Lundi 22 juillet 2019 1 22 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 15h00


Aaaaaahhh ! C'est le pied ! Je me sens tellement bien … heureuse !


Ça y est, ils viennent de tirer leur coup … un dans ma gorge et l'autre dans mon ventre !


Le premier, c'est Bernard, le type à qui j'avais déjà taillé une pipe dimanche dernier, pendant ma balade en trav sur la côte. L'autre, c'est Jean-Pierre, un collègue à lui, qu'il m'a amené. Et celui-là, le Jean-Pierre, il vient de me baiser en levrette. Oh la laaaaaa ! Je me sens tellement femelle, quand des types se sont servis de ma bouche ou de mon cul pour se soulager !


Ils sont arrivés en début d'après-midi dans le gite où j'habite depuis quelques jours. Je les ai reçus en nuisette rouge, porte-jarretelles rouge, bas rouge et string rouge … toute en rouge "pute", donc. Et après leur avoir soulagé l'entrejambes, j'ai entrepris de leur montrer les vidéos de mon gangbang … J'ai très envie qu'ils m'en remettent un coup, tous les deux, et je suis sûr que de regarder ça, ça va les re-motiver.


Ils se sont installés, adossés à la tête du lit, face à la télé accrochée sur le mur d'en face, et je me suis assis entre eux … je tourne le dos à la télé … je les connais par cœur, ces vidéos, et je n'ai pas besoin de les regarder pour savoir ce qui se passe, rien qu'au son. J'ai démarré la première sans leur dire que c'est une vidéo de moi. Et j'ai pris leur bite entre mes doigts. Là, ils viennent tout juste de découvrir ma tronche. Ils sont sciés … surtout en découvrant le nombre de types qui nous entourent, celui qui me baise et moi … 


Jean-Pierre:

- Oh merde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? C'est … une partouze entre mecs ?


Là, je crois bon de préciser:

- Ben … c'est pas exactement ce qu'on appelle une partouze …

- Comment ça … c'est quoi, alors ?


Je le laisse un peu mijoter. Alors il insiste:

- Hein, c'est quoi, si c'est pas une partouze ?

- Ben regarde bien … d'après toi, ça ressemble à une partouze ?

- Euuuuh … non, pas vraiment. Les mecs autour, ils baisent pas … ils regardent seulement … ils se tripotent, mais ils baisent pas … ils attendent quoi ?

- Leur tour.

- Hein ? Ils attendent quoi ?

- Ils attendent leur tour.

- ILS ATTENDENT LEUR TOUR ? ! ? ! Leur tour pour faire quoi ? 

- …

- Ah putain ! Ils attendent leur tour POUR TE BAISER ? ! ? !

- Voilà.

- Ah putain !

- …

- Mais … mais … ils sont combien, là ?


Je me tourne vers la télé pour voir où on en est, puis:

- Ben … à ce moment là, ils devaient être une douzaine ou une quinzaine …


Il s'en suit un long silence … Jean-Pierre et Bernard, fascinés, contemplent la scène … et je sens que ça cogite ferme dans leurs têtes. 


Ça cogite dans leurs têtes, mais pas que … ce qu'ils voient influe directement sur leur bas-ventre … sur celui de Jean-Pierre, du moins … sa bite s'est un peu remise à gonfler entre mes doigts … ce qu'il voit l'excite. Ça ne m'étonne pas de lui … pour le peu que j'ai pu comprendre de ce mec, il est très … "sexe", et même très amateur de sexe hors norme … je m'en suis rendu compte notamment avec son goût pour la lingerie … la lingerie sur un mec … Bernard, lui, est plus réservé, plus coincé et il manifeste moins son ressenti … sa bite, en revanche, manifeste plus nettement ce que ces images lui font … 


C'est encore Jean-Pierre qui rompt le silence:

- Mais … si ils attendent leur tour, tous ces mecs, tu veux dire qu'ils t'ont tous … qu'ils t'ont TOUS BAISÉ ?

- Oui. Ceux-là et d'autres …

- Ceux-là ET D'AUTRES ! ! ! 

- Oui … on a commencé vers les dix heures du matin et ça a duré toute la journée …

- Oh merde ! Et tu sais … combien … combien de mecs t'ont baisé, ce jour-là ? 

- Oui … une trentaine …

- UNE TRENTAINE ? ! ? ! ? ! 

- Ben oui, une TRENTAINE.


Les yeux ronds, la bouche béante, il me regarde:

- Putain, tu devais avoir le cul en fleur !

- Non … je ne me suis pas fait fourrer pendant huit heures sans interruption … il y a eu des pauses … on a bu l'apéro, on a mangé …

- Ah bon !

- Ouais … ils avaient organisé un barbecue et ils avaient commandé chez un traiteur …

- Mais … tu les connaissais d'où, tous ces mecs ?

- Je les connaissais pas … enfin, à part Philippe, le mec qui a eu l'idée de ce gangbang et qui l'a organisé … je l'avais rencontré dix ou quinze jours avant … 

- T'avais rencontré ce mec dix ou quinze jours avant … donc, tu le connaissais pas non plus … 

- Non … je le connaissais pas plus que ça … il m'avait … un jour où je faisais un tour en vélo au bord d'un canal, il m'avait croisé et il avait flashé sur mon cul … comme Bernard, quoi … alors il m'avait chauffé en me montrant sa bite … j'avais fini par lui tailler une pipe … mais surtout, il avait envie qu'on se revoit, parce que c'est mon cul qu'il voulait … voilà, et puis à la fin, ça lui était venu … je sais plus pourquoi, mais il m'avait proposé de m'organiser un gangbang …

- Alors, ce mec, tu le connais pas … il te chauffe, tu lui tailles un pipe, il organise un gangbang, et tu y vas !

- Ben oui. Il a tout de suite vu que j'étais pas farouche et que j'aimais la bite, alors il m'a demandé si j'avais envie de ça … de me faire sauter par plusieurs mecs … et comme je lui ai dit que oui, ben il l'a fait. Regarde, Bernard, je le connaissais pas … j'ai aussi commencé par lui tailler une pipe ... après, il t'a proposé de venir chez moi avec lui pour me baiser, je te connais pas non plus, et pourtant vous êtes là tous les deux et vous venez de tirer un coup …

- Ouais, évidemment …


Il hausse les sourcils en hochant la tête. Je me rends compte qu'il a pris la télécommande et qu'il a mis la vidéo sur pause. Tantôt il me dévisage, tantôt, il regarde l'écran de télé, comme pour y trouver confirmation visuelle de ce que je lui dis. Il semble attendre que je lui en dise plus. Alors:

- Ah oui, je connaissais aussi Jean-Claude, l'agriculteur qui nous a accueilli dans sa ferme … lui aussi, j'avais fait sa connaissance en même temps que ce Philippe … mais tous les autres, non, je les connaissais pas …

- Et tu les as … tu les as tous laissés te baiser !

- Ben oui … ils étaient venus pour ça … et moi aussi.

- Mais … c'est toi qui les as choisis ? Comme ça s'est passé ?

- Non, non, je les ai pas choisis … c'est Philippe … il a commencé par rameuter quelques potes à lui … qui en ont parlé autour d'eux … après, c'est le bouche à oreille qui a fonctionné, quoi … et puis y'a eu aussi Internet … Philippe en a parlé sur un forum … et voilà … 

- Mais … c'est toi qu'as dit " je veux trente mecs " ?

- Non, au départ, j'avais aucune idée du nombre de mecs qu'il pourrait trouver … je me disais … cinq ou six mecs, ça serait déjà pas mal … moi, j'avais pas d'idée arrêtée sur un nombre, si tu veux … je savais pas … du moment qu'il trouvait plusieurs mecs pour me baiser, ça m'irait … mais quand il a commencé à chercher, Philippe, il s'est rapidement trouvé dépassé par le succès du truc … faut dire, je lui avais donné les coordonnées de mon  blog de cul, où il y a des photos et des vidéos de moi… 

- T'as un blog de cul ?

- Oui.

- Tu … tu nous diras où on le trouve ?

- Oui. Alors, Philippe, non seulement il l'a visité, mon blog, mais en plus, il en parlé à tous ceux qu'il a démarché … comme ça, ils pouvaient voir qui ils allaient baiser … bref, il m'a d'abord dit qu'il avait trouvé une quinzaine de volontaires … c'était bien plus que ce qu'il avait imaginé … moi aussi, d'ailleurs … mais il avait peur que je trouve qu'une quinzaine ça ferait trop … 

- Et toi, te faire baiser par une quinzaine de mecs, tu trouvais pas que c'était trop …

- Ben non … quand il m'a annoncé quinze, je m'attendais pas à ça, si tu veux  … mais, je sais pas, j'ai trouvé que c'était bien … pourquoi pas quinze, hein, plutôt que six ou sept … bon, ça m'étonnait bien qu'autant de mecs soient prêts à me baiser, alors qu'ils me connaissaient pas … mais bon, tant mieux, hein … alors, Philippe, je lui ai dit que quinze mecs, ça me faisait pas peur, et qu'il pouvait continuer à recruter … je lui ai dit "no limit".

- No limit ?

- Ben ouais. Sur Internet, j'avais vu des vidéos de salopes qui se faisaient baiser dans des gangbangs de cinquante mecs … et même plus … et elles en mouraient pas … alors, pourquoi pas moi … si tu veux, une fois que t'as décidé de franchir le pas, le nombre … que ça soit six, sept, quinze ou trente … tu te dis "plus y'en aura, mieux ce sera " …

- Alors, quand il t'a annoncé qu'il y aurait trente mecs, t'as dit quoi ?

- Il m'a PAS annoncé trente mecs …

- Comment ça …

- Non. Je lui ai dit que je voulais pas savoir à l'avance combien ils seraient ... que je verrais bien une fois sur place …

- Ah ouais ! Alors, tu y as été sans savoir combien ils seraient …

- Exactement. Juste avant que je parte de chez moi, au téléphone, il m'a seulement dit qu'ils seraient bien plus que quinze … et c'est tout.

- Et t'as pas eu peur … t'as pas changé d'avis au dernier moment …

- Non. Au contraire … c'était … tu peux pas imaginer ce que ça fait … savoir que j'allais me faire passer dessus par … par autant de types … non seulement ça me foutait le feu au cul, mais je me sentais … tellement … fière !

- Fière ? ! ? ! ? !

- Ouais, fière ! Parce que, tous ces mecs, étant donné qu'ils avaient visité mon blog et qu'ils avaient vu qui on leur proposait de venir baiser, c'est vraiment de mon cul qu'ils avaient envie … faire bander autant de mecs avec mon cul, c'est … c'est ... génial ! Et une fierté.


Ça le laisse tout pensif. Quelques secondes de réflexion, puis:

- Ouais, alors, ça m'étonne plus quand tu dis que t'es déjà fait baiser par plus de deux mecs.


