi ?

- J'aimerais le sucer …

- Ça, je m'en doute.

- le branler, et me faire … euh …

- … enculer?

- Voilà.

- J'ai déjà fait ça. C'est bien. Je pense que nous, les mecs, blancs, nous avons le même fantasme que les femmes blanches vis-à-vis des blacks. Ce qu'on envie, ce n'est pas d'avoir une grosse bite comme eux, mais d'en … profiter, comme les femmes.

- C'est possible. 

- D'autres fantasmes ?

- Et bien, baiser avec plusieurs noirs … avec des grosses queues, évidemment.

- Rien que ça !!!

- Oui. Quand je regarde des vidéos de gang-bang, j'envie les filles qui se font prendre par trois, quatre ou cinq blacks. J'aimerais être à leur place.

 

Et brutalement, il se redresse, me relève et m'entraîne vers un transat au milieu de la pelouse. Il m'enlève short et T-shirt, me pousse à m'allonger à plat ventre et vient se coucher sur moi.

 

Je sens sa bite, toute gonflée, entre mes fesses. Il se frotte et glisse sa main sous mon ventre pour me saisir la queue. Il me tripote un moment tout en allant et venant contre mon anus. Puis il me lâche le sexe et s'écarte de moi. Je le sens s'agenouiller derrière moi et m'écarter les jambes. Je me demande ce qu'il veut faire. Pas longtemps: soudain, je sens sa langue entre mes fesses. Je me cambre pour lui donner mon assentiment et pour lui faciliter les choses. Il passe sa langue depuis mes reins jusqu'à mon périnée, puis remonte, plusieurs fois, s'attardant un peu plus à chaque passage sur ma rondelle. Puis je le sens qui m'écarte les fesses, et il m'introduit la langue dans l'anus. J'adore. Visiblement, il cherche à me lubrifier. Il va m'enculer… Je le sens qui me rentre un doigt. On dirait le majeur. Un deuxième. L'index. Il me remouille le trou avec la langue et m'introduit le pouce. Puis l'autre pouce … je veux dire les deux pouces … en même temps. Et il m'écarte la rondelle. Je l'arrête:

- Attends, pas comme ça … Patiente un moment … Je vais revenir …

 

Je commence à me redresser. Il hésite et continue à me tripoter le cul, puis se redresse à son tour:

- OK. Fais vite, j'ai une urgence …

Je fonce vers la salle de bain pendant qu'il s'allonge à ma place sur le transat. Je me lave le cul, dehors et surtout dedans. Je n'ai pas envie qu'il se fourre dans la merde… Au passage, je prends mon appareil photos … on ne sait jamais. Et je redescends

 

Là, je réalise que le transat est au beau milieu de la pelouse et que nous allons être visibles - que nous avons été visibles - en train de baiser, depuis chez les voisins et depuis le champ d'à côté. Si les voisins s'avisaient de regarder par-dessus le mur, ou si le paysan venait inspecter son pré … Mais au fond, ça me plaît. Qu'ils regardent, si ça leur chante, on va leur en donner pour leur argent. Je vais enfin me faire enculer !

 

Thomas est allongé sur le dos. Il se tripote au soleil. Il a un peu débandé. Je pose mon appareil à côté du transat, je lui lèche un peu la queue et les couilles, et je lui demande:

- Ça t'ennuierait que je nous filme ?

Il n'a pas l'air surpris, juste un peu amusé. Il hésite, puis:

- Si c'est ton plaisir …

Je met l'appareil en route, je cadre la scène d'assez près pour qu'on voie les détails et je déclenche.

Puis j'enfourche Thomas, à genoux de part et d'autre de son bassin et je pose ma rondelle sur sa bite. Je fais quelques mouvements d'avant en arrière. Ça le remotive aussitôt et il rebande dur. Je me soulève un peu, je saisis son pieu et j'appuie son gland contre ma rosette. J'en ai le cœur qui bat. Sa queue bien empoignée, je descend doucement mon bassin et je sens son gland qui commence à me pénétrer. Je descend plus résolument et je sens toute sa queue qui s'enfonce en moi. 

 

Ça y est: j'ai, enfin, une bite, une vrai bite, dans le cul. Je la sens bien. Je la sens surtout au niveau de mon sphincter. A l'intérieur de moi, c'est plus confus, je n'ai pas de sensation nette. Mais je profite de cet instant de plaisir et je me tortille pour la faire entrer aussi profondément que possible. C'est un plaisir anal, mais aussi cérébral: j'ai un mec dans moi. Pas un godemiché, si bien imité soit-il, pas un bout de bois, si gros soit-il, pas un énorme truc en mousse, si agréable soit-il. Non, un sexe d'homme, qui a envie de moi, que je fais bander, qui aime ce que je lui fais, un membre vivant, chaud, excité, frémissant, un organe normalement destiné à répandre du sperme dans le ventre d'un femme pour lui faire un enfant, mais qui va me l'injecter à moi, son sperme, uniquement pour son plaisir et pour le mien. Je reste un moment comme ça, planté sur sa queue, légèrement penché en arrière, les mains appuyées sur le transat de part et d'autre de ses genoux, offert à la chaleur du soleil. Thomas s'est redressé sur les coudes et nous contemple, l'air ravi. Je bouge un peu le bassin, et je le sens durcir en moi. Je contracte mon sphincter pour lui serrer un peu la bite. Il se cambre, essayant de me pénétrer plus profondément. Puis, appuyé d'un seul coude au transat, il me tripote la queue. Tout ça, le soleil, notre nudité impudique, son sexe dans moi, sa main qui me masturbe … je n'ai jamais rien vécu de tel. Je voudrais rester comme ça longtemps.

 

Après un long moment:

- Viens, allonge-toi et tourne-toi.

Je me relève et je sens sa queue qui me sort du cul. Il quitte le transat pour me laisser la place. Je vais réactiver l'appareil photo. Il sourit:

- Tu ne perds pas le nord. C'est une nouvelle expérience pour moi, mais c'est assez excitant.

- Mon appareil n'enregistre pas de longues séquences. Il faut le relancer, changer de cadre …

J'amène l'appareil plus près du transat, pour un plan rapproché de sa bite en train de me rentrer dans le cul. Ça l'amuse, et il me fait signe de m'allonger sur le ventre. Il se couche sur moi, et je le sens qui cherche à m'introduire de nouveau sa bite dans le cul. Je me cambre, je m'écarte les fesses, il trouve l'entrée de mon fourreau et commence à aller et venir. Comme ça aussi, j'aime beaucoup. Le sentir peser sur moi, sentir sa queue coulisser dans mon rectum, sentir qu'il essaie de la pousser au plus profond de mon ventre, la sentir qui ressort doucement, puis qui revient … 

 

Au bout d'un moment, je réalise que je sens aussi ses testicules qui viennent battre contre mon périnée, entre mon anus et mes propres couilles. Je glisse ma main sous mon ventre, entre mes cuisses, puis vers mes fesses et je lui touche les boules. Je finis par les saisir, en formant un anneau autour de leur base, avec le pouce et l'index. Ça a l'air de lui plaire. Il se redresse en s'appuyant sur les mains et s'enfonce en moi à coups de boutoir en gémissant. Puis il s'allonge de nouveau sur moi, glisse sa main sous mon ventre, et écarte la mienne, qui tenait ses couilles. Il extrait sa queue de mon cul, se met alors à genoux, me saisis les hanches et m'attire la croupe vers son ventre. 

 

Il veut me prendre en levrette. Je me laisse faire, évidemment. C'est lui qui me dit:

- Tu ne manipules pas ton appareil ?

