Samedi 13 avril 2019 6 13 /04 /Avr /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Dimanche 17 décembre. 

 

 

- Ça me fait drôle … de sentir ma bite dans ta bouche … Putain, JE ME SUIS FAIT SUCER PAR … PAR UN TRAVESTI !


Je viens tout juste de tailler une pipe à ce mec, il a joui dans ma gorge et maintenant, son doigt glissé entre mes lèvres et le long de sa verge, il est en train de vérifier tactilement que son sexe est bel et bien dans ma bouche ! 


Le mec en question, il s'appelle Bernard, et il y a à peine une heure que je l'ai rencontré. Nous sommes dans sa voiture, garée sur une aire de pique-nique le long d'une route, et donc, penché sur son ventre, la tête entre son abdomen et son volant, j'ai encore sa bite dans la bouche.


Il a tiré son coup, mais il ne débande pas … au contraire. Il n'en revient pas de s'être fait sucer pour la toute première fois par un mec, et ça l'excite. Et moi, il y avait tellement longtemps que je n'avais pas eu une queue dans la bouche que, moi aussi, j'ai joui au moment où il a éjaculé … comme ça, sans avoir besoin de me branler ni même de toucher ma bite.


Là, visiblement, il est tout content que je le garde au chaud entre ma langue et mon palais. Et moi, ça me plaît aussi beaucoup et j'ai bien envie de recommencer à le sucer. 


Comme j'ai la tête au-dessus de son bas-ventre, je dissimule sa bite à sa vue et ce n'est qu'à tâtons et du bout des doigts, comme un aveugle, qu'il constate la présence de sa queue dans ma bouche … mais je suis sûr que si il la voyait, sa bite qui dépasse de ma bouche, ça lui ferait encore plus d'effet.


Alors, en m'efforçant de ne pas laisser son sexe s'échapper d'entre mes lèvres, je commence à me retourner sur mon siège … pas facile, j'ai le cul contre la portière et mes jambes s'emmêlent dans la ceinture de sécurité … mais tant bien que mal et peu à peu, j'y arrive … les jambes repliées en chien de fusil contre le dossier de mon siège, me voilà étendu sur mon flanc droit … et face à lui … et sa queue toujours dans ma bouche, avec son gland qui doit me faire une grosse bosse sur la joue … je lève les yeux sur lui … il me regarde, la bouche grande ouverte, les yeux ronds comme des soucoupes, sa main gauche sur le haut de mon front, sa main droite sur mon cou …


- Oh, putain !


J'en étais sûr ! Il n'en revient pas … IL VOIT … IL VOIT SA BITE DANS MA BOUCHE ! Il ne débande toujours pas … cette vision l'excite et il se met à haleter. Tout en le masturbant doucement, je lui tète le gland … dans un même mouvement-réflexe, il se cambre et plaque sa nuque contre son appuie-tête … mais il ne me quitte pas des yeux:

- Oh putain ! C'est dingue ! Ouais, vas-y, suce-moi encore ! T'aimes vraiment ça, la bite, hein …


Je sors son gland et, le gardant plaqué contre mes lèvres, je l'asticote du bout de la langue … je ne sais pas ce qui lui fait le plus d'effet … SENTIR ce que je lui fais ou VOIR ce que je lui fais … les deux conjugués, je pense … toujours haletant, la tête un peu penchée sur le côté, il me regarde avec … avec une espèce de tendresse … je renfonce sa queue dans ma bouche et je recommence à le pomper … Je vais encore te faire jouir, mec ! Je vais encore te faire éjaculer ! Donne-moi encore ton sperme ! Cette fois, je n'ai pas envie de faire traîner les choses … je veux qu'il jouisse tout de suite !


Oh la laaaa ! LA BITE ! LA BITE ! LA BIIIIIIITE !


Et on se met tous les deux à gémir, nos excitations respectives s'alimentant l'une l'autre … ça va effectivement très vite ! C'est sûrement de me VOIR le sucer qui l'achève. Ça commence par un râle ... un long râle … en même temps qu'il décolle encore son dos de son dossier, sa bite se met à palpiter sur ma langue … et je reçois un premier jet brûlant dans la bouche … vite, je sors son gland et je le plaque contre mes dents … le deuxième jet s'étale sur ma lèvre supérieure et jusque dans mon nez … je renfourne sa queue dans ma bouche où elle crache un troisième jet … et un quatrième … je garde ce qu'il vient de cracher dans le creux de ma joue …


Voilà … il a fini … hhhhmmmmm, je savoure sa crème, je la fais aller et venir d'une joue à l'autre … il avait de la réserve, ce mec ! Il respire fort par la bouche en me regardant … je sens sa bite légèrement débander … je la sors et, de la langue, je repousse vers mes lèvres entrouvertes sa charge de sperme mêlée de salive … je trempe son gland dedans et, m'en servant comme d'un badigeon, je me barbouille ce mélange autour de la bouche, sur ma joue, sur mon menton … il approche sa main, hésite, puis il trempe ses doigts dans cette mixture, commence par me l'étaler un peu plus sur la figure … puis il en récupère le plus gros au bout de ses doigts et me les présente à lécher … hhhhmmmmm, j'adore ! Il me regarde lui sucer consciencieusement les doigts, et il me sourit:

- T'aimes la bite, mais t'aimes aussi vachement le sperme, hein …


Ce n'est pas une question … il constate seulement. Il a un sourire béat … je crois qu'il découvre des pratiques sexuelles hors normes pour lui, et ça le rend heureux. Il me caresse le haut du crâne:

- Après, tu me nettoieras bien la bite, hein …


Quand j'ai fini de lui débarbouiller les doigts, je me redresse, je m'agenouille sur mon siège et je me penche à nouveau sur son ventre. Cette fois, même si sa queue est encore un peu gonflée, il ne bande plus. De la langue je lui essuie consciencieusement la verge puis le gland. Quand c'est fait, délicatement, je lui remonte le prépuce sur son gland et je me redresse … il m'a regardé faire … il sourit:

- Tu sais vraiment y faire … t'es un vrai … un vrai …

- … une vraie salope … c'est ce que tu voulais dire ?

- Ouais, enfin … c'est l'idée, mais je l'aurais pas dit comme ça.

- Tu peux le dire … JE SUIS une vraie salope … j'assume … et même, j'en suis fier.

- Bon, alors OK … t'es une vraie salope.

- Merci.

- Bon. On fait quoi, maintenant ?

- On va s'en aller ... mais avant, t'aurais pas des mouchoirs en papier ? 

- Oui, dans la boîte à gants. Pour quoi faire ?

- Pour m'essuyer la cuisse. Moi aussi, j'ai pris mon pied.


J'ouvre la boîte à gants et je sors un paquet de mouchoirs.

- T'as pris ton pied ? ! ? !

- Oui.


Je commence à m'essuyer l'intérieur de la cuisse. Ça a déjà un peu séché. Il me regarde faire et insiste:

- Mais … je t'ai pas vu te …

- … me masturber ? Ça n'a pas été nécessaire … j'ai joui quand tu as éjaculé dans ma bouche la première fois ..

- Ah bon ? Comme ça … tout seul ?

- Oui … tout seul …


Je balance le mouchoir par ma vitre et, toujours à genoux sur mon siège, je me penche encore une fois sur son ventre et je pose des baisers tout le long de sa verge … jusque sur ses couilles, avant de remonter et de finir par un baiser sur son gland. Ça le fait rire:

- Tu vois, ma femme, elle me fait même pas ce genre de chose.


Je me redresse:

- Quel genre de chose ?


Tout en se penchant pour attraper la ceinture de son caleçon et le remonter sur ses cuisses, il poursuit: 

- Ben ça … m'embrasser la bite …

- C'est sûrement parce qu'elle aime pas la bite. Elle te suce, quand même ? 


Maintenant, il remonte son jean, il soulève ses fesses de son siège et il finit de remettre caleçon et pantalon:

- Ouais, mais il faut vraiment que j'insiste … et de toute façon, elle suce pas aussi bien que toi.


Je me rassieds à ma place et:

- C'est pareil, elle aime pas la bite et elle te suce seulement par devoir ... pour pas que t'ailles voir ailleurs. Bon, on y va ?

- Ouais.


Il redresse son dossier, il ravance son siège, il boucle sa ceinture de sécurité, et, la main sur sa clef de contact, il demande:

- On va où ?

- Tu me ramènes à ma voiture … elle est garée sur le parking de la grande plage, pas loin de chez toi … tu sais, il y a un hôtel …

- Ah oui, je connais. OK. C'est parti.


Une fois que nous sommes sur la route, je tends le bras et je pose la main sur son paquet. Il me jette un coup d'œil:

- T'as déjà été dans le bois, en haut des dunes au-dessus de la plage ?

- Non. Il y a un bois en haut des dunes ?

- Ouais. Tu connais pas ?


Il a un petit sourire ironique. J'ai l'impression qu'il ne me croit pas.

- Ben non … je connais pas. Je ne suis pas d'ici, et je ne suis là que depuis quatre ou cinq jours. Pourquoi tu me demandes ça ? 

- Non, comme ça … c'est un bois où les … où les … où les homos de la région se retrouvent …

- Ben non, je n'en ai pas entendu parler. C'est où, exactement ?

- Au-dessus de la plage … tout en haut des dunes … y'a un bois … enfin, il paraît … j'y suis jamais allé … mais ça se sait dans la région … 


Il réfléchit quelques instants, puis il reprend:

- De toute façon, ça m'étonnerait qu'ils y viennent en ce moment … ça doit être plutôt l'été … T'habites pas dans le coin, alors …

- Non. Je suis seulement de passage. J'avais des affaires à régler.

- Tu repars quand ?

- Je sais pas encore … ça dépend pas de moi …

- On pourra peut-être se revoir, alors … avant que tu repartes …

- Tu veux me revoir ?

- Ben … oui.


En moi-même, je me dis que si on se revoit, cette fois, il faudra bien qu'il me baise. Je ne peux pas laisser passer l'occasion:

- Demain ?

