Jeudi 16 février 2017 4 16 /02 /Fév /2017 01:00

A l'époque, ce n'était pas tous les jours, mais presque.

 

Oui, dès que je montais en voiture pour aller travailler, c'était devenu un réflexe: au minimum, je sortais ma queue par ma braguette, et parfois, je baissais carrément mon pantalon ou mon short pour me tripoter la queue en conduisant.

 

Quelle meilleure mise en condition pour arriver de bonne humeur au travail ?

 

Touche-pipi-au-volant-002.png

 

Ça dépendait quand même de l'endroit où j'allais travailler. Il fallait que j'aie la possibilité de me remballer en arrivant sans risquer de me faire surprendre par ma patronne ou un de ses voisins.

 

Voilà, c'était simplement un peu de tripotage, sans branlette et sans éjaculation. Mais très agréable quand même.

 


 

 

Une précédente vidéo en cliquant sur ça:

Touche-pipi au volant 001

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs de la bite
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 13 février 2017 1 13 /02 /Fév /2017 01:00

Un régal à porter, ces mini shorts.

 

Ils me moulent bien les fesses, me rentrent à fond dans la raie, la couture se plaque bien contre ma rondelle, ils peuvent laisser dépasser un petit bout de mes fesses ... j'adore !

 

DSCF 0814bDSCF 0816bDSCF 0817bDSCF 0818b

 

Et puis, tout en me le moulant bien, ils peuvent aussi laisser dépasser mon paquet par la jambière.

 

DSCF 0811bDSCF 0812bDSCF 0813b

Par Solosexe - Publié dans : Shorts et Daisy Dukes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 10 février 2017 5 10 /02 /Fév /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Il a posé ses mains sur ma tête et il se laisse sucer le zizi … oui, là, ce n'est pas une queue, une bite, un braquemard, c'est seulement un zizi … un petit zizi attendrissant … pas vraiment recroquevillé, mais détendu, tranquille … il se laisse sucer le zizi, et ça ne l'excite même pas, ça ne le fait même pas bander, même pas frémir entre ma langue et mon palais … et c'est tant mieux, parce que, pour l'instant, ça me va, qu'il reste comme ça … Je me régale … et je salive abondamment … Quand je l'ai bien sucé, quand je l'ai tété tout mon soûl, je le sors délicatement de ma bouche, lui donnant quelques ultimes coups de langue pour essuyer ma salive, et je me relève. Il me sourit encore:

- C'était bien ?

- Hhhmmm, oui.

- On va se coucher ?

- Oui.

- Tu vas mettre quoi, pour la nuit ? T'as amené quelque chose ?

- Oui … des nuisettes.

- Montre.

 

 Je sors de mon sac ma nuisette noire, très courte et en voile transparent, et celle couleur crème, hyper moulante. Il me montre la noire:

- Mets celle-là !

 

Il me regarde l'enfiler, sifflote entre ses dents, et il m'ouvre la porte. Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre à chaque pas. La crème hydratante ! Quand nous entrons dans la chambre, Domi ronfle, allongé à poil sur le ventre. Il dort déjà. Denis me demande:

- Tu veux dormir au milieu ou au bord ?

- Au milieu, entre vous.

 

Je me glisse sous la couette et je m'allonge en chien de fusil, à moitié sur le ventre, serré contre Domi, mon bras passé sur son dos. Il ne réagit pas. Je sens Denis se coller à moi et glisser lui aussi son bras entre mon torse et le flanc de Domi. Coincé entre mes deux mecs … entre mes deux hommes … entre mes deux amants … hhhmmmm … je suis bien, entre mes deux hommes. Mes deux hommes qui m'ont baisé, tous les deux … et qui, demain, vont encore me baiser. Je glisse ma jambe sur celles de Domi. Dans son sommeil, il se tourne à demi sur le côté, lui aussi en chien de fusil. Nous voilà tous les trois emboîtés l'un dans l'autre. Après la frénésie de sexe de ce soir, ce moment de calme, de douceur, de tendresse, même … j'adore. Je caresse doucement le torse de Domi, descendant peu à peu ma main jusque sur son bas ventre et je prends son sexe entre mes doigts. Evidemment, il est au repos, un peu ratatiné … son gland effleure le matelas. Mais il ne s'en rend pas compte, et il dort toujours, apparemment assommé, sans doute un peu par l'alcool, un peu par cette longue virée au grand air, un peu par nos séances de baise et ses éjaculations. Je passe mon autre bras derrière moi et, à tâtons, je cherche la bite de Denis. Il devine ce que je veux et, pour m'aider, il recule son bassin. Ah, voilà ! Lui aussi est un peu mou, mais pas vraiment au repos. Je lui pétris délicatement le gland. Un sexe dans chaque main ! Les sexes que j'ai sucés et qui me sont entrés dedans, les sexes avec lesquels mes deux amants m'ont sailli et fécondé. 

 

Dans un demi sommeil, je me remémore toute cette soirée, depuis mon entrée dans cet appartement … l'arrivée, les uns après les autres, des quatre mâles qui allaient me baiser … la découverte de leurs sexes … leur premier contact avec mes lèvres, avec ma bouche … cette sodomie sur l'îlot central de la cuisine … et sur le canapé … ce repas, tout le monde la bite à l'air ... la séance de godage au rouleau à pâtisserie … la traversée de la ville en voiture, une bite dans chaque main … l'arrivée chez Jeannot et la rencontre avec six inconnus à qui Denis m'offre … les quatre qui me prennent chacun à leur tour, et tirent leur coup … la traversée de M. à pied et cette espèce de parcours du combattant émaillé de défis, d' "épreuves" de cul, de baise en pleine vile, tellement excitantes … cette course avec les flics au cul … cette ultime baise à la Plage, sous les yeux des jeunes … et notre retour ici … et …

 

Le sommeil me gagne … je m'endors …

 

Je me réveille … je ne sais pas au bout de combien de temps. Malgré ma position, Denis est en train de me grimper dessus. J'ôte mon bras du dos de Dominique et mon genou de sa jambe, et je m'allonge complètement à plat ventre. J'écarte les jambes et Denis s'allonge sur moi. Il glisse sa main entre son ventre et mes fesses et je le sens manipuler son sexe. Il va encore me prendre ! Putain, il bande encore ! Je passe mes mains derrière moi, j'empoigne mes fesses et je m'ouvre à la pénétration de son membre. Il m'arrache un halètement quand il loge son gland dans mon anus. Et de nouveau, il s'enfonce lentement. La crème hydratante qu'il m'a fourrée dans le cul et l'humidité résiduelle de mes lavements de tout à l'heure me lubrifient suffisamment. Et puis l'élasticité des muscles de mon anus lui permettent de s'introduire en moi sans difficulté. Je le sens à nouveau vraiment très raide. Décidément, mon cul l'inspire ! Je n'en reviens pas de le faire bander comme ça. Voilà son pubis contre mon coccyx. Je sens ses poils qui me chatouillent le pourtour de la rondelle. Je remonte mes mains et je croise mes avant bras sous ma joue. Vas-y, mec, fais moi ce que tu veux. Use de mon cul. Prends ton plaisir. Il finit de s'affaler sur moi. Il m'écrase sous son poids. Je sens son ventre peser sur mes reins, son torse sur mon dos. Les poils de ses cuisses contre mes cuisses ouvertes. J'adore ça, me faire écraser, aplatir par un mec vautré sur moi. J'adore ça, avoir les cuisses ouvertes pour accueillir un mâle. Il pose sa tête entre mes omoplates et sur ma nuque. Vas-y, Denis, baise-moi encore ! Mais non, il ne bouge pas. Ou à peine. Il oscille imperceptiblement du bassin, comme pour parfaire sa pénétration, sa position. Je sens son souffle, chaud, sur mon cou et sur ma joue. Hhhmmmm, ça aussi, j'aime ! C'est à la fois sexuel et tendre. Me voilà planté, cloué, punaisé sur ce matelas par un mec qui m'a enfoncé sa queue dans le cul ! Sa bouche contre mon oreille, il souffle:

- Fais-moi comme l'autre jour …

-  Comme l'autre jour ?

- Oui, à la ferme, chez Jean-Claude … tu m'avais serré la queue avec ton cul … tu te rappelles ?

 

Ah oui ! C'est à lui, que j'avais fait ça ? Je me concentre et je m'efforce de contracter mon sphincter sur sa queue. Mais j'ai la rondelle tellement détendue que je dois m'y reprendre à plusieurs fois. Il murmure:

- Tu veux pas ?

- Si, si. Attends. J'ai les muscles trop relâchés. Il faut que j'arrive à les contracter. Ça va venir.

 

Je le sens qui pose sa bouche, tiède et humide, au coin de mon épaule, et qui attend. Ça vient. Je sens que ça vient. Peu à peu, j'arrive à contracter mon anus de plus en plus fort. Je commence à bien sentir sa hampe dans mon étui. Lui aussi doit commencer à sentir mes contractions. Il se met à ronronner. Il me mordille la base du cou, le lobe de mon oreille, il me lèche, il me tète … Puis, la bouche toujours contre mon oreille, il souffle:

- Rhââ, putain ! Quel cul ! QUEL CUL !

 

Dominique bouge à côté de nous. Il se tourne sur le côté, face à moi, son genou contre ma cuisse. Une lumière, restée allumée dans le couloir, atténue l'obscurité de la chambre, et à un reflet dans un de ses yeux, je me rends compte qu'il me regarde. On l'a réveillé ? Pourtant nous sommes vraiment silencieux, et pratiquement immobiles. Il remarque Denis, couché sur moi, et il sourit. Tout en continuant de presser en rythme le membre de Denis avec mon cul, je tends ma main vers le bas ventre de Domi. Il se tourne un peu et soulève sa cuisse pour me faciliter l'accès à son sexe. Je le saisis. Toujours au repos. Je lui palpe le gland, je lui caresse la verge. Je me reconcentre sur ce que je fais à Denis. J'ai sa queue en érection en moi ! Son gland épanoui, enfoui dans la tiédeur humide de mes chairs. Domi approche son visage du mien, presque à me toucher:

- Il te … ?

 

Ces deux mots suffisent: il veut savoir si son copain est en train de m'enculer. Je cligne des yeux et je hoche la tête: 

- Oui, il m'encule !

 

Il sourit, comme satisfait de savoir que son pote est en train de m'enculer. Il ferme les yeux et, après quelques secondes, il se remet à ronfler. A mon tour je ferme les yeux. Dans ma main, j'ai le sexe d'un de mes mâles, et dans mon cul, il y a la bite en érection de mon autre mâle … est-ce que, cette fois, il va prendre son pied … est-ce que, cette fois .. il … va … me …

 

 

J'ouvre les yeux. Le jour filtre à travers les lames du volet roulant. Je suis bien, à moitié en chien de fusil, j'ai chaud. Et j'ai un début d'érection. Tiens, Domi n'est plus là, à côté de moi. Mais je sens Denis, derrière moi … contre moi. Ah oui, au fait, hier soir … non, ce n'était pas hier soir … c'était cette nuit … avant que je m'endorme, il était couché sur moi, sa bite dans mon cul … il m'a fait quoi, au juste ? Il m'a baisé ? Il a joui ? Une fois endormi, je ne me suis plus rendu compte de rien. Je glisse une main entre mes cuisses, jusqu'à ma rondelle. Je tâte du bout des doigts. C'est sec. La crème hydratante a pénétré et je ne sens aucune trace humide. Mais Denis m'a quand même peut-être injecté une dose de sperme. J'ai peut-être encore ça au fond du ventre. Je me retourne face à lui. Couché sur le côté, il dort encore profondément, je le sens à sa respiration. Aujourd'hui, on va recommencer, tous les quatre. Ils vont encore me baiser … toute la journée … tous les trois. A moins que Yann déclare forfait. On va faire quoi ? On va baiser ici, ou on va aller baiser je ne sais où ? Si c'est dehors, j'espère qu'il ne fera pas trop froid. Je glisse ma main vers son ventre. Là, sous sa cuisse, je sens sa queue. Je la prends entre mes doigts. Il ne bouge pas, et continue de ronfler doucement. J'aimerais bien qu'ils m'amènent encore à des types, comme hier chez Jeannot. J'aimerais bien qu'ils me fassent encore couvrir par des inconnus. Où on pourrait aller, pour trouver des mecs à qui ils pourraient me prêter ? On est samedi et il y a le marché, place de la Halle. Ouais, mais on peut pas faire ça là, au milieu du marché. Ou alors, il faudrait trouver … je sais pas … une camionnette de commerçant … ou un couloir d'immeuble … ou alors, il y a le centre commercial, un peu en dehors de la ville … et le parking … ouais, mais là, il y a plein de caméras … Et puis, on verra bien, je vais me laisser guider par eux. Ce sera la surprise. Cette fois, je bande vraiment. 

 

Je me glisse sous la couette, jusqu'à avoir la tête au niveau du bassin de Denis. Dans cette position, sa bite (son zizi !), est cachée sous sa cuisse … Je pose ma main sur son genou, et je le pousse. Ça ne le réveille pas. Voilà, son petit oiseau est là. J'avance ma tête, et je le prends dans ma bouche. Hhhmmmm, ce que c'est agréable, de sucer une petite quéquette au réveil ! Elle a un goût de … non, pas de sperme … seulement … seulement un peu de mon mucus anal séché … Oui, c'est ça … avec, peut-être, un peu de gel douche … ou de crème hydratante … A mon avis, cette nuit, il n'a pas joui … s'il avait éjaculé, sa queue aurait le goût du sperme. 