C'est bien. Au moins, lui ne met pas en doute ce que je viens de lui dire. Je pense que ce qui l'a convaincu que je suis une vraie grosse salope, capable de me faire passer dessus à la chaîne par trente types, c'est de lui avoir sauté au paf comme je l'ai fait dès son arrivée, et c'est aussi de lui avoir demandé de me tirer sans capote, alors que je ne l'avais encore jamais vu … et c'est aussi les vidéos qu'il est en train de regarder. Il se marre en secouant la tête. Encore quelques secondes, puis:

- Et là … les trente mecs, on va tous les voir te baiser ? 

- Pas tous, mais la plupart, oui. Vous verrez, à la fin, on a fait des photos de groupe avec les trente … et moi, au milieu, évidemment ..


Jean-Pierre me jette un rapide coup d'œil, il me sourit et pose sa main sur le haut de ma cuisse, tout près de mon aine:

- Putain, t'es un cas, toi … Quand Bernard m'a parlé de toi, il m'a pas dit que tu faisais … ÇA !

- Normal … je ne lui ai pas dit …


Il fixe de nouveau le téléviseur et remet la vidéo en route. Bernard ne tourne même pas la tête vers moi. Je leur caresse le sexe … délicatement … du bout des doigts … ils sont de plus en plus raides … Alors je les masturbe … lentement … doucement … Il s'écoule bien cinq minutes, et Jean-Pierre, en me regardant:

- Tu sais … si t'aimes vraiment ça, te faire enculer par plein de mecs, je sais où tu pourrais peut-être en trouver …


Tiens, il n'aurait pas l'intention de m'organiser aussi un gangbang ?

- Ah ouais ?

- Ouais, peut-être pas trente, mais je connais des endroits où les … où les mecs … les gays se retrouvent … déjà, y'a un bois, pas loin de chez Bernard … et autrement, c'est dans des dunes, sur une plage … ce qu'y a, c'est que c'est pas la saison …


Bernard:

- Ouais, le bois, c'est le bois des pédés ... tu sais, je t'en ai parlé …


Jean-Pierre:

- Ouais … le bois des pédés, j'y suis allé une fois, mais moi, j'aime pas … de toute façon, là ou dans les dunes, en ce moment, y'a personne, il fait trop froid … 

- Et ils vont où, alors, ces mecs-là, quand il fait froid ...

- Je sais pas … ils restent chez eux … ou ils se retrouvent chez l'un ou chez l'autre, je sais pas … Tu seras encore là, au printemps ?

- Je sais pas. Je ne vais pas tarder à repartir, mais je reviendrai … je sais pas quand. Pourquoi ?

- Ben, si tu reviens aux beaux jours, je t'emmène à cette plage, là … j'y vais souvent. Bon, ce qu'il y a, c'est que, dans les dunes, ça branle et ça suce, surtout … j'ai encore jamais vu de mecs baiser là, sur place … à mon avis, ceux qui veulent baiser, ils se donnent rendez-vous là, dans les dunes, mais après, ils vont finir ailleurs … parce que c'est quand même un peu chaud, dans les dunes, pour baiser … des fois y'a des touristes qui se baladent, ou des simples naturistes, mais surtout, les flics peuvent débarquer … c'est déjà arrivé.

- Mais, les mecs qui viennent là, dans les dunes pour branler ou pour sucer, tu les connais ? Tu pourrais les contacter ?

- Non … je peux pas les contacter. Je les connais comme ça, de vue, sans plus … on voit toujours les mêmes, on se dit bonjour … avec certains, on se tripote, on se branle, certains sucent les autres … moi, je suce pas, hein … des fois, je branle … en général, je me fais sucer, mais moi, je suce pas … je connais le prénom de certains, mais j'ai pas leur nom ou leur téléphone … peut-être qu'entre eux, certains se voient ailleurs que là, dans les dunes, mais moi, je …

- Mais … t'as dit que t'avais enculé pas mal de culs, tout à l'heure … pas dans les dunes, alors …

- Non, pas dans les dunes … quand je veux vraiment baiser, je vais aux putes … soit à Quimper, soit à Pors-an-Enez ... là, c'est que des nanas … et des fois, je monte à Brest ou je descends à Lorient … à Brest et à Lorient, y'a des mecs, aussi, qui se font enculer … pour du fric, mais quelques amateurs, aussi … Non, quand j'te parle de trouver des mecs, c'est des mecs dans le coin … du local, quoi …


Il se tait, semble réfléchir, puis il reprend:

- Souvent, dans les dunes, y'a un mec, il suce tous ceux qui ont envie de se faire sucer … tu lui montres ta bite, il te suce … direct … des fois, j'ai vu être jusqu'à cinq ou six à faire la queue … alors, je suis sûr, si toi, tu te pointes là-bas et que tu dis que toi, tu te veux te faire enculer, tu trouveras des mecs … après, faut trouver un endroit tranquille pour faire ça …

- Ça serait pas un problème …

- Ah bon ? Tu veux dire … ici ?

- Non, pas ici … je me vois mal faire venir cinq, six ou dix mecs ici, pour me baiser … mais j'aurais un endroit …

- Bon.


Maintenant, ils bandent vraiment, tous les deux … c'est sûrement dû à l'effet combiné de ce que je leur fais, de ce qu'ils voient sur la télé, et sans doute aussi de ce que je leur ai raconté … mon gangbang … ils sont vraiment excités … de temps en temps, à la vue de certaines scènes, l'un ou l'autre laisse échapper une sourde exclamation … et parfois je les entends déglutir bruyamment … je sens aussi leur excitation à leur façon de respirer … je le sens aux réactions de tout leur corps … et moi, leurs sexes qui se dressent comme ça, gonflés d'excitation … leurs sexes entre mes doigts … si doux, si chauds, si vivants … Je n'y tiens plus … lentement, je change de position … je m'allonge entre eux, la tête au niveau de leur bassin … j'appuie mon coude droit entre les cuisses de Jean-Pierre et je me penche sur son ventre … 


Oooooh, sa biiiiite ! Je commence par poser des baisers tout au long de sa verge, comme tout à l'heure … hhhhmmmm, elle sent … elle sent encore ce mélange de sperme, de fluide anal et de lubrifiant … j'adore ça ! Jean-Pierre pose sa main sur ma tête et me caresse. Je remonte mes lèvres jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche … une onde de chaleur me parcourt le corps, depuis la tête jusqu'au bout des pieds … c'est tellement bon, d'avoir le sexe d'un homme dans sa bouche ! En le masturbant, il y a un instant, j'ai pris soin de ne pas le décalotter, alors je sens la forme de son gland à l'intérieur de son prépuce … Tout en savourant la queue de Jean-Pierre, je jette un coup d'œil vers Bernard … il me regarde sucer son copain et il se masturbe … alors, je tends la main gauche vers lui, je repousse la sienne, je saisis son sexe et je commence à le masturber … Je sens les abdos de Jean-Pierre se secouer … il se marre:

- Ah, t'aimes ça, hein … t'en as pas encore eu assez …


Sans sortir sa queue de ma bouche, je secoue la tête de droite à gauche … "non, je n'en ai pas encore eu assez ". 

- Et ben vas-y, profite …


J'explore sa queue avec ma langue, avec mes lèvres … hhhhmmm, c'est un sexe … c'est une bite … c'est une queue, que j'ai dans ma bouche … Oh la laaaa, ça me rend folle ! Je vais la sucer jusqu'à la faire jouir ! Je vais la sucer jusqu'à la faire éjaculer dans ma bouche ! Je veux … je veux sentir son sperme gicler sur ma langue, chaud, suave … je veux le sentir glisser dans ma gorge … je veux le sentir s'écouler dans mon œsophage … mais avant … Je sors sa queue de ma bouche, et:

- Bernard, j'ai envie que tu me baises …


Il me regarde avec un air effaré. J'insiste:

- Allez, s'il te plaît, Bernard, baise-moi … pendant que je suce Jean-Pierre …

- …

-  S'il te plaît, quoi … prends-moi en levrette … comme lui, tout à l'heure …

- Allez, Bernard, fais lui plaisir … baise-le … tu verras, il est … enfin, non, pas IL … ELLE … ELLE est vraiment bonne à baiser, j't'assure !


Jean-Pierre a encre mis la vidéo sur pause. Bernard réfléchit intensément. Je suis sûr qu'il a peur … il en a très envie, mais ça lui fait peur … Jean-Pierre aussi l'a senti:

- De quoi t'as peur, mec ? Il a le cul super clean, tu sais … bon, à part ce que moi, je lui ai mis … mais si tu veux, il se lave le cul, et tu mets une capote … il en a, des capotes … alors l'enculer, c'est pas plus risqué que de se faire sucer …

- Ouais, je me lave le cul, si tu veux pas tremper ta queue dans le sperme de Jean-Pierre … et si tu préfères, tu peux mettre une capote … j'aimerais mieux pas, mais si tu y tiens …


Jean-Pierre:

- Tu sais … d'accord, avec capote, c'est la sécurité, mais c'est loin d'être aussi bien que sans capote … je te dis pas, le pied, quand tu lui tires ton coup directement dans la viande !

- Bon OK … j'vais l'baiser !

- Voilà ! C'est bien, mon Bernard ! Tu veux qu'il se lave le cul ?

- Nan. Tant pis, j'm'en fous !

- Tu veux mettre une capote, alors ?

- Nan. Tant pis, j'te dis …

- Bon, alors … en piste … fous-toi à quatre pattes, toi !


Jean-Pierre m'a donné une petite tape sur la tête pour m'inciter à me mettre en position. Non seulement je suis content que Bernard se décide enfin, mais en plus, j'aime bien la manière dont les choses ont tourné … pratiquement, c'est Jean-Pierre qui a pris les choses en main.


Alors je change de position … je m'installe à genoux entre les jambes de Jean-Pierre, et je m'appuie des deux mains sur le matelas, de part et d'autre de ses hanches. Lentement, Bernard se décolle de la tête de lit, et, une main posée sur mes reins, il se glisse à genoux vers mon arrière-train. J'écarte mes jambes et je me cambre. Ah putain, cet instant où je me mets en position pour me faire saillir par un mec … quelle émotion !


Voilà, je le regarde s'installer derrière moi, une main sur ma fesse … 

- Et t'occupes pas de moi, hein … donne-toi du plaisir, prends ton pied, tire ton coup, mais ne cherche pas à me faire jouir …


Une main sur ma hanche, les yeux braqués sur ma rondelle, il serre sa queue dans son poing et la guide vers l'entrée de mon fourreau … je sens ma fleur béer par réflexe … voilà, je sens qu'il pose son gland à l'entrée de mon rectum … oh la laaaaa … je vais avoir encore un sexe d'homme dans mon cul ! Je détourne la tête et je ferme les yeux. Dès qu'il commence à pénétrer en moi, un gémissement me remonte du fond du ventre … un gémissement aigu, plaintif … mais un gémissement de plaisir, un gémissement de bonheur … Jean-Pierre ne s'y trompe pas ... il pousse un "Oooooooh !" de stupéfaction … et il se marre … 


Maintenant que son gland est calé en moi, Bernard lâche sa bite, pose ses deux mains sur ma taille et commence à s'enfoncer lentement:

- Putain, ça rentre comme dans du beurre !

