Promenons nous dans les bois ...

... pendant que le loup n'y est pas ...

Si le loup y était ...

... il me mangerait !

Hhhhhhmmmm !

J'aime beaucoup me balader en minijupe dans la nature, la bite et le cul à l'air. Evidemment, je choisis des endroits tranquilles, où je ne risque pas de rencontrer des gens que ma tenue pourrait déranger.

Ça, c'est une vidéo que j'ai faite au cours d'une de ces balades dans un bois. Au bout d'un moment j'ai entendu, puis vu passer des voitures, et j'ai compris que j'étais arrivé à l'orée de ce bois. Petite route avec pas mal de circulation. Alors je n'ai pas pu résister, je me suis peloté en regardant passer le trafic.

Chez cette patronne, Raymonde, ce qu'il y avait d'excitant, c'est qu'elle était pratiquement toujours chez elle quand j'y travaillais.

De plus, son jardin était visible soit depuis la rue, soit depuis les immeubles en contruction surplombant sa propriété. Seuls deux endroits étaient à peu près à l'abri des regards. C'était le cas de ce pommier: ses branches et son feuillage me dissimulaient à la vue des immeubles en chantier, mais il était visible depuis la rue, et je ne pouvais compter que sur la zone d'ombre à son pied pour me dissimuler plus ou moins au regard des passants.

Ce qui fait que se mettre à poil dans ce jardin, c'était toujours courir le risque soit que Raymonde vienne pour me dire ce que j'avais à faire ou pour discuter, soit qu'un passant m'aperçoive au pied du pommier. Alors, je vous dis pas les décharges d'adrénaline !

Septembre ... les pommes ont commencé à tomber. Il passe pas mal de monde dans la rue, alors je suis prudent:

Juillet de l'année suivante. C'est les vacances et le quartier est plus tranquille ... je me lâche: 

D'autres séances chez Raymonde:

Ça, c'est une de mes premières exhib en bordure d'une autoroute, et c'est une de mes plus osées (j'allais écrire "une de mes plus culottées", mais "culottée" n'est pas le terme le plus approprié).

Pourquoi une des plus osées ? Parce que l'endroit que j'avais choisi était particulièrement exposé à la vue des usagers de cette autoroute. Très dégagé sur ma droite et sur ma gauche, rien ne me dissimulait au regard des automobilistes. 

Je m'étais lancé comme ça parce que mes premières tentatives des jours précédents, plus prudentes, s'étaient si bien passées et m'avaient procuré tellement de plaisir sensuel et de décharges d'adrénaline, que je n'avais qu'une envie, recommencer. Mes craintes et mes inhibitions s'étaient littéralement envolées.

Sur cette photo aérienne, le cercle rouge marque l'endroit où je m'étais installé, et les traits roses marquent l'angle de vue, presque à 180°

La même photo aérienne à une autre échelle. On voit jusqu'où pouvait porter mon regard et par conséquent depuis quel endroit de l'autoroute les automobilistes pouvaient me repérer, environ 500 mètres de part et d'autre.

Lancés à 130 km/heure, ils avaient 12 ou 13 secondes pour me voir. Les poids lourds, généralement plus lents, pouvaient me voir pendant 15 à 20 secondes. 

Ce jour là, personne ne m'a klaxonné, mais à leur regard, je sais que certains m'ont vu. Ça m'a tellement excité que j'ai fini en me masturbant.