Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec
des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des
fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à
pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être
porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Ça y est, me voilà enfin sur scène !
Comment ça "quelle scène ?" Mais si, souvenez vous … la scène installée avec les
moyens du bord … dans la cour d'une ferme … pour un gang bang organisé par Philippe …
Philippe … vous voyez qui je veux dire, ou non ? Rappelez-vous, Philippe, c'est cet inconnu
à vélo, rencontré au bord d'un canal et qui m'avait demandé de le branler devant des randonneurs … vous ne voyez toujours pas ? Mais si … après, pendant que j'étais en train de lui tailler une
pipe, on s'était fait surprendre par un cultivateur … Jean-Claude … qui s'était masturbé en nous regardant, et qui m'avait éjaculé dans le dos …
Ah, ça y est, vous vous souvenez ? Et bien, après ça, Philippe avait proposé de m'organiser
un gang bang dans la ferme de Jean-Claude, le cultivateur … un gang bang pour moi … pour moi tout seul ….
Un gang bang … en fait, pas vraiment. Moi, j'appellerais plutôt ça une tournante. Déjà à
cause du nombre de participants, pas loin d'une trentaine … rien que des inconnus, exceptés Philippe et Jean-Claude qui nous héberge dans sa ferme. Voilà, vous y êtes … Pour moi, c'est une
tournante aussi pour la façon dont ces mecs me sont passés dessus dès mon arrivée à la ferme: à la chaîne et sans fioritures, uniquement pour se vider les couilles. Pour donner une image, c'était
un peu comme ce pote à qui tu offres l'apéritif et qui te demande d'abord deux grands verres d'eau pour la soif, avant de savourer ton apéro. Ce matin, tous ces mecs étaient tellement en urgence
qu'en moins de trois heures, je les avais déjà tous épongés. C'est aussi pour ça que ça me rappelle vraiment ce que subissent certaines nanas dans des caves sordides de cités. La différence avec
ce genre de tournante plutôt glauque, c'est d'une part que moi, j'étais demandeur pour me faire grimper par tous ces mecs, et que d'autre part, ici, le cadre est bucolique et l'ambiance plutôt
sympa.
Bref, ces mecs ont eu une idée géniale: dresser une espèce de scène avec des gros rouleaux
de paille et des palettes, sur laquelle ils ont installé un matelas. Comme ça, pendant que je me fais troncher, les autres sont au spectacle. Ça me plaît beaucoup parce que, dès que j'ai commencé
à me faire fourrer par un de ces mecs sous les yeux des autres participants, j'ai découvert quel plaisir c'est de me faire tringler en public. En plus ça contribue à exciter et à donner envie à
ceux qui regardent de venir me baiser à leur tour.
Et là, depuis une petite demie heure, j'ai commencé mon show sur scène. Pas tout seul,
évidemment …
Il a fallu que ce soit moi qui entraîne l'un d'eux, Kevin, sur cette estrade pour que les
autres se décident à leur tour. Bon, OK, il y a eu la sieste après le repas, mais j'ai plutôt l'impression que la plupart des mâles ici présents n'osaient pas commencer et attendaient que
d'autres inaugurent l'installation. Voilà, c'est fait, et de voir un ou deux de leurs comparses me fourrer comme au spectacle, ça les a excités et ça les a décidés à y venir
aussi.
Et là, il y en a déjà cinq ou six qui me sont passés dessus sur scène, sans compter deux ou
trois qui sont venus se faire téter le poireau ou se faire branler. Excepté Kevin, les tout premiers qui m'ont fourré ici, l'ont fait sans prendre leur pied, comme s'ils se réservaient pour plus
tard, et puis le grand brun à la belle queue a été le premier à vraiment me tirer sa cartouche. Après lui, il y en a eu deux autres, et le cocktail de semences que ces trois mecs ont commencé à
concocter, s'écoule déjà de mon cul. Le dernier vient tout juste de se décoller de moi et de se relever. Il s'est à peine éloigné que je sens déjà le matelas s'aplatir entre mes genoux sous le
poids d'un nouveau venu.
- Bouge pas
… reste comme ça ….
Une main se pose sur ma fesse et glisse directement dans ma raie … des doigts pataugent à
l'entrée de mon fourreau:
- Oooh putain ! T'as le cul plein de foutre !
C'est la voix d'Hamid. Il m'a déjà un peu ramoné, tout à l'heure, après que le petit Kevin
m'ait fécondé. Mais il n'a pas joui … pas encore. Là, à son intonation, je sens que sa remarque sur mon cul plein de foutre n'est pas un reproche … plutôt une constatation teintée de stupéfaction
… Il continue de me travailler la rondelle et sans hésiter il m'enfonce un doigt. Hhmmmm ! Ça me surprend de sa part … jusqu'ici, il m'avait paru plutôt coincé et je pensais que ça le dégoûterait
de patouiller comme ça dans le sperme des autres… d'ailleurs, tout à l'heure, il m'a soigneusement essuyé le fourreau avant de me chevaucher … Comme quoi … Alors je me cambre, à la fois pour
l'inviter à continuer et pour faciliter son exploration. Il a compris, et il m'introduit un deuxième doigt ... puis un troisième ... comme par réflexe, ma fleur bâille toute seule sous sa caresse
… hhmmmm, je le sens barboter dans le mélange tiède et visqueux qui baigne mon rectum … il sait y faire, le salaud … avec ma rondelle rendue hypersensible par tous ces coups de bites, son
doigtage me rend dingue, et je me mets à gémir de plaisir …
- T'aimes ça, hein, le foutre …
- Oui … et tes doigts aussi … rrrhhhh … rrrhhh … rrrrrrhhhh …
- Hé, les mecs ! Il ronronne comme une chatte en chaleurs !
Ben oui, j'aime ça ! Je le sens bouger, à genoux entre mes cuisses, et le matelas s'affaisse
un peu à côté de mon aisselle gauche en même temps qu'il retire ses doigts de mon cul …
- T'aimes le foutre ? Tiens, en voilà …
Il s'est penché au-dessus de moi, et il me colle sa main toute enspermée contre les lèvres.
