Je me suis déjà enfilé un collier de perles dans la queue (pour voir, cliquer sur la photo)
Je m'en suis aussi enfilé dans le cul.
Certes, c'est loin d'être un exploit en termes de calibre, mais c'est assez amusant.
Le blog de Marin Cathare
Je me suis déjà enfilé un collier de perles dans la queue (pour voir, cliquer sur la photo)
Je m'en suis aussi enfilé dans le cul.
Certes, c'est loin d'être un exploit en termes de calibre, mais c'est assez amusant.
Imaginez: c'est l'automne, vous vous baladez dans la campagne et une furieuse envie vous taraude le cul ...
J'avais la chance d'habiter une région céréalière (il y a des endroits où on ne produit que des artichauts et des choux-fleurs ! Les pauvres ...). Je m'enfile (si je puis dire ...) dans un petit chemin qui longe un champ de maïs, je m'introduis (si j'ose dire ...) entre les rangées de maïs, je me fous à poil, et dans l'urgence, je me tape un épi avec les feuilles et les "cheveux" ...
Hhmmm, la sensation de ces tendres grains qui me "rapent" délicatement le cul ...
Les bouteilles en verre font partie de mes préférés parmi tous les trucs que je me suis fourrés dans la tanière. Et je m'en suis fourré de toutes sortes, des trucs, de tous les calibres, de toutes les formes, de toutes les matières («et de toutes les matières, c'est le verre que j'préfère ...»).
J'aime sentir cette surface toute lisse me coulisser dans l'oignon, j'aime me sentir bien rempli, j'aime sentir la douce chaleur que le verre finit par renvoyer à mon sphincter...
Je sais, certains s'insurgent, pensent que c'est une pratique très risquée, que la bouteille pourrait m'éclater dans le cul, me déchirer, me vider de mon sang, etc.
D'une part, je sais qu'une bouteille ça ne se casse pas comme ça, que mon sphincter n'a pas assez de force pour briser du verre aussi épais que celui-ci, et d'autre part, je ne m'enfile pas de bouteille fragile ou fêlée.
Mais, évidemment, je n'incite personne à faire comme moi. A chacun d'évaluer les risques et de prendre ses responsabilités.
Quand je suis tombé sur cette bouteille Thermos au supermarché, avec cette forme de bouchon, avec ce calibre, avec cette matière, je n'ai pas hésité une seule seconde: « Toi, tu es pour mon cul ! »
Je n'ai pas été déçu. Sentir ce gros bouchon m'écarter doucement le sphincter et s'enfoncer en moi en me bousculant les entrailles, sentir ce métal lisse coulisser dans ma rondelle, le sentir, au bout d'un moment, me renvoyer la chaleur de mon cul ... un vrai régal !
Comme je vous l'ai déjà montré, j'aime le maïs. Dans la première série, je me tapais un épi chez moi, tranquille, dans mon jardin, sur ma chaise longue.
Mais j'aime bien aussi le "consommer" sur place, tout frais cueilli, directement dans le champ. Alors parfois, en balade, quand je repère une parcelle qui me paraît "à point", je me glisse entre deux rangées de pieds de maïs, je me mets à poils, je cherche le plus gros épi, et ... miammmmmm!