Vendredi 7 juin 5 07 /06 /Juin 01:00

En fouillant dans le dressing de Marie-Claire, je suis tombé sur cette robe. Je le savais déjà, mais cette trouvaille me l'a confirmé: Marie-Claire est une sacrée coquine très portée sur le cul! Parce que porter de la lingerie "hot", c'est une chose, ça reste discret vis-à-vis de son entourage, mais porter ce genre de vêtement, c'est exposer son corps et ça a une connotation ouvertement sexuelle.

 

Je ne pouvais donc pas éviter d'essayer cette robe ultra sexy.

 

Je ne sais pas dans quelles occasions Marie-Claire la porte, mais ce qui est sûr, c'est que ça doit être des occasions vraiment "hot". Non seulement cette robe est très courte, comme vous pouvez vous en rendre compte, mais en plus, elle est TRÈS transparente. Ça ne se voit pas sur des photos, mais au naturel, elle ne voile que symboliquement l'anatomie de celle (ou de celui) qui la porte. Et c'est d'un effet beaucoup plus érotique que la franche nudité. A part un micro string, je ne vois pas quelle lingerie Marie-Claire peut porter dessous. Sortir dans cette tenue, c'est dire à ceux qu'on rencontre  «regarde mon cul, contemple mes seins, admire ma chatte ...». Dans la rue, elle doit se faire siffler, dans des lieux privés, elle doit se faire peloter par tous ceux qui la croisent.

 

En plus, cette robe est taillée dans un tissu ultra souple et ultra sensuel au toucher. Se caresser (se faire caresser) là-dedans est un bonheur. Le copain de Marie-Claire doit vraiment se régaler (et elle aussi).

 

L'ayant essayée une première fois, je me suis promis de recommencer à la première occasion. Pas de chance, quand je suis retourné chez Marie-Claire, la robe avait disparu. Elle l'a sans doute emmenée chez son copain. Dommage!


Une-robe-de-Marie-Claire.jpg  

 

 

    
Par Solosexe - Publié dans : Jupes et robes - Communauté : TRAVESTIS
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Lundi 2 août.

J'avais oublié son engagement, et à ma grande surprise, Thomas me téléphone. Après quelques banalités d'usage:

Je t'avais dit de t'attendre à une surprise. Elle va venir te voir, la surprise. Elle s'appelle Gaby. Quand es-tu disponible?

- En semaine, le week-end?

- Un week-end. Il faut que tu sois seul.

- Bon, le samedi 14 août, par exemple. Ce sera mon anniversaire.

- Très bien. Encore mieux.

- Pourquoi ? Tu peux m'en dire plus?

- Tout ce que je peux te dire, c'est que c'est en rapport avec notre dernière conversation, souviens-toi, quand je t'ai annoncé la surprise. Ne m'en demande pas plus. Ça ne serait plus une surprise. En attendant, prépare-toi …

 

Sur ces mots, il raccroche. 

Notre dernière conversation, quand il m'a annoncé la surprise … On parlait de cul, il me semble … Qu'est-ce qu'il mijote? Je regrette presque d'avoir accepté, de lui avoir donné une date, comme si j'étais d'accord par avance avec ce qu'il me réserve. Et qu'a-t-il voulu dire sur ce ton amusé: "prépare-toi" ? Prépare-toi à quoi?

 

Samedi 14 août.

En début d'après-midi, on sonne. Ça me fait sursauter. Nous y voilà… Un peu ému, un peu anxieux, j'ouvre. Un grand black baraqué est devant la porte. Tout habillé de jean, pantalon et veste, une mallette à la main, il me regarde avec le sourire du commercial qui évalue son prochain client. Ce n'est pas le moment, j'attends quelqu'un.

Bonjour, je suis Gabriel. Je viens de la part de Thomas.

 

Je suis saisi. Gaby, Gabriel … J'avais compris qu'il s'agissait d'une femme: Thomas me parlait de LA surprise. Et notre dernière conversation me revient en mémoire, c'était sur le cul et la queue … Les idées se bousculent: ce grand black serait ici pour … Ce que ça implique me coupe les jambes. Mon rythme cardiaque se met à s'affoler. J'ai une brusque bouffée de chaleur. La gorge nouée, je suis incapable d'articuler une parole …

 

Le grand black … Gabriel, a perçu mon trouble:

On peut entrer ?

- Oui, effectivement, excusez-moi, je suis ... 

- Vous ne m'attendiez pas? Thomas ne vous a pas prévenu ?

- Euh, si … en fait, mais pas vraiment … allons au jardin.

 

Il me suit. J'ai les jambes en coton. Qu'est-ce qu'il vient faire exactement ? Qu'est-ce qu'il attend de moi ? Et comment je dois réagir ? Comme dans d'autres circonstances stressantes, j'entreprends de contrôler ma respiration et mon rythme cardiaque et à me raisonner. Je l'invite à s'asseoir. Quoi qu'il vienne faire, il ne pourra rien m'imposer .. à moins d'employer la violence … mais Thomas ne m'aurait pas envoyé quelqu'un pour ça … Pendant que je cogite, j'observe le grand black … Gabriel, du coin de l'œil. Il a posé sa mallette et s'est assis. Il semble attendre que j'entame la conversation, que je pose des questions. Il a l'air très correct. Il a même un air plutôt rassurant. Malgré sa taille (il est bien plus grand que moi) il n'a pas l'air d'une brute. Il est même plutôt agréable à regarder. Je ne sais pas ce que j'imaginais. Devant mon mutisme, il entame la conversation:

 

Je me suis trompé de porte, en arrivant, et j'ai sonné chez votre voisine.

- Ah ? Qu'est-ce qu'elle vous a dit?

- Rien de spécial. Elle a paru intriguée et elle m'a indiqué votre porte. Alors, Thomas vous a dit ? C'est pour le cadeau qu'il voulait vous faire. 

- Le cadeau ? Il m'a parlé d'une surprise, pas d'un cadeau…

- Oui, c'est la même chose. Il m'a dit que c'est votre anniversaire. Bon, pour faire court, et excusez-moi de vous dire la chose un peu … brutalement: JE SUIS le cadeau …

 

Je reste sans voix. Que répondre ? Il vient à mon aide:

Vous avez bien entendu. Thomas m'a dit qu'il avait une sorte de … dette envers vous …

Il me fixe, interrogateur, et poursuit:

- … et il a pensé payer sa dette en faisant appel à moi.

- Ah, bon ! Une dette ? Il n'a pas dette envers moi. Et en quoi vous intervenez ?

- J'ai peut-être mal compris. En tout cas, il paraissait tenir à vous faire plaisir. Apparemment, c'est du domaine … intime, pour ne pas dire plus, à ce que j'ai cru comprendre. Et il m'a chargé d'intervenir, disons dans le même domaine … intime.

 

Je suis un peu estomaqué. Je dois avoir les yeux écarquillés. Il précise:

Dans le domaine sexuel, si vous préférez … Ecoutez, on ne va pas tourner autour du pot: je suis un professionnel du sexe, une sorte d'escort-boy, si vous voulez. Mon "métier", c'est de coucher avec ceux qui le veulent, pour de l'argent. Thomas m'envoie à vous pour ça, pour que je couche avec vous. Je fais ça aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes.

 

Voilà. Je me doutais un peu. Maintenant, je sais. Mon cœur qui s'était un peu calmé se remet à battre la chamade, et j'ai une nouvelle bouffée de chaleur … J'arrive à articuler:

Excusez-moi, je suis un peu surpris. Il faut que je …

- Prenez votre temps. Mon après-midi vous est réservé. Vous pouvez refuser, ça ne me vexerait pas. De toute façon, que vous acceptiez ou non, en ce qui me concerne, c'est pareil. Pour vous, je ne fais pas ça pour de l'argent, mais parce que, moi, j'ai une dette vis-à-vis de Thomas. Donc, que je … couche avec vous ou pas, en partant d'ici, je serai quitte vis-à-vis de lui. C'est convenu comme ça.

 

C'est donc moi qui vais décider. Ça me rassure et ça me calme un peu. Il faut que je réfléchisse rapidement à ce que je vais faire. Accepter ou pas.

Je ne m'attendais pas à … ça …

- Je comprends. Si ça peut avoir raison de vos hésitations, je peux vous dire que je fais ça aussi parce que j'aime ça, et que j'ai quelques … talents particuliers. Vous n'avez pas à avoir de scrupules ou de honte à mon égard: Thomas m'a parlé de vos fantasmes. Il m'a dit que vous aviez envie de coucher avec un noir. C'est bien ça ?

Il n'attend pas que je réponde. Il poursuit:

Vous savez, ça ne me choque pas. C'est un fantasme très courant, non seulement chez les femmes blanches, mais chez les hommes aussi. La réciproque est vraie, d'ailleurs. Les noirs fantasment tous sur les femmes blanches, et certains sur les hommes blancs. 

Il marque une pause.

Bon, alors ? Je suis le genre de cadeau qui vous intéresse ?

J'hésite un peu. Mais, pendant qu'il parlait, j'ai réfléchi, j'ai envisagé ce qu'il me propose, et surtout, je me suis dit que c'était une occasion inespérée qui ne se représenterait jamais si je ne la saisissais pas. En fait, ma décision est plus qu'à moitié prise, mais j'ai du mal à la formuler.

Ben, oui … ça … euh… vous m'intéressez.

C'est dit. Je me sens un peu con, mais je me sens déjà mieux, moins fébrile

 

Il sourit.

On peut peut-être se tutoyer ?

- Oui, pas de problème.

- Tu n'as aucune crainte à avoir. Je sais ce que c'est qu'une première fois. A tout moment, tu peux décider d'arrêter. Tu ne dois jamais te sentir obligé de continuer. Par ailleurs, je n'ai pas de MST et je suis séro-négatif. Mais, pour ça, on fera un test tous les deux … Je peux faire avec toi tout ce que deux hommes peuvent faire ensemble: je n'ai ni tabou, ni inhibition.

- Je vous … je te laisserai décider …

Non, non. Je suis là pour que toi, tu prennes du plaisir, comme tu en as envie. Mes envies, mon plaisir à moi, c'est secondaire. Comme tu es novice, pour commencer, je te guiderai. Après on improvisera. La plupart des gens veulent sucer et se faire pénétrer, non ?

- Euh. oui.

Là, on entre dans le vif du sujet. Je vais avoir du mal à formuler les choses, à prendre des initiatives.

Je peux me mettre à l'aise ? 

- Bien sûr, mettez-vous … mets-toi à l'aise.

 

Sans aucune hésitation, Gabriel tombe la veste, enlève son T-shirt, ôte ses bottes et ses chaussettes et commence à déboutonner son jean. Ah, c'est ça qu'il entend par "se mettre à l'aise"? Il est vraiment superbe. C'est une baraque. Je réalise qu'il doit mesurer un mètre quatre-vingt-dix ou quatre-vingt-quinze. Il est d'un brun très sombre. Il a la peau matte, sans aucun défaut, du moins pour ce que je vois. Il n'a pas un poil sur le torse ni sur le ventre. Il a des pectoraux, des biceps et des abdominaux impressionnants, des cuisses énormes, mais tout est magnifiquement proportionné. Le jean est par terre et ce qui me saute au yeux, c'est un string minuscule, jaune vif, qui ressort sur sa peau sombre … Et dans le string … il  a une … 

 

J'en reste pantois. A la fois gêné et fasciné, je ne peux pas détourner les yeux de ce que je vois, ou plutôt de ce que j'imagine. Sur les sites porno du Web, j'ai déjà vu des gros membres, mais, là, ce que je devine dans ce string hyper moulant … et en vrai, à portée de ma main … Mais … il bande déjà ? J'ai la gorge nouée. Debout devant moi, Gabriel a vu mon étonnement et deviné mes pensées:

Voilà. Ça c'est mon talent le plus … visible. Tu veux en voir plus ?

Et sans attendre la réponse, il roule son string sur ses cuisses.

 

C'est un des sexes les plus … gros et les plus longs que j'aie jamais vu. Et ma première impression est qu'il ne bande pas, si j'en juge par l'aspect de sa peau et de son prépuce. Dans le string, il était à demi dressé le long de son ventre, mais maintenant, il pend naturellement. A moins qu'il soit quand même en érection et que sa taille et son poids l'entraînent... Mais, non, il ne peut pas déjà bander … En tout cas, tel qu'il est, il doit bien mesurer dans les 12 ou 13 centimètres ! La verge est grosse comme mon poignet. Elle est du même brun sombre et mat que le reste de son corps. Tout son sexe est comme le reste du bonhomme, parfaitement proportionné. Le gland, encore caché dans le prépuce, a apparemment la forme que j'aime, un peu aplati, un peu retroussé. Pas un seul poil, apparemment parfaitement rasé ou épilé. Et deux grosses boules bien rondes qui ne pendouillent pas. C'est une queue énorme et magnifique, et je sens que la surprise et l'émotion provoquées par l'arrivée inattendue de mon … cadeau, cèdent la place à autre chose.

 

Il s'approche de moi. Je me sens soudainement baigné d'une odeur de vanille qui émane de lui.. J'ai cet engin démesuré à 30 centimètres du visage.

- Touche, si tu veux …

Comme j'hésite, il se penche, me prend la main et la pose sur son sexe. C'est comme une décharge électrique. Je suis scotché. Elle est douce, elle est chaude, elle est lourde, elle semble palpiter. Maintenant, l'extrémité de son gland dépasse un peu du prépuce, et il est du même brun sombre que sa verge. Je ne sais pas quoi faire. J'ai le cœur qui bat la chamade. Il y a un instant, j'avais la bouche sèche, et maintenant je salive abondamment. Et je sais que ça n'est pas dû à l'odeur de vanille. Je sens les petites frémissements familiers dans mon gland, mes couilles et ma prostate. Je sens aussi que ma bite est en train de mouiller mon propre string. Je sais ce que tout ça veut dire: ce mec m'excite et j'ai envie de cette queue. Et je reste là comme un con … 

 

Une fois de plus, Gabriel a deviné mes pensées. Il s'approche encore, me repousse doucement contre le dossier du banc, se penche sur moi, me prend par les hanches et fait un peu glisser mon bassin vers l'avant. J'ai maintenant le visage à hauteur de son ventre. Il s'agenouille sur le banc, à califourchon au-dessus de moi, saisit sa queue et me la pose sur la bouche …

Tu peux goûter. Il n'y a pas de danger.

 

Il me frotte le dessous de son gland contre les lèvres, de droite à gauche, comme pour les écarter. Ce que je fais. Je saisis cet énorme engin à deux mains. Mes doigts font tout juste le tour de sa verge ! Gabriel prend ma tête entre ses énormes pattes. J'ouvre la bouche, je sors la langue, et je commence à la passer sur le prépuce. Il a le goût de la vanille. Gabriel commence aussitôt à bander. Je sens le sang affluer dans sa verge qui gonfle entre mes doigts et desserre leur étreinte. Je vois cet engin grossir et s'allonger. Son gland commence à sortir tout seul du prépuce. J'ai la tête bloquée par le dossier et les mains de Gabriel, et comme il ne recule pas le bassin, le gland se presse contre mes lèvres, les écarte et vient s'appuyer sur mes dents. J'ouvre la bouche, et sa queue y pénètre simplement en s'allongeant. Je la décalotte complètement et le gland, énorme et tout chaud, s'épanouit entre ma langue et mon palais. J'en ai l'eau à la bouche. Je déglutis, et je commence à sucer cette queue, ou plutôt, à la … déguster. En fait, je n'en goûte que l'extrémité, parce que je suis loin de pouvoir l'engloutir toute entière. Maintenant qu'elle est complètement en érection, elle doit mesurer plus de 20 centimètres. Dans mes fantasmes les plus torrides, je ne rêvais pas de pouvoir sucer un jour un tel organe. Elle a un diamètre énorme, comme une bouteille de vin, et je dois ouvrir la bouche au maximum pour me l'enfourner. Mais elle est plus souple qu'une bouteille et elle se prête à la manœuvre.

 

Finalement, c'est un régal. Je la sens, chaude et vivante dans ma bouche et l'excitation qui monte en moi domine mon indécision et mon embarras. Je suis, moi aussi, en érection, mais ma queue, coincée dans mon string, a du mal à s'épanouir. Je glisse une main dans mon string, je dégage ma bite et je commence à me masturber. Mais, très vite au bord de l'explosion, je dois arrêter. Je me concentre sur la pipe que je suis en train de lui tailler. Ma fellation devient plus résolue et sans doute moins maladroite aussi. J'enserre la couronne de son gland entre mes lèvres et je titille son frein et son orifice du bout de ma langue. Puis je la passe du haut en bas de sa verge, jusqu'aux bourses. Il se soulève un peu, et je devine qu'il attend que je lui lèche ou que je lui suce les testicules. Ce que je fais. Je les gobe l'un après l'autre et les frictionne de la langue. Puis je remonte le long de la verge et je reprend sa queue dans la bouche. J'adore ça, et rapidement, mon excitation tourne à la même frénésie que j'ai vue chez des filles que la bite rendait hystériques.

 

Au bout de quelques instants, le grand black se recule, extrait son pénis de ma bouche:

- Maintenant, avant d'aller plus loin, il faut s'assurer.

Cette brutale interruption me frustre. S'assurer ? Qu'est-ce que ça veut dire ? 

Il fouille dans sa mallette et en sort deux petites boîtes rectangulaires:

- Des tests de dépistage du SIDA …

- Ah, bon …

- Ne t'inquiète pas. Ce sont des nouveaux tests, ils sont ultra rapides et ultra sûrs. Il suffit d'une demi-heure pour avoir le résultat. Tu es d'accord ?

Qu'est-ce que je peux lui dire ? Evidemment, je suis d'accord. Maintenant, j'ai hâte de recommencer, d'aller plus loin. 

- Un tout petit peu de sang suffit. On le prend au bout du doigt, comme pour le diabète. Dans mon métier, c'est un truc génial … et indispensable.

Il me pique le bout du doigt, le presse, fait sortir une goutte de sang et la dépose sur le réceptacle du test. Puis il se fait la même chose.

- En attendant, on peut peut-être prendre une douche …

Apparemment, tout est prévu, son numéro est bien rôdé ! Finalement, depuis son arrivée, il a pratiquement décidé de tout. Je me sens comme un pantin qu'il manipule à sa guise. C'est à la fois irrésistible, gênant, frustrant, et terriblement excitant. 