Un peu surpris, j'ouvre la bouche et il y glisse ses doigts. Je commence par lécher précautionneusement cette mixture douceâtre et un peu poisseuse, et puis, à l'idée que c'est bel et bien un
cocktail de la semence des trois mâles qui viennent de me passer dessus … hhhmmmm … ça m'excite, alors je saisis le poignet du marocain et je lui suce consciencieusement les doigts un à un … ça
le fait rire … Une fois sa main nettoyée, je me tourne sur le côté gauche, appuyé sur le coude, la jambe droite légèrement repliée … je sens une espèce de bouillie tiède s'écouler de mon cul en
faisant des bulles. Hamid, toujours à genoux entre mes cuisses, se demande ce que j'ai l'intention de faire … je le regarde, je lui caresse le ventre et j'effleure son sexe, dressé à 45 degrés …
il est excité et il a encore envie de me fourrer …
- Tu vas encore me baiser, Hamid ?
Il hoche vigoureusement la tête. Je parcours sa queue du bout des doigts.
- Tu vas aussi prendre ton pied dans mon cul ?
- Ouais.
- Tu veux m'essuyer le cul, comme tout à l'heure ?
- Nan …
Je soulève ma jambe droite, écartant largement mes cuisses, et j'étale sur mes couilles et
sur ma queue la gelée poisseuse qui souille mon périnée … Hamid se marre en secouant la tête. Dans son regard, je lis clairement ce qu'il pense: "quelle salope !". Il a raison, c'est
exactement ça, je me sens vraiment très salope, et ça me plaît ! Je crois qu'en effet, tous ces mecs me prennent maintenant pour une fieffée salope. Je dois dire que de ce point de vue,
aujourd'hui, j'ai été à la hauteur. Je m'étonne moi-même. Il n'y a pas si longtemps, quand je regardais une vidéo dans laquelle une femme, au milieu d'une bande de mâles en rut, se comportait
comme de la viande à bites et se faisait remplir et couvrir de foutre, je trouvais ça assez limite. Mais là, tous ces mecs m'ont déjà baisé, et certains deux fois, et ça ne m'a pas calmé, bien au
contraire. Ils bandent encore pour mon cul, et j'ai toujours autant envie de me les prendre dans le fion … Il paraît que dans le monde animal, il y a des femelles qui repoussent les mâles dès
qu'elles ont été fécondées. Moi, c'est l'inverse … comme si la semence de ces mecs, en imprégnant les muqueuses de ma bouche et de mes entrailles, agissait comme un puissant aphrodisiaque
alimentant mon irrépressible envie de bite et de foutre !
C'est un cercle vicieux. Un délicieux cercle vicieux ! Ô combien vicieux !
Alors oui, je ne demande que ça, prendre des coups de queue, encore et encore ! Ça m'excite
d'autant plus que, tout à l'heure, avant de me baiser, le grand brun a annoncé la couleur: maintenant, ceux qui vont venir me fourrer vont tremper leur queue dans le sperme des autres ! Pas
question que je me vide ou que je me lave entre deux coups de bites. Je vais encore me faire remplir à la chaîne, comme ce midi, sur le bar …
Au départ, quand Philippe m'a proposé cette tournante, je ne l'avais pas vraiment imaginée
comme ça. Même au cours de la semaine qui a suivi, et jusque à mon arrivée ce matin, je l'anticipais plus sage, moins débridée et moins pleine de ces sécrétions, de ces liqueurs éjaculatoires …
j'imaginais bien ces mecs me passer dessus l'un après l'autre … pas autant de mecs, d'ailleurs, une quinzaine tout au plus – putain, trente mecs ! Je me fais troncher par trente mecs ! - je les
imaginais me prendre, les uns en levrette à quatre pattes sur la pelouse, les autres sur le dos sur une table, tirer leur coup plus ou moins rapidement … et, tout en espérant qu'ils ne voudraient
pas mettre de capote, je m'attendais à ce que certains en mettent, et que les autres exigent que je me lave le cul entre deux … fécondations … et j'imaginais qu'après avoir tiré un coup, ils se
taperaient un apéro, mangeraient et rentreraient chez eux … Je ne suis pas sûr qu'eux-mêmes s'attendaient à une telle débauche, mais ils ont fini par réaliser qu'il n'y aurait pratiquement aucune
limite, hormis la violence, l'humiliation et le scato … Alors la copulation à laquelle je me suis abandonné sans retenue avec chacun d'entre eux a alimenté l'excitation
collective.
Et ce sperme, tout ce sperme ! Bien sûr, chaque fois que l'un d'eux a joui dans ma bouche ou
dans mon cul, nous n'étions que deux à le sentir physiquement … lui et moi … mais les autres se rendaient bien compte qu'il était en train de prendre son pied et de répandre sa semence dans ma
gorge ou dans mon cul … et puis, de là où se trouve la plupart des spectateurs, les yeux à la hauteur de mon cul, ils sont assez près pour entendre les gargouillis que font les bites qui me
ramonent et voir en gros plan ce qui s'écoule de mon fourreau. Et j'ai l'impression que ce cocktail de spermes, devenu omniprésent, fait maintenant partie du jeu pour cette bande de mâles. Ils
n'ont pas l'air d'être dégoûtés ou de craindre une contamination à l'idée de tremper leur bite là-dedans. C'est un peu comme si ça les excitait, eux aussi, comme si ça leur donnait envie de venir
ajouter leur propre semence à ce cocktail …
Au pied de la scène, ils sont toujours une bonne vingtaine à regarder, les autres un peu
plus loin, autour des tables. Dans leurs yeux, je lis aussi "quelle salope !". Dans leurs sourires, ou plutôt dans leurs rictus, je lis "je vais venir encore te bourrer". Alors,
tout en les regardant l'un après l'autre, je glisse ma main entre mes fesses, jusqu'à mon fourreau, et à mon tour, j'y introduis trois doigts … je les ressors pleins de sperme que je lèche avec
application. Quand c'est fait, je me tourne un peu vers Hamid, je saisis sa queue, et tout en le tripotant machinalement, je lance à l'assemblée:
- Bon, maintenant, les étalons, vous allez venir me remplir … tous …
"Les étalons" … Ça leur plaît autant qu'à moi, de les appeler les étalons. Et ça
décide deux types qui se faufilent au milieu du groupe et se dirigent vers l'escalier au pied de la scène … Tiens, en tête, c'est l'autre connard avec qui je me suis fritté à midi … et à sa
suite, le type un peu mou qui l'accompagnait dans la salle de bain de Jean-Claude, ce matin … un autre leur emboîte le pas, sa tête ne me dit rien … et derrière lui, le vidéaste, celui qui
m'a fourré, debout sur la paille après le repas, ainsi que le mec avec un tatouage sur le pubis. Ces deux-là, il me semble que c'est un des duos qui doit me faire une double sodomie. Ma première
double ? En tout cas, voilà cinq mecs, la bite raide, qui se préparent à monter à l'assaut ! Cinq bites ! L'une, toute gonflée et lourde, pendouille la tête en bas, deux autres sont fermement
empoignées par leurs propriétaires, et les deux dernières se dressent toutes seules à 45° !
