Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles
avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des
fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à
pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Il est bien évident aussi que je réprouve et condamne totalement toute violence ou
toute contrainte exercée sur autrui.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être
porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Le lendemain je ne visionnerai pas non plus le DVD de mon enquêteur dans sa
totalité. Comme j'ai pris des engagements professionnels, je dois aller travailler et, toute la journée, pensant à ce que j'ai vu dans cette vidéo, je balance entre une certaine excitation et un
espèce de rage d'avoir été exclu par Christine de ses séances de baise. Et puis, elle a lancé la procédure de divorce et l'audience de conciliation approche, alors, il faut que je prenne une
décision sur l'attitude à adopter à son égard … la guerre ou la paix ? Il vaut mieux que je réfléchisse froidement et que je laisse ce DVD de côté, du moins pendant quelques temps, pour ne pas me
laisser influencer par les images de cette orgie de Christine au Huitième Ciel.
Tout de même, j'ai bien envie d'en savoir un peu plus sur son séjour au Cap d'Agde
au cours de son été de débauche, ne serait ce que par ce qu'en a raconté le "monsieur lyonnais" à mon détective. Et puis, ça pourrait me servir au cours de la procédure de divorce. Je me décide
donc à regarder la discussion que mon enquêteur a eue avec ce type et qu'il a enregistrée sur ce DVD …
Je passe rapidement la longue séquence de … de tournante de Christine au Huitième
Ciel … je n'ai pas vraiment envie de la revoir, du moins pas tout de suite … et j'arrive à cette "interview". Je découvre la tronche de ce "monsieur lyonnais" qui, selon la gérante du camping et
le détective, a hébergé Christine quelques jours au Cap d'Agde, et qui, donc, l'a aussi sautée. C'est ce qu'on peut appeler un "vieux beau": entre soixante cinq et soixante dix ans, cheveux
courts grisonnants avec des reflets bleutés, donc sans doute légèrement teints, et impeccablement coiffés. Il apparaît à l'écran avec un foulard de soie noué autour du cou et aux extrémités
rentrées dans sa chemise … une caricature ! Et ce qu'on aperçoit derrière lui de son intérieur est à l'avenant: un tableau dans un cadre chargé de dorures accroché au mur, l'extrémité d'une
bibliothèque aux rayons remplis d'ouvrages de collection et la lourde tenture d'un double rideau. Ça sent le type friqué et quelque peu maniaque … A priori, cette image ne colle pas vraiment avec
le fait qu'il loue un bungalow ou un mobil home dans un camping, même de luxe … C'est sans doute pour être au plus près du secteur "chaud" du Cap …
Le début de sa conversation avec mon détective apporte une explication: en effet,
il dit être un habitué de ce camping depuis plusieurs années. Tous les ans, il y séjourne de mai à fin septembre, période où, selon lui, il se passe toujours des choses sur la fameuse "baie des
cochons", très fréquentée par des étrangers en dehors des mois de juillet et août. Après quelques échanges convenus entre le détective et lui sur les séjours au Cap d'Agde, il explique qu'en
fait, c'est la gérante du camping en personne qui lui a adressé Christine … ce n'est pas la version qu'elle m'avait servi quand je l'avais appelée, me parlant d'annonces affichées à
l'entrée du camping … en réalité, il semble qu'elle serve d'entremetteuse à ce genre de types et même de couples, venus là pour faire leur "marché de chair fraîche" le temps de leur séjour. Elle
met en relation celles et ceux qui cherchent un hébergement et semblent en quête d'aventures avec ceux qui ont un bungalow ou un mobil home. Tout le monde y trouve son compte … et la gérante une
petite commission. Le détective lui explique avoir passé quelques jours au Cap d'Agde cet été, mais ne pas avoir trouvé tellement d'occasions et avoir été assez déçu. Il aimerait bien avoir
quelques conseils. L'autre, ravi de se mettre en valeur, détaille alors avec complaisance la liste des femmes qu'il a reçues cette saison et formule une appréciation sur le physique et les
performances sexuelles de chacune d'elles. C'est quand il en arrive à en évoquer une qui n'est restée chez lui que quelques jours, et qui était une "vraie putain insatiable", que le détective
devine qu'il est question de Christine. Il n'a aucun mal à lui faire dire comment elle s'appelait – Christine, en effet -, et en quoi c'était une "vraie putain
insatiable".
Alors le lyonnais se lance et il raconte au détective que Christine n'arrivait pas
à se satisfaire sexuellement de lui seul. Il l'emmène à plusieurs reprises sur la plage libertine du Cap d'Agde et, si elle n'hésite pas à le masturber et à le sucer devant les autres estivants,
elle manifeste aussi ouvertement son attirance pour les autres hommes, et même pour des groupes mixtes … elle lui dit ouvertement qu'elle est venue là pour se faire baiser par plusieurs hommes à
la fois, et il la sent prête à en rejoindre certains … alors il essaie bien de la faire rester avec lui en invitant pour elle deux types dans son bungalow … mais même ça ne sera pas suffisant et,
un jour, elle finira par le plaquer sur la plage pour aller se faire sauter au milieu d'un groupe de voyeurs … le soir même, elle viendra chez lui, accompagnée de trois types, des allemands, pour
récupérer ses affaires.
Quelques jours plus tard, intrigué par un gros attroupement sur la plage, comme ça
arrive parfois, il ira voir ce qui s'y passe et il s'apercevra que c'est Christine qui est au centre de cette assemblée … elle est entourée des types avec qui elle était venue récupérer ses
affaires chez lui et de leurs femmes … mais en fait, elle n'est pas en train de baiser avec eux … ils semblent n'être là plus ou moins que comme gardes du corps ou comme organisateurs d'un
gangbang … certains des voyeurs agglutinés autour du groupe expliquent au lyonnais qu'en fait, Christine offre ses mains, sa bouche et sa chatte, au choix, à tous ceux qui passent par là et qui
en ont envie … certains veulent seulement se faire branler ou sucer, mais elle livre aussi son cul à ceux qui veulent la baiser … c'est pour ça qu'il y a tant de monde autour … en fait, il n'y a
pas seulement des voyeurs, mais aussi des types qui attendent leur tour … ce n'est pas si souvent que les mecs qui hantent la plage à la recherche d'une partie de cul à mater ou d'une salope à
tripoter tombent sur une occasion pareille … d'après des types qui observent la scène, au moment où le lyonnais arrive, Christine se serait déjà fait passer dessus par au moins sept ou huit types
et en aurait branlé et sucé à peu près autant … le lyonnais dit avoir assisté lui-même à la suite de la séance … il l'aurait vue soulager un type à la main puis se faire longuement chevaucher par
un grand black … il serait parti avant que celui-ci termine son affaire.
