Ça a commencé par une balade en voiture comme j'en fais souvent: travesti en salope, je circule, mini jupe ou mini robe remontée et la queue à l'air. Quelquefois, je ne me tripote même pas: je jouis seulement du plaisir de rouler comme ça. 

Ce jour là, en Bretagne, je porte ma mini robe léopard sur un porte-jarretelles et des bas bruns, et pas de petite culotte. Il fait beau, et je dépasse ou je croise des voitures, des camions, des cyclistes, des piétons ...

Sur cette petite route, je remarque ce champ de blé qui vient d'être moissonné et sur lequel sont restés ces gros rouleaux de paille ...

Pourquoi ça m'attire ? Mystère ! Toujours est-il que j'aime m'exhiber en petite tenue à côté de ces balles de paille ou de foin.

Alors, sans hésiter, je m'arrête, je me gare sur le bas côté ... Personne à droite ... personne à gauche ... Je descends et, toujours dans ma tenue de salope, je traverse le champ et je m'offre une petite séance de photos.

Puis je regagne ma voiture ... content de ma journée.

Non, tu n'les verras plus

Les poils de mon cul,

J'en ai fait des brosses,

Et à cent francs l'kilo,

Ça fait du boulot

Pour nourrir les gosses.

Vous les verrez encore, les poils de mon cul ... Cette chanson n'est qu'un prétexte.

Et dans cette vidéo, ce que vous verrez surtout, ce sont les poils des brosses que je me fourre dans le cul !

Parce que, si dans la précédente vidéo, je me fourrais des brosses d'un calibre plutôt modeste, dans celle-ci, c'est tout autre chose ! Je commence par une brosse à habits, aux poils très doux; je continue par une brosse à chaussures, du même calibre, mais aux poils beaucoup plus raides; et je termine par une brosse de bain.

Alors là, c'est quelque chose! Déjà, elle a des dimensions ... hhmmmmm ! Et alors, quand je me fourre la brosse en totalité dans le rectum, quelle sensation quand les poils me caressent le sphincter, une fois dans un sens, une fois dans l'autre !

La précédente vidéo en cliquant sur cette photo:

A brush in my ass

Un cepillo en el culo

Uma escova na minha bunda

Eine Bürste in meinem Arsch

L'hiver dernier, après les tempêtes, je me rends sur une grande plage de Cornouaille pour une balade masturbatoire (j'adore faire de longues marches dans la nature, la bite à la main).

Surprise: malgré la fraîcheur et le vent, il y a du monde. Les gens viennent constater les dégâts causés par les récentes tempêtes. Il y a là, en particulier, des membres de la LPO qui comptent les centaines d'oiseaux morts rejetés sur le rivage.

Qu'à celà ne tienne, malgré ce monde, j'y vais quand même! La queue sortie par la braguette, j'arpente la longue bande de sable et de galets en me tripotant le sexe. Je referme mon blouson quand je croise des badauds, et je l'ouvre quand je juge qu'ils sont trop loin pour distinguer ce que je fais. 

Quand je reviens vers le bout de la plage où j'ai garé ma voiture, je remarque un couple qui me regarde approcher avec insistance. Ils me dévisagent, un petit sourire sur les lèvres. Pourtant, j'ai remballé ma queue depuis un moment ... Tiens, tous deux ont une énorme paire de jumelles accrochée autour du cou ... Des ornithologues amateurs venus observer les oiseaux de mer? Je réalise qu'avec de telles jumelles, même à distance, ils ont pu me voir me tripoter ... En fait d'oiseau, ça pourrait bien être le mien d'oiseau qu'ils ont observé ! Ah, je n'avais pas pensé à ça, les jumelles !