- Ah non, demain c'est pas possible. C'est dimanche et je suis invité chez mon frangin …

- Avant … ou après …

- Ben non … j'y passe toute la journée … je dois l'aider à remettre le moteur de son quad en état …

- Alors le soir, chez toi … ta femme est pas là, tu m'as dit …

- Chez moi, j'aimerais mieux pas … à cause des voisins …

- Lundi, alors …

- Lundi, je bosse … samedi prochain … tu seras encore là, samedi ?

- Je ne sais pas … peut-être … t'as qu'à me donner ton téléphone, je t'appellerai.

- Ben … je t'ai dit, j'ai pas de portable

- T'as pas de ligne fixe, non plus ?

- Si, mais … j'aimerais mieux que tu m'appelles pas sur ma ligne fixe …

- T'inquiètes pas, si je tombe sur ta femme, je lui dirais pas que je t'ai taillé une pipe …


Il rit:

- T'es con … bon, OK. Tu notes ?


Je sors mon portable et j'enregistre son numéro. S'en suit un long silence, puis il demande:

- Si t'es pas d'ici, tu loges où ?

- Dans un gite. T'as qu'à venir … un soir de semaine, après le travail …

- C'est pareil, je peux pas … ma femme va m'appeler et si je suis pas à la maison, elle va se poser des questions …

- Alors, même quand elle est pas là, elle te tient en laisse …


Il hausse les épaules, fataliste. Nouveau silence, puis:

- C'est vrai ? Quand tu reviendras, tu m'appelleras ?

- Oui. Peut-être pas d'ici à ce que je reparte, mais de toute façon il faudra que je revienne … au printemps … ou cet été … je pense que je vais m'installer dans le coin … au moins en résidence secondaire …

- Ah OK.

- Mais … si je t'appelle, tu pourras te libérer facilement ? En semaine tu bosses, et le week-end, je suppose que ta femme est là …

- Ben, je … je sais pas …

- T'as pas … un hobby, un loisir, une occupation que tu pratiques seul ?

- Pour quoi faire ?

- Ben, pour pouvoir te barrer de chez toi sans que ta femme te colle … genre pêche à la ligne, club de pétanque, jogging …

- Ah d'accord … ben non. Je fais du modélisme … des maquettes … mais ça, c'est à la maison …

- Ouais … faudra que tu trouves quelque chose, alors …

- Ouais, je vais voir.


D'un seul coup, je suis pris d'une fringale … mon estomac fait des bruits. Je réalise qu'à part une tasse de café, ce matin avant de partir, je n'ai rien avalé depuis vingt quatre heures … il y a bien eu le verre que j'ai pris avec le gendarme hier soir et les deux bières dans ce café de Pors-an-Enez … ah oui, et les deux éjaculations de Bernard ... mais ça ne suffit pas pour couper la faim. Alors:

- Tu ne connais pas un commerce ouvert ce matin, où je pourrais acheter à manger ? J'ai une fringale …

- Si, il y a un supermarché pas loin … il est ouvert le dimanche matin.

- Emmène-moi.

- OK.


Si c'est un libre-service, c'est bon … je n'aurais pas besoin de parler à la caissière et je pourrais garder mon écharpe sur le nez pour dissimuler mon visage. Dix minutes plus tard, nous y sommes. Il y a une dizaine de voitures sur le parking. Je récupère mon écharpe, ma doudoune, je l'enfile et, la main sur la poignée, je demande à Bernard:

- Tu m'accompagnes ?

- Oh non. Il y a peut-être des gens qui me connaissent … si ils me voient avec toi …

- Comme tu veux. 


Je descends, je rajuste ma robe, je mets ma capuche sur ma tête, j'enroule mon écharpe autour de mon cou et de mon menton, et en avant … 


Un peu de monde dans le magasin … des petits groupes de deux ou trois personnes, assez âgées, pour la plupart, discutent, agglutinées entre les rayons … Je ne passe pas inaperçu … à cause de ma taille, hors norme pour une fille, je pense … mais des hommes, des vieux et des jeunes, une lueur lubrique dans les yeux, me reluquent aussi pour une autre raison … de toute évidence, c'est mes formes, et en particulier mon cul, qui attirent leurs regards … délicieuse sensation … j'adore ces regards libidineux qui me déshabillent, qui me caressent, qui s'insinuent virtuellement sous ma robe et sans doute en moi … j'aimerais tellement pouvoir leur montrer qui je suis vraiment, et leur faire savoir qu'ils peuvent toucher s'ils en ont envie … et pourquoi pas, qu'ils peuvent me trousser là, au milieu de ce magasin, les jambes écartées, le torse vautré au milieu de cet étal de fruits et de légumes, et me prendre devant les autres clients … Ça y est, me voilà parti dans un nouveau délire … un frisson me parcourt le bas-ventre et l'anus … je me demande si je ne commence pas à bander un peu .. mais je n'ose pas regarder si ma queue fait une bosse sous ma robe …  


A défaut de me faire sauter en public dans ce supermarché, déjà, rien que me balader comme ça, au milieu des clients et des employés, avec mon cul et ma bite à l'air sous ma robe, c'est waouuuhhhh ! D'un seul coup, j'entends toussoter avec insistance juste derrière moi. Je me retourne … c'est Bernard. Finalement, il s'est décidé à me rejoindre. Il me sourit:

- Tu trouves ce qu'il te faut ?

- Plus ou moins …


En fait, tout à ma rêverie, je n'ai encore rien acheté. Lui, il a bien surmonté sa peur de rencontrer des gens qu'il connaît en ma compagnie, mais il n'arrête pas de regarder autour de nous avec un air inquiet. Saisi d'une soudaine inspiration, je lui prends le bras comme le ferait sa femme. Par réflexe, il tente de se dégager, mais je résiste. Mon pote, tu n'as qu'à assumer … Il cède, mais il baisse le nez, comme pour éviter le regard des autres clients … et nous voilà, déambulant, bras dessus, bras dessous, au milieu du magasin … je ne cherche pas vraiment ce dont j'ai besoin … nous flânons entre les rayons pour faire durer le plaisir …  et je guette les réactions des gens … beaucoup ne nous remarquent pas, mais certains nous fixent, un peu étonnés, un peu amusés … il faut dire, je fais presque une tête de plus que Bernard … ils doivent se dire que nous formons un drôle de couple … et puis, peu à peu, je sens Bernard se décontracter … il relève la tête … et lui aussi observe ceux que nous croisons … Mais … ma parole … il se redresse comme un coq ! 


- Hé, dis, t'as vu ? Eux aussi, ils te prennent pour une fille !


Ah, OK ! C'est ça ! Il ne voulait pas qu'on le voit avec un travelo … mais maintenant, on dirait qu'il se sent fier de traîner dans ce magasin au bras d'une " fille " qui attire comme ça les regards concupiscents des autres mâles …  il doit se dire qu'ils sont jaloux et qu'ils l'envient … il s'arrête, il approche de mon oreille, et me murmure:

- Ils ne se doutent sûrement pas que sous sa robe, la fille, elle a une bite !

- Et que tout à l'heure, la fille, elle t'a sucé la tienne, de bite …


Il est content de lui, le Bernard … moi aussi … cette situation, cette complicité avec ce mec, hhhhmmmm, j'aime ! 


A tourner entre les rayons, nous finissons par nous retrouver au bout du magasin, entre les eaux en bouteille et les jus de fruit … il n'y a personne … alors je stoppe Bernard, je lui fais face, je soulève le bas de ma robe et je lui lance:

- Tu veux la voir, ma bite ? Regarde !

- Rhôô ! T'es con ! Tu vas nous faire repérer !

- Mais non …


Je le fixe, les yeux dans les yeux et je plaque ma main sur son bas-ventre:

- Tu veux que je te suce ici ?

- T'es dingue, hein …


A moitié inquiet, à moitié amusé, il regarde, derrière moi, l'angle du rayon d'où quelqu'un peut surgir à tout moment … je lui pétris le paquet à travers la toile de son pantalon … et il se laisse faire …


- Allez, sors ta bite … je te suce …

- Non, non …


Il me chope par le coude, il me fait pivoter et il me pousse devant lui vers l'extrémité du rayon … au moment où nous nous apprêtons à en sortir, une petite grand-mère arrive, poussant son chariot de courses devant elle:

- Pardon, messieurs-dames … vous voulez être gentils et m'attraper un paquet d'eau gazeuse, là-haut ? Je suis trop petite, et ils mettent toujours ça tout en haut.


Bernard me lâche le coude, et fait demi-tour:

- Bien sûr, madame … laquelle vous voulez ?

- Celle-ci, là …


En une fraction de seconde, je comprends comment exploiter la situation … je me précipite, je bouscule Bernard et j'attrape un paquet de six bouteilles en haut du rayon … bien sûr, comme je lève les bras, ma robe remonte et je sens l'air frais me caresser les fesses … le pack de bouteilles dans la main, je soulève le rabat en toile du chariot de la grand-mère:

- Je vous le mets dedans ?

- S'il vous plaît … ah, vous avez de la chance d'être grande comme ça … merci, mademoiselle …


Et puis, avec un sourire malicieux:

- Si vous voulez écouter le conseil d'une grand-mère … vous devriez mettre une petite culotte, mademoiselle … avec ce froid, vous pourriez attraper un rhume … encore merci !


Et elle s'éloigne. Bernard:

- T'es con, hein … elle a vu ton cul !

- Non … tu crois ?


Et je me marre.


- Merde, tu l'as fait exprès ? Bon, allez, on se barre …

- Attends, j'ai pas fini mes courses …

- Ouais, ben arrête tes conneries … j'ai pas envie qu'on se fasse repérer …

- Cool, cool, mec … ça l'a fait rire, la grand-mère …


Il s'éloigne en bougonnant … Alors je prends quelques bricoles au rayon salades et sandwichs, au rayon charcuterie, au rayon viennoiseries, aux fruits, à la boulangerie et je me dirige vers une caisse. 


