Oui, encore une fois ... vive la campagne !

Cette fois, deux séquences de branlette dans la nature.

La première, c'est fin novembre, après le travail.

Sur le chemin du retour vers la maison, une envie subite ... une grosse envie, comme une urgence. Alors première route à droite ... un petit village au bord de la Marne ... une espèce de place en pente douce jusqu'à la rivière ... des bancs ... personne à droite, personne à gauche ... wouffff !

Deuxième séquence. Au début du printemps.

Je me suis baladé sur les routes, travesti en salope: petit haut, mini jupe ras la touffe, porte-jarretelles ... le tout "rouge pute". Fatalement, au bout d'un moment, trop excité, j'ai encore une urgence. Petit chemin tranquille au coin d'un bois et wouffff !

D'autres parties de campagne en cliquant sur ça:

Je sais, je sais, le titre est tiré par les cheveux !

En fait, dans cette vidéo, je glisse ma queue d'abord dans une poignée de porte de placard chez Marie-Claire, puis dans une porte de placard chez Yolaine.

Pourquoi faire ça ?

Bah, comme je l'ai déjà expliqué, c'est parce que tout orifice, toute fente qui me semble avoir le bon calibre m'attire, et je ne peux pas m'empêcher d'y fourrer ma bite ... comme ça ... pour voir ...

Comme elle travaillait très loin en province, la plupart du temps, Marie-Claire n'était pas chez elle quand j'y allais. Je la voyais donc seulement quand elle était en congé.

Ce jour-là, par exemple, c'est le cas. Quand j'arrive, elle est encore au lit. Alors, bien sûr, contrairement à mon habitude, ce jour-là, je ne vais pas fouiller ses tiroirs de lingerie ni son panier de linge sale pour trouver une petite culotte ou un string à enfiler sous mes vêtements masculins. 

Je me mets tout de suite au travail dans son jardin en attendant quelle se lève. Mais c'est plus fort que moi, malgré sa présence à quelques mètres, mes autres habitudes prennent le dessus: après avoir soulagé une envie de pisser, je profite de ce que ma queue est de sortie, pour commencer à me tripoter …

… et de fil en aiguille, je commence à penser à elle … à ses petites culottes, à ses nuisettes, à ses jeans moulants ... bref, à tous ses vêtements et sous-vêtements que j'ai essayés, portés et que j'ai souvent souillés de ma semence …

... et puis, ma rêverie dérape sur elle, toute chaude dans son lit ... son lit, où je me suis si souvent donné du plaisir (souvenez-vous, une vidéo, il y a quelques jours ...) je fantasme sur ses cuisses, sur son cul, sur sa chatte … et l'excitation monte … monte … monte … jusqu'à ce que ...

Quelques minutes plus tard, je l'entends ouvrir ses volets, et elle apparaît à sa fenêtre. Elle m'aperçoit et sort dans son jardin pour venir me dire bounjour. Elle a enfilé un peignoir qui, aujourd'hui, masque à mon regard tout ce que son anatomie pourrait avoir d'intéressant ...