Lundi 5 octobre 2015 1 05 /10 /Oct /2015 01:00

Vers le 15 août, je suis allé assister à un spectacle de "sons et lumières" dans une petite commune du Finistère. Ça se passait près d'une chapelle, et les spectateurs, une foule assez dense d'autochtones et de touristes, se tenaient sur une petite place et un parking en bordure de plage, le tout éclairé par de puissants lampadaires. Nous sommes debout, pratiquement au coude à coude et à trente ou quarante centimètres de la rangée devant nous. Ma femme, étant petite, s'est rapprochée du lieu du spectacle pour mieux voir et se trouve à quelques mètres devant moi. 

 

Le tout est donc éclairé a giorno … jusqu'à ce que les lampadaires s'éteignent. Tout le secteur est alors plongé dans le noir. Dans les maisons qui cernent la chapelle et la place, on a aussi éteint toutes les lumières. Nous nous retrouvons donc dans une obscurité totale, au point que je ne distingue même pas mes pieds, ni les gens qui m'entourent ! Pourtant, nous sommes vraiment si près les uns des autres, que je sens le parfum de la femme à ma gauche, et le déodorant d'un type juste devant moi. Seule la lumière de quelques smartphones dispersés dans la foule troue l'obscurité. Et nous attendons … longtemps … en fait, il semble que le spectacle ne soit pas prêt et qu'on ait fait le noir un peu prématurément.

 

Alors, allez savoir pourquoi, je glisse mes doigts jusqu'à ma braguette, je descends le zip, j'abaisse tant bien que mal la ceinture de mon string jusque sous mes couilles … et je sors ma queue … Je baisse les yeux et … je ne vois rien … J'ai la queue à l'air, au milieu de la foule, à quelques centimètres de mes voisins, et personne ne peut la voir ! Intense moment de jubilation . Je me tripote un peu, et je ne tarde pas à bander … C'est décidé, je me masturbe ! Ah, bien sûr, je ne vais pas me secouer la tige comme un malade … non, je me contente de me malaxer, de me pétrir le gland … 

 

Et c'est suffisant. Excité par l'insolite de la situation, je ne tiens pas longtemps. Ça va très vite. Je réprime à grand peine un halètement au moment d'éjaculer … et je jouis  … en prenant soin d'écarter les pieds pour ne pas recevoir ma crème sur les chaussures ou sur le bas de mon pantalon … Je me presse bien la queue pour évacuer tout son contenu, et je remballe … Autour de moi, les gens s'impatientent. Et puis, après quelques autres longues minutes d'obscurité, les premières lumières du spectacle jaillissent dans un bruit de tonnerre !

 

Une fois le spectacle terminé, les lampadaires sont rallumés, je baisse les yeux et … oui, entre mes pieds, trois petites taches humides … La foule se met en marche pour quitter la place et le parking. Je suis le mouvement en me disant que ce que je viens de laisser par terre sera rapidement étalé sous les tongs et les espadrilles des autres spectateurs …

 

Voilà, ça fait partie de ce que j'appelle des petits plaisirs innocents, assez agréables et qui ne font de mal à personne.

 

Dans le même genre: il y a quelques mois, ma femme vient me rejoindre en Bretagne avec sa mère. Pour ce faire, elle a emprunté la voiture de son frère (mon beau-frère, donc). Grosse bagnole étrangère, assez luxueuse … Cette voiture a, entre autres, la particularité d'avoir d'énormes sièges en cuir à l'avant et une profonde banquette, également en cuir, à l'arrière. 

 

Nous voulons faire visiter la région à ma belle-mère. Alors, par courtoisie, je lui laisse la place du passager, à l'avant, à côté de ma femme qui conduit. Et je m'assieds à l'arrière … ou plutôt, je m'enfonce profondément dans la banquette arrière. Et je fais bien. D'abord parce que ma belle-mère étant toute petite, elle n'aurait rien vu si elle avait été assise à l'arrière. Moi-même, qui suis plutôt grand, je ne vois pas grand chose, ni par les vitres latérales qui sont ridiculement petites et fumées, ni par le pare-brise avant, que me masquent presque complètement les deux énormes dossiers des sièges avant. Et je fais bien aussi parce que, là où je suis, derrière ma femme, celle-ci ne peut pas me voir tant qu'elle conduit … et sa mère non plus, à moins de se retourner franchement, ce qu'elle ne peut pas faire en raison d'une raideur de la colonne vertébrale. 

