Jeudi 6 octobre 2011 4 06 /10 /Oct /2011 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Première publication le 06/10/2011 

Thomas.

 

Dimanche 9 juillet. 7 heures.

Ce matin, au réveil, comme chaque matin, je bande. Couché sur le flanc gauche, la jambe gauche allongée, la jambe droite repliée en chien de fusil, je ressens dans tout le corps une impression de bien être, de plénitude physique et de sensualité. Le bout de mon sexe et mes testicules frôlent le drap. De la main droite, je saisis mon gland. Mes doigts effleurent l'épiderme lisse et soyeux de mon prépuce, descendent lentement le long de ma verge, en apprécient la douceur, et finissent par caresser mes testicules. Je commence à me masturber lentement.

 

Je sens derrière moi un mouvement dans le lit. Que fait-il dans mon lit? 

 

Ah oui, c'est Thomas. 

 

Hier, il était venu me rendre visite, échanger des documents sur notre passion commune, la généalogie. Je lui ai offert un verre, puis un autre. Nous nous sommes découvert bien d'autres centres d'intérêt communs. J'ai fini par l'inviter à dîner. Il avait fait très chaud toute la journée, et le soir venu n'avait qu'à peine rafraîchi l'atmosphère. Nous avons encore bu, jusque tard dans la nuit. Au moment de repartir, il était un peu éméché et je lui ai proposé de dormir à la maison, lui offrant mon lit. Je dormirais dans le canapé. Il a préféré le canapé.

Dans la nuit, il m'a réveillé: «Ça t'ennuie si je prends une douche? J'ai trop chaud, ton canapé est vraiment dur, et je n'arrive pas à dormir

- Non, bien sûr, ça ne m'ennuie pas, tu peux prendre une douche. Je te l'avais dit, pour le canapé. Echangeons.

- Pas question. Il y a deux places dans ton lit. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, nous pouvons y dormir tous les deux … en tout bien tout honneur, évidemment.

Evidemment … 

 

Il a pris sa douche, puis est venu se coucher à côté de moi. Je me suis rendormi avec un peu de mal, je dois dire. Les effets de l'alcool et de notre conversation de la soirée?

 

L'ai-je réveillé en bougeant? J'interrompt ma manipulation, guettant ses réactions. Son souffle est régulier. Il doit encore dormir. Pourtant, il vient se coller contre moi. Il m'emboîte littéralement, le bras gauche coincé entre sa poitrine et mon dos, le ventre frôlant mes fesses, les jambes allongées contre ma jambe gauche. Il passe son bras droit sous mon bras droit et pose sa main sur le drap, tout près de ma poitrine. Je ne bouge plus. Est-il venu contre moi inconsciemment, dans son sommeil? Ou bien a-t-il volontairement cherché cette amorce d'étreinte? 

 

Que faire? Le repousser? Dans l'état d'excitation où je suis, son contact, sa chaleur me troublent. Je décide de ne pas bouger, de faire semblant de dormir, de jouir de l'instant. S'il a voulu ce contact, en voyant que je ne le repousse pas, peut-être cherchera-t-il à savoir jusqu'où il peut aller. Notre discussion d'hier soir me revient en mémoire. Il avait reçu un appel sur son téléphone portable et il s'était éloigné, mais d'où j'étais, j'avais entendu que la discussion était plutôt orageuse. Quand elle a été terminée, il m'a dit, comme pour s'excuser: 

- Désolé, c'était mon ex.

- Tu es divorcé ?

- Euh … oui, je suis divorcé … mais ce n'était pas mon ex-épouse, c'était mon ex-compagnon.


Je n'ai pas pu réprimer une mimique d'étonnement, et il a poursuivi: 

- Je te choque? J'ai été marié une vingtaine d'années ... j'étais exclusivement hétéro à cette époque. Nous avons eu deux filles, puis nous avons divorcé, mais nous sommes restés en bons termes. C'est après notre divorce que j'ai découvert mon goût pour les hommes. Je te choque?

- Non, tu ne me choques pas. Simplement, quand un homme parle de son ex, on pense plutôt à une femme qu'à un homme.

- En fait, je ne suis pas vraiment homo. Ou plutôt, pas seulement homo. Disons que je suis bi. Bisexuel. Après mon divorce, j'ai travaillé quelques mois dans le Marais, et je prenais souvent un café dans un bar fréquenté par des homos. C'est le quartier. Un jour, un peu par ennui, un peu par curiosité, je me suis laissé draguer par l'un d'eux. Je n'avais pas l'intention de coucher, je trouvais la situation amusante. Mais au bout d'un moment, je n'ai plus maîtrisé la situation, et j'ai fini chez lui, et au lit. Et là, j'ai découvert que l'amour avec un homme peut être aussi agréable qu'avec une femme. Parfois, c'est même mieux. Tu n'as jamais essayé?