C'est à peu près tout ce que cette interview du lyonnais m'apprend, mais à la fin
de sa discussion avec mon enquêteur, il lui suggère de visiter les sites Internet spécialisés dans les vidéos de libertinage. Selon lui, certains de ces sites mettent en ligne presque
exclusivement des vidéos tournées sur les plages libertines en Espagne, en France ou ailleurs, et on pourrait y retrouver les prestations de Christine filmées en douce … Par acquis de conscience,
je suis le conseil du lyonnais. En effet, les sites Internet spécialisés ne manquent pas. Après quelques recherches, j'en trouve un qui héberge presque exclusivement des vidéos sur le Cap d'Agde
et sa Baie des Cochons … des vidéos qui semblent avoir été faites en caméra cachée … c'est vraiment une plage naturiste, tout le monde s'y balade complètement à poil … un vrai festival de
bites et de chattes … en fait, ce n'est pas seulement une plage naturiste, c'est une plage libertine, on y voit beaucoup de couples se tripoter, se masturber, se sucer ou baiser ouvertement sur
le sable … des couples de toutes sortes … des jeunes, des mûrs et même des vieux, et sous les yeux des voisins de serviette … mais tout se passe comme si il était tout à fait naturel de se livrer
à ces pratiques sexuelles en public … personne autour ne semble y faire attention … Je dois dire que c'est assez troublant et excitant … ces gens là se comportent sans plus de pudeur que …
que des animaux … et bizarrement, tout cela ne me semble ni immoral, ni indécent, ni obscène, ni scandaleux … j'avais déjà ressenti quelque chose de ce genre en regardant Christine se faire
baiser par les triplés sénégalais … Mais certaines vidéos paraissent beaucoup moins innocentes … ce sont celles qui montrent des groupes de voyeurs rassemblés autour d'un spectacle … ici, une
femme se donne toute seule du plaisir, cuisses écartées face aux spectateurs, là, deux couples semblent se mélanger à qui mieux mieux … mais j'ai beau parcourir plusieurs dizaines de vidéos, à
aucun moment je ne reconnais Christine … et puis je réalise que ces vidéos ont toutes été mises en ligne les années précédentes … Je change de site, mais c'est à peu de choses près pareil. Alors
j'abandonne l'espoir de trouver Christine comme ça.
Notre divorce se passe très mal. Je suis confronté à la fois aux mensonges éhontés
et à des prétentions financières hallucinantes de Christine, ainsi qu'à l'agressivité hystérique de son avocate. Mais ça faisait partie des scénarios que j'avais envisagés. Aussi, par précaution,
j'avais préparé une "arme de dissuasion nucléaire" sous la forme d'une clé USB contenant des extraits soigneusement sélectionnés de la vidéo de mon enquêteur. Face à l'absolue incompétence de mon
propre avocat, je finis par remettre cette clé USB à l'avocate de Christine en lui précisant que ce n'est qu'un échantillon. Christine, sidérée que je sois en possession d'une telle vidéo, se
demande par quel canal je me la suis procurée. Mais son avocate et elle comprennent que, si ces images arrivent sur le bureau de la juge, Christine est "cramée" comme avait justement dit mon
enquêteur. Nous finissons donc par convenir d'un divorce par consentement mutuel et il est décidé que je garde la maison que nous avons achetée ensemble et que je verserai à Christine la moitié
de sa valeur. Alors, ça va assez vite et je vois Christine pour la dernière fois une quinzaine de jours après le prononcé du divorce, quand nous passons chez le notaire pour régler cette question
immobilière. Je ne la reverrai plus qu'après tant d'années, dans l'hôtel de Lionel et Caroline, venue là pour se faire sauter par une bande de mecs, sans doute comme tous les mois …
Par une espèce de contrecoup, ce divorce m'affecte profondément psychologiquement.
Non pas que je regrette notre séparation, loin de là. Mais, d'un seul coup, de façon assez inexplicable, tout ce qui m'avait plu et excité dans les séances de baise de Christine avec tous ces
inconnus, tout ça me procure maintenant une sensation de malaise … dégoût, écœurement, honte … pas tellement de ce qu'elle avait fait, non … surtout vis-à-vis de moi. Je me dégoûte d'avoir
accepté ça … j'ai honte d'y avoir pris du plaisir et de ne pas avoir tenté de l'empêcher … Finalement, je ne revisionnerai jamais ce fameux DVD, et je ferai tout mon possible pour ne jamais
repenser à tout ça, m'efforçant d'enfouir ces souvenirs au plus profond de mon esprit.
Mais si je ne revois pas Christine après notre divorce, peu à peu, des nouvelles
me parviennent. Quelques âmes charitables se feront un plaisir de me rapporter avec délectation ce qui lui arrive, la fin de sa descente aux enfers. D'autres, anciens collègues à elle, anciens
amis, le feront par compassion. J'apprends qu'elle commencera par se mettre en ménage avec son collègue Patrick. Pas très longtemps, selon ce qu'on m'en dira. Il retournera vivre avec sa femme.
Pourquoi ? Mystère. Il n'aura sans doute pas supporté ses escapades nocturnes ou ses parties de cul au Huitième Ciel …
Quelques mois plus tard, elle créera le scandale dans son école et dans la commune
où elle travaille en allumant ouvertement en public tout ce qui porte une bite et une paire de couilles … collègues, pères d'élèves, employés communaux, commerçants … elle s'affiche en ville avec
ceux qui cèdent à ses avances, et parfois se donne en spectacle avec eux en leur roulant des pelles en public, voire en leur tripotant le bas ventre … jusque dans la cour de son école ... des
parents commencent à enlever leurs gamins de sa classe et même des autres classes … Le bruit autour de tout ça déborde largement les limites de la commune où elle exerce: un jour, une
connaissance habitant mon village me parle d'une maîtresse d'école d'un village voisin, qui a le feu au cul, en ignorant visiblement qu'il s'agit de mon ex. Plus tard, une rumeur circule selon
laquelle des gamins auraient raconté à leurs parents qu'allant faire pipi aux toilettes pendant une récréation, ils auraient surpris "la maîtresse" en train de "sucer le zizi d'un monsieur" dans
les cabinets ! Cette fois, une pétition aurait circulé parmi les parents d'élèves pour demander son exclusion, et sa hiérarchie, face au scandale, se serait décidée à la muter dans une école en
ville.
