Le blog de Marin Cathare
La première insertion de ce gros machin dans ma grotte (de Lourdes) est toujours un peu difficile et légèrement douloureuse. Surtout quand j'essaie de me l'introduire à sec ...
La première vidéo est ici (cliquer sur la photo):
Une fois qu'il est entré, que la douelur est passée, la sensation de cette cire fraîche qui m'écartèle le cul est vraiment très très agréable.
J'habite une région formidable: il y a des bois, il y a des champs où j'aime me balader à poil, mais surtout, on y trouve des végétaux intéressants.
Je ne vous parle pas des betteraves sucrières, qu'un jour j'aimerais bien pouvoir me fourrer dans le cul, mais jusqu'à présent, j'ai eu beau inspecter les tas que les cultivateurs en font à l'automne, elles sont toutes énormes, et je n'en ai pas encore trouvé du bon calibre.
Ce qui me plaît beaucoup, c'est le maïs. L'été, pris d'une envie subite, il m'est arrivé de m'arrêter au bord d'un champ, de m'y mettre à poils et de me taper un ou deux épis directement sur le pied, frais, gorgés de jus (cliquer sur la photo).
A l'automne, le maïs, c'est encore mieux. Là, il a eu le temps de grossir et je peux choisir les épis les plus gros. Alors je me les tape avec ou sans les feuilles, et c'est un régal !
Hhmmmm! Sentir ces feuilles un peu rèches ou ces grains qui vont et viennent ... Le pied!
Première publication le 25/03/2013
Je me suis déjà fourré une poignée de petits cailloux et une grosse pierre dans le cul (pour revoir ces vidéos, cliquer sur ces photos).
Cette fois, ce sont des galets que je m'enfile. Certains sont tout lisses et me pénètrent comme une savonnette. D'autres sont rugueux et me râpent délicieusement le rectum.
Ah, vraiment, les bords de mer sont pleins de ressources...
Je vous ai déjà montré que j'étais cap' de me carrer des bûches dans le cul (cliquer sur les photos).
Cette fois, j'ai vraiment le feu au cul, parce que c'est un très gros morceau que je me fourre dans la cheminée.
Et, croyez-moi, il y a du tirage !
Première publication le 13/03/2013
Vous vous souvenez peut-être que je fantasmais de m'asseoir sur un de ces potelets qu'on trouve dans les villes. Vous vous souvenez peut-être aussi que j'ai eu la surprise et le bonheur d'en découvrir un chez Anne-Lise, ma patronne (cliquer sur la photo).
Après l'avoir essayé (le poteau, pas Anne-Lise), je n'ai eu qu'une envie, recommencer. Alors, chaque fois que je suis retourné chez cette patronne, après ma journée de travail, je me suis mis en tenue, et je me suis de nouveau empalé sur ce poteau.
Un régal !
Première publication le 07/03/2013
