Le blog de Marin Cathare
Ça, c'est une gourde de randonneur d'une marque connue ...
Assez beau calibre, non?
Et surtout, corps en métal ... je ne vous dis pas ! J'adore cette matière dans mon fourre-tout: c'est doux, c'est frais au début, puis ça capte la chaleur de mon cul avant de la restituer, ça devient chaud, et ça glisse tout seul, ça rentre presque entièrement ...
Vive la rando !
J'avais pris tellement de plaisir la première fois que j'ai fait vibrer une brosse à dents électrique sur ma queue, que j'ai recommencé.
Pour voir ou revoir la première vidéo, cliquer sur cette photo:
Hhmmmm! Se passer ce truc qui vibre sur la verge, sur les couilles et sur le gland, et surtout sous le gland ... quel régal ! Ça m'amène vite fait, bien fait, à l'éjaculation ...
Dans cette vidéo, il y a deux séances de ce petit jeu.
Marie-Claire laisse constamment traîner sa lingerie partout, et parfois, je fouille ses tiroirs de lingerie (cliquer sur la photo)
Ce jour-là, quand j'arrive chez elle, Marie-Claire a mis sa lessive à sécher dans le jardin. En faisant cela, elle ne se doute certainement pas à quel point elle me me soumet à la tentation: je connais très bien une partie de ce qu'elle a étendu au grand air et à ma vue ...
Et pour cause: il y a en particulier deux petites culottes en tulle transparent et dentelle mauve que j'ai essayées et dans lesquelles je me suis masturbé à plusieurs reprises.
Elle ne devrait pas les étaler au grand jour comme ça devant moi ... Forcément, ça me rappelle des souvenirs, ça me trouble et ça me donne des envies. Ce jour-là, Marie-Claire est chez elle, et je dois me contenter de filmer en douce sa lingerie en train de sécher...
Mais quelques jours plus tard, alors qu'elle s'est absentée en me laissant la maison toute une journée, je m'empresse de fouiller à nouveau ses tiroirs de lingerie, de récupérer les culottes en question, et de prendre de nouveau du plaisir avec, en les humant, en les léchant, en frottant mon gland contre le gousset, en enrobant ma queue dedans, etc.
Vous souvenez ? En jouant au petit poucet, j'avais caché un tas de petits cailloux dans mon fourre-tout (cliquer sur la photo).
Cette fois, ce n'est plus des petits cailloux, mais une grosse pierre que je me fourre dans la caverne. Ou plutôt un gros galet, remarqué et ramassé sur une plage en raison de sa forme très suggestive à mes yeux...
Et cette grosse pierre ne m'a pas déçu, elle me procure des sensations vraiment extraordinaires! C'est la mer qui l'a façonnée comme ça en la roulant, en la cognant, en la frottant contre d'autres pierres, en lui donnant cette forme longue et fuselée, en la rendant lisse mais pas trop ... La nature est bien faite, non?
Non seulement elle est d'une taille plutôt conséquente, que je me l'enfile par l'extrémité la plus effilée ou par l'extrémité la plus grosse, mais en plus elle me râpe délicieusement le rectum. Et ce ... "ponçage", déjà voluptueux en soi, accentue la sensibilité de mon anus.
Evidemment, il faut bien la lubrifier avant de commencer. On utilise ce qu'on veut, mais moi, je commence par l'imprègner à la salive, et ensuite, c'est mon lubrifiant anal naturel qui prend le relai.
Je vous assure que c'est un vrai bonheur de sentir ce truc rugueux aller et venir dans ma rondelle. Rien d'autre ne peut donner cette sensation...
Un de mes grands plaisirs, quand je travaillais chez quelqu'un, c'était de me mettre à poils dans son jardin ou sa maison, alors que la personne était chez elle.
Je ne vous dis pas les poussées d'adrénaline quand je l'entendais s'approcher...
Les trois premières photos, c'est chez Yolaine, dans l'escalier qui descend au sous-sol, alors qu'elle est en train de regarder la télé.
Les trois photos qui suivent, c'est chez Raymonde, alors qu'elle est dans sa cuisine avec son mari. Les deux premières photos, c'est dans l'escalier du sous-sol, et la troisième, un autre jour, en haut de l'escalier qui mène à l'étage
Les trois photos suivantes, c'est chez Eliane, pendant qu'elle discute au jardin avec sa voisine.