 

Il me suit dans la salle de bain et m'aide à me déshabiller. Je me fais l'effet d'être un gringalet à côté de lui. A ma grande surprise, il se met à me caresser, à me tripoter le sexe et les fesses. Et, alors que sa queue avait dégonflé, il se remet à bander. Je l'excite ? Je n'en reviens pas. C'est sûrement un vrai obsédé sexuel pour s'exciter comme ça sur moi. Nous voilà sous la douche. Il me savonne … partout … vraiment partout. Un peu contracté au début, je me laisse en suite aller au plaisir de ce contact. Je le savonne à mon tour. Nous sommes tout glissants de mousse, poitrine contre poitrine, son sexe dressé contre mon ventre. Toucher son corps comme ça, lui caresser le dos, les cuisses, le ventre, passer mes mains entre ses fesses, sur son sexe, sur ses couilles, c'est très excitant. Il plie un peu les genoux et ses doigts s'égarent entre mes fesses. Il me fait faire demi-tour. De la main gauche, il me masturbe pendant que sa main droite redescend entre mes fesses. Je sens son majeur appuyer contre mon anus et commencer à le pénétrer.

- Tu devrais passer sur le bidet, non ?

J'ai compris. Il veut que je me vide et que je me lave le cul. Il n'aime pas la merde. Il a raison, moi non plus. J'obtempère et je me fais un lavement, plusieurs fois. Je retourne sous la douche avec lui et je reprends ma position, dos vers lui. Il se savonne la main, me la glisse de nouveau entre les fesses et m'introduit franchement un doigt dans le cul. Puis un deuxième. Il s'agenouille derrière moi, me rince le cul, me force à poser un pied sur le bord de la baignoire, me penche en avant et se fourre la figure entre mes fesses. Je sens sa langue m'exciter un instant la rondelle, puis il me la rentre dans le cul. C'est affolant. D'autant que, dans le même temps, il me masturbe. Sous cette vigoureuse caresse buccale, je sens mon anus se décontracter. Puis il me remet un doigt, puis deux, puis trois … C'est légèrement douloureux - il a des doigts aussi énormes que le reste - et très excitant, et je voudrais qu'il me rentre toute la main. De nouveau au bord de l'éjaculation, je dois repousser sa main qui me masturbe.

 

Au bout d'un moment de cet exercice, il se relève, me retourne et m'attire face à lui. Il se savonne la queue, nous place ventre contre ventre, plie un peu les genoux, me glisse son sexe entre les cuisses et en saisit l'extrémité derrière moi, entre mes fesses. Je me retrouve à cheval sur sa bite ! Incroyable ! Je m'agrippe à son cou et il me soulève comme ça, me retenant de sa main libre. Ça a l'air de beaucoup lui plaire: il rejette la tête en arrière et gémit. Je sens sa queue toute raide sous mon cul, entre mes cuisses. Et il se secoue doucement d'avant en arrière. Lubrifié par le savon, je glisse sur sa queue, aussi d'avant en arrière … Pour lui, ça doit être comme de fourrer son engin entre des seins de femme, la fameuse cravate de notaire … Pour mon anus, tout à l'heure distendu, dilaté, excité, le frottement contre sa verge est maintenant une sensation voluptueuse. Très agréable façon de passer la demie heure nécessaire aux tests !

 

Il lâche sa queue et me repose doucement dans la baignoire. Il me fait saisir sa bite toute savonneuse et la presse contre mon ventre. Il me caresse de nouveau les épaules, le dos, les fesses. Ses doigts s'égarent encore dans mon cul. Je sens qu'il bande très fort. Décidément, il aime vraiment le cul … Tout ça m'excite beaucoup. Je le masturbe à deux mains dans la mousse. Nous nous amusons comme ça un long moment, puis nous nous rinçons et nous redescendons, encore ruisselants. Mon excitation n'est pas vraiment retombée. Et elle a raison de mes inhibitions. Je m'approche de lui et commence à suivre du bout des doigt les filets d'eau qui dessinent des réseaux sur sa peau et ruissellent vers son ventre et ses fesses. Je sens ses muscles sous sa peau ferme et dense. En fait, c'est la première fois que je caresse comme ça le corps d'un homme. Sa musculature est vraiment impressionnante, et je trouve très troublant de pouvoir la palper tout à loisir. Décidément, mes réticences, mes inhibitions disparaissent et je me laisse aller sans aucune gêne à ces plaisirs. 

 

Il me laisse faire, y compris quand je substitue ma bouche à mes doigts. Je lui passe la langue sur la poitrine, les abdominaux et le sexe. Lui tournant autour, je lèche ses épaules, son dos, ses reins, et, agenouillé, je m'enfouis le figure entre ses fesses. Il les empoigne à pleines mains et les écarte pour me laisser lui passer la langue dans la raie, jusqu'à l'anus. Là non plus, pas un poil. Tout en lui taquinant la rondelle avec la langue, ma main remonte entre ses cuisses vers sa bite. Il bande. Je le masturbe, et il a l'air de beaucoup apprécier ce que je lui fais. 

 

Au bout d'un moment. Il lâche ses fesses, écarte ma tête de son cul, se retourne et me relève.

- Tu es moins intimidé, on dirait …

C'est à la fois une question et une constatation. Il s'approche du banc et vérifie les tests tandis que je m'assois:

- Négatifs tous les deux. Il faut toujours vérifier. Aussi bien pour toi que pour moi. On va sur le transat ?

 

Et sans attendre ma réponse, il m'entraîne sur le transat, où il s'assied. Il m'attire au-dessus de lui et commence à me sucer. Il sait y faire … et pas seulement comme un professionnel, il a l'air d'aimer ça. En même temps, il me caresse l'arrière des cuisses. Puis sa main droite remonte entre mes jambes jusqu'à mes fesses, qu'il me tripote un moment, avant de m'enfoncer son index et son majeur dans le cul. Il s'est lubrifié les doigts sans que je m'en rende compte. C'est génial ! Il me fouille le rectum dans tous les sens … j'adore ça ! Enfin, au bout d'un moment, il lâche ma queue et me sort les doigts du cul. Il bande de nouveau. Il s'enduit la queue de lubrifiant et m'attire face à lui, à genoux de part et d'autre de son bassin, à califourchon au-dessus de son ventre. Il empoigne sa queue, et me descend doucement dessus. Son gland contre mon trou, il marque une pose:

- Alors, toujours décidé ?

 

Bien sûr que je suis toujours décidé. Et plus que jamais. Je sens que le bout de sa queue a commencé à s'insinuer un tout petit peu dans ma rondelle qui ne demande qu'à s'ouvrir complètement. Pour lui confirmer que je suis bien décidé, je m'écarte les fesses avec les mains et je plie doucement les genoux. Je sens son gland s'enfoncer un peu plus. Vue sa taille, je m'attendais à ce que ce soit un peu difficile et même douloureux. Mais sa bite est souple et se prête à l'opération. Son gland a une certaine élasticité, et il finit par franchir entièrement le sphincter. Je le sens s'épanouir d'un coup dans mon rectum. Je marque une pause. Les yeux fermés, je jouis de l'instant. Je visionne la situation dans ma tête et toute mon attention est concentrée sur ce qui se passe entre mes fesses. J'ai l'impression que toutes mes sensations se sont concentrées dans mon anneau rectal. Je perçois, comme amplifié, son contact avec la couronne de son gland. A cet instant, je suis tout entier dans ce toucher. Il y a cette sensation purement physique à laquelle se mêle une jouissance cérébrale: j'ai un énorme membre de black à l'entrée de mon cul, et dans un instant, je vais l'avoir tout entier dans moi. J'ai lâché mes fesses et je sens maintenant le contact de sa verge contre elles. Je prend la tête de Gabriel dans mes bras. Les mains sur mes hanches, il attend patiemment que je sois prêt. Je fais quelques légers mouvements de haut en bas, un centimètre ou deux, pas plus, pour bien sentir son gland à l'entrée de mon anus.

 

Puis je plie résolument les genoux et je descend mon cul sur sa queue. Maintenant, c'est sa verge qui me pénètre. Elle est plus grosse que son gland et moins souple. Cette pénétration-ci est moins facile. Sa queue doit se forcer le passage, et mon sphincter doit se dilater davantage, d'autant que dans le même mouvement, Gabriel bande plus fort. Sa queue est à la fois plus grosse et plus raide que son gland. Enfin, centimètre après centimètre, je sens qu'elle s'enfonce en moi. Par flashs successifs, mon esprit passe de la sensation de mon anus qui se fait forcer à limage de ce gland qui s'enfonce de plus en plus profondément en moi. Jusqu'où pourra aller une queue aussi longue et aussi grosse? Contre toute attente, elle continue de me pénétrer, sans aucune résistance. Pourtant, avec les objets aussi longs, aussi gros et aussi raides que je me suis fourrés, comme mon gros godemiché noir, je ne pouvais pas me les rentrer aussi profondément. Ah, si, maintenant, je la sens qui paraît butter au fond de mes entrailles. Elle est au bout. Une fois encore, je marque une pause. J'ai ce gros morceau de chair chaude et vivante dans mon cul. Je bande rarement quand je me défonce le cul avec des objets de toute sorte, mais là, je bande comme jamais. Et je m'aperçois que la grosse bite de Gabriel, en me comprimant la prostate, fait baver un peu de sperme de ma queue. De nouveau, je fais quelques légers mouvements de bas en haut pour bien sentir son sexe dans mon cul. Qui aurait pu dire que je me serais fait sodomiser par ce noir que je ne connaissais pas il y a moins d'une heure. Maintenant, je suis empalé sur sa bite …

 

Gabriel me soulève un peu et se tortille sous moi:

- Remonte un peu et écarte un peu plus les genoux. 

Et, les mains toujours sur mes hanches, il me fait redescendre lentement, me guide un peu à droite, un peu à gauche, tout en inclinant son bassin en avant puis en arrière. Et sa queue me pénètre de nouveau. Et je sens que je descend plus bas que la première fois. Si bas que mes cuisses reposent sur les os du bassin de Gabriel, et mon périnée sur son pubis. Il constate:

- Là, on ne pourra pas faire mieux …

- Tu es au fond ?

Il rit:

- Je ne sais pas si je suis au fond, mais je n'en ai pas plus à te rentrer … désolé.

 

Je bouge un peu le bassin pour bien sentir la chose énorme qui est en moi. Jusqu'où est-elle remontée? J'ai maintenant l'anus complètement relâché. Je sens, je réalise ce qui me dilate la rondelle, ce qui me remplit le fourre-tout, ce qui me fouille les entrailles. J'interroge Gabriel:

- Combien elle mesure ?

Il rit encore:

- J'attendais cette question. Tout le monde veut savoir. Quand je bande à fond, elle mesure 23 centimètres. Et là, je peux te dire que je bande à fond … Et son diamètre, tu ne me demandes pas son diamètre ?

- Si, bien sûr. Elle doit faire dans les 7 ou 8 centimètres …

- Plus. A l'endroit le plus large, elle fait 8 centimètres et demi.

- Ah, bon ? Mais le plus gros truc que je me sois enfilé, mesurait 7 centimètres et demi, et j'ai eu du mal …

- C'était quoi, un gode, un plug ?

J'hésite un peu à le lui dire.

- Une bouteille de vin …

- Ah, oui, mais ma queue n'est pas en verre. Quand le passage est vraiment trop étroit, elle se comprime et elle passe. Et pour la longueur, si on s'y prend comme il faut, elle peut s'insinuer très loin dans un cul. Bien plus loin que dans un vagin.

 

Pendant toute cette discussion, j'ai bougé le bassin d'avant en arrière et de droite à gauche pour bien sentir sa queue au fond de moi. Il m'enserre le torse d'un bras, me passe l'autre sous les fesses, et se met à me soulever puis à me redescendre, d'abord lentement puis de plus en plus vite. C'est lui qui pilote. Il a fermé les yeux et, à son tour, il jouit de la situation. J'ai repris sa tête dans mes bras et je goûte aussi pleinement et intensément ce bonheur anal. Ça dure un bon moment, je halète de volupté et il gémit de plaisir. 

 

Puis il arrête, me regarde:

- Change de position. Tourne-toi.

 

Je me retourne et, à califourchon au-dessus de son ventre, je descend vers son gros pieu. Je vais m'y empaler. Les mains appuyées sur mon dos, il me retient. Je saisis sa queue et j'en introduit l'extrémité dans mon anus. Dans cette position, je peux voir en partie ce qui se passe. Je vois sa paire de boules, la base de sa verge et les premiers centimètres. Ma bite et mes couilles me cachent le reste … le plus intéressant, le plus excitant. 

Une fois encore, Gabriel me guide pour me pénétrer au maximum. Nous devons nous y reprendre à trois fois. Il me fait légèrement tourner d'un côté, puis de l'autre, il me fait lever une jambe, il me fait me pencher en avant, puis me cambrer … et enfin, je sens que sa queue a trouvé le passage. Lui aussi. Il me dit:

- Ne bouge plus.

 

C'est incroyable ! J'ai toute sa queue dans le cul et même … dans le ventre ! Vingt-trois centimètres ! Je me demande où tout ça s'est logé et quel chemin tortueux ça a suivi. Je suis assis sur son ventre. Je me penche un peu en avant et je lui pelote les couilles. Il m'attire et m'allonge sur lui. Sa queue sort un peu de moi. Il me masturbe doucement en me léchant et mordillant l'oreille. Nous restons un long moment comme ça. Je ne pense qu'à cette énorme et superbe queue en moi et à cette main qui me branle. Mon premier black … Ça aurait pu ne jamais m'arriver ... ou il aurait pu être quelconque, voire moche et boutonneux … ou avec une petite bite … Mais il est baraqué, il est beau, il sent bon, et il a une énorme bite.

 

Soudainement, comme pris d'une idée subite, il se redresse, me repousse, me force à me lever. Je sens son long membre sortir de moi. Il se relève aussi, m'entraîne vers la table et me fais m'y coucher sur le dos. Il me remonte les genoux sur le ventre et me tire vers lui. Il a la même idée qu'avait eu Thomas! Maintenant, j'ai les fesses au bord de la table. Il m'enfonce sa queue, me fait mettre les jambes autour de sa taille, et il me reprend comme ça. 

- Je crois que j'ai vu une tête au-dessus du mur… 

Je me redresse.

- Un homme ou une femme?

- Une femme, il me semble. De cheveux gris. Ça t'ennuie? Tu veux qu'on arrête?

 

J'hésite un instant. C'est la voisine, chez qui Gabriel a frappé en arrivant. Vu la hauteur du mur, pour regarder par-dessus, elle a dû grimper sur une échelle ! Elle devait se demander ce qu'il me voulait, et la curiosité a été la plus forte. Maintenant, elle sait. 

 

- Je m'en fous. Ça ne m'étonne pas. Qu'elle regarde si ça l'amuse. Donnons-lui du spectacle … Ça m'étonnerait qu'elle aille raconter ce qu'elle a vu, il faudrait qu'elle explique qu'elle grimpe sur une échelle pour mater chez moi. Et catho comme elle est, ce serait la honte ...

 

Il sourit et reprend son va-et-vient en moi. D'abord lentement, doucement, puis de plus en plus fort.

 

Savoir que la voisine nous a vus (notre position ne laisse aucun doute sur ce que nous faisons ... sur ce que Gabriel me fait ...) c'est très excitant. Je voudrais bien vérifier et regarder si elle nous mate toujours, mais je tourne le dos au mur et, même en me tordant le cou, je ne vois rien. Je demande à Gabriel:

- Tournons d'un quart de tour, que je voie le mur.


Ça le fait rire, mais il a compris ce que je veux. Je me redresse, lui passe mes mains autour du cou, lui me glisse ses deux énormes mains sous les reins, me soulève de la table et nous déplace avant de me reposer sur la table. Pendant cette manœuvre, sa queue n'a pas quitté mon cul.


Maintenant, en tournant la tête de côté, je vois le mur. La voisine est toujours là. Je ne vois qu'un peu de cheveux qui dépasse du mur et une main avec laquelle elle s'agrippe. Elle a dû se baisser quand Gabriel a regardé vers elle. Elle doit avoir une furieuse envie de regarder de nouveau, pour être bien sûre de ce qu'elle a vu ... Mais oui, tu as bien vu: un grand black est en train de me baiser sur ma table, dans mon jardin, vas-y, regarde.

 

En effet, la tentation doit être trop forte, et après quelques instants, elle se redresse, juste assez pour avoir les yeux à hauteur du faîte du mur. Elle remarque forcément que nous avons changé de position. Maintenant, elle nous voit de côté, et elle doit distinguer encore mieux ce que Gabriel est en train de me faire. En fait, elle doit même voir sa queue qui me pénètre et me ramone. Mais, fascinée par l'ensemble de ce spectacle, elle ne remarque même pas que je la regarde. Je chuchotte à l'attention de Gabriel:

- ma voisine est encore au spectacle.


Il tourne aussi la tête vers elle.

- Ah oui... Je continue?

- Oh oui, ça doit lui plaire ... et à moi aussi.


Je me redresse sur un coude, le regard toujours braqué vers elle. Mon mouvement a attiré son attention et elle s'aperçoit enfin que je la regarde aussi. Dans un mouvement réflexe, elle cherche à se dissimuler en se baissant, mais elle doit réaliser que c'est inutile et elle reprend lentement sa position. Nos regards se croisent. Je lui souris. Ça te plaît, hein? Tu n'imaginais pas que je pouvais me faire baiser? Je suis sûr que ça te fait envie. Regarde cette énorme queue qui est en moi. Tu n'as jamais dû en voir une comme ça. On s'est tournés pour que tu nous voies mieux. Continue de mater comme ça, et tu vas finir par mouiller... 

 

Je réalise que, outre le pur plaisir exhibitionniste, je ressens une certaine fierté de me faire baiser par un grand et beau mâle comme Gabriel devant elle. En plus, d'où elle est , elle voit avec quoi il m'empale ... Je me sens comme ces filles qui prennent plaisir à exhiber leur mec à leurs copines, à leur montrer comme il est beau et bien bâti. Je ne quitte pas ma voisine des yeux. Elle a compris qu'il est inutile qu'elle se cache, et que sa présence, au lieu de m'embarrasser, me plaît. Elle finit par se redresser complètement. Maintenant, sa tête dépasse franchement du mur, et elle nous regarde ouvertement, un petit sourire sur les lèvres. Je lui retourne son sourire et je lui adresse un signe de la main en me rallongeant sur la table.

