Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Samedi 11 novembre. 

Ça s'est passé bizarrement, et là, je n'y suis pour rien. Quoi qu'il en soit, me voilà bel et bien courbé au-dessus de cette table, le pantalon descendu à mi-cuisses, le cul à l'air, et pour une fois, ce n'est pas pour me faire prendre en levrette !

 

Non. Là, je ne suis pas seulement penché au-dessus de cette table, je le suis aussi au-dessus de son ventre à ELLE, la tête entre ses cuisses, et ma langue dans sa chatte !

 

Oui, je suis de nouveau en train de bouffer la chatte de Yolaine … ma voisine. Comment on en est arrivés là, elle sur le dos au milieu de cette table, cuisses écartées, et moi en train de lui brouter le minou ? C'est un peu compliqué. Et surtout, comment on en est arrivés à faire ça ICI ? Parce qu'en plus, le cadre de nos ébats est vraiment extravagant quand on connaît ma voisine ... la sacristie de l'église ! Là où le curé se met en tenue, et la table sur laquelle Yolaine s'abandonne, c'est celle où elle fait le catéchisme aux enfants ! 

 

Bon, alors, je vous raconte.  La première fois où il y a eu du sexe entre nous, c'était il y a quelques mois. "Du sexe entre nous", c'est beaucoup dire. Elle m'avait surpris dans mon jardin, dans la même position qu'elle en ce moment: sur le dos, cuisses écartées sur une table, en train de me faire fourrer par Gabriel, ce grand black si bien monté. Le seul sexe qu'il y eut entre nous ce jour là, c'est qu'elle s'était masturbée en nous regardant. La fois suivante, c'était le soir même de mon gangbang chez Jean-Claude. Et là, il y avait vraiment eu du sexe entre nous. L'ayant plus ou moins forcée à regarder des photos de mes accouplements avec ma horde de mâles en rut, elle s'était laissée aller à manifester son excitation, et nous avions fini sur sa terrasse, elle cuisses écartées sur sa balancelle, et moi à genoux à lui bouffer l'entrecuisses.

 

Nous nous étions laissés  aller à nos pulsions de l'instant, et après ça, elle avait repris ses distances avec moi. Ça ne m'étonnait pas, et de mon côté, je ne cherchais pas à me rapprocher d'elle. Physiquement, elle n'est vraiment pas bandante – enfin, elle N'ÉTAIT vraiment pas bandante, parce que elle a fait de considérables efforts - et son attitude est toujours aussi raide et hautaine – de même, je devrais plutôt dire "ÉTAIT toujours aussi raide et hautaine". -. De plus, nos occupations respectives ne nous amenaient pas à nous fréquenter. Alors, la situation me convenait. Simplement, ça m'amusait de savoir qu'en dépit de ses postures supérieures et de sa réputation de morale rigoriste, elle s'était laissée dominer par des pulsions qui, de toute évidence, lui taraudaient l'entrejambe. Et je me demande si elle ne redoutait pas que je cherche à exploiter d'une manière ou d'une autre le moment d'égarement auquel elle avait succombé.

 

Bref, dans les rares occasions où nous nous croisions, elle continuait de me snober, comme s'il ne s'était rien passé entre nous. A un simple "bonjour", elle me répondait du bout des lèvres en me jetant un regard noir. Si je poussais jusqu'à lui demander comment elle allait, elle haussait les épaules, et le plus souvent ne se donnait même pas la peine de me répondre. Bon, c'est vrai, après mon gangbang chez Jean-Claude, il m'était arrivé de la provoquer au retour d'une partie de cul, en m'exhibant en trav, les miches à l'air. Me souvenant d'elle sur le dos sur sa balancelle, cuisses ouvertes, en train de s'écarter les petites lèvres pour que je lui fourre ma langue et que je lui suce le clito, je ne pouvais pas m'empêcher de me foutre d'elle. On avait fini par ne même plus se croiser devant chez nous, comme si elle évitait de sortir quand elle me voyait sur la cour. Voilà l'ambiance jusqu'à ce que …

 

Jusqu'à ce qu'un jour, Françoise, une conseillère municipale, frappe à ma porte pour m'inviter à une cérémonie organisée par la municipalité la semaine suivante pour remercier les personnes et les associations ayant contribué à l'animation du village. Quand elle repart, j'aperçois Yolaine qui pointe le nez à sa porte et qui l'appelle. Françoise se précipite chez elle. Normal, elles font toutes les deux partie de l'équipe d'animation de la paroisse. Là, je me dis qu'il y a bien quinze jours que je n'avais pas vu ma voisine.

 

Le jour de la cérémonie, quand j'arrive à la salle des fêtes, il y a déjà un peu de monde, disséminé par petits groupes, réunis par affinités. Il y a les membres du bureau de la société des fêtes, les animateurs du club des anciens, la présidente du club de gym, celui du club de rando, des femmes de l'équipe d'animation paroissiale et les propriétaires du poney club. Je fais le tour des groupes pour les saluer et échanger quelques mots avec les uns et les autres. J'arrive enfin à l'équipe d'animation paroissiale. Je commence à leur serrer la main, en commençant par Thérèse, leur responsable. En entrant dans la salle, j'avais bien repéré ce groupe, parmi lesquelles j'avais reconnu au premier coup d'œil Thérèse, la "chef", et Françoise, la conseillère municipale. Mais, ne fréquentant l'église et ses "piliers" qu'à l'occasion de manifestations laïques, je ne connais pas toute l'équipe d'animation paroissiale. Je n'avais donc pas fait plus attention que ça aux deux autres femmes de ce petit groupe. Et quelle ne fut pas ma surprise, en m'approchant, de m'apercevoir que l'une des deux, c'était … ma voisine, Yolaine ! Une Yolaine méconnaissable ! Si méconnaissable que, de loin, je ne l'avais pas reconnue.

 

Comment dire ? Une femme ! Oui, ça paraît bizarre de dire ça, mais c'est une femme ! Jusqu'alors, c'était un être au sexe indéterminé, à l'apparence ambiguë, femme-hommasse, ou homme efféminé. A tel point qu'à plusieurs reprises, j'avais entendu des personnes, la saluer d'un "bonjour monsieur": cheveux gris mi-longs, raides, séparés par une raie sur le côté, toujours fagotée sans grâce avec des vêtements unisexe, polos et bermudas l'été, pulls et pantalons l'hiver. Jamais de corsage léger, jamais de jupe ou de robe. Un air renfrogné sur le visage et une méchanceté prête à fuser. Bref, un repoussoir.

 

Et là, aujourd'hui, elle est métamorphosée ! Elle a une coupe de cheveux recherchée, assez courte, dégradée dans le cou, aux mèches savamment en bataille, plus longues d'un côté, et quelques unes teintées en châtain clair, parmi ses cheveux gris. J'ai même l'impression que ses sourcils sont moins épais. Maquillée ? Quand même pas, ou alors légèrement. Et parfumée. Elle porte un chemisier blanc sous un gilet aux couleurs vives, rouge, jaune moutarde et vert sur fond noir – la coupe d'un gilet de costume d'homme sans manches -, une jupe portefeuille noire, près du corps et étonnamment courte, et aux pieds, des ballerines du même rouge que sur son gilet. L'ensemble est assez "classe" mais très gai, et lui donne une apparence féminine assez … pfiouuuuu ! Oh, ce n'est toujours pas un canon, mais elle a perdu au moins dix ans et elle est presque jolie, si tant est qu'on puisse dire ça d'une femme de son âge ! 

 

En lui tendant la main, je ne peux dissimuler une mimique de surprise admirative:

- Dites-moi, Yolaine, vous êtes en beauté …

 

Devant ses copines de la paroisse, je m'attends à me faire foudroyer du regard ou à recevoir une bordée d'invectives. Mais non, elle cille légèrement et j'ai l'impression qu'elle me serre la main un peu plus fort et un peu plus longtemps que nécessaire. C'est sa "chef", Thérèse, qui réagit:

- Ah, ben voilà ! Vous aussi, vous avez remarqué sa transformation ! N'est-ce pas, qu'elle est magnifique, comme ça, notre Yolaine ! 

 

Elle ne sait plus où se mettre. Elle pique un fard, baisse le nez:

- Arrête, Thérèse !

- Ben quoi … faut le dire. On se demandait tous si tu allais te décider à faire quelque chose, pour ton look. Et c'est réussi, vous ne trouvez pas ?

 

C'est à moi qu'elle s'adresse. Alors:

- Ah oui, c'est réussi. Moi, j'aime beaucoup votre …

 

De la main, je désigne sa tenue, de haut en bas:

- C'est très féminin. J'aime beaucoup.

 

Elle repique un fard. Thérèse:

- Elle doit avoir un amoureux, mais elle ne veut pas nous dire qui c'est. Vous êtes voisins, vous devez bien savoir si quelqu'un vient lui faire la cour. Vous n'avez pas une idée ?

 

Yolaine:

- Arrête, Thérèse. Je n'ai personne. Et puis si c'était le cas, ça ne vous regarderait pas.

 

Je me tourne vers Thérèse:

- Nous sommes voisins, mais ça ne veut pas dire que nous soyons proches. Je ne surveille pas qui entre chez elle et je ne regarde pas par-dessus le mur pour voir ce qu'elle fait dans son jardin.

- Non, évidemment. Je me doute bien que vous n'êtes pas une tordu de ce genre.

 

Ayant saisi l'allusion à sa curiosité d'il y a quelques mois, Yolaine me fusille du regard. A côté d'elle, Françoise, la conseillère municipale, nous écoute en souriant et en me jetant, de temps à autres, de petits coups d'œil. Je mets fin à la discussion:

- Bon, excusez-moi, j'ai deux mots à dire à mes amis.

 

Je m'éloigne et je rejoins un groupe réunissant des membres de la société des fêtes et du club de randonnée. 

 

Il n'y a pas deux minutes que je suis avec eux à discuter, quand nous voyons arriver Yolaine. Elle s'insère dans notre groupe et lance un bonjour à la cantonade. Surpris, pensant qu'elle a quelque chose à nous dire, nous attendons. Mais non, elle sourit, et attend que la conversation reprenne. Roger, le président de la société des fêtes, m'interroge du regard, mais comme je ne sais pas pourquoi elle débarque, je hausse les épaules, incapable de lui expliquer. Ça surprend d'autant plus tout le monde qu'elle n'a jamais caché une franche animosité à l'égard de cette équipe, trop laïque et "gaucho" à ses yeux. Au point qu'elle a refusé à plusieurs reprises de participer à des manifestations pourtant organisées en collaboration avec ses consœurs de l'animation paroissiale. Nous reprenons notre conversation à laquelle, peu à peu, elle se met à participer, ponctuant nos remarques et riant avec nous.

 

Et puis, le maire, entouré de son conseil municipal, monte sur la petite estrade. Apparemment, tous les invités sont arrivés, et il va commencer son discours. 

 

Après les remerciements, scrupuleusement adressés à chaque équipe et à chaque personne ayant animé la commune, tout le monde se retrouve devant le buffet. Les conversations reprennent par petits groupes. C'est ce moment que choisit Françoise, la conseillère municipale, pour me prendre par le coude et m'entraîner un peu à l'écart:

- Dites, vous êtes sûr que vous ne savez pas pour qui elle s'est fait belle comme ça ?

- Qui ça ?

- Qui ça ! Votre voisine, bien sûr !

- Ah non. Enfin, oui, je suis sûr. Je n'en ai aucune idée.

- Hé. Pas à moi, hein ! La semaine dernière, quand je suis venue vous inviter, elle m'a fait entrer chez elle. Vous savez pourquoi ?

- Ben non.

- Elle voulait savoir si vous étiez invité et si vous comptiez venir.

- Ah bon ? Et alors ?

- Alors ? Quand je lui ai dit que vous comptiez venir, elle a eu un drôle d'air. Et aujourd'hui, elle est là, alors qu'avec mes collègues, on était sûres qu'elle ne viendrait pas ... elle n'assiste jamais à ce genre de sauterie. Et la voilà … transformée pour l'occasion, parce qu'elle s'est fait relooker depuis qu'elle a reçu son invitation ... enfin, je crois plutôt que c'est depuis que je lui ai dit que vous seriez là. Je ne l'ai même pas reconnue, quand elle est arrivée, tout à l'heure !

- Moi non plus, je ne l'ai pas reconnue. Ecoutez, je suis aussi surpris que vous, et je vous assure que si elle a quelqu'un, ce n'est pas moi. Elle m'a toujours plus ou moins fait la gueule, et ça ne s'est pas arrangé dernièrement.

- Mouais. Et tout à l'heure, elle nous a plantées là, avec Thérèse et Isabelle, pour vous rejoindre, avec ceux de la société des fêtes, alors qu'on sait très bien qu'elle ne les supporte pas.

- On a été aussi surpris que vous, et …

- Attention, la voilà.

 

Yolaine s'approche, des flûtes de Champagne à la main, et nous les propose. Pendant la petite heure qui suit, je passe d'un groupe à l'autre, à discuter avec un peu tout le monde. Françoise m'a mis un drôle de truc dans la tête, avec ses remarques. C'est vrai que je remarque que Yolaine se trouve toujours dans mon champ de vision, jamais très loin de moi, et semble s'arranger pour que je sois aussi toujours dans son champ de vision. A deux reprises, elle me propose encore du Champagne. Son manège n'échappe pas non plus à Françoise, parce qu'à un moment, alors qu'avec la conseillère municipale, nos regards se croisent, elle a une mimique qui signifie clairement « alors, qu'est-ce que je vous disais … ». Quand je sens que les quelques flûtes que j'ai bues m'ont suffisamment "détendu", je décide de partir. Je serre quelques mains, et je m'éclipse. Dehors, la nuit est plutôt fraîche. C'est quand j'aborde la pelouse qui entoure l'église que je remarque, derrière moi, le grincement de la porte de la salle des fêtes et des bruits de pas pressés. Je me retourne et … c'est Yolaine ! Ah, la vache, elle m'a emboîté le pas. Si les autres l'ont vue partir juste après moi, ils vont vraiment se faire des idées, maintenant …

 

Je reprends mon chemin et j'entends le bruit léger et rapide de ses pas sur le macadam. Ma parole, elle court ! La voilà à ma hauteur. Elle me prend par le bras et:

- Viens par ici, toi !

 

« Viens par ici, toi ! ». Non, mais, voilà autre chose, elle me tutoie ! Qu'est-ce qu'elle me veut ? M'engueuler ? Je dégage mon bras:

- Hé ! Ça va, oui ? Qu'est-ce qui vous prend ?

 

Cette fois, elle me prend la main et cherche de nouveau à m'entraîner:

- Viens, je te dis. Tu vas voir ce qui me prend.

 

Elle veut m'engueuler, ou quoi ? Mais c'est curieux, ce n'est pas le ton de quelqu'un en colère. Je dégage ma main:

- Non. Dites, déjà. On verra après si je viens.

 

A ma grande surprise, elle jette un coup d'œil autour de nous et, comme rassurée, elle écarte les pans de sa parka, ouvre celui de sa jupe, et me plaque la main sur sa chatte !

- Comme ça, tu vois ce qui me prend ?

 

Putain ! J'ai d'abord un mouvement réflexe: je résiste. Mais elle presse fermement ma main, m'obligeant à la fourrer entre ses cuisses:

- Allez, fais pas ta mijaurée, touche !

 

Ben, voilà autre chose ! « Fais pas ta mijaurée ! » Comment elle me parle ! Elle croit quoi ? Que ça me fait peur, de la toucher ? Alors je touche. Et je remarque immédiatement deux choses: d'une, elle ne porte pas de culotte et de deux, elle n'a pratiquement plus de poils sur le pubis ! Putain, je n'en reviens pas ! Et pendant que je digère ça, elle souffle:

- Allez, mets-moi ton doigt, comme l'autre jour.

