Dimanche 12 mars 2017 7 12 /03 /Mars /2017 01:00

Oups ! J'avais oublié de vous montrer la suite de cette séance de travail chez Marie-Claire.

 

Souvenez-vous, pour monter un placard et des étagères, je suis en tenue ... coquine ? Non ... sexy ? Non ... plutôt hot ? Non ... vraiment de salope, en fait. Il faut appeler les choses par leur nom. Et je commence par sortir les miches à l'air pour aller chercher un outil dans ma voiture.

 

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Ah, quel bonheur c'était, de pouvoir travailler comme ça chez ma patronne ! Bien sûr, je peux faire la même chose chez moi, mais franchement, ça n'a pas tout à fait la même saveur ! 

 

Je vous l'ai sans doute déjà dit, mais derrièe le plaisir de travailler dans ce genre de tenue, il y a un fantasme (un fantasme de plus !). Imaginez: travailler dans ce genre de tenue chez un patron (UN patron, pas une patronne) et après qu'il soit venu voir à plusieurs reprises si le travail avance, il s'agenouille derrière moi et « Mets-toi à quatre pattes et ne bouge plus ! ». Il me trousse, il me prend, il me baise, il tire son coup, et quand il a fini, il se relève, il rabat ma jupe sur mon cul, il me donne une claque sur la fesse, et « C'est bon ! Remets-toi au boulot, maintenant ! ». Tordu, comme fantasme, non ?

 

 

 

 

 

Les précédentes vidéos en cliquant sur ça:

Travailler en mini jupe 002 Travailler en mini jupe 003

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Jupes et robes - Communauté : TRAVESTIS
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Jeudi 9 mars 2017 4 09 /03 /Mars /2017 01:00

Un de mes plus gros fantasmes: le dogging.

 

Il y a un peu plus d'un an, j'ai déjà consacré au "dogging" un long article illustré de plusieurs vidéos (plus loin, vous trouverez une photo qui sert de lien vers ce premier article). Depuis, je n'ai pas cessé de chercher et de visionner d'autres vidéos qui se revendiquent de cette pratique. Je dois dire que je suis souvent déçu. Il s'agit parfois de vidéos de "simples" gangbangs se déroulant dans un lieu clos (club, cinéma, villa, jardin privé ...), ou de vidéos de véritable dogging dans lesquels les relations sexuelles entre la femme et les hommes qui la baisent ne sont pas complètes. J'entends par là que les hommes utilisent une capote ou qu'ils se finissent en se masturbant et en jouissant hors du corps de la femme. Pour moi, le dogging devrait toujours aboutir à ce que celle (ou celui) qui se fait baiser soit vraiment inséminé(e) par les inconnus.

 

Et puis, j'ai récemment découvert la vidéo qui suit, dans laquelle il y a tout ce que j'aime et dont je fantasme. Certes, il s'agit d'une hardeuse allemande, Ronja Fox, mais pour moi, ce qu'elle fait est vraiment du dogging, et c'est à cela que je rêve.

 

Apparemment, sa séance de dogging se passe dans un endroit très fréquenté, au bord d'un lac, lieu public ou, tout au moins, réservé aux naturistes: en chemin, elle croise des hommes à poil et des types nus sont déjà installés dans la clairière où elle choisit de se faire baiser.

 

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Il est bien possible aussi qu'il ne s'agisse pas d'un espace seulement naturiste, mais que ce soit aussi un lieu dédié au sexe comme il en existe, où non seulement on peut faire des rencontres, mais où on peut aussi "consommer" sur place. Un endroit comme celui-ci, ça m'irait très bien: ce qui compte, c'est qu'il y ait des hommes, beaucoup d'hommes, venus là spécialement pour participer à ce genre de partie de cul, ou seulement présents par hasard, mais prêts à sauter sur une occasion qui se présenterait à eux. Des hommes, mais aussi des femmes ... non pas pour participer, mais simplement pour regarder.

 

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Justement, autre aspect fondamental à mes yeux: cette salope se fait baiser en public. Autour d'elle et des types qui la baisent, on voit d'autres personnes, dont certaines qui sont habillées, et qui assistent sans doute par hasard à cette partie de cul.

 

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Ce qui est important, c'est qu'elle se fait passer dessus sous les yeux du public. L'image des ces types qui se pressent autour d'elle comme des chiens autour d'une femelle en chaleurs, leur bite en érection à la main, qui se bousculent presque pour se faire tailler une pipe ou pour la baiser au milieu d'un cercle de spectateurs, dont certains sont à poil et la queue en bannière, ça me … waouhhhhhh !

Comme des animaux, ça ne les gêne pas d'être à six ou sept à tourner autour de la même femelle pour s'accoupler avec elle. La morale n'a pas sa place ici. Seule la pulsion sexuelle a de l'importance.

 

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Il est possible, sinon probable, que certains de ceux qui la baisent ou qu'elle suce, ne soient pas vraiment des rencontres de hasard: anciennes connaissances ou types recrutés pour l'occasion. Mais, avec leurs physiques ordinaires de "monsieur tout le monde", ce ne sont sans doute pas des acteurs porno professionnels. Toutefois, j'ai quand même bien l'impression que certains sont là vraiment par hasard et participent spontanément à la fête sans y avoir été spécialement invités. En effet, à quatre pattes ou sur le dos, les cuisses largement ouvertes, elle s'offre à tout le monde sans restriction. Elle est en "libre-service", et quiconque a envie de se soulager peut venir introduire sa queue en elle et se vider les couilles. Elle accueille tout le monde, et elle ne cherche même pas à savoir qui vient s'accoupler avec elle quand elle est à quatre pattes, en train de sucer des queues.

 

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Et le top du top, c'est qu'elle ne fait pas semblant: ni capote, ni coïtus interruptus, les types jouissent et éjaculent vraiment dans sa chatte et dans sa bouche, les uns après les autres. Aucun trucage ! Alors ça, pour moi, c'est le top ! Elle se fait littéralement remplir de sperme, et entre deux coups de bites, sa chatte déborde littéralement de semence.

 

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Autre chose qui me plaît: les types ne cherchent absolument pas à la faire jouir ou à simplement lui donner du plaisir: ils ne sont là que pour leur propre jouissance et ils la prennent uniquement pour tirer un coup vite fait, bien fait, et se vider les couilles. J'adore ! Cela dit, on sent bien qu'elle-même prend beaucoup de plaisir à se faire passer dessus comme ça, et en particulier à sucer ces queues.

 

En tout, au cours de cette séance, elle éponge 12 types ! 12 types se vident les couilles, la plupart en la baisant, certains en se faisant sucer (le n° 9, qu'elle suce et qu'elle branle, allongée sur le dos, lui jute sur la figure et dans la bouche), et deux en se masturbant et en éjaculant sur sa chatte (les n° 5 et 6). Chapeau, Madame ! Je t'admire, je t'envie et j'aimerais être à ta place.

 

Oui, parce que c'est cela, mon fantasme, faire comme elle, me rendre dans un lieu public, en extérieur, et, sous le regard de spectateurs, me livrer à tous les inconnus qui en auraient envie, pour qu'ils usent de moi à leur convenance, mais surtout pour qu'ils me baisent le cul ou la bouche.

A quatre pattes par terre, j'ai envie de sentir des mains sur moi, des bouches, des sexes, j'ai envie qu'on me présente des bites en érection à sucer, avec leur gland décalotté et gorgé de sang. J'ai envie de sentir qu'un inconnu s'installe derrière moi, entre mes mollets, qu'il présente sa queue à l'entrée de mon anus et que, ses deux mains agrippées à mes hanches, il me pénètre et se donne du plaisir en moi, même rapidement. J'ai envie de sentir ces hommes éjaculer en moi, dans mon cul, dans ma gorge avant de laisser la place au suivant. J'ai envie qu'ils se succèdent et me remplissent de leur semence. J'ai envie de sentir le mélange de leurs crèmes, tièdes et visqueuses, s'écouler sur mon périnée et sur mon sexe à chaque nouvel accouplement.

 

 

 

Si vous-mêmes savez où trouver des vidéos de cet accabit, merci de me l'indiquer à l'adresse-mail, tout en bas de cette page.

 

Vous pourrez lire ou relire le précédent article sur le dogging en cliquant sur cette photo:

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Par Solosexe - Publié dans : Mes fantasmes
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Lundi 6 mars 2017 1 06 /03 /Mars /2017 01:30

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.


 

Pendant que je fais mes ablutions, j'entends que ça bouge au rez-de-chaussée. Jean Claude donne des ordres à ses chiens. Mon excitation est à son comble. Pourtant, au fond de moi, quelque chose, ma raison, sans doute, me demande « Tu es vraiment sûr de ce que tu t'apprêtes à faire ? Tu as bien mesuré les conséquences ? C'est un chien, tout de même ! Il est peut-être encore temps de renoncer. » Mais ça n'a aucun effet sur moi. Oui, je suis sûr de ce que je vais faire ! Oui, je vais me faire saillir par un chien ! Et je n'ai pas la moindre intention de renoncer ! 

 

Il est juste là, en bas, ce Iago, ce mâle magnifique qui va me monter dessus et me saillir, me couvrir comme une femelle de son espèce ! Il en a autant envie que moi, c'est évident, et si je n'avais pas eu peur de la réaction de son maître, l'autre jour, il m'aurait déjà possédé dans la cour de la ferme, devant la bande des mâles humains qui m'avaient baisé tout au long de la journée ! Mais aujourd'hui, nous allons vraiment nous accoupler, le molosse et moi ... et avec la bénédiction de son maître ! Je me sens excité, impatient ... toutes les fibres de mon corps réclament, fébriles, ce rapport charnel avec cet animal ! Je veux qu'il me pénètre de son énorme sexe, je veux sentir son énorme appareil génital investir, remplir, occuper mes entrailles, je veux qu'il y accomplisse son rôle de mâle reproducteur, d'étalon, je veux qu'il me possède ...

 

Il me reste quelques interrogations. Je sais qu'en principe, un accouplement avec un chien est physiologiquement possible, mais, est-ce que, avec ce chien-là, ça va marcher ? Je ne doute pas qu'il ait envie de me saillir, mais est-ce qu'il va seulement réussir à me pénétrer ? Me pénétrer entièrement, je veux dire ... pas seulement me mettre un peu le bout de son sexe dans l'anus. J'ai envie qu'il parvienne à introduire et à gonfler son knot en moi, je veux me sentir étroitement tenu, riveté à l'animal par son appareil génital gonflé dans ma chair. Ce qui est sûr, c'est que, si il y arrive, moi, j'ai l'intention d'aller jusqu'à un rapport sexuel complet … c'est-à-dire jusqu'à ce que le chien répande sa semence dans mon ventre. 

Depuis que ce fantasme me travaille, je me suis documenté, et j'ai lu que, quand un chien s'accouple avec une chienne, la grosse partie à la base de son sexe gonfle - pour les vétos c'est le "bulbe érectile", et pour les éleveurs – et les zoophiles -, c'est le "knot" - et ce bulbe, ce knot gonfle dans la vulve de la chienne une fois que la verge en érection est entièrement entrée … avec certaines races de chiens, le knot peut faire jusqu'à huit centimètres de diamètre une fois gonflé ! C'est pour ça que le mâle reste collé à la chienne … jusqu'à ce que sa queue dégonfle quand il a fini d'éjaculer et que la vulve de la chienne se décontracte ! Moi, ça ne me fait pas peur, je me suis godé avec des jouets énormes, jusqu'à 7,5 centimètres. La bite du chien sera bien moins grosse que ça au moment où il me pénétrera. Ce n'est qu'ensuite, à l'intérieur, que son knot gonflera, et je suis sûr que mon rectum est largement capable de le loger. 

 

On entend bien parler de femmes qui seraient restées collées avec leur chien et qui ont dû appeler des secours, mais il me semble que ça tient plus de la rumeur que de la réalité. Et, comme on est chez Jean-Claude, on pourra attendre tranquillement de se décoller naturellement. Est-ce que je vais y prendre du plaisir ? Sûrement … au moins sur le plan cérébral. Et le chien, il va y prendre aussi du plaisir ? Je sais aussi qu'il va commencer à éjaculer tout de suite, comme l'autre jour, et qu'après, ça peut durer plusieurs minutes. Même si il ne peut pas me rentrer entièrement sa bite, et même s'il éjacule rapidement, j'espère que ça durera quand même un peu … 


Je suis terriblement excité de pouvoir enfin réaliser ce fantasme, et je bande à l'idée de ce qui va m'arriver, mais j'ai des sensations que je n'ai jamais eues jusqu'à présent, même avant ma tournante géante: je me sens fébrile, la bouche sèche, j'ai des bouffées de chaleur, la tête qui tourne un peu et je tremble d'impatience … 

 

Je suis venu ici dans l'espoir de convaincre Jean-Claude de me baiser, mais d'une certaine manière, je suis content qu'il ait refusé, puisque ça nous conduit à ce que ce soit son chien qui le fasse … Le maître, un jour ou l'autre, je trouverai bien le moyen qu'il me baise aussi …

 

Quand je redescends dans le salon, seulement vêtu de mon porte-jarretelles et de mes bas, avac la bite légèrement gonflée, Jean-Claude me regarde, les yeux ronds, sidéré. Dans son regard, je lis à la fois de l'incrédulité et un jugement ... quelle salope je suis, à ses yeux ! J'ai l'impression qu'il réalise que je ne plaisantais pas et que je compte bien faire ce que j'ai dit. Il s'attendait sans doute à ce que, une fois en tête à tête avec moi-même dans la salle de bain, je réfléchisse et que je me dégonfle. Me voir reparaître dans cette tenue semble le désemparer:

- Alors … tu vas VRAIMENT le faire ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu croyais ?

- Ah, nom de dieu !

 

Sa surprise fait brusquement place à de l'exaltation. Il a attaché l'autre chien, Into, avec une courte chaîne au pied du canapé. Il se tient debout devant le fauteuil, Iago assis à ses pieds entre ses jambes. Dès que je parais, la bête cherche à se lever pour se pércipiter vers moi. Je remarque tout de suite que son sexe dépasse encore de son étui pénien … il bande et son sexe a bavé une petite flaque de fluide translucide sur le carrelage ! Putain, on est dans le même état, tous les deux ! Il est tellement excité à l'idée de me sauter qu'il a déjà commencé à juter !  Il tend vers moi son énorme tête pleine de douceur, et il redresse ses oreilles … il me regarde fixement comme si j'étais une friandise … de ses pattes avant, grosses comme mon poignet, il trépigne d'impatience … maintenant, j'en suis sûr, il se souvient de ce qu'on a fait l'autre jour, lui et moi … il a reconnu cette femelle étrange qui voulait se faire saillir et qui l'avait laissé grimper sur elle ... d'ailleurs, je suis dans la même tenue que l'autre jour, porte-jarretelles et bas ... il doit se rappeler la sensation de son sexe dans la tiédeur humide de mon anus ... il a envie de recommencer … pour lui, à cet instant, je suis une chienne à laquelle son instinct lui commande de faire des petits … Oh putain, oui, tu vas me couvrir, Iago ! Je sens mon sexe gonfler un peu plus … Jean-Claude a bien du mal à retenir son molosse:

- Assis, Iago ! Assis, fils !

 

La bête hésite et se rassoit, visiblement à contre-cœur. Ce torse imposant, cette musculature saillante sous ce pelage soyeux, ce sexe impressionnant qui s'agite sous son ventre d'athlète … au-delà de son apparence placide, il émane de cet animal une impression de bestialité absolue … non, ce n'est pas avec un être humain, que je vais m'accoupler, c'est avec un animal … avec une BÊTE ! Une BÊTE dans ce qu'elle peut avoir de plus brut, de plus bestial … presque de sauvage ! Loin de m'effrayer, loin de m'inquiéter, bien au contraire, en plus de l'excitation, ça fait naître en moi de drôles de sensations ... à la fois une envie viscérale de me soumettre à lui pour recevoir les gênes d'un mâle aussi puissant ... et une véritable fierté d'être désiré par un tel étalon ... c'est sans doute ce que ressent une chienne en chaleurs face au puissant molosse qui s'apprête à lui faire une portée ... .