 

Cette situation me plaît beaucoup et m'excite. Mes jambes encerclant toujours sa taille, Gabriel a repris son va et vient avec un peu plus de vigueur. J'ai l'impression que ça l'excite aussi. Je tends une main vers ses pectoraux. Il se penche un peu et je le caresse avant de passer mes deux mains derrière son cou et de l'attirer sur moi. J'ai maintenant les cuisses repliées à l'horizontale sur mon ventre, et Gabriel, couché sur moi, est contraint de réduire l'ampleur de ses va et vient. Je serre mes jambes et il s'enfonce au plus profond de moi. A ma grande surprise, il approche son visage du mien, pose sa bouche sur la mienne, et je sens que sa langue cherche à s'introduire entre mes lèvres. Je le laisse faire et nous nous embrassons longuement.

 

Quand il abandonne mes lèvres, il se redresse et, tandis qu'il recommence à me baiser, je tourne la tête vers ma voisine. Elle est toujours là mais elle a dû monter un échelon de plus parce que, maintenant, elle a la tête posée sur ses bras, croisés sur le faîte du mur, confortablement installée. 

 

Gabriel lui jette un coup d'œil tout en me ramonant. Comme s'il faisait ça à l'intention de notre spectatrice, il se met à me donner de vrais coups de boutoir, il me secoue. Je sens son gros engin me pilonner. Ses couilles battent contre mes fesses. Il ne prend plus la peine de s'insinuer en douceur, il me baise, comme avait fait Thomas ! Et j'aime ça. Puis il me fait m'allonger sur le côté, en chien de fusil, et il recommence. Il prend son temps et il y prend du plaisir.

 

Je suis maintenant face à ma voisine, mais mes jambes serrées l'une contre l'autre lui masquent la vue directe sur notre copulation. Je soulève ma cuisse supérieure et j'essaie tant bien que mal de tenir dans cette position. Gabriel réalise à la fois ce que je veux faire et l'inconfort de ma posture. Sans cesser de me saillir, il saisit mon genou et le maintient. Maintenant, la voisine a une vue directe sur la queue de Gabriel et sur mon cul. Elle voit cet énorme sexe aller et venir en moi. Son regard passe alternativement de mes yeux à l'énorme membre qui me pénètre. Et elle réalise que c'est délibérément que nous avons changé de position pour lui offrir ce spectacle.

 

Visiblement, elle est bluffée: les yeux écarquillés, la bouche un peu entrouverte, elle ne sourit plus, et je me demande quelle est la nature exacte de ses pensées. En bonne catho coincée, elle doit être partagée entre le caractère moralement scandaleux, choquant pour elle de ce que nous faisons, et ses propres réactions intimes, physiologiques, sexuelles. Parce que, pour rester perchée comme ça en haut de ce mur, il faut nécessairement que la fascination et le trouble l'emportent sur la désapprobation et le dégoût. Alors, au moment où son regard remonte vers le mien, je porte ma main vers ma bouche et j'introduis mon majeur entre mes lèvres. Mon geste a retenu son attention. J'entre et sors mon doigt de ma bouche à plusieurs reprises et je le lui montre, bien mouillé, en l'agitant pour mimer une masturbation féminine. Elle est saisie et détourne brusquement la tête, comme si, par ce geste, je lui signifiais que j'avais deviné ses pensées. Elle reste un moment les yeux rivés sur le va et vient de Gabriel, comme absorbée par une intense réflexion. Et au bout d'un moment, je la vois relever la tête, tourner les yeux vers les miens, dégager un bras de sous son menton, et comme par défi, porter deux doigts à sa bouche et plonger sa main derrière le mur. 

 

Bingo ! Elle va se caresser ! Ses yeux ne quittent pas les miens. Elle semble me dire «tu vois, je vais me donner du plaisir, je vais me masturber ...» Je vois son épaule bouger lentement. Elle a dû glisser sa main dans son bermuda (elle porte toujours un bermuda ...), puis dans sa culotte en coton (elle ne doit porter que des culottes en coton), elle a dû insinuer ses doigts entre ses lèvres, et commencer à se masturber. Je me mets à imaginer ses doigts qui vont et viennent entre ses lèvres et sur son clitoris humides de désir. Qu'est-ce qui t'excite comme ça ? Seulement la grosse queue de Gabriel que tu as envie de te faire mettre, ou de me voir me faire baiser ? Sans doute tu m'envies et tu t'imagines à ma place ... Elle a reposé son menton sur son bras toujours appuyé sur le mur. La bouche toujours entrouverte sous l'effet du plaisir, elle ferme maintenant à demi les yeux. Je dis à Gabriel:

regarde, elle se touche ... Montre-lui ta queue.

 

Il s'extrait de moi, pose son sexe sur ma cuisse et commence quelques mouvements de va et vient. Ma voisine voit maintenant l'énorme engin en totalité. Elle peut réaliser sa longueur, estimer son diamètre, contempler son superbe gland, se représenter tout cela dans moi (et peut-être dans elle ...) et imaginer les sensations que cela pourrait lui procurer. Je pose une main sur le sexe de Gabriel qui va et vient toujours sur ma cuisse, je l'empoigne (mes doigts n'en font pas le tour...) et je commence à le masturber. Aussitôt, je vois les mouvements d'épaule de ma voisine s'accentuer. Je peux imaginer les pensées que la vue de cet énorme sexe suscite en elle.

 

Gabriel interroge:

- tu veux qu'on l'invite?

- non non non. C'est pour moi que tu es là, non? Qu'elle profite du spectacle et qu'elle se finisse toute seule.

- Comme tu veux.

Nous poursuivons notre manège un instant, puis Gabriel me suggère:

changeons de position.

Il s'écarte de moi, je me redresse et je descends de la table. Je ne sais pas à quoi il pense, mais une fois les pieds au sol, je m'accroupis devant lui, je saisis de nouveau sa queue, je prends son gland dans la bouche et tout en le masturbant, je commence à le sucer. Il pose ses mains sur ma tête. Tant bien que mal, tout en le suçant, j'essaie de voir si la voisine nous regarde toujours. Gabriel a compris et me rassure:

ne t'inquiète pas, ça a l'air de lui plaire aussi.

 

Après quelques minutes de ce manège, Gabriel se penche vers moi, passe ses mains sous mes aisselles, et me force à me relever:

- je vais te prendre autrement.

 

Il me retourne, me penche en avant sur la table et m'introduit sa queue encore une fois. Comme avait fait Thomas. Décidément, tous les mecs semblent avoir les mêmes idées, et c'est tant mieux parce que ça me plaît beaucoup de me faire prendre comme ça. Je m'appuie des avant-bras sur la table, Gabriel m'empoigne par les hanches et entreprend un long va et vient entre mes fesses. Il sort de mon cul, y revient, s'y réintroduit lentement. Je sens que, comme Thomas, il jouit du spectacle de sa bite qui me force et me dilate doucement la rondelle. Je jette un coup d'œil à la voisine. Elle est toujours là, et à je ne sais quoi dans son regard, je suis convaincu qu'elle m'envie. Alors, sans la quitter du regard, je pose ma joue sur la table, je glisse mes mains vers mes fesses, je les empoigne et je les écarte. En faisant cela, non seulement en m'ouvrant plus largement à sa pénétration, j'invite Gabriel à user pleinement de moi, à me posséder, mais j'envoie aussi un message muet à ma voisine: « regarde, je m'offre, je m'abandonne totalement au black qui est en train de me baiser  ». Mon geste a un effet immédiat sur nous trois. Je sens les mains de Gabriel m'empoigner plus fermement les hanches et sa pénétration se faire plus vigoureuse. Je vois les yeux de ma voisine s'arrondir et après une brève hésitation sa masturbation reprendre de plus belle. Et mon propre plaisir monte d'un cran, à la fois physiquement et cérébralement. J'ai un réel plaisir anal à me faire sodomiser par une telle queue, et je jouis de le faire sous le regard de cette voyeuse, non pas inconnue, anonyme, mais ma plus proche voisine, avec laquelle je n'entretiens habituellement que des rapports distants.

 

Ces réflexions me font changer d'avis. Je lâche mes fesses, je me redresse et me tournant vers ma voisine:

Venez. Rejoignez-nous, vous verrez mieux. Faites le tour, la porte est ouverte...

Elle est surprise et doit se demander si je ne fous pas d'elle. Gabriel a ralenti son va et vient. Il attend de voir ce qui va se passer. Comme elle ne répond pas et hésite visiblement sur la conduite à tenir, j'insiste:

Allez, venez. Sincèrement, ça me plaît que vous assistiez à ça. Vous n'aurez pas à participer. Simplement vous asseoir et regarder ... et vous faire du bien aussi ...

 

Elle a baissé la tête et appuyé son front sur son bras. Puis elle secoue la tête, comme pour dire non.

Franchement, au point où on en est, tous les trois, c'est un peu ridicule de rester perchée sur votre échelle, non? Et puis je vous assure, vous ne courez aucun risque...

Elle se redresse. Elle est toute rouge. Ses deux mains sont maintenant sur le mur. J'ai interrompu sa masturbation. 

- Non. Je ne viens pas ... merci. Mais vous pouvez continuer ...

- C'est dommage. Ça vous plaisait de nous regarder, non?

- ...

- Vous étiez en train de vous masturber. Je me trompe?

Elle appuie de nouveau son front sur son avant-bras. Après quelques secondes, elle se redresse et nous sourit. Je l'interroge:

- Alors ?

- Alors c'est non, je ne viens pas. C'est mieux comme ça. Mais, continuez...

- Comme vous voulez. Mais vous restez, hein. Vous aussi, vous continuez ...

Elle hoche la tête, comme pour acquiescer.

 

Pendant cet échange, Gabriel a continué à aller et venir lentement en moi. Pas du tout démotivé, au contraire. J'ai l'impression que la situation l'intéressait. Il reprend un peu plus rapidement et vigoureusement. Après quelques minutes, il sort de moi et me dit:

- Attends un instant. Tu voudras jouir avant moi ou après moi?

Sans une hésitation:

Après.

- Et tu veux que j'éjacule où ? Sur toi, dans toi ou ailleurs ? Il y en a qui veulent voir.

- Dedans, je préfère …

- Où ? Dans ton cul ou dans ta bouche ?

- Dans mon cul.

- Alors, viens …

 

Et il m'entraîne sur la pelouse.

- Mets-toi à quatre pattes. Je vais te prendre en levrette.

Je jette un coup d'œil vers le mur. La voisine est toujours là. Je m'agenouille. Gabriel fait pareil, derrière moi et me reprend. Il m'empoigne les hanches et commence à aller et venir. J'aime décidément beaucoup ça. Je me concentre sur ce qu'il me fait. Je m'appuie la tête sur les avant-bras, le cul en l'air. Je sens sa queue rentrer et sortir, coulisser dans mon anus. Après un moment, il me demande:

- Tu es prêt ? Pour moi, c'est quand tu veux.

- Je suis prêt.

Il plaque son ventre contre moi, m'enfonce son pieu aussi loin qu'il peut et s'immobilise, le souffle coupé. Et brutalement, je sens les soubresauts de sa queue dans mon cul. Il se met à gémir, les mains crispées sur mes hanches. Il éjacule en moi. Et ça dure très longtemps. Il halète. Je ne sens pas son sperme gicler en moi, mais je l'imagine qui m'inonde les entrailles. Sa queue s'apaise enfin, mais il reste plaqué contre moi. Je ne sens pas son sperme, mais j'ai la sensation que mon étui est maintenant plus lubrifié qu'avant son orgasme. Enfin, il se retire et s'écroule sur le dos à côté de moi. Je me redresse un peu et je jette un coup d'œil vers son bas ventre. Sa queue est moins raide, mais, comme ça, en semi érection, elle reste impressionnante. Elle est toute luisante de son sperme et de mon fluide anal. Je reste un moment comme ça, le cul en l'air. Je glisse la main entre mes cuisses et je sens sur mes doigts sa semence qui commence à s'écouler de mon cul. Je m'allonge aussi sur le gazon, perpendiculairement à lui, la tête posée sur son ventre. Je saisis sa bite encore un peu plus molle et j'entreprends de la nettoyer. Le gland dans ma bouche, je presse sa verge du bas vers le haut pour en extraire ce qui reste de crème dans son urètre. Ça a un goût de sperme, de gel lubrifiant, de fluide anal et de vanille. Tout en le suçant, je jette un coup d'œil vers le mur. La voisine n'est plus là. J'espère qu'elle a vu le final. M'adressant à Gabriel:

- Tu sais que je pourrais devenir accro à ça …

- A quoi, à la bite ?

- Non, à TA bite …

Il rit.

Essaie d'éviter … Soit tu serais déçu, soit elle te coûterait une fortune …

- Comment ça?

- J'ai pris mon pied avec toi et j'ai bien aimé te baiser, mais ça reste des relations … disons … professionnelles. Et si tu veux recommencer un de ces jours, ça sera des relations professionnelles et tarifées.

- Pourquoi pas ? Si le tarif est à la portée de mes moyens.

- Alors, oui, pourquoi pas … 

 

Donc, si un jour j'ai envie de recommencer, il suffira que je le paie. J'avais vu cette séance comme une chance vraiment unique, mais finalement je pourrai renouveler l'expérience.

- Tu ne fais que ça, baiser pour de l'argent ?

 

Ma question paraît l'agacer. Il me repousse et:

- Tu as un ordi ?

- Oui, suis moi.

 

Nous voilà sur le canapé du séjour, devant l'ordi posé sur la table basse. Un fois l'ordi en route, il pianote un instant et nous nous retrouvons sur un site  intitulé "ANACONDAS PRODUCTIONS". Tout un programme!

 

- C'est mon site. En fait, je produis et je réalise des films. Comme tu vas voir, c'est du hard.  

 

Pendant qu'il parle et manipule le clavier, j'ai saisi sa queue et je la caresse doucement. Autant en profiter le plus possible. Il me jette un coup d'œil amusé, et me laisse faire.

- Tu m'écoutes ?

- Je ne fais que ça …

- Nous faisons surtout du gonzo. Tu connais?

- Oui.

- Avec moi, il y a une équipe d'acteurs dont certains sont mes associés, et nous touchons un peu à tous les genres, hétéro, homo, bondage, SM, etc. Mais nous sommes aussi acteurs et techniciens. Nous maîtrisons le processus de A à Z. Je te montre? 

- Vas-y.

 

Il pianote et il fait défiler des extraits de films porno de toute sorte. Je remarque tout de suite que les acteurs mâles sont en majorité noirs. Dans plusieurs extraits, je reconnais Gabriel en train de baiser des bimbos. Le voir donner du plaisir à ces filles, après qu'il m'ait baisé et en ayant son énorme queue dans la main, ranime mes envies.

 

Je me penche vers son sexe. Gabriel est un peu incliné en avant, et en sentant mon mouvement, il s'adosse au canapé pour me laisser approcher la bouche de sa queue. Elle est de nouveau toute raide et un peu de fluide perle déjà au bout de son gland. Visionner ses propres vidéos paraît l'exciter. A moins que ce soit mes caresses… Je le lèche, puis je prends son pénis entre les lèvres, ma main sous ses couilles. Il renverse la tête en arrière. Sa queue dans la bouche, je le masturbe de ma main libre. Visiblement, il aime ce que je lui fais. Au bout d'un moment, il me repousse, s'allonge de côté sur le canapé et m'incite à faire comme lui, tête-bêche. Je le reprends dans bouche pendant qu'il happe ma propre queue. Mais le canapé est étroit, et compte tenu de la longueur de son organe, je suis à deux doigts de tomber. Il le sent, et, soudain, il me saisit par les hanches et, dans un même mouvement, se met sur le dos, me soulève et me place au-dessus de lui. J'ai ma bite juste au-dessus de sa bouche, et je ne suis appuyé sur le canapé que par les genoux, de part et d'autre de sa tête. Il me maintient le bassin en l'air, à la bonne hauteur pour pouvoir me sucer. J'ai le torse appuyé sur son abdomen, la tête au-dessus de son membre. Je peux le sucer, lui lécher le gland, la verge, les couilles. Tailler une pipe tout en se faisant sucer, c'est vraiment une volupté. Et ça lui fait autant d'effet qu'à moi. Je soulève mon bassin pour retirer mon sexe de sa bouche. Il laisse faire.

 

Il est maintenant uniquement concentré sur ce que je luis fais, et rapidement, je sens que ça va être le moment pour lui. Il va éjaculer une deuxième fois ! Sa respiration s'accélère et je sens son gland se dilater dans ma bouche et sa verge s'agiter de spasmes. Brutalement, sous mes doigts, je sens son urètre gonfler au passage du sperme, et aussitôt, un flot de semence se répand dans ma bouche. Une longue giclée toute chaude. Puis une deuxième, une troisième, une quatrième ... Ça n'en finit pas. Pourtant, il a déjà éjaculé tout à l'heure … Cette liqueur m'envahit la bouche et commence à me couler dans la gorge. Ou je la recrache, ou je l'avale. Je guide cette crème sur et sous ma langue. C'est chaud … c'est un peu salé, il y a quelques grumeaux caoutchouteux, mais, finalement, c'est bon … et, surtout, ça m'excite d'avoir tout ce sperme dans la bouche. Je le déguste encore un peu, puis je l'avale.

 

Le flot de sperme se tarit et j'en recueille les dernières gouttes et pressant sa verge depuis les couilles jusqu'au gland. Je sens sa queue se dégonfler et je trouve très agréable de l'avoir comme ça, un peu molle dans la bouche. Je lui caresse les couilles. 

 

- Et toi, je te finis comment ?

- En me suçant, si tu veux bien …

- Pas de problème, j'aime ça.