 

Ce soudain tutoiement, cette manière directe, presque brutale de me … de me forcer à lui peloter la chatte ! Un geste de ce genre de la part d'un homme sur une femme, c'est ce qu'on appelle une agression sexuelle ! Bon, évidemment, je ne vais pas porter plainte et elle doit s'en douter. A mon avis, elle a le feu au cul, et elle m'a choisi pour faire le pompier. Alors oui, pourquoi pas ? Elle veut encore se faire masturber ? OK. Après tout, j'adore que des mecs m'utilisent pour se donner du plaisir, alors pourquoi elle ne ferait pas pareil ? Mes yeux se sont habitués à la pénombre, à peine atténuée par la lueur d'un lampadaire de l'autre côté de la place. Elle est tout contre moi, diffusant ce doux parfum que j'ai déjà remarqué tout à l'heure, et je vois qu'elle a les yeux à demi fermés, la bouche entrouverte. Les signes de la femme excitée qui s'abandonne déjà. 

 

Je passe mon autre main derrière ses reins, et je glisse mon majeur dans sa fente. Oh putain, elle est déjà toute mouillée ! Le contact de mon doigt entre ses petites lèvres et sur son clitoris lui fait aspirer bruyamment une bouffée d'air. Elle déglutit bruyamment et:

- Alors, comme ça, tu sens ce qui me prend ?

 

Immédiatement quelque chose réagit dans mon pantalon. Je commence à bander. Elle plaque mon poignet contre son pubis comme elle y presserait un vibromasseur, à la fois fermement et lascivement. J'entreprends de bouger mon doigt, quand j'entends, au loin, le grincement de la porte de la salle des fêtes, et des bruits de conversation. Elle les entend aussi, saisit mon poignet et m'entraîne précipitamment vers l'arrière de l'église, dans l'angle d'un contrefort plongé dans l'ombre. Elle s'adosse au mur et guide de nouveau ma main vers son entrejambe. Elle ne veut quand même pas qu'on fasse ça ici ! Ce n'est pas que ça me déplairait, mais si elle veut que notre … "relation" reste secrète, c'est un peu risqué. Je fais aller et venir l'extrémité de mon doigts sur son clitoris. Elle a passé son bras droit dans mon dos, et elle me serre contre elle, haletante. Les bruits de pas et les voix s'approchent. Un homme et une femme. S'ils prennent le même chemin que nous, ils vont passer juste devant nous. On a beau être dans un coin sombre, ils risquent tout de même de nous voir. J'ai l'impression que ça l'excite. Je continue de la doigter. J'ai le nez tout près de sa tête et je perçois sa chaleur et la douce odeur de son parfum. Comme par réflexe, je baisse la tête et je pose mes lèvres dans son cou, juste sous son oreille. Ça semble lui plaire, parce qu'elle pose sa main gauche sur ma nuque et me caresse. 

 

Le couple a tourné et passe de l'autre côté de l'église. Je sens Yolaine écarter une jambe, la lever et la passer derrière la mienne, ouvrant sa vulve à ma caresse. Cramponnée à moi, elle se met à gémir sourdement, puis elle vient coller sa joue contre la mienne et elle se frotte. Elle ôte sa main gauche de ma nuque, et la plaque sur la toile de mon pantalon, sur mon bas ventre. Elle tâtonne un peu, et finit par trouver ma queue, tête en bas dans ma jambière. Elle la palpe à travers le tissu:

- Tu bandes ! 

 

Elle marque un temps, puis elle souffle dans mon oreille:

- Je veux que tu me baises !

- Pardon ?

- Je veux que tu me baises, et avant, je veux que tu me fasses comme l'autre jour, avec ta langue.

 

Putain, mais elle est complètement déchaînée ! Elle m'a empoigné la queue et elle s'est mise à me masturber à travers la toile de mon pantalon.

- Mais, dites, Yolaine, ça va bien, oui ?

- Quoi ! Tu … tu te fais ... BAISER par … par trente types … tu leur … tu leur suce leur … leur BITE, et tu ne veux pas me BAISER, moi, ou remettre ta langue dans ma FENTE ? L'autre jour, c'est toi qui as voulu me la mettre, ta langue. Ça t'a plu ou non ?

- Oui, mais …

- Bon, alors … qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est rien, pour toi, de me faire ça !

- C'est la manière …

- Ah, dis ! Il faut y mettre les formes ? Tu aurais voulu que je te fasse la cour avant, peut-être ! Quand on sert de … de … je sais pas quoi à TRENTE TYPES EN RUT pour qu'ils se SOULAGENT, on fait pas SA PUCELLE !

 

Ah la vache ! Où elle a pris ce langage de charretier ? Je n'en reviens pas. Et elle m'a sorti tout ça sur un ton mi-autoritaire, mi-implorant, insistant sur certains mots. Et alors, sa formule finale … « On fait pas sa pucelle ! ». Je ne peux pas m'empêcher de rire:

- Ah, Yolaine ! Toujours aussi diplomate ! 

- Oui, ben … tu t'es laissé faire par tous ces types, tu peux bien te laisser faire par moi. En plus, je suis sûre que ça te plaît, de te faire commander, dominer. Je me trompe ?

 

Pendant cet échange, je n'ai pas cessé de lui pétrir doucement le clitoris, et elle n'a pas arrêté de me tripoter machinalement la queue.

- Non, c'est vrai, j'aime bien me montrer docile, avec les hommes. J'aime bien qu'ils me forcent, aussi.

- Ah, tu vois ! Au fait ! Les types, l'autre jour ... ils étaient venus pour ça ?

- Quels types ?

- Les cinq types ... la grosse Mercedes noire ... ils étaient venus pour te ... 

- ...

- ... ils étaient venus pour te baiser ?

- Ah ! Eux ? Ben ... oui.

- J'en étais sûre ! Quand j'ai vu cette grosse voiture se garer devant chez moi, et ces types en descendre, j'étais sûre qu'ils venaient pour toi ... pour te baiser. Alors, ils t'ont baisé ...

- Oui.

- J'en étais SÛRE ! Tous ? Ils t'ont TOUS baisé ?

- Oui. 

- Ah la la ! Je le savais ! Tu sais ... pendant que ... pendant tout le temps qu'ils ont été chez toi ... moi, je me disais "là, ils sont en train de le baiser"... "ils sont en train de le ... l'un après l'autre ..." et ça me ...

 

Je la sens frissonner.

- Ça te ... ça te faisais quoi ?

- Ça m'excitait, tiens ! J'imaginais ce qu'ils étaient en train de te faire ... comme ... comme les autres, sur les photos que tu m'avais montrées ... Ça me faisait envie. J'aurais voulu être à ta place ... TOUS LES CINQ ... ils t'ont baisé ...

 

Ce n'est pas vraiement une question. Je la sens imaginer, presque vivre mentalement la situation et sans doute se voir à ma place. Dans un mouvement réflexe, elle tend un peu plus son bassin vers moi. Puis elle se reprend et insiste:

- Ils t'ont vraiment TOUS baisé ? TOUS LES CINQ ?

- Ben oui. Ça t'excite, on dirait.

- Oui. Je me suis ... je me suis caressée, pendant que ... Et c'était bien, ce qu'ils t'ont fait ?

- Oui.

- Raconte.

- Une autre fois, non ?

- Je m'en doutais que c'était bien ... Oui, tu me raconteras !

 

Et elle change soudainement d'attitude, comme si elle sortait d'une sorte de rêverie. Elle se reprend et redevient autoritaire:

- Ouis, alors, tu arrêtes de faire ta chochotte et là, tu va me mettre ta langue dans la … fente. Tu sens comme elle est mouillée ?

 

Elle est totalement déshinibée. Et oui, je sens comme elle est mouillée. J'ai les doigts trempés et je lui ai étalé sa liqueur jusque sur les grandes lèvres, le pubis et le périnée. Ça me fait saliver et j'ai de nouveau une furieuse envie de boire à sa chatte. Alors oui, je vais te la bouffer, ta chatte, et après, je vais te baiser !

- Oui, je vais te la bouffer, ta fente. Et après, je vais te baiser. 

 

De ça aussi, je n'en reviens pas. Je croyais mes pulsions de mec envolées à jamais, je ne m'imaginais pas avoir de nouveau envie de baiser une femelle … et voilà ! Oh, ce n'est pas la femelle la plus bandante, la plus sexy qui soit. C'est ma voisine, cet être jusqu'alors androgyne qui ne m'a jamais inspiré le moindre désir en tant que tel. L'autre jour, c'est de bouffer une chatte qui m'a fait envie. A ce moment précis, n'importe quelle chatte aurait fait l'affaire. Il se trouve que c'était la sienne qui était à ma disposition à ce moment-là. Ce soir, en plus de sentir que sa moule s'est si bien lubrifiée à l'idée de se prendre un coup de queue, ce qui m'excite, c'est justement la perspective de baiser cette mégère, jusqu'ici si imbue d'elle même, si arrogante, si dédaigneuse, si coincée. Ce qui m'excite, c'est qu'elle se soit si brusquement et si radicalement décoincée et qu'elle se soit métamorphosée de bloc de marbre glacial en cette espèce de nymphomane fébrile. Au fond de moi, quelque chose me souffle que je ne suis pas étranger à son soudain basculement du côté lubrique du sexe. Et bien, si c'est ça, ma garce, tu vas voir ce que c'est que la débauche. L'autre jour, tu m'as dit qu'avec mes étalons, on faisait ça comme des animaux, et bien, je vais t'y amener à baiser comme des animaux. Oui, là tout de suite, je vais te prendre, je vais te baiser, et tôt ou tard j'arriverai même à t'enculer !

 

Satisfaite de m'avoir convaincu, elle a empoigné ma queue à travers le tissu, et maintenant, elle me branle doucement en gémissant, visiblement excitée de tenir ma bite dans sa main. On n'a pas entendu la porte grincer, mais sur le parking de la salle des fêtes, les phares d'une voiture viennent de s'allumer, et leur faisceau vient balayer le sol à quelques mètres de nous. Je lui souffle:

- On rentre.

 

Elle aussi a vu la lueur. Elle se dénoue d'autour de moi, saisit encore une fois mon poignet, et au lieu de se diriger vers notre rue, elle se plaque sur le contrefort de l'église, m'incitant à me cacher comme elle dans son ombre. La voiture passe lentement devant nous et poursuit son chemin. Dès qu'elle nous a dépassés, Yolaine m'entraîne à l'opposé de la rue où nous habitons, s'arrête devant la porte de la sacristie, fouille dans une poche de sa parka, et j'entends un trousseau de clefs cliqueter contre la porte métallique. Nous voilà à l'intérieur. Elle n'allume pas, laisse la porte entrouverte, et, à la lueur d'un lampadaire de la place, elle s'empresse de tirer un rideau devant l'unique fenêtre. Elle referme alors la porte, donne un tour de clef et allume. Je connais déjà la sacristie pour y avoir préparé un concert et plusieurs expositions qui se déroulaient dans l'église. Au milieu, une grande table carrée, recouverte d'un épais tissu écarlate et entourée, sur chacun de ses côtés, de quatre chaises. Contre les murs, l'armoire où le curé suspend ses chasubles, une espèce de commode à tiroirs, du matériel de sonorisation, des piles de chaises, un banc, un évier, un frigo ...

 

Le premier geste de Yolaine, après avoir allumé, c'est de grimper sur une chaise pour étaler un torchon sur le crucifix accroché au mur. Elle ne veut pas forniquer sous le regard de Jésus. Elle ôte nerveusement sa parka, la jette sur la commode et, pendant que j'enlève mon blouson, elle commence à débarrasser les chaises qui garnissent un côté de la grande table. Puis elle entreprend d'enlever les piles de papiers et les fascicules qui l'encombrent. Alors qu'elle se penche pour attraper une pile de dossiers, je viens me coller contre elle, les mains sur sa taille. Elle s'immobilise. Je glisse ma main droite sur sa fesse, je la descends le long de sa jambe jusqu'à ses genoux, et je la remonte entre ses cuisses en retroussant sa jupe. Elle tressaille et écarte un peu les jambes. Je passe mes doigts entre ses fesses, puis, à tâtons, je commence à les glisser entre ses petites lèvres. Oh, la VACHE, elle est trempée ! Ça me donne une furieuse envie d'aller laper le désir qui s'écoule de son ventre. Je frotte mes trois doigts rassemblés, index, majeur et annulaire, contre sa vulve, étalant sa sève sur ses grandes lèvres et son périnée. Elle lâche sa pile de dossiers, saisit ma main gauche et l'attire vers son ventre. Elle écarte elle-même les pans de sa jupe et entraîne ma main entre ses cuisses. Quand mon index entre en contact avec son clitoris, tendu, elle pousse un petit gémissement. J'introduis le majeur de ma main droite dans son vagin. J'ai beau lui avoir déjà bouffé la chatte une fois, l'avoir vue sur le dos, cuisses grandes ouvertes, en train de s'écarter les lèvres avec ses doigts pour que je lui fourre ma langue, son comportement totalement libéré, désinhibé, impudique, m'ébahit. Elle doit vraiment avoir le feu au cul pour se lâcher de cette façon ! Tout en titillant son clito de mon index gauche, en manœuvrant mon majeur droit dans son vagin, je sens bouger son anus contre le gras de mon pouce, comme s'il réclamait une caresse. Je sors mon doigt de sa chatte et je le glisse lentement vers sa rondelle. Au moment où je pose son extrémité au centre sa rosette, elle repousse brutalement ma main et se retourne:

- Non ! Pas ça !

 

Bon, OK. Mais tu peux être sûre qu'un jour, tu y viendras, ma cocotte. Toi, un de ces jours, "la mère la pudeur", je t'enculerai ! Les fesses appuyées au bord de la table, elle me repousse un peu et entreprend fébrilement d'ouvrir sa jupe. Voilà, première agrafe, puis deuxième agrafe. Elle l'envoie rejoindre sa parka sur la commode et me lance:

- Allez, viens ! Fais-moi comme l'autre jour. Mets-moi ta langue dans … ici !

 

Elle plaque la main sur son pubis. Je la sens fébrile, dans l'urgence. Elle s'assoit sur la table, jambes pendantes, et déboutonne son gilet. Elle m'épate de plus en plus. Ces initiatives qu'elle prend sans vergogne, comme me coller la main sur sa chatte et me tripoter la bite. Ce soudain manque de pudeur, qui lui fait ôter sa jupe et m'exhiber sa chatte comme si nous étions un vieux couple. Ses formules directes et crues: « tu bandes », « je veux que tu me baises » ... tout ça est si loin d'elle ! Comme si des pulsions trop longtemps contenues s'étaient mises à la submerger, à enfoncer ses défenses psychologiques. Elle semble totalement désinhibée. Je m'approche:

- Ça te plaît, de te faire bouffer la chatte ?

- BOUFFER LA CHATTE ? C'est comme ça qu'on dit ?

- Oui, c'est comme ça qu'on dit. On peut dire aussi "brouter le minou".

- Oui, ça me plaît de me faire ... BOUFFER LA CHATTE.

 

Un large sourire sur le visage, elle a dit ça avec une espèce de délectation lubrique, comme une gamine qui se régalerait à dire des gros mots. Elle m'a littéralement chopé par la ceinture de mon pantalon, et attiré brutalement vers elle. Je perds à moitié l'équilibre et je me retrouve tout contre elle. De nouveau ce parfum qui se dégage d'elle. Je me penche, tout contre sa joue et je hume:

- Tu sens bon. C'est quoi ?

- On verra ça plus tard.

 

Elle me repousse un peu et, penchée en avant, elle déboutonne fébrilement mon pantalon. Elle s'empêtre dans mon zip, et c'est moi qui finis de le descendre. Aussitôt, elle plonge la main à l'intérieur:

- Mais … tu ne portes rien en dessous !

