Séance de bricolage: enduit, ponçage, lissage, etc.
Pour être à l'aise, je mets un mini short: couture bien rentrée dans la raie, fesses un peu à l'air ... que du bonheur !
Le blog de Marin Cathare
Séance de bricolage: enduit, ponçage, lissage, etc.
Pour être à l'aise, je mets un mini short: couture bien rentrée dans la raie, fesses un peu à l'air ... que du bonheur !
J'inaugure une série de photos d'exhib chez mes patronnes, et je commence par Jeanne. Vous savez, Jeanne
... C'est chez elle que je triais des oignons de tulipes ... Mais si, rappelez vous, j'ai publié une vidéo, il y a quelques jours ...
Alors, ce que j'aimais bien, quand je faisais ce genre de photos chez mes patronnes, c'est la montée d'adrénaline provoquée par le risque de me faire surprendre. Chez Jeanne, ce n'était pas tellement par elle ou par sa vieille femme de ménage que je risquais de me faire pincer: elles n'étaient pas très vives et j'avais toujours le temps d'adopter une tenue ... décente quand j'en entendais une approcher.
Non, chez Jeanne, c'est le voisinage qui pouvait me voir: sa propriété est entourée, et même cernée, par des immeubles dont les fenêtres ont une vue plongeante sur son jardin. Cette série, je l'ai faite dans trois endroits du jardin visibles depuis les fenêtres ou les balcons d'un ou plusieurs de ces immeubles.






Exibicionismo sexual no trabalho
Exhibicionismo sexual en el trabajo
Sexuelle Exhibitionismus bei der Arbeit
Sexual exhibitionism at work
Dans une chanson, Serge Lama se lamente:
Je n'ai pas eu de ballon rouge
Quand j'étais gosse dans mon quartier ...
Le pauvre ! Je le plains d'autant plus volontiers que moi, je sais comme c'est agréable d'avoir un ballon rouge !
... dans le quartier ?
Bah, on peut appeler ça le quartier ...
... un jour, je vous ferai visiter mon ... quartier ...
Une précédente vidéo sur le même sujet en cliquant sur cette photo:
Red balloon in my ass
Red Ballon in meinem Arsch
Globo rojo en mi culo
Balão vermelho na minha bunda
Ah oui, quel cul !
Hier, un ami fêtait ses quarante ans, et nous avait invités, ma femme Christine et moi, ainsi qu'une vingtaine de copains. Parmi eux, une femme, également d'une quarantaine d'années, avec un cul … un cul !
Appelons-la M.
Quand elle est entrée et qu'elle a quitté son manteau, ça m'a sauté aux yeux: elle était de profil, et ses courbes se détachaient comme en ombre chinoise sur le mur tout blanc de l'entrée: une cambrure, des fesses rebondies et des cuisses fuselées comme on en voit rarement.
Il faut dire que l'ensemble était volontairement mis en valeur par ses vêtements. En bas, un jean "skinny", taille haute, très moulant, couleur bordeaux, et en haut une sorte de petit pull à dominante beige légèrement chiné de bordeaux, très près du corps et très court, arrivant tout juste au niveau de la ceinture de son jean. Seul apparaissait, dans l'échancrure de son pull, la pointe du col d'une chemise de soie. L'effet de contraste entre le haut, plutôt clair et discret, et la couleur soutenue du jean faisait que, naturellement, c'est celui-ci qui accrochait le regard … Et pas que le mien ! Dès que M. est apparue ainsi, ma femme, qui connaît mes goûts en matière de culs, m'a jeté un regard explicite.
Mais, ce n'était que la première étape: le profil … Parfois, les formes, vues de face ou de dos sont décevantes: taille ou bassin trop larges, légère culotte de cheval, etc.
Elle, pas du tout. Quand elle s'est tournée pour venir dire bonjour à l'assistance, elle était aussi parfaite de face que de profil: taille fine, hanches et bassin bien proportionnés et cuisses parfaites. Et plus encore, son jean est apparu comme vraiment très, très moulant, dessinant cette espèce de jour en forme de triangle entre son sexe et le haut de ses cuisses.
Restait à la voir de dos. Elle s'est avancée et a dit bonjour aux invités arrivés avant elle. Et forcément, un moment donné, elle s'est trouvée à trois ou quatre pas de moi, de dos.
Quel cul !
Deux fesses parfaites, charnues, rondes, rebondies, moulées dans ce jean comme dans une seconde peau. J'ai suivi des yeux le parcourt de la couture centrale du vêtement, depuis ses reins jusque entre ses fesses, l'imaginant plaquée contre sa fleur et contre sa chatte … Au regard et à la mimique d'un autre invité, juste en face de moi, il était évident que M. lui faisait le même effet qu'à moi.
Considérée dans son ensemble, M. n'est pas ce qu'on peut appeler un canon. Outre son superbe postérieur, elle a de petits seins qui pointent un peu et un visage plutôt agréable, mais d'évidence, elle sait qu'elle a un beau cul, et elle choisit ses vêtements pour le mettre en valeur. Mariée à un type d'une soixantaine d'années, ils ont un fils de dix ans.
Plus tard dans la soirée, quand M. s'est accroupie pour embrasser une gamine, sous son petit pull chiné, le bas de sa chemise de soie est sorti de son jean qui bâillait un peu, et nous avons pu remarquer la ceinture d'un string noir.
Deux ou trois jours auparavant, comme j'attendais Christine devant le cabinet de kiné où elle était en train de se faire papouiller, je regardais passer de jolies mômes qui sortaient d'un lycée tout proche. Presque toutes habillées pareil, en particulier de jeans moulants. Parmi elles, il y avait de très jolis petits culs, mais des physiques d'évidence encore en devenir. Dans vingt ans, arrivées à la quarantaine, combien parmi elles auront encore un cul comme M. ?
Voilà, cet article, rédigé à chaud, s'insère de manière un peu incongrue dans les articles que je publie tous les deux jours. Je regrette seulement de ne pas pouvoir vous montrer une photo de ce cul ...
Quel cul !
Curieux titre, n'est-ce pas ? Vous verrez, cette vidéo n'a rien à voir avec le potage, mais seulement avec
le tri et ...
Ce jour-là, je travaillais chez Jeanne (plusieurs de mes patronnes s'appelaient Jeanne. Celle-ci, c'est celle qui habite ... ah, vous vous en foutez ? Bon !). Donc, avant de les replanter, je devais trier les tulipes de l'année précédente qui avaient passé l'été dans un grand baquet métallique: enlever les tiges et les feuilles fanées, éliminer les bulbes trop petits, etc.
J'avais donc posé ce grand baquet sur un support pour ne pas me casser le dos à me baisser constamment. Et voilà-t-il pas que, dès que je m'approche pour commencer à trier, je m'aperçois que j'ai le bas ventre ... enfin ... la queue ... juste à hauteur du bord du baquet !
Un pur hasard ! Si, si, je vous jure, je ne l'avais pas fait exprès ...
Bon, mais puisque le hasard l'avait voulu, autant joindre l'agréable à l'utile, n'est-ce pas ? Et comme l'agréable ne m'empêchait pas de me rendre utile ...