 

Il a raison. Je manipule donc, et je me remets en position. Il me fourre de nouveau sa queue dans le cul, me reprend par les hanches et commence à me besogner. C'est encore mieux comme ça. J'ai l'impression qu'il va encore plus profondément en moi. Il prend tout son temps. Il doit contempler le spectacle, en même temps qu'il me baise. Quand je baise ma femme en levrette, j'adore regarder ma bite aller et venir dans sa chatte. C'est super excitant. Voir sa queue disparaître entièrement dans quelqu'un, la voir ressortir jusqu'à l'apparition du gland, la re-rentrer avant que le gland ne sorte entièrement … le pied ! Puis Thomas s'immobilise et, m'empoignant les hanches, il me fait aller et venir d'avant en arrière sur son sexe. Pendant tout ce temps, je prends aussi du plaisir. «Fais-moi ce que tu veux. Amuse-toi avec mon cul. Baise-moi. Je sens ta queue, je sens tes couilles. J'aime ça.»

 

Soudain, je le sens qui, tout en restant dans moi, pose un pied par terre, puis l'autre, de chaque côté du transat, et qui continue à m'enculer comme ça, debout, les jambes à demi fléchies. Ses mouvements s'accélèrent, deviennent plus violents. Puis il sort de moi, me donne un claque sur les fesses et me dit:

- Viens !

 

Je le suis et j'attrape l'appareil photos au passage. Il se masturbe en marchant. Il m'entraîne vers la table, pousse le plateau du petit déjeuner, réactive l'ordinateur et cherche parmi mes photos et mes vidéos. Après avoir recadré l'appareil, je me colle à lui, contre son dos, et les bras passés autour de son buste, je lui tripote la queue. Il trouve enfin ce qu'il cherchait. C'est une vidéo dans laquelle je me défonce le cul avec une grosse bûche. Il se tourne vers moi, m'embrasse, me pousse devant la table, me fait m'y appuyer sur les coudes et me dit:

- Maintenant, je vais me finir…

 

Il me prend de nouveau par derrière et commence lentement à me sodomiser tout en regardant la vidéo. Je sens son excitation monter: sa queue devient plus grosse et plus dure, son souffle s'accélère, ses mouvements deviennent plus brusques, il grogne, il gémit de plaisir … Et soudain, il passe ses deux mains devant moi, sous mes couilles, me soulève de terre à la fois avec ses mains et avec son gourdin qu'il me plante à fond dans le cul, et pousse un grand Haaaaaaaa ! Je sens sa queue s'agiter de soubresauts dans mon rectum. Je pense qu'il m'éjacule dans le cul. Je ne sens pas son sperme m'inonder, mais je l'imagine qui jaillit dans moi. Il a encore de la crème, après les deux coups de cette nuit? Ça paraît ne pas devoir s'arrêter. Il me ramone à grands coups de queue, tout en continuant à pousser des Haaaaaaa ! Il prend un de ces pieds! Mes pieds ne touchent plus le sol et je suis obligé de m'agripper à la table pour ne pas tomber. Enfin, il se bloque contre moi, la bite entrée à fond, et il pousse un dernier gémissement. 

 

Sa queue, un peu ramollie, sort de moi. Il me repose au sol, m'enserre de ses bras, m'embrasse dans le cou, et me tient comme ça un long moment. J'en suis assez bouleversé, mais je sens son sperme sortir de mon cul et me couler le long des cuisses. Il m'a effectivement inondé. Ça m'excite et me fait bander. Il me fait me retourner, m'enlace, et me roule une longue et grosse pelle.

- Il y a longtemps que je n'avais pas joui comme ça … Ce sont tes vidéos et ton appareil photos qui m'ont excité.

- Tu veux bien me filmer le cul ?

- Comment ça, maintenant?

- Oui, avec ton sperme qui coule…

- Alors, toi ! Tu ne penses qu'à ça … Comment on fait?

 

Je lui explique, je me retourne de nouveau, courbé au-dessus de la table, et il filme longuement sa semence qui coule contre mes cuisses pendant que je me paluche. Je me retourne face à lui et je lui demande:

- Recule un peu, prends un plan plus large, qu'on voie mes cuisses et ma tête …

Un peu surpris, il obtempère et commence à filmer. J'essuie son sperme sur mes cuisses avec la main, et je la lèche tout en me branlant. Il est scié, mais il rit.

- Fais une contre-plongée pour filmer dans un même plan mon trou du cul et ma bouche.

Il s'agenouille devant moi, je me fourre la main dans le cul et j'en ramène encore un peu de crème que je m'empresse de sucer sur mes doigts. Quand c'est fini, il me dit:

- Attends, on va faire autre chose. Reste appuyé contre la table.

Il repose l'appareil sur son pied, l'éloigne un peu, recadre, déclenche, et s'approche de moi. Il s'agenouille de nouveau devant moi et se met à me sucer la bite. Par manque d'habitude, il a mal positionné l'appareil qui ne filme que sa nuque, son dos et moi. On ne verra pas ni sa bouche, ni ma queue. Je le fais donc tourner un peu pour que l'appareil filme dans le détail cette scène de fellation. Il a compris et tourne un peu de lui-même. Comme ça, on est bien.

 

Le cul appuyé à la table, je tiens la tête de Thomas qui va et vient le long de ma bite. Je regarde l'objectif. J'étais déjà très excité par ce coup de queue dans mon cul et par le léchage de sa semence, mais là, avec la caméra qui tourne pendant qu'il me taille une pipe ! Et il sait y faire, l'animal. Il m'engloutit l'engin jusqu'au fond de la gorge. Puis, tout en suçant, il m'introduit un doigt dans le cul. Puis deux. Puis trois. Puis quatre. Il ne laisse que le pouce à l'extérieur. Pour lui faciliter le travail, je passe une jambe sur son épaule. Et sa main rentre et sort. C'est à la fois un peu douloureux, et tellement agréable. Je ne tarde pas à être au bord de l'éjaculation. Il le sent et augmente la pression de ses lèvres sur ma verge. Et je me déverse dans sa bouche. Longuement. Quand j'ai terminé, il se relève, se colle à moi, m'empoigne la queue, me plaque sa bouche sur la mienne, m'écarte les lèvres et me bave mon propre sperme sur la langue. Nous nous embrassons comme ça un bon moment, échangeant salive et semence. 

 

Puis il me pousse en arrière, m'allonge le dos sur la table, me remonte les cuisses sur le ventre, s'approche de moi et me glisse sa queue en semi-érection dans le cul. La situation doit l'inspirer, parce que je sens qu'il durcit de nouveau. Un main posée sur chacun de mes genoux, il va et vient lentement dans moi. Je vois qu'il contemple le spectacle. Je me redresse sur les coudes pour en profiter aussi. Je vois sa queue, ou plutôt une partie, disparaître en moi et en ressortir. C'est assez excitant. Nous restons comme ça un long moment. Nous avons tous deux pris notre pied, nous sommes sexuellement repus, et nous … dégustons en quelque sorte ces instants supplémentaires. Ma position sur les coudes est assez inconfortable et je m'allonge de nouveau, le laissant me prendre et me posséder tout son soûl. Et contre toute attente, je sens qu'il s'excite de nouveau. Il déplie mes jambes, me place les chevilles sur ses épaules, m'empoigne les cuisses et se met à me pilonner à grands coups de boutoir. Son pubis vient cogner contre mon périnée. Il m'envoie littéralement sa queue dans le cul. Son ventre vient battre avec un bruit mat contre mes cuisses. Il me fourrage les entrailles. Il se met à ponctuer chaque pénétration d'un grognement. Peu à peu son rythme accélère, puis, brutalement, il se plie en avant, le torse appuyé sur mes jambes, le ventre en buttée contre mes fesses, sans doute sur la pointe des pieds. Et je sens à la soudaine raideur de tout son corps et à son souffle coupé qu'il a un nouvel orgasme. Il est en moi aussi profondément qu'il est possible, mais il essaie de s'enfoncer encore plus, comme s'il voulait entrer entièrement en moi. Puis il se calme, s'amollit et s'effondre sur moi.