 

Je m'agenouille devant le molosse, et, du bout des doigts, je commence à faire aller et venir son étui pénien sur son vit. Le chien s'impatiente, remue, prêt à se lever, mais il sent la poigne de son maître sur son collier, et il se retient. Personne n'a jamais dû le masturber, alors il aime ce que je lui fais, mais il a hâte, maintenant. Je suis fasciné par ce sexe. J'en ai d'autant plus envie que, par sa taille et par son aspect, il n'a vraiment rien à voir avec le sexe d'un homme. C'est vraiment le sexe d'une bête ! Alors, sans aucune pudeur devant Jean-Claude, je commence à me masturber. 

Jean-Claude, les yeux exorbités me regarde faire. Il me regarde masturber son chien et il me regarde me masturber. Je l'entends déglutir bruyamment à intervalles réguliers. 

Malgré l'intensité du moment, une idée de traverse: dans un instant, mon accouplement avec un animal, ce sera la fornication de l'Homme avec le "plus fidèle ami de l'Homme", la saillie du dominant par le dominé, la copulation de l'Humain et de l'Animal, l'Homme ravalé au niveau de la Bête, ramené à ce qu'il est: un animal, soumis à ses instincts les plus bestiaux ! 

 

Au bout de son pénis rouge violacé, perle toujours une liqueur translucide, et la petite flaque s'étale un peu plus au sol. Le chien, pressé de s'accoupler, cherche à se lever en me donnant de grands coups de langue sur la figure. Il le sait, il le sent, il va me couvrir comme une chienne. Tant bien que mal, Jean-Claude le force à se rasseoir:

- Assieds-toi, fils ! T'inquiète pas, tu vas l'grimper, fils !

 

Il paraît maintenant aussi impatient que son chien. La présence du maître contribue aussi à m'exciter. S'il avait refusé que son molosse me saute, j'aurais fait mon possible pour arriver à le faire en douce, mais le fait qu'il soit là, qu'il assiste à ce coït, qu'il participe, même, d'une certaine manière, ça ajoute je ne sais quoi d'excitant. J'ai l'impression d'être une chienne à qui on amène un mâle pour qu'il lui fasse une portée.

Le gland de Iago est tout gonflé, mais à part son méat qui suinte, il est sec et mes doigts ne glissent pas dessus. J'ai peur de lui faire mal. Alors je crache un peu de salive sur mes doigts et je le reprends. Voilà, comme ça, je peux le masturber … De temps à autre, il lève les yeux sur son maître, comme pour lui demander un encouragement, comme s'il attendait son ordre pour me chevaucher. Et le maître l'encourage:

- Oui, fils … attends, attends ! T'inquiète, tu vas te le faire ! 

 

Et à mon intention:

- Rhô, putain, j'en reviens pas ! C'est sûr, il a compris qu'il va te sauter ! Puuutaiiin !

 

En fait, à son ton, je sens que c'est surtout Jean-Claude qui réalise que ça va vraiment se passer. Je lève les yeux sur lui. Il bande aussi … Il ne doit porter, comme d'habitude, ni slip ni caleçon, et je vois son sexe, tête en bas, qui tend la jambière de son pantalon et fait une bosse en cherchant à se redresser. Je tends la main et j'effleure cette protubérance:

- Tu bandes, Jean-Claude … ça t'excite, hein ...

 

Contrairement à d'habitude, quand il voit que je veux lui toucher le sexe, il ne se dérobe pas. Il baisse les yeux sur son ventre, et face à l'évidence de la bosse qui déforme la toile de son pantalon, il sourit:

- Ben ouais ... putain, mon chien va te baiser !

 

Alors j'en profite et j'accentue ma caresse: je presse sa queue entre mes doigts à travers la toile de son pantalon. Et il a l'air d'apprécier ! Il plie même un peu les genoux et tend son bassin vers moi, comme pour m'encourager: « Vas-y, tripote-moi la queue ! ». Oh putain, j'ai la bite du maître dans une main, et celle de son chien dans l'autre. Il sourit:

- Putain, j'en reviens pas que tu vas VRAIMENT te faire … BAISER par mon chien ! Ça te fait pas peur ?

 

Peur ? Il me demande si ça ne me fait pas peur ! Il réalise que je vais … non, que son chien et moi, on va vraiment copuler ! Il ne doute plus que ce soit possible ? Peur ? Non, même si ce chien est vraiment énorme ! C'est vrai que son frère et lui, je les trouvais déjà imposants comme chiens de garde … Quand ils nous tournaient autour, le soir de la tournante, j'avais remarqué qu'ils étaient aussi hauts que les tables ! Rien qu'en levant la tête, ils arrivent à me donner des coups de langue sous le menton … Mais là … celui-ci, cet après-midi, ce n'est plus comme chien de garde, que je le vois … je le vois comme … comme un amant qui va me … qui va me baiser … Quelque chose me dit que je devrais peut-être avoir peur de cet animal … pas peur qu'il me morde, non, je sens bien que je ne risque strictement rien de tel … non, ce que ma raison me souffle, c'est que je devrais avoir peur de m'accoupler avec un animal aussi gros, de me faire pénétrer par un sexe aussi énorme … mais paradoxalement, c'est précisément sa taille et sa puissance bestiale qui aiguillonnent mon désir et mon excitation … c'est la taille de son sexe qui me fait tellement envie …

 

Oui, c'est exactement ça: un désir bestial, d'autant plus fort que, justement, la bête est grosse, que la bête est puissante … Je le sais, ce que je m'apprête à faire, c'est une dépravation totale, une déviance, un tabou que la société, la morale et le droit réprouvent, interdisent et sanctionnent. Mais, à cet instant précis, rien ne pourrait m'arrêter: je vais me donner à ce molosse, et comme, de toute évidence, il a envie de moi comme j'ai envie de lui, comme il me considère comme une chienne, il va me grimper dessus comme sur une chienne, il va me prendre comme une chienne, il va me saillir comme une chienne et il va me féconder comme une chienne … Aux yeux de la plupart des gens, ce serait abject, avilissant, mais pour moi, être désiré par un tel molosse, c'est une fierté, me donner à lui, c'est une fierté, me faire monter par cet étalon, c'est une fierté ! Tout à mes pensées, je tripote maintenant ces deux sexes … ces deux énormes sexes:

- Non, ça ne me fait pas peur … et, tu vois qu'un chien peut avoir envie d'un mec …

 

Nouveaux coups de langue sur la figure et, soudain, il aboie comme pour me dire quelque chose. De sa voix grave et puissante qui vibre jusque dans ma poitrine et mon ventre, le chien manifeste son impatience, le molosse m'ordonne « allez, fous-toi à quatre pattes, que je te saute ! ».

- Oui, mon gros pépère …tu vas être un bon chien … tu vas me grimper … et tu vas me baiser … allez, mets-toi debout …

 

Je lâche le sexe du maître et, la main sous le poitrail du chien, je l'incite à se lever et à pivoter pour me présenter son flanc. Son maître lui tapote le dos et l'encourage:

- Allez, fils, lève-toi ! Ça y est, tu vas tirer un coup ! Ah, putain, c'est dingue !

 

Il a dû croire que le moment était venu. Mais avant, j'ai envie de sucer un peu la bête. Je m'agenouille et je me penche sous son ventre. Le chien tourne la tête et me regarde. Comme s'il avait compris que je vais lui sucer la bite, il soulève un peu sa patte arrière et tourne la tête vers moi. Son sexe dépasse de plus en plus de son étui pénien. Une main au sol et l'autre sur ses reins pour me retenir, j'avance ma tête et je prends son gland brûlant entre mes lèvres. Il est tellement haut que je n'ai pas besoin de me pencher beaucoup pour le sucer. Le fluide visqueux qui coule de son méat est un peu acide. J'enfonce son sexe dans ma bouche et je me mets à le presser avec ma langue … Oh putain, quel morceau ! Au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans ma bouche, je repousse avec mes lèvres son prépuce velu vers sa base de sa verge … il aime ça, il trépigne d'une patte sur l'autre … il est de plus en plus long dans ma bouche … et je sens des petits jets brûlants s'étaler en rythme sur ma langue … ça y est, il commence à éjaculer …

 

Ah, la vache ! Je suis en train de tailler une pipe à un chien ! Et il éjacule déjà ! Il jouit sur ma langue ! Du sperme de chien ! Ça a le goût de … de sperme … hhmmmm, vas-y, jouis, mon pépère, inonde-moi la bouche ! Je déglutis et je sens cette semence tiède s'écouler dans mon œsophage. Je suis en train d'avaler le sperme d'un chien ! Putain, ce vit brûlant qui s'agite dans ma bouche et cette semence que je sens descendre dans mon estomac, c'est tellement … concret … mais je vis ça comme … un rêve ! Je continue de faire aller et venir mes lèvres sur son sexe et le chien continue de se soulager à petits jets dans ma bouche. Ah, la brave bête ! Vas-y, vas-y, jouis, éjacule ! Je me régale, et lui aussi. Son maître aussi:

- C'est bon, hein, fils ! Il te suce bien, hein !

 

Et soudain, je réalise qu'il ne faudrait pas qu'il m'en crache trop dans la bouche, il faut qu'il en garde pour mon cul !

 

Je sors doucement son vit de ma bouche, et je me relève en m'essuyant les lèvres. Sans vergogne, Jean-Claude a une main cramponnée à son sexe … son sexe qui a l'air d'être en complète érection, mais tête en bas dans la jambière de son pantalon. Lui, d'habitude si coincé, se tripote ouvertement devant moi. Une petite tache mouillée qui s'étale sur le tissu au niveau de son gland, trahit son excitation. Pas du tout gêné, il hésite une seconde, puis:

- C'était bien, de … de … sucer mon chien ?

- Oui.

- C'est comme … sucer un mec ?

- Ben, là, c'était même mieux … il avait déjà commencé à éjaculer …

- Ah Bon ? Mais … mais tu l'as … tu l'as laissé … éjaculer ?

- Oui. C'était bien.

- Mais … t'as … t'as avalé son …

- Son sperme ? Oui. 

- Ah putaiiiin !

 

Le chien trépigne et s'élance pour essayer de me grimper. De sa main libre, Jean-Claude le retient par le collier. Je lève les yeux sur lui. Sans cesser de se pétrir la queue, il me regarde avec un drôle de sourire. Je m'avance à genoux jusqu'à lui sous les assauts de son chien, pressé de me chevaucher. Même pas surpris de me voir approcher, le maître continue de se malaxer le sexe. Mes yeux plantés dans les siens, je repousse délicatement sa main de son sexe. Il se laisse faire docilement et je pose mes doigts sur la grosse bosse que fait sa queue. Les yeux braqués sur moi et sur son ventre, il attend … il attend quelque chose de moi. Je parcours sa verge du bout des doigts et je la sens frémir sous ma caresse, et chercher à se redresser davantage. Ça l'a vraiment excité, de me voir sucer son chien ! Il a envie de quoi, là, tout de suite ? Se faire sucer, lui aussi ? Me baiser ? Je sens que ça pourrait être le moment. Mais il fallait te décider avant, Jean-Claude ! Maintenant, c'est ton chien, qui va me baiser. Au point où on en est, je ne vais pas laisser passer cette chance d'assouvir ce fantasme de bestialité … et courir le risque que tu changes d'avis et me refuses ensuite cet accouplement avec ton chien. Une occasion comme celle-ci pourrait bien ne jamais se représenter. Me faire baiser par toi, Jean-Claude, je pourrais ré-essayer plus tard. Là, au bout de son sexe, son gland fait une bosse sous le tissu. Je pose ma bouche dessus et je le presse entre mes lèvres. Je sens la chaleur de son sexe à travers la toile épaisse. Et contre toute attente, Jean-Claude pose sa main libre sur ma tête ! Je suis sûr que là, il aimerait bien que je le suce ! Hhhhhmmmm, ça me plaît que ça t'excite à ce point de me voir avec ton chien ! Du bout des lèvres, je parcours sa verge sur toute sa longueur en gémissant … plusieurs fois … et sans le prévenir, je m'écarte en espérant le laisser frustré. 

 

Pendant ces quelques secondes, le chien a couiné, trépigné et aboyé à nouveau. Je me lève, je me retourne et, tout en rajustant mon porte-jarretelles, j'examine le salon. Pendant mon séjour dans la salle de bain, Jean-Claude a poussé la table basse dans un coin pour faire de la place. Plein d'attentions, le mec ! Je m'avance sur le tapis, resté au milieu de la pièce, et je me tourne vers le chien:

- Allez, viens, mon pépère ! Viens me baiser !

 

Il redresse ses oreilles et il tire sur son collier. Il sent que je suis prêt à le recevoir. Jean-Claude le lâche:

- Allez, vas-y, fils … grimpe-le !

 

Le dogue est contre moi, et il me bouscule dans sa précipitation, il me tourne autour, il me donne des coups de langue sur la bite, sur les fesses, sur les bras, les cuisses, et il essaie de me monter dessus. Tandis qu'il me tourne autour, je lui caresse tant bien que mal les flancs, le dos, le ventre. Avec difficulté, je parviens à l'enfourcher … il se demande ce que je veux, mais il se laisse faire, dressant sa tête vers moi pour me donner des coups de langue sur la figure, et il se calme un peu …. hhmmmmm, quelle sensation ! Le contact de ce corps, chaud et puissant entre mes cuisses, ce pelage si doux sous mes fesses, sous mes couilles … cet animal énorme, musclé, puissant, va me grimper dessus et va me posséder ! Je me penche et j'enserre son poitrail … Je bande, et ma bite, coincée entre mon ventre et son dos, se décalotte toute seule contre sa fourrure. Sous son ventre, j'effleure son sexe qui sort de plus en plus de son étui … Nous sommes tous les deux de plus en plus excités à l'idée de cet accouplement. Oooh, Iago, maintenant, il faut que tu me couvres !

 

Je descends de son dos et je m'agenouille à côté de lui … Maintenant, il faut qu'il me prenne ! Il se remet à me tourner fébrilement autour, toujours en me donnant force coups de langue … instinctivement, il cherche par où me pénétrer … il cherche ma vulve … le voilà vers mon cul, il le renifle et me donne trois coups de langue sur les fesses … il revient vers ma tête, fébrile, impatient … non, il sent bien que ce n'est pas par là et il retourne vers mon cul … alors, je me mets en position, les mains à plat sur le tapis … à quatre pattes, le chien derrière moi … Putain, ça y est ! Je suis en position pour me faire grimper … saillir … baiser … féconder par un chien ! Je me suis si souvent foutu à quatre pattes pour me faire baiser en levrette par des mecs, et à chaque fois, ça a été une telle émotion, de m'abandonner, de me livrer à eux, à leurs sexes ! Et là, c'est à un CHIEN, c'est à ce MOLOSSE, que je me donne ! Je suis encore pris d'une espèce de vertige … j'ai le cœur qui bat à fond, les oreilles qui bourdonnent, le sang qui bat à mes tempes … un long frisson me parcourt de la nuque jusqu'aux pieds, suivi d'une bouffée de chaleur. Je ne ressens ni peur, ni honte, ni culpabilité … c'est comme un aboutissement ! Comme si cet accouplement contre nature était ce qu'inconsciemment je recherchais depuis quelques mois, en me faisant passer dessus par tant de types … être … être considéré comme … une femelle, pas seulement par des hommes, mais par des mâles, par n'importe quels mâles, y compris d'une autre espèce !

 

Iago me redonne quelques coups de langue dans la raie… Oui, le chien … c'est là !  Vas-y, maintenant ! Jean-Claude, lui-même, l'encourage:

- Oui, c'est bien, fils ! Vas-y, c'est par là !

 

Mais non, il revient vers ma tête, de plus en plus fébrile, et me lèche en couinant. Je sens soudain la présence de Jean-Claude à côté de moi. Il saisit le collier du chien et l'entraîne vers ma croupe:

- C'est là, fils, j'te dis ! T'es con, ou quoi ? Vas-y, prends-le, bordel !