- Non. C'est pour ça que, tout à l'heure, tu as trouvé ma bite dans ma jambière. D'ailleurs, toi non plus, tu ne portais rien, sous ta jupe. Comme une cochonne. C'est bien, ça me plaît. 

- J'avais mis une culotte pour aller à la réunion du maire. Mais quand je t'ai vu arriver, je suis allée l'enlever aux toilettes. 

 

Ah bon ! Au moins, c'est clair. Elle sort sa main de mon pantalon, fouille dans la petite poche de son gilet, et en extrait une espèce de petite boule de tissu noir. Elle la secoue pour la dérouler. C'est un string minuscule en dentelle. Elle est passée sans transition du slip en coton le plus basique et le moins sexy à la petite culotte la plus "sexe" qui soit ! Elle l'agite sous mon nez avec un petit sourire coquin:

- J'avais envie de te le dire, tout à l'heure, au milieu des autres, que j'étais nue sous ma jupe. Mais je n'ai pas osé. 

- Ah, c'est dommage, ça m'aurait bien plu, de savoir que tu te baladais la foufoune à l'air. 

- C'est la première fois que je fais un truc comme ça. Ça m'a beaucoup plu. Même porter un string sous ma jupe et parler avec les gens comme si de rien n'était, c'était excitant. Alors après, avoir la foufoune à l'air, comme tu dis … je sentais que je … que j'étais de plus en plus mouillée. 

 

J'arrête sa main au moment où elle me passe son string sous le nez. Je le prends, je l'étale sur mes doigts et je renifle le minuscule gousset:

- Hhhmmmmm, il sent bon. Et ça, là, ce petit bout de tissu en coton … il a été dans ta foufoune, il est tout humide.

- Oui. Il me rentrait dans … dans la foufoune. Alors il est tout mouillé, lui aussi.

 

Je le prends dans ma bouche et je le suce. Elle me regarde, souriante, ravie de me voir téter son string. Elle a remis sa main dans mon pantalon, en a extrait ma queue, un peu brutalement, et elle se met à me masturber:

- Il y avait longtemps que je n'avais pas touché le sexe d'un homme !

- Si longtemps que ça ?

- Oui, depuis … depuis que je suis veuve …

- Et il devait y avoir longtemps que tu ne t'étais pas fait brouter le minou.

- Jamais ! Avant l'autre jour, je ne m'étais jamais fait brouter le minou.

- Ah bon ? Même pas par ton mari ?

- Non. On ne faisait pas ces choses là, avec mon mari. 

- Et lui, ton mari, tu l'as sucé ?

- Non, je te dis, on ne faisait pas ces choses là. Toi, tu vas me le brouter, mon minou, hein ? Et après tu vas ME BAISER ?

 

Je sens qu'elle se délecte à prononcer ça.

- Oui, je vais te le brouter, ton minou. Et après, je vais te baiser.

- Oui, mais me BAISER, hein ? Comme ces hommes t'ont fait à toi …

- Comment ça ? Tu veux que je … que je t'encules ?

- Ah non … pas ça. Je veux que tu me baises … normalement, quoi … mais pas que tu me fasses l'amour. Que tu me BAISES, quoi …

- Ah, d'accord. Je vois.

- Tu as envie de moi ?

- Oui. Ça se voit, non ?

- Il y a longtemps, que tu as envie de moi ?

- Oh non. 

- Ah bon ? Depuis quand ?

- Dix minutes, un quart d'heure … depuis que tu fais ta salope avec moi …

- Tu trouves que je fais ma salope ?

 

Elle me demande ça comme si elle cherchait un compliment !

- Ben oui, tu fais plus salope que sainte Nitouche !

- Allez, vas-y !

 

Elle lâche ma bite, et entreprend de se reculer vers le milieu de la table, entraînant sous ses fesses la pile de dossiers qu'elle a oubliée et le lourd tissu de la nappe. Elle balaie les papiers d'un revers de main, remonte ses jambes, pose ses pieds juste au bord de la table et s'accoude:

- Allez, viens. BOUFFE-MOI LA CHATTE ! Je te regarde.

 

Je commence par poser mes mains sur ses genoux, puis à les descendre en caressant l'intérieur de ses cuisses. Elle les écarte largement, totalement impudique, m'exposant sa vulve. En effet, elle a considérablement réduit sa toison, à la fois en épaisseur et en surface. En appréciant la douceur de ses cuisses, je remarque:

- Tu t'es épilée. C'est bien, comme ça.

 

Elle glisse une main entre ses jambes et se caresse la toison:

- Oui. Avant, je n'avais pas besoin. Je le faisais seulement un peu quand j'allais chez le médecin. Ça te plaît ?

- Oui, bien sûr. C'est plus joli à regarder et c'est plus confortable.

- Plus confortable ?

 

Elle a maintenant son majeur entre ses lèvres et elle commence à se caresser.

- Oui, c'est plus confortable pour ma langue et pour mes lèvres.

- Allez, viens me la mettre, ta langue. Broute-moi le minou.

 

Elle tend la main vers moi. Comme l'autre jour, je pose des baisers à l'intérieur de ses cuisses. Elle rejette la tête en arrière. J'approche de son entrejambe et je commence à passer ma langue sous ses aines, à ce minuscule endroit, juste à la limite entre le haut des cuisses et le bas des fesses, ces quelques centimètres carrés naturellement dépourvus de poils, et si doux sous les doigts, si sensibles. Elle ne peut retenir un « Oh oui ! » et elle pose sa main sur ma nuque. Par ici, elle sent l'amande, comme l'autre jour. Son gel douche, sans doute. J'approche ma langue de son sexe et je commence à lui lécher les grandes lèvres. Elle se met à haleter. Je me redresse un peu, et, du bout des doigts, j'entrouvre ses petites lèvres. Toutes roses et toutes luisantes de plaisir, j'ai envie de les baiser … de les embrasser, je veux dire. Je les caresse du bout des doigts. A leur commissure, son clitoris, gonflé, tendu comme une minuscule sexe d'homme, lui aussi déjà mouillé. Je le prends délicatement entre mon pouce et mon index et je le roule doucement. Elle gémit. Et soudain, elle m'appuie sur la nuque, et:

- Allez, BOUFFE-MOI LA CHATTE ! MAINTENANT !

 

Alors je plonge. Je colle ma bouche conte la sienne … contre la bouche de son entrejambe. Hhhhmmmm, toute cette liqueur qui baigne son sexe ! Au contact de ce fluide avec ma bouche, je sens ma queue se raidir un peu plus. Cette … mouille, c'est un appel impérieux à la pénétration. Pénétration par ma bite, par ma langue ou par mes doigts, peu importe, mais ça réclame une pénétration. Alors, le nez dans sa toison, j'enfonce ma langue. Elle gémit de plus belle, secouant sa tête de droite à gauche. Je la prends fermement par les hanches et je lui BOUFFE LA CHATTE ! Jouant des lèvres, de la langue et des dents, je lui suce, je lui lèche, je lui mordille les petites lèvres et le clitoris. Sous l'effet du plaisir, elle se cambre, elle serre convulsivement ses cuisses contre mes oreilles et me pétrit la nuque. Quand je lève les yeux sur elle, tout en poursuivant ce cunnilingus, je me rends compte qu'elle me regarde lui brouter le minou, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte. La tronche d'un mec entre ses cuisses, en train de lui BOUFFER LA CHATTE ! Me regarder, ça doit l'exciter au plus haut point. Sous mes yeux, je vois son abdomen se soulever et se contracter spasmodiquement. J'ôte une main de sa hanche, et, tout en lui tétant le clitoris, je glisse mon pouce à plat entre ses lèvres. Quand je le sens suffisamment lubrifié, je commence à lui enfoncer dans le vagin. Sa réaction est immédiate: elle crie, puis se mord la lèvre pour étouffer son vagissement. Elle lâche ma nuque, et s'écroule complètement sur le dos, bâillonnant sa bouche à deux mains, et secouant sa tête de plus belle de droite à gauche. Elle est en train de jouir ! Et brusquement, elle serre ses cuisses contre mes oreilles, elle se redresse, et repousse ma tête:

- Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête !

 

Bien obligé d'arrêter, je me redresse. Oui, elle a joui. Violemment, on dirait. Elle s'écroule de nouveau sur la table, jambes largement ouvertes. Putain, j'ai une des ces triques ! D'une main, je lui caresse encore l'intérieur des cuisses. Je n'ai qu'une envie: la prendre par les hanches, attirer ses fesses jusqu'au bord de cette table, et la FOURRER ! Je me tripote la queue en contemplant sa vulve, luisante de son fluide vaginal et de ma salive, et ses lèvres roses et brillantes, encore un peu entrouvertes. Dans un instant, je vais glisser ma queue dans ce corps chaud et humide ! JE VAIS LA BAISER !

 

La voilà qui se redresse, encore essoufflée, et me regarde. Elle s'aperçoit que je suis en train de me masturber. Elle me sourit, s'accoude, glisse une main entre ses cuisses, et écarte un peu plus ses petites lèvres:

- Tu as envie ?

- Ça ne se voit pas ?

- Si. Tu veux me baiser ?

- Oui. Pourquoi ? Tu n'as plus envie ?

- Si.

- Ah bon ! Tu as joui ?

- Oh oui !

- Et tu as encore envie que je te baise ?

- Oui, c'est pas pareil que de se faire seulement brouter le minou. Alors, j'ai envie de ça aussi, me faire BAISER. Et en plus …

 

Elle laisse sa phrase en suspens, comme si ça lui avait échappé. Je demande:

- Et en plus ?

- Non, rien.

- Allez, raconte. Au point où on en est, tous les deux, les cachotteries, c'est con.

 

Elle se met à bouger, rapprochant son bassin du bord de la table. Je l'aide en la prenant sous les fesses, en la soulevant et en l'attirant vers moi. Maintenant complètement redressée et assise, jambes pendantes, elle pose une main sur mon épaule et prend ma queue de l'autre. Elle la regarde et se met à me masturber, les yeux baissés:

- Et ben … depuis que j'ai vu tes photos, avec tous ces hommes …

- Allez, continue !

- … j'ai un fantasme.

- Oui. Vas-y !

- J'ai envie de … de faire la même chose.

- Non ! Te … te faire baiser par plusieurs hommes ?

- Pas autant que toi, bien sûr … pas vingt ou trente, mais … je sais pas … trois ou quatre. Je … j'y pense tous les jours. 

- Et ben dis donc ! Je pensais bien que te montrer mes photos, ça te décoincerait, mais je ne pensais pas à ce point !

- Je ne comprends pas ce qui m'arrive. J'en rêve même la nuit. Ça me réveille, et je suis toute … toute mouillée. Dans mes rêves, ils me … ils me font comme à toi …

- C'est-à-dire …

- Ben pareil, les mêmes choses.

- Ils m'en ont fait des choses. De toutes sortes. Tu rêves qu'ils te font quoi, en particulier ? Raconte.

- Oh ben non, je … 

- Tu rêves que tu les suces ?

- Oui.

- Et ils te prennent l'un après l'autre. Ils te font tourner, quoi, comme ils feraient tourner … un joint …

- Oui, c'est un peu ça.

- Ils te baisent en levrette.

- C'est quoi ?

- En levrette ? Tu ne sais pas ce que c'est ?

- Non.

- Par derrière. A quatre pattes ou debout, contre un mur ou contre une table.

- Oui. Ça aussi !

 

A son intonation, je sens que cette évocation de la levrette la bouleverse. A son intonation et à la vigueur soudaine de sa main sur ma queue.

- Doucement, là, avec ma bite. Et ça, la levrette, ça te fait vraiment envie.

- Oui.

- Ton mari ne te l'a jamais fait ?

- Non. Je t'ai dit, on ne faisait aucune de ces … choses.

- Et ils t'enculent, les hommes de tes rêves ?

- C'est PAS les hommes de mes rêves. 

- Oui, c'est une expression. Les hommes DANS tes rêves, si tu préfères.

- Oui, d'ailleurs, c'est les tiens, d'hommes.

- Comment ça ?

- Ben, dans mes rêves, c'est toujours ceux que j'ai vu sur tes photos.

- Ah bon ? 

- Oui. Et des fois, c'est ton ami noir ... ou les cinq de l'autre jour ...

- Mon ami noir … celui dans mon jardin ?

- Hmmm !

- Ah, Gabriel. Ça ne m'étonne pas. Et ces hommes, dans tes rêves, ils t'enculent ?

- Oui, ils m'enculent. Ils m'enculent.

 

De nouveau, je sens qu'elle se régale à prononcer ces paroles

- Et ça aussi, ça te fait envie.

- Oui.

- Tu as envie de faire ça comme des animaux, quoi.

- Oui. Et le pire … 

- Le pire ?

- Ben, la nuit, quand c'est des rêves je n'y peux rien. Mais ces idées-là me viennent aussi dans la journée, et alors, pour les chasser, j'ai beau me dire que c'est pas normal, que c'est pas MORAL, ça ne fait rien, je continue à en avoir envie et ça me … ça m'excite, même dans la journée … et je me … C'est devenu plus fort que mon éducation, que tout ce qu'on m'a inculqué. Je n'arrive même pas à trouver ça dégoûtant, répugnant. Je n'aurais jamais pu imaginer qu'un jour, j'aurais des envies comme ça … ni me comporter comme ça avec toi, te toucher, te faire des propositions, te demander de me … de me bouffer la chatte, par exemple !

- Ben c'est pas grave. C'est peut-être ta nature profonde qui a repris le dessus sur toutes les contraintes morales qu'on t'avait imposées.

- Oui, mais qu'est-ce que je vais faire, maintenant ?

- Maintenant ? Déjà, maintenant, tu vas te faire baiser, là, tout de suite. En levrette, par exemple. Et puis, plus tard, ben tu vas te laisser porter par tes envies, tu vas assouvir tes fantasmes …

- Oui, baise-moi, maintenant. Tu vois, même ça. Dire des choses comme ça, 'baise-moi", je n'aurais jamais imaginé pouvoir le faire. Et maintenant, j'aime ça. C'est bête, mais ça me plaît de dire ça … "bouffe-moi la chatte", "baise-moi",  et "me faire enculer" … "me faire EN ... CU ... LER" …

 

Elle s'est écoutée répéter ça, à la fois surprise et ravie, les yeux dans le vague comme si elle vivait en imagination une sodomie.

- Moi aussi, j'aime ça. Alors, je te baise en levrette ?

- Oui en levrette … baise-moi en levrette.

- A quatre pattes sur la table ?

- Non, baise-moi debout. 

 

Elle fait mine de descendre. Je l'arrête:

- Attends ! Deux secondes.

 

Surprise, elle se rassoit et attend. Je m'accroupis entre ses jambes:

- Penche-toi un peu en arrière.

 

Je crois qu'elle devine ce que je veux faire. Elle pose ses mains à plat derrière elle et se penche, tendant son ventre vers moi et écartant les jambes. Mes deux mains posées sur le haut de ses cuisses, je contemple sa vulve:

- J'aime beaucoup ça, te lécher. Et tu mouilles beaucoup. J'adore ça.

 

D'elle même; elle écarte ses petites lèvres du bout des doigts:

- Alors, vas-y, lèche. 

- Ton impudeur aussi, ça me plaît, ta façon d'écarter les cuisses, de me montrer ta chatte. Je n'imaginais vraiment pas ça de toi.

 

Elle se rentre un doigt dans le vagin:

- Moi aussi, ça me plaît, d'être impudique et d'écarter les cuisses comme ça. Comme une … comme une …

- … comme une salope.

- Oui, comme une salope.

- Comme une salope qui a le feu au cul.

- Oui, j'ai le feu au cul. Vas-y, bouffe-moi !

 

De nouveau, je lui bouffe la chatte. Pas longtemps, juste le temps de goûter à nouveau à son fluide vaginal, à la liqueur de son excitation. Pendant que je lui tête le clitoris, elle me caresse fébrilement la tête. Puis je me relève. Elle pose ses deux mains sur mes épaules:

- Tu vas me baiser, maintenant ?

