Vous savez quelle est la marque ma bate de base-ball?

Big stick !

Si, si, je vous assure ... Vous n'avez qu'à regarder, c'est écrit dessus.

J'avais très envie de m'en offrir une autre en alu (les vidéos de filles qui se ramonent avec ça me faisaient envie). Alors je suis allé chez ... huuummm ..., vous savez, l'hypermarché du sport à l'enseigne bleue. Déception: il y en avait bien un modèle en alu, mais d'un diamètre très inférieur à ma "Big stick". A la place je me suis offert une paire d'haltères avec des poignées en acier chromé. Il faudra que je vous les montre un de ces jours...

Je suis donc resté fidèle à ma bonne vieille batte en bois et je me suis encore régalé à me la fourrer dans le cul. Ce que c'est bon de s'empaler dessus debout, à quatre pattes ou couché ... Vous devriez essayer.

Première publication le 12/01/2013

Vous souvenez ? En jouant au petit poucet, j'avais caché un tas de petits cailloux dans mon fourre-tout (cliquer sur la photo).

Cette fois, ce n'est plus des petits cailloux, mais une grosse pierre que je me fourre dans la caverne. Ou plutôt un gros galet, remarqué et ramassé sur une plage en raison de sa forme très suggestive à mes yeux...

Et cette grosse pierre ne m'a pas déçu, elle me procure des sensations vraiment extraordinaires! C'est la mer qui l'a façonnée comme ça en la roulant, en la cognant, en la frottant contre d'autres pierres, en lui donnant cette forme longue et fuselée, en la rendant lisse mais pas trop ... La nature est bien faite, non?

Non seulement elle est d'une taille plutôt conséquente, que je me l'enfile par l'extrémité la plus effilée ou par l'extrémité la plus grosse, mais en plus elle me râpe délicieusement le rectum. Et ce ... "ponçage", déjà voluptueux en soi, accentue la sensibilité de mon anus.

Evidemment, il faut bien la lubrifier avant de commencer. On utilise ce qu'on veut, mais moi, je commence par l'imprègner à la salive, et ensuite, c'est mon lubrifiant anal naturel qui prend le relai.

Je vous assure que c'est un vrai bonheur de sentir ce truc rugueux aller et venir dans ma rondelle. Rien d'autre ne peut donner cette sensation...

Dans cette vidéo, il y a les images de la toute première fois où je me suis fourré une branche dans le cul. Pas une bûche trouvée dans un tas de bois, non, une vraie branche d'arbre, dans un arbre ... Le début de la vidéo n'est pas de très bonne qualité, mon appareil n'était pas très performant.

Cette branche-ci, je l'avais repérée dans un érable que j'élaguais chez Marie-Claire. Fièrement dressée, telle une queue en érection, et d'un calibre correct, elle semblait me lancer un défi: « ça te plairait, que je te ramone?  Pas cap de grimper et de t'empaler sur moi ... ».

J'ai hésité un instant: malgré le feuillage, là-haut je serais visible depuis le jardin des voisins. Et c'était aussi un peu dangereux: elle était assez haut dans l'arbre, et elle pouvait avoir des parties pointues, des échardes ... Mais elle était facilement accessible grâce à d'autres branches qui faisaient comme une échelle. De plus, elle était cassée net, et en deux ou trois coups d'outil, j'ai rendu son extrémité lisse et sans danger pour mon cul. Et puis, tant pis pour les voisins.

Alors, en avant! A poil, j'ai grimpé, et je me suis empalé. Je n'ai pas été déçu. Ça n'a pas été un record de dilatation, mais cette rugosité qui allait et venait en moi … et cette sensation de me ramoner perché en hauteur …

J'y suis retourné un peu plus tard (la fin de la vidéo), et surtout, ça m'a incité à renouveler l'expérience des branches dans mon cul. Je vous montrerai ça plus tard …