 

Cette fois - ah putain, il dort encore, je l'entends ronfler doucement – cette fois, je sens sa queue frémir sur ma langue … oui, elle gonfle ! Ah putain, il se met à bander en dormant ! Oh oui, dors ! Je vais te tailler une pipe ! Tout en le suçant, je glisse ma main entre ses cuisses et j'effleure ses couilles. Elles pendent dans leurs bourses. Elles sont toutes chaudes et à travers la peau de ses bourses, je sens ses deux grosses olives bouger. Hhmmmm ! Je les prends au creux de ma main. J'aime tellement les bites ! J'aime tellement les sucer ! Quelles merveilles ! Tiens, celle-ci, elle sait où elle est … toute seule ! Elle n'a pas besoin de son … de son mec, de son propriétaire, pour sentir qu'elle est bien dans la tiédeur humide de ma bouche, et que je lui fais du bien … elle réagit, elle répond toute seule, comme une grande … Et oui, parce qu'en plus, elle est de plus en plus grande … dans ma bouche ! Je t'aime, toi, la bite à Denis. Je t'aime parce que tu t'es déjà introduite plusieurs fois en moi et que j'aime ça ! Déjà l'autre fois, chez Jean-Claude, tu étais entrée plusieurs fois dans moi … dans ma bouche et dans mon cul … et tu y avais déchargé des doses de sperme. Je t'aime parce que, hier, tu as recommencé, ici, pendant le repas, et qu'ensuite, sur ce banc au bord de la rivière, tu t'es de nouveau laissée aller au fond de mon ventre … tu m'as fécondé … 

 

Denis grogne et bascule sur le dos. Je l'ai réveillé ? Non. Il se contente, par réflexe, de se gratter un peu les poils du pubis, et il se remet à ronfler. Quand il a bougé, sa queue a glissé toute seule hors de ma bouche. Je me soulève au-dessus de son ventre, et je remets sa queue au chaud entre ma langue et mon palais. Je la suce, je la tète, je la pompe doucement, goûtant le plaisir d'avoir ce cylindre de chair tiède, doux et vivant en moi. Elle se décalotte peu à peu et j'enfonce son gland aussi loin que je peux dans ma bouche. 

 

- Hhhhhmmmm ! Qu'est-ce tu fous ?

 

Denis a grogné. Cette fois, il est réveillé, et il ronchonne. Qu'est-ce que je fous ? Je te suce, je te taille une pipe, mec ! A tâtons, il cherche ma tête, la trouve. Il pose sa main sur mes cheveux et il me caresse. Maintenant qu'il est réveillé, il bande de plus en plus nettement. Il a ronchonné, mais maintenant, ça lui plaît bien, d'être réveillé par une turlute. Alors, toujours caché sous la couette, je m'installe entre ses jambes, à genoux, les fesses posées sur mes talons et courbé au-dessus de son ventre … et j'accentue ma fellation. Tout en le suçant, je lui caresse le ventre, le torse. Hhhmmm, ça y est, on va encore baiser ! L'excitation me gagne. J'hésite … je le fais jouir dans ma bouche, ou dans mon cul ? J'ai bien envie de sentir son sperme s'étaler sur ma langue et s'écouler dans mon œsophage … mais j'aimerais bien aussi qu'il éjacule au fond de mon ventre … Et si ils me prenaient tous les deux en même temps, avec Domi ! Un qui me tire dans la bouche et l'autre dans le cul ! Où il est Domi ? Je gémis … Et j'entends Denis dire quelque chose … mais je ne comprends pas, sa voix est étouffée par la couette. Alors, je la soulève tout en sortant son sexe de ma bouche:

- T'as dit quoi ?

- J'ai dit "arrête de me sucer et pose ton cul sur ma queue".

 

Ah oui ! Je finis de rejeter la couette et je l'enjambe ... à califourchon au-dessus de son ventre, les genoux de part et d'autre de son bassin. Il me regarde en souriant. Quand j'ai le cul au-dessus de son sexe, je le saisis et je le dresse à la verticale. Denis soulève sa tête pour assister, entre mes cuisses, à la pénétration de son membre dans mon fourreau. J'abaisse lentement mon cul en guidant sa bite en direction de mon anus. Ah, voilà ! J'ai son gland contre ma rondelle ! Je descends lentement. Ah putain ! Son gland tout chaud dans mon sphincter ! Je reste quelques secondes comme ça, immobile, jouissant du bonheur de ce début de pénétration. Puis je finis de m'empaler, lentement … Hhhmmmm, je sens son sexe coulisser dans ma rondelle. Voilà ! Mes fesses reposent sur son ventre. J'oscille un peu du bassin pour ingurgiter complètement sa queue et je me cambre. Ah putain, ce que c'est bon, d'être assis sur cette bite ! Je me penche en avant et je pose mes mains sur son torse. Je bouge mon cul pour bien le sentir en moi. Il me regarde, il me sourit ... il pose ses mains sur mes genoux et les remonte le long de mes cuisses, jusqu'à mes aines … il les glisse sous ma nuisette et me caresse les hanches, la taille, le bas ventre. Moi aussi, je bande. Je le sens qui bouge son bassin sous moi.

 

- T'arrête jamais, hein ?

- Quoi ?

- T'arrête jamais … t'en a jamais assez … il te faut tout le temps une bite dans le cul …

- …

- Un mec, ça te suffirait pas …

- Un mec ?

- Oui, avoir seulement un mec, un copain, un homme … un seul mec, ça te suffirait pas …

- Ça dépend … si il assure …

- Mouais … je crois pas …

- Pourquoi ?

- Je crois pas qu'un seul mec suffise pour te satisfaire … et puis, t'aime trop te faire prendre par plusieurs mecs … pas vrai ?

- Oui, j'aime ça.

- Tu vois … 

 

Je me redresse et je me mets à monter et descendre mon cul. Je sens sa queue aller et venir en moi. Ça a l'air de lui faire de l'effet. 

 

- Et … t'as jamais pensé à faire ça … pour de l'argent ?

 

Nous y revoilà. Je me demandais quand il remettrait ça sur le tapis. Voyons où il veut en venir:

- … à faire ça pour de l'argent ?

- Oui, à faire la pute, quoi … comme l'autre, le Jacky, il t'a proposé …

- Ben non. Je m'en fous, de l'argent … j'en ai pas besoin … ce que je veux, c'est seulement me faire baiser …

- Oui, mais, si tu faisais la pute, tu serais sûr d'avoir tout le temps des mecs qui viennent te baiser … alors que sans ça, c'est aléatoire … t'es pas toujours sûr de trouver des mecs …

- Ouais, peut-être … c'est vrai que pour le moment, je suis pas toujours sûr de trouver des mecs … mais ça va sûrement changer …

- Comment ça ..

- Ben oui, je débute, si tu veux … je sais pas si je t'ai dit, mais mon premier mec, la première fois où j'ai baisé avec un mec, c'était seulement début juillet, c'est-à-dire il y a seulement un peu plus de trois mois … depuis, ça a été très vite .. je m'en suis fait pas mal, des mecs … 

- Tu sais combien ?

- Non.

- A peu près …

- A peu près ? Je sais pas … une quarantaine … déjà, une trentaine à mon gangbang … et … les huit blacks à l'hôtel … les trois routiers … tu vois, ça fait déjà plus de quarante … je t'avais raconté, la première fois où je me suis fait baiser par plusieurs mecs ? C'était avec les trois routiers, au bord de l'autoroute … 

- Ouais, chez Jean-Claude, tu nous as raconté …

- Tu vois ? Tout ça en moins de quatre mois …

- ...

- Mais ce qui m'a fait vraiment … basculer … c'est les huit blacks, à l'hôtel. Là, c'était début septembre. Et ceux-là, c'est pas moi qui les ai cherchés, c'est eux qui m'ont trouvé … oh la la, c'est eux qui m'ont … c'est avec eux que j'ai … c'est eux qui m'ont rendu accro à … à me faire prendre à la chaîne … ah putain, se faire baiser par plusieurs mecs, les uns derrière les autres … je te dis pas ! C'est vraiment là que ça a été la révélation, pour moi … Après, me faire baiser dans un gangbang géant, c'était devenu une évidence, pour moi. C'est pour ça que j'ai pas hésité quand Philippe me l'a proposé … et ensuite, il y a eu les cinq types à L.F., deux jours plus tard …

 

Ça m'excite de me remémorer tous les coups de bites que j'ai pris. Tout en parlant, j'ai passée une main derrière moi, je l'ai glissée entre ses cuisses et je lui tripote les couilles. Il me coupe la parole:

- Ah bon ? Les cinq mecs à L.F., je savais pas. Deux jours après ton gangbang ? Cinq mecs ?

- Ouais. Et quelques jours après eux, y'a eu Nicolas, un autre mec du gangbang, qui a voulu me revoir pour que je lui taille une pipe … ben lui, c'était il y a juste une semaine … 

- Mais … il y a une semaine ... on avait pas déjà pris rendez-vous, tous les deux ?

- Ben oui … peut-être …  pourquoi ?

- Nan, comme ça … je … je pensais pas que tu verrais un autre mec entre temps …

- Ben si. T'étais pas censé avoir l'exclusivité … alors, tu vois, avec ces cinq là et les quatre de chez Jeannot, je suis plutôt à une cinquantaine de mecs qui me sont passés dessus … ça commence à faire du monde … et certains de ces mecs qui m'ont déjà baisé, ils veulent recommencer, comme Nicolas ... et toi ... et Yann … tu vois, de proche en proche, et avec le bouche à oreille, je devrais pas manquer de bites à soulager …

 

Il ricane:

- Ouais, t'as raison … mais du coup, faire le tapin, ça va être non …

- J'ai pas dit ça. 

- Ah bon ? T'es pas vraiment contre ?

- Je sais pas … faut que je réfléchisse … 

- Mmm Mmm ! En tout cas, moi j'aurais peut-être déjà des clients pour toi …

- Ah bon ? Encore les mecs de chez Jeannot ?

- Non non … pas les mecs de chez Jeannot …

- Qui, alors ?

 

Il arbore un sourire mystérieux. J'insiste:

- Vas-y, raconte …

- Le jeune … le jeune de la Plage … tu sais, celui qui m'a demandé mon téléphone …

- Je m'en doutais …

- Ouais. Il dit qu'il peut réunir des potes à lui … qui seraient prêts à te … baiser.

- Mais … des potes de son âge ? Ils ont quoi ... la vingtaine à tout casser … 

- Lui, non, il a vingt-trois ans, je crois. Les autres, avec qui il était, oui, ils ont dans les dix-neuf, vingt ans … mais c'est pas avec eux qu'il veut faire ça. Il fait partie d'une autre bande … des mecs plus âgés, apparemment … Il va leur en parler, et il doit me rappeler … 

- Ah ouais ? C'est marrant, celui-là, quand il m'a dit au revoir, j'ai senti qu'il était prêt à me demander quelque chose, mais il s'est dégonflé.

- Nan, c'est pas ça, il a préféré me demander à moi. Quand il m'a pris à part, il m'a dit « Je vous demande à vous, comme Marin, il est à vous et que c'est vous qui décidez si vous le prêtez ou non … ». Tu vois, il croyait que c'était moi … enfin, nous, qui décidions. Je m'excuse, hein, on venait de leur dire ça, aux jeunes ... que t'étais à nous …

- T'excuses pas, ça me va …

- Quoi …

- Ça … que vous disiez aux autres que je suis à vous … ça me plaît … ça me plaît d'être à vous … ça me plaît que vous me dirigiez, que vous décidiez … que vous me traitiez comme ça … comme un objet … comme votre … jouet … ça me plaît que vous me prêtiez à d'autres mecs … et lui, le jeune, là, si il te demande, tu voudras bien me prêter à lui et à sa bande de potes ?

- T'as envie ?

- Oui

- Tu sais même pas qui c'est !

 

C'est plus fort que moi, j'éclate de rire. Alors lui ! Il participe à un gangbang d'une trentaine de types dont je ne connais … si on peut dire … dont je ne connais que l'organisateur et le propriétaire des lieux … lui-même, pas plus tard  qu'hier soir, m'entraîne dans un troquet pour me faire tringler par des types que je n'ai jamais vus … et là, il s'étonne que j'aie envie de me faire sauter par d'autres inconnus. Je reprends sur le même ton que lui:

- "Tu sais même pas qui c'est !". Je m'en fous, Denis, de connaître ou pas les mecs qui me baisent. Je vous connaissais pas non plus, vous, les vingt cinq ou trente mecs de mon gangbang .. ni tes potes de chez Jeannot. Qu'est-ce que je risque, avec ce mec de la Plage et sa bande ? Qu'ils me violent ? Hhmmmm, comme mes huit blacks à l'hôtel ? Ah si ! Ce que je risque c'est que ça soit des casseurs de pédé, et qu'ils me cassent la gueule. Alors, il faudra seulement que tu m'accompagnes, avec Domi et Yann.

- Ben oui, faudra qu'on veille sur notre … jouet. Faudrait quand même pas qu'ils l'abîment …

- Il t'a dit combien ils seront, ses potes, au jeune ?

- Ah, t'es un cas, toi alors … non, il m'a pas dit combien ils seront … tu sais, je suis même pas sûr qu'il va m'appeler …

 

La porte de la chambre s'ouvre et Domi entre. Il est déjà habillé:

- Ah, vous êtes réveillés, à ce que je vois. Denis, je crois qu'il y a un truc qui a sonné dans ton bureau … plusieurs fois

- Ah, merde ! Ça doit être mon téléphone pro. Qu'est-ce qu'ils me veulent ? Dis, tu peux me l'amener, s'il te plaît ? Il est dans ma mallette. Tu peux l'ouvrir …

 

Pendant que Domi disparaît, Denis se remet à me peloter. Pendant notre conversation, j'avais ralenti mon va et vient sur sa queue. Je m'y remets avec plus de conviction. Domi revient et tend son téléphone à Denis. Il pianote sur son écran, et:

- Ah merde, c'est mon patron. Faut que je l'appelle. Je m'excuse …

 

Je continue d'aller et venir sur son pieu, et il pianote de nouveau:

- Allô ? Salut, Michel ... Non, vas-y, qu'est-ce qui se passe ? … Hein ? ! ? ! Tu déconnes … Quand ça ? 

 

Ça aussi, ça me plaît: aller et venir sur sa bite pendant qu'il parle avec son patron. Il le sait, son patron, qu'il baise un mec, le Denis ? Le téléphone à l'oreille, il me caresse distraitement la cuisse de sa main libre:

- Mais … qui c'est qu'a … Ah putain, les cons ! … Ouais … Nan, tu penses bien, hier, en partant, on leur a bien expliqué … ouais … ouais, on a même mis un énorme panneau "Pas toucher ce terminal sans nous" … Si, demande à Nadir … Bon, alors … Ah, putain ! … Ouais, j'm'en doute … Ouais, mais ça me fait chier, j'avais prévu des trucs, ce week-end …

 

Ça oui, il avait prévu "des trucs". Il en a même un, assis sur sa queue, "un truc". Je continue de le baiser, mais il n'est plus vraiment avec moi. Par contre, Domi, oui: il s'est agenouillé au bord du futon, à côté de moi, et, une main posée sur mon ventre, sous ma nuisette, il est en train de me peloter le cul, suivant mes mouvements de va et vient sur la bite de son pote. Il se penche et me souffle à l'oreille:

- T'arrête jamais, hein …

 

La même réflexion que Denis, tout à l'heure ! Il approche ses doigts de ma rondelle. Il va me doigter pendant que Denis m'encule ? Denis poursuit avec son patron:

- Ben ouais … ça me fait chier, Michel … ouais, bien sûr, je comprends … Ouais, en voiture, on met autour de cinq heures et demie, à chaque fois … Ouais … Bon, ben tu me rappelles, alors ? … OK, à tout'

 

Il pose son téléphone:

- Putain ! Ils me font chier ces cons !