 

Il a bougonné, mâchoires serrées. Je sens enfin la truffe humide dans ma raie. Surexcité, l'animal m'explore fiévreusement la croupe avec son nez et sa langue. Par un réflexe totalement incontrôlé, j'écarte les cuisses et je me cambre. Iago me renifle et me lèche les fesses, le périnée, les couilles, la raie, et enfin, je sens sa langue chaude et râpeuse se poser sur ma rondelle. Ooooh quelle sensation ! L'endroit lui plaît. Mon cul est tout propre, naturellement exempt de tout fluide sexuel ou de toute effluve féminine, et pourtant, c'est indéniable, il sent que c'est par là que ça se passe, que c'est par là qu'il va me saillir. Sous ses coups de langue, je sens mon anus s'ouvrir, s'offrir. Curieusement, à cet instant, une idée, une conviction me traverse l'esprit: ce chien n'a pas encore connu de chienne, alors, pour lui, je suis une femelle … et là, maintenant, il va à se reproduire … 

 

Tout en continuant à me lécher et à me renifler, il ébauche des tentatives pour me grimper, vient un peu sur moi, commence à me chevaucher, redescend …Tout de même, je n'en reviens pas, mon cul n'excite pas seulement les mecs ! Il excite aussi vraiment UN CHIEN ! Parce que là, on n'est plus dans cette espèce de réflexe de jeu ou de volonté de domination qui pousse à peu près tous les chiens à se frotter sur la jambe de leur maître ou d'un étranger. Là, on est bel et bien dans des préliminaires à un accouplement: ce chien s'excite sur mon cul parce qu'il veut me saillir, parce qu'il veut me prendre ! Il me considère vraiment comme une femelle ! Quoi qu'il en soit, ces préliminaires sont absolument délicieuses, et, de mon point de vue, elles pourraient durer encore longtemps. Mais, brutalement, j'entends Jean-Claude s'approcher, je le sens arracher son chien à son occupation, le soulever et: 

- Oh putain, Iago, arrête de lui renifler le cul et monte-lui dessus, bordel ! Comme ça … et BAISE-LE, nom de dieu !

 

Choqué à la simple idée d'un coït entre son chien et moi, il n'y a qu'un quart d'heure, il est maintenant pressé de voir son chien me saillir ! Tellement pressé que, constatant la maladresse de son chien, il joint le geste à la parole, et il soulève l'animal par son collier pour le mettre en position sur moi ! Alors, le chien, en me retombant dessus, essaie de m'étreindre avec ses pattes avant. Je m'attendais à ce qu'il me saisisse par les hanches, comme les chiens le font quand ils grimpent une chienne, mais celui-ci est tellement grand que ses pattes avant se trouvent presque au niveau de mes omoplates, et il essaie maladroitement de m'agripper par les aisselles. Sa tête à hauteur de la mienne, il halète bruyamment et me donne de vigoureux coups de langue sur la figure, et surtout, il commence à donner de violents coups de reins … il cherche ma … vulve. Ooh, putain, dans un instant, sa bite va être en moi et je vais être sailli par ce chien !

 

C'est la première fois que je m'accouple avec un chien, et je ne sais pas trop comment l'aider. Je me cambre autant que je peux. Je sens son sexe humide frapper mon cul à petits coups et glisser de droite à gauche et de haut en bas entre mes fesses, à la recherche de l'entrée de mon fourreau. Il faut qu'il trouve, il faut qu'il y arrive avant de se décourager ! Je sens des jets brûlants s'étaler sur mes fesses, sur mes cuisses, jusque sur mes mollets … il continue d'éjaculer ! Je sens son sexe se rapprocher peu à peu du centre de sa cible. Putain d'instinct ! Et enfin, il trouve mon anneau, et il s'introduit d'un coup en moi. Ah putain, ça y est ! Ah la laaa, quelle sensation ! Ce vit chaud et dur qui s'enfonce dans mon anus ! Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir. Ça y est, je suis … je suis accouplé avec un chien !

 

J'AI UN SEXE DE CHIEN EN MOI !!!!

 

Oui, le molosse est en train de me saillir ! Et je sens qu'il a commencé à éjaculer dans mon cul. Bien agrippé à moi, il me donne de rapides et violents coups de reins. Si violents mais si brouillons dans son impatience qu'il sort parfois accidentellement de moi, et qu'il doit s'y reprendre à plusieurs fois pour me pénétrer à nouveau. Mais après trois ou quatre échappées de ce genre, il finit par trouver la position adéquat et par doser son mouvement pour me remettre son sexe dans le cul du premier coup. Ces allers et retours fougueux sont très agréables tant j'ai la sensation de me remplir à chaque entrée de son membre et de me vider à chaque sortie… De plus, il me semble qu'il bande de plus en plus fort, que son vit est de plus en plus gros … Ça veut dire qu'il prend du plaisir dans la chaleur de mon cul … Est-ce qu'il va parvenir à me fourrer aussi son bulbe ?

 

- Ah bordel, ça y est, fils, T'ES DEDANS ! Nom de dieu, t'es en train de L'ENCULER ! C'est bien, fils … vas-y, BAISE-LE, BAISE-LE ! Aaaah, puutaiiiiin !

 

Jean-Claude, surexcité, les mâchoires serrées, encourage son molosse. Je le devine posté à côté de nous, un peu en arrière, et dans cette position, il doit vérifier que le sexe de son chien est bel et bien dans mon cul. A son intonation, je le sens non seulement excité par le spectacle, mais heureux pour son chien … heureux qu'il couvre sa première femelle, heureux qu'il y prenne du plaisir, heureux ... Son frère, Into, enchaîné au canapé, couine, geint, tire sur sa chaîne et fait bouger le meuble. Il doit comprendre ce que son frère me fait, et il voudrait participer à la fête… 

 

Progressivement, sur mon dos, Iago s'agite moins frénétiquement. Ooooh, c'est très bien aussi comme ça: ses coups de reins sont moins rapides, moins amples, moins violents, et je sens parfaitement son gros engin, tout chaud, en moi. Il doit continuer à m'inonder les entrailles de sa semence. Il m'insémine, il me féconde ! Comme j'aimerais voir sa bite aller et venir dans mon cul ! J'aurais dû amener mon camescope et demander à Jean-Claude de filmer ça ! Vu sa réaction, je suis sûr que ça lui aurait plu. Et moi, j'adorerais me voir en vidéo, ramené à l'état d'une bête, d'une chienne, couverte, saillie par ce molosse, son sexe d'animal en moi …  

 

Brusquement, je sens le membre du molosse comme … vibrer … dans mon cul. Comme s'il éjaculait maintenant en continu. Ça dure trois, quatre secondes, et tout aussi brusquement, la bête sort son membre de moi, descend de mon dos et se remet à me tourner autour en me donnant de grands coups de langue. C'est déjà fini ? Je m'attendais à un coït rapide, mais à ce point … je suis plutôt déçu … il ne m'a pas rentré son bulbe ! Ah merde ! Mais je sens un liquide chaud s'écouler sur mon périnée … j'ai l'impression que le molosse m'en a quand même mis une bonne dose …

 

- Putain ! Je le crois pas … mon chien t'a … mon chien t'a BAISÉ ! Tu te rends compte ? Tu t'es fait BAISER par mon chien ! Ah la vaaaaache !

 

Les avant-bras croisés à plat sur le sol, je pose mon front dessus et je me balance, cul en l'air, d'avant en arrière. Oh, putain, oui, ÇA Y EST, j'ai franchi le pas ! Je me suis fait couvrir par un chien ! Et je me suis fait INSÉMINER par ce chien ! Je ne me fais pas seulement baiser par des mecs, je me fais aussi baiser par DES CHIENS ! Ah oui, parce que c'est décidé, je recommencerai ! Je ne sais pas comment je vais faire, mais il faut que je trouve le moyen de me faire régulièrement baiser par un chien … par DES chiens ! Jean-Claude, tu vas me voir souvent. Iago est maintenant derrière moi, et il me colle sa truffe dans la raie. Il flaire ma rondelle et me donne deux ou trois coups de langue, comme pour nettoyer sa semence qui s'écoule de moi. Hmmmmm ! Putain, Iago, tu pourras recommencer ! Satisfait, le molosse se couche lourdement à coté de moi et entreprend de se lécher la bite. Je jette un coup d'œil entre mes cuisses, vers Jean-Claude. Quand le molosse s'est retiré de moi, son maître s'est affalé dans le canapé et là, il me regarde sans se rendre compte que, dans la position où je suis, je le vois par en dessous: il est en train de se tripoter, cette fois, la main DANS son pantalon.

- Tu vois que j'avais raison, Jean-Claude … je me suis VRAIMENT fait baiser par ton chien …

- Ah ouais ! Et il t'a … il t'a juté dans le cul ?

- Oui, il m'a VRAIMENT juté dans le cul. Tu vois, que c'était possible … et je peux te dire: c'était vachement bon  … trop rapide, mais vachement bon …

 

Excité par ce qui vient de se passer, les yeux braqués sur mon cul, il continue de se palucher sans se rendre compte que je le vois. Il se marre:

- Putain, j'en reviens pas ! Tu t'es laissé baiser par mon chien ! Et t'as été jusqu'au bout, tu t'es laissé mettre du … du sperme dans le cul ! Putain, j'en reviens pas ! Et … t'as pas peur, avec son sperme, dans ton cul… t'as pas peur qu'il t'aie … que tu …?

 

Je glisse une main jusqu'à mon cul … la vache, il en coule encore, du sperme … je m'enfile deux doigts. 

- Qu'il m'aie quoi ? Qu'il m'aie mise enceinte ?

- C'est vrai, je suis con …

- Ça t'a excité ?

- Quoi ?

- Ça t'a excité, de voir ton chien me baiser ?

- Ben … ouais …

 

Sans le prévenir, je bascule sur le côté, je me retourne et je m'assois en tailleur, face à lui. Surpris, il ôte rapidement sa main de son pantalon. Je lui souris:

- Tu sais, tu peux continuer de te tripoter. Ça ne me gêne pas. Au contraire. 

 

Il hésite. Alors j'insiste:

- Vas-y, je te dis !

- …

 

Il reglisse sa main dans son pantalon. Alors je m'avance vers lui, à quatre pattes. Il me regarde approcher, souriant. Je m'agenouille entre ses pieds. Le chien attaché au pied du canapé se lève et essaie de s'approcher de moi. Mais sa laisse est trop courte. Il couine un peu et s'assoit. Me voilà entre les pieds de Jean-Claude:

- Allez, Jean-Claude, ouvre ta braguette et sors ta queue. Tu ne vas quand même pas te sentir gêné de te masturber devant moi ! Je la connais, ta bite !

 

Il hésite encore. A travers la toile, je devine sa grosse main qui presse sa grosse queue et qui bouge lentement. Je pose doucement mes mains sur sa ceinture, au niveau de sa braguette:

- Laisse-moi faire …

 

Il se raidit contre le dossier de son siège et suspend le mouvement de sa main:

- Qu'est-ce que tu …

- T'inquiète pas. Je te touche pas. J'ouvre seulement ta braguette.

 

Il se détend. C'est bizarre, je le sens tiraillé entre la méfiance et l'envie de soulager l'excitation que lui a procuré ce spectacle. Je défais le bouton, je descends son zip et j'écarte les pans de son pantalon. Oh putain ! Quelle bite ! 

- Oh putain qu'elle est belle !

 

C'est sorti tout seul ! J'ai une furieuse en vie de me pencher et de prendre son gland encore calotté entre mes lèvres. Putain, lui tailler une pipe pendant que son chien me chevauche ! Je me retiens, pas la peine de le braquer. Il se détend, me sourit, et recommence à se masturber lentement. Je regarde sa main aller et venir sur sa longue hampe. L'extrémité de son gland, qui dépasse de son prépuce, est luisant de mouille. Ça n'a plus l'air de le gêner, de se donner du plaisir devant moi. J'ai même l'impression que ça lui plaît, de se tripoter comme ça, juste sous mon nez, en me faisant subir ce véritable supplice de Tantale. 

-  Avec tes chiens et toi, c'est vraiment la maison des grosses bites, ici …

 

Il sourit:

- Alors … c'était bon, avec mon chien ?

 

Je sens que dans sa façon de dire "mon chien", il y a beaucoup de fierté, d'émotion, même … comme s'il parlait de son enfant … d'ailleurs, à plusieurs reprises, il l'a appelé "fils" ! Avec cette question, il veut surtout savoir si son chien a été à la hauteur.

- Oh oui, c'était bon ! Et toi, ça t'a plu, de nous regarder ?

- Ben … oui. J'étais … j'étais content pour … pour lui.

- Ah oui ?

- Oui. C'était la première fois qu'il … qu'il tirait un coup, quoi … alors …

- Oui. Et moi, pour la première fois que je me faisais vraiment saillir par un chien, c'était par ce … par ce monstre … Oh, putain, j'adore ça !

 

Alors que je me retourne pour regarder le monstre, toujours en train de se lécher la bite, Jean-Claude constate:

- T'aimes vraiment ça, alors !

 

Il marque un temps, et:

- Et t'auras envie de recommencer ?

 

Je me trompe, ou il a envie de me voir à nouveau me faire couvrir par son chien ? Toujours à genoux, je m'approche de Iago. Il arrête de se lécher le bout du sexe, maintenant presque entièrement ratatiné dans son étui pénien, et il lève la tête vers moi. Je le caresse. Jean-Claude:

- Hein, dis ! T'aurais envie de recommencer ?

- Recommencer ? Ben … oui !

 

Il y a une espèce de silence pendant que Iago me donne des coups de langue sur les mains, puis:

- Tu veux l'autre ?

- Pardon ?

- Lui, là, Into …tu veux qu'il te baise aussi ?

 

Je me retourne. Il n'est plus vautré au fond du canapé. Il ne se tripote plus, et, penché en avant, il me regarde intensément en caressant la tête de son autre molosse assis à ses pieds:

- Hein ? T'as envie de te faire sauter aussi par celui-là ? Lui, il a envie, c'est sûr ! Hein, fils, que t'as aussi envie de te le faire !

 

La vache ! Il me propose son autre chien ! Je regarde le molosse enchaîné au canapé. Oreilles dressées, il me regarde, comme s'il avait compris ce que son maître me propose, comme s'il attendait ma réponse. Ah mais oui ! Cette première tentative, avec Iago, m'a laissé un goût d'inachevé … comme un dépucelage qui tourne court par précipitation et manque d'expérience … Alors, oui, je vais recommencer avec l'autre, et cette fois, on va essayer de faire mieux. J'ai le regard irrésistiblement attiré par le ventre du dogue. Le bout de son vit, rouge vif et luisant, commence à dépasser de son étui pénien. Il commence à bander ! Ah putain, lui aussi, je vais me le prendre dans le cul ! Jean-Claude, agacé:

- Alors … tu veux qu'il te saute aussi, ou pas ? Pourquoi Iago et pas celui-là ? Y'a pas de raison !

 

Putain ! C'est pas à moi qu'il veut faire plaisir, c'est à son chien ! Et à lui-même, sans doute. Ah oui, c'est ça ! Il a surtout envie de M'OFFRIR, MOI ... à son chien ! Pourquoi, au fond de moi, je trouve ça encore plus … gratifiant ? J'adore que des mecs m'utilisent pour se soulager … et bien là, c'est pareil, Jean-Claude veut se servir de moi pour … soulager son molosse ! Et ça me plaît !

- Mais oui, mec, je veux bien qu'il me saute aussi ! T'as raison … y'a pas de raison !

 

Jean-Claude sourit et tapote le dos de son chien:

- Aaaah, c'est bon, fils ! Tu vas aussi te le faire !

 

Je m'approche d'eux à quatre pattes. Le chien se lève et trépigne. Dès que je suis au contact, il me donne un grand coup de langue sur la figure et s'élance pour me grimper dessus. Je le repousse comme je peux et, pendant qu'il s'agite en me bousculant, je passe une main sous son ventre et je prend son sexe dans la main. Aussitôt, il se calme, et tourne la tête pour regarder ce que je lui fais. Ça lui plaît. Je le masturbe en faisant aller et venir son étui pénien sur son vit. Je lève les yeux sur son maître: 

- Celui-là, Jean-Claude, il faudra l'aider.

- L'aider ? OK, OK ! Mais ... comment ça ?

 

De nouveau, je le sens exalté, impatient, soucieux de bien faire.

- Ben, tu devras l'aider à me rentrer TOUTE SA BITE dans le cul …

- Toute sa bite ? 

- Ouais, t'as pas vu, à la base de la bite de Iago, un renflement ?

