Quand je travaillais chez Simone, ça me prenait de temps en temps. Il FALLAIT que je me foute à poil dans son jardin !

Le plus souvent, la raison me dictait de le faire plus ou moins à l'abri des regards, caché derrière un arbre ou un bâtiment, comme ici, derrière un hangar.

Mais parfois, une espèce de pulsion incoercible me poussait alors à faire ça dans des endroits où je savais pouvoir être vu, soit par des voisins, soir par quelque cultivateur dans son champ. 

Généralement, c'était simplement complètement à poil, ce qui m'aurait déjà valu une réputation de vicieux, d'exhibitionniste, si quelqu'un m'avait surpris comme ça.

Mais il m'arrivait aussi de le faire seulement "vêtu" d'un porte-jarretelles et de bas, ce qui m'aurait valu une réputation encore pire: grande folle, travelo, etc.

Mais il n'y avait rien à faire, c'était plus fort que moi: le plaisir de la grosse décharge d'adrénaline surpassait la crainte et la raison. Quand c'était fait, j'éprouvais une espèce de bien être, de volupté physique et mentale.

C'est dingue, la libido, non ?

Là, c'est au fond du jardin, mais bel et bien en vue des champs alentour.

Là, c'est au beau milieu du jardin, en vue non seulement du chemin de terre qui le longe, mais aussi de la rue devant la maison !

Ah ça, j'en ai fait, des balades de nuit !

Malgré les apparences, celle-ci commence à la tombée de la nuit. Entre chien et loup, comme on dit. Si on a l'impression qu'il fait encore grand jour, c'est dû à la sensibilité de mon appareil photo.

Et ça se passe, comme souvent, aux abords et dans une ferme.

Vous connaissez mon goût pour les trajets en voiture, la bite à l'air.

Le plus souvent, c'était en partant au travail ou, mieux encore, en rentrant du travail, parce que j'avais alors tout mon temps pour traîner à droite, à gauche.

Mais parfois, c'était simplement en me baladant. C'est cas en cette belle matinée d'un mois d'avril. Une balade de plus de trois quart d'heure à travers la campagne, les petits villages et même en ville.

Je me suis déculotté sur un parking dans un bois près de chez moi et je me suis filmé pratiquement pendant toute la balade. Trente cinq minutes de vidéo ! La plupart de ces 35 minutes sont sans intérêt: je roule, pantalon descendu sur les genoux, sans même me tripoter, pour le simple plaisir de circuler la bite à l'air et de sentir le soleil me chauffer à travers la vitre. 

Sur les trois montages vidéos qui suivent, je n'ai gardé que les moments les plus ... intéressants (que je trouve les plus intéressants): soit parce que je me tripote la bite, soit parce que je circule en ville, au milieu du trafic et que je croise des voitures, et parfois un camion ou un car dont les conducteurs, hauts perchés, ont une vue plongeante sur ma bite. 

Et vous verrez, comme souvent lors de ces séances, je ne bande même pas.

Et puis, au moment de rentrer chez moi, je m'arrête dans un coin tranquille pour remonter mon pantalon, mais je garde ma bite sortie par ma braguette. Et allez savoir pourquoi, cette fois, à force de me tripoter, je finis par bander.

Et une fois revenu chez moi, je descends de voiture, toujours la bite à l'air, au risque de me faire surprendre par ma voisine.

Trois vidéos pour le prix d'une ! C'est pas beau, ça ?