 

Domi, une main toujours sur mon cul, et une sur mon ventre:

- Un souci, on dirait …

- Ouais. Y'a un con de la boîte chez qui on bosse en ce moment qui a fait une connerie. Il a planté le système …

- T'es toujours sur ton affaire d'hypermarché ? Je ne sais plus où ?

- Ouais. C'est à Saint-Etienne … une plate-forme logistique qui alimente dans les cent cinquante moyennes et grands surfaces. Ça fait des mois qu'on bosse là-dessus avec Nadir et un autre collègue … on leur change entièrement leur système informatique … mais fallait surtout pas qu'ils activent le nouveau réseau pendant que l'ancien tourne … Nous, on fait nos tests la nuit, quand l'ancien réseau est en mode " off " … Et là, y'a un con qu'a voulu voir ce qu'on avait fait et qui a activé le nouveau terminal …

- Et alors ?

- Ben alors, il a tout planté. Le système comprend plus rien, si tu veux … Y'a plus rien qui marche, ni le nouveau, ni l'ancien réseau … plus de commandes des magasins, plus de commandes vers les fournisseurs … la compta H.S. … le planning des livraisons pareil … tous les camions bloqués … bref, le bordel ! 

- Ils peuvent pas remettre tout ça en route ? 

 

Denis s'est remis à me peloter, lui aussi.

- Ça se reboote pas comme un PC. On va devoir y aller. Mon patron, Michel, il arrive pas à joindre Nadir. Alors, il va venir avec moi. Mais Saint-Etienne, c'est pas la porte à côté, et il faut que ça redémarre le plus vite possible … en tout cas avant lundi … bon, ma poule, c'est foutu, pour ce week-end … mais Domi et Yann, ils vont continuer à s'occuper de toi …

 

Domi secoue la tête:

- Moi, aujourd'hui, je peux pas, Denis … je t'avais dit, j'ai un boulot à rendre impérativement lundi … je suis en retard, faut que je m'y mette … Et puis Yann … il est pas bien … je crois que tu pourras pas non plus compter sur lui ..

- Qu'est-ce qu'il a ?

- La gueule de bois, déjà … et la crève … et peut-être même la chiasse …

- Bon, ben, désolé, ma poule … ton week-end de cul s'arrête là …

 

Putain, en principe, c'était parti pour trois jours de baise avec quatre mecs et ça s'arrête là, au bout d'une demie journée. Je m'étais déjà fait tout un cinéma sur ce que ça allait être, de vivre vingt quatre heures sur vingt quatre avec ces quatre types, de faire ma salope avec eux, d'être à leur disposition à tout moment, de passer de l'un à l'autre au gré de leurs envies et de leur excitations, de me faire prendre partout et dans toutes les positions dans cet appartement et ailleurs … Si il était allé là-bas, à Saint-Etienne, en voiture avec Nadir, je lui aurais proposé de les accompagner. Je me serais occupé d'eux pendant le trajet, et ensuite à leur hôtel – je suppose qu'ils vont à l'hôtel - , mais si c'est avec son patron, je pense que c'est même pas la peine d'y penser. Alors, en finir pour en finir, autant que ce soit en beauté. Je secoue la tête:

- Non, il s'arrête pas là. Baisez-moi tous les deux … maintenant.

- Co … comment ça, tous les deux …

- Baisez-moi tous les deux … enculez-moi ensemble … fourrez-moi vos deux bites en même temps …

- Tu .. tu veux dire … 

- Je veux dire que je veux une double sodomie.

- Ben … j'ai jamais fait ça. Et toi, Domi, t'as déjà fait une double sodomie ?

- Non, moi non plus … Et toi, Marin, t'as déjà fait ça ?

- Oh que oui, il a déjà fait ça !

 

Denis ne m'a pas laissé le temps de répondre. Il poursuit:

- … et pas qu'un peu ! L'autre jour, à la ferme, tu t'en es pris combien à la suite, des doubles sodos ?

- Quatre. 

- QUATRE fois ! Il s'est fait enculer par deux bites à la fois QUATRE fois de suite ! Et les derniers, j'peux te dire que c'était des sacrés morceaux ! J't'ai pas montré les vidéos, Domi ?

- Non, pas celles-là …

- T'es sûr que tu veux ça, ma poule ?

 

Je hoche la tête. Oui, je veux ça. Deux d'un coup ! Si ça doit s'arrêter là, ce week-end, qu'ils me baisent tous les deux en même temps ! Il y en a visiblement un autre qui veut ça: Domi s'est relevé et il est déjà en train d'ôter son pantalon. Il n'a pas attendu que son pote me dise oui. J'ai arrêté d'aller et venir sur la bite de Denis. Bien assis sur son ventre, sa queue bien enfoncée au fond de mon cul, je me suis redressé. Pendant que Domi passe sa chemise par-dessus sa tête, et je lui tripote la queue. Il commence à bander. L'idée de me prendre en sandwich, sans doute. Maintenant complètement à poil – ah non, il a gardé ses chaussettes - debout à côté du lit, il me regarde d'un drôle d'air. Je lève les yeux sur lui:

- Domi, il faudrait que tu ailles chercher mon lubrifiant. Il doit encore être dans la poche de mon blouson. Je l'ai laissé sur un fauteuil, il me semble …

 

Il hésite, regarde ma main qui lui palpe la bite. Ah OK, il attend que je le laisse tranquille. Je lâche sa queue et il fait aussitôt demi-tour pour quitter la chambre. Je me penche de nouveau au-dessus de Denis, et je change de position. J'allonge mes jambes de part et d'autre des siennes et je me couche sur lui. Appuyé sur les coudes, ma figure au-dessus de la sienne, je bouge mon bassin:

- Ça te gêne, de m'enculer avec Domi ?

- N… non.

- Moi, j'en ai une furieuse envie.

 

Tout en bougeant mon bassin, en faisant aller et venir mon cul sur sa queue, j'approche mon visage du sien et je pose mes lèvres sur son cou juste sous son oreille:

- Vous allez me baiser tous les deux, hein …

 

Il hoche la tête:

- Oui

- Je veux vos deux queues dans mon cul.

- … 

- Et vous allez jouir tous les deux dans mon  cul …

- ...

 

Domi est de retour. Inutile de lui préciser ce que je veux. J'entends déjà le plop du bouchon de mon flacon de lubrifiant, et, presque aussitôt, le bruit mouillé du gel qui sort du tube. J'écarte bien les cuisses. Denis a aussi compris ce qui se passe … il m'empoigne les fesses et me les ouvre pour faciliter la tâche à Domi. Je sens la fraîcheur du gel sur ma rondelle. Domi:

- Attention, Denis, je vais … je vais lui en mettre aussi dedans …

- Vas-y, mec.

 

Oui, pour me mettre du gel lubrifiant jusque dans le cul, il va devoir me rentrer ses doigts contre la queue de Denis. Ah yess ! Ça y est, il m'a rentré un doigt … Il le fait aller et venir … Il le sort … Nouveau bruit du gel qu'il extrait du tube … et de nouveau son doigt … non, SES doigts. 

- J'te fais mal, Marin ?

- Non. Vas-y. Doigte moi encore … il faut me détendre les muscles …

- Et toi, Denis … ça va ?

- Ça va, mec. Tu m'excites, Domi …

- Arrête tes conneries.

 

Il y va plus vigoureusement. Ils font les malins, mais je perçois quand même comme une gêne. M'enculer ou se faire sucer l'un devant l'autre, ça va, ils assument, mais là … toucher la bite à son pote … ça doit être la première fois qu'ils se touchent comme ça, ces deux-là. Et tout à l'heure, ils vont être queue contre queue, gland contre gland … et j'espère bien qu'ils vont finir avec leurs deux glands baignant dans le mélange de leurs spermes. Plus intimes que ça, c'est pas possible. Tête baissé au-dessus de celle de Denis, je ferme les yeux. Oh, putain, j'aime ça. Dans un instant, je vais encore me prendre DEUX bites dans le cul ! Accouplé avec deux mâles ! Sailli par deux mecs en même temps ! Je ne peux retenir un gémissement. Domi sort ses doigts de mon cul, et j'entends mon flacon de lubrifiant tomber sur le sol.

 

Je sens le matelas s'enfoncer entre mes pieds. Ça y est, Domi va venir sur moi … Denis me tient toujours les fesses et me les écarte. Je sens les genoux de Domi venir se poser contre les miens sur le matelas … et il s'appuie d'une main à côté de mon épaule … Ah, voilà, je sens ses cuisses qui effleurent l'intérieur des miennes … il est en train de s'étendre au-dessus de moi … sa main, contre ma fesse … il guide sa bite … Oh, putain, oui, je sens son gland contre mon anus … contre la verge de Denis … il glisse … il n'arrive pas à s'insinuer entre la verge de son pote et le bord de ma rondelle … il se remet en position … il force … ça résiste un peu … et d'un seul coup, je sens sa bite qui entre ! Ah, la vache ! Je me sens ouvert, forcé par ces deux sexes gonflés … Domi cramponne toujours sa queue .. entre mes fesses, je sens sa main qui serre sa verge pour la raidir et la maintenir en place … Il s'enfonce … il s'enfonce … Oh putain, ça y est, j'ai leurs deux bites dans le cul ! J'ai deux mecs qui me baisent ! Je halète … Domi lâche sa queue et finit de s'affaler sur moi . Ça y est, me voilà pris en sandwich entre mes deux mâles ! Ah, j'aime ça … coincé, écrasé entre deux types qui me baisent ! Là, je me sens tellement ... tellement femelle ! Saillie par deux mâles en même temps ! Viande à bites ! Réceptacle à queues ! Vide couilles ! Domi, sa bouche contre mon oreille:

- Ça va, ma poule ? 

 

Je hoche la tête "Oh oui, ça va !"

 

- T'as pas mal ?

 

Je secoue la tête "Oh non, j'ai pas mal ! "

 

- Et toi, Denis ?

- Ça va, mec … ça va même très bien !

- Moi aussi … Putain, c'est la première fois pour moi !

 

Doucement, précautionneusement, il se met à bouger son bassin et à sortir lentement sa queue … il s'arrête .. et re-rentre … Je le sens haleter contre mon oreille. Il recommence … sort un peu plus … et re-rentre … Sous moi, Denis respire par la bouche … le va et vient de Domi contre sa queue a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Domi prend de plus en plus d'assurance et se met à aller et venir plus franchement, avec plus d'amplitude … Ah putain, je sens vraiment bien leurs queues qui me forcent, qui me dilatent la rondelle … Mentalement, je les visualise, au fond de mon cul … la bite de Denis, immobile, pressée, écrasée, aplatie par celle de Domi qui glisse, qui coulisse en moi … leurs deux glands qui se frottent, compressés l'un contre l'autre par mon rectum inondé de lubrifiant et sans doute aussi par leurs liqueurs pré-éjaculatoires … Domi se met à me lécher l'oreille, puis à me la mordiller … il gémit:

- Ah putaiiiin … ah puuuuutaiiiin, quel cul d'enfer !

 

Il halète de plus en plus fort:

- Je vais … je vais … je vais … ah puuutaiiiin … je vais jouir !

 

Encore deux va et vient et soudain, il s'enfonce en moi et s'immobilise:

- AaaaahhhAAAAaaaaaHHHhhhaaaaAAAAAhhhaaaaaaaaaa !

 

Je … je le sens ! Il jouit ! Je le sens éjaculer ! Je sens sa queue gonfler, pulser à chaque éjaculation … Il me remplit de sperme … il m'insémine ! Et soudain, sous moi, je sens le ventre de Denis se contracter contre mon ventre, en même temps qu'il se met, lui aussi à haleter … Le sperme chaud de Domi lui inonde le gland .. et ça déclenche son orgasme … Les mains crispées dans le gras de mes hanches, il jouit à son tour … Ah, les mecs ! Ah les mecs ! Je vous aime ! Baisez-moi ! Fécondez-moi ! Là, il y a des millions de microscopiques bestioles qui grouillent dans mes entrailles à la recherche d'un ovule à fertiliser. Allez-y, je suis une femelle, faites-moi des petits ! Ah, putain, quel bonheur ! Quelle volupté ! Baisé et inséminé par deux mâles en même temps ! 

 

Sous moi, entre le ventre de Denis et le mien, je sens ma queue qui baigne dans … je ne sais quoi ... Je n'ai pas joui, pourtant … et vu la quantité, ce n'est pas seulement de la "mouille" … la pression de ces deux bites contre ma prostate en a sans doute fait sortir un peu de sperme … 

 

Ils soufflent, ils halètent tous les deux ... je sens que leurs deux orgasmes sont très puissants, exceptionnels ... Ils ne sont plus que deux bites qui jouissent, qui explosent et qui crachent leur sperme au fond d'un cul ... d'un seul et même cul ... C'est Denis qui se met à rire le premier. Il a fini d'éjaculer, et je sens son ventre se secouer sous mon ventre … Ça déclenche le rire de Dominique qui se laisse complètement aller sur moi, tel un corps mort. Il me donne un coup de langue sur l'oreille, m'embrasse dans le cou, et:

- Ça va, ma poule . T'as pris ton pied ?

- Non.

- Ah bon ? Nous, oui … hein, Denis ?

- Ah ouais ! Et quel pied !

- T'es content quand même, ma poule ?

- Oh oui ! Merci … mes hommes … mes mâles ... Merci à vos queues ...

 

Ils rient et reprennent leur souffle. La pression contre les muscles de mon anus diminue … leurs queues sont en train de ramollir … 

 

Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! C'est le téléphone de Denis, resté sur le lit pendant nos ébats. Denis le cherche à tâtons, le trouve, et:

- Ouais, Michel ! …. Ouais … Ah bon ? … Où ça ? … bon … ouais … très bien … Ouais, ben là, j'étais justement en train de me préparer …

 

Le menteur ! Je lève les yeux sur lui. Il me sourit, me fait un clin d'œil et poursuit:

- OK … Ouais, je l'attends … à tout' !

 

Il repose son téléphone:

- Bon, va falloir que je me prépare vraiment, les mecs … Avec mon patron, on va descendre à Saint-Etienne en avion. C'est le PDG du groupe pour qui on bosse qui met son avion perso à notre disposition … on part d'Orly. Ils envoient une moto-taxi me chercher. Elle est là dans vingt minutes, il paraît. 

