Les WC, c'est utile et c'est parfois très agréable … 

Une illustration dans cette vidéo où j'utilise les WC successivement chez Victoria, chez Régine, chez Yolaine et chez Jeanine.

Chez Victoria, je faisais des peintures dans la salle de bain, quand il m'est venu une envie de me tripoter. Je m'installe sur les chiottes et je commence quand soudain, la porte d'entrée, au rez-de-chaussée, s'ouvre. C'est ma patronne qui vient voir si le travail avance. Panique, reculottage vite fait, remballage de l'appareil photos … Une fois qu'elle a été repartie, je m'y suis remis … 

Chez Régine, tripotage puis pipi (j'en connais un qui va apprécier).

Chez Yolaine, puis chez Jeanine, seulement pipi …

Un été, à la mi-août, il me prend une grosse envie d'aller traîner dans la nature en travesti ... Alors, hop, un T-shirt, une minijupe en jean ras la touffe, un string en dentelle, et direction la forêt de Ferrières avec mon vélo ...

C'est très agréable de pédaler les cuisses à l'air et de sentir ce petit vent qui se glisse sous ma minijupe et me caresse le paquet à travers les mailles de mon string.

Je commence par le descendre sur mes cuisses, ce string, pour pouvoir me tripoter, et je ne tarde pas à l'enlever, rapidement saisi par une envie de me branler ...

Au bout d'un moment, je devine, très étouffé par l'épaisseur des taillis, le ronronnement rageur d'au moins deux tronçonneuses ... c'est là-bas, tout au bout de cette allée sur laquelle je roule ... Des bûcherons qui bûcheronnent au mois d'août ? Bizarre !

Et brutalement, s'imposent à mon esprit des images dans lesquelles, minijupe retroussée, penché sur le ventre d'un gaillard en chemise à carreaux, je suce sa grosse bite qui sort par la braguette de son jean, pendant qu'un autre, pantalon sur les mollets, est en train de me prendre en levrette ...

Alors, ça ne manque pas: sous l'effet de ma branlette et de ce fantasme ... je jouis.

Calmé, appaisé, les bûcherons, je ne suis pas allé les voir ...

Nouvelle séance de tripotage de ma queue ... en voiture.

Pantalon descendu à mi-cuisses, je circule en ville en me malaxant le gland. Le plaisir de me trouver la bite à l'air au milieu du trafic et des piétons surpasse celui de ce pétrissage lui-même.