- Oui.

 

Je saisis ma queue, raide et je m'avance. Elle baisse les yeux, regarde ce que je fais. Je plaque mon gland contre son clitoris, et je le frotte entre ses lèvres. Elle se met à haleter, descend une main jusqu'à son sexe et, de nouveau, elle écarte ses petites lèvres, m'invitant à entrer. Il me suffirait d'un coup de reins pour être en elle. Elle a oublié la levrette et je la sens impatiente de se faire pénétrer. D'ailleurs, si impatiente qu'elle passe sa main libre derrière mes reins et essaie de m'attirer vers elle … de m'attirer EN elle. Je résiste. Elle lève les yeux et:

- Tu ne veux pas ?

- Pas comme ça. En levrette. Et puis … il vaudrait peut-être mieux que je mette une capote.

- Ah oui. Mais tu peux y aller. Je ne peux plus … je suis ménopausée.

- Non. Je te parle de maladies …

- Ah bon ?

 

Elle hésite un instant, puis, fébrilement, elle fouille dans l'autre poche de son gilet et en sort … une capote dans son étui ! Ah la vache, c'était vraiment prémédité, alors. Je ne l'imagine pas demander des capotes à la pharmacienne, d'autant que je crois qu'elles sont amies. Je lui demande:

- Tu as acheté des capotes ? Tu as osé demander des capotes à la pharmacienne ?

- Je les ai achetées à Paris.

 

Je tends la main vers la capote, mais elle m'arrête:

- Non, c'est moi !

 

Et aussitôt, elle déchire l'étui et sort le rouleau de latex. Elle finit de me décalotter, me caresse délicatement le gland, et, tout en me posant la capote sur le bout de la queue, elle ajoute:

- Je me suis entraînée.

- Sur qui ?

- Sur personne. Sur une banane. Et j'ai cherché sur Internet. Mais à l'avenir, je viendrai m'entraîner sur toi.

 

Elle se marre. Et en effet, elle sait s'y prendre. Elle presse le réservoir de la capote entre ses doigts, me la déroule complètement sur la bite, contemple son travail, et demande:

- C'est bien, comme ça ?

- Très bien.

 

Elle me repousse:

- Laisse-moi descendre.

 

Je m'écarte et, sans une hésitation, elle se tourne, s'accoude sur la table, et tourne la tête vers moi:

- Vas-y, baise-moi !

 

Oh, putain ! Moi qui ai dit ça si souvent à des mecs, je comprends l'effet que ces paroles peuvent exercer sur celui qui est sollicité de cette façon. C'est irrésistible ! Malgré ses fesses trop pâles et trop plates, son bassin trop large à mon goût, elle me donne une furieuse envie de la fourrer, cette salope ! Alors je m'approche, je soulève le bas de son chemisier, je pose mes mains sur sa taille et je la caresse. Elle détourne la tête. Je saisis ma queue et en pliant un peu les genoux, de nouveau, je plaque mon gland à l'aveugle entre ses petites lèvres. A ce contact, elle se cambre. Je frotte mon bout contre sa vulve. Elle se prend les fesses à deux mains et se les écarte:

- Allez, baise-moi !

 

Alors, le gland coincé à l'entrée de sa chatte, je la saisis par les hanches et, lentement, je la pénètre. Elle halète et gémit en même temps, courbe la tête:

- Ah oui ! Je la sens, ta bite ! Baise-moi ! BAISE-MOI !

 

Je commence à aller et venir lentement. Hhhhhmmmm, ce que je suis bien, dans sa chatte ! Depuis qu'elle m'a collé la main sur son entrejambe au pied de l'église, j'ai déjà pu m'en rendre compte, mais là, le moins que je puisse dire, c'est que, malgré ses cinquante ans passés, elle ne souffre pas de sécheresse vaginale. Je glisse là-dedans comme si elle s'était injecté tout un tube de lubrifiant ! Et elle est étonnamment serrée ! Son vagin est très tonique. Je sens mon gland comme compressé en glissant dans ses chairs, et ça fait monter mon excitation à toute vitesse. Au moment où je m'apprête à glisser mes doigts jusqu'à son clitoris pour amplifier son plaisir, c'est elle qui, à tâtons, cherche ma main sur sa hanche, et l'attire jusqu'à sa chatte. Elle écarte un peu plus les jambes, et, à partir de là, ça va très vite. Après quelques secondes de manipulation de son clitoris, elle explose, elle halète, elle gémit, elle râle, elle crie en s'agitant de manière désordonnée. Je sens son vagin se contracter spasmodiquement. Je suis obligé de la coincer contre la table pour éviter qu'elle ne m'expulse. Et, bien entendu, son orgasme déclenche le mien. Mon abdomen se contracte, et je sens un premier spasme à la fois dans ma prostate, dans mes couilles et dans ma verge. Je me plaque instinctivement contre elle et, la queue bien plantée au fond de son vagin, je jouis. Le souffle coupé, je sens mon sperme jaillir et s'étaler dans la capote autour de mon gland. Elle me sent certainement prendre mon pied, parce qu'elle gémit et halète de plus belle et se met à me caresser la cuisse.

 

Enfin, mes éjaculations cessent. A bout de souffle, j'enserre son torse de mes bras et je m'effondre sur elle. Elle se laisse aplatir sur la table, la joue posée sur ses avant bras croisés. Sous moi, je la sens reprendre aussi son souffle. Enfin, comme apaisée, elle se met à ronronner:

- Hhhhooooonnn hhoooonnnnnnn hoonnnnn, c'était boooon ! Et toi, c'était bien ?

- Oui. Très bien.

 

Nous restons comme ça un moment. Puis je sens ma queue débander, se ramollir et commencer à s'échapper d'elle. Quand elle tombe toute seule, je me redresse et je lui caresse les reins, avant de m'écarter. Aussitôt, elle est debout et se tourne vers moi:

- Attends !

 

Je m'apprêtais à ôter la capote. Je m'immobilise. Elle se plante devant moi, regarde ma queue et la prend à deux mains:

- Oh, dis donc, elle est redevenue toute petite !

 

Mine de rien, elle est en train de se payer ma tête ! Elle entreprend de m'ôter elle même le préservatif, puis elle le lève à hauteur de ses yeux, elle le serre entre deux doigts, depuis l'ouverture, et les fait coulisser jusqu'à l'autre extrémité, visiblement pour réunir tout ce que j'ai éjaculé dans le fond. Elle secoue la tête, comme un peu déçue::

- Ah, ben, y'en a pas beaucoup ! Je m'attendais à plus que ça !

 

Et elle fait un nœud au milieu de la capote, l'agite sous mon nez, et la fourre dans une des poches de son gilet:

- Souvenir !

 

Puis, elle s'approche de moi, enserre la base de mes couilles et de ma queue de ses deux mains:

- Je … je n'avais jamais eu un orgasme comme ça. Sauf … sauf l'autre jour, sur ma terrasse. Mais là, c'était encore plus fort.

- Même avec ton mari ?

- Oh ben non. Lui, il ne me … il ne me baisait pas. Et on ne faisait ça que ... tu sais, face à face ...

- Dans la position du missionnaire ?

- Oui. C'est comme ça qu'on dit ?

 

Tout en parlant, elle me tripote machinalement le paquet. 

- Oui, la position du missionnaire, c'est face à face, et toi dessous.

- Oui, c'est ça. J'étais obligée de … de me caresser moi même. Mais c'est pas aussi bien que de me faire BAI ... SER ! Et de me faire BROUTER   LE   MINOU !

- C'est bien que ça te plaise et que tu te laisses aller.

- Un jour .. un jour, j'aimerais bien que tu me baises sans capote.

 

Aïe ! Elle y prend goût, mais je ne voudrais pas qu'elle pense qu'on va baiser comme ça régulièrement. Alors:

- Ecoute, avec mes pratiques, je ne peux pas être absolument sûr de mes partenaires. J'assume les risques pour moi, mais je ne voudrais pas te mettre en danger. 

- Oui, mais j'ai envie !

- Alors, tu devrais te trouver un homme. Un homme sûr, je veux dire.  

 

Elle réfléchit, pas convaincue. Elle me lâche la bite et va récupérer sa jupe. Pendant qu'elle la remet et ajuste son chemisier, je remonte et je referme mon pantalon. Elle enfile sa parka et moi mon blouson. Elle grimpe de nouveau sur une chaise pour ôter le torchon du crucifix, avant de jeter un coup d'œil circulaire à la sacristie. Avisant les papiers qu'elle a déplacés:

- Je reviendra demain pour remettre tout ça en place.

 

 C'est au moment de nous diriger vers la porte pour sortir que, brusquement, elle se baisse vers un pied de la table:

- Oups ! Il vaudrait mieux ne pas laisser traîner ça ici !

 

Quand elle se redresse, elle brandit son minuscule string de dentelle:

- Tu le veux ? Je te le donne. J'en ai d'autres.

 

C'est marrant, moi aussi, j'aime bien offrir mes strings aux mecs qui me baisent. Avant de le fourrer au fond de ma poche, je le renifle à nouveau:

- Hhmmmm ! Tu pourras me le re-mouiller, de temps en temps ?

- T'aimes ça, hein ?

- Oui.

 

Elle éteint la lumière, tourne la clef et entrouvre prudemment la porte. Dehors, c'est le calme. Nous sortons. Là-bas, les lumières de la salle des fêtes sont éteintes. Tout le monde est parti. Yolaine referme soigneusement la porte, et nous nous mettons en route. Après quelques mètres, elle vient se coller à moi, et me prend par le bras:

- Ça va mieux, maintenant, entre nous, hein ?

- Ah ben oui, c'est le moins qu'on puisse dire.

- J'étais pas facile, hein …

- Ça aussi, c'est le moins qu'on puisse dire.

- Je ne le faisais pas exprès. Ça me … ça me rongeait, d'être comme ça. Mais j'ai compris, et maintenant, je me sens tellement … Dis, on leur dira ?

- A qui ? On dira QUOI à QUI ?

- Au gens qu'on connaît. On leur dira, que … nous deux …

- Ah non. Ecoute, je n'y tiens pas du tout. Non, non, on ne dit rien à personne. Mais il y a quelqu'un qui a déjà des soupçons.

- Qui ça ?

- Françoise, ta copine.

- Comment tu le sais ?

- Elle me l'a dit.

- Ah bon ? Mais moi, je ne lui ai rien dit !

- Tu n'as pas été assez discrète.

- Ah bon !

 

Elle réfléchit, puis:

- Ça t'embête, qu'elle ait des soupçons ?

- Ça dépend. A ton avis, elle gardera ça pour elle ?

- Ah oui ! Alors elle, c'est vraiment pas le genre à faire des commérages. Elle ne dira rien.

- Bon. Tu sais, je crois que le mieux, c'est que tu te trouves un autre homme. Maintenant que tu es relookée, et que tu n'as plus ton caractère de cochon, tu va sûrement attirer des hommes. 

- Hé ! Caractère de cochon ! Dis donc !

 

Elle me pince le bras en riant. Je poursuis:

- Mais pour nous deux, si tu veux, de temps en temps, à l'occasion, on pourra baiser …

- A l'occasion … Dis, au fait, l'autre jour, je crois que je n'avais pas fini de regarder tes photos. Tu sais, CELLES OU TU TE FAIS BAISER !

 

Ça claque dans le silence de la nuit: elle a délibérément élevé la voix, presque crié. Et elle éclate de rire. Je la calme:

- Chut ! Tu vas nous faire remarquer. 

 

Elle rit. Bras dessus, bras dessous, nous poursuivons notre chemin, perdus dans nos pensées. Arrivés dans notre cour, il y a deux secondes de flottement. Elle me regarde:

- Tu veux entrer ?

- Non. Je vais aller me coucher.

- Moi aussi. Et je crois que cette nuit, je vais bien dormir.

- Alors bonne nuit.

 

Elle hésite. Elle va m'embrasser, ou pas ? Non. Elle se contente de me presser l'avant bras:

- Merci, hein …

- A ton service.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

C'est fou, ça m'a calmé, assouvi, appaisé, cette séance chez Jean-Claude. M'être fait baiser le même jour par lui et par ses deux molosses, c'est comme un aboutissement, comme si c'était ça que je cherchais plus ou moins inconsciemment. C'est tellement vrai que depuis ce jour-là, je n'ai plus d'envies ... enfin, plus d'autres envies que de recommencer avec lui .. et avec ses chiens. Je passe mon temps à rêvasser que je m'installe chez lui ... chez EUX ... et que je me fais saillir tous les jours soit par le maître, soit par ses dogues ...

 

Mardi 31 octobre. 9 heures. 

Je viens à peine de me lever quand le téléphone sonne. Numéro masqué. Je décroche quand même:

- Marin ?

 

Qui m'appelle ? C'est ma ligne fixe, et normalement, personne ne m'appelle à ce numéro en tant que … Marin ! C'est mon pseudo pour le cul, et pour ça, je ne communique que mon numéro de portable ! 

- Vous êtes qui ?

- Jacky.

- Jacky ?

- Ouais, Jacky.

 

Je n'en connais qu'un, celui de chez Jeannot, le Jacky qui m'a proposé de me mettre au tapin ! En effet, on dirait sa voix. Comment il a eu mon numéro ? Ça carbure à fond dans ma tête. Je flaire immédiatement le danger. S'il connaît ce numéro, il pourrait … les implications sont tellement … poussée d'adrénaline … pas d'excitation, non, de peur. Alors bêtement, je lance:

- Je vois pas …

 

Aussitôt, je réalise que c'est une connerie. Il ricane:

- Hé hé hé ! Te fatigue pas, mec. Tu vois très bien qui je suis. Je t'ai baisé, l'autre jour, chez Jeannot.

- …

- Ça y est, tu me remets ?

- Euh … oui.

- Bon ! 

- Mais, qu'est-ce que tu me veux ?

 

Oh, je devine, ce qu'il me veut: soit il veut encore me baiser, soit il revient à la charge pour cette histoire de tapin.

 

- Te baiser.

 

Voilà. Evidemment. Bon, si ce n'est que ça ... Pour le tapin, ce serait trop tôt, je n'ai pas encore réfléchi. Ou, plus exactement, je n'ai pas encore décidé. Mais bon, pour le moment, s'il veut seulement me baiser, ça va, je vais pouvoir lui donner satisfaction … surtout qu'il a une de ces queues !

- Ah ! Ben d'accord. Tu veux qu'on se voit quand ... et où ?

- Je veux te baiser MAINTENANT.

- Maintenant ?

- Ouais. D'ici quoi … un quart d'heure, vingt minutes.

- Un quart d'heure, vingt minutes ? Mais t'es où ?

- Je suis pas loin. 

- Ben, dis-moi, je te rejoins …

- Non, non, tu me rejoins pas, je viens te baiser CHEZ TOI.

- Chez moi ?

- Ouais, CHEZ TOI, 6 Chemin de la fontaine.

- …

 

Putain, il a aussi mon adresse ! 

 

- C'est bien ça ? T'habites bien 6 Chemin de la fontaine ? Enfin, je vois pas pourquoi je te demande, je le sais.

- Tu … veux venir chez moi ?

 

Merde ! A part Thomas, mon premier mec, et Gabriel, le grand black qu'il m'avait … offert, parmi les mecs avec qui j'ai baisé, personne n'est censé connaître mon adresse. 

- Ouais, je viens te baiser CHEZ TOI !

- Mais, comment tu sais où j'habite ?

- Hé hé ! Le samedi, tu sais, le lendemain du jour où je t'ai enculé … t'es repassé devant chez Jeannot, non ?

- Euh, oui.

- T'as pas fait attention, mais j'étais juste derrière toi. Je venais voir Jeannot, et quand t'as tourné devant moi, au bout de sa rue, je t'ai reconnu et je t'ai suivi. 

- Ah bon ?