 

Je me redresse un peu au-dessus de lui et je le regarde:

- Et tu reviens quand ?

- Ben, je sais pas combien de temps ça va nous prendre … surtout si y'a pas Nadir. Michel, mon patron, c'est surtout un commercial … il est pas trop technique, alors il ne va pas être très efficace … Alors, je sais pas … et puis, tant qu'à être là-bas, après, je vais sûrement rester jusqu'à la fin de la semaine … histoire d'avancer … Je reviendrai sûrement seulement le week-end prochain …

 

Dominique bascule sur le côté. Je sens - et j'entends - sa queue sortir de mon cul dans un bruit mouillé. Denis me tapote l'épaule:

- Allez, descends, s'il te plaît … vous étiez lourds, tous les deux …

 

Domi s'écarte et, à mon tour, je bascule à côté de Denis. Il se tourne vers moi:

- Tu vas faire quoi, alors ?

- Je vais rentrer chez moi.

- Tu reviendras ?

- Sans doute … un de ces jours …

- Et … ce week-end, tu vas …tu vas encore chercher des mecs ? Tu vas essayer de te faire encore baiser ?

- Ça, je sais pas … mais ce que je sais, là, tout de suite …

 

Je me redresse, et je m'accroupis sur le lit, entre eux deux:

- Bougez pas !

 

Ils me regardent, surpris. Je me glisse jusqu'au milieu du lit, à hauteur de leurs bassins, et je me penche sur le ventre de Denis:

- Tu vas pas partir comme ça, avec la queue pleine de sperme …

 

Et je prends sa bite dans la bouche. Elle est toute molle, et elle est enduite du mélange de leurs spermes et de gel lubrifiant. Hhhmmmm, j'adore faire ça ! Tout en la suçant, je fais signe à Domi d'approcher. Il sourit et vient coller sa hanche contre celle de Denis. Tous les deux s'accoudent pour me regarder faire, un sourire aux lèvres. Une fois la bite de Denis nettoyée, je m'occupe de celle de Dominique. Sous moi, je sens leurs semences commencer à s'écouler de mon cul dans un bruit de bulles. Je glisse ma main sous ma rondelle …pas uniquement pour ne pas souiller le futon de Denis. Quand la queue de Domi est nickel, je me redresse, je remonte ma main de sous mon cul et j'y mets l'autre. Je tends ma main pleine de sperme vers mes deux amants et je la leur montre. Ils me regardent, se demandant visiblement ce que je fais. Alors, je lape le contenu de ma main et je me lèche consciencieusement les doigts. Dominique s'écroule sur le dos en se marrant, tandis que Denis, toujours accoudé, secoue la tête d'un air désabusé. Je recommence avec mon autre main. Denis:

- Putain, t'aime vraiment ça, hein …

- Ouais.

- Quelle salope … bouffeuse de jute !

- Ouais.

- Bon. Allez, faut que je passe à la douche. L'autre va bientôt arriver, avec sa moto. Tu te doucheras ici, Domi ?

- Non … je saute dans mon froc et je redescends chez moi.

 

Les voilà debout tous les deux. Denis disparaît vers la salle d'eau. En sortant de la chambre, ses vêtements sous le bras, Domi me lance:

- Tiens, au fait, il y a des croissants. Je suis allé en acheter pendant que vous dormiez.

- Merci. 

 

Je me lève à mon tour. J'hésite un instant: je rejoins Denis sous la douche ? Non, j'ai faim ... croissants. Dans le salon, Yann, la tronche en biais, le teint verdâtre, est vautré sur le canapé, une tasse  la main.

- Salut.

- Salut.

 

Domi, tout en s'habillant: 

- Marin, si tu veux te faire un café, la machine est là-bas … j'ai laissé les dosettes à côté. T'en veux un, Yann ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

- Un croissant, alors ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

 

Domi se marre:

- Petite nature.

 

Je lui demande:

- Et toi, Domi, t'en veux, un café ?

- J'en ai déjà pris un tout à l'heure, mais je veux bien.

 

J'en prépare deux. Pendant que les tasses se remplissent, je m'assois sur un des tabourets à côté de l'îlot central de la cuisine. Oh putain, j'ai encore la rondelle humide. Je n'ai pas dû me vider complètement, tout à l'heure. Tant pis, j'essuierai le tabouret plus tard. Je plonge la main dans l'énorme sac de croissants et j'en attaque un premier. C'est Domi, une fois rhabillé, qui m'apporte mon café avant de s'envoyer d'une seule bouchée la moitié d'un croissant:

- Putain, ça m'a donné la dalle …

 

Il termine son croissant, avale une gorgée de café, et:

- Tu reviendras ? Demain, je pourrais peut-être me débrouiller pour me lébérer un moment ...

- Je … je sais pas …

- Ah bon ? Mais … ça t'a plu, la soirée d'hier et … et ce matin …

- Ah oui … c'était super … surtout hier soir … mais … pour l'avenir, ça dépendra de ce que Denis me proposera … Denis ou toi, d'ailleurs …  

- Ah ! OK ! Tu voudrais pas recommencer la même chose …

- Voilà, il y a de ça. Et puis, je ne sais déjà pas ce que je vais faire demain, ou après-demain, ou dans trois jours … alors, dans une semaine ou dans quinze jours, je peux pas prévoir …

- Ouais, compris … pas de routine …

- Voilà.

- Bon. J'y vais. Peut-être à plus, alors …

- Ouais.

 

Il hésite, me regarde, finit par s'approcher, me tend la main, change d'avis, se penche et m'embrasse sur la joue:

- Bon, salut ma poule. J'espère que tu reviendras.

 

Pendant ce temps, Yann s'est levé péniblement et a enfilé son manteau. Domi hésite encore et se dirige vers l'entrée. Yann passe à côté de moi et me tend la main:

- Bon, à un de ces jours … peut-être …

 

Domi:

- Tu veux que je te remmène chez toi, Yann ?

- Nan. Ça va aller, je peux conduire.

- OK.

 

On se serre la main, et il emboîte le pas à Domi. J'entends la porte se refermer … clac ! Je continue à descendre des croissants en sirotant mon café. Après quelques minutes, Denis sort de la salle d'eau, habillé, rasé et s'engouffre dans son bureau. Il en ressort, sa mallette à la main et vient la poser sur son îlot de cuisine:

- Ils sont partis ?

- Ouais.

- Comment il allait, Yann ?

- Apparemment assez bien pour rentrer chez lui tout seul.

- Bon.

 

Il se fait couler un café, et, tout en dévorant un croissant:

- Alors, t'as décidé ? Tu reviens quand ?

- Je sais pas. Ça dépendra de ton emploi du temps  … et du mien …

- Mais … t'as rien contre …

- Oh non, j'ai rien contre, mais c'est les événements qui décideront … la preuve, t'avais prévu trois jours, presque quatre, et ça a duré moins de vingt quatre heures …

- Bah ouais. Tu regrettes ?

- Je regrette que ça s'arrête ... mais pour ce qu'on a fait ... oh non ! 

 - Je …

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! La sonnette de l'interphone. Il va répondre. Je l'entends, dans son entrée:

- Oui ?

- …

- OK. Je descends. Je suis là dans une minute.

- …

 

Il revient:

- C'est ma moto. Faut que j'y aille … bon, t'as la salle d'eau pour toit tout seul … Tu fermeras en partant ? Tu remets la clef au même endroit …

 

Il se ravise:

- … euh, non. Mets la plutôt dans la boîte à lettres de Domi … dans le hall d'entrée. C'est le numéro 215.

- OK.

 

Il avale son café, puis

- Bon, ben … salut, ma poule …

 

Comme Domi, il s'approche, hésite, et finit par m'embrasser sur les joues:

- On se rappelle, hein …

- D'accord.

 

Il pioche un autre croissant dans le sac, récupère sa mallette et disparaît dans son entrée. Clac ! La porte.

 

Je finis mon café. C'est en allant mettre ma tasse dans le lave-vaisselle, que mon regard tombe sur la pendulette du four. Elle marque un peu plus de neuf heures et demie ! Je n'en reviens pas. Elle est à l'heure ? Je croyais qu'il était plus de onze heures ! Je retourne dans la chambre pour en avoir le cœur net. Le radio-réveil à côté du lit marque la même heure. Alors, on s'est réveillés à quelle heure ? 

 

Bon, une douche, et je rentre. Mais, en me dirigeant vers la salle d'eau, une sensation de fraîcheur humide, du côté de ma rondelle, me fait changer d'avis. Comme après mon gangbang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert, j'ai bien envie de repartir avec le cul encore souillé de sperme. Là, j'ai évacué le plus gros, mais je sens qu'il s'en écoule encore un peu quand je bouge, quand je marche. Je passe ma main dans ma raie. Ah oui, il y en a encore pas mal ! Deux mecs qui éjaculent ... et ils ont dû m'envoyer ça loin dans le ventre ! Allez, c'est décidé, je rentre comme ça. Ça me plaît beaucoup de garder en moi la trace de la jouissance des mecs qui m'ont baisé. Tout excité à l'idée de me balader une fois de plus les miches enspermées, je me dépêche de m'habiller. Je remets ma minijupe en jean: elle a été pas mal tachée de jus de bites au cours de la soirée, et même si ça a séché, ça me plaît. Est-ce que je mets un string, ou une petite culotte ? Non, ça épongerait, et j'ai envie de sentir ce cocktail visqueux m'engluer les fesses et le haut des cuisses. Je ramasse vite fait dans mon sac toute ma lingerie et mes accessoires, je fais le tour de l'appart pour vérifier si je n'oublie rien, et je me mets en route.

 

En parcourant le long couloir qui dessert ce quatrième étage, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre au rythme de mes pas. Décidément, j'ai bien fait, j'adore cette sensation ! L'ascenseur est à l'étage. C'est vrai, il faut que je m'arrête au rez-de-chaussée pour mettre la clé de Denis dans la boîte de Domi. Au troisième, l'ascenseur s'arrête. Aïe ! Je vais me retrouver avec un voisin de Denis … ou une voisine. Quand la porte s'ouvre, c'est un type d'une soixantaine d'année qui apparaît, avec un chien tenu en laisse … un Jack Russell, il me semble. Quand il m'aperçoit, le type ne peut retenir une grimace de stupeur. Il hésite, retient son chien qui commençait à monter dans l'ascenseur. Mais comme je me recule au fond de la cabine pour leur faire de la place, il n'ose pas battre en retraite. Je lui souris:

- Bonjour.

 

Il marmonne je ne sais quoi et monte en prenant bien soin de rester loin de moi. L'ascenseur démarre. Il baisse les yeux, le nez collé à la porte, et n'ose pas me dévisager ouvertement, mais je sens qu'il me regarde en sournois, par en dessous. Son chien, plus direct, tire sur sa laisse en remuant la queue pour venir me renifler. Il a sûrement perçu les odeurs de sperme qui se dégagent de mon cul, et il viendrait bien me fourrer sa truffe entre les cuisses pour faire connaissance. Mais son maître, agacé, le tire brusquement à ses pieds. Lui aussi a peut-être senti le délicat fumet de sperme qui émane de mon entrecuisse. Rez-de-chaussée. Le type sort précipitamment et s'empresse vers la porte d'entrée de l'immeuble. Il se retourne pour voir si je le suis. Cette fois, il me scrute plus ouvertement. Regard désapprobateur. J'attends qu'il s'éloigne pour glisser la clé de Denis dans la boîte à lettres de Dominique. Inutile que ce type sache avec qui je fréquente dans cet immeuble. Voilà, c'est fait. Je cherche l'escalier qui descend au sous-sol.

 

A la suite de ma journée chez les paumés de L.F., j'avais pris la précaution de me mettre une alèse dans mon coffre pour épargner mon siège après mes prochaines séances de cul. Il faut dire que j'avais eu un peu de mal à le nettoyer le lendemain de mon gang bang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert à L.F.. Alors, avant de me mettre au volant, j'installe cette protection. Quand je sors du parking souterrain, j'ai un instant d'hésitation. Et si je faisais un tour en ville pour revoir de jour les endroits où je suis passé avec mes mecs cette nuit ! Allez, c'est parti !

 

La minijupe remontée à l'angle de mes cuisses et de mon bassin, la bite qui dépasse de l'ourlet, je commence au plus près, par l'avenue où Domi avait commencé à me baiser dans un massif du terre plein central. C'est vrai qu'au milieu de ces fleurs, ce n'était vraiment pas discret. Je m'engage ensuite sur l'avenue qui conduit à la place François 1er. Il y a pas mal de circulation et du monde sur les trottoirs. Le portail du cabinet d'avocats est fermée et la cour est vide. Je fais le tour de la place et je longe le square. Il est ouvert et des gamins jouent sur le toboggan, surveillés par leurs mères. Quand je pense que je me suis fait fourrer là par Denis, appuyé à cet arbre ! Ensuite, le dédale des sens uniques m'oblige à faire un grand tour dans le quartier résidentiel, un peu moins animé que le centre ville. Je finis par me retrouver au bas de la rue Saint-Jean, que je remonte à petite vitesse. Je m'arrête deux secondes devant le "Saint Jeannot". Apparemment, il n'est pas encore ouvert. Etonnant. Là, derrière cette vitrine pas très nette, j'ai taillé une pipe à Jacky, et là-haut, à l'étage, je me suis fait baiser par quatre types, pendant que mes mecs attendaient en bas qu'ils aient fini de me faire mon affaire.

 

Je redémarre et, place de la cathédrale, je bifurque dans une rue tortueuse. La rue du Général de Gaulle étant piétonnière, je ne peux pas retourner voir cette parfumerie devant laquelle j'ai taillé une pipe à Dominique. Impossible aussi de m'engager vers la Halle pour passer sur le Pont Vieux ou sur le quai qui longe le port de plaisance: c'est jour de marché et il y a des camelots partout. Je poursuis donc jusqu'au parc de la Plage, et je fais un tour sur le parking. Il y a déjà pas mal de voitures garées là, et je croise je ne sais combien de joggueurs et de cyclistes qui font leur exercice matinal. Mais j'aperçois au loin une table de ping pong. Celle où Domi m'a baisé ? Je ne suis pas sûr. Dans l'obscurité, je n'ai pas pu repérer où elle était. En tout cas, un promeneur matinal aura sans doute eu la surprise de découvrir là un string et une poignée de capotes. Il aura sans doute imaginé qu'une fille ou une femme se sera fait fourrer ici. Voilà, maintenant, je vais rentrer. Sur mon trajet vers chez moi, je passe place des fainéants. Des ados y font du skate et, sur le banc où j'ai masturbé Dominique, deux clodos, une canette à la main, picolent. 

