Suite de la série (cliquer sur la photo)
N'y voyez aucune arrière pensée répréhensible. Il ne s'agit que d'une statue en pierre. Elle aurait pu représenter une Vénus, un Apollon ou un poisson, j'aurais fait la même chose.
Le blog de Marin Cathare
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N'y voyez aucune arrière pensée répréhensible. Il ne s'agit que d'une statue en pierre. Elle aurait pu représenter une Vénus, un Apollon ou un poisson, j'aurais fait la même chose.
Vous avez pu vous rendre compte que j'aime beaucoup avoir ma bite dans le cul (cliquer sur les photos):
Mais j'aime aussi beaucoup ce qui précède l'autosodomie, les prémices, en quelque sorte.
Par exemple, dans cette vidéo, sur le lit de Marie-Claire, seulement "vêtu" de sa nuisette noire et de ses bas en résille, je commence à me frotter le gland contre la rondelle.
J'adore ces moments où ma queue et mon cul commencent à s'exciter et à prendre du plaisir. Ma bite apprécie beaucoup le contact tiède et moite de mon sphincter et attend patiemment l'instant où elle va vraiment le pénétrer, l'investir. Ma rosette, qui aime sentir mon gland l'effleurer et se blottir contre elle, se détend, se relâche pour mieux l'accueillir.
Le meilleur moment, c'est celui où, du bout des doigts, j'enfonce mon gland dans mon anus, c'est l'instant où je lui force le passage et qu'il commence à pénétrer ma fleur, qu'il entre dans la tiédeur humide de mon fourreau, tandis que mon anus bâille, s'ouvre, s'épanouit, s'écarquille pour l'avaler.
Ça, c'était seulement histoire de m'occuper un moment.
En fait, il est hors de question pour moi de me cadenasser la bite ou de m'enchaîner le paquet.
Keep free and enjoy!
(tiens, en revoyant ces photos, je remarque que ce jour-là, sous mon short, je portais un string en dentelle rouge emprunté à Marie-Claire, ma patronne)
Vous vous souvenez peut-être que j'avais pris l'habitude de me filmer, en string, au moment de me coucher aux côtés de ma femme qui dort. J'étais allé jusqu'à me tripoter dans le lit, comme ça, à côté d'elle, et à me répandre la crème sur le ventre. (pour voir cette première vidéo, cliquer sur la photo)
Ça avait été un tel pied que j'ai recommencé. (Vous excuserez les cadrages approximatifs: la queue dans la main droite, la caméra dans la main gauche, pas facile de viser ...)
Cette fois, je portais encore un string de femme (microfibre, bordure en dentelle et joli petit nœud-nœud devant). J'ai commencé en me tripotant le gland à travers mon string. Si Christine s'était réveillée et retournée, elle ne pouvait pas manquer le spectacle de ma bite dans un string féminin. J'imagine la gueule qu'elle aurait fait !
Puis j'ai sorti ma queue et je me suis continué comme ça, à 20 cm de sa tête. J'étais déjà échauffé en me couchant, mais là, cette situation a décuplé mon excitation, et j'ai senti que je ne tarderai pas à envoyer la purée. J'étais décidé à m'éjaculer de nouveau sur le ventre et à passer le reste de la nuit comme ça.
J'ai remballé Popaul dans mon string avant d'éjaculer, et je n'ai pas eu besoin de le secouer très fort ni très longtemps. Il était dans tous ses états, et il a envoyé la sauce en un rien de temps. Quel pied !
Et je me suis endormi comme ça, le ventre, la queue et le string pleins de sperme. Un vrai bonheur!
La lingerie de Marie-Claire m'a toujours beaucoup excité.
Quand j'étais chez elle, je ne pouvais pas m'empêcher de fouiller ses tiroirs et d'essayer ce que j'y trouvais, nuisette, strings, culottes, bas, etc.
Et à chaque fois, ou presque, ça finissait par une masturbation.
Cette fois, je souille de mon sperme une petite culotte à motifs de dentelle.