Ce n'est pas la Croisette, il n'y a pas de tapis rouge, mais il y a une caméra et des canes... que je fourre dans mon "Palais des Festivals".
Le blog de Marin Cathare
Ce n'est pas la Croisette, il n'y a pas de tapis rouge, mais il y a une caméra et des canes... que je fourre dans mon "Palais des Festivals".
J'ai déjà mis en ligne une première vidéo où je m'encule (pour la voir, cliquer sur l'image
ci-dessous).
Dans cette deuxième vidéo, je me fourre de nouveau la bite dans le cul.
En général, ça commence par une furieuse envie de ma queue de se fourrer dans le premier trou venu.
Et comme le trou le plus proche, c'est celui de mon cul, je commence par me frotter le gland contre la rondelle.
Rapidement l'excitation monte et comme mon cul, toujours disponible, ne demande qu'à se faire enfiler à la moindre occasion, il ne me reste qu'à donner satisfaction aux deux.
Première publication le 06/10/2011
Je suis assez porté sur la bouteille, comme on dit.
Par exemple avec cette bouteille de bière (marque connue), plus grosse que la canette de 25cl, elle contient 65 cl si je me souviens bien.
C'est moins ... brutal qu'une bouteille de 75 cl, mais ça fait quand même du bien par où ça passe ...
Me fourrer des fruits, des légumes, des outils, des trucs, des machins dans le cul, c'est très bien.
Mais, mes doigts, c'est très bien aussi. C'est vivant, ça bouge, et je prends presque autant de plaisir par le cul que par les doigts.
Et en plus, je les ai toujours ... sous la main.
Qui n'a jamais rêvassé devant un cheval qui bande?
Moi, ça me laisse songeur, mais comme je n'ose pas tenter l'expérience, je me suis rabattu sur ... un cervelas, qu'on appelle aussi saucisson de cheval. Dans son genre, c'est pas mal du tout. Par la forme, la taille et la consistance, c'est assez proche d'une bite de mec.
Sensibles à l'esthétique comme vous êtes, vous aurez sans doute remarqué que, ce jour-là, la couleur de l'instrument de mon bonheur était assortie à ma tenue.