 

Ça y est, il commence à aller et venir … et il y prend beaucoup de plaisir … je le sais, je le sens, parce que j'entends sa respiration .. saccadée … par sa bouche grande ouverte … je le sens, parce qu'il se met à me caresser tendrement les flancs, les reins, les fesses … je le sens, parce que, lui aussi, se met à gémir … je le sens, parce que, brusquement …

- Rhôôôô putaiiiiiin ! Rhôôôô puuuuuuutaiiiiiin ! 


Et aussitôt:

- Oooh, meeeeeeeerde !


Il m'a empoigné à l'angle de mon ventre et de mes cuisses et il me fout de violents coups de boutoir … 


Il jouit ! Il éjacule ! 


Et sa queue, qui entre et qui sort violemment de mon cul, produit un bruit mouillé, visqueux ! Il gémit de plus belle, et mêle en haletant un râle à son gémissement … 


Quelle volupté, quel vertige, de sentir ce type déverser sa semence dans mon ventre ! Un homme de plus vient de m'honorer … un homme de plus vient de me féconder ! Je suis émue … et fière … une fois encore, j'ai accompli ma mission !


Subitement, il se colle à moi, plaque son ventre contre mes fesses, me cramponne fermement au niveau des aines … je sens son sexe qui frémit, qui vibre dans mon anus … Il reste comme ça une dizaine de secondes, puis il se retire lentement, et, d'un seul mouvement, il bascule et revient s'asseoir à côté de Jean-Pierre, le dos contre la tête du lit.


Là, je réalise que Jean-Pierre ne m'a pas incité à le sucer pendant que Bernard me baisait … c'est sans doute pour me laisser savourer le plaisir de cette sodomie. Je relève la tête. Bernard est en train de se recalotter le gland. Jean-Pierre le regarde en souriant:

- Alors ?


Bernard sourit à son tour:

- Ouais, ben … t'avais raison … elle est vraiment bonne !


Il me regarde et il éclate de rire:

- Putain, ça y est, j'suis devenu pédé ! Tu m'as fait devenir pédé, avec ton cul de … ton cul de salope !


Ben il se lâche, le Bernard, lui qui est si coincé d'habitude. Je regarde Jean-Pierre, et, en prenant sa queue dans la main:

- Du coup, toi, je t'ai pas sucé …


Je me penche, sur son ventre, mais il m'arrête:

- Attends ! Avant … t'aurais pas quelque chose à manger ? J'ai les crocs, j'ai pas mangé, à midi …

- Ben … si, je dois avoir quelque chose … mais c'est dans la cuisine … je vais aller te chercher ça …

- Non, attends … te dérange pas, je vais avec toi …


Je me relève et je descends du lit. Jean-Pierre se tourne vers son pote:

- Tu viens, ou tu préfères qu'on te ramène quelque chose ?

- Non, je viens.


A leur tour, ils descendent du lit et ils entreprennent de récupérer leurs vêtements. Je rajuste mon porte-jarretelles et je retends mes bas … je sens … ça me coule du cul sur le haut de la cuisse. J'hésite … j'aime bien garder en moi ce que les mâles m'ont injecté, mais là, pour aller jusqu'à la cuisine commune du gite, je vais sans doute en répandre en chemin … bof, en principe, il n'y a que nous ici, aujourd'hui … alors j'attrape mon déshabillé et je l'enfile pendant que mes deux amants se rhabillent. Bernard:

- Dis … euh … tu vas pas te …


D'un coup de menton, il me montre la porte de la salle d'eau. Je lui souris:

- … me laver le cul ?

- Ouais, te laver le cul … je t'en ai mis une dose, quand même …

- Ouais, il devait même en rester de Jean-Pierre. Ben non, je vais pas me laver le cul. Ça me plaît de garder votre jute dans le cul …


Il ouvre des yeux tout ronds. Jean-Pierre se marre. 


- Bon, vous y êtes, les garçons ?

- Ouais. Allons-y.


Je sors, suivi de mes deux mecs. Hhhmm, alors ça, ça me plaît … c'est encore mieux que tout à l'heure, quand je suis allé leur chercher à boire … parce que là, ils sont avec moi … c'est un échantillon de ce que j'aimerais vivre au quotidien … déambuler dans un lieu public, comme cette galerie, habillé en salope, accompagné des deux mecs qui viennent de me sauter … je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par leur semence qui suinte de ma rondelle … 


D'un seul coup, une main sur mon cul … c'est Jean-Pierre, évidemment. Sans m'arrêter, je tourne la tête vers lui. Il arbore un large sourire:

- Ça va, ma chérie ?

- Ça va. Et toi ?

- Impec ! T'es sûr qu'il n'y a personne, hein …

- En principe, oui ..

- Et si quelqu'un débarque …

- On verra bien …


Il sourit. Nous arrivons à la cuisine:

- Tenez, vous n'avez qu'à prendre des assiettes et des couverts … c'est dans ce meuble, là …


Pendant qu'ils  prennent le nécessaire, je récupère des restes de charcuterie, du fromage et des canettes dans le frigo. Jean-Pierre:

- On se met où ?

- Dans la salle à manger … la porte vitrée, à droite … tenez, prenez ça, aussi … j'arrive … je décongèle du pain …


Bernard récupère ce que j'ai sorti du frigo et ils disparaissent par la porte vitrée. 


Quand j'arrive à mon tour dans la salle à manger, Bernard est déjà installé à une table contre la baie vitrée, et Jean-Pierre est à l'autre bout, en train de visiter. Le soleil filtre à travers les arbres dépourvus de feuilles, il inonde la pièce par les grandes baies vitrées et il fait de grandes taches de lumière mouvante sur les tables … De loin, Jean-Pierre me lance:

- C'est vachement grand, dis donc … Y'a de quoi faire des sacrées fiestas … et en plus, y'a une cheminée … on peut faire une flambée …

- Ouais. D'après la gérante, quand le gite est complet et que le camping est ouvert, des fois, la salle est pleine …

- Ah, ça fait aussi camping ?


Pendant que je déballe la bouffe, Jean-Pierre approche, il tire une chaise de sous la table et il s'assied. Puis il me prend la main, me faisant lâcher la terrine que j'étais en train d'ouvrir, il m'attire vers lui et, en tapotant sur sa cuisse:

- Assieds-toi là !


Ça a été si surprenant et si vigoureux que je n'ai pas eu l'occasion de résister. Je m'assieds en prenant soin de ne pas poser l'entrée de mon fourreau, souillé de sperme, sur sa cuisse, et:

- Hé, j'te préviens, j'ai le cul encore plein de foutre … je vous l'ai dit tout à l'heure …

- Je sais … je m'en fous … c'est NOTRE foutre …


Et pour me montrer que ça ne le dérange pas, il glisse sa main sous ma fesse et il passe ses doigts sur ma fleur toute poisseuse de sperme … waouhhhhh, j'ai la rondelle encore toute chamboulée et sensibilisée par leurs saillies, alors ça me fait un effet terrible ! Je laisse échapper un halètement et je ferme les yeux. Ma réaction le fait rire et ça le décide à en faire plus … je sens qu'il m'enfonce un doigt ... oh la laaaaa … je passe mon bras sur ses épaules et je cale ma tête dans son cou … je ronronne … 


- Putain, tu démarres au quart de tour, toi !


Je le sens qui introduit un deuxième doigt dans mon cul … il les bouge … je gémis … c'est tellement bon, de se faire doigter ! D'autant qu'avec le cul plein de sperme, ses doigts glissent en douceur … Je sens aussi qu'il a posé son autre main sur ma cuisse et qu'il la remonte lentement vers mon ventre … je bande ! Il va quand même pas … Si, il vient de prendre mon sexe dans sa main !


- Non, arrête, Jean-Pierre ! Me touche pas là !

- Pourquoi … tu bandes … je vais te branler ..

- Non … laisse-moi !


Je repousse sa main:

- Plus tard … peut-être …

- Bon … comme tu veux …


Il sort ses doigts de mon cul et je le sens qui remonte sa main le long de mon dos ... derrière mon cou … le long de mon menton, et:

- Tiens, lèche mes doigts …


Sans hésiter, je tourne la tête, j'ouvre la bouche … et je suce se doigts … hhhmmmm, ce goût de sperme ! Le goût de leurs deux spermes mélangés dans moi … avec des restes de lubrifiant et un peu de mes propres sécrétions anales … j'adore ça ! Je sens Jean-Pierre pouffer contre moi, pendant que Bernard me regarde, effaré. Brusquement:

- Lève-toi !


Jean-Pierre m'a presque viré de son genou. Il se dresse et:

- Je mangerai après … viens là !


Il me prend par le coude et il me pousse vers le bout de la table:

- Enlève ça et fous-toi là, sur le dos !


Il va me prendre sur la table ! Je dénoue fébrilement la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le laisse tomber à mes pieds. Tandis que je pose mes fesses sur le bord de la table, tout en enlevant ses chaussures, Jean-Pierre ouvre sa braguette et il ôte son pantalon … il bande et sa queue se dresse déjà à la verticale !  


Le voilà contre moi, entre mes genoux … il plante ses yeux dans les miens et il me sourit:

- J'vais t'baiser là !


Bien sûr, oui, baise-moi là ! Non seulement ça me plaît que tu veuilles me baiser ici, sur cette table, mais ça me plaît que tu décides ça sans me demander si j'en ai envie, ça me plaît que tu disposes de moi … D'une main, il me pousse en arrière tout en me retenant de son autre main … me voilà allongé sur la table … il saisit alors mes jambes, sous les genoux, et il les relève … de moi-même, j'écarte les cuisses … Ses yeux toujours plantés dans les miens, il bouge son bassin et, sans qu'il ait besoin de guider sa queue de la main, son gland trouve tout seul l'entrée de mon fourreau … Oh putain … ce que j'aime ça ! Je me cambre, les omoplates et la nuque plaquées sur le bois de la table et les reins en arc de cercle. Il va me prendre là, sur cette table, dans cette salle à manger … en pleine lumière … sous les yeux de l'autre … et je vais le regarder me baiser … 


Et soudain, je réalise que c'est précisément sur cette table que j'ai partagé des pizzas avec deux jeunes randonneuses, le soir de mon arrivée en Bretagne ! Je ne pensais vraiment pas au cul, à ce moment-là ! Mais là, oui, je pense au cul … je pense même tellement au cul qu'il me vient spontanément des images en tête … un fantasme … nous trois, Jean-Pierre, Bernard et moi, exactement dans la même situation, en train de faire la même chose, mais avec cette salle à manger pleine de monde … des touristes, des randonneurs, des familles attablées, en train de manger ... et Jean-Pierre qui me prend, qui me baise devant eux ! Et … et … et les gens qui interrompent leur repas et qui viennent regarder … des hommes, des femmes, des enfants, même … des vieux, des jeunes qui s'attroupent autour de nous et qui matent, et qui commentent … et des hommes qui demandent à Jean-Pierre si ils pourront aussi me baiser quand il aura fini … et une femme qui incite son mari à prendre son tour …


Pendant que je partais dans mes divagations, Jean-Pierre a commencé à aller et venir en moi, ses mains à l'arrière de mes genoux … lentement … très lentement … je sens son sexe glisser dans ma rondelle … Je croise mes mains sous ma nuque et je redresse la tête … je veux voir son ventre entre mes cuisses … son ventre qui approche et qui s'éloigne en rythme … Tout en allant en venant en moi, Jean-Pierre me regarde … ou plutôt, il m'examine … de la tête aux pieds … enfin, plutôt de la tête au ventre … comme une curiosité … à une certaine crispation de sa mâchoire, à une certaine façon de respirer par la bouche, je sens que son excitation monte … Etalée comme ça sur cette table, offerte, à disposition, je me fais l'impression d'être une sorte de … une sorte de bout de barbaque inerte dans lequel ce mec va se soulager … sensation étrange et délicieuse !