Il faut croire que ça ne l'aura pas calmée, parce que, de là aussi, elle se fera
virer. Jean-Claude, le directeur de son ancienne école, rencontré par hasard, m'expliquera que sa hiérarchie a fini par la muter dans un service administratif de l'Education Nationale dans le
département voisin.
Je finirai par apprendre que c'est là qu'elle aura touché le fond. En effet,
quelques mois plus tard, on sonne à ma porte … c'est deux gendarmes:
- Bonjour monsieur … gendarmerie nationale … maréchal des logis
Petit.
- Bonjour.
Le maréchal des logis Petit me colle une feuille de papier sous le nez … c'est une
photocopie de la carte d'identité de Christine:
- Vous connaissez cette personne ?
- Ben oui, c'est ma femme … enfin, mon EX femme …
- Votre EX femme ?
- Oui, on est divorcés …
- Elle réside toujours ici ?
- Ben non … je vous dis qu'on est divorcés … ça fait … à peu près dix huit
mois …
- Pourtant, c'est toujours cette adresse qui figure sur sa carte d'identité
…
Il me montre la photocopie du verso de la carte … je remarque surtout qu'il y a
des traces de sang de ce côté:
- Ben oui, je n'y peux rien, elle aura oublié de faire le changement …
maintenant, je crois qu'elle habite dans le Val de Marne … qu'est-ce qui se passe ? Il y a du sang, on dirait. Elle a eu un accident ?
- Elle est hospitalisée ..
- Ah bon ? C'est grave ? Elle est blessée ?
- On peut entrer ?
- Oui, oui … excusez moi …
Je les fais entrer dans le séjour. Nous nous asseyons de part et d'autre de la
table basse.
- Alors ? Elle est blessée ?
- Blessée … ça dépend ce qu'on appelle blessée … Disons qu'elle est en état de
choc …
- Mais … qu'est-ce qui lui est arrivé ?
- Vous êtes toujours en relation, avec votre femme ?
- Ben non. On ne s'est pas revus depuis le divorce. On ne s'est pas séparés en
très bons termes … Dites-moi ce qui se passe …
Il regarde son collègue, comme pour lui demander son avis … l'autre est un peu
plus âgé et un peu plus gradé si j'en crois le nombre de barrettes sur son écusson de poitrine … il hoche la tête d'un air de dire "vas-y". Le premier reprend:
- Nos collègues du Val de Marne ont été appelés dans un squat à cause d'une
bagarre générale … c'est une ancienne clinique désaffectée où il n'y a que des migrants … des soudanais, des afghans, des syriens et des irakiens … quand nos collègues sont arrivés, la plupart
s'étaient sauvés ... il restait des blessés et d'autres qui disaient ne pas être impliqués dans la bagarre ... nos collègues en ont arrêté quelques uns, et après, ils ont inspecté les pièces qui
servent de dortoirs pour voir s'il ne restait pas des blessés … et là, dans un des dortoirs, ils ont trouvé votre femme … elle était prostrée dans un coin … elle était … elle était nue, en sang,
et apparemment, elle avait été rouée de coups …
Oh putain ! Ce qu'il me raconte a évidemment quelque chose de dramatique, mais
immédiatement, une idée tordue me vient sur ce qui avait pu conduire Christine dans un squat de migrants … D'une certaine manière ça serait une suite logique à tout ce que nous avons traversé
dans les derniers mois de notre vie commune … comme si son comportement passé devait nécessairement la conduire à ça ! Alors je ne suis qu'à moitié surpris.
Le gendarme a dû voir ma tête. Il marque un temps avant de
reprendre:
- Nos collègues n'ont retrouvé qu'un chemisier avec sa pièce d'identité dans
une poche … rien d'autre … comme vêtement ou sous-vêtement, je veux dire … ni jupe ou pantalon, ni culotte … pas de sac à main non plus … rien ! Pourtant, ils ont fouillé tout le bâtiment …
alors, soit on lui a volé, soit elle est arrivée comme ça dans ce squat … on ne sait pas, elle ne parle pas … alors on se demande si elle n'aurait pas été … enlevée ailleurs, amenée là et
séquestrée pour …
Il s'interrompt et regarde son collègue. C'est le collègue qui
poursuit:
- Oui, on est désolés de vous dire ça, mais on se demande si elle n'aurait pas
été enlevée et amenée là de force pour servir de … d'objet sexuel à ceux qui vivent dans ce squat … Il n'y a que des hommes, dans ce squat … des jeunes, pour la plupart, et ils n'ont sûrement pas
touché une femme depuis des mois … alors on pense qu'ils l'ont violée, votre femme … collectivement … elle avait des traces de … des traces de sperme … sur les cuisses et sur les fesses …
beaucoup ! Et c'est peut-être pour elle qu'une bagarre a éclaté entre eux …
Et oui, bien sûr … du sperme sur les cuisses et sur les fesses … je m'attendais
plus ou moins à ça … oh, pas par rapport à cette "raclée" dont ce sperme serait la suite ou la conséquence … non, c'est parce que, pour moi, si Christine s'est retrouvée dans un endroit où il n'y
a que des hommes, et surtout des hommes en manque de sexe, il était inévitable qu'elle se fasse baiser … les gendarmes ne parlent que de ses cuisses et de ses fesses, mais à mon avis, du sperme,
elle doit en avoir aussi dans le vagin, voire dans l'estomac …
Il observe mes réactions et c'est l'autre qui reprend:
- Vu son état et ses réactions, on se demande aussi si elle n'aurait pas été
droguée … des examens sanguins pourraient nous le dire … Le problème … c'est que … elle refuse qu'on lui fasse une prise de sang ou des prélèvements gynécologiques … Ça permettrait pourtant de
relever des traces ADN et de chercher qui l'a violée, mais elle s'est enveloppée dans un drap de l'hôpital pour empêcher l'infirmière et le médecin de lui faire le moindre prélèvement … On
comprend pas pourquoi elle refuse … Vous pourriez peut-être essayer de la convaincre …
Qu'est-ce que je peux leur dire, aux gendarmes ? L'idée qui m'était tout de suite
venue s'est confirmée au fur et à mesure qu'ils m'expliquaient, et malgré ce qu'ils m'expliquaient. Vue la pente toujours plus dangereuse dans laquelle elle s'était engagée alors que nous étions
encore mariés, j'ai la conviction que si elle s'est retrouvée dans ce squat de migrants "où il n'y a que des hommes, jeunes pour la plupart", ce n'est pas amenée de force … c'est sûrement à son
initiative et pour y faire … " son marché ". Des mâles en manque de femme depuis des mois, regroupés au même endroit … quoi de mieux, quand on a envie de se faire passer dessus à la chaîne ?