- Ouais. Même qu'après, t'as fait tout un circuit en ville. Exact ?

- Ouais.

- Voilà. Je me suis demandé ce que tu foutais, mais je t'ai suivi jusqu'au bout, jusque dans ta rue, jusqu'à l'entrée de ta cour, même. Je t'ai même vu entrer chez toi, avec ta minijupe et tes miches à l'air.

 

Ah, d'accord … Putain … Bon, il faut absolument que j'évite qu'il vienne à la maison:

- Bon, OK. Mais, j'aime mieux pas que tu viennes chez moi. Je peux te rejoindre où tu veux. Dis-moi.

- Non non, je t'ai dit: je viens te baiser CHEZ TOI !

- Non, je suis pas d'accord.

- Attends, la fiotte ! Tu m'as pas bien écouté ! Je te demande pas si t'es d'accord, je te dis: JE VIENS TE BAISER CHEZ TOI !

 

Putain ! Alors, j'essaie autre chose:

- Et si je te laisse pas entrer …

- HA ! HA ! HA ! Me fais pas rire ! Yolaine C., 8 chemin de la fontaine, Lucienne B., 4 chemin de la fontaine … tu connais ?

 

C'est mes voisines ! 

 

- Alors ? Tu les connais ? C'est tes voisines, non ? Et attends. La Rando des Trois Vallées et les Fêtes au Village, tu connais aussi ?

 

Oui, je connais: le premier, c'est le club de rando avec qui je marche et l'autre, c'est la société des fêtes de ma commune !

 

- Tu connais, ou pas ? Tu veux que je te donne le nom des gens qui s'en occupent ? Je peux, je les ai. J'ai même leurs téléphones. Internet, c'est magique ! Une fois qu'on a le nom et l'adresse de quelqu'un, y'a plus qu'à chercher !

 

Ouais, évidemment, avec mon nom, sûrement relevé sur ma boîte à lettres en même temps que le nom de mes voisines, et avec mon adresse … et en cherchant les associations de la commune. J'ai fait partie de leurs conseils d'administration et ça doit encore figurer sur des sites Internet. Bon, j'ai compris. Il s'est renseigné sur moi et il pourrait aller baver sur mon compte auprès de ces gens-là ! Dans le lot, il y a des commères qui se feraient un plaisir d'aller répéter ça un peu partout. Il ne l'a pas formulé ouvertement, mais il y a de la menace dans tout ça. Putain, de merde ! Il insiste:

- Alors, tu connais ou pas ?

- Oui, ça va, j'ai compris.

- Bon. Alors, prépare ton cul, qu'il soit propre quand je vais arriver! Et mets-toi en tenue de salope, dans le genre de celle que tu portais l'autre jour chez Jeannot. On arrive !

 

Touuuuuut ! Il a raccroché. « ON arrive » ! Il est pas tout seul ? Putain ! Je fais quoi ?

 

Oh je n'ai pas besoin de réfléchir longtemps. Dans l'immédiat, je n'ai pas le choix, je ne peux pas le braquer. Sinon, je suis bon. Moi qui pensais avoir tout verrouillé pour préserver ma réputation dans le village … j'étais même tranquille du côté de Yolaine tout en lui ayant révélé ma dépravation ! Paniqué à l'idée que ce mec puisse déballer sur mon compte auprès de tout le village, je monte à la salle de bain. Malgré tout, je me prépare aussi soigneusement que pour un rendez-vous que j'aurais voulu: douche, lavements, coup de rasoir un peu partout et crème hydratante. Je m'introduis même un peu de gel lubrifiant dans le fourreau: Jacky a peut-être l'intention de me prendre dès son arrivée, alors il faut que je sois prêt. Puis je me plonge dans ma commode. Il a dit "une tenue de salope dans le genre de celle que je portais l'autre jour ". L'autre jour, en plus de ma minijupe en jean, c'était petit haut moulant et string en dentelle. Mais ça, c'était pour sortir en ville. Là, ça va se passer chez moi. Alors, j'opte pour une tenue d'intérieur: nuisette en voile noir, transparente à souhait, avec son motif de dentelle verte sur la poitrine. Quand je me regarde dans le grand miroir de la chambre, c'est pas mal, pas mal pour recevoir un mec. Ou peut-être DES mecs ! Mais ça ne me paraît pas suffisant, pas assez hot, pas assez sexe. Le Jacky, il faut que je le dispose bien à mon égard, il faut que je sois à la hauteur. Je décide de mettre, en plus, un porte-jarretelles. Ça met très bien le cul en valeur. Avec la ceinture du porte-jarretelles sur les reins et les bas sous les fesses, ça fait comme un cadre sombre au centre duquel on ne voit que le cul, comme une tache plus claire, comme une cible, en fait. Un porte-jarretelles, mais lequel ? J'hésite: celui-ci, en tulle brun, avec des suspensions et des petits nœuds roses, et une paire de bas assortis ? Je le trouve sexy ! Mais ça n'ira pas avec ma nuisette noire. Bon, porte-jarretelles en dentelle noire avec des bas en voile. Je mets aussi un string assorti à la nuisette: tulle noir, brodé du motif de dentelle verte. Et je finis par ce déshabillé rose pâle que je me suis offert la semaine dernière. 

 

9 heures 25.

Me voilà paré. Me préparer pour me faire grimper par ce salaud de Jacky m'a un peu calmé. Même si le coup de queue que je vais prendre dans un moment m'est imposé, me soumettre à ce rituel de la toilette et du choix d'une tenue m'a conditionné, à la fois physiquement et psychiquement: un coup de bite, c'est un coup de bite, même s'il m'est imposé. Mon "viol" par l'équipe de blacks me revient en mémoire. C'est lui qui m'a fait basculer, et je ne regrette pas, au contraire. Alors, même pour cet enfoiré de Jacky, je suis content de m'être pomponné. Et puis, s'il est content, me baiser suffira peut-être pour qu'il ferme sa gueule. Au fond, même si le coup de bite qui m'attend est contraint, la perspective de me faire baiser compense le côté dégueulasse du chantage. "Le coup de bite qui m'attend " ! Peut-être "LES coups de bites qui m'attendent" ! Il a dit "ON arrive" ! Il va peut-être amener un pote. Alors, un peu moins angoissé, je l'attends en jetant de temps à autre un coup d'œil par la fenêtre. Savoir qu'en ce moment, une bite est sur la route pour venir se fourrer au chaud au fond de mon cul, ça me … hhhmmm … 

 

Je remarque que la voiture de ma voisine est devant sa maison. Elle ne travaille pas, aujourd'hui ? Pourtant, on est en semaine. Elle est peut-être en congés, ou malade.Tiens, ce serait pas mal quelle voie ce mec arriver chez moi. A tous les coups, elle se dira qu'il vient me baiser. Soudain, je réalise que j'ai oublié de mettre du déodorant. Je retourne dans la salle de bain. Je suis en train de réparer cet oubli quand j'entends une portière claquer sourdement. Non ... deux ... trois portières. Je me précipite à la fenêtre. Ce qui me saute aux yeux en premier, c'est cette grosse bagnole, noire, rutilante, garée à l'entrée de ma cour. Je ne connais rien en voitures, mais je reconnais tout de même une grosse Mercedes d'un modèle récent. 

 

C'est n'est qu'ensuite que je me rends compte que c'est LUI, le Jacky, là, à côté de la Mercedes ! Et c'est LUI, mais avec QUATRE autres types ! Pourquoi j'ai seulement envisagé qu'il viendrait avec UN autre type ? "ON arrive ! " En une fraction de seconde, je prends conscience de deux choses: non seulement ils arrivent à CINQ, mais les CINQ vont me baiser ! Je ne sais pas pourquoi, dès que je vois les types qui accompagnent Jacky, j'en suis sûr: eux aussi vont me baiser ! J'ai le cœur qui bat et un frémissement m'électrise le bas-ventre, la queue, l'anus. Je le reconnais, ce frémissement: ça me fait ça quand je sais que je vais me faire fourrer ! Putain, j'ai beau être encore un peu stressé par la menace que Jacky représente, c'est plus fort que moi, même si ce qui va m'arriver m'est imposé, je vais me prendre cinq coups de bite ! En fait, ce qui m'est imposé, ce n'est pas les coups de bites, c'est qu'ils aient lieu chez moi, et ça, au fond, ce n'est pas si grave. C'est même curieux, mais cinq types qui se déplacent jusque chez moi pour tirer un coup, je trouve ça … je ne sais pas exactement … c'est plutôt agréable, comme idée. 

 

Ils se marrent. Ils se marrent et ils s'esclaffent bruyamment. Je les observe en détail. A part Jacky, je n'en reconnais aucun. Ceux-là, je ne les ai jamais vus. Et, ceux-là, c'est des mecs ! Je veux dire des mâles, des mecs virils, des machos. Je réalise que le Jacky, est plutôt costaud. Chez Jeannot, je ne l'avais pas vraiment vu comme je le vois maintenant. Dans le bar, j'ai toujours été près de lui. Il était le plus souvent assis, soit sur un tabouret de bar, soit sur la chaise où je l'ai sucé, et après, à l'étage, je l'ai eu entre les cuisses. Alors je ne m'étais pas rendu compte qu'il était aussi grand et aussi large d'épaules. Les autres ont un peu le même type physique - à l'exception de l'un d'eux, plus petit et plus râblé - , et le même look de … je sais pas … de voyoux. Je ne serais pas surpris que les potes de Jacky soient aussi des macs.  Ils ont tous dans les … quarante, quarante cinq, cinquante ans. J'ai capté tout ça en une fraction de seconde, alors qu'ils ne sont encore qu'au milieu de la cour, Jacky en tête. Et là, le Jacky, je le vois s'arrêter, se tourner vers chez Yolaine, dire quelque chose en souriant – ma fenêtre est fermée et je n'entends pas -, comme s'il s'adressait à quelqu'un. A Yolaine ? Je le vois hocher la tête, et se remettre en marche, les autres sur les talons. Ils se marrent encore. Les voilà devant ma porte. Ils frappent. Je descends. 

 

Je ne sais pas pourquoi, avant d'ouvrir ma porte, je remarque que ma pendule, dans l'entrée, marque 9 heures 30.

Quand j'ouvre, Jacky fait signe à ses copains d'entrer. L'un après l'autre, ils passent devant moi en me reluquant, sans un mot, sans me serrer la main. Je sens les regards des quatre copains de Jacky se poser sur moi et me détailler, comme s'ils me touchaient, me pelotaient à travers le satin de mon déshabillé. Jacky aussi m'examine, un petit sourire aux lèvres. Il semble satisfait. Est-ce parce que la tenue dans laquelle je l'accueille lui plaît, ou est-ce parce que je lui ai obéi, que je me suis préparé comme une femelle se prépare pour recevoir son mâle ? Il ferme lui-même la porte, et:

- Bon, voilà … c'est lui.

 

Quatre mots en guise de présentation. Un de ses potes lui lance en ricanant:

- Ça se voit.

 

Ils se marrent. Mon séjour est brusquement envahi, submergé de testostérone. De près, ils font encore plus "mecs". C'est marrant, ils n'ont vraiment pas l'apparence de types homo ou même bi, bref, de types qui baisent un autre mec. Je les imagine plutôt baiseurs de femmes. Ces mecs-là vont me fourrer ? Dans un coin de ma tête, une petite voix me souffle « Tu te sens pas ridicule, devant ces machos ? T'as vraiment l'air d'une fiotte, d'une tapette, dans ton déshabillé rose, ta nuisette et ton porte-jarretelles ». Non, je ne me sens pas ridicule. Je sais bien que, dans cette tenue, j'ai vraiment l'air d'une fiotte, mais une fiotte que cinq mecs se déplacent jusque chez elle pour la baiser. Je ne peux pas m'empêcher de porter mon regard successivement sur leurs bas ventres, y compris sur celui de Jacky. Lui, il porte encore un jean moulant.  Là, dans ces pantalons et dans ces jeans, il y a des BITES ! Des bites de vrais mecs ! Des bites que je vais sûrement me prendre dans le cul ! Un nouveau frémissement m'électrise la rondelle.

 

- Asseyez-vous, les mecs !

 

C'est Jacky, qui vient d'inviter ses potes à s'asseoir. Putain, il se prend pour le maître de maison ! Mais qu'est-ce que je peux faire ? Ses potes se posent déjà, les uns sur les fauteuils, les autres de part et d'autre de Jacky, dans le canapé. Lui me regarde avec un sourire narquois:

- Dis donc, elle est sympa, ta voisine. Yolaine, c'est ça ? 

 

Ouais, mec ! J'ai compris que tu sais comment elle s'appelle, ma voisine. Pas besoin de me rappeler. Il attend une réponse, alors:

- C'est ça. Pourquoi ?

- Ben, quand elle nous a vus descendre de voiture, elle a mis le nez à sa fenêtre pour nous demander qui on cherchait …

- Ah bon ? Tu lui as dit quoi ?

- Qu'on allait chez toi.

- Et …

- Et rien. Elle a dit qu'elle s'en doutait. 

- Ah bon !

- Ouais. Pourquoi elle s'en doutait, selon toi ?

- Je … je sais pas.

 

En fait, je sais. Après lui avoir dit à deux reprises que je me faisais baiser par des mecs en bande, quand elle voit débarquer cinq mecs aux allures de mâles, elle se doute qu'ils viennent pour me tirer. Elle est quand même gonflée de les avoir interpellés, cette garce. Jacky reprend:

- Rassure-toi, je lui ai pas dit que je venais te baiser … enfin … qu'ON venait te baiser …

 

Voilà ! J'en étais sûr, mais cette fois, c'est dit: ILS viennent me baiser ! Toujours souriant, il poursuit:

- Ouais, parce qu'on va TOUS te baiser …

 

Il guette ma réaction. Qu'est-ce que je peux lui dire ? Est-ce que je peux avouer que je l'avais deviné, que je me suis fait à cette idée ? Comme je ne dis rien, il reprend:

- T'as compris, ça, qu'on va TOUS te baiser ?

- J'ai le choix ?

- Nan ! T'as pas le choix ! Ça te pose un problème ? Je suis sûr que non. Je suis même sûr que ça te plaît. L'autre fois, chez Jeannot, j'ai bien vu comme t'aimes ça, te faire enculer, même par des mecs que tu connais pas. Hein, tes quatre potes, d'ailleurs, ceux-là, ils t'avaient déjà sauté avant de venir, d'après ce que m'a dit Jeannot. Tes potes, ils t'ont amené à nous, là, chez Jeannot, sans te prévenir que c'était pour qu'on te baise aussi, et t'as pas moufté quand t'as compris. Et ça t'a plu qu'on te baise, avec les autres mecs, chez Jeannot. Hein, que ça te plaît ...

- …

- Vas-y, dis-le.

- Ecoute … vous êtes cinq, alors j'ai pas le choix, comme tu dis. Qu'est-ce que je peux faire ? Refuser ? Tu m'as fait comprendre que tu irais balancer aux gens que je connais. Résister ? Je suppose que vous me prendrez de force. A cinq, bâtis comme vous êtes, je fais pas le poids. Alors oui, vous allez TOUS me baiser et j'en mourrais pas. Baisez-moi, mais ne me demande pas de sauter de joie …

 

Voilà, mon con. Ce que tu ne sais pas, c'est qu'intérieurement, sans "sauter de joie", je me suis fait à l'idée, et même tellement, que OUI, ça me plaît, en fait. Mais ne compte pas sur moi pour te le dire, espèce de salaud ! Il ricane, puis:

- Et ben c'est bien, t'es pas con, t'as tout compris, et tu vas gentiment te laisser faire. A moins que t'aie envie de te faire dérouiller, et de te faire quand même baiser après. T'as envie de te faire dérouiller ?

- Non.

- Bon, c'est bien. Tu nous paie un coup ? Je prendrais bien un café. Et vous ?

