Les plaisirs de la table, vous connaissez ?

Il s'agit en principe de bien manger et de bien boire, c'est-à-dire de manger et boire sain, équilibré, raffiné, et pour moi, surtout de manger et boire en bonne compagnie.

Mais j'ai, par ailleurs, une conception quelque peu différente de ce que peuvent être les plaisirs de la table ...

Alors qu'elle soit en plastique ou en fer, qu'elle soit sur ses quatre pieds ou posée à la verticale contre un mur, je jouis chaque fois que je peux des plaisirs de la table.

Do it one more time.

Ceci, c'est une complation de plusieurs séances où j'ai mis ma queue (et pas seulement ma queue) dans des petites culottes de Marie-Claire.

Plus exactement, il s'agit de deux strings et d'une culotte coordonnés: ils sont en dentelle et en tulle transparent dans des tons violet.

Ce sont certainement les pièces de lingerie de Marie-Claire que j'aurais le plus portées, le plus léchées, frottées sur ma queue et souillées de ma semence ... en particulier les deux strings. Que voulez-vous, j'imaginais le gousset en coton plaqué contre la chatte de ma patronne, et la partie étroite du string coincé dans la chaleur de ses fesses ... Très excitant !

Oui, je fourre ma queue partout, et cette fois, c'est dans des troncs d'arbres.

Pour moi, certains troncs d'arbres font partie de ce qu'on peut appeler des miracles de la nature.

Le premier miracle: un oiseau, sans doute un pivert, s'attaque à un tronc d'arbre soit pour y dénicher des insectes, soit pour y creuser un trou qui servira à abriter son nid. Et il le fait où ? Non pas à 3 ou 4 mètres de haut. Non, il le fait à 80 cm du sol ... Alors, non seulement c'est pile-poil la distance entre la plante de mes pieds et ma queue, mais en plus, il fait un trou à peu près du diamètre de ma queue ! Je me balade dans ce petit bois, et je découvre cet orifice. Comment résister ? Merci l'oiseau !

Le deuxième miracle: dans un autre petit bois, un arbre mort mais encore sur pied. Pour atteindre son cœur à moitié pourri, des bestioles ont creusé des cavités à travers l'écorce: deux trous qui communiquent. Et à quelle hauteur ont-elles fait ces trous, les bestioles ? Comme l'oiseau ! Inutile de vous préciser l'idée qui me vient, vous m'avez compris. Merci les bestioles !