- Non … j'ai pas fait attention …

- Un chien, quand sa bite est dans la chienne, bien à fond, normalement, il y a une espèce de truc qui se met à gonfler … dans la vulve de la chienne … ça l'empêche de ressortir tant qu'il a pas fini d'éjaculer. C'est pour ça qu'ils restent collés … T'as rien vu, à la base de la bite de ton chien ?

- Non, j'ai rien vu … il te l'a peut-être rentré … 

- Non, il ne me l'a pas rentré, je l'aurais senti … c'est énorme …

- C'est énorme ? Et … tu veux … tu veux qu'il te rentre un truc énorme dans le cul ? 

- Oui.

- Et tu … tu veux rester collé ?

- Je ne pense pas que nous, on restera vraiment collés. Si un chien et une chienne restent collés, c'est parce que la chienne contracte sa vulve. C'est comme un réflexe qu'elle ne maîtrise pas … mais moi, mon cul ne va pas se contracter … si je veux me débarrasser de la bite de ton chien, je pousse, et elle ressort …

- T'es sûr ? Et si vous restez quand même collés ?

- On verra … mais normalement, quand le chien a fini d'éjaculer, son gros truc se dégonfle tout seul. Voilà, j'attendrai qu'il ait fini d'éjaculer et qu'il débande … 

- Bon, bon, OK !

 

Il est prêt à tout, du moment que son chien me saute. Into, me regarde et continue de me donner des coups de langue. Pendant cet échange avec son maître, je n'ai pas cessé de tripoter la bite du molosse. Il a senti, il a deviné ce qui va se passer ? Je lui caresse la tête:

- Mon gros pépère … t'es un bon chien, toi aussi, et tu vas aussi tirer un coup.

 

Je lui palpe le membre. Maintenant, son sexe dépasse pas mal de son étui pénien. 

 

- Bon, comment on fait ?

 

Tiens, le maître s'impatiente. Il s'est levé, il a remballé sa bite, refermé son pantalon, et il me regarde.  

 

- Iago, viens là ! J'vais l'attacher.

 

Le chien se lève péniblement et rejoint son maître ! J'interviens:

- L'attache pas, Jean-Claude … laisse-le …

- Tu crois ? Il va t'emmerder …

- On verra … tu l'attacheras si il est chiant …

- OK, comme tu veux … Alors, explique ce que je dois faire avec l'autre …

- Ben, quand il aura commencé à me saillir, quand il bandera bien, tu essaieras de le pousser ou de le maintenir dans moi … tu vois ce que je veux dire ?

- Ouais, il me semble …

- Si ça lui plaît, il va bander de plus en plus, et c'est là que son gros … truc … va gonfler … et il faut qu'il gonfle DANS mon cul …

- Compris.

- Allez, détache-le, maintenant.

 

Il lâche son fauve et, tandis que je me remets à quatre pattes, Into fonce et me fourre directement sa truffe dans la raie … C'est sans doute l'odeur de la semence de son frère, mêlée à celle de mon cul qui l'attire … Coups de langue sur mes couilles, mon périnée, ma fleur … et là, ça semble lui plaire particulièrement … moi aussi, d'ailleurs … hhmmm, sa langue, chaude, humide et râpeuse … j'adore ça !

- Allez, fils, grimpe-le !

 

Jean-Claude, visiblement pressé d'assister à un nouvel accouplement plutôt qu'à des préliminaires, a chopé le collier de son chien et le soulève comme il peut pour le faire monter sur moi … Je sens le poitrail du molosse retomber lourdement entre mes omoplates. Il m'enserre de ses pattes antérieures et commence à agiter son bassin à la recherche de ma … vulve … Putain, il a tout de suite compris ce qu'on attend de lui ! Et il est très excité. L'instinct ! Je sens, comme avec son frère, quelques petits jets de sperme sur mes fesses, je sens sa bite tâtonner autour de ma rondelle puis, brusquement, s'y enfoncer d'un seul coup … Je m'attends à ce que, comme son frère, il ressorte dans ses mouvements désordonnés … mais non, il est bel et bien dedans, il s'agite, mais il ne ressort pas … Je baisse la tête et je vois les genoux de Jean-Claude entre les pattes de Into: il est derrière son chien et il le maintient ! Putain, du premier coup ! Je suis encore accouplé à un chien !

 

- Ça y est, mec ! Il est dedans ! Il est dans ton cul, mon chien ! Tu le sens ?

- Hhmmmm oui ! Tiens le bien, hein …

- Ouais. T'inquiète, je le tiens … C'est bien fils ! Vas-y, baise-le ! BAISE-LE !

 

« Il est dedans ! » Je réalise que son nom, Into, en anglais, ça veut dire "dedans" ! Oh oui, il est bel et bien dans moi ! Je sens la bite du molosse qui va et vient fébrilement dans mon cul, et je la sens qui gonfle, comme celle de son frère, tout à l'heure … 

 

- Jean-Claude … si tu peux, aide le à se décalotter … que sa bite sorte entièrement de son étui …

 

Il hésite une seconde, puis je le devine qui s'agenouille à côté de mon cul et je sens sa main m'effleurer les fesses … Il commente:

- Rhôô, la vache !

 

Et puis, oui ! Peu à peu, je sens mon rectum se remplir … comme si je m'étais enfilé un plug gonflable ! Mais ce n'est pas un plug gonflable, c'est LA BITE D'UN CHIEN ! Il ne me donne plus que de rares coups de reins. Je sens cette bite … vivante, chaude … c'est même très chaud … et je le sais, là, il est en train d'éjaculer à petits jets dans mon ventre. J'ose à peine bouger … j'ai peur qu'au moindre mouvement, le sexe du molosse sorte de mon cul avant de m'avoir complètement rempli. Pourtant, je meurs d'envie de vérifier que son sexe est bien gonflé, à l'intérieur de moi … 

 

C'est Jean-Claude qui me renseigne spontanément:

- Ah, putain, ça y est ! Il est … il est … je crois que sa bite est gonflée dans ton cul ! Tu la sens ?

- Oui, oui …

- Aaah, puutaiiiiin !

 

Oui, putain, ça y est ! Je suis sailli … VRAIMENT sailli par un chien ! Il halète en bavant au-dessus de moi, mais ne bouge presque plus, sauf, de temps à autre, un coup de boutoir, comme pour assurer sa prise. Je glisse mes doigts jusqu'à mon anus, et je tâte. Contre ma rondelle, je sens son prépuce poilu … et juste dans mon anus, je sens deux ou trois centimètres de … de verge … au-delà, à l'intérieur, quelque chose d'énorme occupe mon rectum … Je contracte mon sphincter et je bouge un peu … l'énorme chose me dilate légèrement, mais ne sort pas … A ce moment, je me demande si ce serait vraiment suffisant que je pousse pour expulser le chien de mon cul … ou si … ou si nous sommes vraiment collés … Mais je m'abstiens d'essayer de le faire sortir ... il ne pourrait sûrement pas me remettre son knot dans le cul. Et puis, je m'en fous qu'on reste collés. On verra bien ! Pour le moment, j'ai du mal à vraiment réaliser ce qui m'arrive. Pourtant, cet énorme molosse sur mon dos, et cette … cette CHOSE, en moi … ce SEXE … cet énorme ORGANE REPRODUCTEUR qui me remplit l'anus … je suis bel et bien en train de copuler avec un dogue allemand ... de me faire INSÉMINER par un dogue allemand ! Oh putain, c'est dingue ! LE BONHEUR !

 

- Oh merde ! Ça y est, vous êtes collés ! Vous êtes restés collés, bordel !

 

C'est Jean-Claude qui se met à paniquer.

- Non, non … t'inquiète pas … il jouit, il éjacule, mais après, il va débander …

- T'es sûr ?

- Oui, oui …

 

Je ne suis pas sûr à 100%, mais je m'en fous … Et même, curieusement, je réalise que, loin de me paniquer, cette situation me plaît … Finalement, cet accouplement se passe exactement comme si j'étais une chienne ! Je SUIS une chienne, et pour assurer ma fécondation, je retiens en moi le chien qui est en train de me saillir ! Oh, putain, je n'ai jamais été rempli comme ça, même avec mes jouets ! Et là, c'est pas un jouet … c'est un sexe de chien … il est sur moi et je sens sa chaleur, son souffle contre ma figure, ses pattes qui m'enserrent le torse … je sens son odeur … et dans moi, je sens sa chaleur, je le sens bouger, vibrer … il est en train d'éjaculer, de me féconder … d'ailleurs, j'ai l'impression que mon cul déborde, je sens que ça coule sur mon périnée … il devait rester de la semence de son frère en moi … D'un coup, ça me rassure: en me fécondant à son tour, Into me lubrifie … ça glisse dans mon cul, et ça devrait me permettre de l'expulser s'il ne se décollait pas tout seul … Heureusement, même lubrifié comme ça, je sens que son organe ne risque pas de sortir spontanément si je prends la peine de contracter un peu mon sphincter. C'est bien, mon pépère, reste dans moi … profite, finis de m'inséminer, tu débanderas après … on a tout notre temps.

 

Et il n'y a pas que mon cul qui déborde … les doigts toujours à l'entrée de mon anus, je sens que ma propre queue bave sur mon poignet … "bave", le mot est faible … je suis au bord de l'orgasme, et bien que je n'éjacule pas, ça ne peut pas être seulement du fluide pré-éjaculatoire qui coule comme ça … le bulbe du chien doit presser ma prostate et  faire écouler du sperme …

 

Brusquement, le chien lève sa patte droite et essaie de la passer par-dessus mes reins … Il cherche à se retourner comme il le ferait avec une chienne. Jean-Claude s'inquiète encore:

- Pas bouger, Into ! Putain, qu'est-ce qu'il fout ? 

- T'inquiète, il se retourne … c'est normal … ils font ça avec les chiennes …

- Tu crois ?

- Oui, oui … ils restent collés cul contre cul jusqu'à ce qu'ils aient fini.

 

Il n'a jamais vu des chiens baiser ? Je n'en reviens pas qu'un type de la campagne n'ait jamais vu ça ! Le molosse termine sa manœuvre et je sens son vit et son bulbe pivoter en glissant à l'intérieur de mon rectum. Putain, c'est un séisme ! Nous voilà cul à cul. Il est tellement grand du train arrière, par rapport à moi, que ça tire un peu sur sa bite … mais, comme je continue de contracter mon anus pour le garder en moi, il me soulève un peu … 

- Jean-Claude, s'il te plaît, mets-moi un coussin sous les genoux. Ton chien est trop grand pour moi …

 

Il se précipite, enlève un coussin en cuir d'un fauteuil et m'aide à le glisser sous mes genoux. Je pose mes avant bras à plat au sol, et j'appuie mon front dessus.

 

Ah, putain, c'est … c'est bestial ! J'adore cette situation, ces sensations … Je suis accouplée     avec un chien … non, pas seulement un chien … un molosse … un des plus gros chiens qui existent, et j'ai son énorme sexe de bête en moi, et je me sens vraiment … femelle … chienne … heureuse d'avoir donné envie à ce molosse, heureuse qu'il se soit accouplé avec moi … heureuse qu'il soit en train de m'inséminer. Mentalement, je visualise le vit, énorme, du chien en moi: son bulbe, tout gonflé, qui me remplit le rectum et, plus loin, à l'intérieur de mon cul, sa verge, énorme, qui décharge sa semence dans la tiédeur humide de mes entrailles ! Je me sens pleine, comblée au sens physique. J'hésite à me masturber, tellement je suis excitée. Je ne veux pas que le désir retombe. Je me demande si le chien jouit autant que moi de la situation … je voudrais lui donner tout le plaisir possible … 

 

- La vache, c'est énorme ! Rhôôô, putain !

 

Jean-Claude est au-dessus de nous … au niveau de notre coït … et je sens qu'il est en train de soulever la queue de son chien pour regarder …

 

- Ça te fait pas mal ? Putain, c'est vrailment ÉNORME !

 

Je me contente de secouer la tête de droite à gauche: non, ça ne me fais pas mal … Je savoure littéralement la situation. Je n'ai jamais rien ressenti de tel. Ça n'a rien à voir avec un accouplement avec un homme … ni avec deux hommes. C'est … c'est bestial, il n'y a pas d'autre mot. Je ne suis plus que ce rectum, dilaté, plein … entièrement rempli par le sexe, énorme, d'un animal … d'un chien … un sexe qui baigne dans le flot du sperme chaud qu'il est en train d'éjaculer … et ce sexe, je le retiens en moi, comme une chienne … Vas-y, mon gros pépère, jouis, remplis moi, féconde-moi ! Nous restons comme ça de longues minutes, moi avec le cul en l'air ... J'essaie de contracter mon sphincter pour bien sentir ce qui l'occupe. J'ai un peu de mal au début, tellement il m'a dilaté la rondelle. Mais avec un peu de persévérance, je finis par y arriver. Je me demande ce que fait Jean-Claude … il doit sans doute se masturber en nous matant, comme tout à l'heure, avec Iago. Je n'étais pas venu pour ça, mais aujourd'hui, je me serais fait couvrir, saillir, baiser et féconder par ses deux chiens … ses deux gros chiens … Et si je m'en achetais un … avoir un bestiau comme ça à la maison , ce serait mieux que tous les godemichés du monde … ou alors, il faudrait que j'arrive à convaincre Jean-Claude de m'offrir à ses molosses de temps en temps …

 

Subitement, Into s'agite … il se met à danser d'une patte sur l'autre … dans mon rectum, je sens l'énorme présence bouger … se dégonfler ? Into a joui … Into a éjaculé … Into débande ? En tout cas, il veut sortir de mon cul … il tire sur son organe … je le sens qui glisse doucement hors de moi .. je résiste un peu en contractant mon anus, puis je le relâche et Into s'extrait complètement en forçant légèrement le passage … Ma rondelle est toute dilatée, ouverte … et je reste là, le cul en l'air … Le molosse, comme son frère tout à l'heure, se laisse tomber sur le flanc à quelques pas de moi, et se met à se lécher la bite. Je suis comblé d'avoir vécu cet accouplement, mais ce n'est qu'une satisfaction cérébrale, je ne suis pas assouvi …

 

- Bouge pas !

 

Ça vient de derrière moi. L'ordre me rappelle à la réalité de l'instant présent. Et l'instant présent, c'est Jean-Claude qui s'agenouille derrière moi ! Mais … qu'est-ce qu'il fout ? J'ai déjà une de ses mains sur mes reins ! Il va me baiser ? Oh que non, je ne bouge pas ! Il va peut-être seulement de nouveau se frotter la bite dans ma raie. Le spectacle de son chien, collé à moi, en train de me baiser a dû finir de l'exciter … En tout cas plus que de voir des mecs me fourrer à la chaîne … Il ne serait pas jaloux de ses "fils" ? Tant mieux, ça me plaît … il doit avoir besoin de se soulager après s'être bien tripoté. J'aimerais bien qu'il me baise vraiment, comme ses chiens, mais coincé comme il est, faut pas rêver … Tiens, il ne plaque pas sa bite dans ma raie … il pose son gland directement contre mon œillet, comme dans son atelier, l'autre jour !!! Il doit déjà être au bord de l'orgasme, et il va éjaculer juste à l'entrée de mon anus …

 

Et d'un seul coup, il entre en moi ! Complètement ! Son ventre vient taper contre mes fesses … il est dedans ! Il est au fond ! Putain, il me baise ! J'en ai le souffle coupé … je halète … Il commence à aller et venir … Je ne sais pas ce qui m'étonne le plus: qu'il me prenne vraiment pour la première fois, ou qu'il fourre sa queue dans mon cul plein du foutre de ses chiens ... parce que, aux bruits que ça fait, ça doit dégouliner à flots ! A la façon dont il va et vient, à la crispation de ses mains sur mes hanches, à son souffle saccadé, je suis sûr qu'il va jouir vite fait … Je passe une main derrière moi pour lui caresser la cuisse … il a seulement baissé son pantalon ..

- Ah, oui, Jean-Claude, baise- moi !

- Ta gueule !

