Partager l'article ! Par la jambière 002.: J'aimais beaucoup travailler en short sans rien dessous. Je travaillais le plus souvent en plein air et je senta ...
Le blog de Marin Cathare
J'aimais beaucoup travailler en short sans rien dessous.
Je travaillais le plus souvent en plein air et je sentais le vent frais ou chaud s'insinuer par les jambières et me caresser les fesses, la queue, les couilles. C'est un régal !
Une anecdote à ce propos: je travaillais pour une vieille dame dont j'entretenais le parc. De temps en temps, me demandait d'autres menus travaux.
Un jour, alors que je jardinais dans une tenue de ce genre, avec la bite et le cul à l'air sous mon short, elle vient me demander de remplacer des ampoules sur le grand lustre suspendu dans son entrée. C'est une grande maison bourgeoise du 19° siècle et ce lustre se trouve à presque 3 mètres de haut ! Il faut donc que je grimpe sur un grand escabeau avec sept ou huit marches. Et au lieu de me laisser me débrouiller seul, la vieille dame insiste pour m'aider en me passant les ampoules neuves.
La voilà donc au pied de l'escabeau, les yeux levés vers moi, et qui me tend une première ampoule. J'ai les 2 mains occupées, une pour me cramponner à l'escabeau et l'autre à dévisser une ampoule grillée, et je me contorsionne comme je peux pour éviter que la jambière de mon short ne baille pas trop. Mais je sens que ma patronne a une vue directe sur la jambière béante de mon short … et sur ce qu'elle ne cache pas ! Alors en me penchant pour prendre l'ampoule qu'elle me tend, je plaque mon short sur ma cuisse, et je lui lance:
- Je suis désolé, je ne pouvais pas prévoir que je devrais grimper sur cet escabeau.
- Laissez, laissez ! Ça ne me dérange pas, au contraire. Il y a bien longtemps que je n'en avais pas vu. Allez, continuez.
Du coup, ça m'a libéré et j'ai continué sans aucune précaution, laissant ma patronne se rincer l'œil à son aise.