Un bruit, à côté de moi, attire mon attention … je tourne la tête … Bernard s'est levé … il a sorti sa queue, et, les yeux exorbités, il se branle en regardant son pote me baiser ! 


Un contact, sur mon ventre … je regarde … Jean-Pierre a écarté les pans de ma nuisette et il a posé sa main à plat, là, entre mon nombril et mon pubis … il regarde fixement cet endroit, comme fasciné …


- Ma bite vient jusque là …


Ce n'est pas à moi qu'il a parlé … ni à Bernard … c'est à lui-même qu'il a parlé … il appuie sur mon ventre tout en continuant d'aller et venir … il appuie sur mon ventre comme pour essayer de sentir, sous ma peau, sous mes abdominaux, sa queue qui va et vient … ça dure comme ça un moment ... il déplace un peu sa main, il tâte, il palpe mon ventre … et il regarde aussi ma bite … ma bite qui a légèrement débandé et qui ballotte un peu sur mon ventre, secouée par ses va et vient … il la regarde et, sans un mot, il la prend entre ses doigts … il me jette un rapide coup d'œil, et, comme je ne proteste pas, il affermit sa prise … il y a je ne sais quoi, dans son regard … c'est comme si, en prenant ma bite dans sa main, il réalisait vraiment que c'est un mec qu'il est en train de troncher … il commence à me masturber … et cette fois, ça me plaît … il me baise et il me branle ! 


C'est comme un signal qu'il aurait attendu … sans lâcher ma bite, il se met à me bourrer à grands coups de reins … et je vois, je sens qu'il va jouir rapidement … alors, de sentir que je vais encore me faire inséminer, mon excitation à moi grimpe aussi en flèche … Brusquement, Jean-Pierre se bloque le ventre contre moi, et la tête rejetée en arrière, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, il jouit !

- Rhââââââââââââââââ … puuuuuuuuuutaiiiiiiiiin !

 

Pour lire la suite, cliquer ici: Un certain Paulin 01


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 17 juillet 2019 3 17 /07 /Juil /2019 01:00

Oooooh, LUI ! Je l'adore !

 

Mon gros godemiché noir, mon infatigable amant !

 

Oh, bien sûr, je lui étais souvent infidèle et je me tapais souvent tout ce qui me tombais sous la main ... outils, flacons, bouteilles, lingerie, bûches, etc. 

 

Il m'arrivait même de m'enfiler bien plus gros que lui. Mais c'était pour la bonne cause. Ces "infidélités" me permettaient d'avoir la rondelle toujours bien dilatée, bien souple, toujours prête, et comme ça, quand son tour à LUI venait, je pouvais me le fourrer sans préparation, et sans autre lubrification qu'un peu de salive.

 

Alors voici une nouvelle séance de défonce anale avec lui. 

Godemiché noir 004 

Vous verrez, je me le prends dans toutes les positions: debout, je m'empale sur mon gros godemiché noir posé sur un tabouret, puis mon gros godemiché noir collé à la paroi de la baignoire, je me le fourre en levrette à quatre pattes, et enfin, toujours collé sur la baignoire, je me l'enfile, allongé sur le dos ... assez acrobatique, mais tellement agréable !

 

 

 

 

D'autes vidéos avec mon gros godemiché noir en cliquant sur ces photos:

première fois godemiché noir 011 0001 Sur mon lit avec mon godemiché noir Au jardin avec mon godemiché noir 

Empalé sur mon godemiché noir Gros plan sur mon gros godemiché noir Godemiché noir 003


Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs du cul
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Vendredi 12 juillet 2019 5 12 /07 /Juil /2019 01:00

Ah, le canapé bleu de Marie-Claire !

 

Un canapé en cuir ... allez savoir pourquoi, il m'a toujours inspiré ... non seulement je me suis beacoup branlé dessus, mais il a aussi participé directement à mes jeux en solo ...

 

Sexe sur canapé 002

 

Dans cette vidéo, nouvelle série de frotti-frotta sur le dossier du canapé.

 

 

 

 

Les précédentes vidéos en cliquant sur ça:

sexe sur canapé Sexe sur canapé 001

Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs de la bite
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Dimanche 7 juillet 2019 7 07 /07 /Juil /2019 01:00

Ça vous dit une balade avec moi sur l'autoroute ?

 

Ce qu'il y a, c'est que, pour cette balade, j'ai adopté une tenue un peu … spéciale: un haut tout noir, et en bas, seulement un porte-jarretelles et des bas assortis.

 

Bon, c'est vrai, j'ai gardé mon pantalon, mais je l'ai descendu sur mes genoux et sur mes mollets. Je ne sais pas pourquoi, j'avais une espèce d'intuition … l'intuition que je pourrais avoir besoin de le remonter vite fait à un moment ou à un autre … Et vous verrez, j'avais raison. 

 

Trav en voiture 005

 

Pour le reste, et bien, j'ai la bite à l'air ! Ça vous va quand même ? Alors en route ! 

 

Oh, ne vous attendez pas à une grosse branlette ni même à une belle érection . Je reste concentré sur ma conduite et je me contente de me tripoter. Le plaisir est surtout sensuel … j'adore conduire dans ce genre de tenue … le plaisir est aussi cérébral … j'aime bien me faire dépasser par les autres automobilistes qui sont loin de se douter que le type dans la voiture qu'ils sont en train de doubler est en porte-jarretelles avec la bite à l'air, et qu'il se tripote !

 

Ah oui, si je remonte précipitamment mon pantalon en arrivant à un péage, c'est parce que, soudain, à la barrière de péage à côté de la mienne, je découvre ... un gendarme ! Il est bien planqué, justement pour qu'on ne le voit qu'au dernier moment. Mais visiblement, ce n'est pas moi qu'il attend. Grosse décharge d'adrénaline quand même !

 

Bon, au total, cette balade a duré presque une heure, mais dans cette vidéo, je n'ai mis que les moments "intéressants". Ça fait quand même presque un quart d'heure !

 

 

 

 

D'autres balades en voiture habillé en trav en cliquant sur ces photos: 

Trav en voiture 002 Trav en voiture 003 Instantané 6 (28-06-2017 14-30)

Par Solosexe - Publié dans : Exhibitions - Communauté : TRAVESTIS
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Mardi 2 juillet 2019 2 02 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 14h15


Voilà, on y est ! Bernard et son collègue sont là. 


Bernard, c'est cet inconnu que j'ai rencontré dimanche, au cours de ma balade sur la côte, habillé en travesti, et à qui j'ai taillé une pipe au bord d'une route dans sa voiture. 


Son collègue, c'est aussi un inconnu. J'avais demandé à Bernard si il ne connaîtrait pas quelqu'un qui voudrait me baiser … Ça n'a pas traîné … deux jours après, c'est-à-dire le mardi suivant, ils m'appelaient de leur lieu de travail pour prendre rendez-vous. Et donc, ils sont là, dans la chambre du gite où j'habite depuis que je suis arrivé en Bretagne.


Ça fait à peine un quart d'heure qu'ils sont arrivés et je suis déjà à genoux aux pieds du collègue en question … il s'appelle Jean-Pierre, le collègue de Bernard … là, Jean-Pierre, il a le pantalon et le caleçon descendus en accordéon sur ses chevilles … et moi … moi, je suis en train de poser des bisous et des coups de langue sur ses couilles … des couilles qui pendent … lourdes … énormes … magnifiques ! Elles me font penser aux couilles d'un taureau, alors j'ai hâte que ce mec me baise ! Parce que, c'est sûr, ce mec VA me baiser ! Je l'ai senti tout de suite … autant l'autre, le Bernard, est hésitant ou timide, autant celui-là est visiblement décidé.


Accroupi derrière moi, Bernard a aventuré ses doigts entre mes fesses … il les fait glisser le long de ma raie, mais, si il les passe toujours plus près de ma rondelle, je sens qu'il n'ose pas encore la toucher vraiment … il la contourne, il l'effleure … comme s'il attendait mon autorisation pour aller plus loin … suspendant mes coups de langue sur le périnée de Jean-Pierre, je lâche sa verge, je m'empoigne la fesse droite, je me cambre, et:

- Allez, Bernard, vas-y, fourre-moi tes doigts dans le cul … vas-y franchement, tu n'as rien à craindre, j'ai le cul vraiment clean … et je me suis mis du lubrifiant …


Visiblement, il n'attendait que ça. Immédiatement, je sens qu'il me pose un doigt sur l'anus et qu'il commence à l'enfoncer … ouaaaaaahhhhhh, ça me donne une espèce de décharge électrique dans le cul qui se répand dans tout mon corps … comme une vague voluptueuse et qui me fait me cambrer davantage ! Je ne peux retenir un gémissement … Bernard:

- Je t'ai fait mal ?

- Ooooh nooooon ! C'est parce que … c'est tellement booooon ! Continue …


Et ça rentre tout seul ! Comme le lubrifiant que je me suis injecté a commencé à s'écouler, Bernard n'a pas besoin de forcer… Alors je peux me consacrer à nouveau aux couilles et à la bite de Jean-Pierre … je n'y tiens plus, j'arrête mes bisous et mes léchouilles, je reprends ses couilles dans ma main, et son sexe dans ma bouche ! Hhhhhhmmmmmm, ce que c'est boooooon ! Un flot de salive m'inonde la langue et les joues.