- Avec un homme? Non …

 

J'ai hésité une seconde ou deux: la conversation prenait une tournure si inattendue avec ce quasi-inconnu. Et puis, pourquoi pas ? J'ai repris:

- Enfin, oui, j'ai essayé. D'abord quand j'étais ado, avec mon meilleur copain, et ça n'est pas allé très loin.

 

Je marque une pause, et j'ajoute:

- Et il y a quelques jours, mais ça n'est pas allé loin non plus. Juste une … masturbation.

 

Je me surprends moi-même de faire cette confidence. C'est la première fois que je parle de mon "expérience" d'ado, et surtout que je mentionne ma récente aventure … bucolique avec Laurent contre ses rouleaux de foin. Mais il s'est confié si spontanément, je me suis senti en confiance.


- Ça ne te tente pas ? Je veux dire d'aller plus loin … Tu sais, tu n'es pas obligé de me répondre. C'est du domaine de l'intime. Moi, j'ai arrêté de complexer là-dessus, maintenant, j'assume ma bisexualité.

- Je ne sais pas. Peut-être … J'y pense, je me demande comment ce serait. En tout cas, l'idée ne me répugne pas. Mais pour le moment, je ne dois pas être tout à fait mûr pour ça.

 

La conversation sur ce sujet s'est arrêtée là. Nous sommes revenus à nos moutons "intellectuels".

 

Après un moment, toujours collé contre moi, il approche un peu plus son ventre de mes fesses et pose sa main droite contre mon torse. Son souffle contre ma nuque est encore très régulier, et je ne sais toujours pas s'il est éveillé ou s'il agit ainsi machinalement, dans son sommeil. A mon tour, j'accentue ce contact en appuyant davantage mes fesses contre son ventre. Après tout, si je le réveille et s'il n'a pas voulu ce contact, il pourra aussi penser que j'ai bougé dans mon sommeil. Si ça ne lui plaît pas, il s'éloignera.

 

Je n'ai pas à attendre bien longtemps. Sa main droite, jusque là posée sur ma poitrine, descend doucement vers mon sternum et commence à le caresser du bout des doigts. Cette fois, je suis sûr qu'il agit consciemment. Je trouve ça assez amusant et surtout très excitant. Il se redresse un peu et approche sa bouche de mon oreille:

- Alors? Tu veux vérifier si tu aimes ou pas ? Ne te sens pas obligé. Je ne me vexerai pas si c'est non.

 

Pourquoi ne pas profiter de cette occasion qui s'offre à moi de prendre du plaisir avec un homme? Pour lui marquer mon assentiment, je passe mon main droite jusqu'à ses reins et l'attire un peu plus contre moi. Il replie alors sa jambe droite en chien de fusil contre ma jambe droite, il m'emboîte encore plus étroitement et il étend et accentue sa caresse sur mon ventre. Je commence à sentir son membre qui bouge et gonfle contre moi. Mais, comprimé entre son ventre et mes fesses, il manque de place pour s'épanouir. Je glisse alors ma main vers le bas de mon dos, saisis doucement sa verge, et la place entre mes fesses. Il resserre alors son étreinte, et je sens son sexe s'enfouir entre mes fesses, et gonfler un peu plus. 

 

Je ramène ma main jusqu'à la sienne, sur mon ventre, et mêlant mes doigts aux siens, j'accompagne un moment sa caresse («je suis d'accord, caresse moi»), puis je saisis mon propre sexe. Il a senti mon geste et bientôt, il pose sa main sur la mienne, et l'entraîne dans un mouvement de va et vient sur ma verge. Il accompagne mon mouvement un moment, puis il m'écarte les doigts, m'enserre le pénis, et poursuit seul la masturbation. C'est un plaisir incroyablement intense. A mon tour, je pose ma main sur la sienne, et accompagne son lent mouvement de va et vient. 

 

De toute évidence, il sait comment on masturbe une queue, ce qui est rarement le cas d'une femme. Au bout d'un moment, il interrompt cette masturbation, empoigne ma verge et me malaxe le dessous du gland de son index humecté du fluide qui commence à s'écouler de ma bite. Puis il me saisit les testicules, les enserre à la base entre le pouce et l'index, et me pétrit doucement les bourses de ses autres doigts. Par ce mouvement, il a fini de me décalotter. Et il reprend sa - ma - masturbation. 

