Si vous visitez ce blog depuis un moment, vous l'aurez remarqué, je profitais souvent d'être au travail pour m'adonner à certains plaisirs solitaires.

Parmi les plaisirs les plus soft, il y avait celui de travailler dans des jeans très moulants.

Evidemment, pas pour le plaisir d'être à la mode. Non, en fait, j'en tirais deux plaisirs différents.

D'abord, celui de me sentir bien moulé dans cette toile stretch. Il faut dire que  mes jeans, c'était des jeans de femme, taillés dans du denim extensible. Alors, la couture centrale bien rentrée dans la raie du cul, j'adorais sentir la toile me mouler le paquet et me galber les cuisses et les fesses.

Et le deuxième plaisir, c'était le côté visuel. Oui, j'adorais voir mon cul moulé dans ces jeans. D'abord, en les enfilant, je me regardais dans un miroir, et puis je me filmais et j'adorais visionner mes vidéos. Le narcissisme poussé à son paroxisme: souvent même, je me masturbais devant ces vidéos, tellement je trouvais mon cul bandant.

Dingue, non ?

Dans cette vidéo, je me filme pendant une des pires corvées de l'entretien de jardin: l'arrachage de la mousse dans le jardin de Marie-Claire. une corvée qui avait l'avantage de m'entretenir les abdos. 

Suite et fin de mes travaux d'enduit dans une cage d'escalier.

Je trouve cette séquence encore plus chaude que les précédentes.

Cette fois, ma mini robe est carrément remontée sur mon ventre.

C'est bête, je ne peux pas la redescendre, j'ai les mains pleines d'enduit.

Plutôt que de me faire tripoter et prendre par un client dans cet escalier, comme je l'expliquais dans le vidéo précédente, un autre fantasme, ce serait de bosser comme ça sur un chantier avec d'autres ouvriers, terrassiers, maçons, plombiers, électriciens, peintres ... et qu'en milieu de matinée, mon patron nous réunisse:

- Bon, les gars, c'est la pause. Y'a du café et des croissants. Et si vous voulez vous détendre, vous pouvez aussi vous taper Marin. Je lui ai mis deux doigts, et il est déjà tout mouillé ... Et toi, Marin, tu poses tes spatules et ton enduit, et tu viens là. Mets-toi là, debout devant cette table ... voilà ... écarte les jambes ... oui, comme ça, penche-toi ... oui, appuyes tes coudes sur la table ... allez, les gars, vous pouvez y aller, il ne demande que ça ... vous avez bien vu, il ne s'est pas fait prier ... oui, oui, vous pouvez tous y aller ... bien sûr, vous aussi, Moussa, Boubacar et Abdoulaye ...