Quand je rejoins Bernard, il est déjà installé dans sa voiture, avec l'air renfrogné. Je pose mes courses sur la banquette arrière et je m'assieds:

- Allons-y.


Il démarre tandis que j'attache ma ceinture de sécurité et que je descends le zip de ma doudoune. Je l'observe. Il fait la gueule et il évite de me regarder. Alors je m'approche et je pose ma main sur son paquet, à l'angle de ses cuisses.


- Laisse-moi.


Mais il ne fait pas un geste pour repousser ma main. J'enfonce mes doigts entre ses cuisses serrées, et:

- Arrête de faire la gueule … c'est pas grave …

- Ouais … c'est facile pour toi, personne te connaît, ici … Imagine, si on était tombé sur un voisin à moi …

- Bon, OK … mais on n'est pas tombé sur un voisin à toi …

- Mmmmmm …


Il reste ombrageux comme ça pendant un moment, et puis, comme je bouge mes doigts avec difficulté contre ses couilles, il finit par écarter les cuisses et il sourit. Je détache ma ceinture de sécurité, je m'approche encore un peu de lui et j'entreprends de déboucler la ceinture qui retient son pantalon … il se laisse faire … j'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son caleçon … sa bite est toute recroquevillée, la tête en bas … délicatement, je la redresse et je rabats la ceinture de son caleçon jusque sous ses couilles … voilà, il se remet à bander … je le caresse un peu du bout des doigts … hhhhmmmm, ce long prépuce … 


- Je vais encore te sucer, Bernard …


Il me regarde et secoue la tête d'un air blasé:

- T'en as jamais assez, toi … 

- Non. Je suis en manque.

- Bon, vas-y, alors … mais je te préviens, cette fois, je pourrai sûrement pas jouir …

- T'as pas un copain, à qui je pourrais tailler une pipe ?

- Un copain ?

- Oui … quelqu'un qui aime bien se faire sucer … tu m'as parlé de ton frère, tout à l'heure …

- Ah non … sûrement pas mon frère !

- Ben quelqu'un d'autre, alors … tu m'emmènes à lui, et je le suce …

- Non, je connais personne à qui je pourrais t'emmener …

- Dommage.


Et il soulève son bras droit, comme pour me laisser la place de me pencher sur son ventre … je prends son sexe dans ma bouche … hhhhhmmm, c'est tellement bon ! Il pose sa main sur mon cou et il me caresse doucement … j'ai eu beau lui nettoyer la bite à fond tout à l'heure avec ma langue, elle sent encore un peu le sperme … c'est un régal, et je salive abondamment … je le suce longuement comme ça, avec son gland encore enveloppé dans son prépuce … ça m'excite de plus en plus et je le pompe de plus en plus fébrilement … et je finis par le décalotter … il bande fort et il est vraiment très raide … oh la la, j'espère que je vais quand même arriver à le faire jouir une troisième fois … je me branle tout en le suçant … 


- Faut que t'arrêtes, on est bientôt arrivés …

- … 

- T'entends ? On est bientôt à la plage.


Il clignote, il ralentit et je sens qu'il déporte sa voiture sur la droite … je ressens les chaos du bas côté …


- Allez, arrête, maintenant.


Il passe sa main sous mon menton et il me repousse. Je me relève. On est stationnés sur le bas côté, à mi pente de la route qui aboutit au parking où j'ai garé ma voiture. Je l'aperçois, d'ailleurs, derrière d'autres voitures. Il y a du monde, maintenant. D'autres voitures nous dépassent, qui descendent vers le parking. Bernard remballe sa bite et ses couilles, referme sa braguette et reboucle sa ceinture. Il me regarde en souriant:

- Finalement, je vais quand même essayer de me débrouiller pour venir chez toi un de ces soirs … ça te dérange pas ?

- Non … mais … et si ta femme t'appelle …

- Je m'arrangerai …

- Ben d'accord, OK. Je vais te donner mon numéro pour que tu m'appelles quand tu peux venir … t'as un papier et un crayon ?

- Ouais … stylo dans la boîte à gants … et doit bien y avoir un papier … 


Je fouille, je trouve un stylo et une facture de contrôle technique. Je note mon numéro dans un coin, et en remettant le tout en place:

- Tu m'appelles et je te dirai où il est, mon gite ..

- Ça te … ça te gêne pas, que je vienne te voir … vis-à-vis de gens qui te logent ?

- Non. C'est un gite, mais ça ressemble plus à un motel … tu sais, un peu comme ceux qu'on voit dans les films américains … l'entrée de chaque chambre est indépendante, et le soir, la gérante ferme son bureau et elle rentre chez elle … 

- Bon, très bien …

- Tu sais, si tu viens, je veux bien encore te tailler une pipe, mais j'aimerais bien que tu me baises, cette fois …

- Ah non ! Je t'ai dit … ça, je pourrais pas …

- Attends ! J'aurai le cul hyper clean … je me fais toujours plusieurs lavements … moi non plus, j'aime pas que les mecs trempent leur queue dans la merde … et même, si tu veux, tu pourras mettre une capote …

- Pfffffff ! Bon, on verra … mais je te promets rien …

- OK.

- Dis … tout à l'heure, tu parlais … tu m'as dit que … si je connaissais quelqu'un … tu serais prêt à le sucer …

- Oui.

- Ben … si je viens à ton gite … si … si j'amène quelqu'un … ça te … ça serait possible, que tu nous suces tous les deux ?

- OUI, OUI, OUI ! ! ! Tu connais quelqu'un ?

- Je … je suis pas sûr, mais peut-être … un collègue … il parle tout le temps de cul, et je crois qu'il baise avec des mecs ...

- Ben oui, alors ... viens avec ton collègue … 

- Mais … tu me dis oui, et tu le connais même pas …

- Toi non plus, je te connais pas … et je t'ai sucé, non ?

- Oui, c'est vrai.

- Bon, allez, descends jusqu'à ma voiture.


Il redémarre. Au moment où on arrive sur le parking, le break qui était garé juste à côté de ma voiture amorce une marche arrière pour s'en aller. Bernard attend qu'il s'éloigne, et il prend sa place, à droite de ma voiture. Je me retourne, je récupère mon écharpe et mes courses sur la banquette arrière et, avant de descendre, je fouille dans la poche de la doudoune, je sors mon string et je le tends à Bernard:

- Tiens … cadeau …


Il ouvre des yeux ronds:

- C'est à toi, ça ?

- Oui. Et maintenant, c'est à toi.


Il hésite, il prend ma petite culotte et me tend la main, visiblement pour que je la lui serre. Alors, je m'approche et je lui pose un baiser sur la joue. Et je descends. L'air frais sur mes fesses me rappelle que ma robe est remontée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre … et j'ai le cul à l'air … Bernard, mi souriant, mi inquiet, vérifie aux alentours si quelqu'un peut me voir. Mais je suis entre nos deux voitures. J'ouvre ma portière, je balance mes effets sur le siège passager et je m'installe. Bernard manœuvre et s'éloigne pour faire demi-tour au bout du parking. Je fais comme lui et je prends la route de mon gite.


Hhhhhhmmmm, ça y est, je me suis de nouveau tapé une queue ! Et puis, c'est décidé, je rentre à mon gite dans cette tenue ... je ne me change pas. Ce matin, pour sortir, j'avais enfilé un pantalon par dessus ma robe et mon collant pour le cas où je rencontrerais la gérante ou un autre client, mais maintenant, je m'en fous … en principe, le dimanche, la gérante est dans son bureau jusqu'à midi, mais tant pis si elle me voit comme ça … à la limite, je me garerais à l'extrémité du parking … comme ça, je ne serai pas obligé de passer devant son bureau pour gagner ma chambre …


Dimanche 17 décembre. 18h30

Je viens tous juste de me réveiller. Quand je suis rentré, ce matin, vers les onze heures et demie, je n'ai rencontré personne devant le gite. J'avais tellement la dalle que j'ai mangé tout de suite … et je me suis allongé sur le lit, histoire de récupérer un peu, mais je me suis endormi … sans doute l'effet du grand air sur la plage et le sentier côtier, et aussi d'avoir sucé ce mec et d'avoir pris mon pied.


J'avais plus ou moins prévu de ressortir cet après-midi et d'aller traîner en ville, habillé en fille comme ce matin … Tant pis. Et puis là, il pleut. Pourtant, ce matin, il faisait plutôt beau …


Lundi 18 décembre. 9h00

Il pleut encore. Et il faut que je tue cette journée. 


Ça y est, la mécanique s'est vraiment remise en route … je suis de nouveau taraudé par des envies de queues. Mais avec ce temps, cette pluie et ce froid, c'est pas aujourd'hui que je vais pouvoir aller draguer des mâles. 


Lundi 18 décembre. 19h00

Je viens de rentrer et j'ai commencé à essayer mes emplettes du jour. 


Ce matin, je suis passé voir où en est Gégé de ses travaux de peinture. Il a quasiment fini. Il a entrepris de ranger et de nettoyer. Je lui ai dit qu'il pouvait rester dans la maison pour le moment, et qu'il y serait mieux que dans son blockhaus sans eau et sans électricité. Il n'a dit ni oui ni non, mais j'ai l'impression qu'il va rester.


Après, je suis retourné dans la zone commerciale. D'habitude, les boutiques sont fermées le lundi, mais comme nous sommes à quelques jours de Noël, elles étaient exceptionnellement ouvertes. J'avais envie de m'acheter un peu de lingerie. Si Bernard vient me voir au gite, il faut que je lui donne envie de me baiser. Ma robe, mon collant ouvert et ma doudoune, c'était très bien pour l'extérieur, mais je ne peux pas le recevoir comme ça dans ma chambre. J'ai de nouveau fouillé dans les rayons du magasin où samedi j'ai acheté ma robe et le reste … la connasse de vendeuse n'y était pas … dommage, ça m'aurait bien plu de lui mettre sous le nez des trucs encore plus " sexe " qu'une robe, un collant et un string.