 

Et je vois rapidement l'intérêt de la situation. Je ne sais pas si ça vous fait ça aussi, mais moi, la voiture, quand je ne suis que passager, ça a tendance à m'agir sur le bas ventre (quand je conduis aussi, d'ailleurs). Et là, plus nous roulons, plus je sens ma queue à l'étroit dans mon string. Je reste comme ça, sans rien faire un bon moment. Et puis, en jetant un coup d'œil à ma belle-mère pour m'assurer qu'elle ne peut pas me voir, je me tripote un peu la queue à travers mon pantalon ... Et là, je me dis « et si je sortais ma queue ? ».


Sitôt pensé, sitôt fait.


Je descends la fermeture éclair de mon pantalon. Elle fait un peu de bruit en s'ouvrant, mais il est couvert par le ronflement du moteur et le souffle du vent sur la carrosserie. Je glisse ma main dans ma braguette, je tire, cette fois encore, la ceinture de mon string jusque sous mes couilles … et je sors ma bite … 


Hhmmmm, quel plaisir ! Etant presque en permanence dans le Finistère, alors que ma femme n'y vient que beaucoup plus rarement, je connais beaucoup mieux la région qu'elle. Alors, de ma place à l'arrière, c'est moi qui fais le guide et qui commente: ici le château de Kerquelquepart, là la chapelle de Locmachin, à droite la baie de Truc, à gauche la rade d'ailleurs, etc. Le tout, la queue de plus en plus raide à la main ! Bon, je ne suis pas allé jusqu'à me masturber … J'aurais fait quoi de ma crème, hein ? C'était le pied, mais j'ai tout de même eu un regret: ce jour-là, pour je ne sais quelle raison, je n'avais pas emmené mon appareil photo et vidéo. Ah, putain, si j'avais pu, en plus, me filmer en train de me tripoter la queue dans le dos de ma femme et de ma belle-mère !

 

C'est le genre de situation qui me plaît bien, pas préméditée, et improvisée en fonction des circonstances.

 

Autre souvenir, il y a très très longtemps, dans l'Aube. C'était l'époque où je n'avais pas encore goûté aux joies du travestissement et aux plaisirs de l'introduction anale, et où je me contentais de me masturber, de temps en temps, à poil dans la nature. Bref. Entre Romilly sur Seine et Troyes, la Seine s'étale en une multitude de bras dont certains, minuscules, courent au milieu des bois ... c'est sauvage, on se croirait presque dans la forêt amazonienne ... C'est l'été, il fait très chaud et nous partons en famille chercher un peu de fraîcheur dans les bois le long de la rivière. Nous sommes une dizaine, ma femme, ma sœur, les enfants, un neveu, une nièce et leurs copains, tous gamins.

 

Nous voilà devant un bras de Seine, trois ou quatre mètres de large, un mètre de profondeur et un léger courant. Nous n'avions pas prévu de faire trempette et pas emmené de maillots de bain, mais les enfants se mettent à patauger, à s'éclabousser, et une fois trempés, se mettent en slip et se baignent, bientôt rejoints par les femmes. Moi, pas fan de ces jeux aquatiques, j'explore le ruisseau. A une dizaine de mètres en amont, dans une courbe, il y a comme une plage de sable. Là, le bras de rivière s'étale et semble beaucoup moins profond. Je me mets aussi en slip, et je m'assois sur le sable sec, les pieds dans l'eau. Bien que la rivière ait circulé à l'ombre des arbres qui la bordent, l'eau est bonne, plutôt chaude. Alors, je m'assieds dans une vingtaine de centimètres d'eau. C'est très agréable, et je m'aventure vers le milieu. Je suis surpris parce qu'au fond, ce n'est plus du sable: mes pieds s'enfoncent un peu dans une spèce d'argile dense, douce et glissante ... Ça me passe entre les doigts de pieds, c'est ... très sensuel ... Je m'assieds et je tâte de la main. Ah oui, en surface, sur quelques centimètres, c'est un peu mou, mais dessous, c'est plus ferme. Je m'allonge sur le dos, complètement immergé, à l'exception de ma tête, évidemment. Et puis, je me retourne ... sur le ventre. Ouaaahhh, la sensation ! Appuyé sur les mains, j'ai les doigts de pieds, les genoux, les cuisses, le bas ventre et l'abdomen qui reposent sur cet espèce de couche un peu molle et douce ... Mais c'est surtout au niveau de mon bas ventre, que l'impression est la plus agréable. Et je ne tarde pas à bander ... Ben oui, déjà cette chaleur et l'eau qui s'écoule sur moi ... deux stimuli qui ont toujours un effet aphrodisiaque sur moi ... et cette sensation sur ma queue ...

