Mercredi 13 avril 2016
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Comme elle travaillait très loin en province, la plupart du temps, Marie-Claire n'était pas chez elle
quand j'y allais. Je la voyais donc seulement quand elle était en congé.
Ce jour-là, par exemple, c'est le cas. Quand j'arrive, elle est encore au lit. Alors, bien sûr,
contrairement à mon habitude, ce jour-là, je ne vais pas fouiller ses tiroirs de lingerie ni son panier de linge sale pour trouver une petite culotte ou un string à enfiler sous mes vêtements
masculins.
Je me mets tout de suite au travail dans son jardin en attendant quelle se lève. Mais c'est plus fort que
moi, malgré sa présence à quelques mètres, mes autres habitudes prennent le dessus: après avoir soulagé une envie de pisser, je profite de ce que ma queue est de sortie, pour commencer à me
tripoter …

… et de fil en aiguille, je commence à penser à elle … à ses petites culottes, à ses nuisettes, à ses
jeans moulants ... bref, à tous ses vêtements et sous-vêtements que j'ai essayés, portés et que j'ai souvent souillés de ma semence …
... et puis, ma rêverie dérape sur elle, toute chaude dans son lit ... son lit, où je me suis si souvent
donné du plaisir (souvenez-vous, une vidéo, il y a quelques jours ...) je fantasme sur ses cuisses, sur son cul, sur sa chatte … et l'excitation monte … monte … monte … jusqu'à ce que ...
Quelques minutes plus tard, je l'entends ouvrir ses volets, et elle apparaît à sa fenêtre. Elle m'aperçoit
et sort dans son jardin pour venir me dire bounjour. Elle a enfilé un peignoir qui, aujourd'hui, masque à mon regard tout ce que son anatomie pourrait avoir d'intéressant ...