Alors, à mon avis, elle n'a pas été violée … au début, du moins … après, ça a peut-être tourné au vinaigre si il y a eu des histoires de partage ou de priorité entre les différentes communautés …
Je peux leur faire part de mon point de vue, aux gendarmes ? Et si elle refuse qu'on lui fasse des prélèvements, c'est peut-être parce que n'ayant pas été violée, elle ne veut pas que ces types
aient des emmerdements … le viol, c'est les assises ! Et le fait qu'il soit collectif, c'est une circonstance aggravante. Malgré tout le reste, et l'abandon de toute morale sexuelle, je pense que
Christine a quand même gardé un certain sens de … de l'équité, de la justice. Et puis, elle doit se douter que si ceux qui l'ont baisée et qui lui ont laissé des traces se font choper, ils
pourront expliquer qu'elle est venue là de son plein gré et que c'est elle qui les a chauffés …
Je réalise qu'il y a eu un long silence. Les deux gendarmes m'ont laissé le temps
de réfléchir, et ils attendent que je leur réponde.
- Ecoutez, je … ça va peut-être vous paraître … euh … bizarre, ou je ne sais
quoi, mais … je veux bien aller lui parler, histoire d'en avoir le cœur net, hein, c'est pas la question … mais je ne crois pas que je pourrais la convaincre de se laisser prélever quoi que ce
soit … ni moi ni personne, d'ailleurs …
- Ah bon ? Mais pourquoi ?
Ils ont réagi en chœur, les deux gendarmes. Ils me regardent, les yeux ronds. Je
reprends:
- Je vais sûrement vous choquer, hein … mais je répète, si vous voulez que
j'aille lui parler, j'y vais … c'est pas le problème …
- C'est quoi le problème, alors ?
Comment ils vont prendre ça ? Ils ne vont sûrement pas me croire. Tant pis, je me
lance:
- Ben … le problème, à mon avis, c'est qu'elle n'a pas été enlevée, ou emmenée
de force dans ce squat et qu'elle n'a été ni séquestrée et violée …
Ils ont tous les deux la mâchoire qui tombe d'étonnement.
J'enchaîne:
- Elle s'est sûrement fait … enfin, elle a sûrement eu des rapports sexuels
avec des … des résidents de ce squat … mais à mon avis, elle y a été tout à fait volontairement … et elle y a été exprès pour ça … pour se faire … pour avoir des rapports sexuels avec ces … ces
migrants !
Ils sont stupéfaits:
- Vous … vous vous rendez compte de ce que vous nous dites
?
- Oui, oui, je me rends compte … parfaitement. Vous savez, si on a divorcé,
c'est parce que, soudainement, elle s'est mise à avoir des … comment vous dire … des aventures avec des hommes … mais pas des aventures successives avec un homme différent à chaque fois … non …
c'était plutôt des … des expériences de groupe, si vous voulez … c'est-à-dire elle avec plusieurs partenaires en même temps … cinq, six, dix hommes … parfois plus ...
Je ne peux quand même pas leur dire " plusieurs
dizaines "
- En ... en même temps ? Vous voulez dire qu'ils étaient plusieurs avec elle
et que …
- … et qu'ils couchaient avec elle l'un après l'autre …
- Oui.
- Comme une … comme une tournante, en somme …
- On peut dire ça comme ça …
- Vous déconnez … pardon … excusez-moi …
- Je vous en prie, je comprends que ça vous étonne, mais je déconne pas … ça
se passait même ici, parfois … sur le canapé où vous êtes assis, notamment …
Dans un ensemble parfait, il regardent le canapé … Je poursuis:
- Mais elle fréquentait aussi un club libertin, pour ça … Je peux vous montrer
une vidéo, si vous voulez …
- Vous … vous avez une vidéo ? Vous la … vous la filmiez pendant qu'elle
…
- Non, pas moi. Un détective privé que j'avais mandaté pour recueillir des
preuves … il l'a filmée en action dans ce club libertin. Elle avait pris goût à ça après une première expérience dans ce club … et elle n'arrivait plus à s'en passer … jamais rassasiée … elle
était devenue nymphomane, quoi …
- C'est un peu gros, ce que vous nous dites !
- Oui, je sais que ça peut paraître gros … mais il n'y a pas que cette vidéo …
vous pouvez vérifier autrement … en interrogeant la mairie de l'école où elle travaillait quand nous étions mariés … et ses collègues … et son inspecteur … ils ont été obligés de la muter puis de
la virer, tellement elle se comportait … comme ça, publiquement … C'est pour ça qu'elle a dû déménager dans le Val de Marne … Vous voulez voir un peu de cette fameuse vidéo ?
Ils se regardent, et le plus gradé prend l'initiative:
- Ben … on veut pas non plus vous … si ça vous embête de nous montrer ça
…
- Ah, ça ne m'embête pas du tout … je vous montre un petit bout … vous verrez,
c'est édifiant …
- Bon … on veut bien alors … c'est pour notre enquête, hein
…
- Oui, oui. Bougez pas …
Je monte dans mon bureau pour prendre mon ordinateur. Je retrouve le DVD, toujours
coincé entre deux bouquins dans la bibliothèque. J'entends les gendarmes parler à voix basse en bas. Je redescends, je pose l'engin sur la table basse devant eux et je le mets en route. Pendant
qu'il démarre, je les avertis:
- Je vous préviens, c'est du hard, hein …
Le yeux braqués sur l'écran, ils attendent … je ne dirais pas patiemment … au
contraire. Voilà, l'engin est prêt. J'installe le DVD et je le lance … avance rapide … il y a longtemps que je l'ai regardée, cette vidéo, mais je me rappelle à peu près à quel moment elle
devient vraiment "intéressante". Voilà … musique, cris, applaudissements … Les deux pandores ont la mâchoire qui tombe … le plus jeune déglutit, et:
- Ah oui, en effet ! C'est votre femme, là ?