Puuuutain, j'ai encore deux mecs pour moi toute seule ! Deux mecs ? Non, deux inconnus ! J'ai beau être coutumier de ce genre de situation, à chaque fois, j'en suis ébahi … là, j'en suce un, et l'autre me fourrage le cul avec ses doigts ! D'ailleurs, sans que j'aie eu besoin de m'en charger, mon anus s'est mis à béer spontanément sous l'effet des caresses exploratoires de Bernard … et comme il a senti ma fleur s'épanouir au contact de ses doigts, il m'en a déjà enfoncé un deuxième dans le fourreau ! Oh la laaaaa ! Je suis pris d'un léger vertige … c'est boooooon, c'est tellement boooooon ! Deux mecs ! Deux mecs qui bandent pour moi … deux mecs qui me veulent … c'est seulement deux mecs, mais ils me mettent dans tous mes états ! Pourtant, j'ai déjà été assailli – assailli et sailli - par bien plus que deux mecs ! Plusieurs fois par quatre ou cinq … une fois par huit blacks d'un coup … et jusqu'à trente ! Mais là, il y a si longtemps que je ne me suis pas offerte à plusieurs types en même temps ! Je me sens comme un junky privé de shoot depuis des jours, et à qui on montrerait un petit rail de coke ! Je veux que ces deux types m'utilisent … je veux que ces deux types se servent de moi … je veux que ces deux types disposent de moi comme ils ont envie … je veux que ces deux types me baisent !


Et une fois encore, je me surprends à gémir … sans retenue, sans pudeur … comme une femelle en chaleurs …


JE SUIS une femelle en chaleurs !


Allez, maintenant, il faut qu'ils me baisent … TOUT DE SUITE !


J'ai sorti la bite de Jean-Pierre de ma bouche, je me suis relevé, je me suis élancé et je me suis jeté sur le lit:

- Allez, les garçons, baisez-moi, maintenant !


Allongée sur le dos, les cuisses écartées, je tends les mains vers eux. Ils sont scotchés … Jean-Pierre debout au milieu de la chambre et Bernard toujours à genoux là où je l'ai planté … tous les deux ont la bite en bannière … les mains tendues vers eux, j'insiste:

- Allez ! Venez, les garçons !


C'est Jean-Pierre qui réagit le premier … il ôte vite fait ses chaussures, il finit d'enlever son pantalon et son caleçon, et il me rejoint. Bernard hésite une fraction de seconde, puis, en voyant faire son collègue, il se décide … il se relève, il ôte son sweat-shirt et sa chemise, puis son pantalon et son slip … 


Jean-Pierre s'est agenouillé au bout du lit, à côté de mes jambes, il a passé ses index dans la ceinture de mon string au niveau de mes hanches:

- Enlève ça !


Il est fébrile … maintenant, il a une urgence. Je soulève mon bassin et il descend le minuscule bout de tissu rouge sur mes cuisses, puis sur mes mollets, avant de me l'ôter complètement et de le jeter au pied du lit. Il pose une main sur ma cuisse:

- Tourne … et fous-toi à quatre pattes !


Il va m'enculer ! Il va me prendre en levrette !


Avant d'obtempérer, je jette un rapide coup d'œil à sa queue … encore luisante de ma salive, elle se dresse à la verticale … ses veines sont gonflées … son gland, que je n'ai pas eu le temps de complètement décalotter, commence à sortir tout seul de son prépuce … c'est pour mon cul que ce sexe bande comme ça ! C'est pour fourrer mon cul qu'il bande comme ça !


Pendant que je me retourne pour me mettre en position, Bernard monte à son tour sur le lit:

- Où j'me mets, moi ?

- Là, devant moi … assieds-toi, je vais te sucer pendant que ton copain me baise …


Il s'assied, le dos appuyé à la tête du lit, ses jambes de part et d'autre de mes mains posées à plat sur le matelas … il arbore un sourire réjoui … un peu hésitant tout à l'heure, à son arrivée, j'ai senti qu'il avait un peu de mal à se mettre dans l'ambiance, à participer … mais cette fois, ça y est, même si je crois qu'il n'en revient pas de ce qu'il est en train de faire, lui à qui sa femme n'aime pas tailler une pipe, lui dont la femme ne veut même pas baiser dans le jardin … et il est là, dans un lit avec un collègue, et tous les deux s'apprêtent à baiser un travelo !


Pendant que Bernard s'installait, j'ai senti le matelas s'enfoncer entre mes genoux quand Jean-Pierre a pris place entre mes mollets … j'ai écarté un peu plus mes jambes … il a posé ses mains sur mes hanches et il s'est mis à me les peloter, à me les pétrir:

- Putain, quel CUL !


Ça le fait rire. Je tourne la tête vers lui … la bouche entrouverte, le regard fixe, tout en contemplant ma croupe, il la caresse fiévreusement. Alors je me cambre, je creuse mes reins, adoptant la position de la chatte qui réclame une saillie à son matou … et je me penche sur le ventre de Bernard. Lui aussi, sa bite se dresse à la verticale … sa bite au prépuce si étrange, au prépuce si long, au prépuce si appétissant … du bout des doigts, je lui caresse la verge, j'effleure ses couilles, je serre délicatement son gland, je pince son prépuce …


Derrière moi, Jean-Pierre fait je ne sais quoi, une main toujours sur ma hanche … je sens le matelas bouger sous mes genoux, comme s'il était soudainement allégé d'un poids … j'ai l'impression … j'ai l'impression qu'il est descendu du lit …


Et brusquement … je sens … entre mes fesses … je sens … oui, c'est son visage … je sens la tiédeur de son haleine au fond de ma raie … et aussitôt, une chose toute chaude et mouillée se pose sur ma fleur … c'est sa langue ! Il veut me bouffer le cul ! J'ai bien fait de choisir un lubrifiant comestible ... en plus, il est parfumé à la vanille. Oh, oui, Jean-Pierre ! Vas-y, bouffe-moi la rondelle ! Oh la laaaaaaa, ce mec va me rendre dingue ! Ça y est, je sens le bout de sa langue qui s'enfonce légèrement dans ma rondelle … Putain que c'est bon ! Je passe ma main libre derrière moi, j'empoigne ma fesse et je l'écarte pour qu'il puisse coller sa tronche bien au fond de ma raie. Il bouge sa langue … c'est chaud, c'est ferme et légèrement râpeux, c'est mouillé, c'est vivant … on dirait une petite bestiole qui cherche à se cacher dans son terrier … vas-y, petite bestiole, va te mettre au chaud et en sécurité … j'adore !


Tandis que Jean-Pierre commençait à me bouffer le cul, je n'ai pas arrêté de tripoter la bite de Bernard … Bernard qui bande maintenant très nettement … alors, je me penche un peu plus, j'ouvre la bouche et je happe son sexe … hhhhhmmmmm, ce prépuce, ce long morceau de peau un peu mou, bien au chaud dans ma bouche, c'est irrésistible … je ne peux pas m'empêcher de jouer de la langue avec lui … je le fais tourner, je le presse contre mon palais, je l'asticote, j'introduis la pointe de ma langue autant que je peux à l'intérieur … et je sens la verge et le gland de Bernard réagir … sa verge gonfle et dégonfle par à-coups entre mes lèvres tandis que des espèces de pulsations font battre son gland comme un cœur minuscule … les premiers soubresauts de sa verge et de son gland étaient tellement forts que j'ai cru un instant que Bernard était déjà au bord de l'éjaculation … mais non … je sens qu'il maîtrise …


Alors, je serre mes lèvres sur sa verge et je l'enfonce jusqu'au fond de ma gorge … il commence à se décalotter … je relâche ma pression, et je remonte ma bouche jusqu'à avoir la couronne de son gland contre mes lèvres … et je recommence … lèvres serrées, gland au fond de la gorge … et voilà, il est complètement décalotté et son gland s'épanouit sur ma langue ! De nouveau, je ne peux retenir un gémissement de plaisir ! Ou plutôt … un couinement ! Bernard m'a entendue … ça l'a fait rire … ou plutôt ricaner … quand il a ri, j'ai senti la secousse de son ventre contre mon front. Mais je m'en fous … il peut rire … je me fous que ces deux mecs m'aient entendue … je me fous qu'ils me prennent pour une folle de bite … JE SUIS une folle de bite ! 


Bernard a pris ma tête entre ses mains et j'aime ça … je suis sûr … je suis sûr qu'il est en train de me regarder le sucer … de regarder ma bouche aller et venir sur son sexe … instinctivement, il a commencé à écarter davantage les cuisses … par moments, en même temps que sa bite est prise de tressaillements, il se met à respirer plus fort par la bouche … ce sont des vagues de plaisir qui déferlent sur sa queue avant de se retirer …


- Dis, Machin, t'as des capotes ?


C'est Jean-Pierre qui vient de sortir sa tronche d'entre mes fesses et qui s'est redressé … il a accompagné sa question d'une tape sur le haut de ma fesse … comme je continue de faire aller et venir ma bouche sur la queue de son copain, il insiste:

- Hé mec ! T'as des capotes ?


Alors je recrache la bite de Bernard, et, tout en continuant de le masturber, je tourne la tête vers Jean-Pierre:

- Pourquoi … tu veux mettre une capote ?

- Ben … je sais pas … c'est pour toi …

- Ben oui, j'ai des capotes, mais moi, j'aimerais mieux que t'en mettes pas …

- Ah bon ? Mais … tu voudras que je me retire au moment de jouir ?

- Non … je préfère que tu jouisses dans mon cul ...

- Ah bon ! Ben dans ce cas là, moi aussi … t'es sûr, hein … parce que …

- Ouais, je suis sûr ! T'inquiètes pas pour moi … quand je dis que je veux qu'un mec me baise, c'est que je veux qu'il me baise VRAIMENT … je veux avoir sa bite au fond de mon cul et je veux qu'il décharge son sperme au fond de mon ventre … pour moi, c'est ça, me faire baiser …

- Bon, très bien, alors … moi, ça me va … je vais t'baiser !

- Et tu sais, hein … tu t'occupes seulement de toi …

- Comment ça …

- Ben … donne-toi du plaisir … prends ton pied, et t'occupes pas de moi … essaie pas de me donner du plaisir, hein … mon plaisir à moi, c'est que tu me baises et que tu éjacules dans mon cul …

- Bon … comme tu veux …


La tête un peu penchée sur le côté, il contemple mon cul tout en me caressant les fesses:

 

- Tu sais … t'as un cul … t'as vraiment le cul le plus … le plus bandant que j'aie jamais vu ! Et pourtant, j'en ai vu des culs … et j'en ai baisé des culs ! Des culs de mecs et des culs de femmes … mais le tien, putain ! Et en plus, c'est la première fois que je baise un mec dans ce genre de tenue … en nuisette, avec un porte-jarretelles et des bas … et ben, c'est VACHEMENT bien, comme ça ! Jusqu'à présent, j'ai seulement baisé des mecs … tu vois … à poil, quoi … C'est bien aussi, hein, je dis pas … mais comme ça, avec cette lingerie, c'est … c'est encore plus … je sais pas … c'est plus … plus dépravé, plus vicelard, je trouve … j'adore ! Avec ta lingerie, je te trouve même plus excitant que si t'étais une femme … ta lingerie et ton p'tit cul de salope … et tes boules et ta bite qui ballottent entre tes cuisses … une sacrée petite pute !

- Merci.

