Alors que je suis en string, en train de bricoler chez Marie-Claire (et oui, chez elle, chaque fois que c'était possible, je me mettais en petite tenue pour travailler), voilà-t-il pas que je me rends compte que, dans la position où je suis, j'ai la queue contre le mur.

Oui, penché par la fenêtre, je suis en train de démonter un volet en bois.

Hhhmmmm, le paquet pressé contre la cloison, c'est agréable, ça !  Alors je me frotte, je me frotte. Au bout d'un moment, je remplace ce string par la petite culotte assortie, et je finis par carrément l'enlever pour continuer de me frotter la queue contre le mur.

Il n'y a pas à dire, je préfère la campagne à la ville !

Par exemple, cet été, en rentrant de faire des courses, il me prend soudain une furieuse envie de me balader à poil dans la nature ... complètement à poil. Ce n'est pas souvent, quand ça me démange, en général, j'ai plutôt envie de me balader en trav. Mais là, ça me prend par surprise et je n'ai pas la moindre pièce de lingerie ni la moindre minijupe sous la main. Et puis basta, c'est simplement d'être à poil dans la nature dont j'ai envie !

Alors, inutile de chercher bien loin: je repère un petit chemin bordé de haies entre deux champs, je me gare, et en avant !

Je fais une vingtaine de mètres et quand il me semble que je ne suis plus visible de la route, je me déshabille. Quel bonheur de se promener comme ça !

Au bout du chemin, un champ de blé et une ferme. Bon, je ne vais pas plus loin et je fais demi tour. En revenant, j'hésite, à demi tenté de regagner ma voiture toujours à poil. Mais non, il passe trop de voitures ... et parmi elles, peut-être celle d'un voisin, d'une connaissance.

Encore une vidéo d'une séance de travail chez ma patronne.

Cette fois, je dois revernir le lambris du préau couvert entre sa maison et son garage. Grimpé sur mon échelle dans mon petit jean moulant (avec porte-jarretelles et bas), je commence par le dépoussiérer. 

Et puis, c'est plus fort que moi, comme j'ai une main libre pendant que je passe le vernis, il faut que je l'occupe. Alors je me tripote à travers la toile de mon jean.

C'est le genre de petit plaisir qui mêle l'agréable à l'utile.