 

Je finis de rentrer à petite vitesse avec toujours le même plaisir de circuler dans cette tenue indécente au milieu du trafic. Sous moi, je sens une tache tiède s'agrandir peu à peu. Loi de me gêner, ça me procure un plaisir aussi cérébral que sensuel. Tout de même, je dois vraiment être pervers, pour aimer à ce point garder en moi la semence de mes amants, pour aimer à ce point la sentir me souiller l'anus, les fesses, les cuisses … Quand j'arrive dans ma rue, je croise ma voisine, Yolaine, qui part en voiture. Dommage, ça m'aurait bien plu de la provoquer encore en lui annonçant que, depuis hier soir, je me suis fait baiser par huit hommes !

 

Pour lire la suite, cliquer ici: Jean-Claude et ses molosses 01

 

 

 


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 10 février 2017 5 10 /02 /Fév /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Les flics qui nous avaient chopés ont été obligés de nous libérer pour aller courir après les racailles incendiaires du Grand Val, et d'un seul coup, avec Domi, on se trouve un peu désappointés. Il demande:

- Bon, ben … on essaye de retrouver les autres ?

- Ouais. Appelle les. J'ai pas de téléphone.

 

Il sort son smartphone, pianote, et:

- Denis ? C'est Dominique … ouais … si, si, on s'est fait choper … ouais, par les flics … si, mais ils nous ont relâchés … ouais, parce que y'a du baston au Grand Val, des voitures cramées et les pompiers qui se font caillasser … les flics aussi, alors ils avaient d'autres chats à fouetter … ouais … on vous racontera. Vous êtes où ? … Où ? Ah ouais, je connais … Non, attendez-nous là-bas, on vous rejoint … Ouais … à tout' !

 

Il se tourne vers moi:

- Ils sont à la Plage. Ils nous attendent. 

 

La Plage, je connais aussi. C'est un petit parc, aménagé au bord de la rivière avec une plage de sable, des jeux pour enfants, des tables de pique nique, des tables de ping pong, etc. L'été, il y a pas mal de monde. A cette époque, et surtout à cette heure de la nuit, ça doit être désert. On se met en route. On entend au loin un concert de sirènes: le lent Piiiiiin poooon des pompiers et celui, plus nerveux de la police. Il me prend le bras:

- Ça va ?

- Ouais, ça va.

- T'as eu peur ?

- Sur le coup, oui, quand le flic nous a surpris en nous mettant sa lampe dans les yeux. Après, non. C'est bizarre, mais me faire arrêter, me faire embarquer, je m'en foutais … 

- Moi pareil.

 

Au moment où nous nous apprêtons à traverser l'avenue, une voiture banalisée, gyrophare sur le tableau de bord, arrive à fond du centre ville, sirène hurlante. Domi:

- Ça doit être la BAC. Ça doit vraiment chier, au Grand Val.

 

Nous traversons. Une explosion retentit du côté de la cité. Nous nous engageons dans une petite rue. Nouvelle sirène de police. Cette fois, c'est un fourgon de gendarmerie qui passe à fond sur l'avenue. Nous repartons, silencieusement, bras dessus, bras dessous, chacun dans ses pensées. Au bout d'un moment, Domi demande:

- Tu penses à quoi ?

- A tout ça … à cette soirée … aux mecs de chez Jeannot … à cette virée de cul en ville …

- Ça te plaît cette … virée de cul en ville ?

- Ah oui … déjà, je rêvais depuis longtemps de me balader en trav en ville … mais dans la journée … alors là, c'est déjà bien … et puis nos arrêts pour des coup de bite, alors ça … c'est top !

- Ah bon ? Tu rêvais de te balader en ville … comme ça … en pleine journée ?

- Ouais.

- Ben, on n'aurait qu'à faire ça dimanche, par exemple. Demain je peux pas. Mais dimanche, je peux me débrouiller … on demande à Denis si ça lui va …

- Oui, mais c'est pas possible …

- Pourquoi ?

- Tu m'as regardé ? La nuit, ça va, si les gens ne me regardent pas de trop près, je peux faire illusion comme gonzesse. Mais en plein jour … avec ma tronche …

-  Oui, c'est vrai que, de visage, tu ne fais pas vraiment efféminé … mais autrement, t'as vu ? Le premier flic, il t'avait vraiment pris pour une gonzesse, au début.

- Ouais. D'ailleurs, c'est pour ça qu'il ne m'a pas fouillé, au départ. Et après, quand il a vu que j'étais un mec, il m'a fait une palpation, mais pas complète. Et son chef, le dénommé Marco, au début, il voulait pas me fouiller … mais après, il a carrément changé d'avis et il m'a même peloté.

- Ah ouais, j'ai vu ! Et il te matait sacrément, en te pelotant. Ça t'a fait quoi, qu'il te passe les mains comme ça, partout, jusque entre les cuisses ? Attends ! Me dis pas ! Je suis sûr que ça t'a plu !

- Ouais, ça m'a plu ! Hey ! Sa main entre mes cuisses … tout en haut ! Ouaaaaah ! Je me suis même mis à fantasmer qu'ils me baisent, tous les trois, debout contre leur bagnole …

- Les flics ?

- Ben oui. Ça m'aurait plu qu'ils me prennent, accroché à toi par les menottes …

- Ha ha ! Putain, t'es jamais rassasié, toi ! T'as encore le feu au cul ?

- Le feu, non. C'est pas à ce point, notre cavalcade m'a un peu calmé, mais j'ai encore envie … t'as pas fini de me baiser, tout à l'heure, dans les fleurs sur l'avenue … et je voudrais bien que tu finisses …

- T'es vraiment … un morfale … mais alors, qu'est-ce qui pourrait te calmer ?

- Que je jouisse.

- Ah bon  ?

- Oui. C'est pour ça que j'ai pas voulu que Denis me branle, quand on était sur le port.

- Ah, OK.

- Et avant de jouir, je voudrais bien que tu finisses de me baiser … 

- Maintenant ?

- Si tu veux … ou tout à l'heure, chez Denis …

 

Il reste silencieux un moment, puis:

- On va déjà voir avec eux ce qu'on fait … si on rentre ou si on continue …

 

Moins de dix minutes après, nous arrivons à l'entrée du petit parking aux abords de la Plage. Il y a une voiture, garée dans l'ombre. Nous passons devant un bâtiment bas et nous contournons la barrière à l'entrée de la Plage. Là, pas le moindre réverbère, mais dans l'obscurité, nous distinguons la tache plus claire de la bande de sable qui sert de plage. Devant nous, des ombres bougent autour de formes qui doivent être des jeux pour gamins, genre toboggan et cabanes. Mais ce n'est pas Yann et Denis, ou alors pas tous seuls, parce qu'il y a au moins trois ou quatre personnes, là, qui manipulent des smartphones. Coup de sifflet, sur notre gauche:

- Hé ! Domi ! On est là !

 

Deux ombres. C'est Yann et Denis:

- Venez, on est près des tables de ping pong.

 

On les suit. Denis:

- Alors ! Racontez.

 

Il fait plus froid qu'en début de soirée. La proximité de la rivière doit y être pour beaucoup. Je m'assois sur le bout d'une des tables en ciment et on raconte … la cavalcade, la cachette dans le jardin, le flic qui nous surprend, les menottes, l'arrivée de la voiture, la fouille au corps … et enfin la libération. Yann et Denis écoutent tout en ponctuant notre récit de « ah ouais, le flic à pied … », « y'a pas que vous … », « attendez, on va aussi vous raconter », etc. Quand on a fini, Yann enchaîne:

- Hé ! Si vous avez pu vous tirer, sur l'avenue, c'est grâce à moi, hein !

 

On dirait qu'il est dégrisé. Sa cavalcade pour échapper au flic l'a sans doute dessoûlé. Il poursuit: 

- Ouais, quand j'ai vu le flic qu'était assis derrière, descendre presque en marche pour vous courir après, je leur ai gueulé « bande d'enculés ! » et j'ai balancé ma bouteille sur leur bagnole. Le flic qu'était descendu, il s'est mis à nous courir après, mais les deux autres, devant, ils ont pas eu le temps de descendre. Quand ils vous ont vus traverser l'avenue, ils ont redémarré pour aller faire demi-tour et vous courir au cul. Nous, on a distancé le flic qui nous courait après … heureusement que c'était pas un flic de la BAC. Ceux-là, ils ont l'entraînement. Mais l'autre, là, avec toute la bière et le pastis qu'il doit s'envoyer …

 

Denis poursuit:

- Ouais, après, on s'est séparés. Alors, le flic, il m'a un peu suivi, mais il a vite renoncé … et il est reparti dans l'autre sens … derrière vous, quoi. C'est comme ça qu'il vous a eus …

 

Domi:

- Du coup, si t'as balancé ta bouteille, t'as plus de flotte, Yann …

- Non. T'as soif ?

- Ouais. La course, les émotions …

- Ben non, désolé, ma bouteille, elle s'est crachée sur l'avenue.

- Pas grave.

- Attends, c'est des jeunes, là-bas. J'vais leur demander si ils auraient pas une canette à nous passer ...

- Non, laisse tomber, ça peut attendre.

 

Mais le voilà parti. Denis:

- Bon. On rentre ?

 

Domi pose une main sur ma cuisse:

- Euh … attends … Marin, il est pas encore rassasié.

- Ah bon ? T'as encore le feu au cul ? Ça t'a pas calmé, ta séance avec les flics ? Et ça peut pas attendre qu'on soit rentrés ?

 

C'est Domi qui répond:

- Faut croire … et puis, moi aussi, j'ai envie, maintenant.

- Pffff ! Vous êtes chiés, les mecs !

- Hey, Denis ! Toi, t'as tiré ton coup sur le port … alors, tu permets ?

 

L'autre bougonne je ne sais quoi. Yann revient. Dans l'ombre, un reflet métallique luit dans sa main:

- Tiens, Domi. Ils sont sympas, les jeunes. C'est de la bière. Ils ont pas voulu que je les paie. 

 

J'entends le pschitt quand Dominique arrache la languette. Il me tend la canette:

- T'en veux ?

 

Oui j'en veux, je crève aussi de soif. En effet, c'est de la bière. Je rends la canette à Domi. Yann:

- Bon. On fait quoi, on rentre ?

 

Denis, sur un ton désagréable:

- Non, on rentre pas. Marin veut ENCORE se faire baiser ! ICI ! Enfin, je suppose …

 

Domi:

- Ici, ça te va, Marin ?

- Oui, ça me va.

 

Le voilà devant moi, entre mes mollets qui pendent de la table. Je l'entends qui pose la canette à côté de moi, sur le ciment. Il passe une main derrière mes reins et se colle contre moi, joue contre joue. Je le prends par la nuque, et je le sens qui cherche ma main, qui la trouve, qui l'attire vers son ventre. Je soulève son pull et je glisse ma main entre sa ceinture et son ventre. C'est chaud, là-dedans … les poils de son pubis … je lui caresse le ventre … sa verge maintenant … sa queue pend la tête en bas dans son pantalon … déjà un peu gonflée … je la parcours du bout des doigts … je souffle dans son oreille:

- Tu bandes déjà ?

- Je bande ENCORE … j'ai presque pas débandé, même pendant la course avec les flics au cul … C'est pour ça, maintenant, j'ai besoin que tu me soulages …

 

Soulager les hommes et leur bite ! Depuis que j'ai franchi le pas, avec les mecs, les soulager, c'est devenu … une vocation, une mission … Bien sûr, me faire baiser, ou tailler une pipe, ça me procure un plaisir sexuel, physique et cérébral, mais il y a autre chose … quand un type prend son pied, quand il éjacule dans mon ventre ou dans ma gorge, je ressens une intense satisfaction … la satisfaction d'avoir fait quelque chose d'important POUR LUI … la satisfaction du devoir accompli … Oui, oui … Oh, avant d'en arriver là, j'adore les exciter, les mecs. J'adore leur faire monter la pression dans le bas ventre. J'adore les mettre dans un tel état qu'ils n'ont d'autre issue que de s'accoupler avec moi et de m'inséminer, mais une fois qu'ils ont déchargé leur jouissance en moi, je les sens tellement … apaisés, soulagés, qu'il me semble les avoir délivrés de ce qui leur taraudait l'entrejambe … Alors oui, soulager des mâles, c'est une mission … c'est MA mission.

 

Et là, tout de suite, ma mission, c'est soulager Domi. Je saisis son sexe, je le redresse délicatement, et je commence à le masturber. Sa queue grossit encore, et durcit dans ma main. Elle me bave un truc tiède contre le poignet. Il me pelote le cul, puis il glisse sa main dans la ceinture de ma minijupe, au niveau de mes reins. Heureusement qu'elle est en toile stretch. Il plonge ses doigts dans ma raie. Bien qu'elle soit assez extensible, la toile de ma jupe l'empêche de descendre plus bas. Hhhhmm, je vais encore me prendre un coup de queue ! Et cette fois, il va m'inséminer ! Je ronronne dans son cou:

- Tu vas tirer ton coup, cette fois, hein …

- Oui.

 

Mon anus frissonne. Un type qui me dit qu'il va me baiser et me féconder, aussi sec, je tombe amoureux … s'ils sont deux, je tombe amoureux des deux … s'ils sont dix … Alors je l'embrasse, juste sous l'oreille. Denis et Yann se sont un peu éloignés, en attendant que Domi me fasse mon affaire. Je les devine tout près de nous, appuyés contre la table où je suis assis. Ils parlent à voix basse. A son souffle dans mon cou, à la nervosité croissante de ses caresses, je sens l'excitation de Domi monter. Il doit avoir un besoin impérieux de se vider les couilles. Rapidement, il passe ses mains sous mes fesses et m'attire vers le bord de la table:

- Descends de là, et enlève ton string.

 

Je me laisse glisser au sol. Il s'écarte et, pendant qu'une fois encore, j'ôte mon string, je le devine, dans la pénombre, qui ouvre sa braguette, et sort sa queue. Je pose mon string sur la table, je m'empresse de m'accroupir devant lui et, à tâtons, je cherche son sexe. Le voilà ! Gonflé, raide et dur ! Je le masturbe deux ou trois fois, et je le prends dans ma bouche. Ô toi, la BITE ! Tu vas t'enfoncer dans mon cul et tu vas m'injecter ta semence au fond du ventre ! Je sens Domi se pencher, me prendre sous les aisselles et m'inciter à me relever. Il est pressé. Je sors sa queue de ma bouche et je me relève. Sa bouche contre mon oreille, il me souffle:

- Tu veux que je te prenne debout en levrette, ou sur la table ?