- Ben, pas d'quoi, ma chérie …


Il glisse sa main entre mes fesses depuis mon coccyx et il s'arrête sur ma rondelle. Je le sens m'enfoncer un doigt … ou deux … et les bouger … hhhmmmm ! Je veux le voir se préparer à m'enculer … même si je suis obligé de me tordre le cou et le dos. Et sans avertissement, il ôte ses doigts et, sa main gauche sur ma fesse, il se remet à genoux entre mes mollets … il serre sa queue dans sa main droite, et avant que mon arrière-train la cache à ma vue, sa queue, j'ai le temps d'apercevoir son gland qui dépasse de son poing … son gland avec la fente de son méat … Oh putain, il va m'enfoncer ça dans le cul, et c'est par là que va jaillir sa semence et qu'elle va se répandre dans mes muqueuses ! J'ai tellement hâte qu'il m'insémine ! 


Il a les yeux braqués sur … sur ma rondelle … et il approche son gland … Ça y est, il vient de le plaquer contre ma fleur … je le sens … son gland caoutchouteux et brûlant ! Il va me pénétrer ! Je ferme les yeux et je me retourne face à Bernard que je n'ai pas arrêté de branler …


Ah putain, ça y est ! Jean-Pierre enfonce son sexe en moi ! C'est tellement … c'est tellement … ça me bouleverse ! Ce que ce mec … ce que ce mec est en train d'introduire en moi, c'est SON SEXE … SON SEXE, PUTAIN ! En l'espace de quelques mois, je me suis déjà fait baiser par … je sais pas … peut-être une cinquantaine de mecs … peut-être plus … mais je suis toujours aussi chamboulé … troublé … affolé par ÇA … un mâle qui introduit SON SEXE DANS MOI ! 


Qu'une personne … ou plutôt, qu'un être vivant comme … comme un animal, par exemple … qu'un être vivant, mâle, évidemment, introduise son sexe dans un autre être vivant, je ne peux pas imaginer de relation plus étroite, plus intime que ça … et ceci en faisant abstraction de toute relation affective ou sentimentale. Et je parle bien de l'introduction du SEXE d'un mâle, pas d'une autre partie de son corps, comme un doigt ou une langue … non, je parle du SEXE, je parle de l'appareil génital d'un mâle, je parle de l'organe reproducteur d'un mâle … Et quand je parle de relation étroite, intime, je parle de quelque chose de plus profond qu'un simple contact tactile entre deux peaux, entre deux chairs … je parle de quelque chose au-delà de la fornication, de la débauche, de la luxure … je parle d'une relation d'être à être, une relation de celui qui pénètre avec son sexe à celui qui est pénétré, une relation qui implique nécessairement une sorte de subordination, certes généralement consentie, mais tout de même une relation qui suppose un rapport de sujétion … parce que celui qui pénètre l'autre avec son sexe PREND … il prend possession du corps de l'autre ... en jouissant du corps de l'autre avec son sexe, il PREND l'autre, il POSSÈDE l'autre … il possède ENTIÈREMENT l'autre, TOTALEMENT … d'ailleurs, dans sa sagesse, le langage utilise ces mots, ces expressions … se donner, s'offrir à quelqu'un … « prends-moi » … posséder quelqu'un …


Bizarrement, étant devenu depuis quelques mois celui qui se donne à l'autre, étant devenu celui qui se fait pénétrer par le sexe de l'autre, quand cet autre est un inconnu, je ressens d'autant plus intensément ce rapport de sujétion au mâle à qui je m'offre … ce qui exprime le mieux ce que je ressens, c'est … "je veux que ce type me prenne, je veux que cet inconnu me possède " … oui, je veux qu'il me POSSÈDE, je veux être sa chose ! Je veux qu'il dispose de mon corps à son gré ! Plus curieux encore, et surtout beaucoup plus dépravé, beaucoup plus amoral selon les critères de la société, j'éprouve une ivresse, une exaltation, une jubilation d'autant plus intenses que je me soumets, que je m'abandonne ainsi aux désirs de plusieurs inconnus, que je m'offre à une meute de mâles pour qu'ils se partagent mon corps, pour qu'ils me prennent, pour qu'ils pénètrent mon corps avec leurs sexes ! Mais surtout, pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si elle est radicale, sans artifice, sans protection … le sexe du mâle à nu … à cru … à vif dans ma chair … sans capote, donc … pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si le mâle éjacule dans mes entrailles, parce que la semence du mâle, cette part de lui-même, qu'il répand au fond de mon ventre, qu'il confie à mon ventre, sublime cette relation charnelle …  


Ses mains à l'angle de mon ventre et de mes cuisses, Jean-Pierre s'enfonce en moi … lentement, doucement … je sens chaque millimètre de son sexe glisser dans mon anus parfaitement lubrifié … il me semble … il me semble que je sens son gland qui se fraie son chemin en moi en repoussant les parois de mon rectum … Ah la la, quel bonheur ! J'ai le sexe d'un mâle dans moi ! Le sexe d'un mâle inconnu ! Et ce mâle va prendre du plaisir dans moi ! Et il va JOUIR dans moi ! La tête me tourne un peu … les yeux fermés, concentré sur ce que ce type me fait, je me rends compte que, dans la main, j'ai toujours la bite de l'autre … la bite de Bernard … Bernard qui bande, mais que j'ai arrêté de masturber … il ne proteste pas, il ne cherche pas à remettre sa bite dans ma bouche … je crois … même s'il ne voit pas le sexe de son copain s'enfoncer en moi, je crois qu'il devine, qu'il sent ce qui se passe  … il doit voir son copain, les mains sur mes hanches, le regard braqué sur ma rondelle, qui progresse lentement … il doit voir et déchiffrer ses mimiques … sans doute fasciné par le spectacle de son copain qui est en train de s'introduire en moi … 


Voilà … le ventre de Jean-Pierre touche mes fesses … il est au fond … juste avant qu'il reparte en arrière, je l'arrête:

- Attends, Jean-Pierre ! Reste un peu comme ça.


Il s'immobilise. Alors, m'appuyant sur mon coude gauche, je lâche la bite de Bernard, et je passe ma main droite sous mon ventre … entre mes cuisses … et je cherche à tâtons les couilles de Jean-Pierre … les voilà ! Ah oui, putain ! Ses belles couilles … ses énormes couilles de taureau ! Elles pendent terriblement ! Comme tout à l'heure, quand je les ai déballées. Pourtant, en principe, quand un mec est excité, ses couilles ont tendance à remonter vers son périnée. Lui, non. Hhhhmmm, c'est trop bon … ça me plaît ! Du bout des doigts, j'effleure la longue bande de peau que le poids de ses boules étire sous son périnée … puis je frôle ses bourses … je les palpe doucement et, au contact de mes doigts, comme tout à l'heure, je sens ses couilles bouger toutes seules à l'intérieur de leurs bourses … elles sont vivantes … et elles aiment ce que je leur fais … je finis par les prendre au creux de ma paume … putain, qu'est-ce qu'elles sont lourdes !!! Oh la laaa, me faire tirer par … par un mâle équipé d'une telle paire, ça a quelque chose de … quelque chose de … j'ai soudain la même sensation que quand je m'étais mis à quatre pattes dans l'écurie de Jean-Claude, et que le Cané corso de Pierrot, l'énorme molosse de Pierrot, grimpé sur moi, s'apprêtait à me saillir … les grosses couilles de Jean-Pierre qui pendent comme ça, ça a quelque chose d'animal, de bestial … j'adore !


- Elles te plaisent, hein …

- Oh ouiiiii … elles sont tellement … elles sont tellement … je les aime, tes couilles !

- Hé hé hé !


Il est content de lui, le Jean-Pierre … il est fier, même ! Il peut être content et fier de lui ! Oh, ce n'est pas la première paire de couilles hors normes à qui j'aurai eu affaire … j'en ai eu d'autres en main … et d'autres au cul … j'en ai vidé d'autres, des paires de couilles énormes … mais à chaque fois, une grosse paire de couilles, ça me fait le même effet que le sexe d'un mâle qui me pénètre ... ça me … oui, ça me bouleverse. Qu'un mec aussi bien doté par la nature ait envie de me baiser, c'est tellement étonnant et tellement gratifiant … ça me fait me sentir tellement … femelle ! J'imagine qu'avant que la civilisation ait policé nos mœurs, quand l'espèce humaine venait tout juste de s'extirper de son animalité, l'instinct des femelles, pour garantir leur fécondation, devait leur faire choisir de préférence les mâles équipés des appareils génitaux les plus conséquents … tout comme les mâles qui, pour assurer leur descendance, devaient privilégier les femelles au physique le plus apte à porter leur progéniture. Et bien voilà, pour moi, il y a de ça … je me demande si dans l'envie de ce mec pour mon cul et dans ma fascination pour sa grosse paire de couilles … je me demande si il n'y aurait pas comme une réminiscence de ces instincts ataviques … instincts certes maintenant détournés de leur fonction initiale, la reproduction, mais toujours aussi puissants … 


J'aime tellement ça, lui peloter le paquet, à Jean-Pierre … et lui aussi, il aime ça ! Oh, évidemment, pour moi, il y a le plaisir lubrique, voluptueux, de tripoter les couilles du mec qui a enfoncé sa bite au fond de mon cul … mais il n'y a pas que ça … il y a plus que ça … à cet instant, je suis autre chose qu'une tapette … et ce mec est autre chose qu'un queutard … à cet instant, ce type est mon mâle … et je suis sa femelle ! Oui, à cet instant, je suis à lui ! Je suis à lui, et je veux qu'il me baise !


Et soudain, sans m'avertir, il affermit l'étreinte de ses mains sur mes hanches et il commence à s'écarter de moi, à reculer … lentement … Je sens sa verge coulisser dans mon anus … je retiens encore un peu ses boules au creux de ma main … et je les lâche … elles m'échappent … il extrait lentement son sexe … mais pas complètement … je sens … je sens son gland, juste là, tout près de la sortie … et il repart en avant … Oooooohhh ! Oooooh la laaaa ! De nouveau il s'enfonce en moi ! C'est si boooooooon, ce sexe qui plonge dans mes chairs … je m'entends gémir ! Et comme j'ai laissé ma main entre mes cuisses, voilà ses couilles qui reviennent et qui effleurent ma paume … qui effleurent ma paume avant de venir batte contre mon périnée … non, pas seulement contre mon périnée … contre mes couilles aussi ! Ses couilles pendent tellement qu'elles touchent aussi MES couilles ! Oh la laaaaa, la sensation ! Je gémis à nouveau … Je le sens qui plaque à nouveau son ventre contre mes fesses … et aussitôt, il repart en arrière … plus vite, maintenant … et il revient … et cette fois, son ventre claque et rebondit contre mes fesses … 


Ça y est … la mécanique est en marche ! Ses doigts se crispent sur mes hanches … il va et vient sans marquer d'arrêt … je l'entends respirer par la bouche … son excitation monte … monte …


- Suce-moi !


