Dimanche 25 septembre 2016 7 25 /09 /Sep /2016 01:00

Les petites chattes.

 

Parfois il m'arrive, en la voyant en photo ou en la rencontrant, de me dire « cette fille, c'est la perfection ». Pas forcément "toute" cette fille, mais une partie d'elle … un joli visage, un corps bien proportionné, un cul splendide … Je dois reconnaître que le plus souvent, ce qui me fait m'extasier ainsi se situe entre la taille et les genoux. Ça s'est produit il y a presque un an.

 

Quand je suis en Bretagne, presque tous les samedi, je vais faire un tour à Quimper. J'aime bien cette ville ainsi que l'animation qui y règne ces jours-là. Ce samedi de la fin septembre, j'y vais donc, à la recherche d'un livre chez les bouquinistes où j'ai mes habitudes. Coup de chance, je le trouve chez le premier que je consulte. Il fait beau et chaud, il n'y a pratiquement plus de touristes en cette fin d'été, et pour ceux, jeunes et moins jeunes, qui ont repris l'école ou le travail, le stress et les soucis de la rentrée sont déjà oubliés. Dans les rues il règne une ambiance festive et décontractée.

 

Je décide de feuilleter immédiatement le bouquin que je viens d'acheter. Mon achat en main, je jette mon dévolu sur un banc, presque en face d'une passerelle qui enjambe le Steïr, un affluent de l'Odet. Assis face au soleil, encore chaud à cette époque, je me plonge dans ma lecture, fermant mon esprit au brouhaha de la foule des badauds qui circulent autour de moi.

 

Le nez dans mon bouquin, je fais à peine attention à ces deux femmes, la soixantaine bling-bling et maniérée, qui viennent s'asseoir sur "mon" banc pour bavarder, jusqu'à ce que l'une d'elles allume une cigarette et la laisse se consumer toute seule, m'envoyant sa fumée dans le nez.

 

Soudain, des rires et des éclats de voix me font lever le nez de ma lecture. Cinq filles sont en train de s'engager dans ma direction sur la passerelle qui est devant moi.  Elles avancent, dos au soleil et, lorsque je lève les yeux de mon livre, je ne les vois tout d'abord que dans une espèce de contre-jour qui ne me permet de distinguer que leurs silhouettes. 

 

Du même coup d'œil, je saisis immédiatement ce qui les faire rire: deux jeunes hommes, assis sur un banc de l'autre côté de la rivière, et qui, vraisemblablement, les ont interpellées quand elles sont passées devant eux. 

 

De ces jeunes filles, je ne remarque donc tout d'abord que les silhouettes. Cinq silhouettes mais un style unique: cheveux longs flottant au vent, blouson ou veste courte, jeans moulants, tennis ou ballerines, sac retenu par l'anse au pli du coude, smartphone dans la main.

 

Moi, je n'avais ni smartphone, ni appareil photo que, de toute façon, je n'aurais pas osé utiliser pour immortaliser cet instant. Mais j'ai trouvé sur Internet cette photo qui illustre bien ce style vestimentaire.

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Mais dans ces silhouettes en contre-jour, quelque chose me saute immédiatement aux yeux … leurs jeans moulants. Ils sont vraiment très très moulants et dessinent, comme en ombres chinoises, le contour de leurs hanches, de leurs cuisses et de leurs mollets comme si elles étaient nues. Mais plus encore, sur celle qui est au milieu du groupe, la plus grande des cinq, le triangle délimité par le haut de ses cuisses et son sexe est si marqué et si ouvert qu'il forme comme un jour à travers lequel on voit ce qui se trouve derrière elle. Rien à voir avec ce qu'en anglais on appelle le "thigh gap" et qui conduit certaines jeunes filles à une maigreur à la fois inesthétique et malsaine. Non, celle-ci a des formes, des cuisses fuselées et charnues, seulement amincies au niveau de l'aine, mais qui se touchent presque quelques centimètres plus bas … 

 

Sur Internet, j'ai trouvé quelques photos pouvant illustrer les formes si particulières de l'entrecuisses de cette jeune fille. 

 

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Sur mon banc, mon œil capte tout cela en une fraction de seconde, et la vision est si … captivante que, bien sûr, j'en oublie de remettre le nez dans ma lecture. Je regarde cette joyeuse troupe approcher. Et du coup, mon regard se porte sur les quatre autres jeunes filles … mais non, sur celles-ci, on ne voit pas cet espace entre leurs cuisses. 

 

Elles viennent droit sur moi, ou plutôt, sur nous, c'est-à-dire sur mes voisines "bling-bling et maniérées" et moi. Au fur et à mesure qu'elles approchent, mes yeux s'étant accoutumés à la lumière, je peux détailler ces cinq jeunes filles. Outre la plus grande, au milieu, il y en a deux autres assez grandes et deux plus petites. A leurs visages encore juvéniles et à leurs corps pas encore matures, elles doivent avoir … quinze ... seize … dix-sept ans … Toutes les cinq assez jolies de visage, et toutes les cinq plutôt bien faites … minces, mais avec des formes.