 

Cette fois, j'ai trouvé trois nuisettes … une en voile de tulle noir transparent, très courte, avec une bordure en dentelle jaune au niveau de la poitrine – j'ai pratiquement la même chez moi, en Seine-et-Marne -, une en lycra beige, très douce au toucher et très moulante, et une rouge, également transparente, ouverte devant, avec des petits nœuds … j'ai aussi trouvé quelques strings, certains plus ou moins assortis à mes nuisettes, c'est-à-dire deux noirs et deux beiges, ainsi qu'un rose fluo – ceux-là, je les adore - et un rouge vif … et j'ai pris trois paires de bas … une paire de noirs, une paire de rouge vif et une paire de jaune moutarde … mais il n'y avait pas de porte-jarretelles qui me plaise ... Quand je suis passé à la caisse, la collègue de la connasse m'a reconnu, il me semble, mais elle n'a pas commenté, elle est restée impassible. Dans les autres commerces de la zone, je n'ai pas trouvé non plus de porte-jarretelles sympa. 


J'en ai trouvé un en ville, dans une boutique de lingerie … la commerçante est charmante ... elle a cru que j'achetais des cadeaux pour ma femme ! Oui, là aussi les commerces sont ouverts … j'ai pris un porte-jarretelles en dentelle noire et un en lycra rouge … Ça devrait le faire, avec Bernard … je sais l'effet que je fais aux mecs quand je leur mets mon cul sous le nez dans ce genre de tenue … j'ai un peu hésité, mais je suis aussi entré dans une parfumerie et je me suis offert un flacon d'Opium … ce parfum, je l'associe instinctivement au sexe … ça date de l'époque où j'ai commencé à fourrer mon nez - et ma bite - dans la lingerie de Marie-Claire, ma patronne … pratiquement toutes ses petites culottes, ses nuisettes, ses bas et sa lingerie en sont imprégnés, même après être passés au lave-linge … il doit y avoir je ne sais quoi là-dedans, qui agit comme des phéromones et qui me déclenche automatiquement des envies de sexe … à mon avis, ce n'est pas un hasard si la lingerie "hot" de Marie-Claire embaume ce parfum … elle doit en mettre quand elle baise … j'espère qu'il agira sur Bernard comme il agit sur moi … sur Bernard et sur son collègue, si il amène son collègue … 


Voilà, j'ai fini d'essayer ma lingerie. Putain, l'image que m'a renvoyé le miroir de la salle d'eau dans mes différentes tenues … si Bernard résiste à ça … même moi, mon image m'excite et me fait bander ! Déjà, simplement essayer de la lingerie neuve, ça m'a toujours excité. Là, je bande et ma queue a commencé à baver un peu de fluide. Le seul truc, c'est que toute cette lingerie sent le neuf … littéralement … non seulement les matières sont encore un peu raides, mais elles sentent vraiment le tissu neuf … Il y a un lave-linge dans la cuisine commune du gite. Alors, je commence par tremper le tout dans mon lavabo … nuisettes, bas, strings, porte-jarretelles … avec un peu de gel douche et quelques gouttes d'Opium … on verra bien ce que ça donne … puis je porte tout ça à la cuisine et je fais tourner une machine avec un programme court et pas trop de lessive … je reste à côté jusqu'au bout … il ne faudrait pas que quelqu'un d'autre vienne faire une lessive et tombe sur ma lingerie en ouvrant le tambour … quand c'est fini et que j'ouvre le hublot, je reconnais les effluves du parfum … ouaiiiiiiis, c'est exactement ce que je voulais … l'odeur est là, mais pas trop forte, pas trop puissante … j'adore ! Presque immédiatement, quand cette senteur atteint mes récepteurs olfactifs, une petite décharge électrique me parcourt le sexe … hhhmmmm !

 

 

 

Pour lire la suite, cliquer ici: Gégé à Plouménez

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 8 avril 2019 1 08 /04 /Avr /2019 01:00

Ça, il fallait bien que je l'essaie ... la double pénétration anale.

 

Voici une compilation de mes premiers essais. Excusez la qualité médiocre des images. A 'époque, je filmais avec mon premier apparail photos et la défininition n'était pas très bonne.

 

Doubles pénétrations 002 Les débuts 

 

Vous verrez, j'essaie différentes combinaisons: ma bite et un godemiché, ma bite et un saucisson, un saucisson et un godemiché, un godemiché et un plug en silicone de ma fabrication.

 

Tout ça, c'était pour le fun, mais le fantasme, c'est évidemment de me faire vraiment prendre en même temps par deux mâles, un dessus et un dessous ... et les sentir prendre du plaisir en moi, leurs bites se frottant l'une contre l'autre dans mon cul, et surtout, les sentir jouir tous les deux au fond de mon ventre !

 

 

 

 

 

Une précédente vidéo de double pénétration en cliquant sur cette photo:

Doubles pénétrations 001

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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Mercredi 3 avril 2019 3 03 /04 /Avr /2019 01:00

Alex Bali ... voilà quelqu'un qui a un peu les mêmes goûts que moi ... travestissement, lingerie féminine, leggings ultra moulants.

 

Il m'a proposé quelques photos que je partage avec plaisir avec vous.

 

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Par Solosexe - Publié dans : Contributions - Communauté : TRAVESTIS
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Vendredi 29 mars 2019 5 29 /03 /Mars /2019 01:00

Vous connaissez mon goût pour les balades en tenue "hot" ou avec la bite à l'air, que ce soit à pied ou en voiture. En voici une nouvelle illustration. 

 

Cette fois encore, je visite le Finistère en voiture. Plus particulièrement une petite ville portuaire. Pour être à l'aise, au lieu de porter un pantalon ou un short masculin, j'ai opté pour une minijupe en jean.

 

Quand j'écris "une minijupe", je ferais mieux d'écrire une "microjupe" tellement elle est courte. Et sous cette micro jupe, je porte un ... micro string en dentelle rose.

 

Le début de cette vidéo est assez sage ... on devine à peine ce string entre mes cuisses.

 

Tourisme en Finistère 006 a

 

Mais vous savez comment ça fait quand on est assis en jupe ... sans qu'on le veuille, la jupe finit toujours par remonter toute seule. Et on commence à voir un peu mieux mon paquet moulé dans la dentelle.

 

Tourisme en Finistère 006 b 

 

Et puis ... et puis ... les vibrations ... le plaisir de rouler comme ça dans la campagne ... et puis de circuler en ville ... l'excitation de croiser d'autres automobilistes, de passer à côté de piétons ... forcément, je finis par me toucher ...

 

Tourisme en Finistère 006 c 

 

Je finis par me toucher, et même un peu plus ... mais ça, pour savoir, il faut avoir la patience de regarder cette vidéo jusqu'au bout ...

 

 

 

D'autres vidéos de tourisme en cliquant sur ces photos:

Tourisme en Finistère 005 Tourisme en Finistère 004

Par Solosexe - Publié dans : Exhibitions - Communauté : TRAVESTIS
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Dimanche 24 mars 2019 7 24 /03 /Mars /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Dimanche 17 décembre. 


J'ai perdu la notion du temps. Je ne sais pas quelle heure il est … vers les dix heures … dix heures et demie ?


Je suis complètement … retourné … bouleversé … affolé …

 

JE SUIS EN TRAIN DE SUCER UNE BITE !!!

 

Oh la laaaaa, ce que j'aime ça ! Encore une fois, c'est la bite d'un type que je ne connais pas … il y a dix minutes ou un quart d'heure, il m'a surpris en train de me tripoter sur la terrasse d'une résidence secondaire où je m'étais introduit … en fait, c'est un voisin qui venait ouvrir la maison avant l'arrivée des propriétaires … sous l'effet de la surprise, j'ai commencé par me sauver, et lui, croyant que j'étais une fille, il m'a rattrapé, visiblement attiré par mon cul … oui, parce que, entre autres, je porte une micro robe ultra courte et ultra moulante qui met mes fesses particulièrement en valeur … quand il a réalisé que j'étais un mec, c'est lui qui a détalé … et puis, réflexion faite, il m'a attendu, soit disant pour discuter … mais à mon avis, ce n'était qu'un prétexte … il devait quand même avoir une idée derrière la tête … ou plutôt, une idée derrière la braguette … de fil en aiguille, je me suis retrouvé dans sa voiture, et sa braguette, je l'ai ouverte, je l'ai explorée et j'ai commencé à lui tripoter la bite … et maintenant … et bien maintenant, je suis en train de la lui sucer, sa bite … il y avait tellement longtemps … hhhhmmmm, ce que c'est booooooon !


Après quelques jours de doute, de questionnements et de fuite, il ne m'a pas fallu longtemps pour que mes démons reprennent le dessus … il faut dire, j'ai eu Pierrot au téléphone … Pierrot, c'est l'éleveur de ces magnifiques molosses qui m'ont grimpé … il m'a enfin envoyé les vidéos de son Gordo, le Mastiff, en train de me saillir et de me "féconder" dans l'écurie de Jean-Claude … vidéos que j'ai longuement regardées, évidemment … et Pierrot, il m'a confirmé qu'il va me faire venir chez lui, qu'il va me faire visiter son élevage et qu'il va me présenter ses autres chiens … enfin, je crois qu'il a surtout l'intention de me présenter À ses autres chiens … " regardez, les chiens, ce que votre papa vous a ramené … vous allez pouvoir vous amuser " – Pierrot, il n'arrête pas de parler à ses chiens en les appelant "fils", alors Pierrot, c'est un peu leur "papa" - … le papa, donc, il veut leur faire plaisir, à ses chiens, et pour ça, le papa, il a l'intention de ME LIVRER à eux, ses MOLOSSES ! Pas pour qu'ils me bouffent, les bestiaux, non, pour qu'ils aient du sexe avec moi ! Ce mec veut tout simplement M'UTILISER comme un jouet sexuel pour ses chiens ! Parce que pour lui, c'est ça, le but … me mettre sexuellement à la disposition de ses mâles, de ses énormes mâles, de ses superbes mâles … je pense qu'il veut m'amener à chacun d'eux, l'un après l'autre, il veut que chacun d'eux me monte dessus, il veut que chacun d'eux me saillisse, il veut que chacun d'eux me baise et me féconde ! 