Il me repousse et m'assoit sur le canapé. Puis il s'agenouille devant moi, et commence à me sucer. En même temps, il me replie une jambe et me triture la rondelle, y rentre un doigt, un deuxième, un troisième … J'ai envie de le sucer aussi et je le lui dis. Il s'allonge à côté de moi et je prends sa bite entre mes lèvres. La pipe qu'il me taille, sa queue dans ma bouche et ses doigts dans mon cul … je ne résiste pas longtemps. Il m'a senti venir, et il garde ma queue dans la bouche. Lui aussi avale mon sperme. Et nous restons allongés l'un contre l'autre. Il finit par se redresser et s'asseoir.

 

- Si ça te dit, tu pourras venir nous voir au studio quand on tourne. C'est à Paris, dans le 18°.

- C'est possible?

- Pas de problème. Tu appelles avant. On ne tourne pas tous les jours.

- Ça m'intéresse. 

 

Il se lève, récupère ses vêtements éparpillés dans la pièce et se rhabille. Je me lève à mon tour. Je suis un peu gêné, ne sachant quelle contenance adopter. Il s'en rend compte, s'approche et me tend la main. Et tandis que je la saisis, de son autre main, il prend mon sexe et le caresse délicatement.

- Allez, salut.

 

Il tourne les talons et sort.

Je retourne vers le canapé, encore ébahi de ce qui vient de m'arriver. En m'asseyant, je m'aperçois qu'il a oublié son string jaune sous la table basse. Je me penche et je le ramasse. Il est taillé dans une matière extrêmement souple et sensuelle et il a gardé l'odeur de vanille de Gabriel. Ce morceau de tissu, en fait pas si minuscule que cela, a contenu et moulé son énorme paquet. Je le porte à mon visage et, après l'avoir longuement humé, je le prends dans la bouche et je le suce, comme pour retrouver le goût de sa queue.

 

Deux jours plus tard, je croise ma voisine devant chez elle. J'attendais ce moment inévitable sans aucune appréhension: je sais maintenant sur elle quelque chose qu'elle doit considérer comme aussi honteux que ce qu'elle sait sur moi. Je suis sûr qu'elle restera discrète, de peur que je parle  mon tour à son mari ou à sa fille.

Elle commence par prendre un air gêné, baisse le nez, essaie de m'éviter. 

- Bonjour !

Elle est bien obligée de me regarder, de me répondre:

- Bonjour !

A vrai dire, je ne sais pas trop quoi lui raconter, mais je ne peux pas faire comme si de rien n'était, et puis la situation me plaît bien. J'improvise:

- J'espère que mon ami black ne vous a pas fait peur, l'autre jour en sonnant chez vous ...

- Ah, non, non, non ... Il a été très ... courtois.

- Il est impressionnant, non?

- Oui, c'est un colosse ...

- A tous points de vue ...

- Oui en effet.

A son petit sourire, je comprends qu'elle a saisi le sous-entendu. Puisqu'elle se détend et que j'ai envie de savoir, j'insiste:

- On vous a choquée?

Ma question la surprend. Elle hésite.

- Je ne peux pas vraiment dire ça. C'était ... disons ... inattendu ...

- Inattendu ?

- Oui, de votre part.

- Ah! Vous aussi, vous m'avez surpris. 

Elle pique un fard mais ne commente pas.

- Et à part la surprise, ça vous a inspiré quoi?

Elle toussotte. Elle est gênée. Je poursuis:

- J'ai eu l'impression que ça vous plaisait. 

- ...

- Vous avez pris du plaisir?

Elle prend un air courroucé:

- Mais enfin ...

- Hé, dites, vous pouvez au moins me dire ça, moi je ne vous ai pas caché grand chose, non?

Bizarrement, ma remarque paraît porter. Elle ouvre des yeux ronds et après une courte hésitation, dans un murmure:

- Oui.

- Vous avez pris du plaisir?

- Oui

- Ben voilà. N'empêche, vous auriez dû venir. Au point où vous en étiez, perchée sur votre échelle, vous auriez été mieux à côté de nous et confortablement assise dans un fauteuil. Et je vous assure qu'on ne vous aurait pas touchée...

Une pointe d'ironie dans l'œil, elle me répond:

- Ça, je n'en doute pas.

- Alors, vous voyez ...

- Une autre fois, peut-être ...

Elle me sidère.

- Je ne pense pas qu'il y aura une autre occasion comme celle-là.

Dommage.

- Ah oui, dommage. Bonne journée.

- Oui, bonne journée.

Elle pique de nouveau un fard et rentre chez elle.

 

La suite en cliquant ici: Premières fois. Au bord de l'autoroute

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Pour lire ou relire le début de ce récit, cliquer sur "Premières fois. Laurent 01".

Lundi 17 juillet.

Après mûre réflexion, je décide de prendre contact avec mon paysan dont j'ignore le nom. J'ai sélectionné une photo au rouleau de foin à lui expédier sur son portable, j'en ai découpé une partie, de façon qu'un non initié qui la trouverait ne puisse pas comprendre ce qu'elle représente. Lui comprendra. Je pourrais lui expédier ça de mon ordinateur, mais, par prudence, je le fais depuis un cyber-café en ville.

 

Mercredi 19 juillet.

J'ai laissé passer deux jours et je l'appelle d'une cabine:

- Bonjour. Alors, les foins sont rentrés ?

Silence. Il a dû reconnaître ma voix, sinon, il demanderait qui l'appelle.

- Euh, oui … mais … qui …

- J'ai des photos pour toi.

- Des photos ?

A mon avis, il fait semblant de ne pas comprendre.

- Des photos, justement, de meule de foin. Ça ne te dit rien ?

- Ah, si …

- Il faudrait qu'on se voie, non ?

- Euh, oui …

- Tu as bien reçu la première photo ?

- Oui, mais on ne voit rien.

- C'est volontaire, j'ignorais qui pouvait tomber sur cette photo dans ton portable. Tu n'as pas reconnu ?

- Si, si, un peu … mais …

Il parle tout bas, il ne doit pas être seul.

- Je te dérange … je peux te rappeler plus tard …

- Non, non … je ne pouvais pas parler. Voilà, je me suis éloigné, je peux parler maintenant.

- Bon, tu veux qu'on se voie ?

- Oui. A vrai dire, je pensais que tu ne me rappellerais pas.

- Ben, tu vois, quand je dis quelque chose, je le fais. Tu veux qu'on se voie quand ?

- On peut se voir dans quatre ou cinq jours. Je serai … tranquille à ce moment-là.

- OK. Où on se retrouve ?

- Chez moi.

 

Là, il m'étonne. Mais, bon, il a dû réfléchir à la question.

- Dis-moi où c'est, chez toi, et dis-moi quel jour, que je note dans mon agenda …

On ne sait jamais … J'ignore ses intentions, il vaut mieux prendre des précautions.

- Viens mardi, si tu peux.

- OK, mardi. Les photos, tu les veux sur papier ou en numérique ?

- Tu vas vraiment me les donner ? J'avais cru que tu disais ça pour que je te laisse, l'autre jour …

- Non, j'ai dit ça parce que je comptais le faire. Alors, papier ou numérique ?

- J'ai un ordinateur. En numérique, ça ira.

- Bon, très bien. A part ça, ça va ?

Il marque un silence.

- Depuis l'autre jour, je … je pense … je ne pense qu'à ça.

- C'est-à-dire ? Tu culpabilises ?

- Non, mais je repense à tes photos sans arrêt, et …

- Et ?

- Et bien, ton …

- Mon cul ?

- Voilà. En fait, j'ai culpabilisé, au début. Mais, maintenant, ça dépend des jours. J'ai envie de revoir tes photos et … ton … ton cul.

Il a prononcé les derniers mots tout bas.

- Bon, tu vas les revoir.

- Tu mettras ton … tu porteras ton … machin, là ?

- Mon porte-jarretelles ? Oui, oui. Tu as fait un test ?

- Oui … deux jours après. C'est négatif, mais j'en étais sûr.

- Moi j'en étais pas sûr.

- Oui, j'ai compris, maintenant.

- Bon très bien. A mardi.

 

 

Mardi 25 juillet

C'est une grande ferme: immenses hangars, trois énormes tracteurs, deux moissonneuses-batteuses presque neuves, plein de machines, et dans un coin … une montagne de rouleaux de foin … La maison est ancienne, mais le ravalement "à pierres vues" est récent, des fleurs partout, aux fenêtres, dans des massifs … Quand je rentre sur la cour, il apparaît sur le pas de sa porte et me fait signe d'aller me garer au pignon de la maison où il me rejoint.

- Là tu seras à l'ombre.

J'ai plutôt l'impression qu'il ne veut pas qu'on voie ma voiture de la rue. Pourtant la ferme est isolée, au bout d'un chemin en impasse.

- Ça va ?

- Oui.

Il a l'air gêné.

- Entrons.

 

Je le suis. L'intérieur de la maison est à l'image de l'extérieur: on sent qu'il y a de l'argent, mais sans ostentation. Il se tourne vers moi:

- Ecoute, je ne sais pas trop … Je ne sais plus très bien où j'en suis. L'autre jour, dans le champ, je me suis conduit … comme un con.

- Tu regrettes ce qu'on a fait ?

- Non, c'est pas ça. C'est parce que je … j'ai abusé de la situation. J'étais pas bien ce jour-là et je ne sais pas ce qui m'a pris.

- Il t'a pris que tu en as eu envie. En soi, ça n'a rien de criminel. C'est vrai que pendant un moment, je me suis demandé ce que tu allais me faire, comment tu allais réagir.

- Bon, et puis ce qu'on a fait, c'est pas … je ne l'avais jamais fait et je ne sais pas si …

- … si tu as envie de recommencer. Tu as peur d'être devenu un pédé.

 

J'insiste sur le mot.

- Depuis l'autre jour, je n'arrête pas d'y penser. Je n'en dors plus. Parfois, ça me dégoûte, parfois je me dis que ce n'est pas grave, que ce n'est pas un crime. Et, chaque fois, je repense à … tes photos … et à toi … et ça me redonne … envie.

- Il faudra peut-être un moment avant d'accepter ce que tu as fait, avant d'accepter ce penchant contraire à ton éducation. Moi, il m'a fallu du temps, et maintenant, j'assume, je profite sans complexe. Bien sûr, je ne le crie pas sur les toits, ça reste personnel, secret, même, vis-à-vis de mes proches et de tous ceux que ça pourrait choquer. En fait, je ne suis pas passé d'hétérosexuel à homosexuel: je suis bisexuel avec un goût marqué pour le travestissement et le fétichisme vestimentaire. La morale ordinaire réprouve ça, mais je m'en fous. Du moment que je ne nuis à personne …

- Tu as peut-être raison. Mais quand je pense à ça, je me dis que ce n'est pas viril.

- Viril ? Tu veux rire ? C'est quoi la virilité pour toi ? C'est n'aimer que les femmes, peut-être les traiter comme des putes ? C'est avoir l'air costaud, sûr de soi ? C'est boire du pastis et de la bière ? Ne jamais pleurer ? Péter, roter ? Non, faut pas me parler de virilité … Tu sais, dans le milieu homo, il y en a qui aiment les cuirs, les bottes, les crânes rasés et le baston. Et je peux t'assurer qu'ils ont vraiment l'air viril.

- Ah oui, je vois ce que tu veux dire. Bon, tu bois quelque chose ? Une bière, ou autre chose ...

- Ce que tu as. Sinon, de l'eau. Tu veux voir les photos ? Au fait, je ne sais même pas comment tu t'appelles.

- Laurent.

 

Je lui tends le CD Rom. Un ordinateur portable est allumé sur une table basse du salon. Il me fait signe de m'asseoir sur le canapé et s'installe à côté de moi. Il  introduit le CD Rom dans l'ordinateur et la première photo apparaît. C'est une des dernières de l'autre jour, dans le champ de foin. Apparemment, c'est un choc pour lui. Positif. Il en reste bouche bée. Il l'avait déjà entrevue sur mon appareil photos, et il avait déjà trouvé ça sexy, mais là, sur l'écran de son portable, c'est bien plus spectaculaire. Il paraît fasciné.

- C'est exactement comme dans mon souvenir … C'est même mieux.

Les images défilent. Celles de son champ de foin, puis celles de la rando qui a précédé. Au bout d'un moment, il remarque:

- Tu as flouté ton visage …

- Hé oui. Comme je n'aurai plus la maîtrise de ces photos, j'ai fait en sorte de ne pas être reconnaissable.

- Je ne les montrerai à personne …

Je ris:

- On dit ça … Et j'ai trié: j'ai supprimé celles qui ne me paraissaient pas assez … sexy. Mais j'en ai ajouté d'autres, un peu plus anciennes.

- Ah oui, celles-là je ne les avais pas vues sur ton appareil.

- Là, tu vois, je suis vraiment travesti: porte-jarretelles, corsage ET mini-jupe.

- J'aime bien aussi.

 

Et on arrive à des photos un peu plus hard, où, dans cette tenue, j'ai un godemiché à la main. Je lui fais signe  d'arrêter:

- Ce qui suit est plus hard, vraiment plus hard. Tu vois ce que j'ai dans la main, sur cette photo ? Dans les photos qui suivent, je m'en sers. Tu te sens prêt à voir plus … porno ? Sinon, on peut arrêter là.

Il hésite l'espace d'une seconde.

- Non, on continue …

 

Je le sens un peu … troublé. Et les photos pornos commencent à défiler sur l'écran. Le godemiché approche de mon cul. Il est contre mon anus. Il y pénètre. Gros plan du godemiché à moitié rentré dans mon cul. Gros plan du godemiché entièrement rentré dans mon cul. Seuls les testicules de silicone dépassent. Il sort de sa contemplation:

- Alors, tu aimes faire ça ?

- Si je n'aimais pas, je ne le ferais pas.

Soudain, l'écran passe d'une photo posée à une scène animée. C'est la suite des images précédentes: je me donne du plaisir avec le godemiché. A la façon dont il regarde cette scène, à sa position sur le canapé, je devine qu'il est excité. Il est un peu penché en avant vers l'écran, et je sens qu'il est physiquement gêné. J'imagine qu'il commence à bander et que sa position empêche sa queue de s'épanouir. Je vais tenter de l'aider. On verra comment il réagit. Je quitte l'écran des yeux, je me tourne vers lui et je lui pose la main sur la hanche. Il sursaute à mon contact et, instinctivement, me prend la main, comme pour la repousser. Je résiste et je lui souris:

- Laisse-moi faire …

Il hésite une seconde et lâche ma main. Je le pousse contre le dossier du canapé. Je repose ma main sur lui, sur son ventre, cette fois. Dans le pantalon, je sens sa queue en érection. Je la caresse à travers le tissu. Il reste tendu.

- Tu m'arrêtes quand tu veux, je ne me vexerai pas et je n'insisterai pas.

Il ne répond pas et continue de regarder les scènes hard que j'ai soigneusement sélectionnées. Je glisse la main dans la ceinture de son pantalon et, du bout des doigts, je touche l'extrémité de son sexe à travers le caleçon. La position n'est confortable ni pour lui, ni pour moi. Je commence à déboutonner son pantalon et je le regarde, guettant sa réaction. Il reste immobile, comme mortifié, mais il ne me repousse pas. Je finis de le déboutonner et j'écarte son caleçon. Pas de doute, il bande. Sa queue commence même à baver un peu.

- Je continue ?

- Hhmm!

C'était un souffle, et je prends ça pour un acquiescement. Je passe doucement le bout de mes doigts le long de sa verge. Je sens qu'elle réagit: elle se redresse un peu. Je  saisis sa queue et je commence à le masturber. Finalement, sa bite est mieux que le souvenir que j'en avais. Elle est un peu plus grande que la mienne, sa peau est brune. Bronzée ? L'air de la campagne, sans doute. Le gland est bien, aussi: un peu aplati, un peu retroussé, comme j'aime. Un vraie tête chercheuse, faite pour pénétrer, explorer. S'il n'y avait pas ces satanés poils ! Je réalise qu'il ne regarde plus l'écran. Il est affalé contre le dossier, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je continue mon lent va-et-vient un bon moment. Il a l'air d'apprécier. Plus je le masturbe, plus je me dis que je le sucerais bien. Au risque de rompre le charme de l'instant, je lui demande:

- Je peux voir ton test ?

Il ouvre les yeux, se redresse et sort un papier de la poche de poitrine de sa chemise. il me le tend, et, avec un sourire:

- Je peux voir le tien ?

Le mien est dans ma poche de pantalon. Je le lui donne. Tous les deux négatifs. Ouf !

Je reprends sa queue, qui n'a pas débandé, et je recommence à le masturber. Il s'appuie de nouveau au dossier et ferme les yeux. Je n'y tiens plus. Je m'agenouille à côté de lui et entreprends de lui ôter son pantalon et son caleçon. Il m'aide en soulevant le bassin. Les vêtements sur ses pieds, je lui caresse les cuisses, les testicules, puis je me penche sur lui et je prends sa queue dans la bouche. Ça lui fait ouvrir les yeux. Il me regarde, étonné. Je sors son sexe de ma bouche et:

- C'est ce que tu voulais, la première fois qu'on s'est vus, non ?

- Oui … mais c'est mieux comme ça se passe maintenant.

- Je suis bien d'accord.

Je reprends ma fellation. Mais, au bout d'un moment:

- C'est dommage qu'il y ait tous ces poils. Tu devrais enlever tout ça …

- Ho, non ! Je ne me vois pas me raser, ou m'épiler.

- Pourquoi ? C'est beaucoup plus agréable, tu sais. Pour toi, d'abord, ça augmente les sensations, mais aussi pour celui, ou celle, qui … que tu …

- Ben oui, mais …

- Essaye une fois. si ça ne te plaît pas, tu laisses repousser. Tu as peur que ta femme s'étonne ?

- Ma femme ! Ça doit bien faire deux ans que je ne la touche plus. On fait même chambre à part, maintenant. Elle ne verrait même pas si je suis rasé …

- Alors, justement, il n'y aurait que toi à le savoir.

- Mais j'ai jamais fait ça. Ça doit faire mal.

- Pas du tout. Pas plus que la barbe. Je te le fais, si tu veux. J'ai l'habitude.

- Bon, d'accord.

- Salle de bain ?

- Par là.

Il se déchausse, finit d'ôter son pantalon et son caleçon et me précède à l'étage. Le cul à l'air, il a perdu toute pudeur.

 

- Assieds-toi. Enlève ta chemise.

Le voilà complètement à poil, assis sur le bord de la baignoire.

- Ciseaux, rasoir, mousse à raser ?