- Oui … à l'époque c'était encore ma femme.
Il jette un coup d'œil à la photocopie de sa carte d'identité:
- On a du mal à la reconnaître. Nous, on n'avait vu que les photos que nos
collègues nous ont envoyées … et elle est amochée, dessus … vous voulez les voir ?
- Je n'y tiens pas, merci.
Le plus gradé hoche la tête. J'ai l'impression qu'il commence à voir clair. Je
reprends:
- Alors, selon moi, elle était sans doute allée dans ce squat de migrants dans
la même intention que dans ce club … et c'est pour ça qu'elle ne veut pas qu'on lui fasse des prélèvements … elle n'a pas été violée et elle ne veut pas que les types qui l'ont baisée aient des
ennuis …
- Mais elle a pris des coups, quand même … comment vous expliquez ça
?
- Ça, je ne sais pas … une bagarre a pu commencer parce que certains ne
voulaient pas la partager avec les autres … Vous me dites qu'il y a des migrants de plusieurs origines dans ce squat … d'après ce qu'on entend dans la presse, il y a souvent des heurts entre les
différentes communautés … alors elle s'est peut-être trouvée prise dans la mêlée … ou elle a voulu les séparer … ou prendre parti pour les uns contre les autres … encore que ça, ça m'étonnerait
…
- Pourquoi, ça vous étonnerait ?
- Ben … telle que je la connais, je la vois mal avoir une préférence pour
certains plus que pour d'autres … elle prend tout le monde … je vous choque sûrement en parlant comme ça, mais à l'époque, c'était vraiment ça … elle prenait vraiment tout le monde … les blancs,
les noirs, les arabes … pour dire les choses crûment, du moment qu'un mec avait une bite en état de marche, elle le voulait … alors, soudanais, irakiens, syriens, afghans … à mon avis, aucune
préférence, pour elle …
- Bon … on va vérifier ce que vous nous dites …
- Oui, oui, vérifiez … Allez à la mairie de N., à celle de M. … demandez à sa
hiérarchie … vous verrez. Mais je vous répète, si vous voulez que j'essaie de la convaincre, j'y vais …
- On verra … autrement, vous lui connaissez de la famille ? Parce que ... il
faudrait quand même que quelqu'un s'occupe d'elle …
- Elle a des frères et sœurs, mais déjà, avant qu'on divorce, elle n'avait
plus beaucoup de rapports avec eux … je ne sais même pas où ils habitent, maintenant … elle vous le dira peut-être … encore que ça m'étonnerait qu'elle veuille leur raconter ce qui lui est arrivé
...
- Bon …
- Par contre, ce que vous pouvez faire, c'est prévenir son avocate … elles
étaient assez proches l'une de l'autre au moment de notre divorce … je vais vous donner ses coordonnées …
L'autre gendarme n'a pas quitté l'écran des yeux, comme fasciné. Le gradé
reprend:
- Bon, nous, on va faire notre rapport … Euh, pour nourrir notre dossier, ce
serait possible d'avoir une copie de votre vidéo ?
- Non.
- Ah bon ! C'est net, au moins.
- Vous pouvez faire un rapport sur ce que je vous ai montré, mais vous donner
une copie, c'est non. Je vous répète, vos pouvez enquêter auprès de ceux qui ont travaillé avec elle … vous verrez … il me semble qu'ils sont encore tous dans la même école …
- Très bien … on va y aller … hein, Petit … on y va !
Petit détache enfin son regard de l'ordinateur. Je les raccompagne à la porte. En
leur serrant la main, je leur dis:
- Je vous ai dit, hein … si c'est nécessaire, je me déplace … faites le moi
savoir …
- D'accord.
Ils s'en vont. Je n'aurais plus de nouvelles des gendarmes. Seule l'avocate de
Christine m'enverra un mail pour me remercier de l'avoir fait prévenir et me donner des nouvelles … Christine n'avait rien de cassé, seulement des contusions … elle va aussi bien que possible …
la justice a classé cette affaire.
Voilà … voilà où elle en est … chercher des mecs dans un squat de migrants ! Elle
a vraiment touché le fond.
La visite des gendarmes et la mésaventure de Christine me rappellent autre chose …
son séjour au Cap d'Agde au cours de son été de débauche. Et si, maintenant, après des mois, une vidéo d'elle avait enfin été mise en ligne sur Internet … Je retourne explorer le Web et les sites
que j'avais déjà visités à l'époque … Tout d'abord, je retrouve essentiellement des vidéos que j'avais déjà regardées, mais il y a aussi quelques nouveautés … mais toujours pas de Christine … il
y a aussi de nouveaux sites qui reprennent les mêmes anciennes vidéos … Mais surtout, sur ces nouveaux sites, il y a des vidéos mises en ligne plus récemment … je dois dire que je ressens la même
chose que quand j'avais parcouru ces sites la première fois, il y a quelques années … même si tout le monde est à poil, si on voit une multitude de quéquettes et de foufounes, toutes aussi
imberbes les unes que les autres, ce n'est pas seulement ce naturisme "classique" qui est troublant … c'est surtout que ces couples qui lézardent sans pudeur, à poil au soleil sur une plage
bondée, se laissent tout naturellement aller à leurs envies … comme cette femme qui somnole à moitié, étendue sur le dos, la tête appuyée sur le ventre de son compagnon et qui lui tripote
machinalement la bite en érection … ou ce couple, tous deux allongés côte à côte sur le ventre et qu'on pourrait croire endormis, si ce n'est que l'homme, la paume de sa main entre les fesses de
sa compagne, est en train de jouer avec ses petites lèvres et son clitoris … ou encore cette femme qui administre une fellation à son homme … et tout ça au milieu des autres "estivants" qui n'y
font pas plus attention que cela … ça doit être vraiment agréable de vivre comme ça, et de pouvoir laisser libre cours à ses envies, à ses pulsions sans craindre le jugement ou la réprobations
des autres …
Certains sites et certains auteurs de ces vidéos ont nettement une préférence pour
ce genre de scènes, certes libertines mais pas vraiment scandaleuses ou dépravées … en revanche, d'autres sites rassemblent des vidéos nettement plus hard … des vidéos où on n'est plus dans du
naturisme "ordinaire", ni même dans des pratiques sexuelles "classiques" et plus ou moins banales ou innocentes bien qu'elles se déroulent en public … là, on est ouvertement dans la débauche
sexuelle … là, des femmes, principalement des femmes, pratiquent du sexe hard et se donnent en spectacle sous les yeux de bandes de voyeurs, la queue à la main, qui se branlent sans vergogne en
regardant … et la pluralité sexuelle est quasiment de règle … cela va de la femme qui se masturbe face à une demie douzaine de branleurs qui finissent par lui éjaculer sur la poitrine et la
figure, jusqu'à celle qui s'accouple successivement avec plusieurs inconnus sous les yeux de son compagnon, en passant par celle qui taille des pipes à tous ceux qui lui présentent leur bite.