Alors quand j'y pense, cette perspective me rend folle ! Je n'en reviens pas d'en être arrivé là ! Jamais je n'aurais imaginé qu'une chose pareille puisse m'arriver … oh, bien sûr, mon fantasme de me faire grimper et saillir par un chien - et même par un cheval - remonte déjà à loin … mais ce n'était qu'un fantasme, une divagation, un délire … c'était abstrait et ça me semblait tellement invraisemblable, tellement irréalisable … et puis voilà … il a suffi d'un enchaînement de circonstances, de ma rencontre avec un cultivateur, propriétaire de chiens, intéressé par ce genre d'expérience, de ma totale déshinibition vis-à-vis de la débauche la plus hors norme, d'une irrépressible pulsion et de l'absence totale de peur …

 

ET ÇA M'EST ARRIVÉ !

JE ME SUIS FAIT COUVRIR PAR DES CHIENS !


 

Alors, mon fantasme une fois assouvi, ça aurait pu, ou ça aurait dû s'arrêter là … mais non, bien au contraire … ça n'a fait qu'intensifier mon envie, ça n'a fait que renforcer ma détermination … non seulement c'était anatomiquement possible de se faire saillir par un chien, et même par un énorme chien, mais surtout, c'était un bonheur, une extase, une ivresse incroyables, non seulement au point de vue anal, maus aussi cérébral ! Ces amants extraordinaires, avec leurs énormes appareil génitaux, m'ont véritablement comblée … physiquement et mentalement ... c'était … vertigineux … c'était tellement bestial et en même temps tellement voluptueux … ils m'ont fait me sentir tellement … FEMELLE ! Ils m'ont fait me sentir tellement femelle qu'ils m'ont rendue accro et j'ai tout de suite eu une folle envie de recommencer. Comment, après avoir ressenti ça, après avoir senti ces bêtes se riveter dans moi, après les avoir senti me dispenser leur semence dans les entrailles pour … pour me faire des petits, comment j'aurais pu renoncer ? 


Ensuite, pour mon plus grand bonheur, le hasard - mais était-ce vraiment le hasard ? – le hasard, cette fois, a mis sur ma route un éleveur de molosses ... ce Pierrot … ce Pierrot qui, au premier abord, s'est montré menaçant et susceptible de me mettre en danger, et qui a fini par se révéler particulièrement tordu et surtout aussi dépravé et amoral que moi … Ce jour-là, chez Jean-Claude, pour ce Pierrot, cette séance sexuelle entre ses deux molosses et moi s'est muée en test de compatibilité … oui, ses chiens avaient envie de me saillir, oui, ils arrivaient à le faire, ils arrivaient à se verrouiller et à mener cette saillie à son terme ... mais il s'était aussi rendu compte que moi, j'aimais forniquer avec les chiens, et que je ne demandais qu'à recommencer …

 

Alors on va le refaire ! Certes, j'anticipe déjà l'ivresse que les multiples copulations bestiales qui m'attendent vont me procurer, j'imagine la volupté de ces accouplements soit-disant contre nature avec ses chiens, de ces coïts réprouvés par la morale publique … mais avant cela, autre chose me grise et m'exalte … finalement, Pierrot, ça reste un type que je ne le connais pas, puisque je ne l'ai rencontré qu'une fois, il y a moins d'un mois chez Jean-Claude, et pourtant, ce type me considère déjà comme un objet, comme une chose dont il peut disposer à son gré pour le plaisir sexuel de ses molosses - et accessoirement pour les chiens de ses copains !

 

Est-ce que je me sens rabaissé, avili, humilié ? La connaissance abstraite, théorique, que j'ai de la société, de ses règles, de sa morale, me souffle bien que oui, je devrais me sentir rabaissé, avili, humilié. Mais en fait, pas du tout … ni rabaissé, ni humilié, ni avili ! C'est même le contraire. Par une espèce d'inversion de valeurs, j'en éprouve une espèce de fierté … D'abord "fille facile" pour les hommes … et même "fille publique" pour les hommes … et maintenant "fille publique" pour les chiens … "chienne publique" en somme … vide-couilles inter-espèces, viande à bites universelle …


Mais ça, cette séance, ce "gangbang" avec les chiens de Pierrot, j'ai quand même du mal à imaginer comment ça va se passer … pas comment ça se passe de se faire saillir par un chien … non, ça je connais, puisque ça m'est déjà arrivé quatre fois … mais me faire couvrir À LA CHAÎNE par des clebs … Oh, je ne me demande pas si ils vont avoir envie de me grimper … j'ai bien vu, les deux dogues allemands de Jean-Claude, le Cané corso et le Mastif de Pierrot n'ont pas hésité une seconde, ils m'ont tout de suite prise pour une femelle … il n'y a pas de raison que les autres ne veuillent pas me sauter … je n'ai pas non plus de doute sur l'aptitude de mon rectum à accueillir en nombre des appareils génitaux aussi imposants et aussi étranges que ceux de ces chiens … non, c'est plus sur le déroulement de cette séance que je m'interroge, sur son organisation … surtout que, d'après ce que Pierrot m'a dit, ça devrait se passer en public … un public sélectionné et trié sur le volet, mais un public quand même … 


Et puis, j'ai eu aussi Philippe au téléphone … Philippe, c'est celui qui m'avait organisé un gangbang de mecs. Il aimerait bien recommencer. Et justement, j'ai fait visionner des vidéos de ce gangbang géant à ce connard de gendarme … Alors, forcément, à revoir, à revivre tout ça, mes envies de bite qui s'étaient mises en veilleuse après que j'aie retrouvé Christine, mon ex, se sont brusquement réveillées … alors quand je dis que mes démons ont repris le dessus … ces démons là, je les adore ! De nouveau, je me sens incapable de résister à la vue de la bite d'un homme …


La bite du mec que je suis en train de sucer n'a rien d'exceptionnel, d'ailleurs … mais c'est une bite ! Ah si, quand même … il a un prépuce d'une longueur hors du commun … je n'en ai jamais vu d'aussi long et, je ne sais pas pourquoi, ça m'excite … il est particulièrement agréable dans ma bouche, ce long étui de peau, chaud et doux … Là, tout de suite, son prépuce, je le sens qui s'appuie contre mes amygdales … Hhmmmm, tout à l'heure, c'est là, dans ma bouche et dans ma gorge que ce type va répandre sa crème ! J'ai hâte de sentir sa semence jaillir et s'écouler dans mon œsophage … et en même temps, j'ai envie qu'il se retienne le plus longtemps possible. 


Lentement, je remonte ma tête en serrant sa verge entre mes lèvres … jusque sous son gland … je le titille à nouveau un peu du bout de ma langue, et je finis par le sortir de ma bouche … dans le même mouvement, je descends ma langue sur la face avant de sa verge, contre son urètre … je soulève ses couilles dans le creux de ma main et, à leur tour, je les lèche, je les embrasse … Puis je me redresse et, tout en le masturbant:

- Elle me plaît beaucoup, ta bite … mais tu sais, si tu préfères, tu peux me baiser …

- Ah non … je t'ai dit ... ça, je fais pas …

- J'ai des capotes, tu sais … et j'ai le cul parfaitement clean … tu peux y aller tranquille …

- Non, non … je préfère que tu me suces … mais, j'aimerais mieux qu'on aille faire ça ailleurs … des fois, y'a des gens qui promènent leur chien, par ici … et je voudrais pas …

- Compris … alors, tu sais, ce qu'on pourrait faire ? On s'en va, et je te suce pendant que tu conduis … j'adore faire ça …

- Tu l'as déjà fait ?

- Oui … une fois ou deux … 

- Mais … c'est pas dangereux ?

- Faut que tu fasses attention, évidemment … tu te concentres sur ta conduite et, éventuellement, si tu sens que tu vas jouir et que tu peux pas maîtriser tes réactions, tu te gares vite fait et je te finis sur le bord de la route …

- Bon … d'accord …

- Ce qu'il y a, c'est que je voudrais faire durer ça le plus longtemps possible … 

- Bon, ben … OK …

- Allez, vas-y, roule !

- Je … je reste comme ça ?

- Oui. T'inquiète pas, les autres, dans leur voiture, ils te verront pas …


Sans un mot, il met le contact, il attache sa ceinture de sécurité et il enclenche la première.


- Mets aussi ta ceinture.


Je passe la sangle ventrale normalement, mais je glisse la sangle transversale derrière moi … je me rapproche de lui autant que je peux et je tends la main vers sa bite. Il m'arrête:

- Attends, on va passer dans le village où j'habite … il pourrait y avoir des gens que je connais …

- OK.


Je m'écarte et je me cale au fond de mon siège, cuisses écartées, robe retroussée et ma bite à la main. Au bout du chemin de terre où nous étions garés, une petite route et quelques maisons de chaque côté … nous traversons le hameau assez vite … je le vois regarder à droite et à gauche, légèrement inquiet … il faut dire, il a toujours le pantalon et le caleçon à mi-cuisses … et puis nous voilà de nouveau dans la campagne.


- Je peux toucher ta bite, maintenant ?

- Attends. On peut encore croiser des connaissances ... je te dirai …


Alors, j'écarte un peu la sangle ventrale de ma ceinture de sécurité et je commence à me tripoter.


- Au fait, comment tu t'appelles ?

- Moi ? Bernard. Et toi ?

- Marin.


Il roule à fond, mais, tout en conduisant, il n'arrête pas de jeter des coups d'œil vers moi … vers mes cuisses grandes ouvertes, vers ma bite …


- Hé, fais quand même gaffe, Bernard … va pas nous foutre au fossé … on n'est pas pressés à ce point … à moins que tu aies quelqu'un qui t'attend … t'es marié ?

- Euh … ben … je …

- T'es marié, ou t'es pas marié ? Tu peux me le dire, hein, t'as rien à craindre …

- Ben oui ... je suis marié … mais ma femme est pas là, en ce moment … hier, elle est partie chez sa sœur pour les fêtes …

- Alors, tu veux qu'on aille faire ça chez toi ?

