C'est le printemps, mais ce jour là, il ne fait pas très beau.

Ça ne fait rien, avec Christine, on va se promener sur une plage que l'on connaît bien. Vu le temps, il n'y a pratiquement personne. Tout juste deux ou trois promeneurs, un peu plus loin, là-bas.

Christine traîne loin derrière moi, à la recherche de coquillages, et je commence  sérieusement m'emmerder. Alors tant qu'à faire, je décide d'en profiter … je sors ma queue et je commence à me tripoter.

Au début, sans autre motivation que d'avoir la bite à l'air et de me pétrir le gland … et puis, de fil en aiguille, je sens que ça vient … et je finis par jouir …

Voilà un truc que j'aime beaucoup: être à ma fenêtre en tenue "hot" et regarder passer les voitures (et les cyclistes et les piétons).

Dans cette vidéo, par exemple, je porte une minijupe que j'aime beaucoup, avec un micro string (que je ne garderai pas longtemps, en fait). Et je me tripote le cul ... Oui, ça me taraude et, dans ces moments-là, j'aimerais beaucoup me faire fourrer par un mâle.

Bien entendu, ceux qui passent sous ma fenêtre ignorent dans quelle tebue je suis ... ils ne me voient pas en-dessous du niveau de la ceinture ... enfin, je pense ... mais qu'est-ce que c'est agréable !

D'autres vidéos d'exhibition à ma fenêtre en cliquant sur ces photos:

Je vous ai déjà montré des photos de ces "incroyables poupées" (équivalent approximatif de l'expression anglaise beaucoup plus suggestive "amazing dolls").

Dans cette nouvelle série, ces "poupées" sont ce qu'il est convenu d'appeler des ... créatures, dans le sens de "femmes légères, de mœurs dissolues ou de mauvaise vie", de celles qui chauffent les hommes, de celles qui détournent les époux de leurs devoirs matrimoniaux ... 

Oui, celles-ci, les cuisses largement ouvertes, offrent leur vulve au regard des mâles et semblent les inviter au coït, à la fornication.