Voilà donc qui est tout à fait dans les goûts de Christine, et je me dis que, cette fois, je pourrais bien tomber sur une vidéo d'une de ses "prestations".
Et en effet, parmi les vidéos mises en ligne depuis cette fameuse année de
débauche, je finis par en trouver une où je reconnais Christine … pas immédiatement, je dois dire … sa tête n'apparaît pas tout de suite … la vidéo commence sur un attroupement de types … vingt
ou vingt cinq … tous la bite à la main, en train de regarder quelque chose à leurs pieds … puis on découvre que ce quelque chose, c'est le dos d'un autre type visiblement en train de besogner une
femme sur qui il est allongé … on voit d'abord son dos, à ce type, puis son crâne rasé surmontant une sorte de cou de taureau … de la femme, enfin, de Christine, on ne voit tout d'abord que les
cuisses, repliées dans la position du lotus, de part et d'autre du torse du type qu'elle enlace fiévreusement … et puis, celui qui filme se déplace, et vraisemblablement s'accroupit pour
filmer la femme … et la femme ... c'est CHRISTINE ! ! ! !
Je la reconnais immédiatement. Ce plan dans lequel on voit sa tête ne dure que
quelques secondes, mais c'est bien elle … elle jette un regard vers l'objectif de celui qui filme … puis un travelling balaie les deux corps jusqu'au niveau de leurs bassins … le type … le type
qui baise Christine, en effet, est un costaud … gros bras, torse épais, fesses musclées, cuisses puissantes … ce mec fait sûrement de la gonflette … entièrement bronzé, sans aucune marque de slip
ou de maillot de bain … et le corps luisant de sueur ou d'huile solaire … celui qui filme - je me demande si il exhibe ouvertement sa caméra ou son camescope, ou s'il filme avec une micro caméra
intégrée à des lunettes de soleil, comme avait fait mon détective au Huitième Ciel … en tout cas, la vidéo est de très bonne qualité - celui qui filme braque maintenant son objectif sur … sur le
coït du costaud et de Christine … il les filme de côté et on voit parfaitement la bite du type qui va et vient entre les cuisses de Christine … on voit nettement le pubis du type venir frapper la
vulve de Christine … si jusque là on pouvait encore avoir un doute sur ce qui se passait – ce mec aurait pu être simplement en train de se frotter la verge sur la vulve de Christine, sans la
pénétrer -, maintenant, c'est très net: ce mec a bel et bien sa queue DANS Christine et il est bel et bien en train de la baiser … oui, donc, celui qui filme le fait ouvertement, caméra en main
et au vu et au su de tout le monde, parce que là, il filme pratiquement au ras du sol … et si il filmait avec une micro caméra intégrée à une paire de lunettes, comme mon détective l'avait fait
au Huitième Ciel, il faudrait qu'il ait la tronche au ras du sol …
Soudain, on entend une voix… quelqu'un a posé une question … en l'allemand ou dans
une langue dans ce genre – c'est le cameraman, apparemment -… et quelqu'un d'autre lui répond brièvement " Ya ! " – sans doute le costaud qui baise Christine - la caméra se déplace alors
pour venir s'installer derrière le costaud, entre ses jambes et toujours au ras du sol … alors maintenant, on voit … en premier plan, on voit les couilles du type … une grosse paire de couilles …
une grosse paire de couilles totalement imberbes et luisantes … des grosses couilles qui ne pendent pas, qui ne ballottent pas … au contraire, ses grosses couilles paraissent trapues,
denses, ramassées, compactes … elles donnent une impression de … de force, de puissance, comme le mec lui-même … et au-delà ses grosses couilles, on aperçoit la bite du type qui entre et qui sort
de la chatte de Christine … une bite large … pareil, une bite qui donne une impression de puissance … et une bite elle aussi luisante, dont on voit nettement qu'elle ne porte pas de capote … le
mec la baise comme ça, sans capote …
Oh putain, quel spectacle ! Ça m'excite terriblement ! Oui, parce que je ne peux
pas m'empêcher d'imaginer la … la QUEUE, la PINE de ce mec qui va et vient dans le sexe de Christine … et le gland de ce mec … son gland turgescent, gonflé de sang et de désir qui se frotte
contre les muqueuses vaginales de Christine, qui lui fouille littéralement la chatte … son gland est décalotté, nu, et c'est chair dans chair, viande dans viande … et telle que je connais
Christine, ce mec doit savoir qu'il peut la baiser VRAIMENT … ce mec doit savoir qu'il n'a pas besoin de se retirer pour jouir, qu'il peut laisser sa BITE dans sa chatte jusqu'au bout de son
orgasme et, le moment venu, lui envoyer sa semence au fond de l'utérus … Arc-bouté sur ses doigts de pieds plantés dans le sable, qu'est-ce qu'il lui met, le taureau, à Christine ! Mais, à la
manière dont il la tronche, il est évident que ce mec se préoccupe uniquement de son plaisir à lui … il ne cherche pas à la faire jouir, il n'a qu'un but, tirer son coup, se vider les couilles …
A mon avis, et toujours telle que je la connais, c'est sûrement Christine qui lui a fait savoir, ainsi qu'à tous ceux qui regardent, que son plaisir à elle, c'est de se faire passer dessus … de
se faire baiser à la chaîne …
Ah oui, c'est terriblement excitant ! Elle se fait sauter par un inconnu … oui,
parce que je suis sûr qu'avant que ce type ne commence à l'entreprendre, elle ne le connaissait pas … ça doit être un mec qui traînait sur cette plage en quête d'une salope à tringler, et il a dû
venir voir ce qui provoquait cet attroupement, Christine étant sans doute déjà occupée avec un autre mec … il aura attendu son tour en la regardant sucer ou se faire baiser, et une fois son gros
engin en érection, il lui aura mis sous le nez …
J'arrête la vidéo et je la remets au début … je ne me lasse pas de regarder ce