 

Et en effet, ça va très vite … il se met à grogner entre ses dents serrées … comme un long cri rentré … il me saisit aux aines et me fout de courts mais violents coups de bite … hon … hon … hon … hon … hon … hon … il jouit en haletant. Puis  il s'appuie du ventre contre mes fesses, s'immobilise, et pousse en avant, comme pour me faire allonger sur le ventre. Je me laisse faire et je m'écroule sur le tapis, son énorme poids sur mes reins et mon dos … Il respire bruyamment, le visage contre ma nuque … son ventre presse mes reins au rythme de son souffle … Oh, putain, j'ai sa grosse bite dans mon cul … et du sperme ... son sperme plein le ventre … Après les chiens, le maître ! Je n'en reviens pas … Oh oui, reste en moi … je sens cette présence dans mon cul … Longuement, il reprend son souffle …

 

Et soudain, il se décolle de moi. Sa queue glisse hors de mon cul dans un bruit mouillé, entraînant un flot de sperme sur mon périnée et mes couilles. Je reste allongé, la joue sur le tapis, cuisses écartées … Il m'a baisé ! Les trois mâles de la maison m'ont baisé … l'un après l'autre ! Une idée folle explose dans mon esprit: et si je venais vivre ici ! Me mettre à la disposition du maître et de ses chiens pour qu'ils me baisent … sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt quatre ! Il n'y a pas de femme dans cette maison, alors je pourrais leur faire le ménage, la cuisine et tout le reste … Bon, pas la peine de fantasmer, ça m'étonnerait que Jean-Claude accepte ça.

 

Bien qu'il ait une si grosse bite, je n'ai pas senti grand chose avec ma rondelle distendue comme elle l'était … Ce qui compte, c'est qu'il ait fini par y venir … Maintenant, je suis sûr qu'il recommencera … Les deux chiens tournent autour de moi, me reniflent, et je ne tarde pas à sentir de nouveau une truffe mouillée entre mes fesses … puis une grosse langue me lèche … je me cambre et je me laisse faire … Puis ils se couchent, un à côté de moi et l'autre à ma tête. Ma bite commence à être douloureuse dans les poils de ce tapis. Je me retourne et je m'appuie sur un coude. Sous ma cuisse, je sens une flaque de bouillie visqueuse et froide. Jean Claude est vautré dans le canapé, un verre de whisky à moitié plein à la main. Il a remis son pantalon et il me regarde. Je lui souris:

- Tu m'as baisé …

- Dis rien … ça vaudra mieux …

- Oui, mais tu m'as baisé …

 

Je retombe sur le dos et, face à lui, je me masturbe. Cambré, la tête rejetée en arrière, je revis en flashes tout ce qui vient de m'arriver … Alors ça va très très vite … je jouis sur mon ventre en haletant … Quand j'ai fini de reprendre mon souffle, je m'assois. Il me regarde toujours. Je me mets à quatre pattes et je m'approche de lui. Je me redresse, et je m'avance entre ses genoux. Il se recule tout au fond du canapé et tente de serrer les jambes, comme pour se protéger: 

- Qu'est-ce tu …

 

Trop tard, j'y suis. Je caresse l'intérieur de ses cuisses … sa queue est là, allongée dans la jambière de son pantalon. Sous la toile, je sens la longue bosse de son sexe, pas encore complètement dégonflé. Je me penche et je pose mes lèvres dessus. 

- Hhhmmmmmm, j'aime ta queue …

 

De sa main libre, il tente de repousser ma tête … mais sans conviction … Je pose des baisers sur le tissu, tout le long de sa hampe. Puis je me redresse et, tout en le tripotant machinalement:

- J'aime ta grosse queue … tu me baiseras encore, hein …

- Je … je sais pas …

- Si. Tu me baiseras encore … tu as franchi le pas, maintenant … c'était bien, non ? Tu me baiseras encore …

- On … on verra …

- Oui. Là, j'ai envie de te sucer … Laisse moi te sucer. 

 

J'entreprends de déboutonner son pantalon. Il se laisse faire. J'écarte les deux pans et je plonge ma main dans sa jambière. Son membre est là, sous mes doigts … Oh la la ! Délicatement, je  commence à le sortir. Il s'est recalotté. J'extrais aussi ses couilles de son pantalon. HHmmmm ! Cette fois, je l'ai eue en moi, cette queue énorme ! Je me penche et je pose des baisers tout au long de sa bite, puis sur ses couilles. Ça le fait rire. Son sexe sent le sperme. Je fais glisser mes lèvres sur sa verge, jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche. Je fais tourner ma langue autour de son gland, puis la joue posée sur sa cuisse, je reste comme ça, immobile, avec cette chose, cette merveille dans ma bouche.

 

- Tu l'as fait ! J'en reviens pas. Tu t'es fait BAISER par mes chiens !

 

Je sors son sexe de ma bouche et, tout en le caressant du bout des doigts, je le regarde:

- Oui. Tu vois, c'était possible … Et toi aussi, tu m'as baisé.

 

Il hoche la tête:

- Ouais. Ça aussi, j'en reviens pas.

- Et ça t'a plu …

- …

- J'aimerais bien revenir de temps en temps chez toi … pour que vous me baisiez encore, tous les trois, toi et tes chiens.

- Non, non … je …

- Quoi ! Tu as dit "on verra".

- Oui, mais … j'ai dit ça comme ça ... 

- Alors seulement tes chiens.

 

Il me dévisage:

- Aaaaah, ça y est, j'ai compris ! C'est pour ça que, tout à l'heure, tu m'as proposé de venir t'occuper d'eux au cas où je partirais quelques jours … C'est ça, hein ? C'était pour venir te faire sauter … 

 

Je me contente de sourire. Inutile d'en dire plus, il a compris et il secoue la tête:

- Putain, t'en as jamais assez ! Bon, et puis écoute … tu vas devoir y aller. Moi, je dois descendre en ville. Il faut que je récupère une pièce pour mon semoir avant que ça ferme.

 

Il est soulagé, il a tiré son coup et il me vire:

- Ça va, j'ai compris. Tu me laisses quand même le temps de repasser par la salle de bain ?

- Ben ouais. Mais n'oublie pas ta lingerie, cette fois.

 

Je me relève en m'appuyant sur ses cuisses. Les deux chiens lèvent la tête et me regardent me diriger vers l'escalier. 

 

Quand je redescends, rhabillé, Jean-Claude m'attend à côté de sa porte d'entrée. On ne peut pas être plus clair, il est pressé que je me barre. Il ouvre pour me laisser passer. Into et Iago sont dans la cour et m'ignorent royalement. Eux aussi ont tiré leur coup, et je ne les intéresse plus. Je tends la main à Jean-Claude:

- Tu m'appelleras ?

- Pour quoi faire ?

- Si tu changes d'avis …

- Ah, ouais. On verra …

- Bon, salut.

- Salut.

 

Pendant que je manœuvre pour sortir de sa cour, je le vois qui se dirige vers son pick-up, garé sous le hangar, ses chiens sautant autour de lui.

 

Tout le long du chemin jusque chez moi, j'ai l'impression d'avoir encore cette présence énorme dans mon rectum, et je sens le cocktail tiède des semences des trois mâles de cette ferme s'écouler peu à peu au fond de mon pantalon.

 

ÇA M'EST ARRIVÉ ! ÇA M'EST ARRIVÉ ! 


JE ME SUIS FAIT BAISER PAR DES CHIENS !!!

 

Pour lire la suite, cliquer ici: Jacky et compagnie

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 6 mars 2017 1 06 /03 /Mars /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

Vendredi 20 octobre

- Allo ? Salut, c'est Jean-Claude. 

- Ah oui. Salut. Ça va ?

- Ouais, ça va. Tu m'as laissé un message. Qu'est-ce que tu veux ?

- L'autre jour … le jour de la tournante chez toi, j'ai oublié des affaires dans ta salle de bain, je crois, et je voudrais les récupérer.

- Ah oui, je les ai trouvées. 

- Je peux venir les chercher quand ?

- Euuuuh, je sais pas, j'ai pas mal de boulot en ce moment …

- Dis moi …

- Un soir … ou, non, plutôt la semaine prochaine. Pas avant … mercredi. J'aurai fini. Mercredi, début d'après-midi.

- Ça marche.


Yessss ! Ah, putain, ça me travaillait tellement, il fallait que j'y arrive. Bien sûr, après mon gang bang géant chez lui, je me suis encore fait passer dessus par plusieurs types en même temps. Il y a déjà eu mes cinq paumés de L.F., puis la séance avec Denis, Nadir, Dominique et Yann avec, en intermède, quatre types dans le troquet de Jeannot et pour finir Jacky et ses potes à la maison. Me faire baiser à la chaîne, c'est … waouuuuuhhh ! Mais quand même, lui, lui tout seul ! Oui, lui, Jean-Claude, Jean-Claude et sa grosse bite, Jean-Claude qui ne m'a pas encore vraiment baisé, Jean-Claude qui s'est contenté de se frotter la queue entre mes fesses et de m'introduire son gland dans l'anus, avant de m'éjaculer contre la rondelle le jour de mon gang bang ! Oh, je l'ai bien senti, une fois son énorme gland juste un peu rentré dans mon sphincter, il a été à deux doigts de m'enfoncer complètement sa grosse queue dans le cul. Mais il s'est retenu. Et c'est devenu quasiment obsessionnel: il FAUT qu'il me baise, il FAUT qu'il me fourre VRAIMENT son énorme queue, il FAUT qu'il me vide le contenu de ses énormes couilles dans le ventre ! Comme si je n'arrivais pas à "digérer" cet échec, comme si Jean-Claude était une sorte de trophée qui manque à mon tableau de chasse et que ceux qui ont suivi, pourtant nombreux, n'arrivent pas à compenser. La quantité ne remplace pas la qualité. A cause de lui, je ressens une sorte de manque, de frustration qui m'empêche d'atteindre une certaine plénitude de la tête. 

 

Alors il fallait absolument que je le revoie en tête à tête. Après avoir longtemps tergiversé, craignant de me voir opposer un refus et même un rejet, une rupture définitifs, je me suis enfin décidé à l'appeler. Il était absent et je m'étais contenté de laisser un message sur son répondeur. J'ai bien compris que, tant qu'il y aurait un témoin, il refuserait de vraiment me baiser. Se frotter, se branler, m'éjaculer dessus, même en public, ça va ! Comme ça, il reste un vrai mec, mais me pénétrer, ça pour lui, ce serait devenir pédé. Seul à seul, il n'y aurait que nous deux pour savoir, et vu que, quand même, je l'excite, il pourrait bien finir par céder. Alors, je sais bien, c'est pas encore fait ! Il a seulement accepté que je vienne chez lui récupérer mes affaires. De là à réussir à le convaincre de me fourrer … Mais ça fait rien, c'est un premier pas. J'ai le cœur qui bat à l'idée de me retrouver en sa présence. 


J'ai bien fait d'oublier mon porte-jarretelles, mes bas et ma minijupe dans sa salle de bain. Je me demande si ça ne serait pas un oubli inconsciemment "volontaire". Là, mercredi, je vais devoir la jouer finement pour ne pas le braquer.


Mercredi 25 octobre. 14 heures.

Dans l'idée que je vais peut-être parvenir à mes fins, avec mon fermier, je me suis soigneusement préparé, comme pour tous mes rendez-vous de cul: douche, lavements, rasage, etc. Sauf que, au lieu de m'habiller en salope, aujourd'hui, je suis en mec. Je ne veux pas l'inquiéter dès mon arrivée. Il va falloir y aller en douceur. Dès que je monte en voiture, j'ai le cœur qui bat et je me sens nerveux. Et tout au long de la route, je rêvasse à ce gros engin poilu qu'il a entre les cuisses ! Ce type a vraiment tous les attributs du mâle viril, de l'étalon, du reproducteur, et ce qu'il y a de femelle en moi réclame cet accouplement comme une nécessité impérieuse. Je suis prêt à me faire fourrer par toutes les bites de la terre, alors pourquoi je ne pourrais pas avoir celle-ci ?


Quand j'arrive devant la ferme, le portail est ouvert. J'entre et je me gare comme l'autre jour, devant la maison. Aussitôt, les gueules énormes des molosses apparaissent à ma portière. Il me regardent en aboyant et je me demande ce qu'ils ont en tête. Le jour de ma tournante, ils m'avaient fait la fête, et même plus que ça, puisque l'un d'eux avait nettement manifesté son "intérêt" pour mon cul, et avait même commencé à me saillir, debout contre une table ! Mais là, en l'absence de leur maître, je me demande comment ils peuvent réagir. J'hésite à descendre. Alors, je klaxonne. Pas de réaction. J'insiste. Toujours pas de Jean-Claude. Pourtant, il devrait être là, puisque le portail est ouvert. Les deux dogues ont arrêté d'aboyer, se sont assis à côté de ma portière, et ils me regardent, la tête un peu penchée et les oreilles dressées, avec l'air de me dire « Qu'est-ce que tu attends ? Descends ! ». C'est pour me faire la fête, ou pour me bouffer ? 

 

Iago.jpg


Doucement, j'abaisse un peu ma vitre. Aussitôt, ils se lèvent et viennent fourrer leur truffe dans le petit espace entre la vitre et le montant de la portière. Nom de dieu, quels bestiaux, ces dogues allemands ! J'approche mes doigts.  L'un d'eux les renifle et leur donne un grand coup de langue. Pas si méchant que ça, finalement. L'autre se contente de poser sa truffe sur mes doigts et de les renifler, avant de retourner s'asseoir à deux pas de la voiture. Celui-là, assis comme ça, je ne peux pas m'empêcher de remarquer son sexe qui palpite sous son ventre au rythme de son halètement. Il a beau être caché dans son étui poilu, je me rends bien compte qu'il est énorme. Oh putain, quand je pense que j'ai été à deux doigts de me faire saillir par ÇA ! Un frisson m'électrise la rondelle. Il n'y a pas à dire, lui aussi, c'est un mâle, un étalon et il me fait le même effet que son maîte ... j'ai envie qu'il me monte !

L'autre molosse est resté assis à côté de ma portière. J'abaisse un peu plus ma vitre et je passe la main. Il se lève et me donne de nouveaux coups de langue. Il remue la queue. On dirait qu'il réclame des caresses. C'est peut-être lui qui m'a léché la rondelle pleine de sperme, l'autre jour, et qui avait commencé à me prendre en levrette, avant que son maître ne vienne couper court à ce début de coït. Alors ça doit être Iago. Il a dû me reconnaître ! Hhmmm, la sensation de son gros vit, chaud et humide, dans ma rondelle enflammée me revient en mémoire. Ça m'électrise l'anus et la prostate. Brave bête ! Si ça se trouve il se souvient aussi de ce qui s'est passé, ce jour-là. Je voudrais bien savoir ce qu'il a dans la tête, là, tout de suite. Il doit se dire que la femelle qu'il avait entrepris de saillir l'autre jour est de retour et que, cette fois, il va pouvoir lui faire une portée. Ah putain, oui, ça me plairait, le chien, que tu me fasses une portée. Ou qu'au moins, on fasse comme si ... Des scène de bestialité torrides assaillent mon esprit. 


J'ai toujours rêvé de me faire saillir par un chien, avant même que je me décide à le faire avec des mecs. Déjà, adolescent, j'avais failli le faire avec mon chien. Ah, mon chien ! Souvent, il s'accrochait à ma jambe et il s'excitait. Un jour, alors que je faisais je ne sais quoi, à genoux ou accroupi dans le garage, chez mes parents, il m'avait grimpé dessus, et il avait cherché à me saillir ! Surpris, choqué, même, je l'avais chassé. Mais ça m'avait profondément marqué, étonné … et beaucoup troublé. Alors, à plusieurs reprises, j'avais voulu voir s'il recommencerait. Je me mettais à quatre pattes dans le garage, tout habillé, et j'attendais. A chaque fois, il venait, il me reniflait et il essayait de me grimper. J'avais tenté ça à plusieurs reprises, sans oser aller plus loin. Mais ça me trottait constamment dans la tête. Mon chien pouvait avoir envie de s'accoupler avec moi ? Est-ce que c'était physiquement possible ? Est-ce que ce serait agréable ou est-ce que ça me ferait mal ?