- Ça va ? 

Il ne répond pas, se contente de geindre doucement.

- Reste dans moi. J'aime sentir ta queue dans mon cul.

Il bouge un peu, s'efforce de m'enfoncer son sexe devenu tout mou. Mais rien à faire, il s'échappe, glisse, me sort du cul. 

- Je ne peux pas. Désolé.

Il se redresse, s'écarte. Je me relève et me remets sur mes pieds. Nous nous enlaçons un long moment

 

Enfin, nous nous décollons l'un de l'autre, apaisés, repus de sexe.

Douche, visionnage de nos séquences de cul. Et nous reprenons nos discussions sérieuses, comme si de rien n'était, si ce n'est une légère caresse de temps à autre, de l'un ou de l'autre.

En fin de matinée, Thomas décide de rentrer chez lui. Au moment de me quitter, il me dit:

- Ça a été un week-end dont je me souviendrai.

- Moi aussi. J'ai aimé tout ce que tu m'as fait et tout ce que je t'ai fait. Et j'ai des souvenirs.

Il me regarde longuement, paraît réfléchir intensément, puis:

- Etant donné que tu aimes … le cul et la bite - ça ne te choque pas que je dise ça, j'espère - comme tu aimes le cul et la bite, je pense que je te ferai bientôt une surprise. 

- Tu vas revenir?

- Sans doute, mais ça ne sera pas ça, la surprise. Attends-toi à avoir des nouvelles de moi avant longtemps.

- Quel genre de surprise, alors?

- Je ne peux pas t'en dire plus. Tu verras, une surprise, ça ne se dévoile pas à l'avance.

Et il s'en va.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 25 janvier 2012 3 25 /01 /Jan /2012 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Laurent.

 

Mercredi 21 juin.

Ce matin, c'est grand beau. Ça me donne envie d'aller me balader dans la campagne. Plus exactement, ça me donne envie de faire une de ces promenades masturbatoires dont j'ai pris l'habitude. J'irais bien marcher sur le chemin de randonnée que j'ai repéré il y a quelques jours, et y faire quelques photos ... à poil.

 

Je prépare donc mon matériel, appareil-photo avec trépied, serviette et le reste, le tout dans mon sac à dos. Et je m'équipe. Ce matin, vu le ciel bleu et le soleil, ce sera en short avec rien dessous et T-shirt. A tout hasard, j'ajoute dans le sac à dos mon porte-jarretelles favori et mes bas ainsi qu'un pantalon à enfiler par-dessus en cas de rencontre inattendue.

 

Et me voilà parti. 

J'aime beaucoup. Non seulement être à poil dans la nature, mais aussi dans des endroits où je suis susceptible de rencontrer des gens.

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Non pas que je cherche à m'exhiber, mais parce que le risque de me faire surprendre me provoque des décharges d'adrénaline très agréables. Au fil du temps, je prends d'ailleurs de plus en plus de risques. Finalement, je suis sans doute exhibitionniste. En plus, j'aime me photographier dans ces situations: à poil sur un chemin de randonnée, au bord d'une route, dans un champ, dans un bois, etc.

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Bref, me voilà parti.

 

En route, comme à mon habitude, je me tripote au volant. Je commence en me pétrissant la queue à travers mon short.

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Puis je sors ma bite par la jambière et je me masturbe. J'aime bien traverser les villages la queue à l'air, m'arrêter aux feux et me tripoter à côté des piétons et des autres automobilistes qui ne se doutent pas de ce que je fais. Il m'est même arrivé de faire ça en ville, en pleine circulation.

 

Me voilà sur le coteau qui surplombe la rivière. J'arrive au point de départ du chemin de randonnée et je me gare. Personne à gauche, personne à droite. Je vais aller à droite. Ça monte vers un endroit dégagé. Peut-être que je pourrai me livrer à mon "hobby" au sommet en surveillant le chemin assez loin des deux côtés pour voir arriver d'éventuels randonneurs.

En route. Evidemment, tout en marchant, je recommence à me pétrir la queue. Je regarde aussi à droite et à gauche du chemin à la recherche d'un endroit sympa pour quelques photos ou vidéos.

Me voilà au "sommet". En me retournant, je vois le chemin d'où j'arrive, jusqu'à ma voiture. Il y a plus de 500 mètres. Et personne en vue. Ça me laisse du temps de ce côté avant d'être surpris. De l'autre côté, le chemin redescend en bordure d'un bois et, à cause d'un faux-plat, je ne vois pas assez loin pour me sentir en sécurité. Je décide donc d'aller explorer un peu plus loin. Après 300 mètres, le chemin tourne à droite et ressort du bois. La vue est dégagée assez loin. Personne. J'ai donc le temps de faire quelques photos au sommet. Je rebrousse chemin.

 

En remontant, un peu avant le sommet, je remarque une construction en maçonnerie à laquelle je n'avais pas fait attention à l'aller. Si j'en profitais ? En quelques secondes, j'ai ôté mes chaussures, mon short et mon T-shirt, enfilé mon porte-jarretelles et préparé mon appareil photos. Je programme le retardateur et je me mets dans ma position favorite: appuyé sur la maçonnerie, les jambes écartées, le cul cambré. Clic-clac. Merci Kodak.

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Trois ou quatre photos, une vidéo, et me voilà reparti après avoir remis mon T-shirt et enfilé mon pantalon par-dessus mon porte-jarretelles.

 

J'estime que j'ai encore le temps d'arriver au sommet et de faire quelques autres photos, pourvu qu'il n'y ait personne sur l'autre versant par où je suis arrivé. En effet, personne. La vue est dégagée, le paysage magnifique sous le ciel bleu et le soleil. Je me déshabille et je prends de nouveau quelques clichés et quelques vidéos. 

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Puis je redescends vers ma voiture. Je vais aller voir plus loin si je ne trouve pas un autre endroit sympa. Arrivé à ma voiture, je fais de nouveau quelques photos le pantalon baissé près d'un autre cabanon et appuyé sur la barrière qui interdit l'accès au chemin. Ici, je ne vais pas jusqu'à me mettre complètement à poil… trop près de la route.

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Je redémarre et je m'arrête un peu plus loin. Un chemin d'exploitation conduit dans les champs. Je pourrais sans doute faire des photos dans un champ de blé. Je me gare de nouveau et je m'engage sur le chemin. Un petit bois le borde. Je décide de le longer pour voir où ça me conduira. Peut-être que, dans le sous-bois, je trouverai un endroit agréable pour faire d'autres photos, me masturber ou me fourrer des trucs dans le cul … Mais non, le sous-bois est sombre, pas assez de lumière pour les vidéos, et rien d'intéressant à m'introduire …

Plus loin, j'arrive à un pré qui a été fauché, fané et récolté récemment. Les rouleaux de foin sont toujours sur place. 

Aubaine ! J'ai envie depuis longtemps de me prendre en photo devant des rouleaux comme ceux-là. Va savoir pourquoi ... D'où j'arrive, ce serait étonnant qu'il vienne quelqu'un. Le pré en pente douce est bordé d'un côté par le bois que je viens de longer, de l'autre par une haie vive. Je suis tout en haut du pré, caché d'un côté par le bois, de l'autre par la haie. Il ne peut arriver quelqu'un que par le bas du pré. J'ai le temps de le voir venir et de me planquer dans le bois ou dans le champ d'à côté en passant à travers la haie.

 

Je choisis deux rouleaux de foin accolés en bordure du bois. Là je serai tranquille. Et je m'installe: j'ôte T-shirt et pantalon, je prépare mon appareil et je commence à me photographier. Il fait très bon, pas encore trop chaud, et je sens le soleil sur mes fesses et sur mon dos. C'est très agréable.

