Parfois, l'envie de me tripoter est provoquée par une ambiance, un décor ...

Chez Jeanne, ma patronne, je ne sais pas pourquoi, dès que j'entrais dans le salon, la vue de son canapé en cuir rouge suscitait en moi des images de sexe !

En fait, il y avait toute une ambiance "sexe" dans ce salon: en plus du canapé, il y avait deux fauteuils et un pouf, également en cuir rouge, des rideaux de voile ... rouge ... et même un coussin ... rouge, avec le logo Playboy, vous savez, le lapin au nœud papillon ...

Alors, chaque fois que Jeanne s'absentait pour une raison ou pour une autre, je m'offrais une petite séance "sexe" dans son salon. Dans cette vidéo, il y a une compil de deux ou trois séances sur son canapé.

Cette vidéo débute par la découverte de lingerie que Marie-Claire à laissée, accrochée, comme souvent, à la poignée de porte de sa salle d'eau.

Marie-Claire ? Pour ceux qui ne fréquentent pas régulièrement ce blog, Marie-Claire était une de mes patronnes.

Les petites culottes de Marie-Claire étaient rarement crades. Tout juste, de temps en temps, elle s'était un peu oubliée, alors ... odeur d'urine. Je n'aime pas trop.

Mais, le plus souvent, ses petites culottes et ses strings avaient une odeur caractéristique de femelle (en particulier ses strings). Ça venait de son fluide vaginal: elle avait mouillé de désir ou de plaisir, et le gousset en coton avait absorbé ses sécrétions, et parfois, sa lingerie en portait encore la trace visible.

S'était-elle caressée toute seule, ou s'était-elle fait caresser le clitoris et les petites lèvres dans son string? Peut-être avait-elle remis son string après s'être fait baiser? Elle avait un amant, un black plus âgé qu'elle, mais je n'ai jamais trouvé l'odeur caractéristique du sperme dans sa lingerie. Non pas parce qu'elle se serait lavée après l'amour: dans ce cas, je n'aurais pas non plus retrouvé ses effluves de femelle. C'était donc que, s'il l'avait baisée, son amant s'était retiré avant d'éjaculer ou avait mis un préservatif. Ou bien encore, c'est parce qu'il la sodomisait. C'est très possible, parce qu'il y avait toujours trois ou quatre tubes de lubrifiant entamés dans les tiroirs de sa table de chevet...

Ça ne m'aurait pas dérangé de trouver des traces de sperme dans les culottes de Marie-Claire, je les aurais quand même léchées et sucées. Mais il n'y en a jamais eu. Ses strings devaient lui mouler la chatte, voire lui entrer dans la fente, et forcément, ils épongeaint ses fluides intimes. Après quelques mois de fouilles et de découvertes de ce genre de trésor, dès que je mettais le nez dedans, que je sentais ces effluves, je me mettais à bander.

Parfois, ses petites culottes et ses strings sentaient aussi, très nettement, le parfum Opium. Sans masquer ses fragances intimes, l'odeur du parfum était tellement forte que c'est forcément parce qu'elle avait parfumé sa lingerie, ou qu'elle s'était parfumé la chatte. Comme ce parfum ne se retrouvait pas systématiquement sur cette lingerie, j'en suis arrivé à penser que c'était seulement quand elle avait rencontré son amant. Opium est une essence très sensuelle et, sur moi, il a un puissant effet aphrodisiaque, sans doute parce que, maintenant, je l'associe automatiquement au sexe. C'était peut-être aussi le cas pour Marie-Claire et son amant. Toujours est-il que, je bandais instantanément quand mon nez détectait, dans une pièce, la présence d'une petite culotte qui en était imprégnée. 

D'ailleurs, je ne me contentais pas de mettre mon nez dans ses dessous: en général, après les avoir humés, j'y frottais ma queue, mon gland, pour y déposer un peu de mon propre fluide, et, sauf quand ils sentaient la pisse, je léchais et je suçais systématiquement le fond de ses petites culottes et de ses strings. Hhhhhhmmmm, avoir dans la bouche ce tissu qui avait moulé sa chatte, qui était même peut-être entré entre ses petites lèvres, chaudes, humides … j'en bande encore, rien que d'y repenser !

Curieusement, la lingerie de Marie-Claire m'excitait plus qu'elle même. Je la rencontrais de temps en temps, notamment quand elle me demandait de passer chez elle le week-end pour me commander des travaux. J'avais beau la détailler en douce, la déshabiller mentalement de la tête aux pieds, examiner ses formes, étudier son grain de peau, ses lèvres, etc. , je n'avais pas plus que ça envie de la baiser. Elle était loin d'être répugnante, et même plutôt agréable physiquement.

Je me rappelle en particulier ce matin d'été où, venant de se lever, elle m'avait reçu dans un pyjama composé d'un long T-shirt et d'un caleçon très ajusté, très moulant. Manifestement, elle devait penser que son T-shirt descendait plus bas et qu'il lui dissimulait entièrement le bassin, alors qu'en fait, il s'arrêtait au ras de son pubis ... Tout en sirotant le café qu'elle m'avait proposé, j'avais du mal à détacher mon regard de son caleçon, dont la couture centrale rentrait dans sa chatte et lui moulait les grandes lèvres et le mont de Vénus ! Ce jour là, j'aurais volontiers glissé une main dans la tiédeur de ses cuisses, et mon majeur dans sa fente... L'envie qu'elle m'inspirait vraiment, c'était de lui bouffer la chatte. Ça, oui, ça m'aurait bien plu: l'allonger sur son lit, les jambes pendantes, les pieds sur sa descente de lit, m'agenouiller entre ses cuisses, et lui prodiguer un cunilingus, si possible, au départ, à travers un de ses strings, puis directement.

(Sur cette photo, sur le lit de Marie-Claire, ce n'est pas elle, c'est moi, avec un de ses strings. C'est là, et exactement dans cette position et dans cette tenue que j'aurais aimé lui bouffer la chatte ... et peut-être, après, quand même, la baiser ...)

Quand je la rencontrais, je trouvais surtout très agréable, tout en bavardant, de penser que j'avais porté, reniflé, léché, sucé toutes ses petites culottes, que je m'étais branlé dedans et que j'y avais répandu mon sperme ... tiens, justement dans celle qu'elle devait porter là, tout de suite, devant moi, ainsi que dans celle que j'apercevais du coin de l'œil, encore accrochée à la poignée de porte de sa salle d'eau, et dans laquelle, pas plus tard que trois jours avant, j'avais répandu ma semence, et qui en portait encore quelques traces séchées …