 

Il s'est adressé à ses potes. Eux aussi veulent bien un café. 

 

- T'as du café ?

- Oui. 

- Alors, va nous faire des cafés.

 

Salaud ! J'esquisse un mouvement pour aller dans la cuisine. Il m'arrête:

- Attends ! 

 

Je lui refais face. D'un geste de la main, il montre mon déshabillé: 

- Enlève ça et montre ! Que mes potes se rendent compte.

 

La main levée, il dessine un cercle avec son index. Ce geste, je connais: il veut que je fasse un tour sur moi-même, il veut que je montre la "marchandise" à ses potes. Je suis bien conscient de ce que ça pourrait avoir d'humiliant, mais je ne me sens absolument pas humilié … bien au contraire, j'adore faire ça. Déjà, parce que là, je me sens vraiment à mon avantage, sexy, bandante, baisable, et que je sais l'effet que produit la vision de mon cul sur les mecs. Et puis, si Jacky veut encore me baiser, s'il m'amène d'autres types, c'est que je vaux le coup ... le coup de bite. Je dénoue la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le lance sur le dossier du fauteuil où un des mecs est assis. Puis, spontanément, je croise mes mains derrière ma nuque et je commence à tourner. Lever les bras fait remonter ma nuisette qui me découvre alors un peu plus les fesses. Je me cambre et je pivote lentement pour les laisser m'examiner. Cinq paires d'yeux sont posées sur moi. Je les sens comme des caresses. 

- Putain , CE CUL !

 

C'est un des types, sur le canapé. Puis, jaillissant d'un des fauteuils, un hennissement, suivi de:

- Ah, la pouliche ! Elle doit être bonne à monter !

 

Yes ! En voilà deux de conquis. Frémissement de mon anus ! Et je sens, au moindre de mes mouvements de rotation, que ça glisse bien de ce côté-là. Le lubrifiant fait son effet. Hhmmmm ! J'ai hâte que l'un d'eux vienne y fourrer sa queue ! Je poursuis mon tour. Ils m'examinent sans vergogne, contemplent mon anatomie, explorent mon intimité, et je le sais, cet examen fait naître dans leurs têtes des images lubriques de sodomie, de copulation, de fornication. Ces types anticipent le moment où ce sera leurs sexes qui me toucheront, qui s'enfonceront dans mes chairs, qui y répandront leurs charges de sperme. Peut-être même que ça frémit déjà dans leurs frocs ! Quand j'achève mon tour, Jacky remarque:

- Regardez-le ! Ça lui plaît, hein, à c'te salope ! Il sourit ! Alors ?

 

Ce "alors ?" s'adresse à ses potes et il veut dire "qu'est-ce que vous en dites ?". 

 

Les mains maintenant sagement croisées dans le dos, j'attends. Ils n'en disent rien, mais le type assis à droite de Jacky se contente de se frapper les genoux du plat de ses mains et de s'esclaffer. Celui-ci se régale d'avance. Les autres, ils n'en pensent que du bien: deux d'entre eux hochent la tête d'un air convaincu, un autre reste bouchée bée, mâchoire pendante, et le dernier, juste à côté de moi, me regarde avec un sourire qui en dit long sur ce que je lui inspire. D'ailleurs, alors que j'attends que Jacky me donne congé pour aller leur faire du café, celui-ci tend la main, la passe derrière ma cuisse et m'attire à lui:

- Viens là. Assieds-toi  !

 

Il tapote ses cuisses. Il est costaud, je n'ai pas le choix. Je me laisse tomber. Avant que mon cul touche ses genoux, il glisse sa main gauche sous mes fesses. Je passe mon bras sur ses épaules. Dans cette position, je le domine légèrement. Il lève les yeux sur moi et, tout en commençant à me peloter la cuisse de sa main droite, il remarque:

- Alors, comme ça, tu te fais enculer par tous ceux qui veulent.

 

Ce n'est pas une question. Il poursuit:

- Remarque, t'as un cul plutôt bandant, et d'après Jacky, il est vachement accueillant, ton cul …

 

Sous moi, je sens qu'il bouge sa main: il commence par me caresser la fesse, puis ses doigts s'aventurent plus près de ma fleur. Hhhmmm ! Il n'est vraiment pas canon, ce mec. On dirait un gitan à l'ancienne mode, style Django Reinhardt: cheveux noirs plaqués et luisants, longues pattes, et fine moustache au ras de la lèvre. Je ne pensais pas que ça existait encore, ce genre de look. Ah, putain, un de ses doigts s'est glissé sous la ficelle de mon string, a trouvé ma rondelle et se presse contre elle. C'est plus fort que moi, je pousse un halètement de plaisir et j'enfouis mon visage contre son cou et sa nuque. Ricanements. Sa tête sent je ne sais quel gel bon marché pour les cheveux. Stupéfait par ma réaction, il remarque:

- Waouhhhh ! Tu démarres au quart de tour, dis donc !

 

Il se marre et il explique aux autres:

- Putain, il est d'jà chaud ! J'lui ai à peine touché l'fion ! 

 

Jacky:

- Qu'est-ce que j'vous disais !

 

Encouragé, le "gitan" enfonce sa première phalange. Ah putain, ce que j'aime ça ! Une fois qu'un mec commence à me faire ce genre de chose, je suis cuit. Même si je le voulais, je ne pourrais pas résister. Quand ça commence comme ça, ça ne peut se terminer que par une bite dans mon cul ! Je sens que, sa main coincée comme ça sous mes fesses, il ne pourra pas aller plus loin que cette première phalange. Alors, accroché à son cou, je me soulève un peu. Il a compris. Il se marre encore:

- Ah, la vaaache ! T'en veux plus, hein.

 

Et il m'enfonce une autre phalange. Ça m'arrache un gémissement.

 

- Mais dis donc, t'es déjà … hey, les MECS ! Il est déjà tout mouillé du cul ! 

 

D'un seul coup, il règne une drôle d'ambiance. Je ne les vois pas, mais je sens que les autres sont un peu désorientés. Ils ne devaient pas s'attendre à ce que je réagisse comme ça. Jacky a dû leur dire qu'ils allaient me baiser contre mon gré, que, peut-être, ils devraient me forcer, me contraindre, me violer, et ils découvrent que je suis déjà chaud bouillant, avide de me faire doigter. Oui, les mecs, OUI ! J'ai une furieuse envie que vous me baisiez ! Je ne réponds pas au "gitan" qui bouge son doigt plus résolument. Je me suis seulement lubrifié le fion pour que Jacky puisse m'enculer dès son arrivée. Je le sens qui s'excite, le "gitan": il est de plus en plus nerveux et il respire fort. Il doit commencer à bander. Je me mets à penser à sa queue. Comment elle est, sa queue ? Ça doit pas être le genre à s'épiler la bite et les couilles. Trop macho pour ça ! Il doit être velu de partout. Je ne sais pas pourquoi, je suis sûr qu'il doit avoir une grosse bite, à la peau toute brune et pleine de poils. J'enlève mon bras de derrière son cou et, tout en bougeant précautionneusement mon cul en direction de ses genoux, je glisse ma main entre ma cuisse et son ventre, et je la pose sur sa bite. J'adore ça, faire tout de suite la "fille facile" avec un inconnu, lui sauter au paf, lui montrer que ça ne me fait pas peur, une bite inconnue. Il lève des yeux ronds sur moi, incrédule. Il n'en revient pas que je prenne déjà cette initiative, mais il se laisse faire et il rentre son ventre. Il porte un large ceinturon de cuir avec une grosse boucle métallique. Je plaque ma main sur la bosse de sa braguette. Là, dessous, il y a sa queue et ses couilles. Je lui pétris le paquet à travers la toile de son jean. Oh putain, je veux qu'il me baise ! Mon visage tout près du sien, je plante mes yeux dans les siens et je gémis doucement. Ton doigt dans mon cul, ta queue dans ma main ! Oui, mec, je veux que tu me sautes ! Ça y est, il a compris que j'ai envie qu'il me tringle, que j'ai envie qu'il me baise. Et c'est parti, il s'excite, il me doigte le cul de plus en plus vigoureusement, il halète et je l'entends déglutir bruyamment:

- Ah putain ! Toi, tu veux d'la bite, hein !

 

Oh oui, je veux de la bite ! Et tripoter la sienne, comme ça, devant les autres, sans retenue, sans pudeur, m'excite terriblement. Et ça doit se voir: le type, dans le fauteuil juste en face de moi, s'esclaffe:

- Ho ho hoooo !

 

Peu à peu, je sens que la verge du "gitan" commence à émerger de la masse indistincte de son paquet, moulé dans son jean. Elle gonfle, elle grossit, elle s'allonge et elle durcit sous l'effet du pétrissage que je lui administre. Je sens ce cylindre de chair qui déforme maintenant la toile. Il doit être à l'étroit là-dedans. Alors, je n'y tiens plus, je me lève, faisant sortir son doigt de mon cul, je me dresse devant lui, puis je m'accroupis entre ses genoux. D'abord surpris, il comprend où je veux en venir. Spontanément, il écarte les genoux et il se cale bien au fond de son fauteuil. Les yeux braqués sur son entrejambe, je lui caresse les cuisses des genoux jusqu'aux aines, et je finis en lui pétrissant le paquet à deux mains Un ricanement du côté de Jacky et de ses autres copains. Je les balaie du regard. Lui, Jacky, il se marre, mais les trois autres sont scotchés de me voir littéralement sauter au paf du "gitan". Au moment où je reviens à lui et où j'entreprends de déboucler son ceinturon, j'entends un des autres lancer:

- Putain ! Tu l'as bien chauffé, Jo ! Fais gaffe, il va te bouffer la queue !

 

Ils se marrent. Comme j'ai du mal à défaire la boucle de sa ceinture, le "gitan" – Jo, donc -, le "gitan" s'en charge, fébrilement. Puis il s'apprête à déboutonner son pantalon et à ouvrir sa braguette, mais je repousse ses mains: c'est moi qui fais ça ! Mais avant, je m'avance, je me penche et je pose ma bouche sur la bosse de sa braguette. Hhhmmmm ! Sentir sous mes lèvres, à travers la toile rêche, la chaleur de son sexe, la forme de sa verge et, en dessous, la bosse que font ses couilles … Ah la laaa ! Les bites ! Les BITES ! Ça me rend dingue ! Là, je vais en découvrir encore une nouvelle. La bite d'un inconnu … une bite qui a sûrement déjà baisé des femmes ! Si ça se trouve il est marié, ce mec ! Ah oui, putain, là, à son annulaire … une alliance ! -, une bite qui a déjà joui dans des chattes, dans des bouches et dans des culs ! Et cette bite, je vais la sucer, je vais la téter, je vais la pomper, avant de me la faire mettre dans le cul ! Sous les rires de ses potes, je fais glisser plusieurs fois ma bouche sur la bosse de sa verge. Son gland est là, à gauche. Je devine sa forme, un peu plus renflée, à l'extrémité de sa queue. Je le presse entre mes lèvres. Hhhmmm, toi, tu vas me cracher ton sperme dans le cul ! Après m'être bien frotté les lèvres sur son paquet, je me redresse, je déboutonne sa ceinture, et je descends son zip. Puis j'écarte les deux pans du jean, je passe mes doigts dans la ceinture de son caleçon, je l'abaisse, et je découvre LA chose ! Oh putain, que tu es belle ! 

 

En fait, elle n'a rien d'exceptionnel: elle n'est ni grosse, ni longue, ni belle ! Elle est plutôt ordinaire, mais elle me plaît terriblement … c'est une bite ! C'est une bite qui va me pénétrer, c'est une bite qui va me fourrager, c'est une bite qui va me baiser ! Je suis dans un tel état d'excitation que n'importe quelle queue me plairait. Je la prends dans ma main, et, tant bien que mal, je m'efforce d'extraire délicatement ses couilles du fond de son caleçon. Voilà, c'est fait. Je le masturbe un peu. En effet, il est très poilu et sa bite émerge d'une grosse touffe de poils noirs. Son gland commence à s'échapper de son prépuce, et son méat est déjà tout luisant de mouille. Je lève les yeux sur lui. Il m'observe, les yeux ronds. Oui, mec, je vais te sucer ! Ses mains posées sur ses cuisses, je remarque qu'en plus de son alliance, il a plusieurs chevalières en or et un petit tatouage à moitié effacé à la commissure du pouce et de l'index. Il ne lui manque qu'une boucle à l'oreille pour être la caricature du manouche. Je jette un coup d'œil vers les autres. Ils ne ricanent plus, ils m'observent. Ils doivent se dire qu'eux aussi auront droit à ça. Je reviens à Jo et à sa queue. Je bande ! Et comme, moi aussi, je commence à être à l'étroit dans ce string, j'en sors rapidement ma queue. Je fais aller et venir ma main deux ou trois fois sur sa verge qui se décalotte un peu plus à chaque fois. Enfin, je me penche et d'un coup de langue, je nettoie ce qui perle au bout de son gland. 

 

- Bon, ben, on va aller se le faire nous-mêmes, ce café !

 

Du coin de l'œil, je vois le type qui est dans l'autre fauteuil se lever et passer derrière moi en direction de la cuisine. Pour le moment, va te le faire, ton café.  La main serrée sur la verge de Jo, je commence à donner de petits coups de langue tout autour de son gland. Une veine, toute gonflée, gorgée de sang, court jusque sur son prépuce. Hhhmmmm, ce qu'il est doux et chaud  sous ma langue. J'ouvre la bouche et je glisse son nœud entre mes lèvres. En les serrant, j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle finit de se décalotter et je sens son gland s'épanouir sur ma langue. Oh la laa ! Ça y est, j'ai son sexe en moi, c'est par ce tube de chair et de sang qu'il répand sa semence dans les ventres, dans les bouches et les culs ! Et là, il est dans ma bouche à moi, cet appareil génital ! Et c'est moi qui vais recevoir sa charge de sperme ! Oh, putain, ce que j'aime les bites ! Je commence à aller et venir. Il pose une main sur ma nuque. Ah oui, Jo, serre-moi la nuque ! Je l'entends qui souffle par la bouche. Je lui fais beaucoup d'effet. Je le suce délicatement comme ça un petit moment, et mon excitation, comme la sienne, monte, monte, monte … Et brusquement, il repousse ma tête sans ménagement:

- Arrête ! Relève-toi ! J'vais t'baiser ! MAINT'NANT ! 

 

Il a déjà une urgence. Je n'en reviens pas. J'espérais qu'il me laisse le sucer longuement, je m'attendais à ce qu'il tienne mieux la distance. Sans attendre que je sois relevé, il est debout et manque de me foutre par terre. Il me saisit le bras, me force à me mettre sur mes pieds et demande:

- Où, j'te baise ?

- Je sais pas. Où tu veux.

- T'as une table, par là ?

 

Il montre la salle à manger. 

 

- Oui.

- Alors go !

 

Ah oui ! Sur la table ! J'adore ça ! Allongé sur le dos ou debout, en levrette. Il me pousse devant lui. Nous voilà dans la salle à manger. Le type parti faire du café s'interrompt, surpris, et nous regarde. Jo me guide vers l'extrémité de la table, là où il n'y a pas de chaise, et me fait pivoter:

- Fous tes mains sur la table et écarte les jambes. J'vais t'enculer en levrette.

 

Il m'appuie sur une omoplate pour que je me courbe au-dessus de la table. Je résiste:

- Attends !

- Quoi !