 

Les gamins et les femmes sont à une dizaine de mètres, nagent, plongent, chahutent dans l'eau un peu plus profonde et ne font pas attention à moi. Alors, toujours immergé et allongé sur le ventre, je descends peu à peu mon slip sur mes cuisses, et me voilà la queue en érection dans cette ... matière douce et molle ... un régal. Avec deux doigts, j'entreprends de creuser, sous moi, une espèce de cavité dans l'argile un peu plus dense du fond. C'est facile, elle est ferme mais détrempée, et mes doigts s'enfoncent dedans comme dans du beurre. J'obtiens rapidement une sorte de fourreau, à peu près de la taille de mon sexe ... Je rampe doucement, et j'enfile ma queue là-dedans ... Oh la laaa ! Je vous dis pas l'effet que ça me fait ! C'est presque mieux que de s'enfoncer dans une chatte ! C'est mouillé, c'est lisse, c'est doux, ça glisse et mon gland se décalotte au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans ce trou en chassant l'eau qui le remplit ! J'entreprends de ressortir ma queue pour entamer un va et vient discret ... et cette espèce de pâte qui entoure ma bite fait succion. Waouhhhhh ! Terrible ! C'est comme si cette argile me suçait, me tétait la queue ! J'étais déjà excité, mais là, je sens que ça va m'achever ! Je m'enfonce de nouveau, et c'est en ressortant la deuxième fois que ... sschlaaaakkk, je jouis ! Et un orgasme terrible ... un orgasme comme je n'en ai connu que très peu avec ma femme ! Je dois me retenir pour ne pas gémir ... 

 

Ça finit par se calmer, et je laisse l'eau emmener ma crème diluée jusqu'au baigneurs, dix mètres en aval, qui ne se sont rendus compte de rien. J'essuie tant bien que mal, sous l'eau, les traces de boue qui maculent mon ventre et ma queue, et je remonte mon slip ...

 

Je m'étais promis de revenir ici, seul, pour recommencer, mais l'occasion ne s'est jamais représentée. Et puis, une partie du plaisir venait de ce que je faisais ça à quelques mètres des autres baigneurs ... Seul, ça aurait eu moins de charme ...

 

Toutefois, j'ai refait à peu près la même chose à la plage, en Bretagne ... A ceci près que je me contentais de m'éloigner un peu en mer, d'ôter mon maillot de bain, et de me masturber pas trop loin des autres nageurs ... Très agréable aussi ...

 

Pour moi, ce qui fait l'attrait de ces pratiques, c'est de faire ces choses-là, que la morale réprouve, en présence, ou à proximité de personnes qui ne se doutent de rien. Dans le même genre, il y a le plaisir de porter en public de la lingerie féminine sous des vêtements masculins, le top étant de mettre sous un pantalon ajusté un porte-jarretelles dont les attaches  sont visibles à travers la toile du pantalon. Ça, je n'ai osé le faire qu'une fois.

 

Et puis, plus classique, il y a les balades en voiture, minijupe relevée ou pantalon baissé au milieu du trafic, et même le plaisir de se balader à pied, la queue à l'air sous un manteau ou une veste qui ne la dissimule qu'à peine ... comme dans cette vidéo tournée sur une plage de Cornouaille.

 


Par Solosexe - Publié dans : Plaisirs de la bite
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