- Sur le dos, sur la table …

- Vas-y, alors, allonge-toi.

 

Je remonte ma jupe sur mes fesses et je me hisse sur le ciment froid. Il est déjà contre moi. Je m'accoude. Ça m'aurait bien plu de le regarder pendant qu'il me baise, mais il fait vraiment très noir. Je ne distingue qu'une ombre qui de détache sur le fond gris du ciel. Il passe ses mains sous mes fesses et m'attire à lui. Je croise mes chevilles derrière ses reins. Voilà ! Sa queue contre mon anus ! Ça m'arrache un halètement. Il s'enfonce en moi. Je me laisse aller complètement en arrière, les mains croisées sous ma nuque. Il commence à aller et venir. Soudain, un éclair bleuâtre nous balaie et s'éteint. A côté de nous, la voix de Yann:

- Dites … vous voulez pas que j'appelle les jeunes là-bas ? Ceux qui m'ont filé la bière …

 

L'éclair lumineux a fait sursauter Domi:

- Pourquoi faire ?

- Je sais pas … pour qu'ils vous regardent. Ça vous dit ?

- Je m'en fous.

- Et toi, Marin …

- Ouais, si tu veux… mais tu demandes leur âge, avant … et pas de photos, hein … préviens-les.

- OK, OK.

 

Il s'éloigne. Et il me semble que Denis l'accompagne. Domi continue d'aller et venir lentement. C'est marrant, évidemment, ça me plaît bien qu'ils aillent chercher ces jeunes, mais ça ne me trouble pas plus que ça, qu'ils viennent nous regarder baiser. C'est presque devenu un truc normal, pour moi . Dominique, c'est pareil, ça n'a pas l'air de le gêner. Pourtant, pour lui, on ne peut pas dire que ce soit une habitude. En plus, ce sera dans le noir, alors ils ne verront pas grand chose. Je regarde dans la direction des jeux pour enfants où les jeunes picolaient tout à l'heure. La discussion dure un bon moment. Je vois, de temps à autre, la lumière de smartphones découper des silhouettes en ombres chinoises. Si ça se trouve c'est Denis qui vérifie leurs papiers, comme il l'a fait avec les trois jeunes du Grand Val ! Et puis je vois un faisceau lumineux se braquer dans notre direction et se balancer de droite à gauche, balayant le sol et grossissant peu à peu. Ils arrivent ! Qui ? Seulement Denis et Yann, ou les jeunes avec eux ?

 

Voilà le faisceau lumineux sur nous … enfin, sur moi. La voix de Denis:

- Bon, voilà … lui, le ventre à l'air sur la table, c'est Marin. C'est lui qu'on baise. Et lui, là, c'est Dominique.

 

Yessss ! Ils en ont convaincu au moins un, puisque Denis fait les présentations. J'entends des gloussements et des murmures. Ils sont plusieurs. Très bien ! Un frisson de plaisir me parcourt le corps. Le faisceau lumineux balaie rapidement les alentours et j'ai le temps d'apercevoir … quatre silhouettes, en plus de celle de Yann. Domi, sans arrêter d'aller et venir, leur lance:

- Salut !

- Salut …

- Salut …

- Salut …

 

Deux, trois, quatre voix hésitantes ont répondu. La lumière est maintenant sur mon ventre et sur celui de Domi. Denis:

- Vous voyez ? Il est en train de l'enculer. Vous pouvez approcher, hein …

 

Un silence lui répond. Ils doivent être en train de regarder. Je perçois des mouvements: ils approchent. L'obscurité doit les rassurer. J'aimerais bien les voir, ces jeunes. Ils sont combien ? Il n'y a que des mecs ? A quoi ils ressemblent ? Ils ont quel âge ? C'est vraiment des jeunes ? Dans quel genre ? Ça les excite, de nous regarder baiser ? Est-ce que les garçons profitent de l'obscurité pour se palucher ? Ça a un côté frustrant de ne pas les voir, mais c'est quand même excitant de savoir que là, autour de nous, il y a quatre paires d'yeux qui me matent pendant que je me fais baiser. Domi, les mains sur ma taille, va et vient en moi lentement sous la lumière bleutée du smartphone de Denis. Je me redresse un peu et je m'appuie sur les coudes. De Domi, je ne vois que ses mains, autour de ma taille, et son ventre qui entre et sort du faisceau de lumière à chacun de ses allers et retours entre mes cuisses. De temps à autre, Denis m'éclaire la tronche, avant de braquer à nouveau son téléphone sur notre coït. Je m'affale à nouveau sur le dos, et Domi me baise comme ça un bon moment. Tout le monde est silencieux et je les imagine, les yeux braqués sur le sexe de Domi qui entre et sort de mon cul. On n'entend que le bruissement de la nature autour de nous et, dans le lointain, les rumeurs de la ville. Je me demande à quoi ils pensent, tous autant qu'ils sont.  Et ce qu'ils font de leurs mains … J'espère que ça les excite, de nous regarder. 

 

- Si ça vous dit, les jeunes, vous pouvez aussi vous le faire … vous pouvez le baiser …

 

C'est Yann. Ah yes ! A son tour, il m'offre à des mecs … Ah putain, Yann ! C'est con, je n'envisageais même pas que ces jeunes puissent aussi me baiser ! Je les imaginais seulement en train de nous regarder dans le noir … Mais bien sûr qu'ils peuvent aussi me baiser ! Et ceux-là, je ne sais même pas à quoi ils ressemblent ! Je ne suis même pas sûr qu'ils ne soient que quatre. C'est un plaisir intense de voir des mecs faire la queue pour me fourrer, chacun leur tour, mais là, la perspective de me faire prendre comme ça, dans le noir, par des inconnus que je ne vois même pas, ça me … une espèce de boule d'envie, de désir, m'étreint le ventre, et mon anus se contracte spontanément deux ou trois fois … Je me redresse à nouveau, je m'appuie sur les coudes, et je lance:

- Il a raison, vous aussi, vous pouvez me baiser, si ça vous dit !

 

Des gloussements, des murmures ... Un des jeunes a dû poser une question que je n'ai pas entendue, parce que Denis répond:

- Non, c'est pas des conneries, vous pouvez aussi vous le taper si vous avez envie. Il se laissera faire, vous verrez. En début de soirée, on l'a amené dans un café, rue Saint Jean. Y'avait six types, il les connaissait pas,  il était même pas au courant qu'on l'avait amené là pour que ces mecs le baisent … on lui avait rien dit … et ben, ça fait rien, il s'est laissé faire, et y'en a quatre qui lui sont passés dessus. 

- …

- Oui, "passés dessus" … ils l'ont enculé, niqué, baisé, quoi ! L'un après l'autre …

- …

- Non , ils l'ont pas forcé, j't'assure ! Quand il a compris qu'on l'avait amené là pour que ces mecs le baisent, il  a pas protesté, il a même pas posé de question…

- …

- Bien sûr qu'il s'est laissé faire … c'est même lui qui leur a sauté à la bite et qui s'est mis à les sucer DANS le bar … et après, quand un des mecs a voulu l'emmener dans une salle à l'étage pour l'enculer, tu l'aurais vu monter l'escalier quatre à quatre … y'avait urgence … c'est même lui qu'a entraîné les autres mecs pour qu'ils montent aussi le baiser …

- …

- Ouais, exactement. 

- …

- Ah non, non, il fait pas ça pour de l'argent … seulement parce que il aime ça. Alors, c'est plus une espèce de … de paillasse, qu'une pute …

 

Sur mes hanches, la pression des mains de Domi se fait plus forte. Je m'allonge de nouveau complètement sur la table, les mains croisées sous ma nuque.  Je perçois encore des murmures, puis de nouveau Denis:

- Hein ? Vas-y, parle plus fort, j'ai pas compris. Tu sais, tu peux parler devant lui … ça le gêne pas …

 

Toussotement, puis:

- Et … c'est … c'est vous qui l'avez amené dans ce café pour qu'il se fasse … baiser ?

- Ben oui.

- Et vous … vous l'aviez pas … prévenu ?

- Ben non.

 

Celui-là, il a l'air de douter de ce que Denis lui dit. Mais j'en entends quand même pouffer. Le curieux poursuit:

- Mais il est … il est avec qui ? Je comprends pas. 

- Comment ça ?

- Ben oui, il est avec le monsieur qui est en train de … le baiser ?

- Avec Dominique, tu veux dire ?

 

Le faisceau lumineux sur le ventre de Domi.

 

- Oui. Il est avec Dominique ? C'est son … copain ?

- Ah ! Je vois ce que tu veux dire. 

 

J'entends Denis rire doucement:

- Hé hé hé, oui, on peut dire qu'il est avec Dominique … mais il est aussi avec Yann …

 

Le rayon lumineux brièvement sur Yann.

 

- … et il est aussi avec moi. En fait, il est avec nous trois.

- Ah bon ?

- Oui, on le baise tous les trois, si c'est ce que tu veux savoir. On se le partage, quoi. On  peut même dire qu'il est à nous trois… pas vrai, ma poule ?

 

Il me braque sa lumière sur la figure. Je suis scotché … " il est à nous trois " ! Au fond de moi, quelque chose me souffle que ce n'est pas exactement ça … je ne suis pas à eux trois ... pas seulement à eux trois. Je suis … je suis à n'importe quel mec qui a envie de tirer un coup. Je suis à tout le monde. C'est de là que doit venir l'expression "fille publique". JE SUIS une fille publique. Mais la façon dont Denis explique la situation à ces jeunes, même si c'est pour les bluffer, ça remue quelque chose en moi … " il est à nous trois " ! Pour lui, je suis seulement une sorte d'objet, de jouet sexuel ! J'adore ça ! Denis insiste:

- Hein ? C'est vrai ou pas, que t'es à nous trois ?

 

Je me redresse un peu et je hoche la tête: « Oui, je suis à vous trois ! ». Satisfait que je confirme, Denis enchaîne:

- Tu vois ? Alors on fait de lui ce qu'on veut: on le baise quand on veut … tous les trois. On le baise où on veut. Si on veut, on peut même le faire baiser par d'autres mecs, comme ce soir, dans le café rue Saint Jean. Tu vois ? Si on décide, on peut le prêter à d'autres mecs, quoi. Alors, si ça vous dit, on vous le prête. Si vous voulez le baiser, il se laissera faire.

 

Ah putain, Denis ! Je me doute bien que tout ça, c'est parce que tu as envie de renouveler avec ces jeunes la séance de chez Jeannot, mais ça me bouleverse, ce que tu leur dis, à ces jeunes ! Ça, que vous me baisiez quand vous voulez et où vous voulez, je le sais, et j'aime ça … mais le reste … « Il est à nous trois », « On en fait ce qu'on veut », « On peut le faire baiser par d'autres mecs », « on vous le prête » … je réalise qu'en effet, c'est tout à fait ça ! Jusqu'ici, ça n'avait été expressément formulé ni par l'un d'entre vous, ni par moi, mais maintenant, t'entendre le dire … Waouhhhh ! Je me sens envahi d'une griserie, d'une délicieuse ivresse …

 

Un toussotement dans le noir, et une voix … juvénile:

- Hem hem ! Mais euh … comment … comment il s'appelle, déjà ?

- Marin.

- Euh oui … m'sieur … Marin … vous … vous nous connaissez pas, avec mes copains, et … et vous seriez d'accord pour que …

- Mais … t'es pas bien ? Tu vas quand même pas …

 

C'est une autre voix, tout aussi juvénile, qui proteste. Le premier lui coupe la parole:

- Mais attends … je … je demande, seulement … 

- Ouais, c'est ça … tu "demandes seulement" …

- Mais hé … lâche-moi, merde … j'ai pas dit que j'allais le faire … Hein, m'sieur, vous … vous seriez d'accord pour que … pour que quelqu'un vous … quelqu'un que vous connaissez pas … vous …

 

Je me redresse et je m'accoude sur la table.

- … pour que quelqu'un que je ne connais pas me baise ? Oui, je te l'ai dit, si tu en as envie, tu peux me baiser. Tiens …

 

Denis m'a laissé sa lumière sur la figure. Appuyé sur un coude, je fouille la poche de mon blouson, j'en sors les quelques capotes qui me restent, et je les étale sur la table à côté de mon string. Murmures véhéments, cette fois. Je n'entends pas ce qu'ils se disent, mais, d'évidence, l'un d'entre eux râle à voix basse après celui qui a posé des questions. Les mains de Dominique remontent un peu et m'enserrent la taille. J'interromps les jeunes qui sont en train de s'engueuler à voix basses:

- Hey ! Vous engueulez pas ! Si l'un de vous a envie de tirer un coup, qu'il se gêne pas ! Un ou plusieurs … Y'a des capotes, alors vous pouvez y aller en sécurité. Mais vous engueulez pas !

- Voilà ! Me fais pas chier, toi !

 

C'est la voix de celui qui m'a interrogé qui cloue le bec à l'autre. Denis renchérit:

- Ben ouais, c'est pas à toi de décider si ton pote le baise ou pas. T'es pas son père … ni son grand frère … T'es son grand frère ?

- Non, j'suis pas son grand frère, mais moi, j'me barre ! J'vous attends à la bagnole ! Tu viens, Chris ?

- Euh … non. Moi, j'reste. Je regarde.

 

Chris ! Ils étaient donc au moins trois: celui qui m'a questionné, celui qui râle, et ce Chris.

- OK, OK ! Ben amusez-vous bien, les mecs !

 

Le râleur crache son dernier venin, et je devine son ombre qui s'éloigne en direction du parking. Je m'allonge de nouveau sur la table. Alors, ils vont se décider, ceux qui restent ? C'est Denis qui réagit:

- Alors ? T'as envie de te le faire, ou pas ?

- Euh, ben … c'était seulement pour savoir …

- Ah ? T'es sûr ?

- Ben … oui, m'sieur.

