Vous vous êtes déjà donné du plaisir avec une brosse à dents électrique ? Moi oui.

Cette fois, après avoir enfilé une petite culotte de Marie-Claire, je me suis passé l'extrémité vibrante de la brosse sur la queue.

Directement sur la peau ou à travers le fin voile de la culotte, quelle sensation ! C'est agréable sur les couilles, c'est agréable sur la verge, c'est agréable entre le prépuce et le gland, mais le mieux, c'est sous le gland, et en particulier sur ce qu'on appelle le frein.

Et, évidemment, j'ai éjaculé sur mon aine, dans la culotte de Marie-Claire. 

Pour profiter pleinement de cette vidéo, il faut la regarder en mode "plein écran".    

Ça a commencé un soir, au moment de me coucher. Ma femme, Christine, était au lit depuis un moment et elle dormait. En me déshabillant, il m'est venu l'idée de me filmer à côté du lit, dans le string féminin que je portais depuis le matin sous mon pantalon de travail. J'ai trouvé ça plutôt excitant, mais, ce premier soir, ce n'est pas allé plus loin.

Le lendemain soir, évidemment, j'ai recommencé, avec un autre string.

Le troisième soir aussi, sauf que, cette fois, je me suis mis au lit "pour lire" à côté de Christine (qui me tournait le dos comme à son habitude). J'étais toujours en string et tout en me filmant (tout en nous filmant), je me suis tripoté. Vous excuserez la qualité médiocre des images: il y avait peu de lumière, je ne pouvais évidemment pas poser mon camescope sur un trépied et je devais le manipuler discrètement et cadrer au juger, tout en me tripotant.

Quoiqu'il en soit, cette situation était extrêmement excitante, Christine pouvait se réveiller à tout instant et me surprendre. L'excitation était telle que je n'ai pas eu besoin de me tripoter longtemps, j'ai pris mon pied en moins d'une minute.

Puis j'ai remballé ma bite dans mon string et je me suis endormi comme ça, la queue et le ventre couverts de sperme.

Non, une dame-Jeanne ce n'est pas une femme, c'est une grosse bonbonne en verre.

Dans le jardin de Jeannette, ma patronne, il y a une de ces bonbonnes. Au fond, poussières, insectes et débris végétaux se sont accumulés, tombés au fil des mois dans son large goulot et transformés par l'eau de pluie en une sorte de soupe . 

Chaque fois que je travaillais chez Jeannette, j'avais cette bonbonne sous les yeux, et surtout ce goulot béant, offert, qui semblait être juste au calibre de ma queue. J'ai souvent pensé « toi, un jour, je te baiserai et j'ajouterai ma crème à ta soupe ! ».

Alors, évidemment, le jour où Jeannette s'est absentée, j'ai sauté sur l'occasion … et sur la dame-Jeanne. 

Et alors, quel bonheur!

Sentir ma verge enserrée dans ce fourreau transparent, voir ma queue aller et venir dans ce tube de verre, voir mon gland s'épanouir à l'endroit où le goulot s'évase, tout cela a décuplé mon excitation, et je n'ai pas tardé à envoyer ma semence fertiliser ce bouillon.

Première publication le 05/04/2012.