- Non, non ! J'ai pas envie que mes voisins  …

- … que tes voisins te voient rentrer avec une fille ….

- Voilà.

- Remarque, moi, je préfère te sucer pendant que tu conduis . Et tu la trompes souvent, ta femme, quand elle part chez sa sœur ?

- Non … c'est la première fois … et si je le fais, aujourd'hui, c'est parce que, elle, elle aime pas me sucer …

- Ben tant mieux pour moi, alors … peut-être qu'elle n'aime pas non plus que tu l'encules …

- Non, mais ça … moi, j'en ai pas envie non plus …

- Tu as tort, tu sais pas ce que tu manques …


Il me regarde et me sourit … Quelques minutes s'écoulent … un soleil très lumineux éclaire la campagne ... nous roulons sur des petites routes au milieu de prés où paissent des vaches et de champs fraîchement labourés où des goélands cherchent des vers … et puis nous arrivons sur une départementale … je pense qu'on est assez loin de son village, maintenant, et je sens le type moins aux aguets … alors, sans lui demander la permission, je m'approche à nouveau de lui, je tends le bras et je prends sa bite entre mes doigts … cette fois, il se laisse faire … il a un peu débandé, mais il redurcit rapidement … je le masturbe doucement … de temps à autres, il jette un rapide coup d'œil sur ma main qui le branle … ça a l'air de beaucoup lui plaire … moi aussi, ça me plaît … tout en me tripotant la queue, je ne quitte pas la sienne des yeux … c'est fascinant … je joue avec son prépuce … je le fais bouger sur son gland en le pétrissant du bout des doigts … parfois je fais coulisser sa peau vers la base de sa verge, jusqu'à commencer à le décalotter … puis je la fais coulisser vers le haut, je pince l'extrémité de son prépuce et je l'étire autant que je peux … Quelle merveille ! Un jouet si doux sous mes doigts … un jouet si tiède au creux de ma main … un jouet vivant, sensible … un jouet qui réagit à mes caresses, à mes manipulations … un jouet qui, par moments, gonfle et durcit entre mes doigts … et puis qui se ramollit … C'est d'autant plus fascinant que nous sommes synchrones, lui et moi … oui, quand je sens, quand je vois sa queue gonfler entre mes doigts, ça me fait aussi bander davantage … et quand sa bite ramollit, la mienne aussi … c'est magique ! Et je le sens, c'est un jouet qui procure beaucoup de plaisir à ce mec … c'est aussi un régal pour ma main, pour mes doigts … j'aime beaucoup me tripoter, moi, mais tripoter un autre mec en même temps, c'est … waouhhhhhh !


- T'as l'air de vraiment aimer ça, de me tripoter la bite …


Je hoche la tête vigoureusement:

- Oh oui, j'aime ça !

- Tu le fais souvent ? Je veux dire avec d'autres hommes …

- Oui … pas depuis longtemps, mais depuis que j'ai commencé, j'en ai tripoté des tas …

- Ah bon ? Mais … comment ça …

- Oui, ça fait seulement six mois, ou à peu près, que j'ai commencé … avant, je n'osais pas … j'en avais envie, mais je n'osais pas … mais depuis, je rattrape le temps perdu … et je ne fais pas que les tripoter, les bites …

- C'est-à-dire …

- Ben, je taille des pipes et je me fais baiser … 

- Et ça aussi, t'aimes ça …

- Oh oui ! J'aime donner du plaisir aux mecs, j'aime qu'ils prennent du plaisir … dans moi … dans ma main, dans ma bouche, dans mon cul … et pour moi aussi, c'est du plaisir de branler une queue, de tailler une pipe ou de me faire baiser … 

- Excuse-moi, mais … c'est bizarre, quand même …

- Oui, je sais que ça peut sembler bizarre … mais, est-ce que ça te semblerait bizarre qu'une femme dise ça, qu'elle aime tailler une pipe et se faire baiser ?

- Ben … non …

- Ben voilà … moi, je suis un mec, mais j'ai des goûts, j'ai des envies, j'ai des pulsions de femelle … 


Pensif et silencieux, il hoche la tête.


- Bon. Cette fois, on est assez loin … maintenant, tu peux me sucer … si tu veux …

- Bien sûr, que je veux. N'oublie pas, tu te retiens autant que tu peux, hein … j'ai envie de te sucer pendant longtemps … alors, quand tu sens que ça vient, tu me le dis et j'arrête un peu … d'accord ?

- Ouais, d'accord …


Tout en lui expliquant, j'ai commencé à ôter ma doudoune pour être plus à mon aise. Je la lance sur la banquette arrière. Je me penche et, à moitié couché sur mon siège, je prends son sexe dans ma bouche et ses couilles dans ma main droite … oh la laaaa, y'a pas à dire, sucer une queue, c'est encore mieux comme ça, en roulant, plutôt que bêtement installé sur un canapé ou dans un lit ... je ne sais pas pourquoi, mais sucer un mec pendant qu'il conduit, je trouve ça beaucoup plus agréable et excitant … De nouveau, je joue avec son prépuce … je le titille avec ma langue, je le presse entre mes lèvres … tout en serrant sa verge dans ma main, je glisse le bout de ma langue dans l'étui que forme son prépuce …. Oh, ça aussi, c'est très agréable ! C'est déjà tout mouillé, là-dedans … pas de doute, c'est l'excitation qui le fait mouiller comme ça … Ça y est, le bout de ma langue touche son gland … je sens le sillon de son méat … hhhhmmmm, tout à l'heure, c'est par là que son sperme va jaillir et se répandre dans ma bouche, tout chaud et crémeux …


Un moment, voulant rétrograder en 3ème, comme je le gênais pour atteindre le levier de vitesse, en s'excusant, il m'a un peu effleuré le torse … alors, sans arrêter de le sucer, je me suis serré au maximum contre le dossier de mon siège … et quelques secondes plus tard, quand il est repassé en 4ème, cette fois, il a laissé sa main sur moi, comme ça, l'air de rien … et comme je le laissais faire, j'ai senti que sa main s'appesantissait de plus en plus … sans doute pour voir si il pouvait aller un peu plus loin … et il a commencé à me caresser la hanche … ou plutôt à me palper la hanche, à me la pétrir à travers le tissu de ma robe … alors j'ai abandonné ses couilles un moment, et, de la main, j'ai retroussé ma robe pour dégager mon cul … il a hésité un fraction de seconde, et puis il a posé sa main sur ma fesse, là où le collant est ouvert, et il a commencé à me peloter …


Moi, à sucer, à mâchouiller, à téter son sexe, je suis de plus en plus excité et je le pompe de plus en plus fiévreusement … là, dans ses testicules, à quelques centimètres de mes lèvres, de ma bouche, de ma gorge, il y a son sperme … son sperme qui doit commencer à bouillonner … son sperme qui jaillira sur ma langue dans une explosion, tout à l'heure … je ne sais pas où nous sommes, je ne sais pas où il nous emmène, ce mec, mais j'adore ça, lui sucer la bite comme ça, pendant qu'il conduit … je sens chaque virage, chaque accélération, chaque ralentissement … je sens les vibrations de la voiture sur le macadam … j'entends le bruit de l'air sur la carrosserie … j'entends le bruit des autres véhicules que nous croisons … je perçois aussi le bruissement de la campagne … un tracteur, des oiseaux, une vache qui meugle … par moments, il roule moins vite, et à la sonorité particulière de ce qui nous entoure, aux chaos de ralentisseurs, à des éclats de voix étouffés, je devine que nous traversons un village … nous traversons un village qui s'éveille et commence à s'animer, et moi, dans cette voiture que les gens croisent, je suce la bite du conducteur !


Alors ça vient tout seul, naturellement … tout en le suçant, je me mets à gémir de plaisir, tellement tout ça m'excite … il m'a entendu et aux contractions saccadées de son abdomen, je sens qu'il se marre … il y a quelques mois, je me serais retenu, et si ça m'avait échappé, je me serais senti un peu con de m'être laissé aller … mais maintenant, je m'en fous complètement … oui, je gémis … et alors ! La bite, ça me rend folle … et je veux que les mecs que je suce sachent à quel point elle me rend folle, leur bite … alors, pourquoi je me retiendrais …


Je le suce, et en même temps, je lui pétris les couilles … délicatement, bien sûr … je lui pétris les couilles et comme j'enserre leur base entre mon pouce et mon index réunis en anneau, peu à peu, la peau de ses bourses tire sur celle de sa verge, et je sens son gland se décalotter lentement dans ma bouche … whooooooo … le voilà qui pointe le nez à l'entrée de son prépuce … si sa verge est tiède, son gland paraît brûlant sur ma langue … le sang qui le remplit est juste là, sous cette peau tellement fine … en tournant ma langue autour de ce gland, et en le noyant de salive, je continue de le décalotter … Oh, ça y est ! D'un seul coup, il a jailli hors de son prépuce … et je le sens qui s'épanouit sur ma langue … Putain ! Tant qu'il était emprisonné dans cette enveloppe protectrice, il était comme comprimé, resserré, mais là, je le sens qui gonfle, qui s'étale, qui se dilate … il doit se sentir tellement bien dans le nid chaud et mouillé de ma bouche … Vas-y, le gland, tu es chez toi, prends tes aises, laisse-toi aller …


A un frémissement de son abdomen contre mon oreille, je me rends compte que Bernard a senti son gland s'épanouir dans ma bouche … et sa verge est soudain devenue un peu plus raide, un peu plus dure … hhhhmmmm, visiblement, il aime ça … et moi, le sentir réagir comme ça, le sentir bander davantage, le sentir prendre tellement de plaisir, ça m'excite … je gémis de plus belle … et c'est plus fort que moi, je le suce avec encore plus d'ardeur … oui, j'avais décidé de faire durer le plaisir, mais je ne peux pas résister … tant pis s'il jouit maintenant … 


Et soudain:

- Arrête ! Arrête ! Arrête !