 

Oui, mais il a hésité. Ça doit vraiment le démanger, mais il est pris entre l'envie de profiter de l'occasion et la peur, ou la honte de faire ça devant ses copains … Alors, Dominique, qui avait continué d'aller et venir lentement en moi en attendant que les jeunes se décident, se met à me bourrer plus vigoureusement. C'est seulement maintenant que je réalise … j'ai l'impression que … oui … à la pression de ses mains sur moi, à la façon dont il me fourrait en écoutant cette discussion sans intervenir … ça l'excitait, que je m'offre à ces jeunes ! Soudain, il glisse ses mains sous mes reins, il me soulève et, dans le même mouvement, il m'attire un peu plus au bord de la table. J'ai maintenant les fesses à moitié en dehors du plateau de ciment. Et il se courbe au-dessus de moi, m'obligeant à replier mes cuisses sur mon ventre. Je sens la toile de son pantalon contre mes fesses. Les mains sous mes aisselles, il me bourre à grands coups de queue. Je sens ses couilles qui me touchent la raie à intervalles réguliers. Il halète et grogne en me bourrant de plus en plus violemment, comme s'il cherchait à entrer tout entier en moi. Oh putain, Domi, vas-y, baise-moi ! Tête en arrière, je me mets à gémir sans retenue. La lumière de Denis nous balaie tous les deux.

 

- Vous entendez ? Il aime ça, hein . Là, il prend son pied !

 

Bien qu'il ait parlé doucement, la voix de Denis a retenti dans le silence de la nuit.

 

- Chhhhhhhttt !

 

C'est Domi qui réclame le silence. Et aussitôt, il me fout un grand coup de reins … et reste collé à moi … et halète deux ou trois fois … reprend son élan et me refout un grand coup de reins … et reste collé à moi … et halète … Ma parole, il jouit ! Il est en train d'éjaculer ! Oh oui ! Il ressort un peu … et re-rentre en grognant … et reste collé à moi … et cette fois, il ne bouge plus et, sa queue tout au fond de mon cul, il se vide les couilles, il décharge, il me remplit de sperme ! Je sens les pulsations de sa verge dans mon anus. Son grognement s'est transformé en un long râle modulé, entrecoupé de halètements. Ah, quel pied, il se prend ! Voilà, c'est ça que j'aime ! Que les mecs prennent leur pied comme ça ! Je m'aperçois que j'ai passé mes mains derrière sa tête et que je l'attire contre moi … Il halète encore, mais on dirait que ça se calme, du côté de ma rondelle … ça se calme, mais je me sens … humide, mouillé, même, de ce côté là. Il reprend son souffle, et soudain, il se met à rire … Il se met à rire … se penche sur moi, me colle un baiser sur la joue … et il se redresse.  

 

Il est de nouveau dans l'ombre et le smartphone de Denis n'éclaire plus que moi. Les deux mains calées derrière mes genoux, le ventre collé à mes fesses, Domi maintient mes cuisses à la verticale et me redonne un coup de reins … dans un bruit mouillé. C'est sûr, j'ai le cul plein de sperme. Je croise de nouveau les mains derrière ma nuque et je redresse la tête autant que je peux. Il m'écarte largement les cuisses, et sort presque entièrement son sexe de mon cul, exhibant aux spectateurs notre coït ... notre coït mouillé et sans doute luisant de foutre. Je suis sûr qu'il prend un plaisir particulier à leur montrer qu'il m'a inséminé, fécondé de sa semence. Le faisceau lumineux se concentre justement là, sur mon entrecuisses. Je me sens tellement indécent, impudique, dans cette position, les cuisses largement ouvertes, le sexe, le ventre et l'entrejambe souillé offerts aux regards … tel une femelle fière d'avoir été inséminée par son mâle ... comblée ... j'adore ça ! Non seulement d'être exposé d'une façon aussi impudique aux regards de ces spectateurs, mais aussi que mon amant, mon mâle leur exhibe mon anus, encore occupé par son sexe et débordant de liqueur séminale !

 

Domi me redonne un coup de queue et ressort aussitôt, gardant seulement son gland juste à l'entrée de mon fourreau. Je sens cette liqueur tiède et visqueuse commencer à s'écouler lentement sur mes fesses. Etendu ainsi sur cette table, exposé seul, sous cette lumière crue, aux regards lubriques de spectateurs invisibles, je me sens comme une victime volontaire et docile, livrée aux débauches sexuelles de quelque sabbat nocturne. Une espèce d'ivresse me gagne. Là, ça me plairait tellement que d'autres participants viennent maintenant mêler en moi leur semence à celle de Domi. Nouveau coup de queue … encore plus trempé, dégoulinant, que les précédents … Je me redresse, je m'appuie sur un coude et je tends la main vers mon ventre. Je glisse mes doigts entre mes cuisses … la queue de Domi, là, à l'entrée de mon cul … sa queue trempée de sperme … mon anus, lui aussi souillé de semence … Nouveau coup de bite … C'est plus fort que moi:

- Venez … venez me baiser, vous aussi, les jeunes … allez … s'il vous plaît … prenez-moi … baisez-moi !

 

Je retombe sur le dos. Des murmures, des gloussements dans le noir. Domi se remet à aller et venir, toujours en maintenant mes cuisses écartées. Bien qu'il ait tiré son coup, je le sens toujours aussi dur en moi. Il ne débande pas. Pourquoi ils ne viennent pas ? J'insiste:

- Alors ! Venez ! Yann ! Denis ! Vous aussi, baisez-moi encore ! Et vous, les jeunes … mettez une capote … y'en a plein … et baisez-moi !

 

Des rires … un long silence … puis la voix de Domi:

- Bon, ben, ils n'ont pas l'air décidé. On dirait que c'est fini pour ce soir …

 

Il me remet quelques coups de bite … puis il me prévient:

- Attention, je sors et je vais te lâcher les jambes …

- Attends, Domi !

 

Il s'immobilise. Je me redresse un peu:

- S'il te plaît, continue de m'enculer comme ça … si y'a plus personne, je vais me … je vais me branler.

 

Il hésite une fraction de seconde, puis, assurant sa prise derrière mes genoux, il se remet à aller et venir. J'empoigne ma bite et je commence à me masturber. Ça va très très vite ! Tout ce sexe, depuis le début de la soirée … et ces bites qui me sont entrées dedans … SEPT BITES ! Non, HUIT BITES … j'allais oublier Nadir … et nos étapes de cul en pleine ville … cette course poursuite avec les flics … les mains de ce chef de patrouille qui me pelote les cuisses … et pour finir cet ultime coup de queue de Dominique, sur ce ciment froid et dur, et sous le regard de spectateurs invisibles … dans une contraction presque douloureuse de mon périnée, de mon anus et de ma prostate, je jouis … Domi accompagne mon orgasme de puissants coups de queue … En me tordant sur cette table, je m'entends haleter, gémir … Ah putain, quel pied ! Enfin, essoufflé, je me calme … je lâche mon sexe. J'ai du sperme plein la main. Domi:

- Ça y est ? 

- Oui.

- Je peux te laisser ?

- Oui.

- Attention … 

 

Il sort lentement de moi et, tandis que je me redresse, ne reposant plus que des reins sur cette table, délicatement, il descend mes jambes jusqu'à ce que mes pieds touchent le sol. Le voilà debout devant moi. Dans la lueur du smartphone de Denis, qui ne sait plus trop quoi éclairer, je devine Domi qui remballe sa queue dans son pantalon. Je m'approche, je pose un baiser sur sa joue, et:

- Merci, Domi.

 

Il se contente de rire. J'ai un peu les jambes en coton, et, d'un seul coup, j'ai froid. Je pose la main sur le bras de Denis:

- Dis, t'as encore des mouchoirs ?

- Ouais. Attends.

 

Il fouille sa poche et me donne sa pochette. J'essuie ma main et, à tâtons, je cherche les traces de sperme que j'ai répandu sur ma jupe. Puis je m'essuie grossièrement la semence de Domi qui déborde de mon cul. Quand j'ai terminé, Denis:

- Bon … on peut y aller, cette fois ?

 

Apparemment, c'est à moi qu'il s'adresse.

- Ouais. Je commence à avoir froid.

- Bon, les jeunes … on vous laisse …

 

Murmures. La lumière de Denis balaie rapidement des pieds, des jambes et des ventres que je ne reconnais pas, et je vois qu'il serre la main à un des jeunes. Bon, alors tournée de poignées de mains. Quand je serre celle du troisième, je sens qu'il la garde un peu plus longtemps que nécessaire dans la sienne, et:

- Euh … m… Mar… Marin ? Je … je … 

 

Il veut me dire ou me demander quelque chose, celui-ci … J'attends, mais il lâche ma main, et:

- … bon, au revoir …

- Oui, au revoir.

 

Il a renoncé, mais, dans un flash, la lumière de Denis se braque sur nous et s'éteint aussitôt:

- Qu'est-ce qui se passe ?

 

Apparemment, Denis s'étonne. J'ai eu tout juste le temps d'apercevoir la tête du jeune … peut-être pas si jeune que je l'imaginais, finalement. 

- Hein … qu'est-ce qui se passe, Marin ?

- Euh … rien ! Euh, je … je peux vous demander quelque chose, m'sieur ?

 

Le jeune s'est empressé de s'adresser à Denis:

- Ouais, qu'est-ce tu veux ?

- Euh … je … vous … venez un peu par là, s'il vous plaît ?

 

Je les devine qui s'éloignent dans le noir, et je les entends murmurer à cinq ou six mètres de nous. Il veut lui demander quoi ? Ça discute longuement, là-bas. Pendant que je serre la main des autres jeunes, une lueur de smartphone découpe en ombre chinoise la silhouette de Denis. La lueur s'éteint, puis la voix de Denis résonne:

- Bon, c'est tout ?

- Oui.

- Allez, salut.

- Salut, m'sieur … et merci.

 

Denis nous rejoint pendant qu'on devine les ombres des jeunes qui s'éloignent. Nous nous mettons en route et je prends Denis par le bras:

- Il te voulait quoi ?

- Il voulait mon numéro de téléphone.

- Ah bon ? Pour quoi faire ?

- D'après toi …

- Je sais pas …

- Ben, c'est sûrement pas pour que je lui donne des cours de maths…

- Mais encore ?

- Tu verras bien … 

- Ah bon, je verrai ? Ça me concerne ? 

- …

- Dis, ça me concerne ? Raconte …

- Non ! Mais, de toute façon, tu verras, j'te dis …

- Hey, vas-y, mec, raconte !

 

C'est Yann qui intervient. Ça doit l'intriguer autant que moi. Denis:

- Nan ! Mais … vous verrez bien, j'vous dis !

- Oh, t'es chié, Denis ! C'est quoi, ces cachotteries ?

 

C'est maintenant Dominique qui s'en mêle … et qui insiste:

- Il veut baiser Marin ? 

- … 

- Il veut le baiser ?

- Rhâââ, putain ! J'vous dirai pas, de toute façon ! Alors, pas la peine d'insister.

 

Poussée d'adrénaline. Qu'est-ce qui se trame ? Il veut me baiser, ce jeune ? Ça a dû lui donner envie, de me voir me faire fourrer par Domi, mais il a pas osé le faire ou même le dire devant ses potes … Mais si c'est ça, je ne vois pas pourquoi Denis fait tant de mystères. Il y a sûrement autre chose. Et comme, de toute évidence, ça me concerne, ça ne peut être qu'une histoire de cul ! Dans le fond, puisque "de toute façon " je verrai bien, comme dit Denis, ça ne me déplaît pas de ne pas savoir tout de suite ce que ce jeune me réserve. 

 

Nous pressons un peu le pas. La température a dû pas mal baisser depuis le début de la soirée, et marcher me réchauffe. Je tire sur le bas de ma jupette pour me couvrir les cuisses autant que je peux. D'un seul coup, je réalise:

- Merde ! J'ai laissé mon string et mes capotes sur la table !

 

Dominique:

- Tu veux que j'aille les chercher ?

- Non. C'est pas grave, j'en ai d'autres.

 

On est trop loin, maintenant, et je ne suis pas à un string près … ni à une poignée de capotes. Et puis, c'est tellement agréable de me balader le paquet en liberté sous ma jupette. Yann engage la conversation à propos des jeunes de la Plage. D'après lui, qui a pas mal discuté avec eux, ils se retrouvent souvent là à vider des bières et à fumer des pétards. Ce soir, ils n'étaient que quatre à cause du froid, mais surtout parce que, réussite au bac oblige, leur bande habituelle a commencé à se disperser dans des facs et des écoles supérieures, et certains fréquentent maintenant d'autres jeunes et d'autres lieux. Au printemps dernier, ils se retrouvaient là jusqu'à une vingtaine, garçons et filles. Je me trompe, ou, mine de rien, il est en train d'établir un rapport entre ces réunions de jeunes et de possibles histoires de cul me concernant ? Sans en avoir l'air, il doit essayer de tirer les vers du nez à Denis. Mais l'autre ne réagit toujours pas. 

 

La discussion roule ensuite sur les lascars de chez Jeannot et sur la proposition du dénommé Jacky de me mettre au tapin. Tous les trois voudraient bien savoir si je compte accepter. Yann et Domi, on dirait que ça les amuserait que je me fasse maquer par ce type. Denis, en revanche, cette éventualité ne lui plaît pas du tout. Mais il ne veut pas expliquer pourquoi, il reste ambigu. J'en arrive à me demander si il n'aurait pas aussi eu l'idée de me mettre au tapin. D'ailleurs, plus ça va, plus je me dis que la séance chez Jeannot, c'était en quelque sorte un galop d'essai, histoire de voir comment je réagirais. J'élude leurs questions trop précises. Moi aussi, je reste ambigu. D'abord parce que je n'en sais rien encore, si j'ai envie de faire le tapin. Un quart d'heure ou vingt minutes plus tard, nous arrivons à l'entrée de la résidence de Denis et Dominique. Seules deux ou trois fenêtres sont éclairées dans l'immeuble de Denis. 

 

Quand l'ascenseur démarre, Yann devient soudainement livide. Il va vomir ! Je me recule … jusque contre Domi, qui en profite pour me prendre par les hanches et se coller le bas ventre contre mes fesses. Denis:

- Hey, Yann ! Retiens-toi ! J'ai pas envie que tu dégueules dans l'ascenseur …

- T'inquiète, ça va aller …

 

En effet, il arrive à se retenir. Mais dès que la porte de Denis est ouverte, il se précipite et s'enferme dans les toilettes. Pendant qu'il se soulage l'estomac, Denis:

- Bon, ça va, vous ?

- Ça va.

- Oui.

- Vous voulez prendre quelque chose ? Moi, je me fais un café.

 

Domi en prend un aussi, et j'opte pour de l'eau gazeuse. C'est Domi qui remarque, en jetant un coup d'œil par la fenêtre:

- Tiens, on dirait que ça brûle encore au Grand Val.