Et puis j'avais fini par me décider, j'allais offrir mon cul à mon chien, m'offrir à lui ! Un jour, assuré d'être seul avec lui à la maison pour un bon bout de temps, j'avais enlevé mon short et mon slip et je m'étais mis à quatre pattes au milieu du garage. De nouveau, il était venu, il m'avait reniflé le cul, me l'avait léché deux ou trois fois (oh la la , quelle sensation !), et il m'avait grimpé dessus. J'ai encore le souvenir très net du contact de son sexe chaud et humide contre mes fesses. Il cherchait mon œillet pour me pénétrer, mais il ne le trouvait pas. Je le sentais très "content" de ce qui se passait: il bandait comme s'il avait vraiment eu à faire à une chienne en chaleurs ! Il me cramponnait fermement, les pattes avant passées dans l'angle de mes aines et, en essayant furieusement de s'introduire en moi, il me labourait les cuisses. Mais peu importe ! J'avais très envie de l'aider, mais je n'osais pas. En fait, j'avais peur d'un truc idiot. Quelques mois auparavant, je l'avais vu couvrir une chienne dans la rue, et ils étaient restés collés cul à cul pendant de longues minutes. Au bout d'un moment, j'avais pu voir sortir sa queue énorme, toute gonflée, turgescente, violacée. Alors, dans ce garage, j'avais peur que, s'il me pénétrait, nous restions aussi collés, jusqu'à ce que quelqu'un nous surprenne. J'avais donc mis fin à l'expérience. Ce jour-là, mon chien était resté frustré. Et moi aussi. Je n'avais pas renouvelé l'expérience et j'ai longtemps eu honte de moi. 


Plus maintenant, et rétrospectivement, quel bonheur ça aurait été de me faire prendre par mon chien ! Outre le contact de son vit mouillé sur mes fesses, il m'est resté le souvenir très intense d'une sensation extrêmement forte, celle d'être ainsi, à quatre pattes, cambré, cuisses écartées, offert, abandonné à l'étreinte de mon chien. Depuis cette époque, au plus profond de moi, est restée ancrée cette envie de me faire couvrir, de me faire saillir, vraiment, par un mâle …  n'importe quel mâle, d'ailleurs, homme ou animal ... Oui, et il y a bien longtemps que pour moi, les relations sexuelles inter-espèces n'ont plus rien de scandaleux, en particulier dans ce sens, c'est-à-dire quand un être humain, femme ou homme, se fait saillir par un animal. Je suis convaincu qu'on ne peut pas contraindre un mâle (chien, cheval ou autre) à une relation sexuelle avec un être humain si l'animal n'en a pas envie: s'il bande et s'il pénètre un homme ou une femme, c'est nécessairement parce qu'il en a envie, qu'il le désire ou la désire. Pour moi, la bestialité n'est plus un tabou, et si je ne suis pas encore passé à l'acte, c'est seulement faute d'en avoir eu l'occasion.


Tout ça, qui me revient en tête, ainsi que les coups de langue du molosse sur ma main … hhmmmm ! Je finis de descendre ma vitre, j'avance prudemment la main et je la pose sur sa tête. Il est content. Plus ça va, plus je suis convaincu que c'est lui qui m'a pris pour une chienne, l'autre jour. Allez, je descends. On verra bien. Doucement, j'ouvre ma portière. Il se précipite dans l'entrebâillement et il vient me faire la fête. Sous les assauts de ce molosse, j'ai bien du mal à m'extraire de la voiture. Son frère se lève et vient aussi me saluer, mais plus calmement, avant de s'éloigner de nouveau et de se coucher. Iago, lui, me fourre sa truffe contre l'entrejambe. Voilà, il a fini de m'identifier, et il se met à sauter de plus belle, à se dresser contre moi pour me donner des coups de langue sur la figure et sur les mains. Plus ça va, plus je suis convaincu qu'avec sa truffe, il a définitivement reconnu en moi la femelle qu'il avait commencé à saillir. Putain, le monstre ! Il est aussi grand que moi … non, il est PLUS grand que moi ! Sous son poids, je me retrouve plaqué contre la voiture. Il a posé ses deux pattes antérieures sur l'angle que font les portières avec le toit, il me coince littéralement et il me donne des grands coups de langue. Oui, c'est sûr, maintenant, il m'a reconnu: 

- Doucement ! Oui, bon chien ! Tu m'as reconnu, hein … Oui, c'est moi que t'as commencé à baiser l'autre jour … Doucement ! Tu voudrais bien recommencer, hein … Moi aussi, j'ai envie que tu recommences. Doucement, doucement ! Et surtout, j'ai envie que tu finisses, cette fois. Ça te plaitait, de me faire des petits ?


Oh, putain, le bestiau ! Collé comme ça contre moi, avec son énorme tête massive, j'ai l'impression d'être dans les bras d'un mec. Quelle puissance ! Et cette odeur animale qui accentue en moi l'envie qu'il me prenne, qu'il me féconde ! Comme par réflexe, j'ai passé une main sous son ventre et je lui ai effleuré le sexe. Ah, quel morceau ! Au bout de son étui poilu, je sens dépasser quelque chose … c'est lisse … c'est nu, c'est chaud et c'est humide. Il commence à bander et à mouiller ! Oh putain, Iago, tu bandes pour moi ? Moi aussi, j'ai envie que tu me la mettes, ta bite, dans le cul ! J'ai envie que tu me baises !

Tout en commençant à fantasmer des scènes d'accouplement avec ce molosse, je me rappelle la réaction de son maître quand il a deviné qu'il avait commencé à se passer quelque chose avec son chien … pas content du tout, le Jean-Claude ! Comment je pourrais faire pour arriver à mes fins avec ce dogue, comment je pourrais manœuvrer pour qu'il me saillisse sans que son maître le sache ? Lui proposer de venir m'occuper de ses chiens, si un jour il décide de partir quelques jours en vacances ? Ou venir en douce pendant qu'il travaille dans ses champs ? D'un seul coup, le dogue arrête de me lécher la figure et redescend ses pattes au sol. C'est fini ? Ah non, aussitôt, il se dresse à demi et cherche à m'entourer la cuisse de ses pattes. Il n'y a pas de doute, il me prend pour une chienne … ou il me prend pour un mec qu'il a envie de saillir. Vas-y, le chien, chauffe-toi ! Ça ne me déplaît pas de le laisser s'exciter comme ça, d'entretenir son envie de me saillir … ça ne conduira peut-être à rien, mais sait-on jamais …


D'un seul coup, j'entends un bruit de moteur, et la masse du tracteur bleu s'encadre dans le portail d'entrée. Iago me lâche la cuisse et, me jetant un regard où je lis comme un regret, il rejoint son frère qui se précipite pour aller tourner autour de l'engin que leur maître est en train de ranger sous le hangar. Une fois garé, Jean-Claude descend de son tracteur et approche, ses chiens à ses cotés. Il porte un pantalon de travail en grosse toile verte et une chemise assortie. C'est une tenue de travail, mais pas aussi … rustique que la cote dans laquelle j'avais fait sa connaissance. Je ne peux pas m'empêcher de poser les yeux sur son bas ventre. Là, sous cette toile … il y a sa BITE ! Sa grosse BITE et sa grosse paire de couilles ! Il me tend la main:

- Salut.

- Salut. Je me suis permis d'entrer.

- Ouais, t'as bien fait. Les chiens t'ont pas emmerdé ?

- Non, ils m'ont fait la fête.

- Ouais, ils te reconnaissent, je pense. 

 

Les deux bestiaux sont de nouveau en train de me renifler l'entrejambe. 

- Ça va les chiens ! Excuses-les, hein. C'est comme ça qu'ils font connaissance.

- Oui, je sais. Ça me gêne pas. Dis donc, c'est des clones, tellement ils se ressemblent. Comme ça, je n'arrive pas à les distinguer.

 

Je préfère ne pas lui dire que je pense avoir reconnu Iago. Il sourit:

- C'est normal, ils sont frères, et de la même portée. Moi aussi, au début, j'avais du mal à les reconnaître.

- Ils ont quel âge ?

- Un an et demi … un peu plus …

- Ah bon ? Ils sont énormes. C'est leur taille adulte ?

- A peu près. Ils peuvent grandir encore un peu, mais le plus gros est fait. Ouais, c'est vrai que, même pour cette race, ils sont plus grands que la moyenne. Mais tu sais, il y en a des beaucoup plus gros qu'eux … comme des poneys !

- C'est des dogues ?

- Ouais, des dogues allemands. On dit aussi des danois.

- Ils sont vraiment beaux et impressionnants.

- Ouais. Ils ont un pedigree, tu sais … Ils m'ont coûté un paquet … mais je regrette pas, c'est des bonnes bêtes …

 

Les deux monstres continuent de nous faire la fête. Iago, en particulier, ne me lâche pas, et me tourne autour en me reniflant de la tête aux pieds … mais quand même beaucoup du côté de mon bas ventre et de mon cul. Je m'étonne:

- Tu laisses ton portail ouvert ? Tu n'as pas peur qu'ils se sauvent ou qu'on te les pique ?

- Certains jours, je sors et je rentre par là cinq ou six fois, alors, mon portail, je ne peux pas passer mon temps à l'ouvrir et à le refermer. C'est pour ça que je leur mettais des colliers anti-fugue. Si ils cherchaient à passer le portail ou la barrière au bout de la cour, ils prennaient une décharge. Maintenant, ils le savent et ils n'essaient plus, même sans collier. Me les piquer ? Si tu les connaissais pas, t'essaierais de me les piquer ?

- Non. T'as raison. Mais … qu'est-ce que tu fais d'eux, quand tu pars en vacances ? Tu les emmène ?

- Ha ha ha ! Je ne pars jamais en vacances …

- Ah bon ? Même pas un jour ou deux de temps en temps ?

- Non. Je pourrais, tu me diras. Surtout l'hiver. Mais j'ai pas envie. 

- Ben .. si un jour tu te décidais pour aller faire du ski, ou autre chose, tu me le dis, je viens m'en occuper …

- C'est gentil, mais … non. Bon, entre, je vais te donner tes affaires.


Il faut laisser l'idée faire son chemin. Sait-on jamais … Je le suis dans la maison. 

 

- Attends-moi là, je reviens.


Il disparaît par une porte vitrée. Sans y avoir été invité, je m'enfonce dans un des fauteuils de cuir. Pas question que je récupère mes affaires et que je file aussitôt. Comme ça, je le mets devant le fait accompli et il ne pourra pas me congédier immédiatement. Les deux chiens se couchent à mes pieds. Jean-Claude reparaît, ma lingerie et ma mini jupe à la main. Visiblement, il est contrarié de me trouver vautré dans son fauteuil. Il devait s'attendre à ce que je reparte tout de suite. Mais il n'en est pas question, il faut que je tente ma chance. Il me tend mes affaires:

- Je les ai lavés. Je vais te chercher un sac.

- Fallait pas t'embêter. Merci. Ne cherche pas de sac, c'est bon comme ça.

 

Il se dandine d'un pied sur l'autre, hésite, et finit par faire preuve de politesse:

- Bon. Tu bois quelque chose ?

- Pourquoi pas.

- Café, bière, whisky ?

- Café … ou … non, plutôt whisky.


 Un peu d'alcool, ça va m'aider pour ce que je suis venu faire. Jean-Claude me tend mes affaires et sort une bouteille d'un buffet et deux verres qu'il remplit avant de s'asseoir face à moi sur le canapé. Il lève son verre:

- Santé. Alors, quoi de neuf ? 

- Santé. Bah, pas grand chose.

 

Un silence gêné, puis:

- Tu t'es encore fait … chauffer par des mecs ?

- Hemm, non … pas depuis l'autre jour.

 

Mensonge. Mais inutile de lui raconter la moindre chose de ce qui m'est arrivé depuis la tournante chez lui. Jean-Claude, un petit sourire moqueur sur les lèvres:

- Tu dois être en manque, alors.

 

Ah, Jean-Claude, tu fais bien de te foutre de moi, parce que, comme ça, tu me fournis un prétexte pour entrer dans le vif du sujet.

- Tu ne crois pas si bien dire.

- Ah bon ? Mais, après cette … séance, ici, ça ne t'a pas … je sais pas … ça t'a pas calmé ? Ça a dû te satisfaire pour un moment, quand même, tous ces mecs ...

- Oh, oui, ça, c'était bien …


Je m'apprête à lui expliquer pourquoi ça ne suffit pas, mais à ma grande surprise, il me coupe la parole:

- Ecoute, tu sais, je voulais te dire … je n'en suis toujours pas revenu, que tu te fasses … heemmm …

 

 Il hésite, gêné. Je l'aide:

- … que je me fasse … enculer ?

- Oui, que tu te fasses enculer comme ça, à la chaîne, par autant de mecs. Franchement, jusqu'à ce que je le vois, j'y croyais pas. Déjà, le matin, je me suis dit que t'allais pas venir. Après, quand j'ai vu que t'étais là, j'ai pensé que tu allais seulement … je sais pas … te faire … enculer par un mec ou deux, devant les autres … tu vois, pour leur faire du spectacle, pour les exciter, et éventuellement après, branler les autres … mais, quand je suis arrivé, tu t'étais déjà fait … enculer par je sais pas combien de mecs, et ça a continué comme ça toute la journée !


A son regard, je me rends compte qu'il revit cette journée en pensée. Il attend une explication.

- Tu crois que j'aurais pu faire venir tous ces mecs en leur disant "venez, vous allez pouvoir m'enculer et tirer un coup", les exciter en me faisant baiser par un ou deux, et après, dire aux autres "pas touche, les mecs, maintenant vous allez vous palucher et, éventuellement, je veux bien vous branler, mais pas plus" ? Ils m'auraient tué ! Et de toute façon, j'en avais envie, de me faire passer dessus par tous ces mecs.

- Combien … tu t'es fait … enculer combien de fois ?

- Je ne sais même pas.

- Moi, j'ai essayé de compter en gros. A table, quand Philippe a compté, à part Alexis et moi, tous les autres ont dit qu'ils t'avaient déjà enculé.

- Oui. C'est probable.

- Et on était vingt-neuf, à table ! Alors, sans Alexis et moi, ça fait déjà vingt sept qui t'avaient baisé, rien que le matin ! Ça m'étonne, d'ailleurs, vingt-sept. Bon, OK, je t'ai vu te faire baiser sur la pelouse, quand je suis arrivé … et après sur le bar …  mais c'est tout. Alors, je dirais moins que ça, le matin.

- Oui, mais il y en a plusieurs qui m'ont chopé dans ta salle de bain quand je suis venu me laver, la première fois.

- Ah bon ? Je savais pas.

- Oui. Et après, d'autres dans l'écurie … encore  trois ou quatre, je crois.

- Ah, OK ! Alors comme ça, d'accord. 


Il réfléchit intensément. Puis il reprend:

- Et il y a eu l'après-midi, en plus. Ça, j'ai vu. Donc, forcément, si ils t'avaient déjà tous baisé le matin … il y en a qui t'ont baisé deux fois, et il y en a que t'as sucé …

- Oui, je crois que, d'une manière ou d'une autre, ils ont tous tiré leur coup deux fois, et certains trois fois.

- Putain ! Ça fait dans les soixante fois, alors ! Plus de soixante, même ! 


Ben faut croire. Je n'avais pas fait le compte, en fait. Penché en avant, les yeux dans le vague, il semble revivre cette journée. Puis il se reprend:

- T'as assouvi toutes tes envies, maintenant, non ? Qu'est-ce que tu pourrais vouloir, maintenant ? Qu'est-ce qui pourrait encore te faire envie ?


TOI, mec ! Toi et ta grosse queue ! Toi et tes grosses couilles ! Ce qui pourrait encore me faire envie, c'est que tu me baises VRAIMENT, Jean-Claude ! Je ne sais quoi me retient de le lui dire maintenant. Alors:

- Oh, mais tu sais, ça ne marche pas comme ça ! Une tournante comme ça, je suis prêt à recommencer … avec trente mecs, ou avec quarante. Le nombre, c'est important, mais c'est pas le principal. Avec seulement trois ou quatre mecs, ça peut être aussi vachement bien. Mais j'ai plein d'autres envies, de fantasmes, et même des choses bien plus simples, plus … basiques.

- Comme quoi, par exemple ?


Bon, cette fois, il faut que je me lance:

- Comme quoi ? Comme TOI ! 