Il me les montre. Je prends un gant de toilette, le mouille au robinet, le savonne et j'entreprends de lui laver la queue, verge et couilles, puis je le rince. J'explique:

- C'est comme pour la barbe: on savonne pour assouplir la peau, on mouille pour gonfler le poil, ça rase de plus près.

Agenouillé devant lui, je commence par dégrossir sa touffe de poils aux ciseaux. Il a un peu débandé.

- Tu as peur, hein ? Un coup de ciseaux mal placé, et …

Ça le fait rire. Une fois le plus gros des poils enlevé, je prends une noix de gel à raser et commence à lui étaler sur la verge et les bourses. Ça lui fait de l'effet: il bande.

- C'est bien. C'est plus facile si tu bandes.

Je saisis le rasoir, et je commence à lui passer sur le pénis. Ça lui fait vraiment de l'effet: il bande de plus en plus fort. Il rejette même la tête en arrière et commence à gémir doucement.

- Hhhhmmm ! C'est bien !

- Tu vois, déjà, rien que ça, c'est un plaisir.

- Et toi, quel plaisir tu trouves à … ?

- A quoi ?

- Ben, à tripoter un garçon … à me masturber, à me sucer. C'est contre nature, non ?

- Sans doute. Mais c'est aussi contre nature qu'une femme suce un homme ou qu'un homme lèche une femme. Ce qui est naturel, c'est qu'un homme introduise son sexe dans le sexe d'une femme pour lui faire un enfant. Point barre. Tout le reste est contre nature. Heureusement que le genre humain ne s'arrête pas à ça. Le plaisir que j'y trouve, c'est pas facile à décrire. J'aime la consistance d'un sexe masculin, dans ma main et dans ma bouche. C'est caoutchouteux, c'est chaud, c'est vivant … J'ai aussi du plaisir à lui faire du bien, à lui donner du plaisir, de toutes les manières possibles. Je trouve ça excitant. Le caresser, le masturber, le sucer, ça me fait du bien aussi à moi.

 

Tandis que je lui rase quelques centimètres des poils du ventre, il interroge encore:

- Mais ça t'es venu comment ?

- En regardant des vidéos pornos. Au début, je me mettais dans la peau des mecs qui baisent des bimbos. Et puis un jour, je me suis surpris à essayer d'imaginer ce quelles ressentent à se faire mettre une bite dans la bouche ou ailleurs. Je me suis dit que ça devait être bien et ça m'a fait envie. A partir de ce moment-là, j'ai commencé à regarder les vidéos en me mettant dans la peau des filles. Et je me suis mis à avoir envie de … bites …

 

Maintenant, j'ai ses couilles dans la main, je tends la peau et je les rase à leur tour. Puis je lui rase le périnée.

- Voilà, c'est fini.

Je finis de lui étaler le reste de mousse en lui massant queue, couilles et périnée. Il bande vraiment très fort, les yeux à demi fermés, la tête un peu en arrière. Sa queue maintenant toute glabre, juste à hauteur de mes yeux, me fait très envie. Je prends son gland entre les lèvres et je le frictionne de la langue. Surpris, il se redresse un peu et je sens qu'il pose ses deux mains sur ma tête. J'ai une folle envie de le sucer à fond et de le faire éjaculer dans ma bouche. Mais ce serait trop rapide. A regret, je le laisse et je me relève.

- Un petit coup d'eau pour éliminer les petits poils qui traînent, et ce sera parfait.

Visiblement désapointé, il regarde le résultat, sourit, s'empoigne la queue, se masturbe deux ou trois fois, puis:

- C'est vrai que c'est agréable …

- Si je te le dis. Allez rince-toi.

Il obtempère, se sèche et me regarde, interrogateur:

- Et maintenant ?

- Maintenant à moi.

- Tu vas te raser ?

- Non, moi, c'est déjà fait. Mais j'ai besoin de me préparer.

Naïvement, il s'étonne:

- De te préparer à quoi ?

- De me préparer à ce qui va suivre. Tu veux qu'on fasse ce qu'on n'a pas fait l'autre jour, non ?

- Ben, oui, mais tu prépares quoi ?

- Mon cul, puisque tu veux tout savoir. Si tu veux vraiment faire ce qu'on a pas fait l'autre jour, je ne peux pas le faire comme ça. Question de … propreté, disons. Tu comprends ?

- Non.

- Il faut que je me lave le cul. Dehors ET dedans. Pour être clair, je dois me faire un lavement. Tu vois pourquoi, ou je dois te faire un dessin ?

- Ah ! Compris. Excuse-moi, je n'ai pas l'habitude. Euh, je sors ?

- Comme tu veux. Mais, tu sais ce n'est vraiment pas agréable à regarder.

- OK, je sors.

 

Je me déshabille, et je fais donc comme j'ai dit. Quand j'ai fini, j'enfile mon porte-jarretelles et je sors à mon tour. Il m'attendait dans le couloir. Mais il ne s'attendait visiblement pas que je sorte dans cette tenue. Il en est de nouveau bouche bée. Il finit par articuler:

- Ah, c'est bien, tu y as pensé.

- Evidemment.

Je lui tourne le dos et, une main appuyée en hauteur sur chaque mur du couloir, j'écarte les jambes et je me cambre. Je sais que c'est dans cette position que mon cul, ainsi "habillé", est le plus sexy, le plus appétissant, et c'est comme ça qu'il lui avait fait le plus d'effet sur les photos. Et, en effet, après une seconde d'hésitation, il s'approche, et:

- Je … je peux te … Je peux te toucher?

- Evidemment, je suis ici pour ça. Non?

 

Il ne répond pas, s'approche et me pose les mains sur les hanches. Je sens qu'il hésite à aller plus loin. Je prends ses mains et je les pousse vers mes fesses. Un peu maladroitement, il commence à me caresser. Je me cambre davantage vers lui. Il accentue alors ses caresses, et glisse une main entre mes fesses.  Il est encore timide, hésitant. Je tends alors une main derrière moi, la pose sur ses reins et je l'attire contre mon dos. Plaqué contre moi, je sens qu'il ne sait pas trop quoi faire. Je passe une main entre son ventre et mon cul, je saisis son sexe, je le redresse et je le cale entre mes fesses. Puis je reprends ses mains et je les attire devant moi, contre mon ventre. Cette fois, il devient plus actif. Il m'enserre de ses bras et commence à frotter sa queue dans ma raie. Son torse plaqué contre mon dos, son menton appuyé sur mon épaule, je sens son souffle contre mon cou. Visiblement, il aime ce qu'il me fait.

 

Il reste ainsi un moment à se frotter. Je le laisse jouir de l'instant. Ça m'excite aussi. J'ai hâte de le sucer de nouveau, avec sa queue sans poils, et surtout j'ai hâte qu'il me baise. Alors, je ne voudrais pas qu'il s'excite trop en se frottant comme l'autre fois, jusqu'à m'éjaculer dans le dos:

- On descend ?

 

Il me lâche à regret,  me précède dans l'escalier et retourne s'asseoir sur le canapé, nu comme un ver. Il a perdu toute gêne. Tant mieux. Je le rejoins, m'agenouille sur le canapé à côté de lui, et je me penche sur son ventre. Maintenant, apparemment complètement libéré, désinhibé, il se laisse faire. Tandis que je prends son sexe dans la bouche, il pose une main sur mon dos et me caresse. Sa queue a un peu molli, et ça me plaît de recommencer à la sucer comme ça. J'aime à la fois la sensation de cet organe flaccide dans ma bouche et l'idée que je vais la faire gonfler, durcir entre ma langue et mon palais.

 

En effet, rapidement il se met à bander – un peu trop à mon goût: j'aime beaucoup avoir cette bite un peu flasque dans la bouche. Il appuie sur mon cou la main qui me caressait le dos et, de l'autre, se saisit le paquet sous les couilles et, remontant son bassin vers moi, il m'enfonce sa bite au fond de la gorge. Son souffle change de rythme. Il respire bruyamment par la bouche et son halètement se transforme peu à peu en une sorte de ronronnement.

 

Rapidement, je sens qu'il est à deux doigts de se répandre. Il écarte ma tête de sa bite et:

- Arrête. Ça va trop vite. Attends un instant.

Il me repousse délicatement, se dégage, se lève et grimpe l'escalier quatre à quatre. Je l'entends bouger à l'étage, puis il reparaît avec, dans une main des vêtements, dans l'autre les miens qu'il me tend.

- Habille-toi, on va faire un tour.

 

Rapidement, il enfile une chemise et un short. Je remarque qu'il n'a pas mis de caleçon. J'ai enfilé mon T-shirt et mon pantalon, sauté dans mes chaussures, et je le suis. Nous sortons, traversons la cour jusqu'à un hangar, et il monte dans un pick-up, m'ouvre la portière côté passager. Je grimpe.

- Où on va ?

- Pas loin, un peu plus haut.

 

Et nous voilà partis. En effet, il contourne le hangar et s'engage dans le pré qui est juste derrière.

- On ne sort pas de chez toi?

- Non. On ne sort pas de la propriété.

- Alors ce n'était pas la peine de nous rhabiller …

- Si, pour traverser la cour.

- Ah, oui. Et maintenant, je pourrais me déshabiller?

 

Le coup d'œil qu'il me jette est assez explicite. Il n'attend que ça. Alors, brimbalant dans le pick-up, j'entreprends de me re-déshabiller. Ça le fait rire. Débarrassé de mes vêtements, je glisse vers lui sur mon siège, et, pendant qu'il conduit, je glisse ma main dans la jambière de son short. Il est à moitié en érection. Avec un peu de difficulté, j'extrais son sexe par la jambière et je le garde, comme ça, dans la main, agitée par les cahots du pré. Ça lui fait beaucoup d'effet. Sa queue gonfle à vitesse grand V. Nous arrivons enfin au bout de cet immense pré et nous nous engageons sur un chemin empierré.

- C'est toujours chez toi, ici ?

- Oui, ne t'inquiète pas, c'est un chemin privé. On n'y croisera personne.

- Je ne suis pas inquiet. Ça ne me dérangerait pas qu'on croise quelqu'un …

 

Maintenant qu'il y a moins de cahots, je décide de reprendre la fellation que j'avais entreprise. Je me penche sur lui. Mais son sexe est coincé par la jambière de son short et j'ai la tête coincée entre son ventre et le volant. C'est très inconfortable.

- Tu peux reculer un peu ton siège ?

Il manipule une manette sous son siège et je gagne quelques centimètres. J'entreprends de descendre son short sur ses cuisses. Il m'aide en soulevant un peu son bassin. Finalement, je descends le short jusqu'à ses chevilles, je le passe sous ses pieds, et je reprends sa queue dans la bouche. Une main posée sur ma tête, il pilote lentement. Sucer un mec qui conduit, ça aussi ça m'excite beaucoup. A demi allongé sur les sièges du pick-up, je me masturbe. Cinq minutes plus tard, on ralentit, on s'arrête, et:

- C'est ici. On est arrivés.

 

Je me redresse. On est dans un autre pré, visiblement fauché depuis peu, et, au fond, dans un angle, à l'orée d'un bosquet, un tas de rouleaux de foin. Il faut croire que ça l'avait inspiré autant que moi ! Nous descendons et nous entreprenons de parcourir la trentaine de mètres qui nous sépare du tas de foin. En chemin, tout en marchant, il ôte ses chaussures, enlève sa chemise et abandonne le tout sur place. Et nous voilà, au beau milieu du pré, sous le soleil, lui complètement à poil, moi en porte-jarretelles, qui nous dirigeons vers le tas de foin. Il se rapproche de moi, me pose la main sur les fesses et me glisse un doigt dans la raie jusqu'à mon anus. On dirait qu'il a perdu toute réticence. Nous voilà au pied du tas de foin. Certains rouleaux ont été disposés à plat, les uns à côté des autres au pied du tas. Ils font comme une plate-forme d'un mètre cinquante de haut. Il me pousse contre un de ces rouleaux à plat.

- Appuie-toi contre le tas.

 

Il avait préparé cette mise en scène ? J'obéis. Le rouleau m'arrive au niveau des aisselles. J'y pose mes bras et m'appuie le menton sur mes avant-bras croisés. De la main, il m'incite à écarter les jambes. J'obéis et je le sens qui me glisse de nouveau un  doigt contre l'anus. Il me l'enfonce dedans. Puis un deuxième. Il me semble que c'est l'index et le majeur. Je me cambre. Il me les enfonce à fond et me fouille le rectum. Plusieurs fois, longtemps. C'est très agréable. Enfin, il vient se coller contre moi. Il glisse son membre entre mes fesses, se frotte trois ou quatre fois, puis, la bouche contre mon oreille:

- Maintenant, je vais t'enculer.

Il a parlé tout doucement, comme s'il avait peur que quelqu'un l'entende.

- Attends, juste deux secondes.

Je me crache sur les doigts de la main droite et je me les introduis dans l'anus.

- Maintenant, vas-y. Baise-moi.

 

Je sens le bout de sa queue se presser contre mon anus. Trois ou quatre fois, il frotte son gland contre ma rondelle, il le presse de nouveau à l'entrée, hésite un instant, puis il me pénètre tout doucement. Je suis totalement concentré sur ce qui se passe entre mes fesses. Les yeux fermés, je visualise mentalement sa bite qui se force le passage dans mon rectum. Je sens le contact de sa verge qui glisse lentement dans mon sphincter. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Il ne pourra pas aller plus loin. Il s'immobilise. Il m'a enserré le torse de ses bras et il a appuyé sa tête contre mon épaule. Il jouit de l'instant. Puis il recule aussi lentement qu'il m'a pénétré. Je sens sa queue qui ressort de moi. Presque complètement. Il laisse seulement son gland dans mon anus. Il s'immobilise encore. Puis il me pénètre de nouveau. Tout aussi doucement. Il gémit. De nouveau, son ventre butte contre mes fesses. Si je l'aide, il pourra aller un peu plus profondément en moi. J'empoigne donc mes fesses et je les écarte. D'un coup de reins, il s'enfonce un peu plus en moi. Il desserre son étreinte autour de mon torse, m'empoigne les hanches et se met à me ramoner plus vigoureusement. Puis il s'arrête brutalement, se plaque contre moi, la queue tout au fond de moi. Il halète:

- Ça va trop vite … c'est trop fort …

- Tu … tu as fini ?

- Non, mais c'est au bord.

 

Nous attendons un moment que l'excitation retombe. Enfin, il sort de moi et:

- On monte sur les rouleaux.

Il grimpe, me tend la main, m'aide à monter.

- Mets-toi sur le dos.

Je m'allonge. Il me replie les jambes sur le ventre et vient se coucher sur moi. Il me pénètre de nouveau. Comme ça, je sens qu'il s'enfonce plus profondément encore. Et je sens ses couilles contre mes fesses. Il m'a empalé, mais il ne bouge pas. Ou plus exactement, il ne me ramone pas, mais je sens sa bite bouger en moi.

- Tu me sens ?

Ah, c'est ça ! Il gonfle et dégonfle sa queue. Pas facile comme exercice.

- Oui, je te sens.

Et, à mon tour, je m'efforce de serrer et desserrer mon sphincter autour de sa queue.

- Et toi, tu me sens ?

- Oh, oui.

La position n'est pas confortable, je fatigue. Il s'agite, bouge le bassin de droite et de gauche pour s'enfoncer profondément en moi.

- Tu aimes ça ?

- Quoi ?

- Te faire baiser …

- Oui, j'aime ça. J'aime me mettre toutes sortes de choses dans le cul, mais, surtout j'aime me faire enculer. Et toi ?

- Moi ?

- Oui, toi. Tu aimes ça, baiser un mec ?

Ça le fait rire, mais il ne répond pas.

-  Le jour où on s'est rencontrés, tu avais pourtant l'air réprobateur, presque homophobe. J'ai même cru un moment que tu allais me foutre une raclée. On dirait que tu as changé de point de vue.

- J'étais surtout en pétard contre moi. Quand je t'ai surpris, ce jour-là, c'était la première fois que je voyais un truc pareil, et j'ai toute de suite eu envie de ton cul dans ton porte-jarretelles. C'était la première fois qu'un truc pareil m'arrivait, et j'avais surtout honte de moi. C'est pour ça que j'étais un peu … agressif.

- Et que tu m'as empêché de me rhabiller, pour continuer à jouir du spectacle, non ?

- Pas du tout. Je ne voulais pas que tu me sautes dessus pour te débiner.

- C'est ça, oui. En fait, tu avais une idée derrière la tête.

- Mais non !

- Mais si ! Puisque tu m'as demandé, ou plutôt ordonné, de te sucer.

Il rit de nouveau.

- Maintenant, prends-moi en levrette.

Il va et vient deux ou trois fois en moi, puis se redresse. Je me retourne et je me mets à quatre pattes, les genoux bien écartés, les reins bien cambrés. Je le sens qui s'approche et il m'introduit un pouce dans l'anus. Je reconnais son pouce parce que je sens ses autres doigts sur ma fesse pendant qu'il me fouille le rectum. Il retire son pouce et m'introduit un autre doigt, je ne sais pas lequel. Puis un deuxième. Puis un troisième. Et il me fouille de nouveau le rectum. Enfin, il retire sa main et je le sens s'approcher. Il m'écarte encore un peu les jambes, s'agenouille derrière moi, me prend par les hanches, et m'introduit sa queue. Il prend son temps. Il doit contempler le spectacle de son membre qui s'enfonce en moi. Doucement. Et qui ressort. Après quelques lents va-et-vient, il accélère le rythme et me ramone plus vigoureusement. J'ai l'impression que je sens sa queue butter au fond de mes entrailles. Il ralentit, accélère. Comme ça plusieurs fois. Je sens qu'il est tout à son plaisir. Ça m'excite beaucoup. Je bande et, une main glissée sous moi, je me masturbe.

 

Il jouit de moi, il jouit du spectacle de mon cul offert, tout à sa disposition. Puis il se met à me pilonner plus fermement. Longuement. Je l'entends haleter. Soudain, il se plaque contre mes fesses, la queue tout au fond de moi, les mains crispées sur mes hanches. Je sens sa queue palpiter dans mon cul. Il éjacule. J'ai l'impression de sentir son sperme se répandre en moi. Ça m'excite tellement que j'éjacule à mon tour.