Haletant, il a passé la main qui me pelotait le cul sous mon menton, et il soulève ma tête pour sortir sa trique de ma bouche … j'essaie de résister, mais il accentue sa pression:

- Arrête, j'te dis !


Voilà, j'ai cédé … et tandis que je me redresse, il freine en serrant sur la droite … 


Nous sommes … en ville ? Non, on dirait plutôt un village … il me semble que je suis déjà passé ici, au cours de mes pérégrinations dans le coin … 


Encore haletant, il plaque sa nuque contre son appuie-tête et serre la base de sa queue sous le niveau des couilles, sans doute pour se retenir d'éjaculer. Moi aussi, je suis essoufflé … je bande à mort et je me pétris machinalement le gland. Apparemment un peu calmé, il se tourne vers moi:

- Puuuutaiiiiiin ! Mais quelle … quelle bouche ! T'avais raison, tout à l'heure, quand tu m'as dit que t'étais une bonne suceuse … putain, mais qui est-ce qui t'as appris à faire ça ?

- J'ai appris tout seul … tu vois, je te l'avais dit que j'étais une bonne suceuse … 

- Putain … mais ma femme, elle m'a jamais sucé comme ça … et en plus, t'as vraiment l'air d'aimer ça …

- Oui, je t'ai dit, j'adore ça, sucer des bites … je me … je me régale … et surtout quand le mec se lâche dans ma bouche !


Il hoche la tête d'un air approbateur:

- Ouaaaaah ! Quand je pense que j'ai failli me barrer, quand tu m'as montré ta bite, tout à l'heure …


En fait, nous sommes à la sortie du village … je vois le panneau de fin d'agglomération à deux cent mètres devant nous … je jette un coup d'œil aux alentours … derrière nous, il y a une enseigne … on dirait une boulangerie … des deux côtés de la rue où nous sommes arrêtés, des maisons … pas de jardin devant … les façades donnent directement sur la rue … les fenêtres de la maison devant laquelle nous sommes garés sont tout au plus à deux ou trois mètres de nous … et nous sommes là, tous les deux avec la bite à l'air … lui, Bernard, avec son pantalon et son caleçon descendus à mi-cuisses, et moi avec ma robe retroussée … la première personne qui passe à côté, sur le trottoir, ne peut pas manquer le spectacle pour peu qu'elle jette un coup d'œil dans l'habitacle …


Bernard me regarde me tripoter la queue:

- C'est quoi qui te fait bander à ce point ?

- Ben tout ça … te sucer … te sucer pendant que tu conduis … te sucer pendant qu'on roule dans la campagne … te sucer quand on passe dans les villages … 

- Oh putain ! Y'a quelqu'un qui vient de sortir de la boulangerie !


Je me retourne. C'est deux mémères qui sortent de la boulangerie leur baguette à la main … soixante dix ou quatre vingt ans … l'une d'elles s'appuie sur une canne. Bernard les a repérées dans son rétroviseur. Il est déjà en train de passer la première. Je retiens sa main sur le levier de vitesses:

- Attends !

- Quoi !

- Attends … j'aime bien …

- T'es con ? ! ? ! Elles viennent vers nous !

- J'ai vu. Justement …

- Mais … on va se faire repérer …


Les deux femmes avancent lentement en bavardant … on entend leurs voix. Bernard essaie à nouveau de passer la première … je repousse sa main et je tire le frein à main:

- Attends un peu … elles vont peut-être pas nous voir …

- Rhôô, putain !


Il ne quitte pas son rétroviseur des yeux … subrepticement, il tire un peu sur la ceinture de son pantalon pour essayer de le remonter … il semble un peu inquiet, mais je crois que ça l'amuse quand même pas mal … De temps à autres, les deux grands-mères s'arrêtent et continuent de discuter sur place avant de redémarrer … Je détache ma ceinture de sécurité et je m'installe, bien calé au fond de mon siège … je relève un peu plus ma robe sur mon ventre et j'écarte les cuisses … Bernard me regarde en écarquillant les yeux … il n'en revient pas … mais il se marre:

- Putain, t'es con, hein …


J'ai abaissé ma vitre et maintenant, je vois les deux femmes dans le rétroviseur latéral de mon côté. Elles approchent lentement. On les entend de mieux en mieux par ma vitre ouverte. Je continue de me branler … Au rythme où elles avancent, elles vont se retrouver à côté de nous dans quelques secondes …


Voilà, ça y est … et elles s'arrêtent pile au niveau de ma portière ! Mais celle qui s'appuie sur une canne nous tourne le dos et nous masque à la vue de sa copine … elles ne nous ont pas vus … je les entends clairement, mais je ne comprends pas ce qu'elles disent … elles doivent parler en breton … Bernard ne les quitte pas des yeux, mais il s'est mis à faire comme moi … il se branle aussi … si ça se trouve, ça l'excite aussi, cette situation …


Et puis, les deux femmes redémarrent … la plus valide s'arrête devant la maison qui jouxte celle devant laquelle nous sommes garés … et elle entre … l'autre continue, s'appuyant toujours sur sa canne. Sans prévenir Bernard, je me penche de nouveau sur son ventre, j'écarte sa main avec laquelle il se branlait, et je reprends sa bite dans ma bouche … je n'en peux plus … cet épisode a ajouté à mon excitation, il faut que je le finisse ICI ! Il se laisse faire pendant quelques secondes … et il se met à respirer très fort par la bouche … il pose même sa main sur l'arrière de mon crâne … Oh, putain ! Sur la nuque, Bernard, SUR LA NUQUE, ta main ! Mais trop accaparé par ce que je lui fais, je ne prends pas le temps de sortir sa bite d'entre mes lèvres et de le lui dire … Je vais te faire jouir, Bernard ! Je vais te faire éjaculer ! Vas-y, envoie ton sperme !


Et soudain:

- Attends, pousse-toi un peu …


Je le sens qui cherche à atteindre le frein à main, juste sous moi … il me repousse vigoureusement, desserre le frein, enclenche une vitesse, et il démarre … Me tapotant doucement l'épaule, il demande:

- Vas-y doucement, hein … je connais un endroit … c'est pas loin …


Oh la laaaa ! Ça me rend vraiment dingue ! Mais je fais comme il veut … je garde son sexe dans ma bouche, mais j'arrête de le faire aller et venir … je me contente de glisser ma main entre ses cuisses et de reprendre ses couilles dans ma paume … immobile, je me concentre sur les sensations que son membre procure à ma langue … hhhmmmm, c'est tellement doux … et chaud … et vivant … je sens sa verge palpiter par moments … je la sens gonfler légèrement ... dégonfler … ramollir un peu … regonfler … et dans ma main, ses testicules bougent aussi toutes seules à l'intérieur de leurs bourses … ses couilles ... mes copines … mes copines qui vont me donner ma récompense, qui vont me l'injecter au fond de la gorge … Bernard a de nouveau posé sa main sur mon crâne et il s'est mis à me caresser:

- J'aime bien, être comme ça dans ta bouche … sans que tu suces … je suis bien … je me sens bien … mais … t'as vraiment envie que … que je jouisse dans ta bouche ?


Je me contente de hocher la tête. 


- Bon, alors d'accord, je vais le faire, je vais te juter dans la bouche … 


Instantanément, je sens sa bite se raidir. L'idée de pouvoir éjaculer dans ma bouche sans avoir besoin de se retirer, ça l'excite … et me le dire l'excite aussi. Sa bite reste comme ça pendant un moment … puis elle se ramollit un peu … 


- On y est bientôt.


J'ai l'impression qu'il s'est mis à rouler un peu plus vite. Et puis, il ralentit, il clignote …


- On y est …


Je sens qu'on tourne … j'entends les pneus crisser sur des graviers … il ralentit encore … et il s'arrête.


- Relève toi un peu … regarde.


Je sors sa bite d'entre mes lèvres et je me redresse. On est … sur une espèce d'aire de pique-nique … il y a trois grosses tables de bois, avec des bancs … ça ressemble à l'endroit où j'avais sucé Philippe, au bord du canal … mais là, on n'est pas au bord d'un canal, on est au bord d'une route … il y a seulement un petit talus qui nous en sépare, avec, de places en places, une haie pas très épaisse … un sourire de fierté sur le visage, Bernard m'observe:

- Ça te va, ici ? Je me suis dit que ça te plairait, comme ça, juste à côté de la route …


Je détache ma ceinture de sécurité, je tends le bras et je prends sa bite: 

- Ouais, ça me va … T'as tout compris, toi, hein …

- Ben ouais … j'ai bien vu, tout à l'heure, avec les deux vieilles à côté de nous … ça t'excitait. Moi, aussi, ça m'a excité. J'avais la trouille, mais ça m'a plu. J'ai jamais fait un truc comme ça avec ma femme … du sexe comme ça, près des gens ou des … ou des voitures … ma femme, elle veut même pas dans notre jardin … pourtant, chez nous, derrière la haie, personne peut nous voir …


Deux voitures se croisent sur la route à côté de nous … on voit parfaitement les conducteurs et les passagers, même à travers les arbustes de la haie qui ont perdu leur feuillage … donc eux aussi doivent nous voir. Je le masturbe doucement. Il regarde ma main aller et venir sur son sexe:

- J'aimerais bien que tu me finisses ici

- Ben oui, d'accord ... je vais te finir ... 

- T'es sûr ? Tu veux bien que je te jute dans la bouche ?

 

Il n'en revient toujours pas.

- Mais oui, je te l'ai dit ... 

- Ça te gêne pas ?

- Mais non, pas du tout ... au contraire ... j'adore ça, le sperme !

- Ah putain ! Je vais te … je vais te … répandre MON SPERME dans la bouche !

- Je vais même l'avaler, ton sperme ...


Je sens que ça l'excite de me dire ce genre de choses. Sa femme, comme beaucoup de femmes, ne doit pas aimer lui tailler une pipe … encore moins avaler … elle ne doit pas non plus aimer l'entendre parler crûment comme ça … alors pour lui, trouver quelqu'un qui prend plaisir à le sucer, qui accepte qu'il lui éjacule dans la bouche et qui va avaler, c'est vraiment le pied. 