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En contrôlant mes photos, je remarque des jeux d'ombre et de lumière sur mon corps. Ça promet d'être plutôt bien sur écran … Ça m'excite un peu, et, la poitrine appuyée sur un rouleau de foin, je commence à me tripoter le cul et la queue. Bien sûr j'ai mis en route mon appareil en position vidéo …

 

Et soudain, derrière moi, retentit un:

- Alors, on s'amuse bien ?

 

En un fraction de seconde, j'ai l'impression que tout mon sang s'est retiré de mon corps, mes jambes flageolent, mes oreilles bourdonnent. Je ne l'ai pas entendu arriver.


Je me retourne. Il y a là un type hilare, quarante-cinq, cinquante ans, costaud. A sa tenue, on dirait un cultivateur, peut-être le propriétaire des rouleaux de foin.


Je me sens vraiment ridicule comme ça, à poil, le cul et la bite à l'air, avec mon porte-jarretelles.


Le sang revient dans mon corps aussi vite qu'il l'avait quitté. Et surtout dans ma tête: je sens que je pique un fard. Que faire? Récupérer mes vêtements pour me rhabiller? Mais, justement, il est tout à côté de mes habits. Il a deviné mon idée, et il fait:

- Tsss! Tsss! On ne bouge pas!

 

Aïe! Il est campé devant moi, les jambes un peu écartées, les poings sur les hanches. Hors de question de l'affronter. Je ne suis pas sûr de faire le poids, et puis, dans cette tenue …

- Je voudrais me rhabiller.

- Y'a pas le feu! Alors, comme ça, on porte des trucs de femme … et on se prend en photo …

 

Comme je ne peux pas nier une telle évidence, autant assumer. Ce constat posé, cette décision prise, je reprends un peu d'assurance:

- Comme vous voyez. Ça vous pose un problème ?

- Ce qui me pose un problème, c'est que tu fais ça chez moi … que tu t'exhibes à poil dans mon champ et que tu te fais … je sais pas quoi!

- Je ne savais pas que c'était chez vous. Et je ne me suis pas exhibé, j'ai cherché un endroit tranquille où je pensais ne pas être vu. Je ne pouvais pas deviner que vous alliez arriver aussi … discrètement. Bon, je peux récupérer mes habits ?

- Attends … Explique-moi quel plaisir tu as à t'attifer comme une gonzesse.

- Ben, il n'y a pas d'explication. J'aime porter ça et j'aime me prendre en photo parce que je trouve ça … sexy… 

- Tu en fais quoi de tes photos ?

- Rien. Enfin, je les garde pour moi. Ce n'est pas pour vendre …

 

Et soudain, d'une manière tout à fait inattendue, la gêne que je ressentais disparaît ... brusquement, comme une bulle de savon qui éclate ! Et une espèce de ... une espèce de chaleur m'envahit ... une espèce de chaleur et de ... plaisir ! Oui, ça me plaît d'être à poil, et même dans cette tenue indécente, devant cet inconnu. C'est à la fois un plaisir sensuel, avec ce soleil et cette légère bise sur mon corps, et un plaisir cérébral. Toute pudeur s'est envolée, et le regard de ce type, posé sur moi, sur mon corps, sur mon sexe, ça me plaît !

- T'es homo?

 

Aïe ! Si c'est un homophobe, je risque de passer un sale quart d'heure. J'esquive:

- Ça, c'est autre chose. On peut aimer porter des porte-jarretelles sans être homo … On pourrait plutôt dire que je suis … travesti, mais, travesti, c'est s'habiller entièrement en femme …

- Mouais … je te fais remarquer que comme ça, t'es habillé en femme. Pas la peine de finasser. Montre tes photos.

 

Au point où j'en suis, autant obtempérer. Ce qu'il verra en photo n'est pas pire que ce qu'il voit maintenant. Et ça aussi, ça me plaît, il va voir les autres photos que j'ai faites tout à l'heure. J'esquisse un geste vers mon appareil. Il m'arrête d'un geste:

- Bouge pas. Explique comment ça marche. Je ne connais pas ce genre d'appareil.

- Je vais vous montrer …

- Pas de connerie, hein!

 

Il a posé un pied sur mes vêtements. Il sait que, dans cette tenue, je suis en position d'infériorité et que je ne peux pas me cavaler.

- Non, non, je n'ai pas l'intention de faire de connerie ...

 

Il me laisse prendre mon appareil et je lui fais défiler les premières photos. Il a compris comment ça marche, il me prend l'appareil des mains et il continue tout seul. Je l'observe. Il paraît vraiment très intéressé par ce qu'il voit.


- Ben, dis donc, tu ne t'ennuies pas …

- J'essaye.

- T'es quand même gonflé. Là je reconnais, c'est sur le chemin de randonnée. Tu sais qu'il est fréquenté? N'importe qui peut te voir.

- Je fais attention qu'il n'y ait personne. Je vous l'ai dit, je ne cherche pas à m'exhiber. Si c'était le cas, je ferais ça où il y a du monde …

- Alors, ça te plaît de te balader à poil … enfin … comme ça, dans la nature?

- Oui. 

- Et là, t'es pas gêné? Ça n'a même pas l'air de t'embarrasser plus que ça d'être à poil devant moi …

- Qu'est-ce que je peux faire ? Je me rhabillerais bien, mais vous m'en empêchez. On ne va pas se battre, non ? Et puis, à mon âge, j'assume ce que je fais. Ce n'est pas un crime. J'aurais préféré ne pas me faire surprendre, mais, maintenant que c'est fait … 

 

L'ambiance s'est quelque peu détendue. Je me suis un peu reculé et je me suis appuyé au rouleau de foin.


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Lui a enlevé son pied de mes vêtements. Il sourit et hoche la tête:

- Je dois reconnaître que certaines de tes photos sont … assez …

- Oui ? C'est-à-dire ?

- Disons, elles sont pas mal. C'est vrai que c'est … comment tu dis ?

- Sexy ? Erotique ?

- Voilà, c'est ça.

 

Un ange passe. Il est très absorbé par ce qu'il voit sur mon appareil photos. Je trouve ça plutôt agréable, qu'il me mate en photos. Je demande:

- Bon, et on fait quoi, maintenant ?

 

Il ne répond pas tout de suite. Il me jette un coup d'œil par en-dessous. Il a l'air de cogiter intensément.

- Tu vas me sucer !

 

Boum ! Je ne m'attendais pas à ça. Mes photos ont dû l'exciter ! Ça me plaît ! Au fond, il doit être persuadé que si je suis travesti, c'est que je suis forcément homo, et que si je suis homo, je suce forcément qui le demande. 

- Non !

 

Il est décontenancé, il ne s'attendait pas à un refus, et du coup, il paraît un peu gêné de m'avoir dit ça. Je pousse mon avantage:

- Je ne vous sucerai pas ... je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais pas si vous n'avez pas le SIDA ou je ne sais quoi. 

 

J'espère lui faire réaliser que, lui non plus, ne sait pas à qui il a à faire, et qu'il prend un risque inconsidéré. Mais, apparemment, il ne veut pas abdiquer complètement et il cherche quand même à tirer profit de la situation parce que, après une courte hésitation:

- Bon, alors, tu vas me branler !

 

Au fond de moi, je devais plus ou moins espérer qu'ile veuille ça après que j'aie refusé de la sucer. Et pourquoi pas ? J'ai le sentiment que le rapport de force s'est un peu équilibré. En fait, maintenant, il n'ordonne pas, il demande. Le masturber, ça ne me fait pas peur, au contraire. Je n'ai encore jamais masturbé un autre mec, mais, au fond, j'en ai très envie, et depuis longtemps. Je sens que quelque chose s'éveille dans mon ventre et entre mes cuisses. Et si l'occasion ne se présente pas dans les conditions auxquelles j'avais rêvé, ça ne porte quand même pas à conséquence. Et puis c'est sûrement le meilleur moyen de le calmer. Alors:

- Ça, je veux bien, mais faut voir …

- Faut voir quoi ?