Voilà les deux premiers en haut des marches. En tête, le connard, que j'ai foutu par terre
au milieu du repas pendant que je le suçais sous la table. Hamid l'a reconnu: c'est aussi ce mec qui était venu faire chier mon marocain quand il voulait me sauter dans la salle de bain. Hamid me
tapote le poignet pour attirer mon attention, et me le désigne du menton:
- Tu … tu vas le laisser te baiser ?
- Je sais pas … il s'est calmé, non ? Tu t'es calmé ?
- Ouais, ouais …
- J'aurai pas besoin de Sam ?
- C'est qui, Sam ?
- Le costaud … le tatoué …
- Ah ouais … nan, t'en auras pas besoin …
- Bon … visiblement, t'as encore envie de me baiser …
Il serre sa queue et se masturbe doucement.
- Ça se voit, non ?
- Ouais, ça se voit …
- Alors ? J'pourrai te baiser ?
- Pas de violences ?
- Nan, pas de violences.
- Bon, alors tu pourras me baiser … attends ton tour.
Je me tourne vers Hamid:
- Bon, et toi, tu me baises comment ?
- A quatre pattes, ma poule …
Il me tapote la hanche pour m'inviter à me remettre en position. Je me retourne, mains à
plat sur le matelas, cuisses bien écartées. La mixture que je me suis étalée sur la bite et sur les couilles a commencé à sécher et me tiraille un peu la peau, mais ce n'est pas désagréable.
Hamid s'approche, ses genoux entre les miens, glisse ses mains sur mes hanches, se soulève un peu pour poser sa queue à plat dans ma raie, et commence à manœuvrer pour faire glisser lentement son
gland jusqu'à ma fleur. Ah la la … ce que j'aime cet instant qui précède l'accouplement, juste avant la pénétration … Voilà, je sens la chaleur et le contact de son gland contre mon anus … un peu
dedans … une pression sur mes hanches, une poussée … je me cambre … Aaaaaaaaah ouiiiii, il est en moi ! Je sens que c'est pour maintenant … tout à l'heure, il m'a fourré comme ça, sans tirer son
coup, mais là, c'est sûr, je le sens prêt, il va jouir dans mon cul … et après lui, il y en a encore cinq autres, prêts aussi à me tirer. Comme tout à l'heure, quand il est monté sur scène la
première fois, Hamid appuie entre mes omoplates pour que je pose ma tête sur le drap. J'obtempère docilement. Je croise mes avant bras sur le matelas et j'appuie mon front dessus. Vas-y, mec,
fais-toi plaisir ! Il commence à aller et venir.
Maintenant, j'aimerais bien que lui et les cinq qui le suivent me prennent tous comme ça,
dans la même position, qu'ils me baisent et qu'ils se soulagent vite fait, sans que je sache qui est en train de me fourrer … j'aimerais que les autres, ceux qui sont en train de regarder, se
décident à leur tour et fassent la queue … j'aimerais sentir qu'une longue file de mâles, bite en main, s'étire dans l'escalier et au pied de la scène pour venir, les uns après les autres
introduire leur sexe en moi et y déverser leur sperme …
Tout en me ramonant, Hamid me caresse fiévreusement les fesses et les hanches. Je l'entends
respirer bruyamment par la bouche. Il est au bord de l'orgasme.
- Ah … pu … tain ! Putain ! Puuuuu … taiiiiin !
Son ventre frappe mes fesses de plus en plus vite dans un bruit de gargouillis … plach …
plach … plach … plach … plach … plach … plach … plach … et il se colle soudain à moi en râlant:
- Rhhaaaaaaaa … puuuu … taiiiiiiiin !
Il jouit . Je ne bouge pas. Immobile, il éjacule et me remplit, les mains crispées à l'angle
de mes cuisses. Je sens une gelée tiède s'écouler lentement sur mon périnée, comme si sa sève, en se déversant dans mon cul, chassait celles des autres. Enfin, Hamid s'appuie des deux mains sur
mes reins, et se relève péniblement. Un petite claque sur ma fesse, et je sens le matelas, libéré de son poids, reprendre sa forme entre mes mollets. J'attends, inerte. J'entends Hamid bougonner
je ne sais quoi quand il croise le connard en haut de l'escalier. Quelqu'un se laisse lourdement tomber sur le matelas entre mes genoux. Qui ? Peu importe. Sa main sur ma hanche … quelque chose
de tiède contre ma rondelle encore béante … sans doute son gland … la main qui le guide effleure mon périnée ruisselant de crème, se pose sur mon autre hanche … un coup de reins et son sexe est
en moi. Ses mains glissent jusqu'à la ceinture de mon porte-jarretelles, à l'angle de mes aines, comme celles d'Hamid il y a un instant, et m'empoignent fermement. Le sexe se met à aller et
venir.
Il n'y a pas à dire, les deux mains d'un mec à cet endroit, ça participe beaucoup à mon
plaisir quand je me fais prendre en levrette. Bien sûr, me faire caresser les fesses, les hanches, les cuisses, le ventre et les reins pendant qu'on me baise dans cette position, c'est très
agréable, mais dès qu'un mec m'empoigne comme ça, à l'angle de mon ventre et de mes cuisses, ça ajoute quelque chose de très puissant à mon plaisir. Un mec qui s'accroche à moi de cette façon, ce
n'est pas seulement pour rester collé à moi, ce n'est pas seulement pour me maintenir, pour piloter notre coït, c'est aussi comme ça que le mâle marque sa possession, sa domination sur moi: avec
ses mains agrippées à mes aines et son sexe dans mon cul, il ne fait pas que me tenir, il me prend, il me possède, je suis à lui.
Qui est en train de me baiser ? Le connard ? Un autre ? Non, sûrement le connard, c'est lui
qui était en tête de la colonne, en haut l'escalier … Vas-y, baise-moi aussi, connard ! Du moment que tu ne joues pas au sadique vicelard, tu peux me fourrer autant que tu veux. Et en effet, à la
manière dont il m'envoie sa queue au fond du cul, à ses doigts qui s'enfoncent convulsivement dans le gras de mes aines, je pense reconnaître la violence à peine contenue de ce mec. Il serre
sûrement les dents, et il aimerait sans doute me faire mal tout en me baisant, mais, par peur de Sam, il se retient et ça doit ajouter à sa rage. Et dans le fond, ça me plaît de me faire sauter
par cette espèce de bombe prête à exploser.
Décroisant mes avant bras, je glisse une main sous mon ventre, jusque entre mes cuisses. Les
siennes sont là, collées aux bas qui gainent les miennes. Je remonte doucement ma main et, au moment où il plaque son ventre contre moi, mes doigts effleurent ses couilles. Il s'apprêtait à
repartir en arrière, mais il sent mes doigts, hésite, et reste finalement plaqué contre moi. Je frôle ses boules poilues, puis je les caresse plus résolument. Je l'entends aspirer l'air
violemment entre ses dents. Je lui fais beaucoup d'effet, avec mes doigts sur ses couilles. A force de venir heurter mon périnée, ses bourses sont poisseuses du cocktail de spermes qui s'écoule
de mon cul.
- Ah oui, putain, tripote-moi les couilles !
Je les saisis, et je les pétris précautionneusement, en tirant délicatement sur ses
bourses.
- Ah oui ! Ah oui ! Vas-y, s……, vas-y, saaalope !
Il se laisse faire quelques secondes, puis il recule son bassin, sort sa queue de mon cul,
et:
- Ah putain ! Relève-toi ! Je veux te tirer la gueule !
Sur le coup, je ne comprends pas. Alors, il insiste:
- Relève-toi et tourne toi ! Je vais te juter dans la gueule !
Je me retourne et je m'assois face à lui. Dans cette position je sens du sperme s'écouler
tout seul de mon cul et s'étaler sur le drap. Le connard s'avance sur les genoux entre mes jambes pour me présenter sa queue. Il la tient, serrée sous les couilles. Elle est effectivement
couverte de sperme, en particulier sous la couronne de son gland: en sortant de mon cul, elle a raclé la crème que les autres mecs ont laissée. Je saisis le milieu de sa verge entre mon pouce et
mon index et de mon autre main, je lui fais lâcher sa queue. Je m'approche et je m'apprête à lécher la mousse blanchâtre qui couvre sa bite. Dès que ma langue touche son gland, sa queue a un
soubresaut réflexe. Il est super excité … ça ne devrait pas durer longtemps. Je passe le bout de ma langue tout autour de son gland, juste sous la couronne, là où le cocktail qu'il a ramené de
mon cul s'est accumulé … hhmmmmm … c'est mousseux, légèrement grumeleux et un peu salé … c'est le sperme de quatre mecs … c'est le désir, la jouissance, l'orgasme de quatre mâles, que je suis en
train de lécher sur cette bite !
Je nettoie consciencieusement la queue du connard puis je l'enfourne … jusqu'au fond de ma
gorge … son gland contre ma luette, ses couilles poisseuses collées à mon menton … nouveau soubresaut. Il me prend la tête entre ses mains et je sens qu'il se maîtrise pour ne pas me la secouer.
Je presse le dessous de sa verge avec ma langue et je recule ma tête. Son gland frotte mon palais. Ça l'achève. Je sens brusquement son urètre gonfler sur ma langue et un puissant jet tiède vient
s'étaler au fond de ma gorge . Ooooh ouiiii, vas-y, jouis, donne-moi ton foutre ! Je déglutis et mon excitation monte …En poussant un long râle, il me bloque la tête pour ne pas sortir
davantage sa queue de ma bouche … un autre jet … un autre encore … j'avale et je sens sa liqueur s'écouler dans mon œsophage … ça m'excite … c'est un connard, mais il est en train de me juter
dans la gueule, comme il dit … encore un jet … vas-y … vas-y … VAS-Y, inonde-moi la bouche ! J'avale encore et j'attends un autre jaillissement … mais rien … c'est fini … Il lâche ma tête. En
ressortant sa queue de ma bouche, je presse son urètre entre mes doigts pour en extraire le fluide qui reste … Il s'empresse de se recalotter, se relève sans un mot, me tourne le dos et descend
l'escalier.
Le type un peu mou qui le suivait s'approche en serrant sa queue dans sa main. Je
l'interroge:
- Comment tu veux ?
De sa main libre, index dressé, il trace un cercle.
Compris ! Ça veut dire "retourne-toi !". Il va aussi m'enculer en levrette.
Demi-tour, à genoux, avant-bras croisés sur le matelas, le font appuyé dessus, cuisses écartées, reins cambrés … prêt ! Vas-y, baise-moi ! Le matelas s'écrase entre mes genoux … un truc chaud,
caoutchouteux et un peu humide vient se plaquer contre ma fesse droite, juste à hauteur de l'entrée de mon fourreau … son gland. Et il commence à le frotter tout autour de ma rondelle, le passant
de temps à autre sur l'ouverture de mon anus. Ça glisse tout seul dans la bouillie qui me souille le cul. Il joue, comme s'il voulait que j'essaie de le gober au passage … Et je sens ma rondelle
se mettre à béer par réflexe … oui, elle la veut, cette bite ! Lui, ça ne lui a pas échappé, et ça le fait rire …
- Tu la veux, ma bite, hein …
Ce n'est pas à moi qu'il s'adresse … c'est à mon cul !
- Tiens ! La voilà !
Je sens le truc chaud et caoutchouteux se poser contre mon anus et s'enfoncer un tout petit
peu, juste assez pour que, seul, son gland soit enfoui dans mes chairs. Il suffirait que je recule un peu mon bassin pour que toute sa bite s'enfouisse en moi, mais ça me plaît bien de le laisser
jouer comme ça. Je ne bouge pas.
- Ah, la vache ! C'est chaud, là-dedans !
De la main, il bouge son gland à l'entrée de mon étui, il le fait tourner en
rond.
- Ah, putain suce-moi le gland, avec ton cul !
«Suce-moi le gland avec ton cul !» Ah oui, si mon sphincter était aussi agile que
mes lèvres, ça me plairait de lui faire ça. Mais je peux seulement essayer de lui presser le gland avec mon cul. Mon sphincter, avec tous les coups de bites qu'il a pris, est vraiment très
détendu, très relâché, et je dois m'y reprendre à plusieurs fois avant d'arriver à le contracter. Et peu à peu, ça vient … je contracte … je relâche… je contracte … je relâche… je contracte … de
plus en plus fort. Il le sent:
- Ah, la vaaaache !
Il lâche sa queue, me prend par les hanches, se met à haleter:
- Ah la vaaaaache … hahhh … hahhh … hahhh … ah la vaaaache … hahhh … hahhh … ah
putaiiiiiiin !
Et d'un violent coup de reins, il s'enfonce en moi, s'affale sur mon dos, passe ses mains
sous mon torse, et jouit en me caressant . Il continue de haleter et je sens son souffle sur ma nuque, tandis que son bassin s'agite violemment d'avant en arrière, me bourrant de furieux coups de
queue. Puis sa furia diminue, il se calme progressivement. Il déglutit bruyamment et me souffle à l'oreille:
- Putain, c'que t'es bonne, toi …
Je passe une main derrière sa nuque, je la caresse, et:
- Merci.
- Tu voudrais pas venir vivre avec moi ?
- Vivre avec toi ?
- Ouais … comme ça, j'pourrais … j'pourrais te niquer quand j'veux … et tu pourrais me
faire des choses … comme là … c'que tu viens d'me faire …
- Oui, c'est gentil, mais ça va pas être possible … je veux pouvoir me faire sauter par
d'autres mecs …
- Bon, ça y est ? T'as fini ?
C'est une voix, juste derrière nous … Un autre mec s'impatiente. Mon baiseur se redresse un
peu, et:
- Ouais, minute …
- Ouais ben, arrête de tchatcher … grouille …
Il colle de nouveau sa bouche près de mon oreille:
- Tu veux pouvoir te faire sauter par d'autres mecs ? Pas de problème, tu pourrais te
faire sauter autant que tu veux … même chez moi … même devant moi … je peux même t'en trouver, moi, des mecs …
- Ecoute, vivre en permanence chez toi, je … je pourrais pas. Mais, venir chez toi de
temps en temps, un jour ou deux, pour te faire des choses, comme tu dis … et que tu me fasses aussi des choses … pourquoi pas …
- Bon, ça m'irait … et si je fais venir des potes à moi, tu … tu serais d'accord
?
- Des potes à toi … tu veux dire pour me baiser ? Un peu comme aujourd'hui
?
- Ben, ouais … pas autant de mecs … c'est pas grand, chez moi, mais … cinq ou six
…
- Ben évidemment, cinq ou six mecs, ça m'irait … mais pas des tordus, ni des vicelards
…
- C'est vrai ? Classe ! Bon, je vois ça et on se recontacte …
- Comment tu t'appelles ?
- Moi ? C'est Denis …
- OK, Denis, je te donnerai mes coordonnées …
- J'ai déjà ton mail … il est sur ton blog …
- Ah, OK …
- Salut …
Il sort de mon cul, se relève et s'éloigne. J'entreprends de me redresser en m'appuyant sur
les mains, mais:
- Bouge pas ! Reste comme ça !
Une main vigoureuse m'appuie entre les omoplates pour me maintenir en position, puis elle
glisse sur mon dos, sur mes reins et me caresse les fesses. Et sans aucun préliminaire, un sexe s'introduit en moi. Il n'a pas l'air d'être très gros, mais il est très raide, parce que je le sens
exercer une pression dans mes entrailles au fur et à mesure qu'il s'enfonce. Le mec – quel mec, au fait ? – le mec a ses deux mains à plat sur mes reins. Quand je sens son ventre venir buter
contre mes fesses, je vais à tâtons saisir sa main droite et je l'attire jusqu'à mon aine:
- Tiens-moi par là, pour me baiser.
De lui-même, il fait pareil avec sa main gauche. Il me cramponne fermement, recule son
bassin et revient d'un grand coup de reins.
Et c'est suffisant … il jouit !
Un seul aller et retour, et il jouit ! Il avait effectivement une urgence. Le souffle coupé,
il est immobile, et je devine qu'il jouit uniquement à la crispation convulsive de ses mains sur mes hanches, comme s'il voulait me pénétrer tout entier. Je sens aussi les contractions de son
ventre contre mon cul, et je perçois un sourd gémissement. Je devine le jaillissement de sa semence dans mon ventre. Allez, mec, jouis, répands-toi, remplis-moi, féconde-moi ! Ça dure une dizaine
de seconde, et il reprend son souffle en avalant bruyamment de grandes goulées d'air. Ses mains se décontractent sur mes hanches, et il me caresse les fesses.
- Ça y est, j'ai joui … il était temps
- On dirait, j'ai senti …
- Désolé, j'ai pas pu te …
- Me quoi ?
- Te donner du plaisir …
- Si … que tu prennes ton pied dans mon cul, ça me donne du plaisir…
- Bon, ben … tant mieux, alors …
Et il se décolle de moi et se relève. Je ne bouge pas, attendant le suivant.
- Bon, à nous …
On me tapote sur la fesse. Je me redresse et je me retourne. Le vidéaste et son comparse au
tatouage sur le pubis sont là, debout sur les rouleaux de paille en haut de l'escalier. Lui, le tatoué, est très raide, sa longue bite toute fine dressée à 45°. Il me regarde avec les yeux
exorbités. La queue de l'autre, bien plus épaisse est aussi toute gonflée, mais elle baisse le nez sous son propre poids. Lui me regarde avec un sourire à la fois amusé et salace:
- Alors, t'es prête ? C'est maintenant qu'on te la fait, ta double sodo
?
Oh oui, c'est maintenant ! Je sens mon anus totalement relâché, décontracté, distendu, même
… Oui, ils vont pouvoir me fourrer tous les deux, c'est le moment … Deux mâles en moi, en même temps … deux bites dans mon cul … Je me sens comme une vierge qui s'apprête à se faire déflorer par
son premier mâle ! Je hoche vigoureusement la tête:
- Oui, oui, oui, prenez-moi tous les deux !
Je m'agenouille et je tends les mains vers leurs bites. Le vidéaste fait un pas vers moi et
je prends sa queue dans la main. L'autre fait pareil. Je me mets à embrasser leurs sexes l'un après l'autre:
- Vous allez me baiser tous les deux … mmfff mmfff mmfff … vous allez me baiser tous les
deux … mmfff mmfff mmfff … baisez-moi … baisez-moi ensemble … mmfff mmfff mmfff …
Le vidéaste a posé une main bienveillante sur ma tête et il me regarde, épaté et hilare. Aux
éclats de rire qui montent du pied de la scène, je réalise que c'est un couinement, plus qu'un gémissement qui est sorti de ma bouche. Je suis surexcité, dans l'urgence:
- Comment … comment vous … comment on se met ?