- Pas la peine de te retenir, au moment d'éjaculer … j'ai l'habitude et j'aime ça … 


Il sourit, il est aux anges … notre aire de pique-nique se trouve à la sortie d'une  grande courbe … devant nous, la route fait une longue ligne droite et on voit les voitures arriver de loin … qu'elles arrivent d'en face de nous ou du virage derrière nous, elles ralentissent toutes pour négocier la courbe et elles passent lentement devant nous … Bernard regarde dans son rétroviseur latéral celles qu'on entend arriver par derrière … et chaque fois qu'une voiture passe devant nous, il la regarde … et je crois que, ça aussi, cette proximité avec la route et les autres usagers, alors que je suis en train de le branler, ça contribue à l'exciter … il regarde chaque voiture, son conducteur et ses passagers quand il y en a, et quand elle s'éloigne, il baisse les yeux sur son sexe et sur ma main qui le masturbe.


- Dis … ça te plaît, hein, les voitures qui passent à côté de nous pendant que je te branle …

- Ouais, ça me plaît.

- Tu sais … les gens qui passent sur la route, là, en voyant ta voiture garée ici, quand je vais être penché sur ta bite pour la sucer, ils vont sûrement se douter de ce qui se passe … soit que tu te branles, soit que tu te fais sucer …

- Je sais … et ça m'excite …


En effet, ça l'excite … il bande à mort … 


- Tu veux ouvrir ta portière, pour que les gens voient que je te suce ?

- Ma portière ?

- Oui, tu laisses ta portière ouverte, et ceux qui ne passent pas trop vite et qui regardent, ils pourront m'apercevoir …

- Toi, ça te gênerait pas ?

- Non, pas du tout …

- Non, non … quand même … faut pas pousser …

- Comme tu veux … dis, t'as pas un portable, Bernard ?

- Un portable ? Comment ça …

- Ben, un smartphone …

- Ah non … pourquoi ?

- Pour me filmer pendant que je te suce …

- T'aurais voulu que je te filme ? Pendant que tu me suces ?

- Oui. J'aime ça … et ça t'aurait fait un souvenir …

- T'es vraiment dingue … et toi, t'en as pas ?

- Non. J'ai un téléphone portable, mais c'est seulement un téléphone, il ne fait pas de photos ni de vidéos.


Soudain, il se penche en avant et il repousse son caleçon et son pantalon d'abord sur ses genoux, puis sur ses mollets et enfin sur ses chevilles … il se redresse, tend le bras, il me prend par le cou et il m'attire vers son ventre:

- Allez, vas-y, suce-moi, maintenant ! Et finis-moi !


Je me penche et je gobe à nouveau son sexe. Je le sens qui fouille de la main gauche sous son siège, et brusquement, d'une seule poussée sur ses pieds, il recule à fond … puis de la main droite, glissée contre son dossier, il l'incline légèrement, et il écarte largement les cuisses … maintenant, j'ai plus de place entre son ventre et le volant … j'ai aussi plus de place entre ses cuisses pour reprendre ses couilles dans ma main … cette fois, j'irai jusqu'au bout… il ouvre sa vitre et j'entends des voitures passer à côté de nous … je commence à le sucer plutôt doucement … je prends mon temps … son gland a commencé à crachouiller de la mouille … je la sens, un peu acide, sur ma langue … je déguste, je savoure littéralement son sexe … c'est une glace, une sucette, et elle me fait saliver abondamment … et je me remets à gémir doucement … voilà, cette fois, il a posé sa main sur ma nuque … oh la laaaa, c'est dingue … je me sens … à sucer ce type que je viens tout juste de rencontrer, dans sa voiture, sur le bord de cette route, je me sens … À MA PLACE ! Je suis faite pour ça, sucer des mâles ... me faire baiser par des mâles … leur donner du plaisir … être … être à leur disposition … leur offrir, leur DONNER ma bouche, mes lèvres, ma langue et mon cul pour qu'ils se soulagent et n'attendre, pour toute récompense, que le jaillissement de ce précieux nectar, leur semence … 


Les couilles de Bernard au creux de ma main gauche, je lui caresse le ventre de la main droite … Je l'entends qui respire à nouveau par la bouche, ne s'interrompant que pour déglutir bruyamment … par moments, il doit presser sa nuque contre son appuie-tête, sans doute avec les yeux fermés et la bouche grande ouverte, et à d'autres moments, il doit rouvrir les yeux et me regarder le sucer … penché sur son ventre, je ne le vois pas, évidemment, mais c'est aux sons qui me parviennent que je le devine … son sexe frémit dans ma bouche … j'adore ça … il n'est pas seulement chaud et doux sur ma langue, il palpite, il tressaille, il vibre … je le sens vivant, réactif à ma caresse buccale … ça m'excite et ça m'émeut … 


Je bande autant que lui et je sens une tache plus fraîche à l'intérieur de ma cuisse … ma bite, couchée là où mon collant est ouvert, bavouille d'excitation … tel que les choses évoluent, je sens que je vais sûrement jouir sans avoir besoin de me branler, ni même de simplement me toucher la queue … j'ai le gland, les couilles, le périnée et le trou du cul littéralement électrisés … et mon excitation continue de monter en flèche … je crois que, dès que je vais le sentir éjaculer, je vais jouir … par moments, je sors son sexe de ma bouche, je le prends dans ma main gauche, et, tout en le masturbant, je lui lèche les couilles … j'arrive même à les gober, chacune à leur tour et à les faire bouger dans leur bourse entre ma langue et mon palais … je les préférerais glabres, sans poils, mais telles qu'elles sont, ça me gêne à peine … hhhmmmm … c'est un tel plaisir d'avoir là, dans ma bouche, cette couille, cette fabrique de sperme … Bernard aussi se met à gémir … il s'agite sur son siège … il me serre la nuque de plus en plus fort … 


- Oooooooohhhh, attention, ça vient ! Oooh putaiiiin ! Oooh puuuuuuuuutaiiiiin !


Je m'empresse de reprendre son sexe dans ma bouche. Je le sens, lui, qui se redresse, qui se décolle de son dossier et qui se penche au-dessus de moi … j'ai son ventre contre mon oreille … son ventre soudain pris d'un spasme en même temps que sa bite se raidit dans ma bouche et que ses couilles viennent se plaquer contre son périnée …

 

ÇA Y EST, IL VA JOUIR … IL VA ÉJACULER !!! 


Sous ma langue, son urètre se gonfle brusquement … son sperme arrive ! OUIIIIIIIII ! Une vague brûlante jaillit dans ma bouche ! Aaaah, putaiiiiiin ! Je m'entends gémir … c'est tellement booooon ! Sa semence s'insinue sous ma langue, contre ma joue, jusque dans ma gorge … Bernard râle, crie … " Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Putain ! Putain ! " … OH OUI ! DU SPERME ! DU SPERME ! DU SPERME ! DU SPERME ! Ce goût, cette saveur si particulière explose dans ma bouche ! Et, à mon tour, c'est mon ventre qui se contracte brusquement … 


je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis !


J'en ai le souffle coupé … ma respiration se bloque et je dois arrêter de pomper Bernard … mais je ne sors pas sa queue de ma bouche … je sens mon propre sperme, chaud, épais, se répandre sur ma cuisse … mon orgasme dure six ou sept secondes avant de se calmer petit à petit … je peux de nouveau respirer par le nez … et je savoure ce que Bernard vient de me lâcher dans la bouche … même si chaque sperme a son goût à lui, ils ont tous cette même base suave, douceâtre, organique, cette consistance visqueuse … hhhhmmm, ces millions de spermatozoïdes qui se répandent dans ma salive à la recherche d'un ovule à féconder, c'est … c'est son patrimoine génétique que ce mec vient de m'envoyer au fond de la gorge ! Normalement, il devrait aller se confondre avec le patrimoine génétique d'une femelle, dans le fond de son ventre, et lui faire un bébé … mais c'est au fond de mon estomac qu'il va se retrouver ! 


Il s'est affalé contre son dossier … je l'entends reprendre son souffle et déglutir bruyamment … il me caresse délicatement l'arrière du crâne:

- Aaaah, putaiiiin ! Le pied, que j'ai pris ! Ils ont raison, ceux qui disent que t'es une bonne suceuse … on m'avait jamais sucé comme ça …


Je lui tète consciencieusement la bite. Il ne débande pas encore. J'ai avalé le plus gros de sa crème, mais je lui presse l'urètre avec mes doigts pour finir de le vider. D'habitude, les mecs que je suce veulent que je sorte leur bite de ma bouche aussitôt qu'ils ont pris leur pied … leur gland, rendu hyper sensible, en devient presque douloureux … mais lui, non … il a l'air de beaucoup apprécier que je garde sa queue au chaud dans ma bouche. Tant mieux, ça me plaît. Et puis je sens sa main glisser de mon crâne vers ma joue … vers mon menton … vers ma bouche … il effleure mes lèvres … mes lèvres et sa verge … tel un aveugle qui explore les choses du bout des doigts, il veut sentir son sexe en érection qui plonge dans ma bouche … et ça lui plaît, parce que sa bite devient un peu plus raide …


- Putain … j'ai ma BITE … DANS TA BOUCHE !


Ben oui, mec … et ça fait même un moment, que t'as ta bite dans ma bouche … Je viens de lui tailler une pipe, il vient de me larguer sa semence dans la gorge, et il dit ça comme s'il réalisait seulement maintenant que sa bite est dans ma bouche ! Je le sens qui glisse maintenant son autre main sous ma figure … et ses autres doigts jusqu'à mes lèvres … il tâte, il palpe, il explore du bout des doigts … un peu mes lèvres, un peu sa verge humide de salive … il glisse même un doigt dans ma bouche, contre sa bite … alors je remonte doucement ma tête, faisant glisser sa verge entre mes lèvres … jusqu'à ce que j'aie son gland juste là, entre mes dents … 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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