Alors voici un autre truc génial à se fourrer dans le cul.

C'est un tube de mousse isolante pour circuits de chauffage ou de climatisation.

J'en ai fermé une extrémité, et pour la rigidité, j'ai enfilé le tube sur le manche de ma dame de tassement.

Ça fait un diamètre énorme, que je ne pourrais pas m'enfiler si c'était un objet dur. Mais cette mousse se compresse quand elle passe mon sphincter et elle se décompresse une fois dans mon rectum.

Je ne vous dis pas la sensation! La rondelle complètement dilatée et le cul complètement rempli: EXTRAORDINAIRE!

J'habite une région formidable: il y a des bois, il y a des champs où j'aime me balader à poil, mais surtout, on y trouve des végétaux intéressants.

Je ne vous parle pas des betteraves sucrières, qu'un jour j'aimerais bien pouvoir me fourrer dans le cul, mais jusqu'à présent, j'ai eu beau inspecter les tas que les cultivateurs en font à l'automne, elles sont toutes énormes, et je n'en ai pas encore trouvé du bon calibre.

Ce qui me plaît beaucoup, c'est le maïs. L'été, pris d'une envie subite, il m'est arrivé de m'arrêter au bord d'un champ, de m'y mettre à poils et de me taper un ou deux épis directement sur le pied, frais, gorgés de jus (cliquer sur la photo).

A l'automne, le maïs, c'est encore mieux. Là, il a eu le temps de grossir et je peux choisir les épis les plus gros. Alors je me les tape avec ou sans les feuilles, et c'est un régal !

Hhmmmm! Sentir ces feuilles un peu rèches ou ces grains qui vont et viennent ... Le pied!

Première publication le 25/03/2013

Je vous ai déjà montré que j'étais cap' de me carrer des bûches dans le cul (cliquer sur les photos).

Cette fois, j'ai vraiment le feu au cul, parce que c'est un très gros morceau que je me fourre dans la cheminée.

Et, croyez-moi, il y a du tirage !

Première publication le 13/03/2013