- …


Il écarquille les yeux, se recule au fond de son siège. J'insiste:

- Oui, comme TOI. Maintenant, ce qui me fait envie, c'est que tu me baises, Jean-Claude … VRAIMENT ! Ta bite est tellement …

- Non non non ! Je t'ai déjà dit non.

- Pourquoi ? Tu t'es branlé et tu as joui contre mon cul … tu pourrais aussi VRAIMENT me baiser !

- Non, non, je t'ai déjà dit, JE     FAIS     PAS      ÇA !

- Je comprends pas. Tu m'as mis le bout de ta queue dans le cul, juste à l'entrée, mais quand même un peu dedans et tu as joui. Ça changerait quoi, de me la mettre complètement, ta queue ? Tu sais, on est bien dans mon cul, je pense. Tu as vu les autres …

- Non, mais n'insiste pas ! Pour moi, c'est pas pareil, ET      C'EST      NON !

- Allez, Jean-Claude, une seule fois .


Je pose mon verre à mes pieds et abandonnant toute dignité et toute pudeur, je viens m'agenouiller devant lui, entre ses jambes et je pose mes mains sur ses genoux. Les deux chiens redressent la tête en me voyant approcher leur maître, ils s'assoient et nous regardent, étonnés. Lui a un mouvement de recul contre le dossier de son fauteuil, et il tend la main vers ses molosses:

- Ça va les chiens !!! Et toi, ARRÊTE, merde !

- Je vais pas te violer.


Comme il m'a déjà laissé lui toucher la queue à travers son pantalon, comme il s'est déjà frotté la queue entre mes fesses, qu'il a même commencé à me pénétrer, je me dis qu'il me laissera quand même le toucher. Je pose la main sur son bas ventre. Oh la la ! Là, sous ma main … son sexe ! Je le sens. Il est au repos, mais même comme ça, il me paraît tellement … gros !

- Allez, baise-moi … une seule fois. Après, je n'y reviendrai pas.

- Non, non !

- Laisse-moi seulement te sucer, alors.


Il repousse ma main de son ventre, mais délicatement. Je lui caresse l'intérieur des cuisses.

- Ça t'a quand même fait envie, de me voir sucer Philippe, au bord du canal, et après de me voir me faire sauter par tous ces mecs.

- Non … ça me … enfin oui, ça m'excite, mais ça me donne pas envie de te faire pareil.

- Alors, tu baises jamais personne ! Tu te contentes de te branler, éventuellement tu veux bien toucher, te frotter, mais c'est tout ! Tu sais, c'est bien aussi, de baiser vraiment, de temps en temps.

- J'ai pas dit que je baisais jamais personne.

- Tu baises ?

- ben … oui ! Enfin … j'ai déjà baisé.

- Allez, Jean-Claude, laisse-toi faire. Personne ne le saura.

- Non ! Arrête ! Va te rasseoir !


Je sens que ça ne servirait à rien d'insister. Il en a peut-être envie, mais il se braque par principe. Je regagne mon fauteuil et je me sens un peu con, maintenant. Putain, c'est raté. Une espèce de gêne s'installe. Les chiens se lèvent et s'approchent de moi en remuant la queue. Leur maître m'a laissé l'approcher, le toucher, donc, je suis un ami … Ils se bousculent entre mes genoux, cherchant tous deux à glisser leur truffe dans mon entrejambe. Je les caresse, et sous leurs robes grises et soyeuses, je sens leurs musculatures. Jean-Claude:

- Iago, Into !!! Dehors !!!

- Laisse. Tu m'as dit que c'est comme ça qu'ils font connaissance avec les visiteurs, non ?

- Ouais, mais ça y est, là, ils ont déjà fait connaissance avec toi, tout à l'heure…

 

Indifférents aux ordres de leur maître, les deux chiens continuent de me manifester leur intérêt: le premier a entouré ma jambe de ses pattes avant et essaie de s'y accoupler, et l'autre pose les pattes avant sur le fauteuil et me lèche la figure. Jean-Claude:

- Ho, les chiens !!! Ça va !!!

- Laisse, je te dis, ça ne me dérange pas … au contraire …

 

Ce "au contraire" est sorti tout seul et sans arrière pensée salace. Je voulais seulement dire que ça me fait plaisir que ses chiens me fassent la fête. Mais aussitôt, je réalise que Jean-Claude peut l'interpréter autrement.  Et en effet, il réagit:

- Hein ? Comment ça … "au contraire" …

- Ben … ils sont contents de me voir … et ça me fait plaisir qu'ils le manifestent …

- Ouais, mais maintenant, tu sais, ils ne font pas seulement connaissance … ils te prennent pour une chienne …

- Je sais … et alors …

- Ben … ils ne veulent pas seulement te dire bonjour … ils veulent te … te …

- Oui, j'ai compris … ils ont envie de me couvrir … c'est comme ça qu'on dit, pour les chiens, non ?


Il écarquille les yeux, et il répète lentement:

- Oui, c'est comme ça qu'on dit … pour les chiens …

 

Je sens que cette simple réflexion a déclenché quelque chose dans sa tête … quelque chose de perturbant. La conversation est à deux doigts de basculer de simples considérations pratiques à une discussion beaucoup plus … sexe. Je prends une grande inspiration, et je me lance:

- Ouais ben, justement, je ne me suis encore jamais fait couvrir par un chien …

 

J'ai dit ça calmement, en articulant bien, en détachant bien les mots, pour qu'il comprenne du premier coup et en insistant sur le "justement". Mais, les yeux ronds, la mâchoire pendante, il me dévisage …ma phrase fait lentement son chemin dans son esprit. Puis il hausse les épaules, et secoue la tête de droite à gauche, comme si je venais de sortir une énormité:

- Je m'en doute, hein …

- Tu te doutes de quoi ?

- Ben … que tu t'es pas … encore … fait couvrir par un chien …

 

Cette fois, je sens que ça le trouble vraiment. Il a buté sur le "pas encore". "Pas encore", ça veut dire que ça aurait pu arriver … que ça POURRAIT arriver … que ça va SANS DOUTE arriver ! Je sens qu'avoir formulé lui-même cette éventualité a fait naître l'image dans son esprit. Je m'engouffre dans la brèche et j'en remets une couche: 

- Oui, ça, c'est un truc que je n'ai pas ENCORE fait, me faire prendre par un chien …

- Ben oui, j'ai compris. C'est évident, t'as … encore … jamais couché avec un chien …


Il fonce les sourcils, semble se remémorer quelque chose. Il cligne des yeux, hésite, puis:

- Ouaiiiiis ! Remarque, l'autre jour, dans la cour, quand je t'ai surpris avec Iago, je me suis demandé …

- Ah bon ? Quoi donc …

- Ben ça, justement … j'ai eu l'impression que … je sais pas … qu'il venait de se passer quelque chose avec lui …

- Avec ton chien ?

- Ouais, avec mon chien … je sais pas trop … c'était … je sais pas … les autres mecs, autour, ils vous regardaient … comme si … T'avais fait quoi, exactement, avec Iago ? Je suis presque sûr qu'il venait de se passer quelque chose …


Wouffff ! Vu la tournure que prend la conversation, c'est peut-être le moment de le mettre au parfum de mon fantasme zoophile. Allez, je me lance … en riant:

- Ben c'est vrai, t'as raison. Il m'avait léché … 

- Hein ? Il t'avait léché ?

- Oui, le ventre … et la bite … et un peu le cul …

 

Ça le secoue. Apparemment, il avait bien senti qu'il s'était passé quelque chose entre son chien et moi, mais il ne savait pas exactement quoi. Ou son esprit le refusait. Il me dévisage en écarquillant les yeux:

- Tu … tu t'es laissé lécher la bite et le cul par mon chien ?

- Oui. Et c'était bien, tu sais. Et lui aussi, ça lui a plu. Et déjà là, il m'aurait bien vraiment …

- Il t'aurait bien vraiment quoi …

- Ben, il m'aurait bien vraiment grimpé. 

- Comment tu le sais ? Il a essayé ?

- Oui, il a essayé … vraiment.

 

Il regarde son chien, comme pour lui demander confirmation. Il me fusille du regard:

- Il a essayé de … de te grimper ?

- Oui. Je sais pas … j'étais cul nu, j'étais plein de sperme … il l'a senti … ça lui a .. je sais pas, ça lui a donné des envies …

- Et tu l'as empêché …

- Ben … t'es arrivé …

- Pourquoi … je … si … si j'étais pas arrivé, tu … tu l'aurais laissé faire ?

- Ben … je sais pas … peut-être … oui.

- HEIN ! ? ! ?

- Oui, en fait ... je l'aurais laissé faire.

 

Bouche bée, les yeux ronds, il me dévisage, se demandant si c'est du lard ou du cochon:

- Non, mais … t'es … tu déconnes, tu me vannes, là …

- Non, je te vanne pas … tu sais, il y a longtemps que je fantasme de faire ça … me faire prendre par un chien … et …

 

Il me coupe la parole:

- Tu déconnes … tu fantasmes de te faire prendre par un  chien … tu veux dire … de … te faire grimper par un chien ?

- Oui, oui, c'est ça, me faire prendre, me faire couvrir, me faire saillir par un chien … Je me dis que ça doit être vachement bien … surtout avec des bestiaux comme les tiens … ils sont drôlement bien montés …

- Non, mais … arrête, là … tu déconnes …

- Non, je t'assure ! J'en ai envie depuis longtemps. Jusque là, l'occasion ne s'était jamais présentée, sinon, je l'aurais fait. Et ce jour-là, c'était l'occasion … l'ambiance de cul à tout va depuis le matin … je m'étais fait passer dessus toute la journée par des … par des mâles en rut … par une trentaine de mâles en rut … alors ton chien, c'était seulement un mâle en rut de plus …

- Un MÂLE EN RUT DE PLUS ! ! ! Mais … c'est pas … c'est pas un homme, c'est pas un être humain ! C'est un ANIMAL ! C'est pas … NORMAL d'avoir envie de se faire … prendre par un ANIMAL !

- NORMAL ? NORMAL ? C'est NORMAL d'avoir envie de se faire prendre par une trentaine de … types … par une trentaine d'êtres humains ? 

- …

- C'est pas NORMAL non plus … mais ça, apparemment, ça te gêne pas … 

- Ça me gêne pas … ça me gêne pas … Je dis pas que ça me gêne pas …

- Ça te gêne ? T'es gonflé ! Non seulement c'est toi qui a proposé d'accueillir cette tournante CHEZ TOI en sachant très bien ce qui allait se passer, mais en plus, à ta manière, tu y as participé à cette tournante … toi aussi, tu m'as tripoté, toi aussi tu t'es excité sur mon cul et tu a tiré un coup juste contre ma rondelle !


Mâchoires serrées, il baisse le nez, pas content. Depuis le début de cette discussion, je repousse comme je peux le chien qui a posé ses énormes pattes avant sur le fauteuil à côté de moi, et qui continue de me lécher la figure et de s'agiter comme s'il voulait me grimper. C'est sûrement Iago. Sidéré par ce que je suis en train de lui expliquer, son maître en a oublié de lui commander de me laisser tranquille. Alors, maintenant que je lui ai clairement exposé  mon fantasme et ce que j'ai été à deux doigts de faire l'autre jour avec son chien, je me sens comme libéré. Ce n'est plus la peine de me cacher, de tourner autour du pot. Au point où on en est, autant me lancer complètement. On verra bien comment il réagira. Pour le moment, il rumine silencieusement en me jetant des regards furibonds. Je passe la main sous le ventre du molosse, et je lui touche le sexe. Oh la vache, quel morceau ! Ça me sidère à chaque fois. Je ne le vois pas, sous son poitrail, mais à un contact humide sur mon poignet, je sens que son gland commence à sortir de son étui pénien. Il redouble de coups de langue. Je sens que ma caresse commence à le faire bander. J'entreprends de le décalotter et de faire coulisser sa peau sur son sexe. Jean-Claude en a les yeux ronds de stupeur:

- Mais … arrête de le tripoter ! Tu vas quand même pas le … le branler !


Si, mon pote, je vais le branler ! Et d'ailleurs, je commence à le masturber lentement, le dogue. J'avais déjà rêvé de faire ça au chien d'une de mes patronnes, mais je n'avais pas osé … et c'est très excitant. Ce sexe velu dans ma main … c'est ÇA, c'est ce gros truc qu'il pourrait introduire dans mon cul ! Un fourmillement, comme une légère décharge, prend naissance dans ma prostate et dans mes couilles …  Ce que je lui fais semble beaucoup plaire à la bête: elle se dresse et pose ses pattes avant sur le dossier du fauteuil, à côté de ma tête, et elle cesse de s'agiter, visiblement satisfaite, se contentant de me regarder en penchant un peu sa tête massive sur le côté. Jean-Claude n'en revient pas de voir que OUI, je branle son chien ! Comme hypnotisé par le spectacle, il en oublie de protester. C'est toujours ça, il ne m'engueule pas, il ne me fout pas à la porte. Je crois qu'avec ce que je viens de lui dire et ce qu'il me voit faire, c'est tout un univers qui se révèle soudainement à lui. Il regarde pendant un moment, silencieux, puis:

- Ouais, mais ça, c'est pas pareil … tu le … tu le branles … de là à te faire …

 

Ah ! Changement radical d'attitude ! Déjà, il semble admettre que je continue de tripoter son  molosse. On progresse. De temps en temps, le dogue me donne un coup de langue sur la joue. L'autre, sur ma jambe, continue de s'exciter, comme s'il avait compris ce qui se passe entre son frère et moi. Je découvre la sensation de masturber un chien, et ça m'ouvre vraiment des perspectives ... je sens que son vit grossit peu à peu, et c'est vraiment un gros morceau ! Irrésistiblement, l'envie d'un coït avec cette grosse bête se précise, s'intensifie. Une chaleur m'envahit tout le bas ventre et je commence à bander. Il faut que j'arrive à convaincre Jean-Claude pendant que le sujet est chaud. Je n'aurai peut-être pas l'occasion ramener ça sur le tapis. Alors:

- … de là à me faire couvrir par ton chien ? Mais si ! Et puis, comme toi, tu n'es toujours pas décidé à me baiser, au moins, laisse ton chien me le faire ... 


Estomaqué, la mâchoire pendante, il me fixe silencieusement, visiblement en se demandant si je plaisante ou non, puis:

- Bon … arrête tes conneries ! Là, tu te fous de ma gueule ! Tu dis ça pour me faire chier ... parce que ... parce que moi, je veux pas te baiser, t'essaie de me faire croire que ... Mais c'est des conneries, tu … tu peux pas avoir envie de … te faire COUVRIR par … par un chien comme ça !


En même temps qu'il formule ça, je sens qu'il essaie d'imaginer la scène et je perçois un trouble dans son expression. Je m'engouffre dedans:

- Puisque je te le dis … j'en ai envie depuis longtemps … Et puis, autant te le dire: l'autre jour, en fait, il avait commencé, ton chien … et si t'étais pas arrivé … 

- Quoi « il avait commencé » … tu m'as dit qu'il t'avait seulement léché … tu veux dire …

- Ben oui … il avait aussi commencé à me … à me saillir …

- Il a essayé de te grimper … comme … comme il fait aujourd'hui …

- Oui, mais pas seulement, il a aussi commencé à me rentrer sa bite dans le cul …

- Quoi ?

- Oui … je m'étais retourné pour qu'il me lèche le cul … hein, tu vois, j'étais appuyé sur la table et je lui tournais le dos … alors il s'est dressé contre moi … et il a … réussi à me … mettre un peu sa bite dans le cul … comme toi, finalement ... seulement un peu.


Les sourcils froncés, il secoue la tête:

- Tu déconnes ..

- Je te jure que non, Jean-Claude. Tu demanderas aux autres. Ils regardaient.

- Et tu … tu t'es laissé faire …

- Oui.

- Et si j'étais pas arrivé, tu … tu te serais laissé … tu te serais laissé …

- … baiser par ton chien ? Oui !


Il réfléchit intensément. 

- T'es … t'es bargeot ! Et les autres, alors … c'est ça qu'ils étaient en train de regarder, les autres ?

- Oui.

- Ils m'ont rien dit … Pourquoi ils m'ont rien dit ?