 

Rapidement, je suis au bord de l'explosion. Je repousse sa main et je me retourne. Nous sommes pratiquement bouche contre bouche, poitrine contre poitrine, ventre contre ventre, membre contre membre. Apparemment, cette séance l'a autant excité que moi. Sa queue est toute raide, et je sens qu'elle bave aussi un peu contre mon ventre. Je le prends par les hanches et le colle tout à fait contre moi. Il sourit, me prend la tête à deux mains, et vient me fourrer la langue dans la bouche. Après une fraction de seconde d'hésitation, je réponds à son baiser, et nos langues font plus amplement connaissance. Nos jambes s'emmêlent et nous nous caressons mutuellement le dos, les reins, les fesses.

 

Puis je m'écarte un peu, et, à mon tour, de la main gauche, je lui saisis la queue. Elle est toute raide, toute gonflée. Je l'explore du bout des doigts. Elle est imberbe, sans doute épilée ou rasée, comme la mienne. Sa peau est aussi douce que la mienne. Je sens les veines et l'urètre qui saillissent sous mes doigts. Je remonte jusqu'au gland, encore caché dans le prépuce. Je le palpe, toujours du bout des doigts. Tenir ainsi ce membre, c'est une sensation, un plaisir incroyables. Il est tout chaud, vivant, frémissant… Il est attentif au moindre de mes mouvements. Il attend, il espère, il réclame que je lui donne du plaisir, comme un besoin impérieux, mais pas trop vite, pas trop brutalement. 

 

Je commence à le masturber lentement. Je fais coulisser la peau de sa verge vers le haut, recouvrant amplement le gland. Puis je redescend doucement vers la base, mon mouvement découvrant alors en partie le gland. A chaque mouvement vers la base de son membre, le gland se découvre un peu plus, et semble se gonfler un peu plus. Nous sommes si près l'un de l'autre que ma main qui le manipule effleure mon propre membre dans son va et vient. J'empoigne nos deux queues de cette seule main, et je nous masturbe ainsi d'un seul et même mouvement. C'est une sensation indescriptible qui mêle au plaisir direct que prend ma bite à cette masturbation, celui que prend ma main à pétrir cet autre sexe brûlant, et celui que prend mon esprit à procurer de la jouissance à un autre mec. Et visiblement, ce que je lui fais lui plaît. Les yeux fermés, la bouche entr'ouverte, il contrôle sa respiration et il est entièrement concentré sur cette masturbation.

 

- Est-ce qu'il faut qu'on se protège ?

Je pense aux risques depuis qu'il est venu se coller à moi. Après un moment d'hésitation, j'ai décidé de poser la question, quitte à casser l'ambiance. C'est dommage, mais ce serait vraiment con d'attraper une saloperie au cours d'une première expérience. Il ouvre les yeux, me sourit:

- Tu es inquiet? Tu as raison, il faut être prudent. Mais non, tu n'as rien à craindre. J'ai fait un test juste après ma rupture avec mon ex. Négatif. Et depuis, je suis abstinent… Et toi ?

 

Pour toute réponse, je lâche mon sexe et, gardant le sien dans ma main, je repousse le drap et plonge la tête vers son ventre. Il a compris mon intention et il bascule sur le dos. Mon interruption ne l'a pas déconcentré: il est toujours aussi raide. Je continue de le masturber lentement pendant quelque temps, décalottant le gland d'un mouvement, le recouvrant de l'autre. Le visage à quelques centimètres de l'extrémité de son membre, je vérifie qu'il est effectivement rasé, comme moi. Un peu de fluide coule de son sexe et s'étire en filament jusqu'à son ventre. Je pose mes lèvres entr'ouvertes sur le bout de son gland, j'aspire cette liqueur, puis je passe le bout de ma langue sur l'orifice. Je perçois aussitôt les palpitations de sa verge dans ma main. 

 

C'est un moment très excitant: je suis enfin à cet instant que j'espère depuis longtemps: dans quelques secondes, je vais sucer un sexe d'homme. Je vais avoir un membre dans la bouche, et je vais le lécher, le sucer. Je vais faire monter son excitation et la communiquer à ses testicules, à sa prostate, à tout son corps. Avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue, je vais donner du plaisir à cet organe fait pour pénétrer un ventre de femme, à cet instrument dont les hommes attendent de la volupté en l'introduisant dans une chatte, dans un cul, dans une bouche ou en le tripotant. Et, avec ma bouche, je vais conduire ce mec jusqu'à l'orgasme, jusqu'à l'éjaculation. Je pense au sperme, dans ses testicules, au sperme si proche de ma langue, et qui peut jaillir à tout instant. Irai-je vraiment jusqu'à m'en faire inonder la bouche, comme je le fantasme depuis longtemps? Dans l'état où je suis, c'est probable, parce que l'idée contribue à m'exciter.

