Vous me connaissez ... je ne peux pas résister à un objet doté d'un trou, d'une fente, d'un orifice. Pour peu qu'il ait un diamètre à peu près correct, il faut que j'y fourre ma bite.

Cette fois, c'est dans des tuyaux et des accessoires d'aspirateurs, chez Marie-Claire, évidemment, et chez Régine.

Vous remarquerez, à la fin de la vidéo, dans quelle tenue je passe l'aspirateur chez Marie-Claire. C'est un fantasme ... faire la même chose chez un mâle ...

Qu'importe le flacon ... enfin, pas tout à fait quand même ...

Surtout quand il s'agit de fourrer sa bite dans le flacon en question.

Vous avez déjà essayé ? 

Si le goulot du flacon fait juste le diamètre de votre queue, ou s'il est un peu plus petit, c'est impossible sans recourir à un artifice. Ben oui, c'est normal, il faut que l'air qui est dedans puisse s'échapper pour que votre bite puisse prendre sa place, et si votre bite bouche complètement l'entrée du goulot, l'air ne peut pas s'échapper ...

Alors, cette vidéo, c'est un genre de tutoriel.

Pour y arriver, on peut utiliser un tube creux, par exemple le corps d'un stylo bille dont on a enlevé la pointe et le réservoir d'encre. On le glisse dans le goulot en même temps que sa bite, et au fur et à mesure qu'elle entre dans la bouteille, l'air s'échappe par le tube.

Mais ce n'est pas idéal. Moi, j'utilise un long tube souple en silicone, en l'occurence du tube qu'on peut trouver dans les magasins qui vendent du matériel pour aquarium. Je glisse une extrémité dans le flacon, en même temps que ma bite, et j'aspire l'air par l'autre bout ... ça fait le vide, en quelque sorte, et ça aspire ma queue.

Il faut bien se lubrifier la bite, évidemment. Non seulement pour qu'elle glisse sans difficulté, mais aussi parce que ça contribue à l'étanchéité du truc. Et si on aspire vraiment longtemps, ça a tendancs à faire gonfler la bite. Un peu comme les pompes à pénis qu'on trouve dans le commerce.

Voici une de mes innombrables séances de tripotage chez ma patronne.

C'est l'automne, j'arrache les bulbes de tulipes et, comme d'habitude, je commence à me toucher. Et je me mets à effleurer les jambières de mon pantalon de travail.

Pourquoi ?

Parce que je veux vérifier que les attaches du porte-jarretelles que je porte sous ce pantalon font bien des marques visibles ... Oui, j'aimais bien travailler et me balader comme ça. Il m'arrivait même d'aller faire des courses dans cette tenue, en me disant que les autres clients et le personnel des magasins pouvaient voir ces marques et deviner que, sous mon pantalon, j'étais en porte-jarretelles ... Bon, là, c'est seulement dans la jardin de Marie-Claire.

Et de fil en aiguille, je finis par me frotter la queue sur le manche de ma fourche ... Un régal !