type baiser ma femme … MA femme ? ! ? ! Ben oui, je réalise qu'à ce moment là, au moment où elle se faisait baiser par ce … par cette espèce de taureau, sur cette plage du Cap d'Agde, Christine,
était encore ma femme … aux yeux de la loi, du moins … et ça contribue à mon excitation, que ce soit MA femme que ce mec baise comme ça … et le fait que ce type soit … cette espèce de … cette
espèce de taureau puissant, vigoureux, et doté d'un tel appareil génital … ce mec est l'image du mâle dominant, du mâle reproducteur, et ça ne m'est pas indifférent … au contraire, ça me plaît …
rétrospectivement, je me sens flatté qu'un tel … qu'un tel étalon, ait eu envie de couvrir, d'honorer … et de féconder ma femelle …
Et curieusement, cette fois, la contemplation de ce spectacle ne m'inspire pas la
moindre honte, pas le moindre sentiment de culpabilité … oui, là, contrairement aux scènes de baise de Christine avec d'autres mecs auxquelles j'ai assisté en personne, là, il n'y a aucune
complaisance de ma part, aucun "laissé-faire"… alors ce spectacle me procure seulement une intense excitation … évidemment une excitation naturelle comme pourrait en produire n'importe quelle
scène de sexe, mais surtout une excitation due au fait que c'est Christine, ma femme, que je regarde se faire baiser en public par ce … par cet étalon … putain, comme j'aurais aimé assister à ça
… et faire savoir aux mecs qui regardent que c'est ma femme qui se fait baiser …
Et sans aucune transition, la scène change radicalement … c'est toujours Christine
qui en est le centre, mais elle est maintenant à genoux aux pieds d'un type … un autre type … plus maigre, plus quelconque que le costaud qui la baisait … plus maigre et moins bronzé … et … et
elle est maintenant en train de sucer la bite de ce type, toujours sous les yeux d'une bande de branleurs … Je ne sais pas si le costaud qui la baisait est allé jusqu'au bout, s'il a tiré son
coup, s'il l'a … s'il l'a "fécondée" … j'espère qu'il l'a "fécondée" … Ah non, elle n'est pas seulement en train de tailler une pipe à un ce type … la cameraman a un peu bougé, et maintenant, on
voit que, tout en suçant celui-là, elle en masturbe machinalement un autre … Je me demande … je me demande si c'est à cette scène qu'a assisté le lyonnais et dont il a parlé à mon enquêteur … en
tout cas, ça ressemble à ce qu'il a expliqué au détective …
Et brusquement, de nouveau, on change de configuration … cette fois, Christine, à
quatre pattes sur une espèce de natte tressée, est prise en levrette par un autre type … encore un autre type … à genoux entre ses mollets, les mains plaquées sur ses hanches, il la baise
vigoureusement … Christine, cambrée, le menton appuyé sur ses avant bras croisés à plat sur sa natte, paraît beaucoup apprécier ce que ce mec lui fait. Rhôôôô, putain, déjà prise par deux types
différents sur cette plage … et apparemment au cours d'une même séance, parce que, pour le peu qu'on en voit, autour, ce sont les mêmes voyeurs qu'avec les deux types précédents … celui qui filme
braque son objectif sur le cul de Christine, et on voit bien, cette fois encore, le sexe du type qui va et vient en elle … on entend de nouveau la voix du cameraman " langsam bitte "
(" lentement, s'il te plaît ")… et il zoome … il zoome sur le sexe du type qui, comme s'il obéissait à ce que le cameraman vient de lui demander, ralentit son va et vient … alors,
on voit en gros plan la bite du type qui s'enfonce dans la chatte de Christine et qui en ressort lentement … qui en ressort luisante, elle aussi, et sans capote … putain, lui aussi, il la baise
sans capote … encore deux ou trois allers et retours comme ça et un nouvel ordre du cameraman " jetzt, Deinen Schwanz raus " (" maintenant, ta bite sortie ")… le type sort
lentement sa queue et il la pose sur le haut des fesses de Christine … Oh putain ! Son gland … un gland énorme, disproportionné par rapport au diamètre de sa verge … un gland rouge, gonflé de
sang et tout luisant de sécrétions … c'est ce gland qui fouille les chairs de Christine, c'est ce gland qui va et vient dans ses muqueuses, jusqu'au fond de son vagin … et qui, sans doute va
finir par y répandre du sperme !
" Danke ! ". C'est le cameraman qui remercie le type et qui tourne
maintenant son objectif vers Christine … on a tout juste le temps de voir le type replacer sa bite entre les fesses de Christine … elle, souriante, maintenant appuyée des deux mains sur sa natte,
tourne la tête pour regarder ce qui se passe derrière elle …
- Tu aimes comme il te baise ?
Le cameraman s'est adressé à Christine avec un fort accent germanique. Elle lève
les yeux sur lui, fixe l'objectif de la camera et:
- Oui, j'aime ça …
- Quand il a fini, tu veux encore des hommes ? Il y a encore des hommes qui te
veulent … plusieurs …
Il balaie l'assistance avec sa caméra. Il y a toujours un tas de types autour
d'eux … à vue de nez, plus d'une vingtaine… et ils sont encore plus près de Christine et de son amant qu'au début de la vidéo … deux spectateurs sont assis à même le sable, presque au contact de
Christine, et ils se masturbent en regardant …
- Alors, tu veux encore des hommes, quand il a fini ?
- Oui.
- Lesquels hommes ? Tu choisis quels hommes ?
- Non, je choisis pas … ceux qui veulent …
Aussitôt, autour, on entend des commentaires, des rires et quelques
applaudissements …
- Ceux qui veulent ? Et toi, tu veux quoi ? Baiser ? Sucer leur bite
?
- Comme ils veulent …
- Mais toi, tu préfères baiser, non ?
- Oui, mais si ils préfèrent que je les suce, je les suce …
- Du bist wirklich eine große Schlampe !
- Ça veut dire quoi ?
- Ça veut dire "Tu es vraiment une grosse salope".
- Ah, oui … merci.