 

Enfin, il s'écroule sur moi et je m'aplatis sous son poids. Il est toujours en moi et il ronronne littéralement dans mon cou. Nous restons comme ça un moment. Mais il est lourd et le foin commence à me piquer la poitrine, le ventre et les cuisses. Je le repousse et il roule sur le dos. Je me retourne sur le flanc et je lui fais face.

- Ça va ?

- Hhhmmmm !

- C'était comme tu voulais ?

- C'était mieux que ça …

Je prends sa queue un peu molle dans la main.

- Alors, tu ne culpabilises pas ?

- Non.

Et il rit.

Je me redresse un peu puis je pose ma joue sur son ventre, à quelques centimètres de son sexe. Alors que je bouge, je sens son sperme qui s'écoule de mon cul et se répand sur ma fesse. Je lui manipule un peu la bite, je lui tripote les testicules, mais il reste mou. Je finis par prendre son pénis dans la bouche. Tel qu'il est, il y tient tout entier. C'est une sensation très agréable d'avoir ce petit jésus tout frais, un peu humide et un peu flasque entre mon palais et ma langue. Il a un goût de sperme. Ça me fait saliver abondamment. Je le serre entre les lèvres et je remonte vers l'extrémité de son pénis. Je tourne ma langue plusieurs fois autour de son gland, puis, les lèvres toujours serrées, je redescends vers le bas de sa verge. Je recommence ce manège plusieurs fois, et au bout d'un moment, je sens sa queue qui gonfle dans ma bouche. Il gémit, mais il tente de me repousser:

- Arrête, laisse-moi un peu. J'en peux plus …

 

Je change de position et je viens m'agenouiller entre ses jambes. Et je reprends sa queue dans bouche. Il bande de plus en plus fort. Je sens ses veines et son urètre tout gonflés sous ma langue. Son gland est dilaté. Il se redresse, s'appuie sur les coudes et me regarde lui sucer la queue. Le spectacle ajoute à son excitation, parce que sa bite est maintenant vraiment très raide, pleine de sang, les veines prêtes à éclater. A présent, je le masturbe à la fois de la main et de la bouche, tout en lui tenant les couilles de l'autre main. Comme il a déjà éjaculé il y a moins de dix minutes, son orgasme est un peu long à venir. Je commence avoir des crampes dans la mâchoire. Heureusement, je vois soudain ses abdominaux se contracter, sa respiration se bloquer, ses testicules remonter dans ma main et sa verge frémir dans ma bouche. Presque aussitôt, alors que sa queue est prise de violents soubresauts, je sens son urètre gonfler au passage du sperme, puis un jet de semence m'envahit la bouche. C'est chaud, un peu salé, crémeux. Je le déguste un moment, puis je l'avale.

 

Il s'est écroulé sur le dos, haletant. Je garde sa bite encore un peu dans la bouche, puis je viens m'allonger sur lui. Je bande et j'installe ma queue sur lui, entre nos deux ventres. Il a les yeux fermés et il reprend souffle. Au bout de quelques minutes, il demande:

- Et toi ? Tu veux … tu veux aussi … tirer un coup ?

- C'est fait.

- Ah bon, je ne m'en suis pas rendu compte.

- Je m'en doute.

- Et tu veux … recommencer ?

- Pourquoi pas.

- Mais, je ne sais pas … je ne tiens pas …

- Tu ne tiens pas à quoi ? A me sucer ou à te faire enculer ?

- Ben, oui. Ni l'un ni l'autre …

 

Je ris.

- Qu'est-ce qui te fait rire ?

- Toi, tu es bien un mec. C'est ce que nous reprochent les femmes: prendre notre plaisir sans penser à ce que veut l'autre …

- Oui, mais j'ai jamais fait ça …

- Il y a un début à tout. Moi non plus, un moment donné, je n'avais jamais fait ça non plus. Et puis j'ai essayé.

- Oui, mais maintenant, tu as l'habitude.

- Ne crois pas ça. Il n'y a pas si longtemps que j'ai taillé ma première pipe et que je me suis fait sauter. Bon, allez, je te charrie. Faut pas forcer sa nature. Me masturber, ça t'irait ?

Il hoche la tête.

- Alors masturbe-moi.

 

Je m'écarte de lui et je m'assied, adossé au tas de foin. Il se relève, s'agenouille à côté de moi et, un peu gauchement, me prend la queue du bout des doigts.  Il commence à me masturber lentement, sans conviction. Il faut dire que je ne lui facilite pas la chose, je ne bande plus. Je prends sa main, lui écarte les doigts et les resserre fermement autour de ma verge, et j'amorce un va et vient. Le contact de sa main me motive et je recommence à bander. Lui me manipule avec plus de conviction. Je commence à y trouver du plaisir. Au bout d'un moment, il s'installe plus confortablement. Je sens que sa réserve s'atténue. Il paraît même prendre un certain plaisir à ce qu'il me fait. Et brutalement, contre toute attente, il se penche sur moi et prend ma bite dans la bouche.

 

Hhhmmm !!!! Je ne sais pas ce qui m'excite le plus: la fellation proprement dite ou le fait que, sans vraiment le chercher, j'ai fini par avoir raison des hésitations, de la pudeur, de la honte de ce type, jusqu'alors coincé et réticent. Simplement en m'offrant à lui et en lui donnant du plaisir. Alors, évidemment, il n'est pas très expert, mais ça aussi, ça participe à mon bonheur. Peu à peu il s'enhardit et j'ai l'impression qu'il commence même à y prendre aussi du plaisir. L'avantage des fellations entre mecs, c'est qu'ils savent ce qui fait du bien à un sexe masculin, le leur, et qu'ils savent le reproduire sur le sexe de leur partenaire. Lui apprend vite. il finit même par s'y prendre très bien. Quand je sens que j'arrive au bord de l'orgasme, je repousse sa tête de ma queue:

- Attention, je vais jouir …

 

Il se relève tout en continuant à me masturber. Dommage, j'ai espéré un instant qu'il me garderait dans la bouche ...

Et je me répands. Sur sa main qui continue de me manipuler. Quand j'ai fini, il vient s'asseoir à côté de moi, appuyé au tas de foin. Je reprends mon souffle, puis, mimant le geste de lui tendre un micro:

- Alors, quelles sont vos impressions ?

Il rit:

- C'est pas mal … Si j'avais imaginé en arriver là … et trouver ça bien …

- Comme quoi … les idées reçues …

Nous restons comme ça un bon moment, chacun perdu dans ses pensées. Puis il demande:

- On y va ?

- On y va.

 

Et nous regagnons le pick-up. En chemin, il me frotte le dos pour me débarrasser du foin qui y est resté collé. Décidément, ce genre d'attention me surprend de sa part. Je lui fais la même chose. A passage, il récupère ses vêtements et, à mon étonnement, au lieu de se rhabiller, il monte nu dans le pick-up. Je fais comme lui et il démarre. Il sourit. Je l'interroge:

- Pourquoi tu souris ?

- Pour tout ça: pour ce qu'on a fait, pour ce que j'ai fait, parce que je me trouve bien à conduire comme ça, à poil, parce qu'il fait beau, parce que tout ça est nouveau et que ça me plaît.

 

Je me rapproche de lui, je pose ma main sur sa cuisse et je prends son pénis entre l'index et le majeur. Et nous rentrons à la ferme en silence, sa bite entre mes doigts.

Il se gare sous le hangar et il m'étonne encore en regagnant la maison sans se rhabiller. Plus de précautions. Etonnant. Je fais comme lui et je le suis.

Il me fait signe de m'asseoir dans le canapé, prend deux verres dans la cuisine et sort un pack de jus de fruit du frigo. Il s'assied à côté de moi.

- On se reverra ?

- Je ne sais pas. Peut-être. Tu y tiens ?

- Oui, comme ça …

- Ecoute, je n'ai rien contre, mais … je ne voudrais pas que tu t'attaches trop. C'est le hasard qui nous a fait nous rencontrer. Laissons passer du temps. Et maintenant que tu as ... sauté le pas, regarde les hommes que tu connais, autour de toi, avec ce nouveau regard. Tu en trouveras peut-être un qui te plaira mieux qu'une rencontre de hasard. Appelle-moi dans quelques semaines …

 

Nous avons bavardé un moment, puis je me suis rhabillé et je suis parti.

 

La suite en cliquant ici: Gabriel

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 07:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dimanche 9 juillet. 9 heures.

Je me lève le premier, je me douche et je descend préparer le petit déjeuner. Il arrive peu de temps après, douché et portant un de mes peignoirs. Nous prenons le petit déjeuner au soleil dans le jardin. La légère gêne que j'ai ressenti à son arrivée se dissipe tout de suite devant son naturel. 

- Des regrets ?

- Pas du tout. Je regrette seulement d'avoir attendu si longtemps. Et toi ?

- Je te l'ai dit, c'était très bien… pour un novice. Mieux qu'avec certains mecs expérimentés.

 

Il me pose la main sur le genou, me caresse légèrement la cuisse, remonte jusqu'à mon entrejambes, glisse ses doigts dans la jambière de mon short et me touche le sexe. Il est insatiable ! Mais c'est excitant et je caresse sa main qui me tripote. Au bout d'un moment, il retire sa main, se lève, s'approche de moi et me serre contre lui, avec une certaine tendresse. J'ai la tête contre son ventre. Je glisse ma main sous son peignoir, la remonte entre ses cuisses jusqu'à son entrejambes. Je lui caresse un moment la raie des fesses, puis je dénoue la ceinture du peignoir. Il a un début d'érection. Je l'attire face à moi, mes jambes entre les siennes. Je saisis sa queue, la masturbe deux ou trois fois, et la prends dans ma bouche. Je le tiens par les hanches, et lui, les genoux de part et d'autre de mes cuisses, me tient la tête à deux mains. Il a écarté les pans du peignoir, il se cambre pour mieux m'offrir sa bite à sucer, et rejette sa tête en arrière. Soleil, chaleur et sexe … instant magique.

 

Il se laisse sucer comme ça un long moment. Je sens bien qu'à ce moment, il ne recherche que le plaisir sensuel et que ça ne le conduira pas à l'orgasme. Moi, je me concentre sur la dégustation de cette bite. L'étudiante en psychologie qui, un jour, m'a dit que j'étais un "buccal", avait bien raison. Comment l'avait-elle compris? C'est si agréable de sucer cette queue, que l'eau m'en vient littéralement à la bouche, et que je salive abondamment. Sa forme, sa taille, sa consistance, son goût, sa chaleur, la douceur de sa peau, ses veines et son urètre qui saillent, sa palpitation, le fluide qui s'en écoule légèrement sur ma langue, le sperme que je devine à quelques centimètres de ma gorge … tout contribue aux plaisirs confondus de ma bouche, de ma tête et de ma propre queue. Ça m'excite beaucoup, je bande, et je sens que ma queue bave un peu de fluide contre ma cuisse. Je dois être en train de mouiller mon short. 

 

Il retire doucement sa queue de ma bouche et s'assoit à califourchon sur mes genoux, face à moi. Il soulève mon T-shirt, écarte la ceinture de mon short, y glisse sa main, extrait ma bite un peu baveuse et commence à me masturber doucement. Il me demande:

- A part sucer un mec, tu as d'autres fantasmes ?

- Plein…

- Comme ?

Un réflexe idiot de pudeur me retient un court instant. Bêtement, je biaise:

- Certains que j'ai assouvis, d'autres pas …

Il rit:

- Encore un peu coincé? C'est normal. Moi, j'ai essayé plein de trucs. Par exemple, je rêvais de baiser avec un transexuel, tu sais, ceux qui ressemblent à des filles à gros seins, mais avec une grosse bite. Beau cul, belle gueule, belle poitrine et grosse queue ... J'ai essayé. J'adore.

- J'aimerais sûrement aussi …

- J'aime bien aussi me faire attacher par mon partenaire … ou ma partenaire … et me laisser faire tout ce qu'ils veulent. 

- Ça, non, ça ne me tente pas trop …

- J'ai aussi fait une partouze avec seulement des mecs. Sept, huit, je ne sais plus…

 

Pendant ce temps, il continue de me malaxer la bite. J'ai pris la sienne et je lui fais la même chose.

- Une troupe de mecs, j'aimerais bien, mais il faut être sûr d'eux, que ça ne tourne pas mal.

- Et toi, quelles expériences "hors normes" tu as faites ?

- Ça t'intéresse ?

- Evidemment.

- Alors, attends un instant …

 

Je lui fais signe de se lever et il s'écarte. Je me rajuste et je monte chercher mon ordinateur portable. Quand je redescends, il est assis dans un fauteuil, il a enlevé le peignoir et s'offre nu au soleil. Il paraît étonné de voir ce que je ramène. Etonné et intéressé. Je démarre l'engin et je commence la visite guidée:

- Tu vas voir quelles sont mes fantasmes et mes perversions.

- Tu te prends en photos ?

- Et je me filme. 

Au point où nous en sommes de nos relations, j'ai décidé de ne rien lui cacher. Ni mon fétichisme pour les petites culottes, ni que j'aime porter de la lingerie féminine, ni mon auto-sodomie, ni mon goût pour la branlette, ni que je m'introduis tout ce qui me tombe sous la main … Dès les premières photos, il s'étonne:

- Tu caches bien ton jeu.

- Je ne cache pas, je suis discret. Nuance …

 

 

Après un moment pendant lequel je l'ai guidé dans les méandres de mon ordinateur, il prend lui-même la souris et se met à explorer mes déviances. Et de toute évidence, ce qu'il voit l'étonne et lui plaît. Il ne peut pas dissimuler le trouble que tout ça lui occasionne: il se remet à bander, et il se tripote. Agenouillé à côté de lui, j'écarte la main avec laquelle il se masturbe et je me mets à le branler pendant qu'il découvre mes vidéos. 

- Dis donc, tu te mets des trucs énormes dans le cul… Tu aimes ça ?

- Comme tu peux voir.

A ce moment, il regarde des scènes dans lesquelles je me donne du plaisir avec un gros godemiché noir. 

- Il y a plus gros que ça. Vas voir dans le fichier "mousse noire".

Il cherche, trouve, et se met à bander un peu plus fort. Toujours agenouillé à côté de lui, je commence, ou plutôt je recommence, à le sucer. Après quelques minutes, il écarte ma tête de son sexe:

- Doucement, ça va trop vite.

- Ce gros truc en mousse, c'est aussi agréable qu'impressionnant. Mais il y a plus "hard".

Et je lui indique où trouver les scènes où je m'introduis des bouteilles de gros diamètre et des objets de toutes sortes. Il est sidéré:

- Tu vas bien plus loin que moi …

- Je vais surtout bien plus profond …

- Quel fantasme tu aimerais pouvoir réaliser ?

- Baiser avec un black qui aurait une grosse queue.

- Ça, je l'ai déjà fait. Tu aimerais qu'il te fasse quoi ?

- J'aimerais le sucer …

- Ça, je m'en doute.

- le branler, et me faire … euh …

- … enculer?

- Voilà.

- J'ai déjà fait ça. C'est bien. Je pense que nous, les mecs, blancs, nous avons le même fantasme que les femmes blanches vis-à-vis des blacks. Ce qu'on envie, ce n'est pas d'avoir une grosse bite comme eux, mais d'en … profiter, comme les femmes.

- C'est possible. 

- D'autres fantasmes ?

- Et bien, baiser avec plusieurs noirs … avec des grosses queues, évidemment.

- Rien que ça !!!

- Oui. Quand je regarde des vidéos de gang-bang, j'envie les filles qui se font prendre par trois, quatre ou cinq blacks. J'aimerais être à leur place.

 

Et brutalement, il se redresse, me relève et m'entraîne vers un transat au milieu de la pelouse. Il m'enlève short et T-shirt, me pousse à m'allonger à plat ventre et vient se coucher sur moi.

 

Je sens sa bite, toute gonflée, entre mes fesses. Il se frotte et glisse sa main sous mon ventre pour me saisir la queue. Il me tripote un moment tout en allant et venant contre mon anus. Puis il me lâche le sexe et s'écarte de moi. Je le sens s'agenouiller derrière moi et m'écarter les jambes. Je me demande ce qu'il veut faire. Pas longtemps: soudain, je sens sa langue entre mes fesses. Je me cambre pour lui donner mon assentiment et pour lui faciliter les choses. Il passe sa langue depuis mes reins jusqu'à mon périnée, puis remonte, plusieurs fois, s'attardant un peu plus à chaque passage sur ma rondelle. Puis je le sens qui m'écarte les fesses, et il m'introduit la langue dans l'anus. J'adore. Visiblement, il cherche à me lubrifier. Il va m'enculer… Je le sens qui me rentre un doigt. On dirait le majeur. Un deuxième. L'index. Il me remouille le trou avec la langue et m'introduit le pouce. Puis l'autre pouce … je veux dire les deux pouces … en même temps. Et il m'écarte la rondelle. Je l'arrête:

- Attends, pas comme ça … Patiente un moment … Je vais revenir …

 

Je commence à me redresser. Il hésite et continue à me tripoter le cul, puis se redresse à son tour:

- OK. Fais vite, j'ai une urgence …

Je fonce vers la salle de bain pendant qu'il s'allonge à ma place sur le transat. Je me lave le cul, dehors et surtout dedans. Je n'ai pas envie qu'il se fourre dans la merde… Au passage, je prends mon appareil photos … on ne sait jamais. Et je redescends

 

Là, je réalise que le transat est au beau milieu de la pelouse et que nous allons être visibles - que nous avons été visibles - en train de baiser, depuis chez les voisins et depuis le champ d'à côté. Si les voisins s'avisaient de regarder par-dessus le mur, ou si le paysan venait inspecter son pré … Mais au fond, ça me plaît. Qu'ils regardent, si ça leur chante, on va leur en donner pour leur argent. Je vais enfin me faire enculer !

 

Thomas est allongé sur le dos. Il se tripote au soleil. Il a un peu débandé. Je pose mon appareil à côté du transat, je lui lèche un peu la queue et les couilles, et je lui demande:

- Ça t'ennuierait que je nous filme ?

Il n'a pas l'air surpris, juste un peu amusé. Il hésite, puis:

- Si c'est ton plaisir …

Je met l'appareil en route, je cadre la scène d'assez près pour qu'on voie les détails et je déclenche.