 

En effet, on aperçoit au loin la lueur de flammes qui se reflètent sur les murs et les fenêtres des immeubles, ainsi que les flashes bleutés de gyrophares. Nous sortons sur le balcon. Je m'appuie au garde corps, et cette fois, c'est Denis qui vient se plaquer contre moi et m'enserre de ses bras. Domi regarde le spectacle un moment avec nous, puis:

- Bon, faut que je passe à la salle d'eau. Vous voulez y aller ?

 

Denis:

- Vas-y, toi. On ira après. Tu dors ici, ou tu rentres chez toi ?

- Je dors ici. Pourquoi ?

- Nan, comme ça … C'est bien, y'a largement la place pour nous quatre sur mon futon.

 

Hhhmmmm, une nuit au lit avec mes trois mecs ! J'aime. Même si ce n'est que pour dormir. Mais je vais surtout pouvoir leur tripoter la queue pendant qu'ils dorment … et peut-être même les sucer … Domi est rentré dans le séjour. Soudain, je sens Denis poser sa bouche dans mon cou. Il m'embrasse la nuque et me caresse tendrement le torse et le ventre:

- Hhhmmm, t'es pas le premier mec avec qui je baise, mais toi, t'es … t'es … hhhmmm !

 

Il m'embrasse avec fougue. Je passe ma main derrière sa nuque et, à mon tour, je le caresse. Il reprend:

- T'as le cul le plus … le plus … à ce point là, c'est même pas "accueillant", qu'il faut dire … t'as le cul le plus … goinfre … le cul le plus … glouton … j'ai jamais vu ça … il t'en faut toujours plus … et encore, et encore … t'as pas de limites … puuuutaiiiin !

 

Il s'excite. Brusquement, il s'écarte un peu de moi et je le sens fourrager entre son ventre et mes fesses. Puis il me pose une main sur la nuque et me presse pour que je me penche en avant, au-dessus de la rambarde:

- Ecarte un peu les jambes !

 

Il a sorti sa queue et il va me prendre là ! Ça va, je n'ai pas de string. Je me retiens au muret de ciment, et j'écarte les jambes. Il relève ma jupette et il me pénètre d'un seul coup ! Après mon orgasme sur cette table de ping pong et notre longue marche sur le chemin du retour, mon anus s'est spontanément refermé, resserré, contracté. Alors, je la sens très bien, sa bite, et putain, elle est raide ! Heureusement, j'ai le rectum encore suffisamment lubrifié … sans doute des restes de la semence de Dominique. Mais au lieu de me ramoner, il reste planté au fond de moi, immobile … et il se remet à m'embrasser le cou. Hhmmm, c'est très agréable, d'être là, sur ce balcon, à regarder au loin le Grand Val enfiévré pendant que le reste de la ville dort, avec un mâle qui me bécote et m'enlace tendrement, sa bite fourrée au fond de mon cul … Nous restons collés comme ça l'un à l'autre – l'un DANS l'autre – un long moment. Mais le froid a raison de moi:

- J'ai froid, Denis.

 

Un dernier baiser dans mon cou, et il se retire. Il remballe sa bite et nous rentrons. Il me prend la main:

- Tu vas à la salle d'eau ?

- Oui.

 

Yann est sorti des toilettes et, allongé sur le canapé, il dort déjà en ronflant. Denis le couvre avec son blouson. Bon, nous ne serons que trois au lit, cette nuit. Domi, à poil et les cheveux mouillés, sort de la salle d'eau. Au moment où je m'apprête à y entrer, Denis se tourne vers moi:

- J'ai un truc à faire dans le bureau. Vas-y. Je pourrai te rejoindre ?

- Bien sûr.

 

Je me déshabille et je m'installe sous le grand pommeau de douche. L'eau, presque brûlante, me réchauffe. Avant que Denis me rejoigne, il faut que je me lave le cul. Si je passais la nuit seul, ça ne me gênerait pas de garder un peu du sperme de Domi dans le ventre, mais là, avec eux deux dans le lit, je préfère être clean … J'actionne la commande de la douchette cylindrique, je me la fourre dans le cul et je m'administre un premier lavement. J'ai bien fait de le faire avant que Denis arrive: je n'ai pas que du sperme dans le cul. Mon dernier lavement remonte à hier soir, quand je suis arrivé chez Denis, et là, il commençait à être temps de recommencer. Heureusement, ce n'est pas trop grave. Je finis juste quand Denis entre à son tour. Pendant qu'il se déshabille, je m'aperçois non seulement qu'il me reluque, mais aussi que sa queue est encore très gonflée. Il me rejoint sous le grand pommeau de douche et, de nouveau, il se colle à moi. Il me pelote et me caresse longuement sous le flot fumant. Il bande de plus en plus. Je saisis son sexe et, doucement, je le masturbe. Puis il s'écarte, il saisit le gel douche, s'en verse une dose dans la main et me tend le flacon. Pendant qu'il commence à me savonner, je presse à mon tour le bidon et je l'enduis de cette crème onctueuse que je fais mousser, insistant sur son sexe et ses couilles. Puis, collés l'un à l'autre, nous nous frottons délicatement mutuellement … ou plutôt, nous nous caressons avec cette mousse parfumée. C'est très sensuel et agréable. Je bande aussi. Bientôt, il me fait tourner, dos à lui, et, sa main entre mes fesses, il me frotte la raie, faisant glisser le bout de ses doigts savonneux sur ma rondelle. Je la sens qui s'ouvre de nouveau sous cette caresse, sollicitant, réclamant une nouvelle pénétration. Il est de plus en plus insistant. Alors, je me laisse tomber à quatre pattes sur le carrelage, cuisses écartées et reins cambrés et je tourne la tête vers lui, tel une chatte en chaleurs réclamant à son mâle une nouvelle saillie. 

 

Il s'agenouille à côté de moi et recommence à faire coulisser le bout de ses doigts entre mes fesses, s'attardant ostensiblement au niveau de mon anneau. Ça me fait un effet terrible ! Je m'effondre, le cul toujours en l'air, la tête reposant sur mes avant bras croisés sur le carrelage. Je sens ma caverne s'ouvrir, béer, attendant que le mâle y introduise son vit … ou ses doigts … ou sa langue … bref, qu'il m'introduise ce qu'il veut, mais qu'il m'introduise quelque chose ! Je gémis, je miaule, je feule … Enfin, il m'enfonce ses doigts ! Oh la laaaa ! Je me mords la lèvre pour ne pas crier. L'eau chaude ruisselle sur moi, l'eau chaude s'introduit en moi à travers l'entonnoir formé par ses doigts. Il me ramone, il me fourrage, il me fouille … et soudain, il sort ses doigts:

- Bouge pas !

 

Une main posée sur mes reins, je le sens faire … je ne sais quoi … et puis j'entends l'espèce de pshiiiiiitt de la douchette cylindrique. Il va me la mettre dans le cul ! Oooooh ouiiiii ! Je sens ses jets fins et puissants passer sur ma fesse, puis le contact de son extrémité contre ma rondelle ! Je me suis fait ça tout seul il y a un instant, mais là, que lui me le fasse … waouhhh ! J'écarte encore un peu les genoux, et je le sens qui, de sa main libre, me presse, m'écarte une fesse … et il m'enfonce la douchette dans le fourreau ! Whoooo, putaiiiiiiiin, ce que c'est bon !

 

- Ça va ? J'te fais pas mal ?

 

Je secoue la tête « Oh non, tu ne me fais pas mal ! ». Il fait aller et venir le cylindre dans mon étui qui se remplit, qui se gorge d'eau chaude. Je la sens ressortir en flots tièdes et s'écouler le long de mes cuisses. Il joue comme ça un bon moment, puis il extrait l'objet de mon cul et le laisse retomber le long de la paroi. Il va me faire quoi ? Il va me prendre encore une fois ? Ses deux mains sur mes fesses. Il les écarte … et aussitôt, c'est sa tronche qu'il me colle dans la raie, sa bouche plaquée contre ma rondelle dans un baiser sexuel torride. Je sens sa barbe de deux jours  me gratter le périnée, et le souffle de son nez, dans ma raie, juste au-dessus de ma fleur. Oh putain, il me bouffe le cul ! Il a déjà sa langue dans mon sphincter. Ça me rend dingue. Je gémis. Il lâche mes fesses et se met à me pétrir les hanches, tout en bougeant sa langue en moi. J'aime me faire enculer, j'aime avoir une bite, un sexe d'homme dans mon cul, mais ça, c'est … indescriptible. Une langue, ça bouge, c'est mobile, c'est vivant, ça grouille, ça s'agite … on dirait une petite bestiole tiède, mouillée, excitée, qui essaye de se cacher dans son terrier. Mais ce terrier, c'est mon cul ! Ça me fait d'autant plus d'effet que les nombreux coups de bites que j'ai reçus ce soir m'ont rendu la pastille hyper sensible. Je halète de plaisir. Je l'entends, je le sens reprendre son souffle de temps à autre … Il s'excite, lui aussi … Alors, au bout d'un moment, sans doute n'y tenant plus, il se redresse et je le sens avancer ses genoux jusque entre mes mollets, me prendre par les hanches, poser son gland contre ma rondelle entrouverte … et me pénétrer. Encore ! 

 

- Ah, putain, ce CUL !

 

Il glisse très lentement en moi … Je le sais, je le sens … là, il est en train de regarder sa bite qui s'enfonce peu à peu dans mon fourreau. Parce qu'en plus de la simple jouissance physique, sensuelle, sexuelle, le spectacle de son membre qui pénètre mes chairs lui procure un intense plaisir cérébral: il me prend, il me possède … je suis à lui ! J'ai le cœur qui bat. Oui, parce que, de mon côté, je ressens, comme en miroir, à la fois le plaisir physique de cette sodomie, la fierté de susciter un tel désir chez ce mec, et la volupté de m'abandonner sans réserve à lui … de me donner à ce mâle … c'est MON mâle … Il va et vient, lentement, sous l'averse fumante qui tombe de la douche. Il promène ses mains sur mes fesses, sur mes hanches, sur mes reins … il grogne, il ronronne … 

 

- Ce cul ! Ce CUL ! Puuuutaiiiiiiiin !

 

Et soudainement, alors qu'il est presque complètement sorti de moi, il me fout un grand coup de reins et vient faire claquer son ventre contre mes fesses … il se recule … et recommence … se recule encore … et sort son sexe de moi:

- Allez, ma poule, on va se coucher ?

 

Quoi, c'est tout ? Il se relève déjà. Je me remets à quatre pattes:

- Tu tires pas ton coup ?

- Non. Je l'ai déjà tiré deux fois, ce soir …

- Mais t'as encore envie … tu bandes comme un âne.

- Ouais, mais ça va. C'est tout pour aujourd'hui. Allez viens. Je peux arrêter la douche ?

 

Je m'assieds sur le carrelage et je le regarde. Il a attrapé un grand drap de bain et il commence à s'essuyer, sa bite tendue à l'horizontale. Peu à peu, je la voix baisser le nez. Il débande Pas la peine d'insister. Je me lève et je ferme la douche. Il arrête de se sécher, m'enveloppe dans sa serviette et me frictionne:

- T'inquiète, demain, j'te baiserai encore, et je tirerai mon coup. Faut en garder pour demain … J'ai une crème hydratante. Ça te dit ?

- Fais voir …

 

Il me la montre, sur une tablette. Pendant que je lis l'étiquette, il finit de me sécher. Puis il me prend le flacon de crème, s'en verse une dose dans la main, et commence à me l'étaler sur les bras. Décidément, il est vraiment aux petits soins pour moi. Ça aussi, c'est très agréable. En plus, cette crème est légèrement parfumée. Pendant qu'il tourne autour de moi en m'enduisant le corps, je regarde son sexe, maintenant tout mou, et qui ballotte entre ses cuisses. Je tends la main et je l'effleure, le suivant à chacun de ses déplacements. Puis il me fait pivoter face à lui et, ses mains passées derrière moi, il m'étale la crème sur les fesses, me les masse, me les pétrit … je l'enserre de mes bras, la joue posée sur son épaule … il me glisse ses doigts dans la raie … passe et repasse sur ma fleur … hhhmmmm … il m'empoigne une fesse d'une main, me l'écarte … et il plaque un doigt sur ma rondelle … un doigt plein de crème … il s'amuse, presse son doigt contre ma fleur … le retire … le presse à nouveau … je halète … Vas-y, mets-le moi, ce doigt ! Ah putain, ça y est, il me l'enfonce ! Ah la vache ! La crème qu'il me rentre dans le cul diffuse une espèce de douce chaleur dans le sphincter. Je gémis. Il me ramone quelques secondes, puis sort son doigt. Hhhmmmmm !

 

Il me lâche et s'écarte de moi, un petit sourire aux lèvres. Quand je le vois reboucher le flacon, je tombe à genoux devant lui et, mes mains sur ses hanches, je le maintiens sur place avant qu'il ait eu le temps d'aller reposer cette crème sur l'étagère. De lui-même, il s'immobilise. J'avance ma tête et je donne un coup de langue sur son gland. Je lève les yeux sur lui. Il me regarde et me sourit. Il sait ce que je veux, et il est d'accord. J'ouvre la bouche, et je prends son  sexe entre mes lèvres. Hhmmmm, j'adore ! Un sexe au repos, comme ça, dans ma bouche … un régal ! Là, ce n'est pas pour lui que je fais ça. C'est pour moi. C'est un tel plaisir sensuel, de sentir ce petit oiseau tout mignon, tout chaud, sur ma langue … un petit oiseau qui a l'air si innocent dans cet état … mais dont je sais de quelle furie il est capable quand il est excité ! Oui, il est capable de grossir, de durcir … il est capable de se redresser et de se tendre … il est capable de s'introduire en force dans mes chairs … il est capable d'y aller et venir longuement, puissamment et de me donner du plaisir … et surtout, il est capable de m'injecter cette liqueur … cette liqueur miraculeuse … cette liqueur de vie …

Pour la suite, cliquer ici: Trois au lit
Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 7 février 2017 2 07 /02 /Fév /2017 01:00

Tiens, quelques vieilles photos ...

 

C'était à l'époque où j'étais dans une quête de "toujours plus gros" dans mon cul.

 

Là, je m'enfile des bouteilles. D'abord une bouteille de bière d'une marque connue (première photo), puis une bouteille de whisky (trois photos).

 

Là, avec la bouteille de whisky, c'était quand même 7,5 cm de diamètre ! C'est mon record. Après, physiologiquement, je ne pouvais pas plus !

 

bouteille Adelscott0765bouteille whisky0762bouteille whisky0763bouteille whisky0761bouteille whisky0764

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Profil

  • Solosexe
  • homme hétéro, amateur, aimant les plaisirs solitaires, porter de la lingerie féminine et les introductions anales

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés