Hhhmmmmm, parcourir les pages "lingerie" d'un site de vente par correspondance, examiner les photos de petites culottes qui "habillent" ces petites chattes, ces culs rebondis, ces ventres plats, ces cuisses fuselées ...

... étudier le descriptif du produit, forme, couleurs, tailles et surtout, surtout ... quelle proportion d'élasthane dans le tissu ?

Hé oui ! Il faut que que le tulle soit très souple, très élastique, à la fois pour le confort, et pour que le triangle de devant puisse contenir et mouler mon organe ...

... commencer à m'imaginer dans ce string, dans ce tanga ou ce shorty, anticiper les sensations de ma queue et de mes couilles au contact de ce tulle ... et déjà, dès cet instant, sentir l'excitation monter ...

... alors, sélectionner, commander ... et attendre la livraison ...

... et quand elle arrive, quand j'ouvre le colis, que je palpe ces matières, que je teste leur souplesse, leur élasticité, avant même d'essayer cette lingerie, je bande !

Alors, quand je l'enfile, je mouille déjà, et ma queue qui bavouille de bonheur fait une première tache à travers le tissu ...

Oui ... je passe au vert ...

En voiture, oui, oui, bien sûr, je passe au vert ... Mais dans cette vidéo, ce n'est pas en voiture que je passe au vert ...

Dans cette vidéo, après le bleu, le orange, le blanc et les autres ... je passe au ballon de baudruche vert.

Inutile de vous expliquer encore une fois pourquoi j'aime me fourrer des ballons de baudruche dans le cul ...

Si ? Alors: calibre, consistance, longueur ... 

Oh, et puis, vous n'avez qu'à regarder, vous comprendrez ...

Un jour de printemps, où je travaille chez Yvette ... Yvette L., à ne pas confondre avec Yvette B. Une autre fois, je vous montrerai une exhib chez Yvette B.

Donc, matinée de printemps. On voit bien, sur les premières photos, le vert tendre des premières feuilles d'acacias. Il fait beau, une petite bise un peu fraîche me caresse le visage pendant que je travaille. 

Et Yvette m'annonce qu'elle s'absente une petite heure pour faire une course. C'est irrésistible, parce que c'est un des premiers beaux jours où je peux me mettre à poil, ou presque, en extérieur, après un long hiver ! Alors, dès que ma patronne a disparu au bout de la rue, je fonce dans ma camionnette récupérer ma tenue d'exhib préférée.

Les premières photos, je les fais derrière la maison. Mais le jardin donne sur un petit bois, et comme ça manque un peu de piquant, je fais les suivantes à l'entrée du garage, à la vue de la rue. On aperçoit le portail sur les deux dernières photos.

En fait de rue, c'est une départementale entre Meaux et l'Oise, où il circule continuellement beaucoup de monde: voitures, poids lourds, tracteurs, autocars ...