 

Après cet examen assez général, mon regard est de nouveau attiré par ce qui m'a sauté aux yeux au premier coup d'œil … leurs jeans … En fait, ce n'est pas exactement des jeans. C'est apparemment une toile très souple, extensible et très moulante. Ce sont donc plutôt des leggings, c'est-à-dire entre le collant et le jean skinny. D'ailleurs, les leggings de trois d'entre elles, dont la plus grande, imitent la toile de jeans bleue. Les autres sont noirs. 

 

Maintenant qu'elles ne sont plus qu'à quelques mètres de moi, je me rends compte à quel point elles sont moulées dans ce vêtement. Toutes ont le ventre plat, mais la plus grande, la jeune fille au "triangle", a le ventre si plat, presque creux, que cela fait ressortir son mont de Vénus. Et naturellement, la couture centrale de ses leggings, passant très exactement au milieu de son pubis, se trouve plaquée dans sa fente, entre ses grandes lèvres et en fait ressortir le relief. C'est très sensuel et suggestif et je me dis que c'est ce qui a fait réagir les deux jeunes hommes sur leur banc. 

 

Dans quelques secondes, arrivées au bout de cette passerelle, elles vont nécessairement bifurquer d'un côté ou de l'autre. Si elles tournent à gauche, je pourrais directement contempler leurs culs. Si c'est à droite, elles commenceront par passer à deux ou trois mètres devant moi avant de me montrer leurs chutes de reins ...

 

Au moment où, toujours en riant, elles commencent à tourner vers la droite, en une fraction de seconde, j'ai le temps d'apercevoir, à travers le "triangle" de la grande jeune fille, un petit bout d'une de ses fesses …

 

C'est exactement à ce moment que ma voisine à la cigarette dit à son amie:

- Celle du milieu … à mon avis, elle porte un string …

 

… sans retenue, elle a parlé assez fort pour que l'intéressée et ses copines entendent, et elles repartent en éclats de rire. Je jette un rapide coup d'œil à mes voisines. Elles aussi sont en train de contempler sans vergogne ces cinq gamines … et même, de les déshabiller du regard … tout comme moi, c'est vrai, mais avec un rien de jalousie admirative. Comment cette femme sait-elle que celle du milieu porte un string ? Je n'ai rien remarqué.

 

- Non … pour moi, en dessous, elle ne porte rien du tout … ça se verrait …

 

C'est la deuxième voisine qui répond à la fumeuse.

 

Alors, je reviens aux petites chattes au moment où, après être passées devant nous, elles commencent à s'éloigner … leurs leggings moulent quatre très jolis petits culs et un cul splendide … celui de la grande fille du milieu. Je reste captivé par celui-ci. La couture centrale de ses leggings lui rentre dans la raie des fesses et la toile les lui moule parfaitement, comme une seconde peau … et vus de derrière, son bassin et surtout son cul, sont parfaitement proportionnés à ses longues cuisses fuselées … la perfection !

 

Moi, je serais bien incapable de dire si elle portait un string ou rien du tout … Les autres ? Je ne suis pas bien sûr, mais il me semble que sur l'une d'elles, on voit un peu la marque des élastiques de la culotte qui lui coupe un peu les fesses …

 

- Elle est vraiment bien faite, cette gamine …

 

C'est ma voisine à la cigarette qui vient de conclure. Dans un sens, ça me fait plaisir. Non pas que j'avais besoin de l'avis de qui que ce soit pour trouver cette "gamine" bien faite, mais que ce soit partagé par cette bonne femme rend mon jugement en quelque sorte objectif. 

 

Le jour même, une fois rentré chez moi, j'ai voulu faire partager cette émotion sur un forum que je fréquente, mais le modérateur a censuré le texte que je venais de mettre en ligne. A mon avis, ça ne peut être qu'à cause de l'âge présumé de ces jeunes filles … quinze à dix-sept ans. Il a sans doute eu peur que ma contribution soit assimilée à de la pédophilie ou à de l'incitation à de la pédophilie. C'est méconnaître le code pénal. Ce n'est qu'en dessous de quinze ans que l'on peut tomber dans ce domaine. Et mon propos n'était que la description de jeunes filles, de leur habillement et de leurs physiques, et l'expression d'un ressenti à la fois esthétique et érotique.

 

Ah oui, une précision, tout de même: quand j'intitule cet article "les petites chattes", je ne fais pas référence aux sexes de ces gamines. Non, "les petites chattes", ce sont les gamines elles-mêmes. 

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Des filles qui me plaisent
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