Le vidéaste se marre devant mon impatience:
- Comment tu veux, toi ? Tu préfères te faire prendre sur le ventre ou sur le dos
?
- Sur le dos, sur le dos …
- Bon, alors moi je m'allonge en dessous, tu viens sur moi, et Angelo au-dessus … ça
vous va ?
- Oui, oui, ça me va … alors, toi, c'est Angelo ?
Le tatoué hoche la tête. Oui, lui, c'est Angelo:
- Moi aussi, ça me va …
- Et toi, tu t'appelles comment ?
- Moi, c'est Jérôme …
On va déjà essayer comme ça. Après, on essaiera autrement, moi sur le ventre … avec ces
deux-là ou avec deux autres … Je continue d'embrasser et de léchouiller ces deux bites … dans un instant, elles vont être toutes les deux dans mon cul, leurs glands au fond de mon ventre … deux
garçons, deux mâles qui vont s'accoupler avec moi en même temps pour se donner du plaisir … et vu l'état dans lequel se trouvent ces deux sexes, il est évident que ça les excite autant que moi …
d'ailleurs, je bande, moi aussi …
- Bon, on y va ?
C'est le vidéaste – Jérôme - qui trouve sans doute que j'ai suffisamment cajolé leurs bites.
Je me lève et j'attends qu'ils me disent quoi faire. Un coup d'œil autour de nous. Assis dans l'escalier, il y a Gilles le grand type maigre qui m'a fait l'amour sur la pelouse, ce matin, et
debout à côté de lui, Manoel, le mâle velu et viril. Dans leurs yeux et dans leurs sourires, je lis « après, c'est à nous de te baiser en duo ». Oh, putain, cette fois, j'y suis ! Ma
première double sodomie ! MES premières doubles sodomies ! Je n'en reviens pas. C'est une vieille envie, et depuis que j'ai franchi le pas avec des mecs, j'y pensais toujours plus ou moins, mais
comme un fantasme difficile, presque impossible à assouvir … trouver deux mecs qui me plaisent physiquement et moralement, trouver une occasion et un endroit pour les réunir, les convaincre de
frotter leur bite contre celle d'un autre mâle, surmonter ma propre peur … Et là, ce matin, je n'y pensais même pas … il a fallu que toutes mes inhibitions s'envolent, il a fallu que je réalise à
l'épreuve des faits que j'étais vraiment prêt à me faire baiser par une horde d'inconnus – Rêver, fantasmer de me faire gang-banguer, c'était une chose … le faire, c'est autre chose … mais je
n'ai pas hésité une seule seconde à venir ici et à me donner à cette bande de mecs, je n'ai pas hésité une seule seconde à les laisser jouir en moi totalement, sans protection – Du coup, les
conditions se sont trouvée réunies pour réaliser aussi le fantasme d'une double sodomie: l'occasion et l'endroit, nous y sommes, des mecs volontaires et disposés à réunir leurs queues dans mon
cul, ils sont là … et pas seulement deux mecs … non, huit mecs … quatre duos … c'est beaucoup pour une première fois ? On verra, mais, là, tout de suite ... même pas peur !
Ils sont là, mes huit mecs … deux sur scène avec moi, deux qui attendent leur tour dans
l'escalier … et les autres ? Au pied de la scène, parmi les spectateurs qui nous observent en silence, il y a le duo numéro trois … Philippe et le petit blond. Philippe est tout contre la scène,
il veut sans doute être aux premières loges pour assister au spectacle et, j'ai beau être debout, je ne vois pas l'état de sa queue, masquée par les rouleaux de paille qui supportent le matelas.
Le petit blond est au pied de l'escalier, les yeux fixes, sa grande bite toute gonflée à la main, et il se masturbe machinalement. Je ne vois pas le gros Thierry, mais Sam est là, assis sur le
dossier d'un fauteuil en rotin, les pieds sur l'assise. Quand je croise son regard, il écarte les genoux … sa grosse bite tatouée est raide, tendue à l'horizontale entre ses cuisses. Tous
attendent avec curiosité que nous nous mettions en place. Whooooo, quel pied, de me faire enculer par deux mecs devant ce parterre de mâles !
Jérôme m'a écarté doucement du bord du matelas, et il découvre la tache de sperme qui macule
le drap:
- Viens, on va se mettre au milieu …
Angelo me prend par le coude et me pousse vers le bord du matelas:
- Avant, elle va nous nettoyer tout ça … Pas vrai ?
Dans son expression, il y a à la fois comme un reproche – la vilaine qui a sali le drap
va le nettoyer … - et comme un défi – pas cap' -.
Si, mec, cap' ! Pour moi, ce n'est ni une punition, ni une difficulté … au
contraire. Je m'agenouille. En effet, il y a une assez grosse tache de sperme, un rond presque parfait de la taille d'une belle assiette. Je ne pensais pas qu'il en était sorti autant de mon cul.
Et si le pourtour de la tache est déjà bien absorbé par le drap et le matelas, il reste au centre une généreuse épaisseur de sauce. Les mecs ont eu beau touiller leurs semences dans mon cul avec
leurs queues, elles ne sont pas complètement mélangées, et on en distingue encore de plusieurs sortes: ici, épaisse et d'un blanc éclatant comme de la crème fraîche, à côté presque translucide et
comme marbrée de jaune pâle, là comme une mousse nacrée parsemée de grumeaux grisâtres … Je trempe mes doigts dans la crème fraîche et, plantant mes yeux dans ceux d'Angelo, je les suce un à un …
Il se marre. Je m'appuie des deux mains de part et d'autre de la tache, je me penche et, à moitié en lapant, à moitié en aspirant, je nettoie la totalité de la souillure … c'est tiédasse,
douceâtre, un peu salé et suave …
Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap
!
Les spectateurs applaudissent.
Jérôme, à demi couché au milieu du matelas, me fait signe d'approcher.
- Allez, viens, maintenant !
Dans cette position, sa bite est étalée sur son ventre. Je m'avance, je me tourne dos à lui,
les pieds de part et d'autre de ses cuisses, et je m'agenouille, le cul au-dessus de son ventre.