- Ta queue … montre moi ta queue.

 

Il écarquille les yeux. Il s'attendait à un autre refus, et je demande à voir sa queue … Je sens que je suis de moins en moins en position de faiblesse. Après une courte hésitation, il déboutonne sa braguette ... Putain, il va sortir sa bite ! Il extrait son membre avec difficulté. Il faut dire qu'il est déjà un peu en érection. Ce n'est pas une bite énorme, mais elle n'est pas moche. Ce que je redoutais, c'est une bite répugnante. Mais là, ça va … j'ai le cœur qui bat.

- Montre le reste … tes couilles ...

 

Il déboutonne son pantalon, le baisse, puis baisse son caleçon. Ça va aussi.

- Approche.

- Attention, hein, pas de connerie …

- Ne crains rien …

 

Les pieds entravés par son pantalon et son caleçon, il se dandine jusqu'à moi. Maintenant, il doit se sentir aussi ridicule que moi. Je ne me sens plus du tout en position d'infériorité. Et je vais toucher la bite de ce mec ! C'est à la fois troublant et excitant ! Et le fait que ce soit un parfait inconnu ajoute à mon émotion. Je sens mes barrières psychologiques tomber. J'ai de plus en plus envie de passer à l'acte ... vraiment à l'acte. Seul un reste de peur me retient.

 

Je soulève sa chemise qui lui retombe sur le sexe, et je saisis son membre. Ouaaaah, ça me fait un effet terrible, même si il est poilu, ce que je trouve plutôt désagréable. Mais, à part ça, il a une bite plutôt sympathique, avec une belle paire de boules. Je commence à le masturber doucement. Il ne sait pas quelle contenance adopter, mais je sens son sexe grossir dans ma main. Tout en le masturbant de la main droite, je lui prends les couilles de la main gauche. Il aime. Je crois qu'il a perdu toute défiance. Il me semble même qu'il tremble un peu.

- Déboutonne ta chemise.

 

Il obtempère. Il a un peu de ventre, mais pas plus que moi, et ça reste acceptable.

En fait, sa queue me plaît bien. Je suis pris d'une subite envie de le sucer. Dommage que j'aie peur d'attraper le SIDA, parce que je la sucerais bien, finalement, cette bite. Je m'agenouille devant lui et j'observe l'engin de près, tout en le branlant. Vraiment, miammm, ça me met l'eau à la bouche !!! Je dois me raisonner pour le pas la prendre entre mes lèvres. Une goutte de liqueur perle au bout de sa queue. Du pouce, je l'étale sur son gland et je le décalotte. Maintenant, il est vraiment très excité. Je vois les veines de sa verge gonfler et son gland se dilater. Il me demande:

- T'as pas de capote ?

- Non, pourquoi ?

- J'ai envie de … te … de t'enculer …

- Pas plus ça qu'une pipe …  Pour la même raison. Désolé.

 

Mais après un instant de réflexion, je lui dis:

- Si tu veux, tu peux te frotter contre moi …

- Comment ça ?

 

Je lâche sa queue, je me relève, je me retourne et je me penche en avant, appuyé sur le rouleau de foin. Je lui offre mon cul, souligné par mon porte-jarretelles et mes bas. C'est la première vision qu'il a eu de moi, et je suis sûr que c'est ce qui l'a excité dans mes photos. Il s'approche, s'empêtre de nouveau dans son pantalon.

- Enlève donc ton pantalon …

 

Au fond de moi, je regrette de ne pas avoir emmené de capote. Çe me plairaît bien qu'il me baise ! Je le sens qui ôte ses chaussures et quitte son pantalon et son caleçon. Il me saisit par les hanches et vient se plaquer contre moi. Il glisse sa bite entre mes fesses et commence à monter et descendre dans ma raie. Comme il fait chaud et que je transpire, la sueur entre mes fesses fait lubrifiant. Tout ça m'excite aussi passablement. Je bande. De mes hanches, ses mains passent sur mon ventre et il se plaque complètement à moi. Sa tête contre la mienne, je sens son souffle. Je lui prends la main droite et la guide vers mon sexe. Il a un mouvement de résistance, puis il me saisit délicatement la queue et commence à me masturber. Son frottement contre mon cul devient plus vigoureux. C'est sûrement de me tripoter la queue qui l'excite davantage. Tout ça dure un bon moment. Puis, il s'écarte et je le sens s'agenouiller derrière moi. Il m'empoigne les fesses à deux mains et me les pétrit.

- Quel cul !

 

Il ne sait pas à quel point il me fait plaisir.

J'ai maintenant sa tête entre les fesses, son nez contre ma rondelle. Il reste comme ça quelques minutes.

Enfin, il se relève, se plaque de nouveau contre moi et reprend son va et vient. Puis je le sens s'écarter un peu de moi, et soudain, je sens sa bite qui se presse contre mon anus.

- Tu es sûr que c'est non ?

 

Il ne précise pas à quoi il pense, mais c'est évident: il veut me pénétrer. Je marque une hésitation, puis, à regret:

- Oui, c'est sûr … La plupart des contaminations HIV ont lieu au cours d'une première fois. C'est ta première fois, non ?

 

Je ne lui précise pas si je pense à le contaminer ou à ce que lui me contamine. Il grommelle je ne sais quoi. Ça doit être sa première fois. Et j'ai réussi à l'inquiéter suffisamment pour qu'il n'insiste pas.

Je marque une pause, puis:

- Une autre fois …

 

Il replaque sa queue entre mes fesses. Son mouvement devient soudain plus violent, et brusquement, je sens quelque chose de chaud couler contre mes reins. Il éjacule. Je sens les soubresauts de sa queue contre ma raie. Il râle, il geint, puis il s'écroule contre moi. C'est un rapide !

Enfin, il s'écarte et s'affaisse à côté de moi, le dos contre la meule. Je m'agenouille à côté de lui.

- On dirait que ça t'a plu …

 

Il a l'air gêné, il ose à peine croiser mon regard. Je lui redemande:

- C'était la première fois ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu crois ? Je ne suis pas un …

- Un quoi ? Un homo ? Un pédé ? Non, mais tu voulais quand même te faire sucer par un mec et tu m'aurais bien enculé …

- …

- Il n'y a pas de quoi avoir honte, surtout vis-à-vis de moi. Je pense qu'il faut profiter de tous les plaisirs qui se présentent. On n'a qu'une vie.

- C'est pas dans mon éducation.

 

Je me suis relevé et je sors un rouleau de PQ de mon sac à dos pour m'essuyer le dos et les fesses. Il remarque:

- Tu es drôlement prévoyant …

 

Je ne relève pas et je ramasse mes vêtements. Il ne fait pas un geste pour m'en empêcher. Je commence à m'habiller. Il fait pareil. Un lourd silence s'installe. Comme je m'apprête à remballer mon appareil photo dans mon sac à dos, il me dit:

- Donne-moi la cartouche de ton appareil.

- Pour quoi faire ?

- Je veux les photos.

 

Il a adopté un ton dur, presque menaçant. Mais, maintenant, je ne suis plus du tout en position d'infériorité: je suis habillé, et j'ai le trépied de l'appareil photo à la main, déployé, qui ferait une bonne matraque. Il s'en rend compte. Et je pense qu'il se rend compte aussi qu'il ne sait rien de mon identité, alors que je sais que nous sommes dans son champ et que je peux donc savoir qui il est. Je sens qu'il cogite. Va-t-il essayer de me prendre l'appareil de force ? Jusqu'où un affrontement physique irait-il ? Qu'est-ce que je peux faire contre lui ?

Pour détendre l'atmosphère, je lui dis:

- Si tu les veux, je te les donnerai, mais pas maintenant. Ça sera une occasion de nous revoir.