Puis j'enfourche Thomas, à genoux de part et d'autre de son bassin et je pose ma rondelle sur sa bite. Je fais quelques mouvements d'avant en arrière. Ça le remotive aussitôt et il rebande dur. Je me soulève un peu, je saisis son pieu et j'appuie son gland contre ma rosette. J'en ai le cœur qui bat. Sa queue bien empoignée, je descend doucement mon bassin et je sens son gland qui commence à me pénétrer. Je descend plus résolument et je sens toute sa queue qui s'enfonce en moi. 

 

Ça y est: j'ai, enfin, une bite, une vrai bite, dans le cul. Je la sens bien. Je la sens surtout au niveau de mon sphincter. A l'intérieur de moi, c'est plus confus, je n'ai pas de sensation nette. Mais je profite de cet instant de plaisir et je me tortille pour la faire entrer aussi profondément que possible. C'est un plaisir anal, mais aussi cérébral: j'ai un mec dans moi. Pas un godemiché, si bien imité soit-il, pas un bout de bois, si gros soit-il, pas un énorme truc en mousse, si agréable soit-il. Non, un sexe d'homme, qui a envie de moi, que je fais bander, qui aime ce que je lui fais, un membre vivant, chaud, excité, frémissant, un organe normalement destiné à répandre du sperme dans le ventre d'un femme pour lui faire un enfant, mais qui va me l'injecter à moi, son sperme, uniquement pour son plaisir et pour le mien. Je reste un moment comme ça, planté sur sa queue, légèrement penché en arrière, les mains appuyées sur le transat de part et d'autre de ses genoux, offert à la chaleur du soleil. Thomas s'est redressé sur les coudes et nous contemple, l'air ravi. Je bouge un peu le bassin, et je le sens durcir en moi. Je contracte mon sphincter pour lui serrer un peu la bite. Il se cambre, essayant de me pénétrer plus profondément. Puis, appuyé d'un seul coude au transat, il me tripote la queue. Tout ça, le soleil, notre nudité impudique, son sexe dans moi, sa main qui me masturbe … je n'ai jamais rien vécu de tel. Je voudrais rester comme ça longtemps.

 

Après un long moment:

- Viens, allonge-toi et tourne-toi.

Je me relève et je sens sa queue qui me sort du cul. Il quitte le transat pour me laisser la place. Je vais réactiver l'appareil photo. Il sourit:

- Tu ne perds pas le nord. C'est une nouvelle expérience pour moi, mais c'est assez excitant.

- Mon appareil n'enregistre pas de longues séquences. Il faut le relancer, changer de cadre …

J'amène l'appareil plus près du transat, pour un plan rapproché de sa bite en train de me rentrer dans le cul. Ça l'amuse, et il me fait signe de m'allonger sur le ventre. Il se couche sur moi, et je le sens qui cherche à m'introduire de nouveau sa bite dans le cul. Je me cambre, je m'écarte les fesses, il trouve l'entrée de mon fourreau et commence à aller et venir. Comme ça aussi, j'aime beaucoup. Le sentir peser sur moi, sentir sa queue coulisser dans mon rectum, sentir qu'il essaie de la pousser au plus profond de mon ventre, la sentir qui ressort doucement, puis qui revient … 

 

Au bout d'un moment, je réalise que je sens aussi ses testicules qui viennent battre contre mon périnée, entre mon anus et mes propres couilles. Je glisse ma main sous mon ventre, entre mes cuisses, puis vers mes fesses et je lui touche les boules. Je finis par les saisir, en formant un anneau autour de leur base, avec le pouce et l'index. Ça a l'air de lui plaire. Il se redresse en s'appuyant sur les mains et s'enfonce en moi à coups de boutoir en gémissant. Puis il s'allonge de nouveau sur moi, glisse sa main sous mon ventre, et écarte la mienne, qui tenait ses couilles. Il extrait sa queue de mon cul, se met alors à genoux, me saisis les hanches et m'attire la croupe vers son ventre. 

 

Il veut me prendre en levrette. Je me laisse faire, évidemment. C'est lui qui me dit:

- Tu ne manipules pas ton appareil ?

 

Il a raison. Je manipule donc, et je me remets en position. Il me fourre de nouveau sa queue dans le cul, me reprend par les hanches et commence à me besogner. C'est encore mieux comme ça. J'ai l'impression qu'il va encore plus profondément en moi. Il prend tout son temps. Il doit contempler le spectacle, en même temps qu'il me baise. Quand je baise ma femme en levrette, j'adore regarder ma bite aller et venir dans sa chatte. C'est super excitant. Voir sa queue disparaître entièrement dans quelqu'un, la voir ressortir jusqu'à l'apparition du gland, la re-rentrer avant que le gland ne sorte entièrement … le pied ! Puis Thomas s'immobilise et, m'empoignant les hanches, il me fait aller et venir d'avant en arrière sur son sexe. Pendant tout ce temps, je prends aussi du plaisir. «Fais-moi ce que tu veux. Amuse-toi avec mon cul. Baise-moi. Je sens ta queue, je sens tes couilles. J'aime ça.»

 

Soudain, je le sens qui, tout en restant dans moi, pose un pied par terre, puis l'autre, de chaque côté du transat, et qui continue à m'enculer comme ça, debout, les jambes à demi fléchies. Ses mouvements s'accélèrent, deviennent plus violents. Puis il sort de moi, me donne un claque sur les fesses et me dit:

- Viens !

 

Je le suis et j'attrape l'appareil photos au passage. Il se masturbe en marchant. Il m'entraîne vers la table, pousse le plateau du petit déjeuner, réactive l'ordinateur et cherche parmi mes photos et mes vidéos. Après avoir recadré l'appareil, je me colle à lui, contre son dos, et les bras passés autour de son buste, je lui tripote la queue. Il trouve enfin ce qu'il cherchait. C'est une vidéo dans laquelle je me défonce le cul avec une grosse bûche. Il se tourne vers moi, m'embrasse, me pousse devant la table, me fait m'y appuyer sur les coudes et me dit:

- Maintenant, je vais me finir…

 

Il me prend de nouveau par derrière et commence lentement à me sodomiser tout en regardant la vidéo. Je sens son excitation monter: sa queue devient plus grosse et plus dure, son souffle s'accélère, ses mouvements deviennent plus brusques, il grogne, il gémit de plaisir … Et soudain, il passe ses deux mains devant moi, sous mes couilles, me soulève de terre à la fois avec ses mains et avec son gourdin qu'il me plante à fond dans le cul, et pousse un grand Haaaaaaaa ! Je sens sa queue s'agiter de soubresauts dans mon rectum. Je pense qu'il m'éjacule dans le cul. Je ne sens pas son sperme m'inonder, mais je l'imagine qui jaillit dans moi. Il a encore de la crème, après les deux coups de cette nuit? Ça paraît ne pas devoir s'arrêter. Il me ramone à grands coups de queue, tout en continuant à pousser des Haaaaaaa ! Il prend un de ces pieds! Mes pieds ne touchent plus le sol et je suis obligé de m'agripper à la table pour ne pas tomber. Enfin, il se bloque contre moi, la bite entrée à fond, et il pousse un dernier gémissement. 

 

Sa queue, un peu ramollie, sort de moi. Il me repose au sol, m'enserre de ses bras, m'embrasse dans le cou, et me tient comme ça un long moment. J'en suis assez bouleversé, mais je sens son sperme sortir de mon cul et me couler le long des cuisses. Il m'a effectivement inondé. Ça m'excite et me fait bander. Il me fait me retourner, m'enlace, et me roule une longue et grosse pelle.

- Il y a longtemps que je n'avais pas joui comme ça … Ce sont tes vidéos et ton appareil photos qui m'ont excité.

- Tu veux bien me filmer le cul ?

- Comment ça, maintenant?

- Oui, avec ton sperme qui coule…

- Alors, toi ! Tu ne penses qu'à ça … Comment on fait?

 

Je lui explique, je me retourne de nouveau, courbé au-dessus de la table, et il filme longuement sa semence qui coule contre mes cuisses pendant que je me paluche. Je me retourne face à lui et je lui demande:

- Recule un peu, prends un plan plus large, qu'on voie mes cuisses et ma tête …

Un peu surpris, il obtempère et commence à filmer. J'essuie son sperme sur mes cuisses avec la main, et je la lèche tout en me branlant. Il est scié, mais il rit.

- Fais une contre-plongée pour filmer dans un même plan mon trou du cul et ma bouche.

Il s'agenouille devant moi, je me fourre la main dans le cul et j'en ramène encore un peu de crème que je m'empresse de sucer sur mes doigts. Quand c'est fini, il me dit:

- Attends, on va faire autre chose. Reste appuyé contre la table.

Il repose l'appareil sur son pied, l'éloigne un peu, recadre, déclenche, et s'approche de moi. Il s'agenouille de nouveau devant moi et se met à me sucer la bite. Par manque d'habitude, il a mal positionné l'appareil qui ne filme que sa nuque, son dos et moi. On ne verra pas ni sa bouche, ni ma queue. Je le fais donc tourner un peu pour que l'appareil filme dans le détail cette scène de fellation. Il a compris et tourne un peu de lui-même. Comme ça, on est bien.

 

Le cul appuyé à la table, je tiens la tête de Thomas qui va et vient le long de ma bite. Je regarde l'objectif. J'étais déjà très excité par ce coup de queue dans mon cul et par le léchage de sa semence, mais là, avec la caméra qui tourne pendant qu'il me taille une pipe ! Et il sait y faire, l'animal. Il m'engloutit l'engin jusqu'au fond de la gorge. Puis, tout en suçant, il m'introduit un doigt dans le cul. Puis deux. Puis trois. Puis quatre. Il ne laisse que le pouce à l'extérieur. Pour lui faciliter le travail, je passe une jambe sur son épaule. Et sa main rentre et sort. C'est à la fois un peu douloureux, et tellement agréable. Je ne tarde pas à être au bord de l'éjaculation. Il le sent et augmente la pression de ses lèvres sur ma verge. Et je me déverse dans sa bouche. Longuement. Quand j'ai terminé, il se relève, se colle à moi, m'empoigne la queue, me plaque sa bouche sur la mienne, m'écarte les lèvres et me bave mon propre sperme sur la langue. Nous nous embrassons comme ça un bon moment, échangeant salive et semence. 

 

Puis il me pousse en arrière, m'allonge le dos sur la table, me remonte les cuisses sur le ventre, s'approche de moi et me glisse sa queue en semi-érection dans le cul. La situation doit l'inspirer, parce que je sens qu'il durcit de nouveau. Un main posée sur chacun de mes genoux, il va et vient lentement dans moi. Je vois qu'il contemple le spectacle. Je me redresse sur les coudes pour en profiter aussi. Je vois sa queue, ou plutôt une partie, disparaître en moi et en ressortir. C'est assez excitant. Nous restons comme ça un long moment. Nous avons tous deux pris notre pied, nous sommes sexuellement repus, et nous … dégustons en quelque sorte ces instants supplémentaires. Ma position sur les coudes est assez inconfortable et je m'allonge de nouveau, le laissant me prendre et me posséder tout son soûl. Et contre toute attente, je sens qu'il s'excite de nouveau. Il déplie mes jambes, me place les chevilles sur ses épaules, m'empoigne les cuisses et se met à me pilonner à grands coups de boutoir. Son pubis vient cogner contre mon périnée. Il m'envoie littéralement sa queue dans le cul. Son ventre vient battre avec un bruit mat contre mes cuisses. Il me fourrage les entrailles. Il se met à ponctuer chaque pénétration d'un grognement. Peu à peu son rythme accélère, puis, brutalement, il se plie en avant, le torse appuyé sur mes jambes, le ventre en buttée contre mes fesses, sans doute sur la pointe des pieds. Et je sens à la soudaine raideur de tout son corps et à son souffle coupé qu'il a un nouvel orgasme. Il est en moi aussi profondément qu'il est possible, mais il essaie de s'enfoncer encore plus, comme s'il voulait entrer entièrement en moi. Puis il se calme, s'amollit et s'effondre sur moi.

- Ça va ? 

Il ne répond pas, se contente de geindre doucement.

- Reste dans moi. J'aime sentir ta queue dans mon cul.

Il bouge un peu, s'efforce de m'enfoncer son sexe devenu tout mou. Mais rien à faire, il s'échappe, glisse, me sort du cul. 

- Je ne peux pas. Désolé.

Il se redresse, s'écarte. Je me relève et me remets sur mes pieds. Nous nous enlaçons un long moment

 

Enfin, nous nous décollons l'un de l'autre, apaisés, repus de sexe.

Douche, visionnage de nos séquences de cul. Et nous reprenons nos discussions sérieuses, comme si de rien n'était, si ce n'est une légère caresse de temps à autre, de l'un ou de l'autre.

En fin de matinée, Thomas décide de rentrer chez lui. Au moment de me quitter, il me dit:

- Ça a été un week-end dont je me souviendrai.

- Moi aussi. J'ai aimé tout ce que tu m'as fait et tout ce que je t'ai fait. Et j'ai des souvenirs.

Il me regarde longuement, paraît réfléchir intensément, puis:

- Etant donné que tu aimes … le cul et la bite - ça ne te choque pas que je dise ça, j'espère - comme tu aimes le cul et la bite, je pense que je te ferai bientôt une surprise. 

- Tu vas revenir?

- Sans doute, mais ça ne sera pas ça, la surprise. Attends-toi à avoir des nouvelles de moi avant longtemps.

- Quel genre de surprise, alors?

- Je ne peux pas t'en dire plus. Tu verras, une surprise, ça ne se dévoile pas à l'avance.

Et il s'en va.

 

La suite en cliquant ici: Premières fois. Laurent 02

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Laurent.

 

Mercredi 21 juin.

Ce matin, c'est grand beau. Ça me donne envie d'aller me balader dans la campagne. Plus exactement, ça me donne envie de faire une de ces promenades masturbatoires dont j'ai pris l'habitude. J'irais bien marcher sur le chemin de randonnée que j'ai repéré il y a quelques jours, et y faire quelques photos ... à poil.

 

Je prépare donc mon matériel, appareil-photo avec trépied, serviette et le reste, le tout dans mon sac à dos. Et je m'équipe. Ce matin, vu le ciel bleu et le soleil, ce sera en short avec rien dessous et T-shirt. A tout hasard, j'ajoute dans le sac à dos mon porte-jarretelles favori et mes bas ainsi qu'un pantalon à enfiler par-dessus en cas de rencontre inattendue.

 

Et me voilà parti. 

J'aime beaucoup. Non seulement être à poil dans la nature, mais aussi dans des endroits où je suis susceptible de rencontrer des gens.

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Non pas que je cherche à m'exhiber, mais parce que le risque de me faire surprendre me provoque des décharges d'adrénaline très agréables. Au fil du temps, je prends d'ailleurs de plus en plus de risques. Finalement, je suis sans doute exhibitionniste. En plus, j'aime me photographier dans ces situations: à poil sur un chemin de randonnée, au bord d'une route, dans un champ, dans un bois, etc.

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Bref, me voilà parti.

 

En route, comme à mon habitude, je me tripote au volant. Je commence en me pétrissant la queue à travers mon short.

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Puis je sors ma bite par la jambière et je me masturbe. J'aime bien traverser les villages la queue à l'air, m'arrêter aux feux et me tripoter à côté des piétons et des autres automobilistes qui ne se doutent pas de ce que je fais. Il m'est même arrivé de faire ça en ville, en pleine circulation.

 

Me voilà sur le coteau qui surplombe la rivière. J'arrive au point de départ du chemin de randonnée et je me gare. Personne à gauche, personne à droite. Je vais aller à droite. Ça monte vers un endroit dégagé. Peut-être que je pourrai me livrer à mon "hobby" au sommet en surveillant le chemin assez loin des deux côtés pour voir arriver d'éventuels randonneurs.

En route. Evidemment, tout en marchant, je recommence à me pétrir la queue. Je regarde aussi à droite et à gauche du chemin à la recherche d'un endroit sympa pour quelques photos ou vidéos.

Me voilà au "sommet". En me retournant, je vois le chemin d'où j'arrive, jusqu'à ma voiture. Il y a plus de 500 mètres. Et personne en vue. Ça me laisse du temps de ce côté avant d'être surpris. De l'autre côté, le chemin redescend en bordure d'un bois et, à cause d'un faux-plat, je ne vois pas assez loin pour me sentir en sécurité. Je décide donc d'aller explorer un peu plus loin. Après 300 mètres, le chemin tourne à droite et ressort du bois. La vue est dégagée assez loin. Personne. J'ai donc le temps de faire quelques photos au sommet. Je rebrousse chemin.

 

En remontant, un peu avant le sommet, je remarque une construction en maçonnerie à laquelle je n'avais pas fait attention à l'aller. Si j'en profitais ? En quelques secondes, j'ai ôté mes chaussures, mon short et mon T-shirt, enfilé mon porte-jarretelles et préparé mon appareil photos. Je programme le retardateur et je me mets dans ma position favorite: appuyé sur la maçonnerie, les jambes écartées, le cul cambré. Clic-clac. Merci Kodak.

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Trois ou quatre photos, une vidéo, et me voilà reparti après avoir remis mon T-shirt et enfilé mon pantalon par-dessus mon porte-jarretelles.

 

J'estime que j'ai encore le temps d'arriver au sommet et de faire quelques autres photos, pourvu qu'il n'y ait personne sur l'autre versant par où je suis arrivé. En effet, personne. La vue est dégagée, le paysage magnifique sous le ciel bleu et le soleil. Je me déshabille et je prends de nouveau quelques clichés et quelques vidéos. 

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Puis je redescends vers ma voiture. Je vais aller voir plus loin si je ne trouve pas un autre endroit sympa. Arrivé à ma voiture, je fais de nouveau quelques photos le pantalon baissé près d'un autre cabanon et appuyé sur la barrière qui interdit l'accès au chemin. Ici, je ne vais pas jusqu'à me mettre complètement à poil… trop près de la route.

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Je redémarre et je m'arrête un peu plus loin. Un chemin d'exploitation conduit dans les champs. Je pourrais sans doute faire des photos dans un champ de blé. Je me gare de nouveau et je m'engage sur le chemin. Un petit bois le borde. Je décide de le longer pour voir où ça me conduira. Peut-être que, dans le sous-bois, je trouverai un endroit agréable pour faire d'autres photos, me masturber ou me fourrer des trucs dans le cul … Mais non, le sous-bois est sombre, pas assez de lumière pour les vidéos, et rien d'intéressant à m'introduire …

Plus loin, j'arrive à un pré qui a été fauché, fané et récolté récemment. Les rouleaux de foin sont toujours sur place. 