- Vas-y, empale-toi …
Je descends lentement. Appuyé sur un coude, il tient sa queue à la verticale, la guidant
pour la placer dans l'axe de mon fourreau … Voilà, j'ai son gland dans le cul … je descends doucement… sa verge me pénètre … je la sens qui s'enfonce en moi … je me penche pour regarder … sa bite
est presque entièrement en moi … mes fesses touchent son ventre. Je n'irai pas plus loin. Je pose mes deux mains sur le matelas devant moi, et je commence à soulever mon bassin … lentement …
jusqu'à ce que je sente son gland dans ma rondelle … alors, je redescends. Je me redresse et je me tords le cou pour le regarder. Il est appuyé sur ses deux coudes et il a les yeux rivés sur mon
cul. Il regarde sa bite qui disparaît peu à peu entre mes fesses. Une fois de nouveau assis sur son ventre, je regarde Angelo, attendant qu'il approche. Il ne se fait pas prier, et me présente sa
tige. Il se campe devant moi, poings sur les hanches. Je prends son sexe entre le pouce et l'index, et je commence par lui passer ma langue tout le long de la verge, avant de le prendre dans la
bouche … Hhhmmm, j'ai une queue bien au chaud dans mon cul, et une autre dans la bouche … deux mecs, un dans chaque orifice, et dans un instant, la bite, toute chaude, qui est entre ma langue et
mon palais, va rejoindre l'autre dans mon cul … Je saisis les deux mains d'Angelo et je les attire vers ma tête …
Oh, les mecs … les mecs ! Vous me rendez dingue, avec vos bites, avec vos couilles, avec
votre sperme ! Je veux me faire tringler par tous les mâles, je veux me faire fourrer le cul, je veux me faire fourrer la bouche, je veux que vous me tiriez tous votre foutre …
Brusquement, Angelo repousse ma tête:
- Allez, fous-toi en position … j'vais te baiser ….
Je m'agrippe à ses hanches et, tant bien que mal, une jambe après l'autre, en m'efforçant de
ne pas laisser échapper la bite qui est dans mon cul, je passe de la position à genoux à la position assise. Quand je commence à m'allonger en arrière sur le ventre de Jérôme, il plaque ses mains
sur mes omoplates pour m'aider à m'allonger en douceur. Me voilà complètement étendu sur lui, mes jambes de part et d'autre des siennes. Il m'enserre de ses bras et oscille doucement du bassin
sous moi pour faire bouger sa queue dans mon cul. Sa bouche contre mon oreille:
- Ça va ? T'es bien ?
- Ouais.
- T'es prêt ?
- Ouais.
- Vas-y, Angelo …
Je regarde Angelo. On dirait qu'il se demande comment s'y prendre. Il s'avance, les pieds
entre les miens et ceux de Jérôme. J'écarte les cuisses autant que je peux en soulevant les mollets. Il s'agenouille, se penche au-dessus de moi, pose sa main gauche à côté de mon épaule, et je
sens son autre main qui se glisse, armée de sa longue queue, entre mes cuisses.
Il va me pénétrer ! Je sens son gland contre mon périnée, et qui cherche l'entrée de ma
rondelle, déjà occupée par la bite de Jérôme. Je ferme les yeux. Ça y est, il a trouvé ! Il glisse son gland dans la fente entre la paroi de mon anus et la queue du vidéaste. J'en ai le souffle
coupé. Il s'enfonce encore un peu, péniblement. Pourtant, c'est particulièrement lubrifié par tout ce que les cinq mecs précédents m'ont injecté. Dans ma tête, j'anticipe le moment où toute sa
longue bite sera toute entière en moi … le moment où j'aurai deux bites dans mon cul … deux mâles dans moi … A mon tour, j'enserre le torse d'Angelo entre mes bras et j'entoure ses jambes avec
les miennes. Je ne peux réprimer une gémissement de plaisir. Pour le moment, ça n'est absolument pas douloureux et je sens que mon anus pourra ingurgiter cette deuxième bite sans difficulté. J'en
étais à peu près sûr, mais il restait un petit doute. Angelo halète à mon oreille. Ça a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Sans doute autant l'idée d'être à deux dans un seul cul, que d'avoir
sa queue serrée, compressée à ce point. Et d'un seul coup, son halètement s'accélère et il essaie, comme en panique, de s'enfoncer encore en moi.
- Oh meeeeeeerde !
Il éjacule. Il s'est à peine introduit en moi, et il jouit déjà . Je sens son sperme fuser
entre la paroi de mon anus et leurs deux bites accolées. Il tente encore de me pénétrer davantage, mais en vain.
- Merde, merde, merde, merde, merde … putain … c'était trop … fait chier
…
Il s'affale complètement sur moi en expirant bruyamment. Je sens sa queue s'échapper. Je ne
sais pas quoi faire, ni quoi dire. Je ne m'attendais pas à ça. Pour une première, c'est raté. Je finis par lui murmurer:
- T'étais trop excité …
- Ouais … fait chier …
Il se relève. Sous moi, l'autre, toujours dans mon cul, bouge son bassin. Au moment où
Angelo passe devant Gilles dans l'escalier, celui-ci lui demande:
- Ben … t'as fini ?
- Ouais … j'ai pas pu … trop excité …
- Ah merde … je … je peux y aller ? Hein, Manoel … je peux y aller ?
- Oui, mec, vas-y …
Le grand brun se lève, et:
- Je commence … tu viendras après …
- Pas de problème …
Gilles monte sur le matelas, se penche vers Jérôme et lui demande:
- Hé, mec, ça te dérange, si je prends la place à ton pote ?
Debout à côté de moi, il nous surplombe, et j'ai sa longue bite courbe sous les yeux. Il
bande. Jérôme:
- Non, pourquoi ça me dérangerait ?
- C'est pas moi qui était prévu pour le fourrer avec toi …
- Pas de problème …
Gilles commence à s'installer entre nos jambes.
- Moi non plus, ça ne me dérange pas …
Il me regarde, surpris de mon intervention.
- Toi, je m'en doute, que ça te dérange pas …
Lui ne guide pas sa queue entre mes fesses. Appuyé des deux mains sur le matelas à côté de
la tête de Jérôme, il descend lentement sur moi. En bougeant son bassin, il cherche l'entrée de mon fourreau avec son gland. Il y est presque, mais ça glisse et sa tête chercheuse s'échappe à
droite, puis à gauche … L'air contrarié, il tord la bouche, secoue la tête et se décide à glisser sa main entre mes cuisses. Je le sens guider son sexe … Aaaaaah ça y est… son gland commence à
glisser en moi en me dilatant la rondelle … serrant toujours fermement sa queue, il progresse en force, lentement, en m'élargissant l'anus … mon sphincter résiste quelques secondes et brusquement
se relâche. Gilles le sent, lâche sa queue et entre en moi d'un seul coup. Cette fois, j'ai vraiment deux bites dans mon cul ! Ah putain ! Deux mecs me baisent !