- Pas de quoi …
Curieuse atmosphère … des rayons de soleil passent entre les spectateurs et
caressent les deux corps accouplés … et au gré des mouvements de la camera de celui qui filme, on devine, au-delà des deux rangs de ces spectateurs, des estivants … enfin, des naturistes, qui
bronzent sur leur serviette, d'autres qui circulent ou qui discutent en petits groupes … comme si de rien n'était … et apparemment, ce n'est pas parce qu'ils ignorent ce qui se passe sur
cette natte de paille et autour … non, mais, sans doute parce que ce genre de scène est courant sur cette plage, ils n'y prêtent pas plus attention que cela … comme si il était tout à fait
naturel qu'une femme se donne en public à tous les mecs qui passent par là …
Et brusquement, la vidéo s'arrête … oui, elle est finie … seul apparaît sur
l'écran " Mehr auf der Website Französische-Schlampen.com/de ". C'est visiblement l'adresse d'un site Internet allemand. Je n'ai que de vagues notions d'allemand, mais je n'ai pas de mal
à trouver ce que ça veut dire … " plus sur le site Salopes Françaises.com ". Cette vidéo ne devait donc être qu'un teaser, destiné à attirer les amateurs vers un autre site, où,
probablement, se trouve la vidéo complète … Alors j'y vais … mais impossible de me connecter … apparemment ce site n'existe pas … ou n'existe plus. Et j'ai beau chercher sur Internet, pas moyen
de trouver trace de cet autre site pas plus d'une autre vidéo de Christine … et celle-ci, qui fait un peu plus de 6 minutes, impossible de l'enregistrer … Merde ! Quelle frustration
!
Voilà, cet épisode aussi m'est revenu en mémoire dans le flot de souvenirs qu'a
déclenché ma rencontre inattendue avec Christine dans l'hôtel de Lionel et Caro.
En ce qui me concerne, après notre divorce, je décline deux ou trois
sollicitations féminines. Devenu méfiant, je n'ai pas envie de tenter tout de suite une nouvelle expérience avec une femme. Je trouve dans des pratiques solitaires des substituts au sexe. Je peux
maintenant laisser libre court à mon goût pour la lingerie féminine, et j'explore de nouveaux chemins vers le plaisir … introductions anales, naturisme sauvage en extérieur, exhibitionnisme … au
bord des autoroutes et sur Internet …
Et on connaît la suite … de plus en plus intéressé par les hommes, mes semblables,
je finirai par avoir ma première expérience homosexuelle, suivie de plusieurs autres. Tout cela me conduira dans un premier hôtel où six blacks me prendront de force et me révéleront mon
addiction à la bite. Puis ce sera un gangbang géant au cours duquel une trentaine de mâles me passeront dessus … Quels souvenirs ! Puis des amants me livreront à des inconnus dont l'un
voudra me mettre au tapin … puis ce sera une première expérience avec des chiens … une deuxième expérience avec des chiens … et des types, des types et encore des types …
Curieusement, à aucun moment, je n'établirai un rapport entre mon goût, mon
addiction pour la bite et ce que Christine avait fait, et ce que Christine était devenue … comme si mon esprit y mettait un obstacle … Et ce, donc, jusqu'à hier … jusqu'à ce que je me
retrouve face à elle dans cet hôtel et que tout remonte d'un seul coup. J'ai commencé à réaliser sur le parking de l'hôtel, assis à mon volant … je ne sais pas combien de temps je suis resté là à
laisser les souvenirs se déverser … et ça a continué chez moi, mais je ne me souviens absolument pas avoir fait le trajet de retour … et une fois à la maison, incapable de faire quoi que ce soit
d'autre, j'ai laissé les souvenirs défiler. C'était un flot ininterrompu, incontrôlable, et pourtant tellement net et précis … malgré les années, rien ne s'était effacé ou atténué, ni les images,
ni les noms, ni les lieux, pas même les conversations … je revivais tout cela comme si ça s'était passé la veille …
Et là, devant l'évidence, j'ai réalisé … ce que je suis devenu, cet … objet sexuel
… ce jouet sexuel à la disposition des mâles, de tous les mâles - humains et animaux -, c'est … c'est la reproduction, l'imitation de ce que Christine avait fait … et pour moi, même si, sur le
coup, je n'en avais pas conscience, tout est parti de là … d'abord de cette soirée dans ce club libertin, le Huitième Ciel … c'est parti de cette première partie de cul entre Christine et ces
cinq types … il y avait tout, ou presque, dans cette partie de cul … tout ce que j'aime maintenant et dont je ne peux plus me passer … elle s'est offerte à des inconnus, et j'aime m'offrir à des
inconnus … elle s'est fait baiser par plusieurs hommes en même temps, et j'aime me faire baiser par plusieurs hommes en même temps … elle s'est fait baiser en public, et j'aime me faire baiser en
public … elle s'est fait baiser par des blacks, et j'aime me faire baiser par des blacks … elle s'est fait baiser sans capote et elle s'est fait remplir le ventre de sperme, et j'aime me faire
baiser sans capote et me faire remplir le ventre de sperme …
Je réalise qu'inconsciemment, le plaisir que j'avais pris à regarder ma femme se
faire baiser par d'autres hommes n'était pas uniquement un plaisir de voyeur … obscurément, tout au fond de moi, sans me l'avouer, je l'avais enviée … j'avais eu envie d'être à sa place … j'avais
eu envie de me faire prendre par ce beur et par ces trois sénégalais sous les yeux des couples libertins dans ce club … puis je l'avais enviée de s'être fait sauter dans notre jardin par cinq
jeunes mecs, un chaud après-midi d'été, je l'avais enviée de se faire sauter par sept "footeux" là, dans notre séjour puis dans notre jardin, une nuit d'été … inconsciemment, je l'avais enviée
d'être ainsi désirée par les inconnus … je l'avais enviée de les exciter, de les faire bander, de leur donner envie de s'accoupler avec elle … je l'avais enviée de toucher, de caresser des sexes
d'hommes … je l'avais enviée d'avoir pris des bites en érection dans sa bouche, d'avoir senti sur sa langue la chaleur et la douceur de la peau de glands gonflés de sang et d'excitation … je
l'avais enviée d'avoir ouvert son intimité à des sexes de mâles en rut, de les avoir laissés la pénétrer et prendre du plaisir en elle … je l'avais enviée d'avoir reçu leur semence au fond de son
ventre … j'avais refoulé toutes ces envies, mais ces désirs inavoués s'étaient implantés en douce dans ma libido comme des petites graines attendant, comme en sommeil, que des conditions
favorables leur permettent de germer.
J'ai enfin réalisé tout ça et j'ai fini par m'endormir. Sommeil
agité.
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