Oh oui !

Je sens d’abord tes mains qui effleurent mes fesses à travers le tissu. Ça m’électrise le bas ventre, et je commence à bander. Puis, plaqué contre mes fesses, tu passes tes mains devant moi et tu me palpes le sexe à travers le tissu. Je bande de plus en plus, mais ma queue, coincée sous ma jupe, ne parvient pas à se redresser. Je sens ton sexe qui bande aussi, collé contre mon cul. Enfin, tu glisses une main sous ma jupe que tu soulèves un peu pour libérer ma bite. D’une main, tu commences à me tripoter la verge, tandis que de l’autre, tu me caresses les boules. Maintenant, ma queue est toute raide et je ferme les yeux de plaisir. 

Brusquement, tu lâches ma bite et mes couilles et tu t’écartes de moi. Je sens que tu t’agenouilles. D’une petite tape à l’intérieur de mes cuisses, tu me fais écarter les jambes. J’obtempère.  

Tu finis de relever ma jupe et, de chaque main, tu m’empoignes une fesse, et tu me les écartes. Je sens que tu enfouis ton visage dans ma raie. Je me cambre pour offrir ma fleur à ta caresse, et je sens ta langue qui commence à parcourir mon sillon. Une de tes mains remonte entre mes jambes vers ma queue et commence à la masturber. Je passe une main derrière moi, et je la pose sur ta tête.

Je meurs d’envie que tu glisses ta langue en moi, mais tu me fais languir et tu continues tes aller et retour dans ma raie. Enfin, je sens que tu la poses sur ma rondelle, et sa tiédeur humide commence à me pénétrer. 

Tu me mets le feu et je n’ai plus qu’une envie, c’est qu’après m’avoir ainsi lubrifié, tu me fasses mettre à quatre pattes au milieu du jardin, et que tu me prennes en levrette ….