Aubaine ! J'ai envie depuis longtemps de me prendre en photo devant des rouleaux comme ceux-là. Va savoir pourquoi ... D'où j'arrive, ce serait étonnant qu'il vienne quelqu'un. Le pré en pente douce est bordé d'un côté par le bois que je viens de longer, de l'autre par une haie vive. Je suis tout en haut du pré, caché d'un côté par le bois, de l'autre par la haie. Il ne peut arriver quelqu'un que par le bas du pré. J'ai le temps de le voir venir et de me planquer dans le bois ou dans le champ d'à côté en passant à travers la haie.

 

Je choisis deux rouleaux de foin accolés en bordure du bois. Là je serai tranquille. Et je m'installe: j'ôte T-shirt et pantalon, je prépare mon appareil et je commence à me photographier. Il fait très bon, pas encore trop chaud, et je sens le soleil sur mes fesses et sur mon dos. C'est très agréable.

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En contrôlant mes photos, je remarque des jeux d'ombre et de lumière sur mon corps. Ça promet d'être plutôt bien sur écran … Ça m'excite un peu, et, la poitrine appuyée sur un rouleau de foin, je commence à me tripoter le cul et la queue. Bien sûr j'ai mis en route mon appareil en position vidéo …

 

Et soudain, derrière moi, retentit un:

- Alors, on s'amuse bien ?

 

En un fraction de seconde, j'ai l'impression que tout mon sang s'est retiré de mon corps, mes jambes flageolent, mes oreilles bourdonnent. Je ne l'ai pas entendu arriver.


Je me retourne. Il y a là un type hilare, quarante-cinq, cinquante ans, costaud. A sa tenue, on dirait un cultivateur, peut-être le propriétaire des rouleaux de foin.


Je me sens vraiment ridicule comme ça, à poil, le cul et la bite à l'air, avec mon porte-jarretelles.


Le sang revient dans mon corps aussi vite qu'il l'avait quitté. Et surtout dans ma tête: je sens que je pique un fard. Que faire? Récupérer mes vêtements pour me rhabiller? Mais, justement, il est tout à côté de mes habits. Il a deviné mon idée, et il fait:

- Tsss! Tsss! On ne bouge pas!

 

Aïe! Il est campé devant moi, les jambes un peu écartées, les poings sur les hanches. Hors de question de l'affronter. Je ne suis pas sûr de faire le poids, et puis, dans cette tenue …

- Je voudrais me rhabiller.

- Y'a pas le feu! Alors, comme ça, on porte des trucs de femme … et on se prend en photo …

 

Comme je ne peux pas nier une telle évidence, autant assumer. Ce constat posé, cette décision prise, je reprends un peu d'assurance:

- Comme vous voyez. Ça vous pose un problème ?

- Ce qui me pose un problème, c'est que tu fais ça chez moi … que tu t'exhibes à poil dans mon champ et que tu te fais … je sais pas quoi!

- Je ne savais pas que c'était chez vous. Et je ne me suis pas exhibé, j'ai cherché un endroit tranquille où je pensais ne pas être vu. Je ne pouvais pas deviner que vous alliez arriver aussi … discrètement. Bon, je peux récupérer mes habits ?

- Attends … Explique-moi quel plaisir tu as à t'attifer comme une gonzesse.

- Ben, il n'y a pas d'explication. J'aime porter ça et j'aime me prendre en photo parce que je trouve ça … sexy… 

- Tu en fais quoi de tes photos ?

- Rien. Enfin, je les garde pour moi. Ce n'est pas pour vendre …

 

Et soudain, d'une manière tout à fait inattendue, la gêne que je ressentais disparaît ... brusquement, comme une bulle de savon qui éclate ! Et une espèce de ... une espèce de chaleur m'envahit ... une espèce de chaleur et de ... plaisir ! Oui, ça me plaît d'être à poil, et même dans cette tenue indécente, devant cet inconnu. C'est à la fois un plaisir sensuel, avec ce soleil et cette légère bise sur mon corps, et un plaisir cérébral. Toute pudeur s'est envolée, et le regard de ce type, posé sur moi, sur mon corps, sur mon sexe, ça me plaît !

- T'es homo?

 

Aïe ! Si c'est un homophobe, je risque de passer un sale quart d'heure. J'esquive:

- Ça, c'est autre chose. On peut aimer porter des porte-jarretelles sans être homo … On pourrait plutôt dire que je suis … travesti, mais, travesti, c'est s'habiller entièrement en femme …

- Mouais … je te fais remarquer que comme ça, t'es habillé en femme. Pas la peine de finasser. Montre tes photos.

 

Au point où j'en suis, autant obtempérer. Ce qu'il verra en photo n'est pas pire que ce qu'il voit maintenant. Et ça aussi, ça me plaît, il va voir les autres photos que j'ai faites tout à l'heure. J'esquisse un geste vers mon appareil. Il m'arrête d'un geste:

- Bouge pas. Explique comment ça marche. Je ne connais pas ce genre d'appareil.

- Je vais vous montrer …

- Pas de connerie, hein!

 

Il a posé un pied sur mes vêtements. Il sait que, dans cette tenue, je suis en position d'infériorité et que je ne peux pas me cavaler.

- Non, non, je n'ai pas l'intention de faire de connerie ...

 

Il me laisse prendre mon appareil et je lui fais défiler les premières photos. Il a compris comment ça marche, il me prend l'appareil des mains et il continue tout seul. Je l'observe. Il paraît vraiment très intéressé par ce qu'il voit.


- Ben, dis donc, tu ne t'ennuies pas …

- J'essaye.

- T'es quand même gonflé. Là je reconnais, c'est sur le chemin de randonnée. Tu sais qu'il est fréquenté? N'importe qui peut te voir.

- Je fais attention qu'il n'y ait personne. Je vous l'ai dit, je ne cherche pas à m'exhiber. Si c'était le cas, je ferais ça où il y a du monde …

- Alors, ça te plaît de te balader à poil … enfin … comme ça, dans la nature?

- Oui. 

- Et là, t'es pas gêné? Ça n'a même pas l'air de t'embarrasser plus que ça d'être à poil devant moi …

- Qu'est-ce que je peux faire ? Je me rhabillerais bien, mais vous m'en empêchez. On ne va pas se battre, non ? Et puis, à mon âge, j'assume ce que je fais. Ce n'est pas un crime. J'aurais préféré ne pas me faire surprendre, mais, maintenant que c'est fait … 

 

L'ambiance s'est quelque peu détendue. Je me suis un peu reculé et je me suis appuyé au rouleau de foin.


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Lui a enlevé son pied de mes vêtements. Il sourit et hoche la tête:

- Je dois reconnaître que certaines de tes photos sont … assez …

- Oui ? C'est-à-dire ?

- Disons, elles sont pas mal. C'est vrai que c'est … comment tu dis ?

- Sexy ? Erotique ?

- Voilà, c'est ça.

 

Un ange passe. Il est très absorbé par ce qu'il voit sur mon appareil photos. Je trouve ça plutôt agréable, qu'il me mate en photos. Je demande:

- Bon, et on fait quoi, maintenant ?

 

Il ne répond pas tout de suite. Il me jette un coup d'œil par en-dessous. Il a l'air de cogiter intensément.

- Tu vas me sucer !

 

Boum ! Je ne m'attendais pas à ça. Mes photos ont dû l'exciter ! Ça me plaît ! Au fond, il doit être persuadé que si je suis travesti, c'est que je suis forcément homo, et que si je suis homo, je suce forcément qui le demande. 

- Non !

 

Il est décontenancé, il ne s'attendait pas à un refus, et du coup, il paraît un peu gêné de m'avoir dit ça. Je pousse mon avantage:

- Je ne vous sucerai pas ... je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais pas si vous n'avez pas le SIDA ou je ne sais quoi. 

 

J'espère lui faire réaliser que, lui non plus, ne sait pas à qui il a à faire, et qu'il prend un risque inconsidéré. Mais, apparemment, il ne veut pas abdiquer complètement et il cherche quand même à tirer profit de la situation parce que, après une courte hésitation:

- Bon, alors, tu vas me branler !

 

Au fond de moi, je devais plus ou moins espérer qu'ile veuille ça après que j'aie refusé de la sucer. Et pourquoi pas ? J'ai le sentiment que le rapport de force s'est un peu équilibré. En fait, maintenant, il n'ordonne pas, il demande. Le masturber, ça ne me fait pas peur, au contraire. Je n'ai encore jamais masturbé un autre mec, mais, au fond, j'en ai très envie, et depuis longtemps. Je sens que quelque chose s'éveille dans mon ventre et entre mes cuisses. Et si l'occasion ne se présente pas dans les conditions auxquelles j'avais rêvé, ça ne porte quand même pas à conséquence. Et puis c'est sûrement le meilleur moyen de le calmer. Alors:

- Ça, je veux bien, mais faut voir …

- Faut voir quoi ?

- Ta queue … montre moi ta queue.

 

Il écarquille les yeux. Il s'attendait à un autre refus, et je demande à voir sa queue … Je sens que je suis de moins en moins en position de faiblesse. Après une courte hésitation, il déboutonne sa braguette ... Putain, il va sortir sa bite ! Il extrait son membre avec difficulté. Il faut dire qu'il est déjà un peu en érection. Ce n'est pas une bite énorme, mais elle n'est pas moche. Ce que je redoutais, c'est une bite répugnante. Mais là, ça va … j'ai le cœur qui bat.

- Montre le reste … tes couilles ...

 

Il déboutonne son pantalon, le baisse, puis baisse son caleçon. Ça va aussi.

- Approche.

- Attention, hein, pas de connerie …

- Ne crains rien …

 

Les pieds entravés par son pantalon et son caleçon, il se dandine jusqu'à moi. Maintenant, il doit se sentir aussi ridicule que moi. Je ne me sens plus du tout en position d'infériorité. Et je vais toucher la bite de ce mec ! C'est à la fois troublant et excitant ! Et le fait que ce soit un parfait inconnu ajoute à mon émotion. Je sens mes barrières psychologiques tomber. J'ai de plus en plus envie de passer à l'acte ... vraiment à l'acte. Seul un reste de peur me retient.

 

Je soulève sa chemise qui lui retombe sur le sexe, et je saisis son membre. Ouaaaah, ça me fait un effet terrible, même si il est poilu, ce que je trouve plutôt désagréable. Mais, à part ça, il a une bite plutôt sympathique, avec une belle paire de boules. Je commence à le masturber doucement. Il ne sait pas quelle contenance adopter, mais je sens son sexe grossir dans ma main. Tout en le masturbant de la main droite, je lui prends les couilles de la main gauche. Il aime. Je crois qu'il a perdu toute défiance. Il me semble même qu'il tremble un peu.

- Déboutonne ta chemise.

 

Il obtempère. Il a un peu de ventre, mais pas plus que moi, et ça reste acceptable.

En fait, sa queue me plaît bien. Je suis pris d'une subite envie de le sucer. Dommage que j'aie peur d'attraper le SIDA, parce que je la sucerais bien, finalement, cette bite. Je m'agenouille devant lui et j'observe l'engin de près, tout en le branlant. Vraiment, miammm, ça me met l'eau à la bouche !!! Je dois me raisonner pour le pas la prendre entre mes lèvres. Une goutte de liqueur perle au bout de sa queue. Du pouce, je l'étale sur son gland et je le décalotte. Maintenant, il est vraiment très excité. Je vois les veines de sa verge gonfler et son gland se dilater. Il me demande:

- T'as pas de capote ?

- Non, pourquoi ?

- J'ai envie de … te … de t'enculer …

- Pas plus ça qu'une pipe …  Pour la même raison. Désolé.

 

Mais après un instant de réflexion, je lui dis:

- Si tu veux, tu peux te frotter contre moi …

- Comment ça ?

 

Je lâche sa queue, je me relève, je me retourne et je me penche en avant, appuyé sur le rouleau de foin. Je lui offre mon cul, souligné par mon porte-jarretelles et mes bas. C'est la première vision qu'il a eu de moi, et je suis sûr que c'est ce qui l'a excité dans mes photos. Il s'approche, s'empêtre de nouveau dans son pantalon.

- Enlève donc ton pantalon …

 

Au fond de moi, je regrette de ne pas avoir emmené de capote. Çe me plairaît bien qu'il me baise ! Je le sens qui ôte ses chaussures et quitte son pantalon et son caleçon. Il me saisit par les hanches et vient se plaquer contre moi. Il glisse sa bite entre mes fesses et commence à monter et descendre dans ma raie. Comme il fait chaud et que je transpire, la sueur entre mes fesses fait lubrifiant. Tout ça m'excite aussi passablement. Je bande. De mes hanches, ses mains passent sur mon ventre et il se plaque complètement à moi. Sa tête contre la mienne, je sens son souffle. Je lui prends la main droite et la guide vers mon sexe. Il a un mouvement de résistance, puis il me saisit délicatement la queue et commence à me masturber. Son frottement contre mon cul devient plus vigoureux. C'est sûrement de me tripoter la queue qui l'excite davantage. Tout ça dure un bon moment. Puis, il s'écarte et je le sens s'agenouiller derrière moi. Il m'empoigne les fesses à deux mains et me les pétrit.

- Quel cul !

 

Il ne sait pas à quel point il me fait plaisir.

J'ai maintenant sa tête entre les fesses, son nez contre ma rondelle. Il reste comme ça quelques minutes.

Enfin, il se relève, se plaque de nouveau contre moi et reprend son va et vient. Puis je le sens s'écarter un peu de moi, et soudain, je sens sa bite qui se presse contre mon anus.

- Tu es sûr que c'est non ?

 

Il ne précise pas à quoi il pense, mais c'est évident: il veut me pénétrer. Je marque une hésitation, puis, à regret:

- Oui, c'est sûr … La plupart des contaminations HIV ont lieu au cours d'une première fois. C'est ta première fois, non ?

 

Je ne lui précise pas si je pense à le contaminer ou à ce que lui me contamine. Il grommelle je ne sais quoi. Ça doit être sa première fois. Et j'ai réussi à l'inquiéter suffisamment pour qu'il n'insiste pas.

Je marque une pause, puis:

- Une autre fois …

 

Il replaque sa queue entre mes fesses. Son mouvement devient soudain plus violent, et brusquement, je sens quelque chose de chaud couler contre mes reins. Il éjacule. Je sens les soubresauts de sa queue contre ma raie. Il râle, il geint, puis il s'écroule contre moi. C'est un rapide !

Enfin, il s'écarte et s'affaisse à côté de moi, le dos contre la meule. Je m'agenouille à côté de lui.

- On dirait que ça t'a plu …

 

Il a l'air gêné, il ose à peine croiser mon regard. Je lui redemande:

- C'était la première fois ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu crois ? Je ne suis pas un …

- Un quoi ? Un homo ? Un pédé ? Non, mais tu voulais quand même te faire sucer par un mec et tu m'aurais bien enculé …

- …

- Il n'y a pas de quoi avoir honte, surtout vis-à-vis de moi. Je pense qu'il faut profiter de tous les plaisirs qui se présentent. On n'a qu'une vie.

- C'est pas dans mon éducation.

 

Je me suis relevé et je sors un rouleau de PQ de mon sac à dos pour m'essuyer le dos et les fesses. Il remarque:

- Tu es drôlement prévoyant …

 

Je ne relève pas et je ramasse mes vêtements. Il ne fait pas un geste pour m'en empêcher. Je commence à m'habiller. Il fait pareil. Un lourd silence s'installe. Comme je m'apprête à remballer mon appareil photo dans mon sac à dos, il me dit:

- Donne-moi la cartouche de ton appareil.

- Pour quoi faire ?

- Je veux les photos.

 

Il a adopté un ton dur, presque menaçant. Mais, maintenant, je ne suis plus du tout en position d'infériorité: je suis habillé, et j'ai le trépied de l'appareil photo à la main, déployé, qui ferait une bonne matraque. Il s'en rend compte. Et je pense qu'il se rend compte aussi qu'il ne sait rien de mon identité, alors que je sais que nous sommes dans son champ et que je peux donc savoir qui il est. Je sens qu'il cogite. Va-t-il essayer de me prendre l'appareil de force ? Jusqu'où un affrontement physique irait-il ? Qu'est-ce que je peux faire contre lui ?

Pour détendre l'atmosphère, je lui dis:

- Si tu les veux, je te les donnerai, mais pas maintenant. Ça sera une occasion de nous revoir.

- Nous revoir ?

 

Ça a l'air de l'inquiéter.

- Oui, pourquoi pas ? Peut-être que tu auras encore envie de … te faire sucer …. Peut-être que je serai d'accord … si je suis sûr de ne pas attraper une saloperie.

- Comment ça ?

- Si tu fais un test de dépistage du SIDA … 

 

Il ne répond pas. Ça semble tourner à toute vitesse dans son crâne. Je poursuis:

- Dis-moi comment je peux te contacter et je t'appellerai.

 

Il réfléchit un moment, puis:

- J'ai un portable.

- Donne-moi le numéro. Tu as ma parole que je t'appelle.

- Bon. 06.27. …….

- Je n'ai pas de quoi noter.

 

Il sort un calepin de sa poche, griffonne son numéro, arrache la feuille et me la tend.

- Tu peux recevoir des photos sur ton portable ? 

- Euh, oui, mais je ne sais pas trop comment on fait.

- Je trouverai. Bon, je pars le premier. N'essaye pas de me suivre.

- Pas de problème. Il faut que je rentre mon foin.

- Dommage. Je trouve ça bien, les rouleaux de foin dans les champs …

 

Et je m'éloigne.

 

 

Finalement, ça ne s'est pas mal terminé. Il m'a fait un peu peur, mais ça a été aussi une décharge d'adrénaline comme je les aime. Et puis, je crois qu'il est mûr pour aller plus loin … quand je le déciderai. Je vais le laisser mijoter un peu. Tiens, au fait, je ne sais même pas comment il s'appelle.

 

La suite en cliquant ici: Première fois. Thomas 02

 

 

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