 

Jacky et les deux types qui étaient restés avec lui dans le séjour apparaissent à leur tour. Ils viennent assister au spectacle. Tant mieux, j'aime ça. Un grand type aux cheveux poivre et sel, a sa main plaquée sur la bosse à côté de sa braguette. Il se caresse discrètement. Celui-là est mûr. Me voir sucer Jo l'a bien excité. Vas-y, mec, te gêne pas, tripote-toi pendant que l'autre me grimpe, j'aime ça. Il a vu que j'ai repéré son manège. Comme pris en flagrant délit, il esquisse un mouvement pour écarter sa main de sa queue, mais il se ravise, s'empoigne ostensiblement le paquet, et me sourit. C'est bien, mec, tripote-toi, en attendant ton tour, montre-moi que t'as envie de m'enculer. Sans le quitter des yeux, je soulève le bas de ma nuisette, je saisis les côtés de mon string, je le descends jusqu'à mes pieds, je l'ôte et je le pose sur la table. De nouveau, le "gitan" appuie sur mon omoplate. Je pose mes mains à plat sur le bois, j'écarte les jambes et je me cambre, prêt à me faire saillir. Ah putain le moment où je me mets en position pour me faire prendre ! Offrir son cul à un mâle, quel régal ! Et me faire prendre devant des spectateurs ! 

 

Brusquement, je réalise que Jo va sans doute me baiser sans capote. Je m'en fous, malgré la même petite voix qui me souffle que je suis con, que je ne le connais pas, qu'il peut me refiler n'importe quelle saloperie, y compris la pire. Mais je la fais taire, la petite voix. Là, c'est à cru que je veux me faire fourrer, que je veux me faire remplir les entrailles de sperme par ce mec, et j'espère bien que lui-même ne pensera pas à interposer une capuche en latex entre son zob et ma viande. Et c'est ce con de Jacky, qui ramène sa gueule:

- Jo ! Tu mets pas de capote ?

 

Jo, il a une main posée sur ma hanche et je pense qu'il cramponne déjà sa queue pour la présenter devant l'entrée de mon fourreau. 

 

- Nan, mec ! J'le baise comme ça !

 

Yes ! Sans hésitation, le Jo. Il doit être dans le même état que moi: surexcité et pressé de me saillir, de se vider les couilles et de m'inséminer. Et puis, je le sens hésiter, et il se ravise. Il me presse la hanche et me demande:

- Faut que j'mette une capote ?

- Non. Vas-y, baise-moi comme ça et jute-moi dans le cul !

 

Je ne sais pas s'il a demandé ça pour sa propre sécurité ou par égard pour moi. Peu importe, il faut qu'il y aille, maintenant. Et il y va: je le sens guider sa queue entre mes fesses, placer son gland contre ma rondelle et, d'un seul coup de reins, me pénétrer. Ah ouiiii ! Ça rentre tout seul. J'ai bien fait de me lubrifier avant qu'ils arrivent. Oh, ce que j'aime ça ! Ce que j'aime me faire prendre par les mecs ! J'aime les mecs, j'aime les mâles, j'aime les hommes ! J'aime que les hommes me baisent ! Il m'empoigne fermement par les hanches, et se plaque à moi, me donnant de petits coups avec son bassin, comme pour bien s'enfoncer au fond de moi:

- Rhâââ, puutaiiin ! Quel CUL !

 

Je me cambre autant que je peux pour bien recevoir cette saillie, pour qu'il aille bien au fond. Vas-y, prends-moi ! BAISE-MOI ! Il se met à aller et venir, sortant lentement, rentrant plus vigoureusement. Il souffle par la bouche, il halète. Jacky et les autres, autour de la table, nous regardent. Le type aux cheveux poivre et sel qui se palpait seulement la queue il y a un instant, se tripote maintenant ouvertement la bite à travers la toile de son pantalon, et il a passé son pouce dans sa ceinture, comme s'il s'apprêtait à la déboutonner pour sortir son engin. Vas-y, sors-la, ta queue ! Le type de la cuisine est maintenant tout près de nous, la cafetière à la main. Le café attendra, on dirait, il mate. J'aime toujours autant que des mecs me regardent pendant que je me fais tringler. Pour le plaisir de l'exhibition et aussi parce que je sais que ça les excite, que ça leur donne envie. Et à tous les coups, ça marche ! Quand quatre types me regardent me faire enculer par un cinquième, je sais que les quatre types vont aussi me baiser après lui. Ah putain, ce que j'aime ça ! 

 

A mon tour, la tête rejetée en arrière, je halète sans pudeur. C'est tellement boooon ! Le gitan me donne du plaisir, il m'enflamme la rondelle, et ça me plaît de lui faire savoir et de le montrer à ses potes. Je gémis et, les yeux mi-clos, je regarde ces types l'un après l'autre, leur adressant une supplique muette: « Tu vois comme j'aime ça ? Alors, toi aussi, viens me baiser ! ». Je crois qu'ils ont compris. Ils n'ont plus envie de ricaner, ils ne pensent plus à se foutre de ma gueule. Ma conduite de femelle nymphomane, dépravée, indécente et lubrique les sidère, et ils n'ont plus qu'une idée en tête: me faire comme le "gitan", me passer dessus, me faire ma fête, me baiser. Ça y est, le type poivre et sel sort sa queue ! Oh putain, il bande ! Sa bite est assez quelconque, mais il bande, il veut me fourrer, il VA me fourrer, et il commence à se branler ! Du coup, l'autre, à côté de Jacky, ouvre aussi sa braguette, et il sort aussi sa queue ! Oh, putain, c'est parti pour une nouvelle tournante ! Oh oui, sortez tous vos bites et baisez-moi ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI !

 

- Tu vas t'en prendre plein ton cul de salope !

 

C'est Jo, qui, comme moi, a vu ses potes déballer leurs queues et qui m'explique ce qui m'attend. Les doigts crispés dans le gras de mes hanches, il ahane:

- T'as vu ? Ils ont sorti leurs bites ! Tu les vois, leurs bites, à mes potes, hein ? Tu vas aussi t'les prendre dans ton cul d'salope ! Tu les veux, leurs bites, dans ton cul ? Hein, tu les veux ? Dis-le, salope !

- Oui, je les veux, leurs bites ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI, BORDEL ! FOURREZ-MOI ! ENCULEZ-MOI ! BAISEZ-MOI, PUTAIN DE MERDE ! BAISEZ-MOI TOUS ! S'IL VOUS PLAÎÎÎÎÎT, BAIIIISEEEEEZ-MOIIIII !!!!

 

Après être monté doucement, ça m'a brusquement submergé ! Les mots sont sortis tout seuls. Ils ne venaient pas de ma tête, ces mots, ils venaient … DE MON CUL … de mon cul qui veut de la bite, de mon cul qui veut plein de bite ! Après m'être mis à crier, perdant toute dignité, j'ai fini en suppliant ces mecs et en gémissant. Je les veux tous, ces mecs ! Je veux qu'ils me prennent tous. Je veux qu'ils me fassent ce qu'ils veulent. Là, je les observe. Ils n'en reviennent pas, ils se regardent les uns les autres, littéralement scotchés, sidérés ! Le type à côté de nous n'a plus la cafetière dans la main, il a sa bite ! Je tends la main vers elle, et aussitôt, il s'approche. Je la prends et je la presse entre mes doigts. Ah yesss ! Ça y est, ils ont tous les quatre leur queue à la main ! Et ils bandent ! Ils veulent aussi me baiser ! Déjà bien excité, ma sortie de femelle hystérique l'a achevé, le Jo ! A grand coups de reins ponctués de "Ouuuuch !" tonitruants, il jouit . Il jouit longuement, soufflant, éructant, me postillonnant sur les reins. Putain, sa queue est en train de me déverser sa semence dans le rectum ! Ça y est, il m'insémine, il me féconde, il m'engrosse. Je gémis de plus belle. Peu à peu, soulagé, les couilles vidées, il se calme. Il s'enfonce en moi, s'immobilise, et je le sens, je l'entends reprendre son souffle. Je lâche la queue que j'ai dans la main, je me plie complètement en deux, et je pose mon front sur mes avant-bras croisés sur la table. Quand il a retrouvé son souffle, je le sens se camper mieux sur ses pieds et se retirer lentement dans un bruit mouillé. Une petite claque sur ma fesse, et:

- T'es une sacrée salope, nom de dieu !

 

J'esquisse un mouvement pour me redresser, mais:

- Reste comme ça !

 

Ça vient d'à côté de moi et, déjà, une main se pose sur mes reins. Le type à la cafetière ? Je ne sais pas, je sens quelqu'un se placer derrière moi, ses genoux entre les miens. Je repose mon front sur mes bras.

 

- Tu veux pas qu'il se lave, avant ? J'lui ai juté dans l'cul …

 

C'était Jo.

 

- Non. J'm'en fous. Elle a l'feu au cul, elle est pressée de s'en prendre un autre coup. et elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Tant mieux ! Baisez-moi comme ça, sans capote et les uns après les autres, comme des clebs ! Je les ai tellement excités qu'ils en oublient toute prudence, comme moi ! Le plaisir, et seulement le plaisir, maintenant ! La baise, la jouissance ! La BITE ! le CUL, le CUL, le CUL ! Le type est derrière moi, ses mains autour de ma taille, les doigts sous la dentelle de mon porte-jarretelles. Un truc chaud entre mes fesses ... sa queue ! Elle devait tenir toute seule à la verticale, super excitée, pas besoin de la guider ! Deux ou trois mouvements de va et vient, de bas en haut, et elle glisse lentement, précautionneusement en direction de ma … de ma vulve, qui n'attend que ça, de recevoir un autre sexe. Vas-y, prends-moi ! Voilà ! Ça doit être son gland, là, contre la fleur. Il entre, lentement. Je la sens bien, sa verge qui glisse dans mon anus. Il me serre très fort la taille. Ah putain, ça y est, j'ai une autre queue dans le cul ! Je ne sais même pas lequel de ces mecs est en train de s'accoupler avec moi.Je m'en fous. C'est la queue d'un inconnu. Encore un inconnu ! Je suis en train de me faire couvrir comme une chienne en chaleurs par une meute de clebs des rues, attirés par mon cul ! Avec le mélange de gel lubrifiant et de foutre du gitan que j'ai dans le cul, celui-ci glisse tout seul. Le front sur mes bras croisés, je gémis.

 

- T'aimes ça, hein ! Vas-y, couine, ma chérie ! Te gêne pas !

 

Oh oui, je couine ! Je m'en fous que vous me voyiez aussi chiennasse, aussi docile, aussi soumise, aussi addicte à vos bites, aussi impudique … je me fous que vous puissiez en profiter, que vous puissiez en jouer, en abuser, vous en servir. Oui, j'aime la bite, oui je suis accro à la bite, oui vous pourriez faire de moi ce que vous voulez pour de la bite ! Profitez de moi ! Abusez de moi !

 

Il va et vient lentement. Je suis sûr qu'il regarde sa queue qui entre et sort de mon cul. Tiens, en plus de ses mains autour de ma taille, je sens une autre main sur ma fesse. Je bouge un peu et je jette un coup d'œil sur le côté, entre mon ventre et le plateau de la table. Je vois quelqu'un, sur la droite, à côté de celui qui me baise. Enfin, je vois un bassin, depuis le milieu des cuisses jusqu'à la taille, et un pantalon, braguette ouverte, avec une main qui serre une bite en érection qui sort par la braguette. Une main qui masturbe cette bite en érection. Je devine aussi un autre mouvement, sur la gauche. Ah oui, à gauche aussi, un type  a contourné la table pour s'approcher. On dirait le jean de Jacky. Ah oui, c'est sa bite ! Vas-y, Jacky, pelote-moi aussi !

 

Ah, putain, ça y est, les clebs se pressent autour de mon cul, les clebs ont senti mes effluves de femelle, les clebs viennent me renifler la vulve, les clebs veulent me couvrir ! Ils vont tous me saillir, chacun leur tour ! Allez-y, fécondez-moi ! Je suis réceptive ! 

 

Je sens qu'un doigt se presse contre ma rondelle, tout contre la queue qui me ramone. Oui, vas-y ! Fourre-moi ton doigt, en plus de cette bite ! Qui est-ce qui me fait ça ? Celui qui me baise, ou l'autre, qui me pelotait la fesse ? Je m'en fous, il force. Mon anus n'est pas tout à fait assez détendu et c'est très légèrement douloureux, mais c'est si bon ! Dans un gémissement, je l'encourage:

- Ah oui ! Vas-y, mets-le-moi, ton doigt ! Ah ouiiiiiii !

 

Eclats de rire. La bite s'immobilise et le doigt (un pouce ? Oui, on dirait un pouce), et le doigt s'enfonce. Ah la vache ! Ça y est, il a passé le col étroit de mon sphincter et je sens sa première phalange bouger dans mon rectum. Oh la la ! Je couine à nouveau.

 

- Lui fais pas mal, quand même !

 

La voix est venue juste de derrière moi. C'est le type qui me baise.

 

- Nan, j'lui fais pas mal. Il couine parce que il aime ça. Pas vrai ?

 

Je me relève un peu et je hoche la tête « Oui, j'aime ça ! ». Alors, il agite son doigt un peu plus vigoureusement, et je sens mes muscles se détendre. Lui aussi, sans doute, et ça le fait marrer.

 

- Bon, allez, laisse-moi me finir, maintenant …

 

Le type qui me baise. Je sens le doigt sortir délicatement, et aussitôt, le va et vient de la queue reprend. Et pour celui-ci aussi, ça va très vite, comme si, maintenant, il voulait seulement tirer son coup vite fait. Il me bourre en soufflant entre ses dents serrées. J'aime bien quand un mec me tringle longuement, mais paradoxalement, j'aime bien aussi me faire baiser comme ça, vite fait, bien fait, c'est-à-dire quand un mâle se contente de se servir de mon cul pour se vider les couilles, pour se soulager. Je le sens qui se retire presque complètement, qui ne laisse que son gland dans ma rondelle, qui s'immobilise, qui aspire et souffle l'air à toute vitesse entre ses dents serrées. Qu'est-ce qu'il attend ? Ah, voilà ! Je ressens un soubresaut dans mon anus et, aussitôt, un truc chaud s'y répand. Il jouit  ! Il éjacule ! Il grogne et il s'enfonce d'un seul coup en moi. Le ventre collé à mes fesses, il continue d'éjaculer au fond de mon ventre, et je sens les spasmes de sa verge dans mon anus. Ah, ce que c'est bon de sentir un mec prendre son pied en soi ! Je tourne la tête et je pose ma joue sur mes avant bras croisés sur la table. Jacky est là, la bite à la main, qui se masturbe lentement. Il contemplait son pote en train de jouir dans mon cul, mais mon mouvement attire son attention. Il me regarde, me sourit, lève le pouce de sa main libre, et:

- Super, la fiotte ! T'en as d'jà pris deux coups dans l'cul ! Ça t'plaît ?

 

Je hoche la tête « Oui, ça me plaît ! »

 

- Alors, on continue !

 

Le baiseur se recule et je sens sa queue glisser hors de moi. Je me sens déjà inondé à l'intérieur, et oui, c'est bien l'odeur du sperme qui arrive à mon nez. Hhmmmm , j'adore ! Jacky:

- T'y vas ?

- Ouais, ça urge ! Elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Ça, c'est le type au pouce, juste à côté de moi. Je réalise que le petit bruit indéfinissable, mais très rythmé que j'entendais, là, tout près de moi, c'était lui, en train de se branler, ses couilles qui battaient contre son pantalon, sa main qui allait et venait à cadence rapide sur sa verge. Putain, il y allait de bon cœur ! J'ai déjà son poing entre les fesses, son poing serré sur sa queue ! Son bout dans ma rondelle, et il s'enfonce d'un seul coup en même temps que, dans un ahanement, il plaque ses mains à l'angle de mes cuisses et de mon ventre:

- Aaaah, puuutaiiiiin ! Quelle salope !

 

Il jouit déjà  ! Ah oui, ça urgeait vraiment. Il était temps ! Pour un peu, il aurait éjaculé sur mon carrelage ! Il geint en me donnant de rapides petits coups de bite. Il continue de se répandre et, maintenant, j'entends vraiment le bruit mouillé, un peu visqueux, que fait sa bite en patouillant dans mon cul. Ça y est, j'ai déjà le sperme de trois mecs dans le cul ! J'adore ça ! C'est quand même beaucoup mieux que s'ils lâchaient leur crème dans des capotes ! A bout de souffle, il ralentit son mouvement et se met à me caresser les hanches et les reins:

- Pfouuu ! Nom de dieu, il était temps ! A qui le tour ? Jacky ?