- Devine … ils avaient envie d'assister à ça, mais, vis-à-vis de toi, ils se trouvés … cons … ou gênés … Tu n'auras qu'à appeler Philippe … tu verras …

 

Il secoue la tête, dubitatif:

- De toute façon, c'est pas possible, ça aurait pas marché … un chien  peut pas … un homme peut pas se faire … mettre par un chien. Ça peut pas marcher !

- Ah bon ? Tu crois qu'un homme et un chien ne peuvent pas s'accoupler ?

- Ben non, c'est pas possible … Comment veux-tu  que …

 

On dirait que les doutes de Jean-Claude se sont portés sur autre chose. Il y a un instant, il doutait que je puisse avoir envie de me faire saillir par son chien, et maintenant, il semble douter que ce soit réalisable. J'ai l'impression que le plus gros du chemin est fait. Reste à enfoncer le clou:

- Ben si, mon vieux, c'est possible. Va voir sur Internet, il y a plein de vidéos de femmes avec des chiens… 

- Ouais, des femmes ! Et encore, ça m'étonnerait que ça soit possible. Mais avec un homme, j'y crois pas ... déjà, le chien peut pas avoir envie de … d'un homme … envie d'enculer un homme … Non non …

- On n'a qu'à essayer … tu verras …

- QUOI ? ESSAYER ? 

- Ben oui … on essaie … on verra si ton chien en a envie et s'il arrive à me couvrir …

- Là, maintenant ? Tu … tu voudrais ESSAYER ? LA, MAINTENANT ?

- Oui … puisque tu es sûr que ce n'est pas possible, tu ne risques rien … tu n'as rien à perdre …

 

Silence. Il vide son verre d'un trait, le repose sur la table basse et m'observe intensément. Et, à je ne sais quoi dans sa posture, un peu penché en avant comme pour se lever, dans son regard soudain décidé, je sens qu'il est en train de basculer. Il a peut-être seulement envie de me prouver que ce n'est pas possible, mais ça ne fait rien, il va dire oui. Je suis sûr qu'il va accepter, ne serait ce que pour me prouver que j'ai tort ! J'ai le cœur qui bat … putain, je le sens … je vais me faire monter par son chien ! Je suis venu pour le maître, et c'est son chien qui va en profiter … c'est son chien qui va me … me BAISER ! J'ai comme un début de vertige. Jean-Claude me dévisage :

- Mais … comment tu … Ouais, de toute façon, ça peut pas marcher …

- Ben, justement … si t'es sûr que ça peut pas marcher, ça ne coûte rien d'essayer …

 

Il me regarde, sourcils froncés, et brusquement, il se frappe les cuisses du plat de ses mains, et il se lève:

- Oh, putain, tu me fais faire de ces trucs ! Putain ! 

 

Ça y est ! Il est d'accord ! Oh putain ! Oh putain ! Je vais me faire sauter par son chien ! J'en tremble:

- Je ne te fais rien faire, Jean-Claude … toi, tu ne fais rien. C'est moi qui fais … avec ton chien. Toi, tu donnes seulement ton accord … 

- …

- Alors, tu me le donnes ton accord ?

 

Je suis sûr qu'il est d'accord, mais je veux qu'il le dise. L'œil sombre, il me regarde en coin. Il réfléchit.

- Bon, admettons … de toute façon, ça marchera pas … alors, tu veux … tu veux le faire … ICI ?


Il balaie la pièce d'un geste de la main.

- Ben oui, ICI … tu vois un meilleur endroit ?

- Non, non … ici … bon, mais alors, tu veux que je m'en aille ?

 

Oh, putain, il ne l'a pas dit, mais il est d'accord ! J'ai manœuvré comme il fallait. Il y est venu presque sans s'en rendre compte ! Et là, il laisse entendre qu'il accepte parce qu'il pense que cet accouplement n'est pas possible et ne se fera pas, mais je sens qu'en réalité, il a bien envie de voir ça … De toute façon, je m'en fous, ce qui compte, c'est qu'il ait accepté ! Il fait semblant de tâter le terrain au cas où ça me gênerait de me faire saillir par son chien devant lui, mais au fond, il meurt d'envie d'assister à ça …

- Hé, non ! Tu t'en vas pas … Puisque tu doutes, il faut bien que tu voies ça de tes yeux … Et moi, ça me dérange pas que tu sois là … au contraire …

- Alors … mais je vais quand même faire sortir un des deux chiens, sinon, ils vont se battre …

- Tu crois ? C'est toi qui les connais … tu fais au mieux. Bon, mais moi, avant, il faut que je passe à la salle de bain. 

- Ah bon ? 

- Ben oui … il faut quand même que je me prépare, comme si c'était pour un mec, si tu vois ce que je veux dire ... pour me laver le cul … Je peux ?

- Ah oui … compris … euh … oui, tu peux aller dans la salle de bain, mais … si il a pas envie …

- Si il a pas envie, on le fait pas … on ne peut pas le forcer … on verra … mais ça m'étonnerait qu'il ait pas envie ... regarde-le.

 

Pendant toute la durée de cet échange, j'ai continué de tripoter la bite de son chien. Maintenant, c'est sûr, elle gonfle et sort de plus en plus de son étui pénien. Il va me mettre ÇA dans le cul, le molosse ! Et … et c'est par ce truc-là qu'il va me … qu'il va m'inséminer … qu'il va me déverser du … sperme dans le ventre ! Parce que j'en suis sûr, on va le faire, lui et moi ... il va me couvrir, le molosse, il va me rentrer son énorme engin dans le cul et il va y rester jusqu'à ce qu'il m'ait vraiment fécondé ! Ouais, ça y est, mon gros, cette fois, tu vas vraiment me niquer ! Tu vas tirer ton coup ! Je ne sais pas si il me prend vraiment pour une chienne ou si il est pédé, mais je suis sûr qu'il a envie de sexe avec moi … et moi, contrairement à son maître, je SAIS qu'on va vraiment réussir à s'accoupler, tous les deux … J'ai le cœur qui bat et la tête qui tourne un peu. Je repousse avec difficulté son frère qui s'escrime sur ma jambe:

- Pousse-toi, mon pépère …


Jean-Claude saisit son collier et l'arrache à son étreinte:

- Into ! Laisse-les … viens par là !


Il a dit « Laisse-les » ! Il a parlé de nous à son autre molosse comme ... comme il aurait parlé d'un couple … un vrai couple, un homme et une femme qui s'apprêteraient à … baiser … comme s'il ne voulait pas que l'autre molosse assiste à nos ébats ! Jean-Claude nous voit donc comme un couple, son chien et moi ! Il ne croit pas que je puisse vraiment me faire saillir par son chien, du moins c'est ce qu'il dit, mais il organise quand même les choses pour que, son Iago et moi, nous puissions ... pour que nous puissions nous accoupler tranquillement ! Je n'en reviens pas ! Ce mec a complètement basculé en un rien de temps ! Il y a quelques minutes, il était révulsé à l'idée que je puisse avaoir envie de ça, et maintenant, on dirait qu'il a hâte que ça arrive !

 

 

Débarrassé de son frère, je me penche pour regarder sous le ventre de Iago, toujours les pattes avant appuyées sur le dossier de mon fauteuil …  oui, c'est donc bien Iago, puisque Jean-Claude a appelé l'autre Into. Et c'est bien lui qui avait commencé à me saillir l'autre jour. Son vit, violacé, luisant, est à moitié sorti de son étui et une goutte translucide perle déjà à l'entrée de son méat … Il va me saillir avec ÇA ! Je vais avoir ÇA, gonflé, raide et brûlant dans mon cul, tout à l'heure ! Putain ! Non seulement sa taille est impressionnante, mais c'est un sexe de chien, un sexe d'animal ! Oh, putain, je vais copuler avec un ANIMAL !

Et lui, comment … comment il ressent ça, le chien ? Comment il me voit: comme une partenaire pour la reproduction, ou seulement comme un objet de plaisir ? Qu'est-ce qu'il ressent dans sa tête ? Est-ce que l'érotisme, la luxure, ça existe pour un chien ? Ou alors n'est-il motivé que par un instinct de reproduction ? Voit-il le coït d'un animal avec un être humain comme une déviance ? Moi, ma raison me le dit, que c'est une déviance réprimée par la loi et par la morale. Je sais parfaitement que copuler avec un animal est un tabou absolu, une dépravation, une perversion contre nature. Mais à cet instant, je m'en fous ! Mon envie, mon désir surpassent maintenant tout cela, la loi, la morale, les tabous. A mesure que ma conversationn avec Jean-Claude se faisait plus précise, à mesure que je le sentais céder et qu'il me laissait masturber son chien sans protester, j'ai senti que ma décision était prise et que ça allait arriver ... que ça allait M'ARRIVER ! Et maintenant, c'est mon corps tout entier qui désire, qui réclame cet accouplement, cette saillie !

 

Et obscurément, je ressens aussi autre chose … un sentiment étrange, trouble, ambigu, qui n'a rien à voir avec l'érotisme, la lubricité ou la lascivité ... c'est une sorte de pulsion qui a quelque chose à voir avec l'instinct de reproduction … une sorte de pulsion primaire, comme une nécessité impérieuse … au fond de moi, je sens que c'est en rapport avec la physionomié de ce chien. Oui, cet énorme chien, ce molosse, incontestablement, c'est un ... un étalon, un mâle reproducteur ... ça se voit, ça transpire, ça émane de lui ... il est beau, il est imposant, il est puissant, il est viril, il a un organe tellement ... c'est sûr, pour n'importe quelle chienne de sa race, il serait le mâle idéal, celui que son instinct de femelle lui ferait désirer comme géniteur. Et bien, c'est quelque chose de cet ordre, que je ressens. Ce chien, ce mâle impressionnant, cet étalon éveille comme un instinct en moi ... en une partie de moi ... une partie de moi ... animale ... animale et femelle ! Oui, c'est ça ! Au fond de moi, il y a une femelle ! Une femelle ni femme, ni chienne ... simplement une femelle dont l'instinct lui commande de s'accoupler avec ce mâle-ci !

 

Oh, ma raison me souffle bien que cette aspiration instinctive est vaine, qu'un tel coït ne peut qu'être stérile, mais une sorte de besoin me pousse, en plus de céder à ce désir érotique, à satisfaire cet élan animal. IL FAUT que je m'accouple avec ce molosse et qu'il me féconde ! Et je sens qu'une part de moi-même se sentira honorée qu'un tel mâle veuille bien me saillir et me féconder.  

 

Le chien, la tête un peu penchée vers moi, la langue pendante, me regarde comme s'il attendait quelque chose de ma part. T'as envie que je te suce, hein ? Moi aussi, j'ai envie de te sucer ! Je glisse mon bassin vers l'avant, jusqu'à ce que mes fesses dépassent du fauteuil et que je ne repose plus que sur les reins. J'ai la tête pratiquement sous son ventre et son membre est là, à quelques centimètres de moi .. de mes lèvres. Tout en continuant de masturber le chien, je jette un coup d'œil à Jean-Claude. Il a compris ce que je m'apprête à faire, et il me fixe en cramponnant Into qui tire sur son collier pour revenir vers moi. Je le vois dans ses yeux, il va me laisser sucer son chien ! Dans son regard, l'étonnement et la désapprobation ont fait place à la curiosité … à la curiosité lubrique, d'ailleurs ... il a envie de me voir sucer son chien. Ça me plaît et ça m'encourage à poursuivre, parce que là, tout de suite, il est évident que lui aussi, ça lui plaît, que je suce son chien. 


Je n'ai encore jamais fait ça, et je me demande quelles vont être mes sensations … Je ne crains qu'une chose: que sa bite soit sale et que ça m'écœure … mais dans l'état d'excitation où je me trouve, ce n'est plus qu'un détail … Alors, j'avance la tête et je prends le sexe du chien entre mes lèvres. La première sensation, c'est que c'est chaud … c'est même très chaud ... bien plus chaud que la bite d'un homme … et c'est lisse, tendu, turgescent … comme le gland d'un homme … et il n'est pas sale … son  ventre sent le chien, évidemment, mais son sexe est propre … tout juste un léger goût d'urine … je l'enfonce dans ma bouche … hhhmmmm … ça y est,  je suis en train de sucer un chien … et pas n'importe quel chien … un danois, un dogue allemand … énorme … Oh, putain, c'est boooooon ! De nouveau, j'ai comme un vertige. Et c'est plus fort que moi, je laisse échapper un ngémissement de plaisir. Jean-Claude m'a entendu. Je m'en fous ! Du coin de l'œil, je le vois, un peu penché pour mieux voir ce que je fais, il a une moue de sidération. 

 

Le chien aussi aime ça … il geint en trépignant d'une patte sur l'autre … je palpe ses couilles … grosse paire de couilles dans ma main gauche … hhhmmmm, sensation inouïe ! Là-dedans, dans ses couilles denses et dures, il y a … sa semence de chien, et dans un moment, cette semence, il va me l'injecter dans le ventre ! Je n'ai maintenant plus aucun doute, ce chien va me saillir … ça me paraît vraiment fou, incroyable, mais il va me féconder … je vais me faire remplir par la semence de ce chien … je bande de plus en plus fort et ma queue a du mal à tenir dans mon string … de la main droite, je déboutonne fiévreusement mon pantalon, je descends mon zip, je sors ma queue et je me caresse … Oh, putain, pourquoi je n'ai pas fait ça avant ? Et soudain, l'urgence me submerge … je suis prêt à jouir ! Alors vite ! Je veux me faire couvrir tout de suite …


Je sors ce sexe de ma bouche et je me lève. Le chien, surpris, me regarde, descend ses pattes du dossier du fauteuil et se précipite vers moi en ébauchant un mouvement comme pour me monter dessus. Sous sa poussée, je m'efforce de garder mon équilibre tout en lui caressant la tête et le poitrail:

- Doucement, mon pépère … t'as envie de moi, hein … t'as envie de me sauter, hein … moi aussi, j'ai envie que tu me sautes … j'ai envie que tu te donnes du plaisir en moi … et tu vas vraiment me sauter, cette fois … allez, laisse-moi deux minutes … je reviens vite …


Poursuivi, harcelé par le chien, j'essaie de me diriger vers l'escalier pour monter à la salle de bain. Jean-Claude:

- Iago ! Stop ! Aux pieds ! Ici, le chien !


Le molosse semble ne même pas l'entendre … son frère s'excite aussi. Alors Jean-Claude, tout en retenant le premier, saisit le collier de Iago, mon … amant … et essaie de l'immobiliser. Les deux frères ont beau déraper sur le carrelage, leur maître a bien du mal à les retenir:

- Dis, euhhh … lequel … lequel tu voudras …

- Ben, lui, Iago, évidemment … c'est lui qui a commencé à me saillir, l'autre jour … il faut le laisser aller jusqu'au bout, cette fois …

- Iago, alors … bon, OK, Iago.

- Oui, il a encore envie, visiblement … Au fait, tes chiens, ils ont déjà couvert une chienne ?


Ma question le déconcerte un peu, mais:

- Euh, non, jamais … d'ailleurs l'élevage où je les ai achetés veut que je lui prête … pour des saillies …

- Alors, ils sont puceaux, tous les deux ?

Il se marre:

- Ah oui, t'as raison, ils sont puceaux … et si ça marche, c'est toi qui va le … le dépuceler, mon Iago …


Je m'apprête à m'engager dans l'escalier, mais je me ravise. Je retourne près de mon fauteuil, et je récupère mon porte-jarretelles et mes bas. Je vais les mettre … quand je porte ça, et seulement ça, je me sens tellement femelle, tellement bonne à baiser ! Le chien n'y sera sans doute pas sensible, mais pour moi, ça sera la touche finale à ma préparation psychologique.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 3 mars 2017 5 03 /03 /Mars /2017 01:00

Allez, encore une vidéo dans laquelle je m'enfile des balais.

 

Au début de la vidéo, c'est seulement avec le manche d'un balai que je me ramone ... petit calibre !


Mais ensuite, c'est du plus lourd !

 

Coups-de-balais-002.png

 

Oui, ensuite, c'est la brosse que je m'enfile ! Et ce, à plusieurs occasions !

 

 

 

 

 

En cliquant sur cette photo, vous pourrez voir une vidéo précédente du même tabac:

Coups de balai 001

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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