C'est Bernard. Je l'avais encore presque oublié, celui-là. Il a posé sa main sur l'arrière de mon crâne et il appuie pour que je descende ma tête vers sa bite. Mais il n'avait pas besoin d'appuyer … son injonction aurait suffi … aussitôt que j'ai entendu ce « suce-moi », une espèce de vague de … de … de je ne sais pas exactement quoi a déferlé sur moi … une furieuse envie de bite … un besoin de bite … une fringale de queue … brutale, irrépressible … il me FAUT cette bite dans la bouche ! 


Alors j'ai pris le sexe de Bernard dans ma bouche et je me suis mis à le pomper … fiévreusement … en gémissant sans retenue et sans pudeur … je me fous que ces deux mecs réalisent de cette façon que leurs queues me rendent dingue … au contraire, même, je veux qu'ils le sachent, que je suis accro à leurs bites, je veux que ça leur donne envie d'en profiter … il est vraiment très raide dans ma bouche, Bernard ! Je vais et je viens furieusement sur sa queue … je sens son gland gonflé, épanoui, qui glisse entre ma langue et mon palais … je le presse avec ma langue et je sens que ça lui fait beaucoup d'effet … lui aussi, s'est mis à respirer par la bouche, et maintenant, il halète … il a glissé sa main depuis l'arrière de mon crâne jusqu'à ma nuque et il me la serre doucement … j'adore ce geste de domination du mâle sur la femelle, à la fois ferme et affectueux … Oui, Bernard, je suis à toi ! Oui, Bernard, je suis aussi ta femelle ! Je suis votre femelle à tous les deux, les mecs !


Vous pouvez USER de moi !


Vous pouvez ABUSER de moi !


Deux biiites ! Deux biiites ! Deux biiiiiiiiiiiiiites !


J'AI DEUX BIIIIIIITES EN MOI ! ! !


J'AI DEUX MÂLES EN MOI ! ! ! ! 


Ah putain, me voilà pris par les deux bouts ! Une bite dans la bouche, une bite dans le cul ! Ah, ce que c'est bon, de se faire prendre par deux mecs en même temps ! Il n'y a pas à dire, je suis faite pour ça … les mecs … les mâles … la bite … LES bites ! L'autre, derrière moi, y va carrément. Sa queue, qui va et vient dans mon anus, m'envoie des vagues chaudes et voluptueuses dans tout le corps … ses couilles ballottent et frappent mes couilles … je bande … je bande et je crois que ma queue bave de la liqueur … Ah putain, c'est le bonheur !


- Aaaah ! Aaaaaaaaaaa l Aaaaaah puuuuutaiiiiiiiin !


C'est Bernard qui craque le premier. Il a dû sentir mon excitation de salope affamée de bite, et ça l'a achevé. C'est venu d'un seul coup … sans que rien ne l'annonce, je viens de recevoir un jet tiède dans la bouche … un jet tiède et abondant ! Hhhhhmmmmm, ce goût ! Le goût du sperme ! Le goût suave et légèrement salé du sperme ! Et les petits grumeaux caoutchouteux qui se collent à ma langue ! C'est tellement booooooooon ! Je gémis, je couine littéralement de plaisir … sous l'effet de son orgasme, puissant, violent, Bernard, comme l'autre jour dans sa voiture, s'est plié en deux au-dessus de ma tête et je l'entends gémir, lui aussi … et je sens son souffle entre mes omoplates … il continue d'éjaculer et j'avale sa crème au fur et à mesure … Je suis tellement excité que je suis au bord de l'éjaculation … sans même avoir touché ma queue … elle est tellement raide, ma queue, qu'elle en est presque douloureuse … 


Ça y est, Bernard a fini … il reprend son souffle avec difficulté … il doit avoir la joue appuyée entre mes omoplates … il presse ma tronche contre son bas-ventre … je suis obligé de résister pour ne pas avoir le nez écrasé sur son pubis … son ventre se soulève contre mon crâne au rythme de sa respiration … je sens ses mains sur mon dos … il me caresse les reins … les flancs … il n'est plus le mâle qui soumet sa femelle, il est le mâle reconnaissant … je pense que ce type n'en revient pas de ce qu'il est en train de vivre … un truc sans doute totalement improbable pour lui … alors que sa connasse de bonne femme ne lui autorise aucune fantaisie sexuelle, même la plus anodine, le voilà au lit, à poil dans cette chambre, et il vient de se faire tailler une pipe par un travelo qu'un collègue à lui est en train d'enculer ! Là, il vient de jouir sans hésitation et sans retenue dans la gorge du travelo qui ne demandait que ça, alors il se sent bien, Bernard, il est assouvi, apaisé … heureux …


Moi aussi, je suis heureux … ni rassasié de sperme, ni repu de sexe, mais heureux … je viens de sucer ce type, et en le laissant éjaculer dans ma bouche, en avalant sa crème avec gourmandise, j'ai fait quelque chose que sa propre femme lui refuse. Alors, si je suis heureux, c'est que, d'une certaine manière, j'ai le sentiment d'avoir fait mon devoir, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite, d'avoir accompli ma mission … offrir mon corps à des mâles pour qu'ils y prennent du plaisir … 


Comme l'autre jour dans sa voiture, Bernard ne cherche pas à sortir sa queue da ma bouche … c'est un peu étonnant parce que la plupart du temps, une fois que les mecs ont tiré leur coup, ils n'ont qu'une hâte, qu'on arrête de leur toucher la bite … et le gland en particulier, généralement devenu hyper sensible. Bernard, non. Et c'est tant mieux, parce que, pour moi, c'est un vrai bonheur de garder son pénis dans ma bouche pendant qu'il débande, pendant qu'il ramollit … une vraie friandise !


- T'as pris ton pied ?


C'est Jean-Pierre qui interroge Bernard. Lui n'a pas arrêté de me bourrer le cul … peut-être un peu moins vigoureusement depuis un moment … il a dû ralentir quand il s'est aperçu que son pote était en train de jouir dans ma bouche … Au ton avec lequel il a posé cette question, j'ai perçu son excitation. Bernard:

- Ah ouaiiiiis ! 

- Tu y'as … tu y'as joui dans la bouche ?

- Ouaiiis !

- Et il a avalé ?

- Ouais !

- Puuuuutaiiiiin !


Alors ça, ça ajoute à son excitation … et à l'accentuation de la pression de ses mains sur mes hanches, à l'accélération de ses coups de reins, je sens qu'il a brusquement l'intention d'en finir … je l'entends respirer de plus en plus fort … mâchoires serrées, il souffle et postillonne entre ses dents … Bernard s'est redressé et s'est adossé à la tête du lit … il continue de me caresser la nuque et les épaules … délicatement, presque tendrement … il doit être en train de regarder son pote se finir dans moi. Moi, j'ai toujours son sexe dans la bouche, de plus en plus mou … j'adore cette consistance … je l'ai recalotté et je joue de la langue avec son long prépuce … mais mon esprit reste attentif aux va et vient de Jean-Pierre qui me secoue et qui fait ballotter ma tête sur le ventre de Bernard … 


J'ai le cœur qui bat … et ce n'est pas dû à un quelconque effort physique … non, c'est l'émotion ! Dans un instant, le type qui me chevauche va jouir dans moi … il va … m'inséminer le ventre ! J'en ai tellement besoin et il y a si longtemps que ça ne m'est pas arrivé ! Je cherche à quand ça remonte, et soudain, je réalise que non, en fait … ça ne fait pas si longtemps que ça qu'un mec m'a baisé et fécondé … c'était … je ne sais plus exactement, mais sans doute vers fin novembre … oui, le dernier mec qui m'a baisé, c'est … c'est Jean-Claude, le fermier ! Il m'a baisé à quatre pattes au milieu de son écurie … il m'a prise … à la suite des deux molosses de Pierrot. Oui, c'est ça … tout de suite après que Pierrot m'ait fait couvrir par ses deux chiens, Jean-Claude, à son tour, m'a prise en levrette … comme les chiens ! Ouais, alors ça doit faire à peu près un mois ! Un mois … c'est tellement court dans l'absolu, et tellement long quand on a besoin de se faire tringler … Et puis, il faut dire, il s'en est passé des choses, en un mois ! Alors oui, on peut dire qu'il y avait longtemps que je ne m'étais pas fait baiser. 


Mais ce n'est pas que pour ça, l'émotion qui me fait battre le cœur … j'ai l'impression que plus le temps passe, plus me faire féconder par des mecs, ça me bouleverse ! Pourtant, j'en ai pris des coups de bites dans le cul, depuis que j'ai sauté le pas ! D'ailleurs, un de ces jours, il faudra que j'essaie le faire le compte … Quoi qu'il en soit, c'est vraiment ça … quand un mec s'apprête à éjaculer au fond de mon cul, ça m'émeut … et de plus en plus. Alors que ça devrait être le contraire, je devrais commencer à être blasé … mais non ! Oh, je sais bien que pour les mecs, me baiser, c'est seulement tirer un coup comme un autre, et souvent, pour eux, ça n'a pas plus d'importance qu'une bonne branlette … répandre leur sperme dans mon ventre ou dans la cuvette des chiottes, pour eux, c'est pareil … mais pour moi, pas du tout …


Evidemment, c'est Jean-Pierre qui me tire de mes réflexions … il a interrompu son va et vient mécanique, et maintenant, il me baise … avec élan ! Oui … il se recule jusqu'à avoir sa queue presque entièrement sortie de mon cul, et il me re-pénètre d'un grand coup de reins en tirant violemment sur ses mains toujours agrippées à mes hanches … à chaque fois, son ventre claque contre mes fesses et ses boules viennent battre contre mes couilles … les mâchoires toujours serrées, il accompagne chaque pénétration d'une espèce de grognement sourd … j'adore cette façon de me faire bourrer ! 


Et d'un seul coup, il se plaque à moi et il s'immobilise … il ... oui, ça y est, il JOUIT ! 


Il JOUIT AU FOND DE MOI ! ! ! !


Ah, putaiiiiiiin ! Je sens les pulsations de sa queue qui répand sa semence dans mon cul … nettement ! A chaque jet, sa verge est secouée par une sorte de spasme, et j'ai l'impression de la sentir qui gonfle brusquement au passage du sperme, avant de légèrement déraidir et de recommencer … Ça aussi, ça a évolué … je sens de mieux en mieux les mecs éjaculer dans mon cul … les premières fois, c'était plutôt confus, de ce côté-là … j'étais tellement troublé, obnubilé par ce qui m'arrivait que le côté cérébral l'emportait sur le côté physique … mais depuis, avec l'expérience, j'ai inconsciemment appris à décoder les manifestations corporelles de la jouissance des mâles qui me montent … et maintenant, cette sensation corporelle est aussi intense que la volupté cérébrale … et elle l'alimente …


Jean-Pierre ne grogne plus, il éructe un râle impétueux … presque un rugissement ! Quel pied il doit prendre pour pousser une telle gueulante ! J'en frissonne … j'en frissonne de bonheur et de fierté. Et une pensée incongrue me vient … si la chambre voisine était occupée, sa beuglante aurait forcément attiré l'attention du ou des occupants … une beuglante sans ambiguïté … le râle d'un mâle qui jouit ! Dommage que nous soyons seuls dans ce gite aujourd'hui … ça m'aurait plu que les voisins entendent un mâle gueuler de plaisir en me baisant !