- Euh, je sais pas. Max, tu veux y aller ?

- Comme tu veux, Jacky.

- Ouais, ben vas-y, Max, je me l'ferai en dernier.

- OK.

 

Max, apparemment, était resté de l'autre côté de la table. Je lève la tête. Il approche et l'autre se retire. L'autre, c'était le type "poivre et sel". Alors, ça doit être le type à la cafetière qui m'a baisé tout de suite après Jo. Max, c'est le petit râblé. Enfin, pas si petit que ça. Plus petit que les quatre autres, mais il doit faire quand même un bon mètre soixante dix. Jacky:

- Tu te l'fais aussi comme ça ?

- Comment "comme ça" ?

- Sans capote …

- Ah ouais. Hey, on a déjà baisé une même salope à plusieurs …

- Nan, pas Jo. Jo, c'est la première fois qu'il participe. Et les autres fois, c'était pas des fiottes …

 

Le Max, tout en discutant, s'est installé derrière moi, entre mes jambes, et il me pelote distraitement le cul:

- Ouais, c'était des filles … mais jouir à plusieurs dans une fille ou dans une fiotte, c'est pareil …

- Exact.

- Bon, voyons c'que ça donne, avec celui-là …

 

Il commence par me caresser les cuisses, depuis l'arrière des genoux jusqu'aux fesses. Je sens ses doigts glisser sur le voile de mes bas. Puis il me pétrit les fesses, me les claque pas trop fort …

- C'est bien, ça … bien en chair, assez ferme … on sent le muscle … ça devrait plaire …

 

Le maquignon qui tâte la viande du bestiau avant de l'acheter ! Et ça veut dire quoi, "ça devrait plaire" ? On dirait qu'il parle d'une nouveau produit à mettre sur le marché ! Je ne peux m'empêcher de me dire qu'il pense que c'est sur le trottoir que "ça devrait plaire" ! Mais ça fait rien, j'aime bien être traité comme ça. Cela dit, mon excitation est pas mal retombée pendant ces discussions. Mais bon, rester comme ça, passif, à leur disposition, que ce soit pendant qu'ils me font mon affaire ou pendant qu'ils discutent, ça me va. Comme les autres, Max guide sa bite et me loge son gland dans l'anus et s'enfonce d'un seul coup violent qui me propulse contre le bord de la table. Et alors, lui, c'est … 

 

Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf !

 

Ses mains à plat sur mes reins, son ventre rebondit contre mes fesses avec la régularité d'un métronome. Comme il a bien ouvert son pantalon, je sens celui-ci glisser sur ses cuisses et le long des miennes. En écartant largement les genoux pour l'empêcher de descendre jusque sur ses chevilles, il me force à écarter aussi les miens. Cuisses grandes ouvertes, cul offert, reins cambrés. Hhmm ! De temps à autre, Max grogne de plaisir. Je jette un coup d'œil autour de nous. Jo a disparu, sans doute dans le séjour. "Poivre et sel" est négligemment appuyé contre le mur et nous regarde. La "cafetière " a dû trouver le paquet de café et les filtres: j'entends le glouglou de l'eau qui s'écoule et ça commence à sentir. Soudain …

 

Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfouuuuuuu !

 

Max prend son pied  ! Max baise en rythme et Max jouit en rythme ! Au dernier Pfouu, il s'est collé à moi, et il finit de se vider en grognant. Je sens son ventre se contracter spasmodiquement contre mes fesses. 

 

- Waouuuuh !

 

Il se décolle et sort de mon cul. Bof ! Pas terrible, celui-ci. Mon excitation est presque complètement retombée. Le seul plaisir que je tire de ce coït, c'est que j'ai maintenant la semence de quatre types dans mon ventre. Je n'ai pas l'impression que Max m'en ait mis une grosse dose, mais ses va et vient ont touillé la crème des trois potes qui l'ont précédé, et je sens maintenant que ça me dégouline pas mal sur le haut des cuisses. Je passe une main sous mon ventre, et j'aventure mes doigts du côté de mon périnée. Ouaah ! Je suis trempé. Ça colle, et sous mes doigts, je sens même quelques grumeaux poisseux. J'adore ça, avoir le cul tellement plein de sperme qu'il déborde ! En plus, c'est le sperme de QUATRE mecs ! Je suis quand même surpris de la facilité avec laquelle ces types trempent leur bite dans le foutre d'autres mecs ! Les trois derniers n'ont pas hésité le moins du monde, comme si c'était tout à fait naturel ! Apparemment, ce n'est pas la première fois qu'ils font ça. Jacky est derrière moi, à son tour. Au lieu de se coller directement à moi, comme ses potes, il entreprend de rajuster mon porte-jarretelles, progressivement descendu de ma taille à mes hanches au gré des coups de bites que je viens de recevoir. Il se charge même de remonter et de lisser mes bas. Plein d'attention, le mac ! Je me redresse et je m'appuie les deux mains à plat sur la table. 

 

- Alors ? T'as réfléchi pour c'que je t'ai proposé ?

 

Ah ! Nous y voilà ! Je sens que ce n'est pas la peine de tourner au tour du pot. Je marque un temps, puis:

- Pour faire la pute ?

- Ouais, pour faire la pute …

 

Il me prend par les hanches, il se plaque contre moi, sa grosse queue entre mes fesses, et il commence à se frotter. Il insiste:

- Alors ? Toi et moi, on sait à quel point t'aimes ça, de te faire baiser. Alors, je vois pas ce qui te retient. Surtout que ça serait dans ton intérêt. 

 

Sous cette remarque formulée sur un ton doucereux, je sens la menace. Il n'y a plus que Jo et "poivre et sel" à nous regarder, à l'entrée du séjour, une tasse de café à la main. Les autres sont sans doute retournés se vautrer de l'autre côté. Les deux spectateurs ont l'air très intéressés par notre conversation.

 

- Je … je sais pas. C'est pas évident de décider ça. 

- Ouais, mais faudrait qu'je sache, moi. J'ai peut-être un studio en vue, faudrait que tu me dises ça vite fait, pour qu'il me passe pas sous le nez.

- J'ai peur qu'une fois là-dedans, je puisse plus faire marche arrière.

 

Putain, je sens sa grosse bite qui glisse entre mes fesses. Le salaud, il sait l'effet que me fait son gros zob, et il s'en sert pour me faire céder ! Allez, baise-moi ! Non, il continue de se frotter:

- Ben, tu veux faire un essai ?

- Comment ça, un essai ?

- Ben ouais, tu fais un essai avec quelques clients, et comme ça, tu vois si ça te plaît. 

- Mais … où, un essai ?

- Ben faut que je m'organise, et quand c'est fait, je t'appelle.

 

Ça cache quoi, cette histoire ? J'hésite. Il le sent. Il insiste:

- T'inquiète pas. Ça se passera bien. J't'expliquerai où et comment et tu décideras.

- B… bon.

- Ben voiiiiilààà !

 

Pourquoi les deux, là-bas, arborent-ils ce petit sourire ? Je sens Jacky reculer son bassin, laisser délicatement glisser sa queue dans ma raie, jusqu'à ma rondelle, et quand son gland arrive devant l'entrée de mon fourreau, je le sens saisir son engin à pleine main, et il me pénètre ! Wouffff ! Oh putain ! Y'a pas de doute, des cinq, c'est vraiment lui qui a la plus grosse queue ! Il m'arrache un gémissement. J'ai beau avoir eu l'anus dilaté, détendu par les quatre précédents, lui, c'est un autre calibre, et je le sens vraiment bien glisser dans ma rondelle. Il commence à aller et venir. Ah, Jacky, vas-y, baise-moi ! Je me laisse aller, je me laisse gagner par le plaisir. J'ai cet énorme phallus dans le rectum et c'est un bonheur ! Je suis vraiment étonné qu'un mâle aussi bien monté puisse bander pour mon cul. Il est homo ? C'est vrai, j'en sais rien. Pour moi, un type qui fait travailler des filles, est forcément hétéro. Mais au fond, je ne sais pas. Il faudra que je lui demande. En tout cas, pour le moment, c'est dans mon cul, qu'il a fourré sa grosse queue. Tout en me ramonant, il a remonté ses mains tout le long de mon torse, sous ma nuisette, et il me caresse, presque tendrement. Il m'appuie entre les omoplates. Il veut que je me penche en avant. Je me penche et je me cambre, femelle en chaleurs qui accueille son mâle en rut ! Appuyé sur un coude, je glisse de nouveau ma main sous mon ventre, jusque entre mes cuisses. Au moment où il s'enfonce en moi, ses couilles viennent effleurer mon poignet. Ses couilles ! Je passe ma main dessous. Il n'a pas ouvert son jean. Il a seulement ouvert sa braguette et sorti sa queue et ses couilles ! Ses couilles qui pendent, bien en dessous de sa bite. Hhmmmm, lui aussi, il va me les vider dans le ventre, lui aussi il va m'injecter leur contenu dans la viande !

 

Brusquement, il jouit ! Les doigts de nouveau crispés sur mes hanches, il agite son bassin de façon désordonnée. Je l'entends aspirer et souffler l'air bruyamment par la bouche, et soudain, il me fout un coup de boutoir … rrrran ! Un autre …. rrrrran ! Encore un … rrrrran ! Et il s'immobilise, à bout de souffle. Il ne bouge plus, bien calé tout au fond de moi… je devine qu'il est en train de répandre au fond de mon ventre un flot de semence, je perçois seulement, dans mon sphincter, les spasmes de son urètre au passage du sperme, et tout aussi brusquement, il sort sa queue: splatchhhh ! Il se décolle de moi et s'éloigne sans un mot. 

 

Je me redresse. Je sens que ça dégouline le long de ma cuisse, un truc visqueux, sirupeux ! Je baisse les yeux, et là, entre mes pieds, une tache blanchâtre, une GROSSE tache blanchâtre, du sperme ! Putain, la dose ! Non seulement j'en ai plein la cuisse, plein LES cuisses, jusque sur le haut de mes bas, mais il y en a aussi une grosse tache au sol ! Jacky, tout en remballant sa queue dans son jean, est en train de passer dans le séjour, suivi des deux spectateurs. Qu'est-ce que je fais ? J'ai très envie de garder tout ce foutre dans mon cul et sur mes cuisses, j'adore rester comme ça, souillé du sperme que des mâles ont répandu en moi, mais avec ces types, là, à côté,  j'hésite. Et puis tant pis. Après tout, c'est eux qui m'ont fait ça ! Ça m'étonnerait que ça les gêne. Alors, les fesses glissant l'une sur l'autre, je les rejoins. 

 

Max, le petit râblé et "la cafetière" sont assis, chacun dans un fauteuil. Jo, le "gitan" et "poivre et sel" sont debout, ainsi que Jacky, une tasse à la main, qui sirote son café. Tous les cinq me regardent entrer dans le séjour. Je me trompe où ils arborent tous le sourire de types qui ont réussi un bon coup ? Jacky pose sa tasse sur la table basse, et:

- Bon … Marin, on va y aller. J'vais t'organiser quelque chose pour que tu fasses un essai comme j't'ai dit,  et j't'appellerai quand ça sera prêt. Vu ?

- Oui, vu. 

- Très bien, alors. Fais pas de bêtise, en attendant.

 

Il passe devant moi, suivi de ses potes. Pas un ne me serre la main, pas un ne me dit seulement au revoir. Ils sortent. J'enfile vite fait mon déshabillé et je les suis jusque sur le pas de ma porte. Je les regarde rejoindre leur voiture. Ils discutent, rigolent, s'esclaffent. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais je suis sûr que c'est à mon sujet. Quand ils arrivent près de la Mercedes, je vois ma voisine, Yolaine, surgir de chez elle, et s'adresser à mes baiseurs en se dirigeant vers sa propre voiture. A cette distance, je n'entends évidemment pas ce qu'elle leur dit. Ni ce que Jacky et "la cafetière" lui répondent. Mais eux, comme elle, sourient. Je me trompe, ou elle jette un coup d'œil vers moi avant de monter dans sa voiture. Tout le monde embarque. Ils se sont dit quoi ? Yolaine manœuvre, la Mercedes la laisse sortir de la cour avant de prendre le même chemin. Voilà, ils sont partis. Je rentre. 

 

La pendule à côté de la porte d'entrée marque 10 heures 10.

Ils ne sont pas restés trois quart d'heure !  Pourquoi, en m'apercevant de ça, je me sens tellement … c'est un drôle de sentiment, une espèce de satisfaction, presque de fierté ! Ces mecs ont débarqué et, en moins de quarante cinq minutes, ils m'ont fait mon affaire ! Pourquoi ça me plaît tellement qu'ils m'aient baisé tous les cinq en quarante minutes, montre en main ! Oh, bien sûr, il y a toujours cette menace, ce chantage de me dénoncer auprès de mes relations qui gâche un peu la fête. Il n'en reste pas moins que j'éprouve un vrai plaisir à ce que cinq types aient débarqué chez moi pour se soulager et pour se vider les couilles dans mon cul, vite fait, bien fait.

 

Je sens encore, entre mes fesses, et le long de mes cuisses, ce qui atteste de la jouissance de ces cinq mâles. Allez, c'est décidé, aujourd'hui, je n'ai rien de spécial à faire et je n'ai pas besoin de sortir, alors je vais rester comme ça toute la journée, en tenue de salope, avec le ventre, les fesses et les cuisses souillés de sperme.

 

Pour lire la suite, cliquer ici: La voisine

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 2 avril 2017 7 02 /04 /Avr /2017 01:00

Voilà. C'est la suite et la fin de la randonnée que je vous ai montrée il y a deux semaines. 

 

Début de randonnée b.avi

 

Après avoir traversé un bois, dans ma minijupe et avec la bite à l'air, la présence d'autres promeneurs m'avait contraint à bifurquer dans un champ de blé.

J'avais fini par arriver au bord d'une route avec pas mal de trafic. Et ça, j'ai du mal à résister à ce genre de situation !

 

Alors, je n'ai pas résisté !

 

Fin-de-randonnee.png 

 

La jupe relevée, les miches à l'air à quelques mètres des voitures, des camping cars, des motos ... c'était aussi bien que de me balader. Et tant pis pour la rando !

 

 

En cliquant sur cette photo, la vidéo du début de randonnée:

Début de randonnée

Par Solosexe - Publié dans : Exhibitions - Communauté : TRAVESTIS
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Jeudi 30 mars 2017 4 30 /03 /Mars /2017 01:00

Inutile de vous rappeler mon goût pour la lingerie féminine, je pense ...

 

... et en particulier pour celle de Marie-Claire, pour qui je travaillais.

 

Voici une séance d'essayage de ses strings et petites culottes après une fouille de sa commode. A chaque fois, c'était un régal, même si c'était la dixième fois que je mettais telle ou telle pièce de lingerie.

 

Strings-et-petites-culottes-de-Marie-Claire-001.png

 

Mais en plus, de temps en temps, Marie-Claire s'offrait une nouvelle parure. C'est le cas dans cette vidéo, avec cette nouvelle petite culotte en voile bleu transparent, et ce string assorti  ... Sans le savoir, ce n'est pas à elle seule qu'elle faisait alors plaisir !

 

 

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Lingerie féminine - Communauté : Homme en lingerie féminin
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Lundi 27 mars 2017 1 27 /03 /Mars /2017 01:00

Bah, là, ce n'est pas exactement "un peu de tout", c'est un haltère.

 

Un petit halère, sans doute pas plus d'un kilo. Mais ce n'est évidemment pas son poids qui a attiré mon attention.


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Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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