Le visage à quelques centimètres du mien, immobile, Gilles me regarde avec un petit sourire
satisfait, guettant ma réaction. Les yeux mi clos, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, je lui caresse le dos et les reins, savourant cette double présence qui me dilate le cul … cette
présence, chaude, vivante, palpitante, c'est les sexes des deux mecs qui sont en train de me baiser, qui vont prendre, ensemble, leur plaisir en moi, et qui vont, dans un instant, m'inséminer …
Gilles, les yeux toujours plantés dans les miens, commence à aller et venir, lentement. Je sens sa queue glisser sur celle de Jérôme … de plus en plus facilement. L'autre, sous moi, ne bouge pas
… en partie pour ne pas laisser sa bite s'échapper, mais aussi parce que c'est inutile, celle de Gilles, en allant et venant, le masturbe en moi. Comme ce matin, sur le matelas au milieu de la
pelouse, Le grand brun ne me baise pas mécaniquement, il me fait l'amour … Et comme ce matin, sa bouche cherche la mienne, la trouve … je lui agrippe la nuque, sa langue force mes lèvres, sa
langue rencontre ma langue et, comme ce matin, nous nous roulons une longue pelle torride …
Puis il écarte son visage du mien, me sourit, tourne la tête vers l'arrière,
et:
- Manoel …
- …
- Hé ! Manoel !
- Hein ? Tu veux quoi ?
- Viens … il va te sucer …
Il plante de nouveau ses yeux dans les miens, et:
- Hein, tu vas le sucer ?
- Oooh oui !
Sans un mot, Manoel apparaît sur ma gauche, au-dessus de nous, et me dévisage avec un
sourire narquois. Sa belle queue poilue, raide, est dressée à l'horizontale. Il se laisse tomber à genoux à côté de moi. Je tends la main vers la toison de son ventre. Je le caresse, puis je
saisis son sexe et je le masturbe. Il se laisse faire, poings sur les hanches. Mon excitation monte … trois mâles ! Je vais avoir trois mâles en même temps en moi !
Et je vois apparaître une tête derrière celle de Gilles … le comptable ! Le comptable qui
vient de monter aussi sur scène, smartphone à la main, et qui le braque sur notre quatuor … je le regarde par-dessus l'épaule de Gilles … debout en haut des marches, il est en train de filmer la
scène. Puis il s'accroupit. Gilles le masque à ma vue, mais je pense que maintenant, il filme notre coït en plan rapproché … notre double accouplement … Je me tourne vers Manoel:
- Viens, maintenant … donne …
Il a compris: c'est sa bite que je veux. Il avance, un genou après l'autre, jusqu'à me
toucher. Gilles écarte un peu son bras pour lui laisser de la place. J'avance la tête et j'ouvre la bouche. Il s'introduit entre mes lèvres. Oh OUIIIIII ! Ça me rend dingue ! Deux bites
dans le cul et une dans la bouche ! Je gémis en commençant à pomper l'ours velu. Sans que je lui demande, il passe spontanément une main derrière mon crâne et me serre la nuque délicatement mais
fermement. Il a compris que j'aime cette marque de domination. Du coin de l'œil, je le regarde. Il contemple sa bite qui va et vient entre mes lèvres et observe mes réactions. Dans son sourire,
dans la lueur de son regard, dans l'expression de son visage tout entier, je lis un mélange de fascination et d'incrédulité: il n'en revient pas qu'avec déjà deux mecs en train de m'enculer, il
me faille une troisième bite dans la bouche. Je sens que, non seulement ça l'excite et qu'il en éprouve beaucoup de plaisir, mais qu'il ne demande qu'à m'aider à satisfaire ma
fringale.
Je réalise que, presque inconsciemment, j'ai glissé ma main entre ses cuisses, jusqu'à ses
fesses et que je le cramponne, que je le presse fébrilement vers moi, comme si je craignais qu'il ne m'échappe … oui, vas-y, baise-moi la bouche ! Je découvre Guy, le comptable, en train de
filmer cette fellation. Oh putain, je me rends compte que je gémis de plus en plus hystériquement … je bande à mort et je sens ma bite me mouiller le ventre … je ne suis quand même pas en train
d'éjaculer, la queue masturbée par les mouvements de Gilles entre mon ventre et le sien ! Non, ça doit être la pression de ces deux bites sur ma prostate qui me fait cracher un peu de sperme …
Notre excitation à tous les quatre est à son comble. Gilles tout en me titillant l'oreille avec la langue, me fout des coups de bite de plus en plus ardents … sous moi, je sens que, maintenant,
Jérôme agite son bassin convulsivement en haletant et en me caressant fébrilement les flancs.
Et soudain, c'est lui qui craque le premier … son halètement se transforme en grognement, il
me cramponne rageusement les hanches et, bouche grande ouverte, il aspire l'air à grandes goulées … et il jouit en laissant échapper un long râle. Le sentir me féconder ajoute à mon
excitation et je m'acharne des lèvres et de la langue sur la bite de Manoel. Gilles a dû sentir Jérôme éjaculer contre son gland. Il ralentit son va et vient. J'entends le gargouillis que fait sa
queue en brassant cette nouvelle dose de semence. Manoel prend mon visage entre ses mains, et me repousse doucement en soufflant, les lèvres en cul de poule … il est au bord de l'orgasme. Sa
queue sort de ma bouche et je m'efforce de lui donner encore quelques coups de langue.
Jérôme se met à rire et je le sens tapoter les fesses de Gilles:
- Bon, laissez-moi sortir … vous m'écrasez, maintenant, les mecs …
Gilles:
- T'as pris ton panard …
- Ouais … t'as senti ?
- Ouais … bon, vas-y … pousse-toi un peu, Manoel …
Et d'un seul mouvement, me serrant contre lui, il bascule sur le côté et roule sur le dos.
Je me retrouve allongé sur lui, le menton contre sa clavicule et sa queue toujours plantée en moi. Jérôme se relève, me donne une claque sur les fesses:
- Toi, t'es vraiment une bonne salope, hein …
Et il s'éloigne. Gilles me saisit par le menton, m'écarte un peu de lui, et, les yeux dans
les miens:
- On continue ?
La suite en cliquant ici: Gangbang douziène partie