Et d'un seul coup, Jean-Pierre s'effondre littéralement sur moi. Sous son poids, je suis obligé de m'aplatir sur le matelas, à demi couché sur la jambe droite de Bernard … obligé de m'aplatir … et aussi de sortir sa bite de ma bouche … Sa queue toujours dans mon cul, Jean-Pierre a enfoui sa tronche dans l'oreiller, juste à côté de ma tête … j'ai le torse un peu tordu et l'oreille plaquée contre la fesse de Bernard. Jean-Pierre reprend son souffle par la bouche … bruyamment. Bernard essaie de dégager sa jambe:

- Hé, les mecs … vous m'écrasez la jambe, tous les deux … 


Dans un gros soupir, Jean-Pierre bascule sur le côté, entraînant sa bite hors de mon cul dans un chuintement mouillé … le voilà, sur le dos, haletant:

- Ah putain ! 


Je me soulève un peu pour que Bernard dégage sa cuisse de sous moi … il s'écarte pour nous laisser de la place. Je me tourne sur le côté, je m'appuie sur mon coude, je pose ma joue et mon menton sur ma main et je contemple le mâle qui vient de me saillir. J'ai l'impression que j'ai la rondelle légèrement béante … quelque chose de tiède s'écoule un peu sur ma fesse. La queue de Jean-Pierre, luisante de mes fluides intérieurs et de sa semence, repose sur son ventre ... encore pas mal gonflée. Je lui caresse doucement le torse du bout des doigts. Il a un peu repris son souffle … il redresse la tête et il me regarde en secouant la tête:

- Putain, mec … t'as un cul … 


Il laisse retomber sa tête sur l'oreiller et, en la secouant encore de droite à gauche:

- J'en ai déjà baisé pas mal, des culs, mais alors, le tien … ouaaaaahhhh !


Alors je me glisse vers son ventre … prenant appui sur mes mains, de part et d'autre de ses hanches, je pose mes lèvres sur ses abdominaux … surpris, il redresse encore la tête, il me regarde, il me sourit et il laisse retomber sa tête … je pose des baisers sur son ventre … j'approche mes lèvres de son sexe … hhhhmmmm, c'est cette merveille qu'il a enfoncée en moi ! Je pose un baiser sur son gland, puis je continue tout au long de sa verge … je sens … je sens l'odeur de son sperme … et un peu de l'odeur vanillée de mon lubrifiant … je me mets à saliver … voilà ses couilles … elles sont tombées entre ses cuisses ... je les remonte délicatement avec mes doigts et je les embrasse à leur tour … ça le fait rire … alors, de nouveau, il se redresse et s'appuie sur ses coudes:

- Ben dis donc … j'avais déjà vu une fille folle de bite faire ça …  pour me remercier de l'avoir baisée … et ben ... tu fais pareil !

- C'est parce que JE SUIS AUSSI une folle de bite … alors je te remercie de m'avoir baisée … merci … merci … merci …


J'accompagne mes remerciements de bisous sur sa queue … et je remonte vers son gland en donnant de petits coups de langue tout au long de son urètre … hhhhmmmm, je vais prendre son gland dans la bouche, et je vais le sucer … voilà … j'ouvre la bouche, et … oh la laaaaa, ce que c'est bon ! Le goût de sa semence, sur ma langue … hhhhmmmm ! 


- Non, non ! Arrête ! Arrête ! J'ai le gland hyper sensible, maintenant ! Tu me fais mal !


Il repousse ma tête et, en se tortillant, il s'assied, adossé à la tête du lit à côté de Bernard. Il tire sur la peau de sa verge et se re-calotte le gland. Je me remets sur le ventre, accoudé à hauteur de ses mollets, le menton appuyé sur mes mains et je regarde mes deux amants … Sous mes yeux, j'ai mes deux mâles, leur bite maintenant mollement étendue au coin de leur cuisse et de leur ventre … je suis fière de moi … je leur ai vidé les couilles à tous les deux … de nouveau, je ressens cette impression d'avoir accompli une sorte de mission, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite. Ils se regardent et se marrent. Jean-Pierre:

- Dis … tu … tu fais ça souvent ?

- Je fais quoi, souvent …

- Ben ça … te faire baiser par deux mecs …

- Par deux mecs, je dirais pas que c'est souvent …

- Comment ça … je comprends pas … pourquoi t'insistes en disant "par deux mecs " … 

- Ben parce que, par deux mecs, c'est pas si souvent, mais par plus que deux mecs, ça m'arrive …

- PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? ! 

- Oui. 

- Tu t'es déjà fait baiser PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? !

- Oui.

- EN MÊME TEMPS ?

- Oui.


Ils sont sidérés. Jean-Pierre, visiblement excité:

- Raconte …


Je les observe. Je crois que le moment est venu de leur montrer … Je m'assieds sur le lit:

- Attendez. Avant … vous voulez boire quelque chose ?

- Ah ben oui.

- Alors, bougez pas … je reviens.

- Où tu vas ?

- Chercher à boire.

- C'est où ?

- Dans la cuisine commune …

- Tu veux que je vienne ?

- Euh … non, c'est pas la peine …


Je descends du lit … le dos tourné à mes deux queutards, je rajuste mon porte-jarretelles qui est un peu descendu sur mes hanches, puis je remonte mes bas et je les lisse du plat de la main … quand je me retourne, les deux mecs me regardent, un drôle de sourire sur la tronche … Jean-Pierre:

- C'est dingue, hein … même simplement quand tu fais ça … remettre ton porte-jarretelles et remonter tes bas … tu fais vraiment ça comme une gonzesse … et de dos, comme ça, si on voyait pas ta bite et tes couilles qui pendent entre tes fesses, on dirait vraiment une gonzesse … un peu taillée, comme gonzesse, mais quand même …


Je leur souris, je récupère mon déshabillé et je le mets. Il me regardent toujours, étonnés, souriants. Je sors.


Il fait beau mais il fait frais. Pieds nus sur le bois de la galerie qui dessert les chambres, je me dirige sans hâte vers la cuisine. Je me sens bien … je viens de faire tirer leur coup à deux mecs et ils m'attendent dans ma chambre … et puis c'est tellement agréable de me balader dans les parties communes de ce gite, comme ça, les fesses à l'air sous mon déshabillé. Je suis un peu baigné d'adrénaline, parce que même si, en principe, aujourd'hui, il n'y a que nous trois ici, on ne sait jamais, la gérante pourrait être revenue … ou un client inattendu pourrait débarquer … Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par ce qui s'écoule de mon cul, mélange de sperme, de lubrifiant et de sécrétions anales. Je récupère dans le frigo les boissons que j'ai achetées, ainsi que des dosettes de café, et je les fourre avec des verres dans un sac … au passage, j'emprunte la bouilloire électrique et je regagne ma chambre.


Je pose tout sur la table et, tout en allumant mon ordi:

- Vous voulez boire quoi, les garçons ? Whisky … jus de fruit … bière … je peux même vous faire un café … c'est des dosettes, mais y'a que ça …

- Alors bière.

- Pareil. Mais, tu fais quoi avec ton ordi ?


Jean-Pierre semble un peu inquiet. Il doit avoir peur que je les filme avec ma webcam. Je le rassure:

- T'inquiète, mec … ça vous dit de regarder des vidéos ?

- Des vidéos ... de cul ?

- Oui, on peut appeler ça des vidéos de cul. Alors, ça vous dit ?


Ils sont intrigués.

- Ben ouais.

- Alors bougez pas, je prépare ça et je vous donne vos bières.


Je pianote sur mon clavier d'ordi à la recherche du dossier où sont les vidéos de mon gangbang … je sélectionne la première vidéo, je la fais démarrer et je la mets immédiatement sur pause. C'est bon … les toutes premières images de cette vidéo, c'est le gros plan sur mon coït avec le type que j'avais surnommé l'ours, quand il me prenait en cuiller … l'image fixe sur laquelle j'ai arrêté la vidéo est explicite … on voit mon bas-ventre avec ma queue en semi-érection, le haut de mes cuisses largement écartées, avec, entre elles, la bite de l'ours enfoncée dans mon cul, ses couilles et ses cuisses à lui, et sur mon ventre, on voit un tout petit peu du porte-jarretelles que je portais … on aperçoit aussi le haut d'un de mes bas … on voit bien qu'il y a un mec qui encule un autre mec, mais on ne voit pas ma tronche … pas encore. Tel que mon ordi est placé, Bernard et Jean-Pierre ne peuvent pas voir son écran … c'est prêt, il ne me restera plus qu'à allumer la télé.


J'ôte mon déshabillé, je prends deux canettes dans une main, la télécommande du téléviseur dans l'autre, et je m'approche du lit. Je tends les canettes aux deux mecs, je me tourne vers la télé et, avec la télécommande, je l'allume … en moins de deux secondes, l'écran s'éclaire et l'image fixe de la vidéo apparaît. Mes deux lascars, tout en avalant une première gorgée de bière, ouvrent de grands yeux. Jean-Pierre:

- Ah ouais ! C'est quoi, ce film ?

- Tu vas voir …

- C'est filmé au smartphone, non ?

- Exact.


Je démarre la vidéo, je passe par dessus les jambes de Jean-Pierre et je leur fais signe de s'écarter pour me laisser de la place entre eux … je m'assieds en tailleur à hauteur de leurs cuisses et face à eux, donc en tournant le dos à la télé … et sans un mot, je prends leur bite entre mes doigts … chacun d'eux jette un rapide coup d'œil à ma main avant de reporter son regard sur la télé … hhhhmmmm … ils ont débandé et je trouve très agréable d'avoir leur sexe un peu mou dans mes mains … je n'ai pas besoin de voir l'écran pour savoir ce qui se passe derrière moi … j'ai regardé ces vidéos si souvent que, rien qu'aux sons, je sais exactement où on en est …


Soudain, dans une synchronisation parfaite, je vois la mâchoire de mes deux lascars s'abaisser et leurs yeux s'agrandir encore …

- Putain, mais … c'est toi, là ! T'es en train … de t'faire enculer !


Ça y est, le vidéaste de mon gangbang a fait un plan plus large, et maintenant on doit voir ma tronche. C'est Jean-Pierre qui a commenté, Bernard s'est contenté d'une exclamation sourde. Je n'ai pas besoin de confirmer, je sais qu'on me reconnaît parfaitement. Jean-Pierre enchaîne:

- Oh meeeeeerde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? Putain, c'est … c'est une partouze entre mecs ?

 

 

Pour lire la suite, cliquer ici: Bernard et Jean-Pierre 03

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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