 

Je fais de nouveau coulisser la peau de sa verge vers le gland, recouvre celui-ci, et je le prends enfin entre mes lèvres. Cette chair toute chaude et palpitante dans ma bouche, c'est une sensation unique qui m'excite et me fait saliver abondamment. Je passe ma langue sur le bord du prépuce, insistant sur le frein sous le gland. Je sens celui-ci se dilater à l'intérieur du prépuce. J'ai brutalement envie de l'avaler tout entier, de m'en gaver, de m'en rassasier. Je l'enfonce alors plus profondément dans ma bouche, et, en serrant un peu les dents autour de la verge, je le décalotte dans le même mouvement. Je descends mes lèvres jusqu'à la base de la verge et je sens son gland qui s'enfonce dans ma gorge. C'est un vrai plaisir. Je fais ainsi, lentement, plusieurs allers et retours, pressant davantage mes lèvres en arrivant au gland. Au cambrement de ses reins, je sens qu'il apprécie.

 

Mais je ne veux pas le faire jaillir trop vite. Je change de position, et je viens m'agenouiller entre ses jambes, la tête au-dessus de son sexe. J'empoigne sa verge et lui imprime une lente masturbation, pendant que je commence à lui lécher les couilles. Je gobe un de ses testicule et je le frictionne avec ma langue, puis je fais la même chose à l'autre. Ma langue remonte le long de sa hampe, et je happe de nouveau son gland. Maintenant, je le masturbe de la main et de la bouche. Il prend ma tête dans ses mains, accompagne un moment mon mouvement de va et vient, puis imprime le rythme qui lui convient, accélère, ralentit, accélère de nouveau. Cette fellation dirigée  m'excite presque autant que lui.

 

Brutalement, il se cambre et écarte ma tête de son ventre. Il est à deux doigts de lâcher sa liqueur. Sous ma main, son pénis est agité de spasmes. Je le presse doucement mais fermement, et il se calme peu à peu. Il a failli éjaculer. Je change de position. Je m'allonge sur le côté, perpendiculairement à lui, la tête sur son ventre, la bouche à cinq centimètres de son gland. Un peu de sperme a tout de même coulé sur son ventre. Je presse toujours son engin tout dur, aux veines saillantes. Après une courte hésitation, je lèche sa semence. 

 

Au bout d'un moment, la tension de sa verge diminue, et c'est lui qui me pousse la tête vers son membre. Je le reprends dans la bouche et je recommence à le pomper doucement, la main gauche sur ses couilles. Je pense au plaisir que je suis en train de lui donner et à l'orgasme que je vais lui procurer, je pense au sperme dans ses couilles, prêt à jaillir sur ma langue. Ça va assez vite. Ses testicules, que je caresse de la main, remontent soudainement dans ses bourses. Je perçois les premiers soubresauts, assez lents, de sa verge contre ma langue et mon palais, comme des contractions. Il me saisit la tête et tente de l'enlever de son sexe, mais je résiste et poursuis ma fellation. Il finit par céder et pose ses doigts sur mes lèvres, autour de sa verge, et accompagne mon mouvement. Les spasmes de sa queue se rapprochent et s'accélèrent, de plus en plus violents. Je sens ses abdominaux durcir sous ma tête, sa respiration s'accélérer. Brusquement, une sève brûlante envahit ma bouche en longues giclées, tandis que je poursuis mon va et vient. Le sperme s'insinue jusque dans mes joues. D'un coup de reins involontaire, il m'enfonce sa queue dans la gorge et m'oblige à déglutir. Sa queue est toujours secouée de soubresauts et paraît ne pas devoir en finir d'éjaculer. Je ne pensais pas qu'une bite pouvait cracher autant de sperme. 

 

J'avais peur de ne pas aimer, d'être dégoûté, et finalement, j'aime. Me faire éjaculer dans la bouche m'excite. Dans un premier temps, je ne fais attention ni au goût ni à la consistance. Je suis uniquement concentré sur l'idée de recevoir en moi cette semence, de la garder dans la bouche. Les spasmes s'espacent et sont de moins en moins forts. Ils finissent par cesser. Le flot de sperme semble se tarir. Le sang qui gonflait son membre commence à se retirer et sa verge à mollir. C'est seulement alors que je fais attention à ce que j'ai dans la bouche. C'est très agréable, chaud, légèrement salé. Et je sens sous ma langue et contre mon palais comme de petits grumeaux de sperme. J'avale cette crème. Pressant l'urètre de la base jusqu'au gland, je la trais pour en exprimer les dernières gouttes. Je suce enfin les dernières traces de sperme qui restent sur cette queue redevenue molle, et je la garde comme ça dans la bouche un moment, calmée, apaisée. Cette sensation me plaît beaucoup.

