Un de mes plus gros fantasmes: me faire baiser par des blacks.
Dans de précédents articles, j'ai évoqué mon goût pour les grosses bites noires, que ce soit dans la rubrique "des queues qui me plaisent" ou dans la rubrique "textes pornographiques" (cliquer sur ces photos)
Pourquoi ce goût, spécialement pour les sexes noirs ? Franchement, je ne sais pas. C'est forcément très subjectif. Toutefois, selon une opinion assez répandue, les noirs en général seraient mieux "équipés" que les blancs. Je ne sais pas s'il existe une statistique scientifique. Mon expérience personnelle se limite au visionnage de photos et de vidéos pornos sur le Net, et je dois dire qu'il me semble qu'on y voit en effet plus de gros engins blacks que de gros braquemards blancs.
Il y a aussi un aspect esthétique: black is beautiful ! Oui, pour moi, à morphologie comparable, un corps noir est beaucoup plus beau qu'un corps blanc, et une bite noire est beaucoup plus belle qu'une bite blanche. J'adore le contraste d'une peau noire sur une peau blanche, d'un corps noir sur un corps blanc, d'une queue noire dans un cul blanc.
Je me demande enfin si ce goût pour les noirs ne relèverait pas aussi un peu de l'envie de braver un tabou, de contrevenir à un interdit, celui des relations sexuelles interraciales.
Bref, si toutes les grosses bites me font envie, y compris les blanches, dans le cas où s'imposerait à moi l'obligation de choisir entre un gros gourdin blanc et un gros pieu noir, je choisirais le gros pieu noir.
Voici des extraits de vidéos où des mecs blancs se font baiser par des mecs blacks. Je les envie... les mecs blancs, je veux dire ...
Dans cette première vidéo, l'image de ce mec à genoux aux pieds du black qui va le baiser me plaît bien: j'aimerais beaucoup être comme ça, à genoux aux pieds du mâle qui s'apprêterait à me prendre. D'autant que celui-ci a vraiment une très grosse bite … Après, il commence à le sodomiser sur le dos, jambes relevées. Ça doit être agréable, mais ça n'est pas la position qui me fait le plus envie (je pense que je préférerais la levrette), mais ce serait comme il veut, comme il a envie … mon cul est à lui …
Dans cette deuxième vidéo, la queue du black est appétissante, mais moins impressionnante que la précédente. Ce qui est impressionnant, c'est sa résistance ! Le cul blanc, lui, reste impassible. Il faut dire à sa décharge (!) que la sodo que lui inflige le black est un peu mécanique. Mais s'il manifestait un peu de plaisir à se faire ramoner, l'autre y mettrait plus de cœur, plus de passion. Quand on a le bonheur de se faire saillir par un mâle, même si le mâle baise comme un automate, il faut se montrer un peu reconnaissant.
Troisième vidéo. Musclé et bien foutu, le black. Et quel mandrin ! Non seulement, il est de bonne taille, mais, en plus, il est très beau: admirez la forme de son gland, profilé pour la pénétration …. Alors, évidemment, il faut commencer par le sucer (j'ai raccourci la première séquence de pipe, ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus ici). Et se faire bouffer le cul comme ça, quel bonheur ça doit être, une langue toute chaude et humide qui s'enfonce dans ta fleur ! Ce black y met plus de passion que le précédent. Il a des attentions amoureuses vis-à-vis de l'autre, lequel, si on se fie à son érection, y prend lui-même beaucoup de plaisir … Entre deux sodomies, le black se fait de nouveau sucer la queue, pleine de fluide anal. Ça aussi, ça me plairait ! Quel dommage qu'il ne se finisse pas dans le cul blanc !
Quatrième vidéo. Encore un black costaud. Oui, le déshabiller et se demander ce que cache son slip et enfin, en baissant le caleçon, découvrir la chose … la chose qui, dans quelques instants, va entrer en moi … Oh qu'elle est jolie, avec ce début d'érection. Je vais la faire grossir, durcir dans ma bouche …. Nous voilà sur le lit, il s'allonge sur moi, plaque sa queue dans ma raie, entre mes fesses, et il se frotte. Puis il me bouffe le cul, il me lubrifie avec sa salive, et sous la caresse de sa langue, mon œillet commence à s'ouvrir … Vite, baise-moi ! Enfin, il me pénètre et me baise … Et, surprise dans cette vidéo: soudainement, on découvre que le black a mis une capote ! A quel moment ? On ne le voit pas faire. Ah non, pas question, pas de capote ! J'ai coupé le reste de la vidéo, où on ne voit que ça, la capote !