- Nous revoir ?

 

Ça a l'air de l'inquiéter.

- Oui, pourquoi pas ? Peut-être que tu auras encore envie de … te faire sucer …. Peut-être que je serai d'accord … si je suis sûr de ne pas attraper une saloperie.

- Comment ça ?

- Si tu fais un test de dépistage du SIDA … 

 

Il ne répond pas. Ça semble tourner à toute vitesse dans son crâne. Je poursuis:

- Dis-moi comment je peux te contacter et je t'appellerai.

 

Il réfléchit un moment, puis:

- J'ai un portable.

- Donne-moi le numéro. Tu as ma parole que je t'appelle.

- Bon. 06.27. …….

- Je n'ai pas de quoi noter.

 

Il sort un calepin de sa poche, griffonne son numéro, arrache la feuille et me la tend.

- Tu peux recevoir des photos sur ton portable ? 

- Euh, oui, mais je ne sais pas trop comment on fait.

- Je trouverai. Bon, je pars le premier. N'essaye pas de me suivre.

- Pas de problème. Il faut que je rentre mon foin.

- Dommage. Je trouve ça bien, les rouleaux de foin dans les champs …

 

Et je m'éloigne.

 

 

Finalement, ça ne s'est pas mal terminé. Il m'a fait un peu peur, mais ça a été aussi une décharge d'adrénaline comme je les aime. Et puis, je crois qu'il est mûr pour aller plus loin … quand je le déciderai. Je vais le laisser mijoter un peu. Tiens, au fait, je ne sais même pas comment il s'appelle.

 

à suivre ...

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 6 octobre 2011 4 06 /10 /Oct /2011 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Première publication le 06/10/2011 

Thomas.

 

Dimanche 9 juillet. 7 heures.

Ce matin, au réveil, comme chaque matin, je bande. Couché sur le flanc gauche, la jambe gauche allongée, la jambe droite repliée en chien de fusil, je ressens dans tout le corps une impression de bien être, de plénitude physique et de sensualité. Le bout de mon sexe et mes testicules frôlent le drap. De la main droite, je saisis mon gland. Mes doigts effleurent l'épiderme lisse et soyeux de mon prépuce, descendent lentement le long de ma verge, en apprécient la douceur, et finissent par caresser mes testicules. Je commence à me masturber lentement.

 

Je sens derrière moi un mouvement dans le lit. Que fait-il dans mon lit? 

 

Ah oui, c'est Thomas. 

 

Hier, il était venu me rendre visite, échanger des documents sur notre passion commune, la généalogie. Je lui ai offert un verre, puis un autre. Nous nous sommes découvert bien d'autres centres d'intérêt communs. J'ai fini par l'inviter à dîner. Il avait fait très chaud toute la journée, et le soir venu n'avait qu'à peine rafraîchi l'atmosphère. Nous avons encore bu, jusque tard dans la nuit. Au moment de repartir, il était un peu éméché et je lui ai proposé de dormir à la maison, lui offrant mon lit. Je dormirais dans le canapé. Il a préféré le canapé.

Dans la nuit, il m'a réveillé: «Ça t'ennuie si je prends une douche? J'ai trop chaud, ton canapé est vraiment dur, et je n'arrive pas à dormir

- Non, bien sûr, ça ne m'ennuie pas, tu peux prendre une douche. Je te l'avais dit, pour le canapé. Echangeons.

- Pas question. Il y a deux places dans ton lit. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, nous pouvons y dormir tous les deux … en tout bien tout honneur, évidemment.

Evidemment … 

 

Il a pris sa douche, puis est venu se coucher à côté de moi. Je me suis rendormi avec un peu de mal, je dois dire. Les effets de l'alcool et de notre conversation de la soirée?

 

L'ai-je réveillé en bougeant? J'interrompt ma manipulation, guettant ses réactions. Son souffle est régulier. Il doit encore dormir. Pourtant, il vient se coller contre moi. Il m'emboîte littéralement, le bras gauche coincé entre sa poitrine et mon dos, le ventre frôlant mes fesses, les jambes allongées contre ma jambe gauche. Il passe son bras droit sous mon bras droit et pose sa main sur le drap, tout près de ma poitrine. Je ne bouge plus. Est-il venu contre moi inconsciemment, dans son sommeil? Ou bien a-t-il volontairement cherché cette amorce d'étreinte? 

 

Que faire? Le repousser? Dans l'état d'excitation où je suis, son contact, sa chaleur me troublent. Je décide de ne pas bouger, de faire semblant de dormir, de jouir de l'instant. S'il a voulu ce contact, en voyant que je ne le repousse pas, peut-être cherchera-t-il à savoir jusqu'où il peut aller. Notre discussion d'hier soir me revient en mémoire. Il avait reçu un appel sur son téléphone portable et il s'était éloigné, mais d'où j'étais, j'avais entendu que la discussion était plutôt orageuse. Quand elle a été terminée, il m'a dit, comme pour s'excuser: 

- Désolé, c'était mon ex.

- Tu es divorcé ?

- Euh … oui, je suis divorcé … mais ce n'était pas mon ex-épouse, c'était mon ex-compagnon.


Je n'ai pas pu réprimer une mimique d'étonnement, et il a poursuivi: 

- Je te choque? J'ai été marié une vingtaine d'années ... j'étais exclusivement hétéro à cette époque. Nous avons eu deux filles, puis nous avons divorcé, mais nous sommes restés en bons termes. C'est après notre divorce que j'ai découvert mon goût pour les hommes. Je te choque?

- Non, tu ne me choques pas. Simplement, quand un homme parle de son ex, on pense plutôt à une femme qu'à un homme.

- En fait, je ne suis pas vraiment homo. Ou plutôt, pas seulement homo. Disons que je suis bi. Bisexuel. Après mon divorce, j'ai travaillé quelques mois dans le Marais, et je prenais souvent un café dans un bar fréquenté par des homos. C'est le quartier. Un jour, un peu par ennui, un peu par curiosité, je me suis laissé draguer par l'un d'eux. Je n'avais pas l'intention de coucher, je trouvais la situation amusante. Mais au bout d'un moment, je n'ai plus maîtrisé la situation, et j'ai fini chez lui, et au lit. Et là, j'ai découvert que l'amour avec un homme peut être aussi agréable qu'avec une femme. Parfois, c'est même mieux. Tu n'as jamais essayé?

- Avec un homme? Non …

 

J'ai hésité une seconde ou deux: la conversation prenait une tournure si inattendue avec ce quasi-inconnu. Et puis, pourquoi pas ? J'ai repris:

- Enfin, oui, j'ai essayé. D'abord quand j'étais ado, avec mon meilleur copain, et ça n'est pas allé très loin.

 

Je marque une pause, et j'ajoute:

- Et il y a quelques jours, mais ça n'est pas allé loin non plus. Juste une … masturbation.

 

Je me surprends moi-même de faire cette confidence. C'est la première fois que je parle de mon "expérience" d'ado, et surtout que je mentionne ma récente aventure … bucolique avec Laurent contre ses rouleaux de foin. Mais il s'est confié si spontanément, je me suis senti en confiance.


- Ça ne te tente pas ? Je veux dire d'aller plus loin … Tu sais, tu n'es pas obligé de me répondre. C'est du domaine de l'intime. Moi, j'ai arrêté de complexer là-dessus, maintenant, j'assume ma bisexualité.

- Je ne sais pas. Peut-être … J'y pense, je me demande comment ce serait. En tout cas, l'idée ne me répugne pas. Mais pour le moment, je ne dois pas être tout à fait mûr pour ça.

 

La conversation sur ce sujet s'est arrêtée là. Nous sommes revenus à nos moutons "intellectuels".