 

Cette séance de fellation, m'a tellement excité que je bande comme jamais. Pendant que je lui taillais cette pipe, tantôt je me pétrissais doucement la queue, tantôt je la pressais fermement pour l'empêcher de se répandre. 

 

Ses abdominaux se sont détendus, sa respiration s'est calmée et je sens que Thomas est en train de s'assoupir. Mais, moi, j'ai pris beaucoup de plaisir à le pomper, je me suis bien excité, mais je n'ai pas encore joui. Je me remets donc à lui titiller le gland avec ma langue. Ça le réveille. Il écarte ma tête de son ventre, me fais m'allonger sur le côté gauche, me fais replier ma jambe gauche, et s'étend tête-bêche contre moi, la tête au niveau de mon ventre, appuyée sur ma cuisse repliée. Il m'invite à faire un 69. Il me tripote un moment, puis prend ma queue dans la bouche. Je fais comme lui. C'est une sensation inouïe: téter une bite tout en me faisant sucer, c'est un pied incroyable ! Je trouve même ça bien plus excitant que de faire la même chose avec une femme.

 

Lui, bande de nouveau, ce qui ajoute à ma propre excitation. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il sait très bien s'y prendre avec ma queue. Il va et vient, les lèvres serrées sur ma verge, et enfonce mon gland à fond dans sa gorge. Sa propre queue se raidit un peu plus chaque fois que mon gland arrive au fond de son gosier. J'ai l'impression que cette façon de faire l'excite beaucoup. Je suis au bord de l'explosion et il le sent. Il approche sa main droite de ma bouche, se cambre pour en sortir sa queue et y glisse deux doigts. Je suis un peu surpris, mais je commence à lui sucer les doigts. Mais il les retire presque aussitôt et me tend de nouveau sa bite à sucer. Je suce… Et il me fourre ses deux doigts mouillés dans le cul et commence à me triturer le rectum. Cette fois, c'en est trop pour moi, j'éjacule. Et pendant que je me vide dans sa bouche, je l'entends gémir comme un gourmet en train de déguster son plat favori. Entièrement concentré sur les sensations de ma queue, j'ai arrêté de m'occuper de la sienne, que j'ai pourtant toujours dans la bouche. Et je sens qu'elle est aussi gonflée que quand je l'avais pompée un peu plus tôt. Il ne va tout de même pas se répandre une deuxième fois, si rapidement après la première … Et si ! De nouveau des soubresauts, de nouveau de longs jets de sperme, il se répand encore et m'éjacule dans la bouche en gémissant. 

 

Nous restons un long moment comme ça, chacun avec, dans la bouche, la bite redevenue molle de l'autre. C'est aussi très agréable de suçoter, de mâchouiller une quéquette flacide. C'est moins violent, et bizarrement, ça me paraît moins "sexe", presque tendre. Après quelques minutes comme ça, nous nous recouchons normalement. Il s'approche, s'allonge sur moi, me prend la tête à deux mains et m'embrasse longuement sur la bouche. Puis:

- C'était très bien. Tu sais y faire pour un novice …

 

Je perçois comme un peu d'ironie dans ces paroles. Douterait-il que je sois novice?


- Moi aussi, j'ai beaucoup aimé. J'ai seulement fait ce je fantasmais de faire depuis longtemps.

 

Il s'allonge derrière moi, m'emboîte de nouveau, et nous nous endormons comme ça jusqu'au milieu de la matinée.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Commentaires

Belle histoire. J'ai souvent rêvé de me retrouver dans cette situation et de sentir une bite se coller, derrière moi, contre mes fesses. On peut toujours espérer......

commentaire n° :1 posté par : Jacques le: 05/06/2022 à 08h28

Merci.

L'envie de se faire un peu forcer ?

réponse de : Solosexe le: 05/06/2022 à 10h45

Oui, très certainement. L'envie de me laisser faire et, allongé sur le côté, de jouir du plaisir de sentir une bite s'enfouir entre mes fesses.....

commentaire n° :2 posté par : Jacques le: 05/06/2022 à 13h29

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