Cinquième vidéo. D'emblée, gros plan sur la fellation d'une très belle queue dont la courbure vers le haut évoque irrésistiblement la pénétration. Celui qui va prendre ça dans le cul sait qu'il va se régaler, et, à genoux aux pieds du mâle, il lui manifeste par avance sa reconnaissance … Après, la façon dont le cul blanc s'empale sur le black, ce n'est pas ce que je préfère. Mais comme je l'ai dit pour une vidéo précédente, c'est lui, le mâle, qui décide … Puis retournement de situation: le cul blanc se fait prendre sur le dos. C'est déjà mieux: regardez comme l'autre lui enfonce sa queue jusqu'au couilles. Dans cette position, avec la courbure de son engin, il doit lui masser la prostate avec son gland. Enfin, il le prend en levrette … et là, il lui travaille le cul longuement, alternant des va et vient rapides avec des séquences où il le pénètre à fond, s'extrait complètement, le pénètre à nouveau, s'extrait complètement .… Ça, ça doit être agréable, le moment où on sent la queue s'introduire dans l'anus et se frayer un chemin jusqu'au fond. L'intérêt des va et vient rapides, ça doit être de bien t'échauffer la rondelle, de l'exciter … Cette fois, volupté suprême, le baiseur black jouit dans son pote. Quel bonheur ça doit être de sentir un mâle se répandre en soi …
Sixième vidéo. Là, au début, j'ai un peu de mal à m'identifier au cul blanc à cause de son crâne rasé qui m'évoque des choses très désagréables. Je remarque quand même la taille du membre du black. Avec un engin pareil, jusqu'où va-t-il s'enfoncer ? Alors ensuite, quand j'ai réussi à oublier la tronche du cul blanc, je suis fasciné par ce que lui fait le black: il lui fourre son long manche jusqu'à la garde ! Ouaaaah ! L'autre doit sentir les couilles du black venir lui taper dans le périnée … J'ai coupé la fin de cette vidéo qui se poursuit par des sodomies dans diverses positions, beaucoup moins excitantes que cette longue levrette.
Septième et dernière vidéo. Ça, c'est le montage de trois extraits de vidéos dont l'intérêt est de montrer ce que "me faire baiser" veut dire pour moi. Il ne s'agit pas seulement de copuler, de me faire enculer dans toutes les positions imaginables. Pour moi, me faire baiser, ça implique aussi que le black qui me sodomise jouisse en moi, qu'il me répande sa semence dans le cul. Dans la plupart des vidéos, homo ou hétéro, le mâle jouit en dehors du cul qu'il vient de baiser. Je pense que c'est une contrainte imposée par le producteur pour que ceux qui visionnent ces vidéos voient le sperme jaillir. Quand le mâle éjacule dans son partenaire, c'est moins spectaculaire, mais je trouve ça beaucoup plus excitant, et dans mon fantasme, c'est comme ça que je rêve que ça se termine.
Il y a d'abord le
rapport à la lingerie féminine. Quand j'étais gamin, ou plutôt pré-adolescent, je piquais des collants à ma mère et je les mettais. J'adorais le contact du nylon sur mes fesses, mes cuisses et
mon sexe, et ça me faisait bander. Le plus souvent, je les mettais la nuit, pour dormir et le matin, au réveil, je me masturbais dans ces collants. Parfois, je les mettais en prenant ma douche.
Mouillés, savonneux, c'était une autre volupté de me masturber comme ça.
Et j'ai pris l'habitude, dès que j'arrivais chez Marie-Claire, d'enfiler une de ses petites culottes ou un de ses strings sous mon pantalon ou mon short et de
travailler comme ça. J'adorais la sensation des matières, dentelle, tulle, lycra, sur mon sexe, et surtout celle du string entre mes fesses, contre mon œillet. Le travail terminé, je jouais avec
la lingerie de Marie-Claire, je me masturbais dans la petite culotte que j'avais portée, je la souillais, je la lavais et je la remettais en place.