 

Après un moment, toujours collé contre moi, il approche un peu plus son ventre de mes fesses et pose sa main droite contre mon torse. Son souffle contre ma nuque est encore très régulier, et je ne sais toujours pas s'il est éveillé ou s'il agit ainsi machinalement, dans son sommeil. A mon tour, j'accentue ce contact en appuyant davantage mes fesses contre son ventre. Après tout, si je le réveille et s'il n'a pas voulu ce contact, il pourra aussi penser que j'ai bougé dans mon sommeil. Si ça ne lui plaît pas, il s'éloignera.

 

Je n'ai pas à attendre bien longtemps. Sa main droite, jusque là posée sur ma poitrine, descend doucement vers mon sternum et commence à le caresser du bout des doigts. Cette fois, je suis sûr qu'il agit consciemment. Je trouve ça assez amusant et surtout très excitant. Il se redresse un peu et approche sa bouche de mon oreille:

- Alors? Tu veux vérifier si tu aimes ou pas ? Ne te sens pas obligé. Je ne me vexerai pas si c'est non.

 

Pourquoi ne pas profiter de cette occasion qui s'offre à moi de prendre du plaisir avec un homme? Pour lui marquer mon assentiment, je passe mon main droite jusqu'à ses reins et l'attire un peu plus contre moi. Il replie alors sa jambe droite en chien de fusil contre ma jambe droite, il m'emboîte encore plus étroitement et il étend et accentue sa caresse sur mon ventre. Je commence à sentir son membre qui bouge et gonfle contre moi. Mais, comprimé entre son ventre et mes fesses, il manque de place pour s'épanouir. Je glisse alors ma main vers le bas de mon dos, saisis doucement sa verge, et la place entre mes fesses. Il resserre alors son étreinte, et je sens son sexe s'enfouir entre mes fesses, et gonfler un peu plus. 

 

Je ramène ma main jusqu'à la sienne, sur mon ventre, et mêlant mes doigts aux siens, j'accompagne un moment sa caresse («je suis d'accord, caresse moi»), puis je saisis mon propre sexe. Il a senti mon geste et bientôt, il pose sa main sur la mienne, et l'entraîne dans un mouvement de va et vient sur ma verge. Il accompagne mon mouvement un moment, puis il m'écarte les doigts, m'enserre le pénis, et poursuit seul la masturbation. C'est un plaisir incroyablement intense. A mon tour, je pose ma main sur la sienne, et accompagne son lent mouvement de va et vient. 

 

De toute évidence, il sait comment on masturbe une queue, ce qui est rarement le cas d'une femme. Au bout d'un moment, il interrompt cette masturbation, empoigne ma verge et me malaxe le dessous du gland de son index humecté du fluide qui commence à s'écouler de ma bite. Puis il me saisit les testicules, les enserre à la base entre le pouce et l'index, et me pétrit doucement les bourses de ses autres doigts. Par ce mouvement, il a fini de me décalotter. Et il reprend sa - ma - masturbation. 

 

Rapidement, je suis au bord de l'explosion. Je repousse sa main et je me retourne. Nous sommes pratiquement bouche contre bouche, poitrine contre poitrine, ventre contre ventre, membre contre membre. Apparemment, cette séance l'a autant excité que moi. Sa queue est toute raide, et je sens qu'elle bave aussi un peu contre mon ventre. Je le prends par les hanches et le colle tout à fait contre moi. Il sourit, me prend la tête à deux mains, et vient me fourrer la langue dans la bouche. Après une fraction de seconde d'hésitation, je réponds à son baiser, et nos langues font plus amplement connaissance. Nos jambes s'emmêlent et nous nous caressons mutuellement le dos, les reins, les fesses.

 

Puis je m'écarte un peu, et, à mon tour, de la main gauche, je lui saisis la queue. Elle est toute raide, toute gonflée. Je l'explore du bout des doigts. Elle est imberbe, sans doute épilée ou rasée, comme la mienne. Sa peau est aussi douce que la mienne. Je sens les veines et l'urètre qui saillissent sous mes doigts. Je remonte jusqu'au gland, encore caché dans le prépuce. Je le palpe, toujours du bout des doigts. Tenir ainsi ce membre, c'est une sensation, un plaisir incroyables. Il est tout chaud, vivant, frémissant… Il est attentif au moindre de mes mouvements. Il attend, il espère, il réclame que je lui donne du plaisir, comme un besoin impérieux, mais pas trop vite, pas trop brutalement. 

 

Je commence à le masturber lentement. Je fais coulisser la peau de sa verge vers le haut, recouvrant amplement le gland. Puis je redescend doucement vers la base, mon mouvement découvrant alors en partie le gland. A chaque mouvement vers la base de son membre, le gland se découvre un peu plus, et semble se gonfler un peu plus. Nous sommes si près l'un de l'autre que ma main qui le manipule effleure mon propre membre dans son va et vient. J'empoigne nos deux queues de cette seule main, et je nous masturbe ainsi d'un seul et même mouvement. C'est une sensation indescriptible qui mêle au plaisir direct que prend ma bite à cette masturbation, celui que prend ma main à pétrir cet autre sexe brûlant, et celui que prend mon esprit à procurer de la jouissance à un autre mec. Et visiblement, ce que je lui fais lui plaît. Les yeux fermés, la bouche entr'ouverte, il contrôle sa respiration et il est entièrement concentré sur cette masturbation.

 

- Est-ce qu'il faut qu'on se protège ?

Je pense aux risques depuis qu'il est venu se coller à moi. Après un moment d'hésitation, j'ai décidé de poser la question, quitte à casser l'ambiance. C'est dommage, mais ce serait vraiment con d'attraper une saloperie au cours d'une première expérience. Il ouvre les yeux, me sourit:

- Tu es inquiet? Tu as raison, il faut être prudent. Mais non, tu n'as rien à craindre. J'ai fait un test juste après ma rupture avec mon ex. Négatif. Et depuis, je suis abstinent… Et toi ?

 

Pour toute réponse, je lâche mon sexe et, gardant le sien dans ma main, je repousse le drap et plonge la tête vers son ventre. Il a compris mon intention et il bascule sur le dos. Mon interruption ne l'a pas déconcentré: il est toujours aussi raide. Je continue de le masturber lentement pendant quelque temps, décalottant le gland d'un mouvement, le recouvrant de l'autre. Le visage à quelques centimètres de l'extrémité de son membre, je vérifie qu'il est effectivement rasé, comme moi. Un peu de fluide coule de son sexe et s'étire en filament jusqu'à son ventre. Je pose mes lèvres entr'ouvertes sur le bout de son gland, j'aspire cette liqueur, puis je passe le bout de ma langue sur l'orifice. Je perçois aussitôt les palpitations de sa verge dans ma main. 

 

C'est un moment très excitant: je suis enfin à cet instant que j'espère depuis longtemps: dans quelques secondes, je vais sucer un sexe d'homme. Je vais avoir un membre dans la bouche, et je vais le lécher, le sucer. Je vais faire monter son excitation et la communiquer à ses testicules, à sa prostate, à tout son corps. Avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue, je vais donner du plaisir à cet organe fait pour pénétrer un ventre de femme, à cet instrument dont les hommes attendent de la volupté en l'introduisant dans une chatte, dans un cul, dans une bouche ou en le tripotant. Et, avec ma bouche, je vais conduire ce mec jusqu'à l'orgasme, jusqu'à l'éjaculation. Je pense au sperme, dans ses testicules, au sperme si proche de ma langue, et qui peut jaillir à tout instant. Irai-je vraiment jusqu'à m'en faire inonder la bouche, comme je le fantasme depuis longtemps? Dans l'état où je suis, c'est probable, parce que l'idée contribue à m'exciter.