Quand même un peu
complexé et honteux, j'ai effectué mes premiers achats par Internet, sur des sites de vente par correspondance. Et puis, j'ai osé me rendre dans une grande surface et choisir quelque chose au
rayon lingerie. Là, ça a été une autre révélation: j'ai découvert le plaisir de fouiller toute cette lingerie, tâter les matières, étudier les formes, les couleurs, évaluer les tailles … tout ça
au milieu de vendeuses et de clientes, la plupart indifférentes à ma présence, quelques unes au sourire complice (que pensent-elles: que je cherche quelque chose pour ma femme, ou devinent-elles
que c'est pour moi ?), et certaines au regard franchement désapprobateur (Ce n'est pas la place d'un homme ! Quel vicieux !). Maintenant, quand je vois dans une vitrine une pièce de lingerie qui
me plaît, je n'hésite plus à entrer dans la boutique. 
Je me doutais vaguement de ce qui
m'attendait, et pourtant, je me suis glissé sous cette couverture, vers son ventre ... Dans la pénombre, je me suis rendu compte qu'il avait baissé son pantalon et son slip, remonté son T-shirt
sur son torse, qu'il avait la bite à l'air et qu'il bandait. Il ne m'a rien demandé, mais pour moi, il était évident que, s'il m'avait envoyé voir ce qui se passait sous cette couverture, c'était
parce qu'il espérait quelque chose de ma part, caresse, branlette, pipe ... Et bien, j'ai eu immédiatement envie de prendre son sexe dans la bouche. Je me revois, la joue appuyée sur son ventre
nu, saisir son sexe et le guider vers mes lèvres. Bien sûr, il s'est laissé faire et j'ai commencé à le sucer. Oh, ce souvenir … je vous dis pas ! C'est comme si c'était hier: il n'était pas
décalotté et dans ma bouche, son prépuce était chaud, lisse, doux sous ma langue. J'ai commencé doucement à le décalotter avec mes lèvres, et je sentais son méat qui faisait un creux sous le bout
de ma langue … Je me souviens que j'ai posé ma main sur ses couilles et que j'ai commencé à descendre ma langue tout le long de sa hampe, avant de le reprendre dans la bouche.
Alors, à plusieurs reprises, j'ai voulu voir s'il recommencerait. Je me mettais à quatre pattes dans le garage, habillé, et j'attendais. Immanquablement, il
venait, me reniflait et me grimpait. J'ai tenté cette expérience plusieurs fois, avant d'oser aller plus loin. Et cette fois, assuré d'être tranquille à la maison pour un bon bout de temps, j'ai
enlevé mon short et mon slip et je me suis mis à quatre pattes au milieu du garage. Il est venu, m'a reniflé le cul, m'a léché deux ou trois fois (oh la la , quelle sensation !), et il m'a
grimpé. J'ai encore le souvenir très net du contact de son vit humide contre mes fesses. Il cherchait mon œillet pour me pénétrer, mais il ne le trouvait pas. Je le sentais très "content" de ce
qui se passait: il bandait comme s'il avait eu à faire à une chienne en chaleurs ! Il me tenait fermement, les pattes avant passées dans l'angle de mon aine et, en essayant furieusement de
s'introduire en moi, il me labourait les cuisses. Mais qu'importe ! J'avais très envie de l'aider, mais je n'osais pas.
En fait, j'avais
peur d'un truc idiot. Quelques mois auparavant, je l'avais vu couvrir une chienne dans la rue, et ils étaient restés collés cul à cul pendant de longues minutes. J'avais pu voir sa queue énorme,
toute gonflée, turgescente, violacée, et dans ce garage, j'avais peur que, s'il me pénétrait, nous restions aussi collés, jusqu'à ce que quelqu'un nous surprenne. Ce jour-là, mon chien est resté
frustré, et moi aussi. Je n'ai pas renouvelé l'expérience et j'ai longtemps eu honte de moi. Plus maintenant: j'assume cette envie de jeunesse, et aujourd'hui, je regrette que mon chien ne m'aie
pas vraiment sailli. Quel bonheur ça aurait été de me faire prendre par mon chien !