 

Je fais de nouveau coulisser la peau de sa verge vers le gland, recouvre celui-ci, et je le prends enfin entre mes lèvres. Cette chair toute chaude et palpitante dans ma bouche, c'est une sensation unique qui m'excite et me fait saliver abondamment. Je passe ma langue sur le bord du prépuce, insistant sur le frein sous le gland. Je sens celui-ci se dilater à l'intérieur du prépuce. J'ai brutalement envie de l'avaler tout entier, de m'en gaver, de m'en rassasier. Je l'enfonce alors plus profondément dans ma bouche, et, en serrant un peu les dents autour de la verge, je le décalotte dans le même mouvement. Je descends mes lèvres jusqu'à la base de la verge et je sens son gland qui s'enfonce dans ma gorge. C'est un vrai plaisir. Je fais ainsi, lentement, plusieurs allers et retours, pressant davantage mes lèvres en arrivant au gland. Au cambrement de ses reins, je sens qu'il apprécie.

 

Mais je ne veux pas le faire jaillir trop vite. Je change de position, et je viens m'agenouiller entre ses jambes, la tête au-dessus de son sexe. J'empoigne sa verge et lui imprime une lente masturbation, pendant que je commence à lui lécher les couilles. Je gobe un de ses testicule et je le frictionne avec ma langue, puis je fais la même chose à l'autre. Ma langue remonte le long de sa hampe, et je happe de nouveau son gland. Maintenant, je le masturbe de la main et de la bouche. Il prend ma tête dans ses mains, accompagne un moment mon mouvement de va et vient, puis imprime le rythme qui lui convient, accélère, ralentit, accélère de nouveau. Cette fellation dirigée  m'excite presque autant que lui.

 

Brutalement, il se cambre et écarte ma tête de son ventre. Il est à deux doigts de lâcher sa liqueur. Sous ma main, son pénis est agité de spasmes. Je le presse doucement mais fermement, et il se calme peu à peu. Il a failli éjaculer. Je change de position. Je m'allonge sur le côté, perpendiculairement à lui, la tête sur son ventre, la bouche à cinq centimètres de son gland. Un peu de sperme a tout de même coulé sur son ventre. Je presse toujours son engin tout dur, aux veines saillantes. Après une courte hésitation, je lèche sa semence. 

 

Au bout d'un moment, la tension de sa verge diminue, et c'est lui qui me pousse la tête vers son membre. Je le reprends dans la bouche et je recommence à le pomper doucement, la main gauche sur ses couilles. Je pense au plaisir que je suis en train de lui donner et à l'orgasme que je vais lui procurer, je pense au sperme dans ses couilles, prêt à jaillir sur ma langue. Ça va assez vite. Ses testicules, que je caresse de la main, remontent soudainement dans ses bourses. Je perçois les premiers soubresauts, assez lents, de sa verge contre ma langue et mon palais, comme des contractions. Il me saisit la tête et tente de l'enlever de son sexe, mais je résiste et poursuis ma fellation. Il finit par céder et pose ses doigts sur mes lèvres, autour de sa verge, et accompagne mon mouvement. Les spasmes de sa queue se rapprochent et s'accélèrent, de plus en plus violents. Je sens ses abdominaux durcir sous ma tête, sa respiration s'accélérer. Brusquement, une sève brûlante envahit ma bouche en longues giclées, tandis que je poursuis mon va et vient. Le sperme s'insinue jusque dans mes joues. D'un coup de reins involontaire, il m'enfonce sa queue dans la gorge et m'oblige à déglutir. Sa queue est toujours secouée de soubresauts et paraît ne pas devoir en finir d'éjaculer. Je ne pensais pas qu'une bite pouvait cracher autant de sperme. 

 

J'avais peur de ne pas aimer, d'être dégoûté, et finalement, j'aime. Me faire éjaculer dans la bouche m'excite. Dans un premier temps, je ne fais attention ni au goût ni à la consistance. Je suis uniquement concentré sur l'idée de recevoir en moi cette semence, de la garder dans la bouche. Les spasmes s'espacent et sont de moins en moins forts. Ils finissent par cesser. Le flot de sperme semble se tarir. Le sang qui gonflait son membre commence à se retirer et sa verge à mollir. C'est seulement alors que je fais attention à ce que j'ai dans la bouche. C'est très agréable, chaud, légèrement salé. Et je sens sous ma langue et contre mon palais comme de petits grumeaux de sperme. J'avale cette crème. Pressant l'urètre de la base jusqu'au gland, je la trais pour en exprimer les dernières gouttes. Je suce enfin les dernières traces de sperme qui restent sur cette queue redevenue molle, et je la garde comme ça dans la bouche un moment, calmée, apaisée. Cette sensation me plaît beaucoup.

 

Cette séance de fellation, m'a tellement excité que je bande comme jamais. Pendant que je lui taillais cette pipe, tantôt je me pétrissais doucement la queue, tantôt je la pressais fermement pour l'empêcher de se répandre. 

 

Ses abdominaux se sont détendus, sa respiration s'est calmée et je sens que Thomas est en train de s'assoupir. Mais, moi, j'ai pris beaucoup de plaisir à le pomper, je me suis bien excité, mais je n'ai pas encore joui. Je me remets donc à lui titiller le gland avec ma langue. Ça le réveille. Il écarte ma tête de son ventre, me fais m'allonger sur le côté gauche, me fais replier ma jambe gauche, et s'étend tête-bêche contre moi, la tête au niveau de mon ventre, appuyée sur ma cuisse repliée. Il m'invite à faire un 69. Il me tripote un moment, puis prend ma queue dans la bouche. Je fais comme lui. C'est une sensation inouïe: téter une bite tout en me faisant sucer, c'est un pied incroyable ! Je trouve même ça bien plus excitant que de faire la même chose avec une femme.

 

Lui, bande de nouveau, ce qui ajoute à ma propre excitation. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il sait très bien s'y prendre avec ma queue. Il va et vient, les lèvres serrées sur ma verge, et enfonce mon gland à fond dans sa gorge. Sa propre queue se raidit un peu plus chaque fois que mon gland arrive au fond de son gosier. J'ai l'impression que cette façon de faire l'excite beaucoup. Je suis au bord de l'explosion et il le sent. Il approche sa main droite de ma bouche, se cambre pour en sortir sa queue et y glisse deux doigts. Je suis un peu surpris, mais je commence à lui sucer les doigts. Mais il les retire presque aussitôt et me tend de nouveau sa bite à sucer. Je suce… Et il me fourre ses deux doigts mouillés dans le cul et commence à me triturer le rectum. Cette fois, c'en est trop pour moi, j'éjacule. Et pendant que je me vide dans sa bouche, je l'entends gémir comme un gourmet en train de déguster son plat favori. Entièrement concentré sur les sensations de ma queue, j'ai arrêté de m'occuper de la sienne, que j'ai pourtant toujours dans la bouche. Et je sens qu'elle est aussi gonflée que quand je l'avais pompée un peu plus tôt. Il ne va tout de même pas se répandre une deuxième fois, si rapidement après la première … Et si ! De nouveau des soubresauts, de nouveau de longs jets de sperme, il se répand encore et m'éjacule dans la bouche en gémissant. 

 

Nous restons un long moment comme ça, chacun avec, dans la bouche, la bite redevenue molle de l'autre. C'est aussi très agréable de suçoter, de mâchouiller une quéquette flacide. C'est moins violent, et bizarrement, ça me paraît moins "sexe", presque tendre. Après quelques minutes comme ça, nous nous recouchons normalement. Il s'approche, s'allonge sur moi, me prend la tête à deux mains et m'embrasse longuement sur la bouche. Puis:

- C'était très bien. Tu sais y faire pour un novice …

 

Je perçois comme un peu d'ironie dans ces paroles. Douterait-il que je sois novice?


- Moi aussi, j'ai beaucoup aimé. J'ai seulement fait ce je fantasmais de faire depuis longtemps.

 

Il s'allonge derrière moi, m'emboîte de nouveau, et nous nous endormons comme ça jusqu'au milieu de la matinée.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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